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[RP] A sept lieues de Mende, à vue de bottes...Randon

Boulga
Boulga gagna le lavoir dont l'eau venait de la Clauze et suivit la pente pour rejoindre le cours d'eau naturel. Le chemin n'était pas très aisé et descendait assez abruptement, mais elle pouvait aisément se retenir aux branches basses et les pierres sous ses pieds formaient comme des escaliers.
Il lui plaisait d'entendre le vent bruisser légèrement, et de voir les premières feuilles des arbres. Oh, de petites feuilles encore, mais au vert clair et éclatant.
Elle ne fut pas longue à trouver endroit convenable pour le bain : un léger replat, abrité du vent et des regards indiscrets par les arbres, et le cours d'eau plus large et un peu plus profond à cet endroit.
Elle se retourna et leva les yeux : on apercevait encore les hauts murs du castel, assez proche.


Vraiment parfait !

Elle trempa la main dans l'eau.

Mmh, un peu fraîche, je vais devoir faire vite.

Vêtements soigneusement posés dans l'herbe, elle risqua un pied puis l'autre et s'avança jusque vers le milieu du cours d'eau. La fraîcheur la fit frissonner mais quelques vigoureuses frictions eurent tôt fait de la réchauffer. Et puis, la fraîcheur est excellente pour la peau, à ce qu'il parait, et sans abuser de coquetterie, Boulga tenait à conserver sa blanche fermeté. Ainsi que sa gorge ronde et rebondie. Et ses courbes toutes en pleins et déliés malgré sa minceur.
Au reste, elle ne s'attarda que le temps nécessaire à se savoir débarrassée de la poussière et de la sueur de la journée. Et à retrouver un parfum de petit bouquet de printemps, primevères, primes roses, violettes ou autres fleurettes. On ne savait jamais, un Perceval le gallois pouvait se présenter à l'improviste, et il eut été inconvenant de faire mauvaise figure : c'était mettre à profit les menues règles de savoir-vivre apprises quelques jours auparavant - à force de persévérance, s'entend.

Bref, elle ressortit bien vite de l'eau, heureuse et rassérénée.
Il fallait aussi regagner Mende avant la nuit tombée.
Catalina_constance
Et en même temps qu'une jeune femme arrivait ce fut le maitre des lieux qui ouvrit la large porte.
Elle allait saluer l'arrivante, mais hum... ce désert de l'autre coté de la porte pour sur laissait présage de long travaux. Et les lèvres de la jeune rousse heureuse de n'avoir trop eu de temps à patienter, et évidement de voir le baron, s'étirent.

Adissiatz senhor Salvaire,
et elle aussi se pencha au plus bas que pu lui permettre ses rondeurs, elle sourit de nouveau et un peu plus encore quand on lui indique une poutre renversée sur le sol.
Fait un pas en avant pour rentrer, et... ah oui qu'elle décoration!
Ah non... elle ne fera la discussion sur la finition de l'intérieur, amusée elle se dirige vers le morceau de bois qui aujourd'hui sera son trône et difficilement s' assoit.
Puis écoute.

Ce n'est pas désagréable... enfin de s'assoir!
Car c'est sur l'endroit est tout à fait formidable! Ce calme, vous avez de la chance Senhor et quand vous aurez pu emménager il va sans dire que ce sera un castel remarquable!
Je n'étais jamais venu dans les parages...


Mende... Mende elle est déçu elle n'a pas vu Jehanne, tant pis après tout la vie ne s'arrête pas pour autant! Et la ville est tout de même agréable, et cet douce chaleur, habituelle au Sud...
Les yeux pétillent, tiens qu'elle est bavarde aujourd'hui, elle reprend!


Mende est très agréable également, je pense que même si je n'y prenais pas résidence principal, je prendrais avec plaisir un appartement.
Une résidence secondaire en quelques sorte!


Et elle sourit, salue toutes les personnes présenté, résolument apaisé par ce voyage.

Ah dona Boulga!
Croyez vous qu'il sera en meilleur santé grâce à ce la? c'est une idée sympathique!


Sympathique, pas tant que ca remarque...

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Salvaire_d_irissarri
[Avant le si rapide et grand et bel avancement des travaux du Castel]
......
Catalina a écrit:
Mende est très agréable également, je pense que même si je n'y prenais pas résidence principal, je prendrais avec plaisir un appartement.
Une résidence secondaire en quelques sorte!

Dona Catalina ! M'enfin ! Quelle idée de ne venir à Mende qu'en résidence secondaire ? Tsss ! N'allez point me faire accroire que Montpèlhier est plus vive et gaie et animée .... Allons, allons, je ne vous croirai point !

Le jeune homme sourit de toutes ses belles et blanches dents avant que de lui tendre le bras afin qu'elle y prenne appui :
Venez donc plutôt déguster cette traversée de porc que nous a préparé un habitant culinairement intéressant. Il s'agit du ser Baboo. Té ! Le voilà là-bas en train de s'affairer près du feu.

Ils prirent le temps de s'installer plus confortablement et Salvaire se mit en frais de conversation :
A propos de cuisine, connaissez-vous quelques mets locaux de cette région ? Je suis assez fine gueule pour ma part et je vous avouerai, sin vergogha aucune, que mon caçolet est assez réputé. Celui de Castelnou d'Arri plan segur et non point celui de ces copiteurs de Tolosa, s'pas ? D'ailleurs, j'ai reçu privilège, lors dernier tournoi de fournisseurs du Louvre d'avoir droit de porter les insignes de fournisseur officiel de la couronne royale. Ca l'fait gravement, nenni ?
Milodious ! J'ose espèrer que notre prochain roy ou reyne ne remettra point nos compétences en cause, pardine !

Té ! Avez-vous préférence pour ces élections dona Catalina ?

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“ Se ne vos pas sentir la fret, te cal minjar un caçolet ”
Baboo
Baboo etait pres de son feu, il suait a grosse goutte. Bien decidé a tous les impressionné avec son fameux travers de cochon. Les braises etaient bonne nie trop chaude mais assez pour saisir la viande... Parfait se dit t il. C est alors qui les mit a cuire sur une grille qu il avait trouver dans la forge et qu il avait prit soins de nettoyé.

Il vit dans la forge une charente qui attendait d etre chaussée de roue et se dit que retourné ca fera une chouette table d appoint.

Il continua de s occupé des travers, mit les patates au coin du feu pour qu elles prennent la temperature...

Il mit l hydromel ainsi que quelques gobelets sur la table, preparat un plateau pour y disposé la viande.

Il vit coco et etait content de la voir en ce lieu.

Il prit un air de majordome et se mit a crier:

TRAVAILLEUR, TRAVAILLEUSE, LE REPAS VOUS ATTEND DANS LA SALLE DE CHANTIER.


Il etait content et attendait tous les convive pour festoyé
Coco...
Coco avait travaillé du mieux qu'elle pouvait pour restaurer les fameuses tapisseries de Messire Salvaire.
Et le dimanche venu, elle se présenta devant le château avec son précieux chargement.

Une délicieuse odeur de viande grillée flottait dans l'air et cela lui mis l'eau à la bouche.
Baboo était là, devant un grand feu, et elle le salua gaiement.

Coco déroula les tapisseries sous le soleil pour que le maitre des lieux puisse les admirer des qu'il serait là.
Certainement que les Jojos ou peut être les Boubous, viendraient l'aider à les porter à l'intérieur.




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Emma_peel
Ces premières vraies journées printanières, bien que précoces pour la saison, étaient le gage du retour des longues promenades pour l'arlésienne et pour ses précieuses cueillettes en tous genres.

L'occasion de mobilier sa jambe rouillée par trop d'immobilité et d'aller à la rencontre de ses amis, au Castel de Randon, fief du Seigneur Salvaire, combien de fois Baron déjà ?

Tout en cheminant, Emma pensait à cette curieuse petite troupe, si unie autour de leur Seigneur qui se tenait tout autour de sa mèche blonde, elle-même dotée d'une liberté d'expression qui faisait hurler de rire l'arlésienne, très attendrie.
Elle revoyait son geste... le "jeté de mèche", sensé ponctuer un propos essentiel, voire de gratifier son auditoire d'une révélation.

La tour du Château était enfin en vue. Allongeant son cou, Emma se demanda si elle verrait une personne connue à l'extérieur de l'enceinte. Il lui tardait de voir enfin l'avancée des travaux de restauration. A force, les ruines du Castel étaient devenues déplaisantes au regard.

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Catalina_constance
Tiens bonne question depuis combien de temps en plus était-elle allé à Montpellier, alors... Montpellier ou Mende?
Carcassonne pour sur! Ah joyaux du Languedoc, pour sur c'était une ville qui portait bien son nom. Cet écrin de verdure tout autour et...
Elle attrape le bras qu'on lui propose, sourit au baron.

Non pas de grimace même si l'effort n'est pas des plus évident, comme l'on dit parfois, la terre est basse...!
Quel dure vie!

Et la duchesse tourne la tête vers le feu, oui c'est vrai que l'odeur semble des plus intéressante, l'odeur chatouille le nez, lui ouvre l’appétit.
Les yeux brillent, de plus elle mange pour deux, mythe ou réalité? il faut dire quand même que depuis quelques semaines, la Volpilhat aussi petite qu'elle puisse être, ingérer des quantités inhabituelle.
La déprime du moment?


Ah oui, j'ai eu le plaisir de rencontrer le ser, dans le centre de Mende, en tout cas l'odeur met en appétit!

Elle hoche la tête rousse, toujours aussi souriante, un nouvel effort pour s'assoir, quel malheur!
comment ce fait-il que ce soit si désagréable!?

Elle s'esclaffe:


C'est une belle reconnaissance, quoi de plus gratifiant, surtout que les palais de ses majestés savent sans doute mieux que quiconque reconnaitre une très bonne cuisine!
Je compte bien sur vous, pour de toute façon des que possible nous en préparer, cela fait fort longtemps que j'ai plus rien mangé de Languedocien.
Quoi que... nous avions amené avec nous quelques vins, et jambons. C'est surement ce qu'il y a de meilleur des spécialités du comté, non?
Enfin, peut être après votre cassoulet!


Et la Volpilhat rit doucement, sans moquerie aucune, juste pour le plaisir de discuter.

En tout cas, pour avoir déjà participé à quelques festins royales, il va s'en dire que n'importe qu'elle cuisinier n'a pas sa place! Alors pourquoi notre prochain régnant ne serait-il pas conquis par vos talents?

Une préférence? pour sur Charles en avait une, mais elle? non autant les dernières fois elle en avait eu, autant cette fois ci, au vue des résultats elle n'en avait pas tellement.
Elle hausse les épaules, que dire?

Je dirais que j'ai moins dé préférence que ces fois dernières, quelques candidats pour moi n’ont aucunement leur place mais à savoir celui que je penserais... le meilleur.
Je ne sais! Et vous senhor?

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Constance..
La jeune bourgmestre arriva avec sa monture assez rapidement au château de Random, propriété du seigneur Salvaire. Comme elle l'avait promis, elle s'y rendit afin de voir si elle pouvait être d'une aide quelconque pour remettre en état le château.
Elle entra dans la cour du château et vit divers tas de bois amoncelés ici et là.

Elle ne savait trop quoi faire de sa belle jument, blanche comme la neige. Et ne voulait pas la laisser la seule au milieu de la cour.

La jeune femme hêla au beau milieu de la cour, espérant que quelques personnes l'entendraient.


BONJORN !!! N'Y A-T'IL POINT DE MONDE ICI ?

Puis elle attendit qu'on vienne l'orienter vers le lieu où elle pourrait faire patienter "Sienne" sa jument. Et aussi où elle devait se rendre.

Elle en profita pour regarder tout autour d'elle, et vit qu'il y avait en effet de nombreux travaux à réaliser.

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Boulga
Boulga était dans une des grandes chambres de l'étage, occupée à discuter avec un maître d'oeuvre de la réfection des fenêtres - avec ou sans carreaux, quelle taille, quels coloris, volets ou non, etc...
Un bruit de calvalcade dans le couloir l'interrompit et elle vit débouler par la porte toute neuve les jojos, se disputant bruyamment l'honneur d'entrer le premier dans la pièce.


Moi d'abord !

Non, c'est moi le premier ! j'étais dans l'escalier avant toi !

Normal tu cours moins vite !

Même pas vrai, c'est l'autre qui m'a bousculé et ça m'a gêné !


Il s'empoignèrent juste sur le seuil.
Boulga craignit un instant pour l'huis flambant neuf et lâcha froidement :


Le premier qui abîme cette porte me la rembourse jusqu'au dernier denier... un candidat ?

Les Jojos se relevèrent et se rajustèrent. Tandis que sa soeur était encore en train de reprendre son souffle, Jordi débita aussitôt :

Dona, j'ai vu la dona bourgmestre arriver à cheval, et aussi la dona Coco avec les tapisseries...

Et moi j'ai vu la grande dona brune, celle qui tire à l'arc, elle arrive sur la route


Emma, pensa Boulga en souriant.

Mais Joana, arrête de m'couper, j'avais pas fini ! chuchota rageusement Jordi

Tu as vu quelqu'un d'autre, Jordi ? demanda Boulga

Non.

Bon. Va donc dire à nos invitées que j'arrive de suite. Et toi Joana, va prévenir le Seigneur Salvaire, si ce n'est pas encore fait.
Coco...
Coco commençait à s'impatienter devant le château.
Elle restait là, penaude, avec ses tapisseries déployée, pour sur, le soleil allait en faire passer les couleurs si ça durait trop longtemps.
Le sieur Salvaire n'était peut être pas chez lui, il préférait surement se tenir au frais dans une église plutôt que d'accueillir les visiteurs.
Un tantinet vexée, la milicienne replia les tapisseries et remonta dans la chariote.
Si le maitre des lieux voulait ses tapisserie, et bien qu'il vienne les chercher !

Hue dia cocotte ! on rentre à la maison !

Et Coco repartit par où elle était arrivée.




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Emma_peel
Un nuage de poussière se souleva tout près de l'enceinte du château. Emma tendait le cou pour voir de quoi il pouvait bien s'agir. La troupette au complet venue l'accueillir ? Cela lui sembla très étonnant, ses amis étaient bien trop occupés à la réfection des lieux.

Un bruis sourd accompagnait le nuage de poussière qui se rapprochait de plus en plus rapidement; des bruis de sabots frappant le sol et d'attelage qui semblait se désarticuler.

L'arlésienne se mit au milieu du chemin et vit apparaître peu après un cheval au galop, attelé à une charrette.

Levant les bras et les agitant de gauche à droite faisant des signaux visibles de loin, Emma entreprit de ralentir l'attelage avec détermination.



Hoooooooooooooooooo !......... doucement........... hoooooooooooooooo !


Aussitôt le cheval à l'arrêt, la grande brune aperçut une chevelure rousse sortir du nuage de poussière complètement retombé depuis.

Coco !

Quelle chance que tu sois là ! Ma jambe commence à me faire souffrir... et nous sommes si proches de l'entrée du château..... ne pourrais-tu pas m'y conduire s'il te plaît .... Coco ?

... puis la longue arlésienne d'attendre docilement sa réponse en lui faisant sa mine d'ange égaré.
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Coco...
Coco tira sur les rênes de son canasson pour arrêter la charrette.
Une grande silhouette brune se tenait sur le chemin et Coco ne voulait renverser personne.

hooooo tout doux !!!!

La charrette enfin immobile au milieu du chemin, Coco reconnu Emma.

Citation:
Coco !

Quelle chance que tu sois là ! Ma jambe commence à me faire souffrir... et nous sommes si proches de l'entrée du château..... ne pourrais-tu pas m'y conduire s'il te plaît .... Coco ?


Coco hésita un instant, elle avait certe autre chose à faire que de baguenauder sur le chemin de Randon.
Mais elle ne pouvait pas laisser Emma sur la route avec sa jambes blessée.
Coco lui tendit alors la main pour l'aider à monter sur la charrette à côté d'elle.

Allez monte, je te dépose ! dit elle d'un ton un peu bourru

Le cheval fit demi tour et repartit en direction du château.

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Emma_peel
Citation:
Allez monte, je te dépose !


Emma ne se fit pas prier... attrapa la main de Coco, grimpa dans la charrette près de la meneuse et vérifia si dans sa besace elle avait bien toutes les plantes et fleurs qu'elle voulait montrer à Boulga.

Merci infiniment Coco ... j'imagine qu'Aristote te le rendra !

Emma étira sa jambe endolorie, se promettant de s'appliquer un baume à l'arnica en rentrant.

Quelques minutes plus tard, les bruits de sabot et d'attelage raisonnèrent dans l'enceinte du château, immédiatement après avoir passé la herse de l'entrée des remparts.

Hou Hou .... ! Seigneur Salvaire !.... Boulga !.... Boulie !.... vous êtes là ?
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Boulga
Boulga descendit les escaliers extérieurs qui menaient à l'étage au moment où une charrette entrait dans la cour.
Ce devait être celle de dame Coco qui ramenait les tapisseries.
De loin, elle fit un signe de la main et cria :


Bonjorn dona Coco ! Soyez la bienvenue !

Tandis que la charrette s'arrêtait et que la poussière retombait autour d'elle, Boulga vit que la dona Coco n'était pas seule, mais accompagnée de la dona Emma.

Ah Emma, quelle plaisir de vous voir aussi. Joana m'avait dit vous avoir vue sur le chemin. Nous pourrons sans doute faire notre petite exploration aux alentours de Randon aujourd'hui si le temps continue d'être aussi clément. A moins que vous ne le vouliez pas.

Puis se tournant vers dona Coco :

Mais d'abord, le plus urgent. Je vois dona que vous avez ramené les tapisseries. Grand merci de votre diligence ! Pardine je ne m'attendais pas à ce que vous travailliez si vite, et vous avez dû y passer vos nuits comme Pénélope... mais sans doute pas pour défaire votre ouvrage ! Joana est partie chercher le senher Salvaire, mais en attendant, Jordi va nous aider à décharger tout cela.

Puis elle regarda tout autour d'elle :

On m'a annoncé aussi l'arrivée de notre bourgmestre, mais je ne l'aperçois point. L'avez-vous vue sur la route ?
Fervantskate
Le Gael grognait encore. Encore et toujours.

Oui Koulak on y va ! Veux tu bien cesser ton manège? répliqua t-il en regardant le loup couiner et circuler entre les arbres.

Il fallait se mettre en route, car promesse il avait fait, promesse il devait tenir. Après avoir remonté sa fibule sur son épaule, il posa la capuche de sa cape sur sa tête et pris la route, le loup sur les talons. Il était ici depuis déjà un bon moment, plus longtemps qu'il n'imaginait. Et le voilà parti pour aider des gens. Depuis quand aidait-il les gens lui? Depuis quand mettait-il la route et le Vent de coté pour quelqu'un ? Tsé... Ce blond de Salvaire... Ce minet gentillet lui plaisait bien. Il n'était des plus réfléchis ni des plus sages, mais il était franc et bon à vivre. Après tout, un coup de main ne fait de mal à personne...


Rooh cesse donc de réfléchir toi se dit-il. Avance et puis c'est tout. Et c'est avec un bon pas plus soutenu qu'il repris son chemin, observant les alentours en silence.

Il connaissait le coin où s'était installé le remuant, et il reussi vite à atteindre le domaine. Il jeta un coup d'oeil circulaire sur l'assemblé.
Par Ogme, c'est qu'il y a du monde quand même, songea t-il en silence, peu à l'aise en compagnie de personnes. Il s'éclipsa en voyant un groupe de personnes non loin, puis s'approcha de la petite Brune qui s'activait, en compagnie de deux femmes. il s'approcha lentement, à pas de loup, puis finir par se planter devant l'intendante, avec un petit sourire.

Latha math Lass Boulga. Vous sommes venu comme convenu. Il semblerait que le Fear Salvaire souhaite que j'aide aux écuries, où est-il d'ailleurs ce bougre?
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