Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 5, 6, 7, ..., 9, 10, 11   >   >>

[RP] Hymen fleuri de Sébastien de Plantagenêt et sa Griotte

Morganenn
Un homme dont le visage ne lui était pas inconnu s'approcha de sa mère, ses neuronnes se connectèent dans son cerveau et...

-Oh bonjour messir goddefroy ! vous connaissez les mariés ?

Mais pas le temps de faire un brin de causette, rehael comme piqué par une mouche se dirigea vers l'autel et ouvrit la cérémonie. La rousse prit donc place au milieu des convives, plus loin elle apercue sa marraine alenyah et lui fit un signe de la main, cela fesait tellement de temps qu'elle ne l'avait vu !
S'appretant a entonner la prière une main lui tapota l'épaule, comme elle ne s'y attendait pas elle se retourna vivement pris la main de l'inconnu et l'immobilisa quand elle s'appercu qu'il s'agissait simplement d'un valet aux armes de son cousin de surcroit elle relacha la pression et attendis qu'il parle

il dit alors tout bas :

-La comtesse de lanquais vous demande elle un gros soucis avec sa robe de mariée...
-Euuuh...moi je veux bien mais je peux l'aider en quoi ?
-Comme vous travaillez dans un atelier de couture, il faudrait que vous fassiez de toute urgence une robe pour la mariée-Nan mais elle est givrée ! rhaaa si la cérémonie prend du retard...rehael y vas pas aimer !

Furtivement elle sortit de la cathédrale et se rendit dans les appartements de la comtesse...

-Bonjour ! Je suis morganenn de plantagenet-chéroy...apprentie couturière...Vous êtes complétement marbrée ! la messe vient de commencer ! Bon...bon... vous aimez quoi comme type de robe ?
_________________
Darkange
La petite blonde resta pres de sa grandeur icie de plantagenet, etans sa dame de compagnie, ca place etait pres d'elle, la cérémonie allait commencer et il y avait tans de monde que la puce fut un peu perdu...
Ses azures defilairent sur les different visage present, mais aucun ne se fit reconnaitre , enfaite elle ne les avait tout betement jamais rencontré...
Un soupire mal a l'aise

-"Madame? desirez vous quelque chose?"

elle essayait de se rendre utile, comme a son habitude... Elle n'aimait pas faire decors la blondinette! Elle regarda partout, puis l'homme d'eglise demanda le credo... Elle le recita donc.

-"Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN"
Sandreen
Citation:
Alors jolie brunette, on est venue s'encanailler à la capitale de notre beau royaume.
Dis, tu saurais pas où est ma filleule, elle est censée être dans le coin, à moins qu'elle soit près du joli fruit...


ho ! une vindic dans la place ! enfin dans la cathédrale et qui lui dit des mots doux à l'oreille en plus ! Bah oui la voix de Pattouille ça se reconnait entre mille, meme pas elle tourne la tete la Sandreen que déjà elle sourit un peu mutine

Rho mais arrêtes Patt ! On va croire que tu me dragues !
Comment veux tu trouver un mari dans ces conditions ?


rit de bon coeur à sa blague d'un gout heu ...oui bon ! plus que douteux

ta filleule ? bin non pas vu

et de regarder à droite et à gauche, ajoute en pouffant

Tu veux pas Mundi pour la remplacer plutot ?
regardes il est la bas !


de faire un petit signe discret de la main au sarladais
Robiin.descharmilles
robiin qui était présent..mais discret devant toute l agitation, il fit des sourire a qui en demandé et des bonjour a ce qui passé prés de lui.
et la il entendis des paroles qu'il lui rappel son enfance le credo ! pensa a son père et on nombre de fois qui lui faisait récité.. robin sourire et joignis un peut les main et récita doucement



Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


un petite sourire..il était heureux d être la et compter parmi des amies de Cerise.. après tout ce temps qu'il as pas remis les pied en Pa.
_________________
Caerellyn
Elle avait oublié depuis longtemps ce que pouvait ressentir une femme à qui l'on faisait des compliments , compliments assortis d'un regard étoilé.
Elle s'étonna, une minuscule seconde puis accueilli avec joie la douce chaleur qui l'emplissait.

Mais, .... cela lui était encore refusé.

Elle se pencha vers Goddfroy, souriante :


Voyons mon ami, il s'agit pour l'instant de réciter avec la ferveur voulu le Crédo et cessez donc de me regarder avec ces yeux là, je vais bafouiller, ce qui serait d'une honteuse inconvenance. Ceci dit, vous avez raison ma fille est splendide et point car il s'agit de ma fille, que nenni.

Regard à peine malicieux, peut être un soupçon de tendresse, qui eut pu le dire ?

Elle baissa la tête et récita avec l'assemblée.



_________________
Nahysse
[Quand j’étais sur la route…]

Le voyage en voiture fut une vraie torture. Bien plus que d’habitude. Le silence avait régné en maître mis à part l’échange de quelques futilités de base.
Nahysse lança un regard à la dérobée en direction de Meileen qui l’accompagnait en tant que sa dame de compagnie mais finalement elle jouait surtout le rôle de chaperon. C’était vraiment embarrassant pour la petite baronne. Son regard dériva sur le bel Euzen qui l’accompagnait en tant que cavalier.
Elle aurait voulu qu’ils soient seuls. Elle aurait voulu qu’ils aient plus d’intimité, là, en cet instant tandis que la lumière déclinant se reflétait dans sa chevelure blonde. Quand ses yeux, verrons à leur façon, se tournèrent vers elle, la petite blonde ne put soutenir son regard de peur qu’il devine ses pensées coupables. Ses azurs se portèrent sur le paysage défilant tandis qu’une sourde angoisse lui vrillait l’estomac. Comme le papillon elle aimait à s’approcher de la flamme d’une bougie mais voilà, elle était en train de se brûler.
C’était la première fois qu’elle se sentait si bien en compagnie d’un homme mais voilà, cela aurait forcément une fin. Elle le savait, il le savait et pourtant…
Mais peut-être que lui saurait mieux gérer demain qu’elle car… Enfin… Même à elle-même elle avait du mal à se l’avouer mais… Elle s’attachait à lui. Et c’était là la source de son angoisse. Elle n’était pas le genre de personne à s’attacher à qui que ce soit et lui non plus d’ailleurs alors il lui fallait se reprendre.
Mais hélas, la petite blonde n’était qu’un être faible. C’était une évidence car elle n’arrivait pas à trouver le courage de cesser de communiquer avec lui, d’échanger des courriers et de le voir quand cela lui était possible.
Et c’est ainsi que se déroula le voyage, la mine sombre et pensive, Nahysse ne décrocha que quelques mots quand cela était utile.


[Appartements privés de Nahysse sur Paris]


Enfin arrivés !

Nahysse retrouvait ses appartements de fonction. Ils logeraient là le temps de leur séjour sur Paris. C’était petit. Elle n’avait qu’une chambre en plus de la sienne et elle serait dévolue à Meileen.
Son personnel avait préparé les chambres ainsi que le petit salon dans lequel allait dormir Euzen. Dans un coin, des coussins et oreillers étaient empilés avec des couvertures de laine et de soie. Un vrai petit nid douillet rien que pour le bel Euzen.
Un baquet rempli d’eau chaude patientait près de la cheminée avec pour compagnie une chaise sur laquelle était posée une serviette et deux cruches d’eau froide afin de régler la température de l’eau.
La même chose dans les chambres attendait les jeunes femmes afin que chacun puisse se baigner avant de se préparer pour se rendre au mariage.
Chacun prit donc son paquetage et s’enferma afin de trouver toute l’intimité nécessaire à ses ablutions.
Nahysse resta derrière la porte de sa chambre. La tête appuyée contre celle-ci, elle enfonçait ses ongles dans le bois. Le cœur battant, elle se mordit la lèvre inférieure.

Pouvait-elle ? Oserait-elle ?

N’ tenant plus, elle retira lentement la clé de sa porte et colla son œil contre la serrure. Il n’était pas là. Elle ne le voyait pas. C’était encore plus frustrant. D’où elle était, elle ne voyait qu’une partie du baquet. Soit il n’était pas encore dedans soit c’était le côté où se trouvaient ses pieds.
Discrètement, elle remit la clé dans la serrure et soupira.
Elle entreprit alors de défaire ses affaires puis de se déshabiller et là, ce fut le drame !
Il ne lui restait plus que sa chemise et son corsage à retirer mais voilà, le corsage ne voulait pas se défaire. Il était bien trop serré et ses petits doigts s’abimaient dessus sans effet.
La patience ne faisant pas parti de ses qualités, la petite blonde commença à s’énerver, à gronder et faire de grand geste tandis qu’elle tournait sur elle-même. C’est alors que ses jambes buttèrent contre un objet qui lui fit perdre l’équilibre. Son petit corps bascula en arrière. Durant quelques secondes de battement de bras, il resta en équilibre avant de s’effondrer… dans le bain d’eau bouillante !
Déclenchant ainsi un tsunami qui se répandit sur le tapis au sol tandis que la chaise se renversait et les cruches d’eau froide aussi. Le baquet, sous le poids de l’eau et de la blonde bascula, oscilla renversant encore plus d’eau puis finit par retrouver son équilibre et s’immobilisa. La petite baronne trempée et coincée en travers au fond du baquet, cessa d’hurler.
C’est ce moment que choisirent Meileen et Euzen pour entre en trombe dans sa chambre. Leur inquiétude céda très vite la place à l’hilarité et Nahysse se sentit bien bête. Comment savoir de la honte ou de l’eau chaude, laquelle était à l’origine du rouge qui envahit tout son corps, ses joues et ses oreilles.
Après moult tortillements, la petite baronne finit par réussir à se sortir du baquet. Réalisant sa pseudo-nudité, d’une petite main, elle resserra le corsage sur sa poitrine. Bien maigre tentative puisque sa chemise mouillée ne laissait aucune place à l’imagination.
Rouge écrevisse, à cause de l’eau, à cause de la honte, à cause de la colère, elle finit par les mettre dehors non sans une petite pointe d’amusement au regard que lui lança le bel Euzen.
Finalement, elle n’avait perdu que trop de temps et déjà elle se savait en retard. Elle laissa là les ablutions et entreprit de changer de tenue. Elle enfila sa robe de soie bleu clair aux coutures dorées.
Quelques gouttes d’essence de rose au creux de la gorge et elle rejoignit ses deux compagnons qui l’attendaient dans le petit salon.


[Notre Dame]

Aucune personne en vue sur le parvis, cela ne voulait dire qu’une seule chose : la cérémonie avait débutée. Ils étaient en retard et pas qu’un peu. La petite blonde fit la moue. Sa mère allait encore lui servir un serment pour cela. Et quand elle verrait qu’Euzen était son cavalier…

Pouah ! Mieux valait ne pas y penser ou sa journée serait fichue avant de n’avoir vraiment commencé.

La petite baronne courut vers la porte qu’elle ouvrit lentement et entra sur la pointe des pieds. Tous récitaient le credo.

Ouf ! Ce n’est que le début !

Ils n’avaient pas manqué grand-chose, aussi, Meileen et Euzen sur ses talons, elle les guida jusque vers les premiers rangs du côté de la famille du marié. Le marié était un cousin qu’elle connaissait à peine mais voilà, elle faisait partie de la proche famille alors placement oblige, il fallait s’approcher. Ce n’était pas vraiment l’idéal pour être discret mais bon.
Ses azurs croisèrent le regard de sa mère.

Gloups !

Oui, elle allait se prendre un savon !

_________________
Icie
Paroles rituelles répétées chaque jour avec plus ou moins de ferveur suivant les préoccupations. Etre humain s'était aussi avoir des faiblesses, heureusement d'ailleurs, les indulgences réparaient ces petits maux.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

..........


Tout en récitant le Credo, la comtesse vit arriver sa fille.

AMEN

Conclue t elle un peu plus sechement qu'elle ne l'aurai voulu. Elle nota le retard et l'air détaché de sa fille. Froncement de sourcil qui voulait dire tout autant:

C'est à cette heure ci que vous arrivez?
que
Qui est ce jeune homme? Il ne m a pas été présenté. C'est quoi ce défilé!

Vraiment, il était plus que temps de trouver un mari à sa fille.

_________________
Paix à nos amis disparus! Trop nombreux hélas........
Camille.
Et voilà! Mère Camille se glisse discrètement dans l'église pour assister au mariage. toute occupée à songer à une amie au plus mal, elle n'a pas vu les gens se diriger vers la nef. Heureusement, l'office commence juste, les derniers arrivés s'installent et l'abbesse se dirige d'un pas pressé vers les bancs des clercs.



Respirant profondément, elle assiste au début de l'office mené comme toujours de main de maître par son Eminence Rehael, et c'est avec toujours le même plaisir qu'elle récite de concert avec les fidèles le Credo.







Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN!
Celtic_de_vandimion
En retard...
Incroyable, il était en retard au mariage de son amie.
Roderick sauta du carrosse avant même qu'il ne fut arrêté.
Il se précipita sur le parvis encombré de gueux, et, s’arrêtant brusquement devant la grande porte, épousseta son pourpoint, se redonnant une contenance.
Il entra et se signa dés l'entrée posant un genou sur la pierre froide et lissée par le temps.
l'officiant récitait déjà le credo.
Il se releva, avançât silencieusement dans l'allée principale et se rapprocha de l'autel.
Le marié était en place mais point de Cerise.
Roderick discrètement se coula sur une place vide et entama la prière.



Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


Un rapide coup d'oeuil lui fit remarquer des visages croisés ici et là .
La tension provoquée par le retard se dissipa et le Celt sentit la sérénité du lieu sacré l'envahir doucement.

_________________
Euzen
[… Toute la sainte journée]*

Une voiture… Encore. Si au moins ils avaient eu les avantages qui avaient été les leurs lors de le voyage vers les Ferrassières … N’être qu’à deux dans un espace aussi réduit présentait quelques avantages … Mais être trois, changeait tout de suite la donne et les intérêts que pouvait présenter le voyage. Il fallait donc faire l’effort d’en trouver d’autre…
Lui en trouva un, au travers de la jeune dame de compagnie de la jolie Muse. Seule brune du convoi et, accessoirement, l’une de ces cousines à une degré plus ou moins rapproché, il n’avait jamais vraiment eu l’occasion de la connaitre. La famille était tellement vaste qu’ils étaient capables d’en découvrir de nouveau membre chaque jour. Jamais eu l’occasion de la connaitre ? La conscience du jeune Navailles se rappela à son bon vouloir en faisant resurgir dans sa mémoire les souvenir d’un certain bal d’hiver. Il est vrai qu’il n’avait pas montré beaucoup d’attention à Meileen ce soir-là, son intérêt étant totalement centré sur une autre jeune femme qu’il venait de rencontrer…

Amusé, il jeta un petit coup d’œil à la jeune baronne mais à son grand damne, elle les détourna… Pourquoi ? Quelques chose l’avait-elle contrarié ? Il verrait pour l’interroger plus tard…

En attendant, il reporta son attention sur leur chaperon du jour. Que faire pour se montrer aimable ? Sourire déjà… Voilà qui est fait. Et que faire pour engager la conversation ? Bonne question. Un instant, il fut tenté de demander des nouvelles de l’ainée de la brune. Mais finalement, il se ravisa. Entendre une nouvelle fois qu’elle couler le parfait amour avec le plus imposant des idiots… Très peu au gout du Navailles. Mais que raconter alors ? Malone était le seul vrai lien qu’ils avaient. Finalement, c’est du côté professionnel qu’il trouva la diversion.


Dites moi Meileen, Nahysse ne vous en fait pas trop voir quand le choix de ces tenues est à l’ordre du jour ?

Il connaissait la passion de la jeune blonde pour la mode. Elle était coquette et ce n’était pas pour lui déplaire. Mais cette question n’avait pas eu pour seule but d’engager la conversation avec la brune. Non, en la posant, il avait espéré une réaction de sa Muse qu’il guettait du coin de l’œil. Elle était beaucoup trop silencieuse à son gout. Trop songeuse aussi … Et s’il devait la faire râler pour la faire sortir de sa léthargie… Eh bien soit ! Il ne l’aurait surement jamais avouer le Montabazon, mais il détestait là voir ainsi… Elle était tellement plus belle avec un fin sourire sur les lèvres, les yeux pétillant ou une moue boudeuse que le visage… Non décidément, il faudra qu’il la déride !

[Tout commence à Paris]**

Et se fut peine perdu ! La jeune baronne ne retrouva pas sa bonne humeur. Mais qu’avait-elle bon sang ? Mystère… Ah les femmes !

Rapidement, bagages et effets personnels furent montés dans l’appartement qu’ils occuperaient. Petit mais coquet. Un simple coup d’œil au lieu appris au Corniaud qu’il dormirait dans le salon. Il n’allait pas s’en plaindre, il avait connu bien pire. Mais ce qu’il retient très vite son attention fut que Meilenn ne dormait pas dans la même chambre que Nahysse et le salon était le point de connexion entre les deux pièces… A moins qu’une porte ne les relies directement … Mais qui disait porte, disait serrure et donc clefs. Avait-il le droit d’espérer que la jeune baronne ne ferme pas la sienne mais que celle de connexion… si elle existait… elle serait verrouillé ? La question toujours à l’esprit, son regard ne quitta pas le dos de la jolie blonde quand elle s’isola.

Espoir, espoir quand tu nous tiens …

Mais une fois la porte refermée, il ne fut pas long à se dévêtir et le couler dans le baquet. L’eau chaude eut au moins la propriété de délier ces muscles tendus par la fatigue du voyage et la tension qui y avait régnait. Il s’y serait volontiers endormi. Mais son imagination ne fut pas de cet avis… Elle ne fut pas longue à lui imposé les images d’une certaine blonde dans la même position que lui, enflammant ainsi ces sens. Y était-elle déjà ? Les yeux fermaient, des paupières se remplir d’eau savonneuse et de peau dénudée alors qu’il imaginait la caresse de cet épiderme sous ces doigts. Il commencerait par les poser sur ces épaules, pour ne pas la surprendre, l’habituer, la rassurer. Puis lentement, ces gestes descendraient vers son buste galbé pour venir l’effleurer, les agacer … L’amadouer… Avant de…

Stop !

Dans un mouvement rageur, il sortit du baquet et passa une serviette autour de ces hanches. Il devait se calmer, s’éclaircir les idées. Il s’approcha des cruches et, à l’aide de ces mains misent en coupe, s’aspergea le visage d’eau froide. Lentement, il inspira. Il devait se calmer… Et pour cela, plusieurs minutes furent nécessaires. Alors seulement il commença à se vêtir. Et il venait juste de passer ces braies quand un grand bruit et des cris se firent entendre depuis la chambre de la baronne. Qu’est-ce que… ? Sans attendre et sans réfléchir, il s’y précipita. Plus tard, quand l’adrénaline serait retombé, il noterait que la jeune fille n’avait pas fermé sa porte à clef pour un bain, il y avait donc de grande chance qu’elle ne le fasse pas pour dormir … Intéressant. Mais pour l’heure, l’inquiétude l’avait pris et suivit de prêt par sa cousine, il pénétra dans la première chambre.

Et le spectacle qui s’offrit à lui ne mit qu’une demi-seconde à réveiller ces ardeurs. Comment aurait-il pu en être autrement ? Pourtant, il préféra en rire. Pour ne rien montrer, se dissimuler. Galant, il l’aida à s’extirper de l’étau qu’était devenu le baquet, mais lâcha sa main dès qu’elle fut sur pied et il se tient à distance… Un centimètre de plus et il ne résisterait pas à l’envie de la serrer contre lui. Une écurie… Des souvenirs… Très vite, il sortit de la pièce. Mais non sans un regard sur la jeune femme. Qui avait-il de plus érotique sur une femme que l’on désir qu’une chemise devenue quasiment transparente à cause de l’humidité ? Pas grand-chose …

Il devait sortir …


[Dans la cathédrale qui abriterait un bossu]***

Heureusement pour lui et ces nerfs, le départ s’annonça vite, mais ils ne furent pas assez rapides. Alors, se fut à pas de loup qu’ils entrèrent dans le lieu. Accompagné de deux femmes, il fut bien sur le dernier à y pénétrer, refermant la porte aussi doucement que possible derrière lui. Mais les portes de Notre Dame de Paris ne sont pas si différentes de toutes les portes d’église du royaume : Elles crissent. A les entendre, les paroles d’un marin revinrent à l’esprit du jeune homme : Les femmes délaissé sont comme les portes d’églises, quand on tente de les ouvrir, ça grince ! Pensée bien mal placé pour un tel lieu et un tel moment. Pourtant, cela fit revenir le sourire sur le visage du Corniaud. Entre temps, il avait suivi la baronne et sa cousine jusque dans les premiers rangs. La poisse ! Ainsi placé, il ne pourrait même pas s’occuper durant la cérémonie en taquinant celle qu’il convoitait… Ou alors, il devra être plus discret que prévu.

Les convives en étaient au crédo, alors pour rapidement rattraper le fil, il en récita la fin.


"…
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible,
En la communion des Saints,
En la rémission des pêchés,
En la Vie éternelle,

Amen."


Main qui se croise dans le dos, attention qui se braque sur les mariés. Il ne fut pas au fait de l’échange visuel mère/fille… Et ne n’était peut-être pas un mal… Mais il ne résista pourtant pas à la tentation et se pencha à l’oreille de sa Muse.

"Je ne vois pas de chaine … Votre cousin doit-être fou pour être ou il est de sa propre volonté…"

Non, ce n’était un secret pour personne : Le Montbazon junior était farouchement opposer au mariage.

*Parole d’une chanson de Guérald de Palmas : Sur la route
**Citation de Nancy Spain
***Référence à l’œuvre de Victor Hugo : Notre Dame de Paris

_________________
Meileen
[... Je n'ai pas vu le doute...]

Le doute oui. Le doute qu'elle soit bien à sa place dans cette voiture, la petite brune ! Il lui suffisait d'observer Nahysse et Euzen se lancer des regards furtifs, puis baisser les yeux dès qu'ils étaient démasqués. Mais même en fermant les yeux elle pouvait sentir leur attirance mutuelle.
Parfois, un peu gênée, elle regardait par la fenêtre le défilé des paysages, parfois elle se raclait la gorge ou plissait sa robe qui n'avait pas besoin de l'être... plissée. Elle était partagée entre l'envie furieuse d'être ailleurs, tellement agacée par leur petit jeu, et à la fois le soulagement de se savoir ici à les surveiller. Elle avait toujours un peu jalousé Nahysse de la voir si prompt à attirer le regard des hommes et d'avoir si facilement mis le grappin sur son cousin. Cousin qu'elle connaissait à peine, mais il suffisait de porter le nom de Montbazon-Navailles pour vous assurer l'attachement de Meileen... Et qui dit attachement, dit possessivité. Euzen était son cousin, gare à celles qui l'approchaient...


Dites moi Meileen, Nahysse ne vous en fait pas trop voir quand le choix de ces tenues est à l’ordre du jour ?

Meileen se tourna vers lui et lui rendit son sourire avant de jeter un oeil à Nahysse pour voir sa réaction.
Elle avait compris le côté taquin de la question, mais n'avait pas l'intention d'en rajouter une couche à la blonde.


La baronne est pointilleuse dans ce domaine, mais elle a raison de l'être. L'apparence est chose importante lorsque l'on cotoie des gens hauts placés.

Elle tenta de continuer à faire la discussion jusqu'à la fin du voyage...



[Paris... Paris...]

A peine arrivés qu'il leur fallait se dépêcher de se préparer pour aller aux noces. Nahysse et Meileen décidèrent donc d'un commun accord que la baronne se débrouillerait pour se dévêtir, se baigner puis s'habiller, la brune n'aurait sans doute pas le temps de lui venir en aide. Pourtant, elle décida de faire aussi vite que possible pour retourner auprès de la jeune blonde. A peine la porte refermée que sa robe se retrouva au sol et qu'elle sauta dans le baquet. Elle se frotta énergiquement et en ressortit très vite pour s'habiller.

A peine avait-elle lassé sa robe qu'un brouhaha inquiétant la fit se précipiter dans le salon. Euzen avait déjà ouvert la porte de la chambre de Nahysse et elle le rejoignit. Elle tenta de cacher son rire pour ne pas vexer la baronne puis dans un cris, alors qu'elle s'apercevait de sa tenue indécente devant le cousin, elle sauta d'abord sur un drap, puis que Nahysse pour la cacher des yeux du seul mâle de la pièce !

Le Montbazon quitta la chambre sous le regard noir de Meileen qui aida Nahysse à se préparer.




[Lieu Saint]

Meileen suivit Nahysse jusqu'aux bancs réservés à la famille. Elle tenta de s’asseoir entre les deux tourtereaux mais fut devancée par Euzen qui pris place aux côtés de la blonde, la reléguant au bout du banc...

La cérémonie promettait d'être longue...

_________________
Cassandre_louna
La cérémonie commença et la pucelle ouvrit ses grands yeux vert pour chercher la mariée, toujours pas la " roooooo dommage" pensa t'elle . Elle se signa, assise seul dans son coin à coté de sa chaperonne et commença la prière .
Elle fut quelques peu distraite par le/les retardèrent, sourire en coin , pour une fois c'était pas elle qui était à la bourre !! Mais elle continua la prière dans lieu sacré


Citation:

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN

_________________
Darknesser
Philippe quy estoyt très solennel gardant très fermement en main ses feuillets desquels on ne pouvoyt guère voyr ce quy s'y trouvoyt puisque le costé escript estoyt contre le torse de son porteur. Il récita alors à voix basse le texte ne trainant poinct :

Citation:
"Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN!"

_________________
Je n'imagine savoir ce que je ne sais point.
__
Philippe de Plantagenêt -Darknesser IG-
Fils de Phenix Alexandre de Plantagenêt, Comte de Cognac et de Frah, Comtesse de Cognac.
Zoyah
Mais où poser son popotin ?
Voici ce qui tracassait la ravissante baronne, ses yeux lagons balayant la nef à la recherche d'un banc, lorsqu'une faible agitation lui fit tourner la tête. Son regard tomba sur un groupe de nobles et un jeune homme blond qui semblait la dévisager. Elle le détailla subrepticement, peut-être l'avait-elle déjà croisé en d'autres lieux, mais son visage demeura inconnu. Une moue perplexe flotta sur son visage le temps qu'elle s'interroge sur la raison de ce regard appuyé... misère, avait-elle pris des formes disgracieuses ? … impossible, elle avait perdu l’appétit quelques temps en raison de quoi elle affichait une taille de guêpe. Sa robe était-elle mal positionnée ? .. rapidement, elle passa une main sur ses fesses qu'elle frôla juste assez pour vérifier que ladite robe couvrait bien l'essentiel. Geste inutile car le bas de l'étoffe caressait le sol à chacun de ses pas.

Remise de sa petite frayeur, elle avisa un banc, ni trop près, ni trop loin de l'autel. Après tout, les premières rangées étant réservées à la famille puis aux amis, elle se trouvait très bien un peu derrière. Et la brune de patienter gentiment et de s'interroger une nouvelle fois. Ciel, mais où est la mariée ?

La question semblait être sur toutes les bouches alors que la cérémonie commençait. On déclamait le crédo et la baronne avait beau tirer sur son cou, se pencher à droite, se pencher à gauche.... point de Griotte?!
Le futur époux était bien là... élégant, un brin fermé sur lui même... planté devant l'autel mais toujours pas de Cerise à l'horizon. Mince, c'est vraiment la guigne !

La comtesse devait avoir un peu le trac en conclut la jeune femme qui entonna à la suite des autre le credo.



Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

_________________
Altaiir
Durant une journée ensoleillée où la belle saison se ressentait par le réchauffement des terres, un léger vent frais s'immisça malgré tout jusque devant la demeure du ténébreux Auditore, grâce à la couche grisâtre qui vint voiler de moitié son altesse dorée.
C'est devant son bureau que reposait l'altarien, légèrement distrait devant une liasse de missives éparpillées un peu partout sur le pupitre, dans lesquelles les iris d'ordinaire azurés de leur plus belle éclat, étaient cette fois plus figés et glacials, une paire de gris comme on dit.

Et dans cette exaltante vagabondance une pensée rangée de côté dégringola de l'imposante structure bibliothécaire comme un livre frappant le sol et rompant le silence, une convocation oubliée et à laquelle il avait daigné accorder sa présence.
Garde à vous devant la longue suite d'apparats, il opta pour une tenue simple, veste nacrée sombre avec une chemise éblouissante de son blanc pour contraster, avec en sus une cape fine en soie aux couleurs pourpres avant de pouvoir souffler de tout ce poids fort incommodant devant un miroir pour donner de la dignité à sa chevelure rebelle grâce à de l'essence de Bergamote.

Préparé dans la plus vive allure, le brun rejoignit sa monture pour filer à Paris, espérant triompher de la circulation abondante par ses talents gagnés en équitation depuis son plus jeune âge.
Enfin sur le parvis, il entra sans bruit dans la bâtisse imposante dédiée à la vierge, rejoignant dans le plus grand des hasards un banc où se trouvait une dame, lui adressant un discret signe de tête. Le cuir de ses gants commençant à le démanger pendant qu'on récitait le crédo, il fit craqueler le plus doucement possible la carapace en l'ôtant de ses doigts, faisant jouer ses phalanges dans l'air pour savourer l'espace infini autour sans la moindre résistance.

C'est aussi d'un murmure quasi imperceptible qu'il se pencha vers la voisine sans vraiment faire attention à son visage :


Excusez moi, ne suis je pas trop en retard ?
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 5, 6, 7, ..., 9, 10, 11   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)