Salvaire_d_irissarri
[En le castel tout beau, tout neuf, tout rénové]
( HRP- Gain de temps et adaptation : "On dirait" que tout l'intérieur et terminé et que ce saut dans l'espace temps laisse à présent la place aux finitions extérieures : écurie, jardins, mare, maisons des communs, chapelle, etc... et tout ce que vous voulez inventer....Tant pis pour les incohérences et pardon à ceux qui s'en trouveraient offensés...)
Lors de cette conversation avec Catalina, tout une bonne bande de monde s'en était venue par la route depuis Mende afin de visiter le castel et le bel et blond et de ripailler et aider aux travaux et toute cette sorte de choses.
Salvaire était ravi, réjoui, tout content quoi. Il salua la comtesse et néanmoins Volpilhat et s'empressa d'aller et accueillir et voir comment s'en sortaient les Jojo. Boulga, plan segur, assurait comme toujours, voix charmante, oeil en amande et sourire enjoué.
Accueillant avec un jeté de mèche qui devait tout au gentillet vent qui soufflait en ce jorn et rien à une quelconque volonté de faire son beau les gentes dames, un peu pour l'une empéguée avé son cheval, pour l'autre avé ses tapisseries et pour une autre encore avé sa blessure, il s'empressa :
Jojo ! Le cheval là ! Tu l'attrapes, tu l'atttaches et tu lui donnes de l'eau et ... euh.. nous manquons d'avoine, dona bourgmestra ! IM mange bien de la bonne herbe cet animal ? Bref ! Jordi, tu t'en occupes et Joana se charge des tapisseries !
Et dona Emma, un peu d'eau aussi ? Votre jambe ne vous a-t-elle point géné de trop sur la route ?
Il se tournait encore pour voir si Baboo avait encore de la viande à mettre sur le feu... fort heureusement, il en restait à foison.
Mercès Plan à vous tous d'être venus ! Asseyez-vous donc, pardine ! Qu'on apporte à boire et que tout le monde s'installe ! Je sens que nous allons faire un peu plus tôt que prévu la feste du printemps !
Il cherchait du regard à qui confier le soin d'apporter le repas sur la table, quand soudain, arriva l'irlandois qui s'approchait de la Gloubinette. Salvaire lui adressa un franc sourire et cherchant du regard le loup, afin de ne point s'en trouver trop près, ramassa une lourde planche qui trainait par là et lui mit d'office dans les mains.
Té ! Encore une autre comme celle-ci et deux tréteaux et Hop ! Nous voici avé une table grande assez pour accueillir tout le monde !
Devinant le regard estomaqué qui allait suivre et le grognement intempestif, il lui mit une petite claquette sur la joue, d'un air exagérement naïf.
Plan segur ! Ravi de vous voir ! Moi aussi, je vous aime. Mais bon, ne trainons point ! Il faut s'organiser, s'pas ? Allez, allez, avançons !
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Se ne vos pas sentir la fret, te cal minjar un caçolet
( HRP- Gain de temps et adaptation : "On dirait" que tout l'intérieur et terminé et que ce saut dans l'espace temps laisse à présent la place aux finitions extérieures : écurie, jardins, mare, maisons des communs, chapelle, etc... et tout ce que vous voulez inventer....Tant pis pour les incohérences et pardon à ceux qui s'en trouveraient offensés...)
Lors de cette conversation avec Catalina, tout une bonne bande de monde s'en était venue par la route depuis Mende afin de visiter le castel et le bel et blond et de ripailler et aider aux travaux et toute cette sorte de choses.
Salvaire était ravi, réjoui, tout content quoi. Il salua la comtesse et néanmoins Volpilhat et s'empressa d'aller et accueillir et voir comment s'en sortaient les Jojo. Boulga, plan segur, assurait comme toujours, voix charmante, oeil en amande et sourire enjoué.
Accueillant avec un jeté de mèche qui devait tout au gentillet vent qui soufflait en ce jorn et rien à une quelconque volonté de faire son beau les gentes dames, un peu pour l'une empéguée avé son cheval, pour l'autre avé ses tapisseries et pour une autre encore avé sa blessure, il s'empressa :
Jojo ! Le cheval là ! Tu l'attrapes, tu l'atttaches et tu lui donnes de l'eau et ... euh.. nous manquons d'avoine, dona bourgmestra ! IM mange bien de la bonne herbe cet animal ? Bref ! Jordi, tu t'en occupes et Joana se charge des tapisseries !
Et dona Emma, un peu d'eau aussi ? Votre jambe ne vous a-t-elle point géné de trop sur la route ?
Il se tournait encore pour voir si Baboo avait encore de la viande à mettre sur le feu... fort heureusement, il en restait à foison.
Mercès Plan à vous tous d'être venus ! Asseyez-vous donc, pardine ! Qu'on apporte à boire et que tout le monde s'installe ! Je sens que nous allons faire un peu plus tôt que prévu la feste du printemps !
Il cherchait du regard à qui confier le soin d'apporter le repas sur la table, quand soudain, arriva l'irlandois qui s'approchait de la Gloubinette. Salvaire lui adressa un franc sourire et cherchant du regard le loup, afin de ne point s'en trouver trop près, ramassa une lourde planche qui trainait par là et lui mit d'office dans les mains.
Té ! Encore une autre comme celle-ci et deux tréteaux et Hop ! Nous voici avé une table grande assez pour accueillir tout le monde !
Devinant le regard estomaqué qui allait suivre et le grognement intempestif, il lui mit une petite claquette sur la joue, d'un air exagérement naïf.
Plan segur ! Ravi de vous voir ! Moi aussi, je vous aime. Mais bon, ne trainons point ! Il faut s'organiser, s'pas ? Allez, allez, avançons !
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Se ne vos pas sentir la fret, te cal minjar un caçolet