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[RP]un au revoir et non un adieu

Yris
Serrant dans une main son baluchon, elle suivait la joyeuse bande. Passant devant un petit champs de maïs, elle ne put s’empêcher de prendre une poignée de cette terre en souvenir qu’elle mit dans la poche de son tablier.

Tout en prenant la direction de Rennes, elle voit s’éloigner son village. Le village s’éloigna devenant infiniment petit. Yris continuait à regarder en arrière.

Son groupe avançait tranquillement. Elle entendit à peine l’appel de Alwenna. Gui était sûrement pressé de quitter cette terre. Si pressé quand arrivant à la taverne située sur la route, il n’y avait personne. Aucun signe de sa famille. Ils étaient partis devant, trop vite.

Idana était avec Céliano demandant des explications. Yris entra dans cette taverne et s’assit un instant à une table bien poussiéreuse. Lors qu’elle sentit sur son épaule une main. Elle se retourna. Mael les avait attendu. Elle se jeta dans ses bras et l'embrassa tendrement.

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Guigoux
Le Trois Avril:

Et moi pendant c'temps là, j'tournais la manivelleuh, et moi pendant c'temps là, je chantais dans les bois!

Le Quatre Avril:

Un passage par Rennes, on retrouve tout le groupe, on s'explique le pourquoi du comment de l'avance ou du retard. Tout le monde rit, s'amuse s'éclate!

En taverne, de nouvelles têtes, et un salut à la mairesse de la ville. Quelle joie de partir de Bretagne. Surtout quand on voit la tête de celle-ci! Allons-y gaiement. Le jeune brun était pressé. Très pressé... Vite vite, Felger! Puis après droit sur Chateauroux. Que ce voyage promet d'être long et beau.

Il avait aussi apprit l'arrivée de son prochain et premier enfant! Tout allait pour le mieux, et il souriait....

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Alwenna.
La Rousse avait levé le bout de son nez vers les hauts remparts de la Capitale, la nuit avait été longue en cogitations.. comment lui dire ? Comment faire ? Comment cacher qu'elle arrosait de son repas les buissons ?


Bref les voilà enfin a Rennes, durant sa cogitation elle a trouvé les deux prénoms, Guillian ou Yseult, enfin pour la Demoiselle cela était déjà décidé mais, pas le petit homme si cela en était un...Bref la voilà enfin décidée et le temps est venu de se poser un instant a Rennes, une taverne, les amis et son amour!!! Le bonheur en sa simplicité, moments de rire partagés


Un saut en taverne, ils sont pour la plupart là, le reste du groupe en repos certainement près de la Vilaine, elle aime cet endroit Alwenna.. comme elle aime la Nature elle-même et les cheveux dans le vent..


Après les retrouvailles amicales, elle prit chemin pour la Vilaine, un vieil arbre l'accueil avec plaisir contre lui, et elle revit à nouveau ses moments à elle..


Les yeux se ferment, retour arrière 7 ans plus tôt...

Vingt ans la fougue de la jeunesse, les cheveux au vent, un cheval lancé a folle allure..


Elle aime l'insouciance de la vie, l'insouciance des chemins, elle n'est pas encore Alwenna mais Elora, elle passe sa vie sur les nœuds, elle passe son temps a dormir au fond des tavernes, le vieux tavernier lui hurlant chaque matin de déguerpir..

Elle n'a pas de vie rangée Elora, elle a juste une vie à elle, sa liberté et sa liberté de penser, de dire qu'elle les enquiquine tous les bons penseurs..


Et puis sa vie a changée, un..deux..trois enfants, de la femme enfant et venue la femme maman..mais a quel prix?


Elle les aime bien sûr qu'elle les aime, elle écrit son histoire dans leurs regards, mais ils sont du même bois qu'elle et ne supporte pas l'enfermement... ils aiment les cheveux jouant dans leurs bouclettes, ils aiment pourchasser les lapins, ils aiment la liberté tout simplement..


Elle ouvre a nouveau les yeux, un jour elle le souhaite, elle reprendra sa vie de bohème, une vie qui certes ne la coupera pas de ce qu'elle aime puisqu'elle reviendra toujours, mais elle n'aura plus de maison, elle aura juste un lendemain...

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Violinah
[Loin, loin de l'agitation de la ville et des départs...]

Tu étais couchée sur ton lit de paille. Tu avais froid. Il fait toujours froid dans les couvents. A se demander si ce n'est pas pour repousser le tout-venant et éprouver la foi des fidèles.
Une porte claque, des bruits de pas et une main frêle et blanche de ne plus voir le soleil vient frapper à ta porte.


Violinah ?

Tu te redresses.

« Oui ? »

La sœur, avec qui tu t'es bien entendue dès ton arrivée, s'approche silencieusement de toi.

Je sais que je ne devrais pas être ici... Mais vous avez reçu du courrier.

Ton cœur s'agite. Qui a bien pu t'écrire ? Qui se souvient encore de toi alors que tu t'es retirée du monde ?
La sœur te tend les lettres avec un sourire.


Je les ai chipées à la mère supérieure, je vais devoir le dire en confession, mais je ne dirais pas que je vous les ai données !

Tu regardes la jeune femme avec gratitude. Elle ne mérite pas d'être ici. Elle s'est repliée sur elle-même parce qu'elle ne supportait plus la violence du monde.
La nonnette, discrète, fait demi-tour pour te laisser lire en paix.
Impatiente, tu déroules les parchemins.
Tes yeux s'écarquillent.
Elles ont été écrites le 2. Tu étais où, le deux ? En train de t'échiner sur un malheureux carré de légumes qui ne verront jamais la lumière du soleil.


« Oh... »

La colère monte. De quel droit ont-elles osé caché tes lettres ? De quel droit ? Maintenant, tu devras rester ici, cloîtrée en attendant leur retour.
Tu les vois déjà, bras dessus, bras dessous sur les chemins.
Les chemins qui t'appellent.
Tu attrapes tes affaires -rien grand chose en vérité- et tu sors. Tu percutes ton amie.


« Je... J'suis désolée ! J'avais pas vu... »
Tu pars.

Ce n'est pas une question. Elle est triste, elle aurait aimé que tu restes encore un peu.

« Sois pas triste, j''te promets, j't'écrirai. Mais faut qu'je les r'joigne tu comprends ? Y peuvent pas partir sans moi. »

Tu vas les rattraper. Tu veux y croire. Tu te diriges vers la sortie, tu t'en fiches de te faire appréhender par la mère supérieure.

Il y a un cheval je crois. Il est prêt, un messager vient d'arriver.
« Merci. »

Très vite tu es dessus, très vite tu fonces vers Rohan en espérant que ce n'est qu'une mauvaise blague. Ils n'ont pas pu partir sans toi, si... ?
Idana
(5 Avril 1460 ... Fougères ... pour certains !)

C'est étrange parfois comme les jours se suivent et se ressemblent !

Pourquoi tu dis ça ?
on est que 7 de nouveau !

Idana pouffe un peu tout de même, ce n'est que le troisième jour de voyage, ça promet !

Hier, ils étaient tous à Rennes, ils s'étaient rejoints dans une taverne et Idana avait ouvertes bien grandes ses oreilles à l'annonce d'Alwenna d'un heureux évènement se préparant. Et elle avait souri à la joie de Gui, puis les avaient laissé se réjouir avant de susurrer à l'oreille de Cel qu'il allait être à nouveau papa.

Quoi toi aussi ?
Ben oui !
Ah c'était ça les hauts le coeur le matin !
même pas vrai !
si si !

Cel était si heureux qu'il avait passé le moment en taverne le nez dans son cou, sans écouter la discussion trèèèèèès intéressante avec Ael concernant la feuille de route.

Et puis, ils avaient repris la route le soir tous ensemble, enfin tous les 7, sans savoir que les autres derrière faisaient du surplace à Rennes
... pfffff ! Ceeeeeeeeeeellllllllllllllll ... on a reperdu les autres !!!!

Allait elle donc passer le voyage à hurler de la sorte ? sûrement que le tout petit bébé dans son ventre devait sursauter à chaque fois !

ouais faut te calmer un tu vas en faire un énervé !
pffff
comme toi ma gueuse ! hihi !

Alors, elle avait envoyé un pigeon à chacun, leur disant qu'on allait attendre les autres ici bien sûr, et que chacun passe la journée à sa guise.

Cel lui avait donné l'idée d'aller avec lui au verger et Matéo les devançant, ils avaient pris le chemin y menant.

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Celiano.vampiritch
[5 Avril 1460]

Il y a des jours comme ça, des jours comme celui-ci ou on pourrait croire que l'on a atteint le niveau maximal de bonheur. C'était ce qu'il croyait en tout cas le blond.
En dépit du fait qu'ils avaient ENCORE perdu l'autre groupe, tout allait pour le mieux.
Il se tenait près de celle qui lui donnait la force de vivre, cette brune qui lui avait annoncé la veille qu'elle attendait un autre enfant de lui, cette brune qui était devenue sa femme il y avait à peine deux semaines, cette brune qui lui avait donné un premier enfant un certain 2 Novembre 1459, encore cette même brune qui l'avait sorti du vide, du néant dans lequel la vie l'avait plongé...
Cette brune, celle de sa vie, celle qu'il aimerait jusqu'à son dernier souffle et bien plus encore.

Sibo, jeune chiot, courait comme un fou dans le verger, suivi de Matéo, qui tentait en vain de le rattraper. Seulement, niveau stabilité, c'était pas encore ça et le petit brun avait vite fait de tomber sur les fesses à vouloir courir aussi vite que la boule de poils.
Oubliant ses fruits un instant, le blond se mit à courir derrière son fils, le prenant dans ses bras et le mangeant de baisers. Il aimait ces moments, quand ce qui importait le plus était de faire rire Matéo et de faire sourire Idana.

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Alwenna.
Rennes le 5 Avril 1460..


Le soleil venait agiter le bout de son nez, sur son minois, la Rousse esquissa un sourire une main furetant à coté d'elle, autre sourire celui amoureux..


Mon amour.. bonjour...


Elle se redressa, un baiser sur ses lèvres, quelques fétus de pailles accrochés à ses cheveux, elle était heureuse en ce jour, très heureuse...


Un regard vers l'extérieur, plissement des yeux, une charrette ? Un convois ? Mais les autres ou étaient-ils ? Sursaut, un regard vers son mamour.


Amour!!!!!!!!!!! On a raté le départ!!!!!!!


Elle le regarda se vautrer encore dans la paille, son homme, sa folie, il devait pas réaliser qu'il avait fait du surplace et avait trop fêter l'arrivée de leur enfant, elle le serra contre elle et reprit d'une voix douce..


Amour.. On a perdu les autres.. On fait quoi de notre journée on continue à se vautrer dans la paille jusqu’à ce soir?


De toute façon il était trop tard pour rattraper les autres, demain serait la pour cela, autant continuer leur petite parade amoureuse et tendre..

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Eliotte
Et bin le voyage commence bien . pfff


d'abord ils étaient tous partis et éli n'avait pas eu le temps de faire des bisous à toute la famille.

Puis, ils retrouvèrent tous en plein milieu de campagne mais séparé par un bois. Elle avait été obligée de crier très fort pour parler à namour.

bin voui , ils n'étaient pas dans la même chariotte pour soit disant qu'aucun d'eux ne tombe mais bon pas la faute d'éli si elle se penche et plouffff elle tombe .

Mais pas de soucis, tout le monde se retrouva à rennes, la capitale.
Rhoo le mondeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee, il ne faut pas se perdre sinon bin on ne voit plus jamais sa famille.

Le soir venu , tout le monde remonte dans la chariole, et direction felger.


Le matin , eli sort son ptit nez pour dire un ptit bonjour à namour et à tatie celia . Et puis, nestor et nestorette voulaient aussi prendre l'air.


NAMOURRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR, TATIE CELIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA, madame HIPSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS

bin personne alors mince, papa s'est encore endormi, là c'est clair car leaptite était toujours dans la carriole donc elle n'était pas tombée alors pas sa faute.

Alors là , le sacré papa bin il va falloir rattraper les autres qui sont à felger.

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Alix_
(6 Avril 1460 ...pendant ce temps ... à Brest)

Elle est au "Bout du Monde" ... là où la terre finit et où commence l'infini ! elle y est enfin !

Elle est assise sur l'herbe rare et rase du promontoire, et Greyfell, un peu inquiète du vide qu'elle sent non loin, s'est adossée plus loin le long d'un bosquet malingre.

Et l' esprit d'Alix s'évade vers eux ... vers ses amis partis eux aussi pour d'autres cieux, mais beaucoup plus loin ceux là. Ils vont lui manquer c'est certain, mais elle a pris la décision de rester en Breizh. Lui en voudront ils ? elle sait bien que non ... elle les accompagne par la pensée, sachant bien que jamais elle ne les oubliera.

Et puis .... il y a Merven ... Merven qu'elle a voulu fuir elle ne sait pourquoi ! elle lui manque, et il lui manque. Mais ce voyage, elle l'a décidé en solitaire, seule face à ses incertitudes, son mal être, ses doutes. Et elle espère que tout ceci sera bénéfique et qu'elle saura enfin ce qu'elle veut faire de sa vie.

Elle relève la tête pour regarder l'horizon et murmure .
.. mes amis ... mes très chers amis, que le Très Haut vous accompagne ... !
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Guigoux
5 Avril:

Et moi pendant c'temps là, j'tournais la manivelle, et moi pendant c'temps là, je chantais dans les bois...

6 Avril:

On s'est à nouveau retrouvés. Encore... Puis on ne dira pas que les foins les avaient mis en retard. Si? Bien sûr... Bon enfin. Définition des groupes simples pour la suite du trajet, visite de Fougères. Et départ vers le Maine. N'oublions pas le détour par le verger et les branches. Se percher là haut, que c'est beau.

Soleil quand tu nous tiens.

Une lettre:




Ma chère cousine,

Nous voici à Fougères aujourd'hui. Nous avançons. Je vous transmettrais les Laisser Passer pour le Maine. Vous n'aurez pas de problèmes pour traverser l'Alençon.

J'espère que vous allez bien, et que vous faites bonne route.

Je vous embrasse,

G.

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Alwenna.
La rousse avait le sourire, et une forme incroyable en ce jour, le printemps 1460 lui réussissait à merveille, elle avait une main bienveillante sur son petit ventre, enfin vraiment petit, bébé n'était pas encore là de pointer le bout de son nez....


Elle avait passée sa nuit blottit contre son cher et tendre futur époux, les mains glissées.. là ou on ne dira pas.. elle était comblée, en pleine folie amoureuse, normal il était sa folie..son envie..


Arrivée enfin a Fougère petit tour en taverne, franche rigolade entre amis, et doux moment avec son tendre, l'heure de rejoindre ensuite le verger, le verger.. une grande histoire de pommes et d'une certaine branche, une histoire secrète entre elle et son mamour, tant qu'ils n'oubliaient pas tout deux d'en redescendre en soirée pour prendre le départ..

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--Le_clandestin



Et me voilà naviguant dans les eaux profondes de ma maman, j'en faisais des roulis dans son ventre, et elle ne se privait pas de galoper.. elle abusait bien sur que oui mais elle allait savoir de quel bois je me chauffe d'ici quelques temps...

Allez un roulement par-ci, et un autre par là, mais allait-elle arrêter sa chevauchée sauvage, me demande bien ce qui se passe en dehors de mon appartement privé.. Hé oui moi j'ai le luxe de l'appartement privé, chaud, douillet, bien qu'agité...


Une grosse voix vint passer au dessus de celle de maman, mum tiens qu'es ce donc.. papa peut-être oh ben vu la voix qu'il a je sens qu'a mon avenir j'ai plutôt l’intérêt à être sage...


Allez encore un tournis par-ci, un tournis par là, et la je me dis vivement que je sois grand!!!!
Yris
Samedi 6 avril 1460 , Fougères.

C’était un soir d’avril, un soir serein et doux. Nos voyageurs s’étaient tous réunis autour d’un feu, à la sortie de la ville. Les flammes dansaient, le vin doux circulait, les chants résonnaient dans la campagne bretonne et le ciel était étoilé. C’était le dernier soir sur les terres celtiques.

Que de souvenirs, des bons, des plus pénibles et ce soir Yris garderait en mémoire chaque visage breton qu’elle avait rencontré, chaque paysage qu’elle avait vu.

Certes elle allait revenir parcequ’on revient toujours en Bretagne.

Mais que réservait ce voyage ? demain, ils seront de l’autre coté, ils seront en terres hostiles…

Elle ne voulait pas perdre le moindre souvenir de ce voyage et donc elle s’était promise d’écrire chaque jour leur aventure comme un journal intime

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