Lahire
[Le Nain pensant ou la Mesnie cogite (suite)]
Depuis leur retour du tour du Languedoc, Lahire ne quittait guère Randon, si ce n'est escorter le Senher dans diverses mondanités et à l'eglise.
(note a soi-même : dessiner des plans d'église)
D'ailleurs il se demandait si il jouait bien son rôle de garde du corps, si il était sérieux qu'un nain puisse remplir cette office. Enfin il pourrait toujours prendre un coup d'épée, de poignard ou de flèche à la place du bi Baron mais en était il capable, serait il assez courageux pour faire celà ? Le nain espérait que jamais il n'aurait se poser cette question ou à être dans une quelconques situation... On a beau avoir dans la tête des idées, des principes d'honneur, de loyauté et d'abnégation, on ne sait jamais si l'on saura passer du principe à l'application.
(note a soi-même : sentraîner au combat)
Pour le reste il lui semblait peu plausible que son physique débile puisse faire hésiter n'importe qui à agresser le Salvaire... M'enfin le nain s'était mis à la forge espérant gagner quelques muscles, dommage ça n'ajoutait rien à la hauteur... Qu'importe il tapait du métal !
(note a soi-même : acheter des bottes à talonnette)
D'ailleurs ses journées, il les passait à la forge de Randon ou dans son atelier. Tout accaparé à forger ou à gribouiller. Gribouiller, le seul sens véritable à la vie pour le nain. Créer, imaginer, dessiner rien d'autre n'avait plus d'importance à ces yeux que celà !!!
Mais était ce cela la vie ?
Etait ce l'approche de Samain, l'automne naissant qui rendait Lahire si pensif, si interrogatif sur le sens de sa vie, voir mélancolique?
Pourtant cétait facile : loyauté totale pour sa Mesnie, envers le Senher ! Pas à se poser se poser de questions, il traça la voie, juste à suivre...
Vivre par et pour l'art pour le reste !
Mais sa famille, son père inconnu a retrouver, fonder famille, se faire un nom, son avenir propre, connaitre le monde, les autres... fallait il laisser cela de coter??
(note a soi-même : Ecrire à mère, écrire à Isora)
Et le nain tapait le métal rougeoyant, noircissait le velin et s'emplissait la tête de questions et de doutes.
(note a soi-même : boire jusqu"à la boulasse)
Fallait que ça change !!! ou pas....
_________________
Galerie Salvaire - Mestre Pintor - Rue de la Harpe -Paris
Depuis leur retour du tour du Languedoc, Lahire ne quittait guère Randon, si ce n'est escorter le Senher dans diverses mondanités et à l'eglise.
(note a soi-même : dessiner des plans d'église)
D'ailleurs il se demandait si il jouait bien son rôle de garde du corps, si il était sérieux qu'un nain puisse remplir cette office. Enfin il pourrait toujours prendre un coup d'épée, de poignard ou de flèche à la place du bi Baron mais en était il capable, serait il assez courageux pour faire celà ? Le nain espérait que jamais il n'aurait se poser cette question ou à être dans une quelconques situation... On a beau avoir dans la tête des idées, des principes d'honneur, de loyauté et d'abnégation, on ne sait jamais si l'on saura passer du principe à l'application.
(note a soi-même : sentraîner au combat)
Pour le reste il lui semblait peu plausible que son physique débile puisse faire hésiter n'importe qui à agresser le Salvaire... M'enfin le nain s'était mis à la forge espérant gagner quelques muscles, dommage ça n'ajoutait rien à la hauteur... Qu'importe il tapait du métal !
(note a soi-même : acheter des bottes à talonnette)
D'ailleurs ses journées, il les passait à la forge de Randon ou dans son atelier. Tout accaparé à forger ou à gribouiller. Gribouiller, le seul sens véritable à la vie pour le nain. Créer, imaginer, dessiner rien d'autre n'avait plus d'importance à ces yeux que celà !!!
Mais était ce cela la vie ?
Etait ce l'approche de Samain, l'automne naissant qui rendait Lahire si pensif, si interrogatif sur le sens de sa vie, voir mélancolique?
Pourtant cétait facile : loyauté totale pour sa Mesnie, envers le Senher ! Pas à se poser se poser de questions, il traça la voie, juste à suivre...
Vivre par et pour l'art pour le reste !
Mais sa famille, son père inconnu a retrouver, fonder famille, se faire un nom, son avenir propre, connaitre le monde, les autres... fallait il laisser cela de coter??
(note a soi-même : Ecrire à mère, écrire à Isora)
Et le nain tapait le métal rougeoyant, noircissait le velin et s'emplissait la tête de questions et de doutes.
(note a soi-même : boire jusqu"à la boulasse)
Fallait que ça change !!! ou pas....
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Galerie Salvaire - Mestre Pintor - Rue de la Harpe -Paris