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[RP] La milice rode autour de Castres

Leyoun
Alors que le vent battait la mesure et que la neige ne s'arrêtait pas de tomber, des volontaires se présentèrent à la mairie pour garder les portes de la ville.
Après avoir fait sa première ronde, le bougre resta debout dans la tour de garde à scruter l'arrivé de voyageurs.
A croire que la neige en freinait plus d'un. Les arrivants étaient de moins en moins nombreux de jour en jour. Certains établirent campement dans le village, comme Leyoun. C'était plus sûr pendant cette basse saison.

Il regarda la table de la tour de garde...
Mais quand est-ce qu'ils vont arriver...il manquerait plus qu'elles refroidissent ! Il parlait des trois tisanes qu'il avaient amené. Histoire de boire un coup pour se réchauffer quoi !
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[HRP]Leyoun :
- ne sait pas comment il s’appelle
- est vêtu de simple braies et d'une veste militaire usée, accompagné d'un insigne militaire de premier rang: soldat
- n'a pas d'arme ni d'armure ni casque rien ! ^^[/HRP]
Leyoun
Pas très tranquille la nuit de garde. Il en avait envoyer des coups de bâton cette nuit, le bougre !
Au matin, il passa le pas de porte de la mairie et déposa un bout de papier sur le bureau.

Citation:
Messire bourgmestre,

alors que nous étions en train d'effectuer nostre tour de garde, des manants ont tenté de pénétrer dans la mairie.
Nous, et deux autres miliciens, avons bouté ces malheureux hors des murs.

Cordialement

Le meneur des miliciens

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[HRP]Leyoun :
- ne sait pas comment il s’appelle
- est vêtu de simple braies et d'une veste militaire usée, accompagné d'un insigne militaire de premier rang: soldat
- n'a pas d'arme ni d'armure ni casque rien ! ^^[/HRP]
Katjea
Apres une brève carrière de brigande, Katjea c’était par hasard retrouver dans l'armée. Apres s’être battu pendant un temps au cotées de ces amis et même ennemis d'Auvergne, la rouquine décida de ce partir. Commencer ailleurs et surtout sur un chemin plus droit qu'auparavant.

Galopant le plus au sud possible Katjea remarqua cette ville calme au nom de "Castres". La bas serait un bon endroit pour recommencer de rien.

Aujourd'hui la vipère de Thiers n’existe plus !!

La violence pourtant elle ne pourra la lâcher ... plus tard elle s'engagera a défendre cet ville ou une autre et rien ne l'en empêchera, ni même son passé.


La rouquine traversa encore un dernier champs sur son étalon noir avant d'arriver aux portes de Castres. Katjea n'avait avec qu'elle qu'une maigre bourse et une robe rouge crasseuse, son épée elle l'avait perdu bien longtemps pendant le combat et son son bouclier n'avait pas tenu longtemps au derniers coups reçu.

Au porte elle aperçu une silhouette alors que son étalon ce comportait bien nerveusement, Katjea ce rapprochant sans dire un mot...

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Leyoun
La Nini Pimpon a écrit:
Che ami Milicien,

j'avions bien curré les latrines, comme vous l'savions déjà. Las, j'y suis tombée bêtement, n'osions plus guère r'monter vous vouér. J'avions trouvé une bonne sulition, j'pensions : des nôtres, amis, allant au Castel No D'Arri, m'avions trouvée crottée et gueuse au pied du rempart. J'étions bien marrie d'vous avouér abondonné à vot' bonne mission, mais j'suitions partie plus sud, guettant l'heure de plonger dans ruissellet sur le chemin.
J'ne r'viendrons point tant que j'serions crottée, mais n'manquerais point d'vous l'signifier alors !

au plaisir, d'vous r'vouér
La Nini Pimpon


C'est le cul dans une chaise de la tour de garde et les pieds en éventails sur la table que le bon Leyoun lisait son courrier.
Et voilà, vous pensez déjà qu'il ferait mieux de faire la ronde ?! Mais c'est qu'il n'était pas de service ce soir là le bougre. Il avait trais pour la première fois ses vaches et une fois finis il était venu voir si yavait b'soin d'un coup d'main dans la milice. "C'est bon, ya le nombre de miliciens voulu ce soir mon vieux !" Lui répondit le meneur des miliciens.
Ne voulant pas réveiller son ami sagrestan aussi tard, il décida de rester dans la tour de garde pour la nuit.
Bref, il lisait la missive de Nine !

Il posa la lettre sur la table et mit le nez à la meurtrière pour respirer l'air frais de ces nuits Castraises.


Cette mine de fer fait perdre du temps à galoper entre les villes ! Dit il, tout en se demandant quand reviendrait ces gens partis pour l'équilibre financier du comtat.

Soudainement, il tendit l'oreille. Un souffle rapide et animal sortait de l'obscurité de la nuit. Ni une, ni deux, Leyoun dévala les escaliers de la tour pour se rendre aux portes.
Il ouvrit la ptite porte et sur lui surgit une belle bête noire très en forme ! Oui, c'est le moins qu'on puisse dire, elle était nerveuse la ptite bestiole !!!


OOOOOooooooh laaaaaaaa mon bon !!!! Du calme !

Tout en essayant d'apprivoiser l'animal, Leyoun prit la précaution de jeter un oeil à l'armement du cavalier. Rien qui puisse ce voir...ouf! Mais attention quand même mon ptit Leyoun, on ne sait jamais avec ces gueux de la nuit, se dit le bougre garde.

Bonser et bienvenue en terre Castraise messire ! Dit il sans regarder le visage de l'individu.

Un peu nerveuse votre monture dites donc !
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[HRP]Leyoun :
- ne sait pas comment il s’appelle
- est vêtu de simple braies et d'une veste militaire usée, accompagné d'un insigne militaire de premier rang: soldat
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Katjea
Katjea observa l'homme quelques secondes et ôta sa capuche, dévoilant ses longs cheveux rouge. En demontant sons étalon elle dit:


- Je vous remercie, mon nom est Katjea et je recherche un abri pour la nuit ... Savez vous ou je puisse passer repos?
Leyoun
Leyoun jeta à nouveau un coup d'oeil éclair sur l'équipement qu'aurait pu avoir l'individu, sans passer par la tête...puisque inutile !
Il s'occupa de finir de calmer l'étalon.


Passez donc par la ptite porte et ouvrez moi la grande pour mettre à l'étable vostre monture !

Vous pouvez vous mettre dans la tour de garde pour la fin de cette nuit. Nous verrons demain pour vous trouver un logis à vostre convenance.


Leyoun garda bien en main la bride et caressa sans discontinuité la ganache. Ainsi occupé, il ne prêta toujours pas attention à l'individu.
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Katjea
La rouquine s'executa. En montant dans la tour, des souvenirs oubliés remonterent a la surface.

Allait elle vraiment rester ici ?
Ou preferait elle aller a la recherche de son ex compagnon, perdu depuis si longtemps.

Cette nuit la, Katjea dormit paisiblement comme elle ne l'avait fait depuis des années.

A l'aube, elle remercia l'homme avec ses derniers ecus restant et fila aussi vite qu'elle etait venue. "



Merci Castres de m'avoir accueillit.
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Leyoun
Leyoun était resté aux portes toute la fin de nuitée. Il semblait percevoir des ronflements assez fort...sous nul doute elle devait bien dormir.

Au petit matin, elle partie comme une bombe.


Castres est encore qu'un endroit de passage malheureusement, se dit tout bas le garde.

Il resta, comme tout le temps, en faction aux portes de la ville.

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Leyoun
Quelques jours plus tard....

Mais c'est le bel étalon ! Pensa t'il tout fort.

La rouquine était maintenant accompagné. Pourvu qu'il ne l'a prenne pas pour un homme cette fois çi !!!

Leyoun effectua le contrôle réglementaire...c'est à dire dresser un inventaire rapide des armes à disposition des voyageurs.

Il ouvrit les deux grandes portes pour les laisser aller se reposer.

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Katjea
En cette journée interminable,
sur son étalon noir, Nolet était accrocher a elle juste derrière.
Bien que la chaleur de son corps contre le siens fut paisible.
Le vent ce faisait tellement froid que la rouquine, s’efforça de ne pas claquer des dents.

En s'approchant elle reconnu le même homme qui l'avait il y a de cela quelques jours recueillit du haut de sa tour de garde.

Après être descendu de la bête noire et avoir montrer ce qu'elle portait avec elle, elle posa sa main sur l’épaule du milicien avec un regard éternellement reconnaissant, elle pénétra avec Nolet dans l'enceinte de la ville de Castres.
Leyoun
Toute la journée sur les remparts, le garde observait un maximum d'agitation. Il y en avait peu à l'extérieur en ces jours mais à l'intérieur ça commençait à s'enrichir !

Des claquements de portes à n'en plus finir, des gens qui passent de la taverne à l'église de l'air et d'autre qui pénètrent dans la forêt alors qu'il y a une bonne épaisseur de neige.

Il prenait un pied phénoménal à épiais tous ces mouvements. C'est ainsi qu'il commençait à apprendre d'avantage sur ce ptit village.

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[HRP]Leyoun :
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Sebelia
Elle avait pris doncques la direction des murailles de la ville avec la jeune recrue de l'armée comtale en poste à Castres. Le froid mordant de la nuit l'avait dégrisée vistement et la lieutenante avait effectué un crochet au 50 de la rue Cathare afin de récupérer le longbow et le carquois de flèches empennées dont elle avait vérifié le bonjon, qui lui seraient d'autant plus utiles que la bastarde qu'elle portait dans le fourreau de sa ceinture de cuir épais. L'arc propriété d'un membre de l'Ordre royal de la Dame Blanche à l'Ecu Vert, une angevine qu'elle avait rencontrée sur les terres de Bourgogne en 1457 alors que l'une de ses soeurs d'armes venait d'estre fauchée par l'armée de la princesse Armoria de Mortain, était de belle longueur plus de six pieds, façonné dans du bois d'if, équipé d’extrémités en corne dotées d’une échancrure où était fixée la corde, tissée en chanvre, ce qui servait d’amortisseur, d’arrest de corde et accentuait la propulsion de la flèche. La Blanche, aguerrie dans l'art du combat lui avait transmis la coignassance et après une longue période d'entrainement, Sebelia maitrisait la technique du tir à l'arc.

Les murailles de la ville se dressaient devant elle, le chevelé s'était arresté à la tour de garde où une doulce chaleur régnait. Elle aperçu des registres ouvert sur une table, ceux de la milice assurément. Elle avait suivi Doe dans son antre puis avait grimpé deux à deux les marches de l'escalier éclairé par la lumière vacillante des flambeaux, qui devaient la mener vers l'extérieur dans les hauteurs. Lèvres gercées, mains glacées, besace en travers du dos, elle frissonna en posant le pied sur la pierraille, levant son visage vers la vouste d'une nuit sans lune. Quelques braseros éclairaient partiellement le chemin de ronde. Sebelia s'en approcha mains tendues jusqu'à sentir les flammes lui lécher le bout des doigts. Elle regrettait l'absence de son manchon de fourrure, resté au cadastre. Se tournant d'un quart, elle aperçut droit devant elle une tour carrée aménagée pour permettre de surveiller les abords immédiat de l'enceinte. Elle se positionnerait à cet endroit pour tirer. Glissant sa dextre dans sa besace, la vénitienne en sortit gant de tir, protège bras, plastron dont elle s'équipa. Parée pour une nuit de surveillance, elle observait regard acéré les alentours de la ville endormie.

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Lieutenant de prévosté au barri de Castres, conseiller militaire (IG), archiviste judiciaire aux Archives Royales
Leyoun
En voici une nuit pleine de souvenirs oubliés !

Les effets de l'alcool semblaient s'estomper au fur et à mesure de la marche. Zut alors ! Que vont ils prendre pour la chaire à canon !?

Le militaire pur sang parlait peu, voir carrément pas ! Mais les deux semblaient se comprendre malgré cela, c'est ainsi qu'ils firent un crochet à travers les ruelles de la ville. Leyoun parcourut du regard la beauté de l'arc long qu'elle sortie d'une habitation...mais c'est chez elle ça ? V'la qu'mon leyoun va être mis dans une histoire de vol nocturne maintenant !!! Bon on va dire que c'est chez elle hein !!
Bref, ils reprirent la route de la tour de garde ! Le "Doe", comme le surnomme certains, parcouru sa feuille de solde...et bin ils se sont pas foulés les grattes papier de l'intendance...16 écus la garde c'pas cher payé pour y risquer sa peau !
Bref, il commença à monter les marches en courant comme à son habitude et se rappela qu'il n'était pas seul ! Il attendit qu'elle le rattrape et prit le pas de la jeune femme.
Une fois en haut il se jeta dans plusieurs meurtrières pour regarder s'il y avait de l'agitation autour de la ville. Personne ! Hummm trop calme ça ! C'est ce qu'il se disait tous les soirs pour pouvoir espérer que quelque chose se passe enfin ! Bloooood ! C'est une jeune recrue faut le comprendre. Du moins, il avait ce comportement car on l'avait nommé bizuth. Il jouait le jeu inconsciemment le pauvre homme.

Il se retourna et surpris la jeune femme en train de s'équiper des pieds à la tête. Ce n'était donc pas une débutante. Il regarda cette façon d'être avec admiration un long moment. Il observa mais sans en prendre leçon. Il avait l'impression de voir quelque chose qu'il connaissait par coeur. Cette fâcheuse tendance a être le plus concentré possible, à faire sa tâche bien plus que la normale, la parfaite représentation du meneur de groupe armée.
Un frisson le parcouru des pieds à la tête tout doucement. Il comprit à ce moment précis qu'il avait été autre personne que celle qu'il est.
Il resta raide comme un piqué devant les actions qu'enchainaient Lia...

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[HRP]Leyoun :
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Sebelia
Nez au vent, opales miroitantes attirées, toisant le courant d'air qui s'engouffrait dans les torsades du drapé flottant autour de ses épaules, elle sentait peser le regard du troufion sur elle sans savoir si iceluy était empreint d'étonnement, d'admiration, ou de moquerie, sans voir les nuages de camphre qui s'y étaient amoncelés. De mouvement il n'effectua aucun. Avait-il peur de rompre la charmogne qui avait plongé la ville dans les bras de Morphée ? Parfois un minuscule caillou glissé dans les rouages d'une machine déjà bien fragilisée suffisait à la détruire. Comme elle aimait cette ville. Comme elle maudissait ce nid de vipères qui ne cessait de croistre. Quand le grotesque dépassait l'entendement... La vie de ces femelles devait estre bien monotone pour qu'elle, Sebelia Querini, devienne ainsy le centre d'intérest de leurs discutailles voire mesme l'écriture d'un roman sur une face de bouc. Comment disait son ami déjà ? Nudité du néant. Dernier fait en date de la pointe du jour et des plus jouissif. La lieutenante s'était permis de lever la main sur les citoyens dixit la rouquine au généreux parpal. Amusée avait-elle été nonobstant tout le sérieux de la donzelle au fort accent flamand. En y réfléchissant bien, elle avait en effet giflé un homme il y a plusieurs semaines, brigand notoire qui lui avait lancé un soir à la brune « vous m'émoustillez ». Sourire aux coins de ses lèvres fendillées la vénitienne toisait, l'œil torve, les clabauderies perpétuelles de ces trois caillettes en manque d'inspiration. Huhu.

Glacée par la froidure qui s'immisçait par tous les pores de sa peau, longbow dans sa dextre, la brunette se tourna vers Doe, nuque raidie ployant sous le joug d'invisibles doigts insolents, lèvres entrouvertes laissant échappées des volutes de souffle chaud.


Savez vous faire usage d'un arc ? Je suis un peu rouillée...

La visibilité est moindre dans la pénombre. Nuit sans lune. Mais les braseros améliorent la luminosité sur les murailles. Nous pourrions nous exercer sur une cible... Qu'en pensez vous ?

Non mouvante il va de soy...


Glissant sa main sénestre dans les fontes de sa ceinture, Lia referma ses doigts fins sur un petit pot d'onguent à la rose dont elle préleva une noisette. Étalé en couche épaisse sur ses pétales bleuies, le baume viendrait soulager ainsy ses vilaines gerçures.
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Lieutenant de prévosté au barri de Castres, conseiller militaire (IG), archiviste judiciaire aux Archives Royales
Leyoun
De sa contemplation, leyoun fut éjecté par les paroles de la donzelle. Et tout en s'approchant d'elle il lui dit :

Vous apprendrai bien vite...

Il saisit l'arc long dans la main droite de Sebelia...

...à manier cette arme...

Il saisit à son tour une flèche dans son carquois. L'homme positionna son visage mesquin à quelques centimètre de celui de son acolyte.

...avec grande dextérité.

Il plaça sa fléche, banda, dirigea l'arc sur son côté gauche...

En admirant !

Et décocha...

L'homme n'avait pas de technique de tir notable. Il dégageait malgré tout, par son attitude, l'impression d'être lui même convaincu que sa technique était admirable.

Son regard se figea lorsqu'il entendit sa flèche continuer sa course dans le vide de l'air. Il se retourna vers l'enseigne et lui lança une petite grimace discrète. Cette fichue enseigne de la tour de garde !
Son visage se tourna lentement vers celui de Sebelia. Il fronça ses sourcils et recula progressivement son visage. L'air d'avoir été trompé ! La corde doit être détendue, la flèche trop mole, l'enseigne s'est tournée au même moment...les explications RATIONNELLES ne manquaient pas dans le crane du bougre.

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