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[RP] Hymen fleuri de Sébastien de Plantagenêt et sa Griotte

Boulie
Comment allait-elle s’habiller ? C’est au dernier moment que la Boulette se posa cette question. Non habituée aux cérémonies solennelles, elle était en grand moment de stress. Il faut dire aussi que sa garde robe était restreinte. Elle hésita un moment à aller demander conseil à Boulga, mais elle finit par y renoncer. De toute façon, elle n’avait pas vraiment le choix…

C’est mal à l’aise qu’elle enfila sa robe, songeant à la célébration à venir. Comment fallait-il qu’elle se comporte ? Elle avait bien assistée à la cérémonie d’Allégeance, mais elle était restée discrète, dans son coin. En plus, elle n’allait connaitre personne, même les futurs mariés lui étaient inconnus. Il y aurait aussi surement des personnes de hauts rangs… Rah, elle était presque passée, du jour au lendemain, de la petite paysanne vivant ici et là à la gouvernante de Son Altesse Royale Franc Claude Volpone. Il fallait qu’elle s’y fasse. Puis tous les nobles n’étaient pas comme celle rencontrée en Provence… La preuve, le senher Salvaire était tout son contraire, et bien pour ça que Boulie s’autorisait à lui lancer quelques boutades amicales. M’enfin, elle s’était dit, il y a peu, qu’il fallait tout de même les minimiser, ces plaisanteries ! Elle ne voulait pas que le double baron y prenne comme une marque de méchanceté de sa part, vu que ce n’était point du tout le cas. Il fallait donc agir avant qu’il ne sévisse. Faire preuve de politesse et de respect donc elle devrait à cette cérémonie, rien de plus normal. Mais quoi d’autres ? Y avait-il des faits et gestes de coutumes ? Mais où donc avait-elle était élevée cette Boulette ? Là était bien le souci… Aucune éducation ou du moins presque pas, juste ce qu’elle se souvenait et ce qu’elle avait apprit cette dernière année en prenant exemple sur d’autres. Elle se résolut à prendre exemple sur Boulga, elle la suivrait dès que possible. Espérons que cette dernière ne le remarque pas, et qu’au pire, cela ne la gêne pas…



Finalement, elle s’attacha les cheveux et se parfuma à la menthe sèche. Prenant une forte inspiration pour évacuer le stress qui la tourmentait, elle s’en alla rejoindre ses amis.

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Salvaire_d_irissarri
Té ! L'ami Séb a pensé à m'inviter ! se dit le bel et blond en ouvrant son courrier du jour. Il se marie avec une cerise, qu'il dit. Le jeune homme sourit légèrement. Ma foi, il a bien fait de quitter lo comtat de Tolosa, si celà lui a permis de rencontrer l'amour.

Salvaire ne savait point, bien sûr, si ce mariage était d'amour ou de raison, comme c'était souvent le cas, nobliotattitude obligeant à convoler pour réunir fiefs et domaines.
Baste ! Je verrai bien en la cathédrale. Cet élan du coeur se voit, pardine ! J'espère bien que c'est le cas, ma foi.

Puis, préparatifs depuis le Lengadòc. Demande à ses deux "boubous", donà Boulga, intendante pour sa baronnie de Randon et donà Boulie, gouvernante de Son Altesse, le jeune Franc afin qu'elles se préparent pour ce long voyage vers la capitale. Toutes deux ravies de s'en aller voir la capitale. Salvaire, lui, se demandait si les rues seraient toujours aussi sales et encombrées au point qu'on pouvait parfois ne plus circuler, même à pied avec toutes ces voitures, landaus, charrettes et autres carrioles. Il se demandait également si il serait à nouveau mandé en tant que fournisseur royal pour le sacre du Roy nouveau et dans ce cas, que lui préparer ? Un caçolet encore ? A-t-on l'autorisation de modifier son plat d'ailleurs.

Brèfle ! Cheminant, tout en songeant à cette grave question culinaire, elles bien à l'abri ; lui sur son nouveau cheval, tout vieux, tout moche ; noblesse et pauvreté allant chez lui de pair ; ils se présentèrent enfin sur le parvis de Notre Dame, dispersant la foule amassée là, en attente sans doute des grains de maïs qui seraient jetés à la sortie, ils réussirent à se présenter devant la majesuteuse porte.
Tout de suite, il aperçut sa soeur et s'empressa d'aller, comme d'usage entre ces deux-là, se jeter dans ses bras. Effusion, émotion, embrassades et comparaison des tenues, fort séyantes pour tous deux, pardine.




Vois donc, ma sucrette ! Nous sommes venus en force depuis la bonne ville de Mende. Donà Boulga, donà Boulie et Son Altesse, cachée là derrière.
Et toi donc ? Point d'heureux ami pour t'accompagner ?


Il sourit, taquin, de sa remarque en lui attrapant le bras pour entrer avec elles toutes pour cette cérémonie importante pour lui. Sa première sortie "officielle" depuis qu'il était devenu double baron en Gévaudan.

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- Salvaire d'Irissarri y Castelmaure, baron d'Apcher et de Randon, en Lengadòc.
Caerellyn
Godd'froy, mais que faites-vous ici mon ami. Je suis ravie de vous croiser, moi qui manquait de cavalier vous êtes embauché d'office, si nulle belle damoiselle ne vous attend bien sur.

Elle glissa doucement son bras sous le sien et s'y appuya le plus doucement possible, ses brulures se rappelaient sans cesse à elle.

Regardez mon ami comme ma fille est belle, aussi belle que malicieuse


Elle chuchota

Ce matin elle a manqué étranglé ma chambrière, je ne vous en dirais pas plus

Allons-nous saluer Sébastien ? et vous me présentez sa fiancée.
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Frah
Elle avait accepter de rester enfermer dans le carrosse pour le voyage….elle regardait au dehors…mais pourquoi Phénix lui avait interdit de galoper…trop vielle avait-il dit….non mais il allait ou la !
Pas trop vielle pour chevaucher cheveux dans le vent….rester confiner…elle rageait sur place….
Les malles qui suivaient, les gens de Cognac…ses robes….
Car pour la cérémonie, elle se devait de faire honneur aux mariés…
Mais rencontrer certain de la famille, l’as mettait mal a l’aise…

Le campement, était bien placer a l’extérieur de Paris….une fois installer….elle passa une robe digne de son rang…comme disant Phen ,de couleur bleu ciel ,un peu décolleter…juste ce qu’il fallais…des dentelles dans des tons plus clair…et comme simple bijou…une perle attacher a une chaîne….elle porta sa main dessus….cette perle…que de souvenir elle avait…dans un jardin…Frah se mit a sourire…

Ne vous en faite pas mon époux….vous savez bien qu’en général c’est vous mon soleil…
Mais cette fois cela sera les mariés…

Une fois prête, elle remonta dans le carrosse…bien sur qu’elle ne pouvait pas galoper…
Descendu avec l’aide de Phénix, elle resta à ses coté…

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*La confiance est une chose rare....*
Lotx
Encore un mariage! Mais c'est que cela n'en finissait pas, sa vie semblait se résumer à cela : bistrot, bigots, dodo. Et pour un garçonnet en pleine crise de foi(e) cette routine commençait sérieusement à devenir ennuyeuse. Pourtant il ne semblait pas qu'il avait le choix. Premièrement parce qu'il s'agissait de Cerise et que s'il avait consenti à marier des foules de demeurés il pouvait bien se permettre d'assister à la cérémonie d'une personne qu'il aimait bien. Et ensuite parce que c'était son chef qui officiait et que vu son état de présence à l’archevêché (entendez par là de présence pour autre chose que piller la cave) il était de bon ton de procéder à une séance de léchage de poulaines en bonne et due forme.
Aussi avait-il endossé l'une de ses robes de bure rose à paillettes avant de se mettre en route vers la cathédrale. Arrivé, il constata qu'effectivement, Nostre-dame c'était pas de la cathédrale de pignoufs et que ça devait bigrement les changer des maigres autels périgourdins. Si tant est qu'ils fussent encore debout d'ailleurs, n'oublions pas que Lyonnis était toujours évêque là bas. Or, si le vicaire ne connaissait absolument pas cet homme il ne faisait aucun doute qu'il s'agissait d'un abruti puisqu'il lui avait piqué sa place.
Son arrivée se voulut discrète ou tout au moins autant que cela puisse se faire lorsque l'on vêt des habits dont la teinte alliée à l'aspect monacal semble être une illustration parfaite de ce que pouvait provoquer un aveuglement divin. Et c'est ainsi que chacun put entendre un grincement de porte, un claquement de porte, le bruit caractéristique du juron (mettant en doute l’ascétisme de la sexualité d'Aristote) poussé après s'être coincé un doigt dans une porte suivi, enfin, d'un cri strident.


Salut tout l'monde, s'moi, j'suis viendu! Alors, oùquilé l'buffet?

Et le garçonnet de s’avancer en faisant coucou d'un moulinet d'une seule main.
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Authentique prêtre aristotélicien en connexion directe avec le Très Haut. Baptêmes, mariages, retour de l'être aimé en 48 heures, repousse votre belle-mère.
Darknesser
Philippe soubrit grandement à sa Chère Asphodelle quy luy avoyt respondu avecque gentillesse et dolçeur. Il se tenoyt près d'elle puys la prévint qu'il la devoyt quitter un instant afin d'aller accueillir ses parents quy arrivoyent en la Cathédrâle. Il s'avança en leur direction et les bras levés vers eux accompagné d'un grand soubz-rire leur tint à peu près ce langage :

Faistes entrance, faistes entrance, mes bons parents ... Venez ouïr et veör nostre trèsbeau Cousin tout en joyosa. Je suys bien heureulx que nos le puissions faire ensemble.

Philippe, en ces circonstances, s'inclina courtoysement à ses parents quy estoyent maintenanct à sa hauteur par respect puisque jorn officiel estoyt à l'ordre le jorn d'huy. Il les invita à rentrer pleinement dans le lieu sainct.
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Je n'imagine savoir ce que je ne sais point.
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Philippe de Plantagenêt -Darknesser IG-
Fils de Phenix Alexandre de Plantagenêt, Comte de Cognac et de Frah, Comtesse de Cognac.
Attia.
Arrivé droit de bretagne un courrier porté par un coursier arriva a l'attention des mariés.

Citation:
De
Attia des Juli
Maitre couturier
Directrice de l'atelier des Doigts d'Or

A
Messire Sebastien de Plantagenêt et
Dame Cerise de Bonnemaison

Le bonjour vous va.
Permettez moi de vous remercier pour l'invitation, que j'ai le regret ce jour de décliner me trouvant actuellement fort loin de la France, en Bretagne plus exactement.

Je vous présente mes sincères félicitations pour votre union et vous souhaite un heureux ménage et une nombreuse et vigoureuse descendance.

Veuillez accepter en présent le paquet de dentelle de Bretagne joint à la présente ainsi qu'un bon écrit de ma main, pour une tenue assortie réalisée par n'importe quelle couturière de votre choix à l'atelier des doigts d'Or.

Qu'Aristote bénisse votre mariage.

Attia des Juli.


Le coursier remit par la même occasion le paquet qui accompagnait la lettre espérant en retirer une piecette bien méritée.

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Avant j'étais Dieu... mais ça... c’était Avant.
Natale
Pour peu il aurait bien envoyé l'invitation valser, mais ce n'était pas n'importe qu'elle invitation, c'était celle de son filleul. C'est donc de bon cœur qu'il empoigna sa Dame et qu'ils se portèrent jusqu'en Paris pour un pèlerinage à Notre Dame.

Ils entrent dans le saint des saints, il scrute le paysage, l'air impavide, visiblement que du beau monde tout endimanché.
Il reconnait les Irissarri, le père qu'il avait dû croiser un jour, Sandreen, Uriel.

Il s'avance et fait donc l'accolade à son cher Sebastien. Heureux de le retrouver depuis tout ce temps.


- Toutes mes félicitations mon bon filleul, comme vous devez êtres fiers ! Tu ne sais comme je suis heureux de te revoir.

Puis, plus bas :
- N'aie crainte, il suffit de dire oui à tout ce que l'on te demandera. ... J'espère que cette union te comblera.



Passé l'entrée en Notre Dame ils s'avancent donc tranquillou dans la nef, avec à l'idée que oui, décidément, Paris est bien trop petite.
Le Marquis avance donc jusqu'à la délégation Delphino-Languedocienne :

- Tiens ! Mais n'est-ce point là le tuteur du Coms de Lauraguais ?
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number 7
Zoyah
L’invitation de la Comtesse de Lanquais était arrivée en temps et en heure. Et bien qu’elle soit occupée à préparer ses malles pour un voyage de quelques semaines, Zoyah avait fait mettre de côté une toilette pour l’occasion. Elle ne connaissait que très peu les deux futurs épousés. Elle avait croisé la ravissante Cerise une fois ou deux. La jeune comtesse lui avait semblée débordante d’énergie et d’entrain. Quant au marié, une brève entrevue à Saint-Antoine et une soirée assez amusante en taverne à deviser salami. Un couple haut en couleur pensa Zoyah, un sourire aux lèvres.
Venant régulièrement à Paris pour sa charge de poursuivante d’armes, elle occupait l’étage d’une charmante auberge située non loin de la Place de Grève. Ce jour, elle fit mander un coche pour qu’il la dépose devant le parvis de Notre-Dame. Bien que peu éloignée de l'endroit, les rues de la Capitale demeurant toujours aussi impraticables, atteindre la cathédrale prit plus de temps qu’elle ne l’avait imaginé.

Mais elle arriva à temps... ouf, l’honneur est sauf.

La jeune baronne escalada alors les marches à une allure modérée, tenant les pans de sa robe de velours bleu, assortie à ses yeux. Son choix s’était porté sur une toilette épurée dont la coupe mettait particulièrement en valeur la courbe délicate de ses épaules d’albâtres.



Les longues torsades noires qui composaient sa chevelure, étaient nouées en un savant chignon qui soulignait la finesse de son cou. Seules quelques mèches rebelles encadraient son visage ovale en de jolies ondulations de jais. Ainsi parée, Zoyah s’engouffra dans le saint édifice saluant timidement de la tête les personnes qu’elle croisait. Elle reconnue de loin quelques périgordins, Aleen, Deli et Sandreen qu’elle gratifia d’un sourire.

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Gauvhin
Gauvhin arrive enfin pour le mariage de son cousin, des salutations au Son Eminence Rehael , et les félicications aux jeunes nouveaux mariés.

Quelques soucis et des excuses fournies pour l'absence de son épouse qui devrai enfanter sous peu.

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Salvaire_d_irissarri
Salvaire, s'était arrêté tout net, à l'entrée du religieux édifice , subjugué par une vision de rêve :
Macarenà ! Qu'elle est belle ! Et quel excellent choix que ce bleu ! Et ces épaules ! Et ce cou ! Plan segur que cette donà doit être femme de goùt ! Il faut absolument que je demande à Sebastien qu'il me la présente... Pécaïre ! Quel beau couple nous ferions tous les deux !

Lorsqu'il se fit interpeller
Natale a écrit:
Le Marquis avance donc jusqu'à la délégation Delphino-Languedocienne :
- Tiens ! Mais n'est-ce point là le tuteur du Coms de Lauraguais ?

Il avait encore dans les yeux la lueur de l'éblouissement qu'il venait de ressentir. Il rentra donc, mentalement, sa langue qui pendait presque jusqu'au sol et s'empressa vers Natale pour se secouer l'esprit :
Té ! Pardine, j'aurais bien dû songer que nous nous trouverions ici pour les épousailles de notre ami. Alors, cossi va pour toi ? Je me suis laissé dire que tu accumulais titres et honneurs ?

Le bel et blond sourit benoitement : Parait même qu'il se discute une loi à la curie qui porterait ton nom ! Par ma foy, quitter Tolosa t'as fait le plus grand bien à toi aussi !

Il éclata de rire et dans un mouvement sincère et spontané : Vaï ! Embrassons-nous, mon ami, pour célébrer nos retrouvailles !
Il l'étreignit un bref instant. Point trop n'en faut non plus ! Déja qu'il avait encore du mal à se remettre des us du Lengadòc et de ce baiser sur la bouche qui scellait par là-bas, les serments ! Tsss ! Il reprit sourire avenant pour les présentations d'usage :

Mes boubous ! Voyez donc, que je vous présente : Mon ami Natale, que j'ai connu - entre autres- en Tolosa - 'Fin je ne vous donne point tous ses titres, s'pas ? il en fait collection.

Et à Natale : donà Boulie, la gouvernante de son Altesse Franc Claude Volpone, qui se fait bien timide pour l'heure (et le joueur est absent momentanèment - pas la peine de le chercher ^^) et la donà Boulga, intendante de mes terres en Gévaudan.
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- Salvaire d'Irissarri y Castelmaure, baron d'Apcher et de Randon, en Lengadòc.
Oxyane
La jeune femme patientait, restait souvent fixer les nobles qui se pavanaient dans leurs beaux vetements, et esquissa une moue légèrement dégoutée. Il fallait qu'elle pense a Cerise, car rien d'autre ne la retenait là. Rester calme. Froide. Voilà ce qu'il fallait qu'elle fasse. Se contenir.Toujours. Meme si le dégout s'accentuait au fur et à mesure qu'elle voyait certaines personnes.

La jeune femme resta dans l'ombre, regard moqueur sur le "bal" des nobles.
Rester, etre là, meme dans l'ombre, pour Cerise. Repartir après...
Alenyah
Quatre jours de route, sous un soleil de printemps qui illuminait les paysages et réveillait la nature partout où passait la voiture. Même les gens avaient l'air de relativement bonne humeur, à tel point qu'elle n'avait eu aucun soucis à trouver hébergement chez l'habitant, privilégiant les déplacements les plus longs possibles du lever au coucher du soleil. Au côté mondain, elle avait toujours préféré les contacts humains et la simplicité des gens de la terre. Depuis toute petite, d'ailleurs, où il lui arrivait de disparaître des journées entières pour aller rejoindre les "gens" de son père et cueillir avec eux le raisin, nourrir le bétail ou apprendre l'alphabet à leurs enfants.

Elle avait peu de contact avec la famille finalement. Elle en était responsable, puisqu'elle fuyait les mondanités comme la peste. Mais le mariage de Sébastien lui tenait à coeur. Même s'ils s'étaient perdus de vue depuis son départ de Toulouse, il n'en restait pas moins le cousin dont elle se sentait la plus proche et quand l'invitation aux noces lui était parvenue, elle s'était réjouie de le revoir enfin et surtout, de le savoir finalement heureux.

Après une nuit au sein d'une auberge plus cossue de la capitale, elle arriva sur le parvis de la cathédrale, inondé de soleil et alors que les cloches carillonnaient, emplissant l'air de sonorités joyeuses : le mariage d'un Plantagenêt ne passerait pas inaperçu en la capitale.

Elle se dirigea vers un groupe de personnes dont plusieurs ne lui étaient pas inconnues. Peut-être toutes ces personnes ne la reconnaitraient-elle pas... Elle salua son cousin Gauvhin, le dernier marié en date dans la famille, ainsi que la mère de celui-ci,, sa tante Icie et l'officiant, Son Eminence Rehael, qu'elle avait croisé à plusieurs reprises. Il aurait sans doute du mal à se souvenir qu'elle était la fille de Clémence ... mais tout cela avait finalement peu d'importance. A chacun elle murmura un petit mot en toute discrétion, ne voulant pas accaparer leur attention...


Quel plaisir de vous revoir Gauvhin. J'espère que votre épouse se porte bien ...

Chère Tante Icie, vous avez une mine splendide ...

Eminence, je suis heureuse de vous revoir ...


Plus loin, elle aperçut sa soeur et sa nièce, toujours vêtues de tenues splendides. Alenyah préférait la simplicité et portait pour ce jour, une robe de soie jaune pâle qui mettait en valeur sa longue chevelure brune qui flottait sur ses épaules, retenue par un fin diadème de perles assorti à son collier et ses boucles d'oreilles. Un châle vert lui couvrait les épaules, et pour une fois, peut-être la première fois depuis longtemps, elle se sentait à sa place en cet endroit. Elle se hissa sur la pointe des pieds et tenta d'apercevoir son cher cousin ...

Sebastien
{Reclus, dans une petite Chapelle juxtaposée à Nostre-Dame}


Il est agenouillé sur un "prie-Dieu", face à la Croix de Christos.
Sébastien a les doigts croisés et le chef légèrement incliné vers le sol, yeux clos.
Non il ne dort pas ! Il médite, il converse avec le Très Haut par l'esprit.
Il souhaite que cette journée soit marquée de bienveillance et ouvre un avenir radieux aux côtés de sa future femme.

Le Plantagenêt sait, au plus profond de lui, qu'il s'agit de cette promise, Cerise, destinée à passer la vie auprès de luy.
Sa décision fut à la fois rapide et mûrement réfléchie.
Son cœur et sa raison ont rendu le verdict unanimement.

Bien sûr qu'il est anxieux, bien sûr qu'intérieurement il n'est pas aussi fort et robuste qu'il veut paraitre extérieurement.
Mais il ne doute pas. Il ne reculera devant rien ni personne et prononcera son "Oui" avec conviction et émotion.

Sera-t-il de mêsme de son côté à Elle ?
Depuis leur rencontre, elle lui prouve ne serait-ce que par son regard, combien elle partage son sentiment.
Une fin, autre qu'heureuse, n'est donc poinct envisageable !

...

Le jeune Vicomte ouvre doucement les yeux et se signe.
Il se relève et vérifie avec grand soin que sa belle tenue de Marié ne soit poinct salie ou froissée.

Un léger brouhaha se faict entendre depuis l'intérieur de la Cathédrale.
A en juger par le bruit, une foule d'invités semble avoir répondu favorable à l'invitation.
Cette journée ne peut que s'annoncer sous les meilleurs auspices donc !

Main gantée sur la poignée, Sébastien ouvre la porte de la petite Chapelle en inspirant et expirant lentement..
La pression n'a jamais était aussy pesante en luy.
Mais il surmontera toutes les épreuves en songeant à sa future épouse.

Roustam, son homme de confiance depuis toujours, l'attends au pas de la porte, veillant sur son Maître tel un avare qui veille sur ses écus !
Le Géant Oriental, ne dit mots comme d'habitude et présente la couronne appartenant à son jeune Seigneur.
Ce dernier la prend avec délicatesse et la pose sur sa tête.

Alors ? Comment suis-je .. ? s'en inquiète le futur Marié auprès de son confident du moment.

Et le Mamelouk robuste qui acquiesce, mettant pour une fois son air glacial de côté, et offrant son premier sourire à son Maître, le rassurant de ce fait.


{Le Marié faict son entrée dans Nostre Dame !}




Il est temps.
Roustam s'efface, gardant un œil lointain mais aguerri sur son Maître.
Sébastien, luy, s'avance d'un pas tranquille, stature droite et élégante.
Son regard évite de trop dériver, mais à chaque visage qu'il croise, il leur adresse un petit sourire mêlant courtoisie et reconnaissance pour la présence de tous.

Il s'arrête en chemin pour prendre le temps de saluer avec chaleur et émotion les proches qui lui présente d'ors et déjà les vœux.
La présence de ses amis, de sa famille, lui procure un soulagement et un plaisir qui se reflète sur son jeune visage.
Un Page lui remet également un pli, rédigé par la Divine Attia qui ne peut hélas être présente..
Enfin si elle l'est quelque part, puisque Sébastien à l'insigne honneur de porter moultes tenues confectionnées par les propres mains de la plus talentueuse et reconnue des Couturières du Royaume, dont la tenue de Mariage. Là encore, pure chef-d'œuvre de la Des Juli.

Le Marié, dans ses plus beaux apparats, présente son bras à sa chère Tante Icie afin qu'elle l'accompagne au devant de l'Autel pour rejoindre l'officiant son Éminence Rehael,
A qui, Sébastien offre un regard empli de gratitude.

La cérémonie va pouvoir enfin débuter ! Les retardataires ont intérêt à faire fissa-fissa !

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Robiin.descharmilles
Robiin..qui ce trouver loin du Pa..reçus un courier..surpris tout de meme
un courier de Ceris. il le lisa..et ces avec un grand sourire qui le liser et pris route direction paris..premiere fois qu il doit si rejoindre.
robiin qui voyager seule..Depuis un moment il chevaucha a grand galop
.

Une fois a paris.

Robiin arrivé dans l entrer de la ville,il calma son allure ..et ces au pas qu il visité la ville,il demanda son chemin pour trouver notres dame.
il sarrette dans une auberge ou il ce lava , s habilla d un petit costume discret tout de même il compter pas ce faire voire. il arriva devant les porte de notres dames..et rentra doucement le marier rentrer..ce dit norff je suis en retard..voyant des personnes ce tourner..il passé discrètement le long de la porte..et s installa dans le fond de nôtres Dames



Ps j es eu l invitation en retard faut fâché jd Cerise :p^^ )
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