Sofio_de_valmonte
Amour ! dites Oui !
Un sourire aux lèvres, elle entoure son cou, sy pend et sy enroule, plonge dans son regard, même si cela ne se fait pas, elle vient de lapprendre au cour de maintien, il faut savoir regarder les gens sans en avoir lair, le front , le nez, derrière, sauf que si elle faisait cela, elle aurait limpression de loucher.
-Non
Mince, cela ne devait pas se passer ainsi, il aurait du dire oui, elle aurait répondu alors que non, que peut être bien que mauvaise idée, de la il aurait voulu savoir, et lui aurait dit, expliquez moi, peut être ben que oui, elle se serait fait alors prier, telle une réponse de mijaurée, pour qua la fin le Oui sorte dun air convaincu et affirmé.
Hésitation, lair boudeur ou enjôleur, cruel dilemme, elle choisit le baiser passionné, lembrouiller un instant, le noyer dans un flot de tendresses, le sentir flancher, douter .
-fin cela dépend, mais je vais me faire avoir
Un sourire sébauche, une voie est ouverte, comme un an plus tôt, en cet instant leurs sentiments et passions prenaient leurs envols, certain deux comme jamais, ils avaient décidé de sunir par les liens sacrés du mariage.
-Amour notre anniversaire de mariage, bientôt, et je voulais quelque chose dunique et personnel, que diriez-vous de .
Elle se mordille la lèvre sans lâcher son regard, lidée les fera passer pour des fous, aux yeux de tous, des originaux ou bien des belliqueux, mais quelle sensation est plus forte que de se sentir bien vivant au cur dune lice, quel enivrement nest dégale que le sang qui coule dans les veines palpitantes, sortir de la torpeur des villages endormis, ils ne seront queux, face à face, une mêlée de corps perdus dans limmensité de leurs regards.
_ Ben ,si je vous dis rendez-vous, dimanche à 18 heures, dans larène de Moulins ?
Le regard flanche, des yeux il dérive, il cherche la moindre expression de son visage, comme quand il serre les mâchoires, parfois pour ne pas paraître, comme quand sur son front elle voit apparaitre, cette barre qui traverse, le doute et la contrariété, comme quand elle voit ses mains devenirs fermes et se serrer pour devenir poings. A elle de rajouter.
-Puis Dimanche c'est le jour de Pacques, c'est sacré ca non?
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Un sourire aux lèvres, elle entoure son cou, sy pend et sy enroule, plonge dans son regard, même si cela ne se fait pas, elle vient de lapprendre au cour de maintien, il faut savoir regarder les gens sans en avoir lair, le front , le nez, derrière, sauf que si elle faisait cela, elle aurait limpression de loucher.
-Non
Mince, cela ne devait pas se passer ainsi, il aurait du dire oui, elle aurait répondu alors que non, que peut être bien que mauvaise idée, de la il aurait voulu savoir, et lui aurait dit, expliquez moi, peut être ben que oui, elle se serait fait alors prier, telle une réponse de mijaurée, pour qua la fin le Oui sorte dun air convaincu et affirmé.
Hésitation, lair boudeur ou enjôleur, cruel dilemme, elle choisit le baiser passionné, lembrouiller un instant, le noyer dans un flot de tendresses, le sentir flancher, douter .
-fin cela dépend, mais je vais me faire avoir
Un sourire sébauche, une voie est ouverte, comme un an plus tôt, en cet instant leurs sentiments et passions prenaient leurs envols, certain deux comme jamais, ils avaient décidé de sunir par les liens sacrés du mariage.
-Amour notre anniversaire de mariage, bientôt, et je voulais quelque chose dunique et personnel, que diriez-vous de .
Elle se mordille la lèvre sans lâcher son regard, lidée les fera passer pour des fous, aux yeux de tous, des originaux ou bien des belliqueux, mais quelle sensation est plus forte que de se sentir bien vivant au cur dune lice, quel enivrement nest dégale que le sang qui coule dans les veines palpitantes, sortir de la torpeur des villages endormis, ils ne seront queux, face à face, une mêlée de corps perdus dans limmensité de leurs regards.
_ Ben ,si je vous dis rendez-vous, dimanche à 18 heures, dans larène de Moulins ?
Le regard flanche, des yeux il dérive, il cherche la moindre expression de son visage, comme quand il serre les mâchoires, parfois pour ne pas paraître, comme quand sur son front elle voit apparaitre, cette barre qui traverse, le doute et la contrariété, comme quand elle voit ses mains devenirs fermes et se serrer pour devenir poings. A elle de rajouter.
-Puis Dimanche c'est le jour de Pacques, c'est sacré ca non?
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