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[rp]anniversaire du duché : Grand tournoi de combat à l'épée

Della
On avait encore pu entendre sa voix s'élever lorsque Ursus avait vaincu son adversaire.
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Bravo ! Bravo ! Vive Orléans !
Comme personne n'avait été envoyé par son époux pour lui dire de se calmer, elle en avait déduit qu'il n'était pas dans les parages et donc, elle en profitait allégrement.


Mais lorsque son tour vint, elle ne pipa plus un mot. Une grosse boule de frayeur lui coinçait le gosier, l'empêchant presque de respirer.
C'est qu'il était balèze le Conan et son surnom, il ne l'avait pas volé.
Mazette, il n'allait rien rester d'elle si elle ne la jouait pas finaude. Pas question de se laisser battre devant les Orléanais qui l'avaient accueillie si chaleureusement.

Quel pouvait bien être le point faible de cette armoire tout en muscles ?
Elle le découvrit bien vite, même si ce fut par hasard qu'elle se sauva lorsqu'il fonça droit sur elle en faisant de grands moulinets avec son épée. Diantre, la peur qu'elle avait eue ! C'est à peine si elle n'avait pas mouillé ses braies dis donc !
Et elle comprit...L'armoire était balèze mais pas très futée. Elle l'aurait à l'usure, en esquivant chaque frappe d'un saut tantôt en arrière, tantôt d'un côté, puis de l'autre...Hop hop hop...Simple !
Petite, pas trop grosse, habituée aux longues marches dans les vignobles et rompue aux travaux des vignes, Della avait pour elle un souffle à tout épreuve. Loué soit le ciel !
Lorsqu'elle vit que Conan commençait à souffler comme un boeuf, elle décida que c'en était assez. Elle suait elle aussi et un bon bain était absolument nécessaire. En deux temps, trois mouvements, elle se retrouva à cheval sur les épaules du destructeur après un lancer réussi de son bouclier et...pareille aux gladiateurs qui attendaient le signal du pouce impérial, elle attendit le verdict de Messire Godefroy.


Vainqueur Dame Della !


L'était temps ! Parce que là, elle était fourbue.

Elle quitta sa monture, en lui tapant un coup d'épée sur la tête, sans le faire exprès bien entendu, lui décocha un sourire moqueur et après moult saluts à la foule en délire, elle s'en alla prestement vers la tente où elle pourrait quitter ses vêtements collants et se rafraîchir.

Mais où était donc Kéri Kéri Chéri ?

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Keridil
Après son inspection de la lice, Keri Keri, qui n'avait pas pris la peine de regarder qui étaient les participants, était parti voir ailleurs, et notamment s'inscrire à la course à Trois Pieds, lui qui n'en a, en pratique, qu'un de valide, et de fait, il avait raté le lancement des combats.
Pas de bol, il y aurait découvert que son épouse, une fois de plus, se prenait pour l'homme de la maison.
De loin, entendant la voix de la blonde s'élever pour encourager les Orléanais en lice, le Duc s'était satisfait de voir sa consort investie, et présente. Elle ne faisait pas pot de fleur, c'était le principal, et, belle comme un coeur, elle travaillait au prestige de sa Couronne.
Toutefois, parvint à l'oreille du brun qui s'approchait des lieux de combats, après s'être inscrit sur le registre idoine, une allocution du maître du jeu, et qui ne fut pas pour lui plaire.


Vainqueur Dame Della !

Han ! Séverin ! Della est allée combattre. La bougresse !

Et de se pointer dans les gradins, la fusillant volontiers du regard. Pas de bol, elle partit dans sa tente sans regarder dans sa direction. Ce soir, y'en a une qui va prendre !
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Et si tu veux la liberté, l'égalité et la fraternité, va jouer à Tribalistan.
Zelenka
La brune fraîchement revenue de s'inscrire à la course à trois pieds, elle découvrit le panneau d'affichages ainsi que le nom de son adversaire. Son sang avait dû se figer quelques instants glaçant tout son être, elle en devint blême. Courage! Tu en as vu d'autres!!! se dit-elle intérieurement. Secousse de tête pour se remettre les idées en place suivi d'étirements plus ou moins ordonnés. Durant ce temps les combats allaient bon train, déjà trois de passés sans que Zelenka n'en vit une miette! Les rumeurs circulaient et disaient que Dame Della avait vaincu le Destructeur, est-ce possible? oui nul doute là-dessus! Annonce qui remis du baume au coeur de la guerrière qui se dirigeait vers la tente, il lui fallait un petit remontant malgré tout! Elle avala d'un seul trait une chopine de bière et fila à la suite vers la lice. Son nom retentirait certainement très bientôt. Armée de son épée favorite, celle-là même qui transperça il n'y a pas si longtemps le Poilu en personne!! Son bouclier sera de la partie aussi, tant qu'à se protéger autant bien le faire.
Elle resta concentrée jusqu'à ce qu'elle aperçoive son homme non loin de l'arène. S'approchant de lui par l'arrière, elle glissa doucement sa main dans la sienne entrelaçant ses doigts entre les siens avant d'y donner un coup d'épaule.
Alors es-tu prêt à me porter dans tes bras jusqu'à la maison quand l'Ecossais m'aura découpée en rondelles? lui dit-elle en riant avant de lui donner un baiser fugace.
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Messire_godefroy
J'appelle maintenant les deux combattants suivants !

Xeenaa dicte la peu farouche contre Sire Alonso

Les deux combattants entrèrent en lice. Xeenaa passa pres de Godefroy, à le frôler, elle le regarda et lui glissa une oeillade lascive du regard. Cela agaca passablement le maître d'armes. La belle guerrière tentait-t-elle de le corrompre ?.... Elle se mit en garde face à Alonzo qui sourit malicieusement en voyant son jeu outrancier...
Alonzo fit tournoyer une fois son épée pour s'assurer qu'il l'avais bien en main et se mit en garde le regard fixé sur les yeux de l'amazone.


Combattez !

Les adversaires s’observèrent en tournant face à face pendant de longues minutes. La détermination d'Alonzo se lisait sur son visage détendu mais son regard était très concentré. Xeenaa riait, faisait mine d'attaquer en avançant une jambe. Le geste étant accompagné d'un cri d'attaque impressionnant... Soudainement, elle lança son attaque. Elle tenta de le piquer d'estoc. Il parât l'attaque en balayant devant de son l'épée. Il recula un peu. La voluptueuse guerrière chargea alors et infligea une volée de coups sur le bouclier d'Alonzo qui commençait à se déformer sous l'avalanche de puissants coups martelés. Mais la protection tenait bon et Alonzo attendait l'instant ou la contre attaque ferait mouche... Il attaqua à son tour, puissamment, précisément, il entama l'épaule de Xeenaa. Elle hurla de douleur et devint enragée. Ellese rua sur lui de toutes ses forces, aveuglée par la colère, elle se découvrit au flanc...
C'est ce qu'attendait Alonzo. Il glissa audacieusement sous la charge puis sous le bouclier. l'épée de la furie le frôla. Il se retrouva contre elle, corps contre corps, il sourit. La pointe de son épée était bien appliquée sur le flanc de la farouche guerrière, au niveau de son coeur.


Le combat est terminé. Vainqueur Sire Alonzo !

Alonzo déposa un baiser de défi sur la joue de Xeenaa puis ria de bon coeur. Puis il salua la foule, et repartit tranquillement vers la tente afin de recevoir des soins. Xeenaa écumait de rage, son épaule saignait. Elle jeta son épée et son bouclier à terre de rage...

Godefroy ramassa l'arme et le bouclier...

Venez ! je vous accompagne à la tente... il faut vous faire soigner. Leanore ! Une cliente pour toi !...
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Godefroy Amaury de Malphètes,
Ursus
D’aucuns pensent que plus elle est grosse mieux c’est. Mais voilà, il ne faut point être trop gourmand car grande épée est aussi très lourde. Le Duc de chateaurenard se contenta d’esquiver les puissantes frappes de son adversaire. Pourtant celui ci aurait dû savoir que le sabre léger peut donner de mortels coups.

Alors que son ennemi se fatiguait et suait à grosses gouttes, il ne restait plus qu’à ajuster quelques coups de taille pour défoncer l’armure de Renaud de Chatillon. Dans un ultime effort celui ci se jeta en avant pour porter une attaque désespérée. Une petite poussette, une jambe en barrage et le voilà terrassé au sol.

Ursus regarda son écuyer et leva le poing en signe de victoire. Il retira ensuite son heaume pour saluer la foule et tendit la main vers son adversaire pour l'aider à se relever.

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Leanore


Godefroy ne savait où donner de la tête tant les candidats étaient nombreux. Un dernier se présenta in extremis avant la clôture des inscriptions. Bientôt son époux afficha le tableau des combats futurs.
Tous auraient fort affaire face aux terribles combattants venus de l’étranger.

Le son des trompettes annoncèrent le début des combats et Léanore s’écarta un peu pour pouvoir admirer le spectacle sans aucun risque.

Ce fut le gouverneur en personne qui dut ouvrir le feu et pas le moindre. Contre un représentant du Ponant. Tout un symbole. Comble de l’ironie, le ponantais présenta ses hommages à Xalta en lui annonçant qu’il combattait pour elle. Ainsi il y avait aussi des chevaliers là-bas.

Le sanguinaire eut très vite le dessus et malheureusement, le gouverneur fut à terre. Godefroy arrêta le combat lorsqu’il vit la pointe de l’épée sur la gorge de Bourguignon. Serait-il allé jusqu’au bout ?

Près d’elle DElla criait ou plutôt hurlait ses encouragements. Tout le monde applaudit le gouverneur qui s’était battu avec vaillance.

Les combats se succèdaient avec plus de réussite pour les Orléanais. Ursus fut vainqueur de son templier qui avait mal choisi son arme.

Lorsque Della prit place, Léanore retint son souffle. Comment une femme chétive pourrait venir à bout de ce mastodonte. Et pourtant elle y parvint. Léanore admira sa grâce féline, sa souplesse. Elle combattait toute en finesse tandis que son adversaire y allait de sa force. Lorsque Della fut déclarée vainqueur, Léanore applaudit encore plus et eut envie d’aller la féliciter. Mais elle se retint se disant que la dame voulait sans doute se reposer et se rafraichir. Cela attendrait donc surtout qu’un autre combat allait commencer.

Une autre femme, une guerrière contre un autre Orléanais que Léanore ne connaissait pas. Mais elle l’encouragea autant que les autres. La combattante semblait coriace est surtout très agressive. Pour la première fois dans ces duels, le sang coula. Lorsque Godefroy cria l’arrêt du combat pour annoncer la victoire de Alonso, la guerrière ne sut pas cacher sa colère et sa rage. Godefroy lui proposa de venir se soigner mais accepterait elle ?

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Messire_godefroy
Que les deux combattants suivants entrent en lice !

J'appelle le Seigneur Mac Leod dict l'immortel des Highlands et Dame Zelenka

Zelenka entra la première, en courant doucement, la tête haute et le regard intrépide. Elle vint se placer au centre du cirque armée de son épée favorite et de son bouclier. Sautillant sur place, elle semblait être impatiente d’en découdre … Elle aperçut enfin le highlander pénétrer dans l’arène en marchant nonchalamment, un petit sourire éclairait son visage. Il ne portait pas de casque. Son kilt était constitué d’une étoffe particulière, celle qui portait les motifs du clan des Mac Leod. Les deux concurrents se mirent en garde face à face.

Combattez !

Dès le signal, Zelenka, véloce, couru littéralement vers l’écossais et avec la détermination visible de vouloir en finir vite. Mac Leod, surpris par la charge de l’attaquante, recula en retard, mais réussit, tout de même, à parer le coup de l’amazone. Dans l’élan, Zelenka ressentit une rage enfiévrée de gagner. Elle prit son bouclier à la main et lui assena deux violents coups à la tête. Le pauvre écossais, pris de vitesse, assommé par deux fois, abasourdi semblait ne plus avoir ni la notion du temps, ni celle de l’espace…Il tenta d’avancer vers elle. La point de l’épée de Zelenka l’en empêcha. Elle était déjà figée droite contre sa gorge….

Le combat est terminé. Vainqueur Dame Zelenka !

Mac Leod ne comprit pas tout de suite qu’il avait perdu mais il sentait bien la lame de Zelenka appuyée contre sa glotte. Il comprit alors que la guerrière l’avait vaincu. Il se résigna et sourit largement…

Zelenka leva alors son bras vainqueur vers le ciel et salua la foule qui l’acclamait. Elle repartit en petites foulées vers la tente des combattants…

Le highlander continuait de sourire. Pffff ! Il venait de comprendre que parfois, il ne vaut mieux pas défier les dames. Il eut fallu y songer auparavant….

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Godefroy Amaury de Malphètes,
Bourguignon
Le Boeuf partit sous la tente des combattants attendre le début des combats et surtout savoir contre qui il allait se mesurer. Il salua les participants mais n'eut pas le temps de commencer une discussion que l'organisateur appelait déjà les différents inscrits pour qu'ils puissent prendre connaissance de leurs adversaires.

Le Gouverneur tomba sur un Ponantais pas de chance pour lui ces derniers ne lui avaient réussi lorsqu'il était parti pour Poitiers, il esperait cependant que s'inverse pour les festivités orléanaises.
Après s'être équipé il se présenta devant son adversaire, le salua puis attendit le signal de l'arbitre.
Des qu'il fut donné le ponantais se rua sur le Boeuf, frappant de toutes ces forces, vite et bien, Bourguignon surprit par la rapidité de ces attaques ne put que parer certains coups mais l'issue ne serait pas en sa faveur et après un combat de courte durée le corps du Duc s'écroula par terre devant les assauts répétés de son assaillant.

Bourguignon se releva, salua son adversaire ainsi que le foule qui par courtoisie l'applaudit avant de huer le gagnant. Une défaite n'était jamais plaisante et encore moins contre un Ponantais mais il fallait se rendre à l'évidence le Boeuf commençait surement à s'enrouiller et était tombé ce jour la sur plus fort que lui. La chance lui sourira surement pour un autre tournoi.
Il repartit en direction de la tente pour reprendre une tenue plus correcte puis assista aux autres combats ne manquant pas d'applaudir et d'encourager les Orléanais, notamment la Consort qui en avait fait de même pour lui, lorsque leur tour arrivait.

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Messire_godefroy
J'appelle en lice les deux combattants suivants !

Sire Aigle_Blanc Contre Sire Scoldt

Les deux combattants entrèrent simultanément. Ils se placèrent face à face et se mirent en garde.

Combattez !

Après une phase d’observation assez longue, les adversaires engagèrent le combat. Scoldt attaqua le premier, de taille. Aigle brandit son bouclier et para le coup. Il contre attaqua en tentant une frappe de taille de traverse. La aussi, le bouclier de Scoldt fit son office…Pendant près d’une demi heure, ils échangèrent des coups alternativement sans que l’un d’eux ne prenne véritablement le dessus. Le bouclier de Scoldt montrait des signes de faiblesse. Tout cabossé, la sangle de cuir usagée, était aussi sur le point de rompre. Aigle s’en aperçut et déchaina sa fureur en s’acharnant sur le bouclier dont la sangle finit par rompre. L’écu de protection tomba au sol lourdement. L’échange suivant fut déterminant. Scoldt, le bras endolori, tenta une attaque qui fut bloquée par Aigle Blanc. Aigle blanc attaqua simultanément, son assaut ne rencontra pas la résistance du bouclier absent et trouva le flanc du thorax de Scoldt.

Le combat est terminé. Vainqueur Sire Aigle Blanc !

Scoldt regarda avec mépris son bouclier… Trahi par son équipement…tssss… pensa-t-il… Il salua ensuite dignement son adversaire… Sourit à la foule et se retira en marchant vers la tente.

Aigle Blanc Leva le bras en signe de victoire et salua la foule ou se trouvait sa famille. Il arborait un grand sourire.

Hum… Pensa Godefroy… Ce très jeune homme promet… Excellent combattant !

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Godefroy Amaury de Malphètes,
Della
Après avoir aimablement demandé aux messires de bien vouloir sortir quelques minutes et de ne pas regarder par les trous d'usure de la toile, Della quitta ses vêtements avec grand plaisir pour en enfiler d'autres, frais eux, non sans s'être préalablement rafraîchie et parfumée de cette délicieuse eau de violette reçue récemment.

On apporta un plat garni de cuisses de poulet bien rôties...Miam !
Della en emporta une en sortant, direction la lice où les combats avaient repris.
Elle en avait raté un. Celui en cours opposait dame Zelenka à l'homme en kilt ! Chouette !

Se postant au bord de la lice, tenant fermement son poulet dans sa main droite, la Consort avait bien l'intention de vérifier ce qu'il se passait sous ce fameux morceau de tissu. Lorsque Zelenka le frappa, Della pensa que l'homme allait rouler, les quatre fers en l'air et que ce serait le moment opportun ! Hé ben non...il ne roula pas. Déception...
Mais Zelenka vainquit !
Ce qu'il restait de la cuisse de poulet se balança au rythme des :
Youhou ! Bravo, Zelenka ! Le dernier os fut jeté à un brave toutou aux yeux de chapoté.

A son voisin de droite - qu'elle ne connaissait pas - Della dit toute sa joie :
Z'avez vu ? Haha ! Terrible les femmes, par ici ! Et de partir dans un grand éclat de rire lorsqu'on annonça la combat suivant.

Celui-ci fut lent au début...Della fila chercher une autre cuisse de poulet et ramena par la même occasion, une gourde remplie d'hypocras.
Elle s'installa à même le sol pour son pique-nique...Cela lui donna quelques idées pour les festivités royales du couronnement puisque Sa Majesté Vonafred voulait un pique-nique, ce qui bien évidemment, désolait le Premier Maître d'Hôtel, habituée qu'elle était à mettre les petits plats dans les grands lorsqu'il s'agissait de confectionner les menus de la famille royale. Mais bon, que voulez-vous, les Rois et les Reines allaient et venaient, chacun avec leurs goûts tandis que Della, elle, restait attachée solidement à son Office qu'elle gérait de main de maître, s'adaptant autant qu'il le fallait.

Alors qu'elle était perdue dans ces considérations, il lui sembla que l'Aigle ait pris le dessus.
En effet, Messire Godefroy l'annonça vainqueur !
Là-dessus, l'on vit la Consort de lever comme saute une grenouille un soir d'été et à nouveau, elle s'égosilla :
Bravo, l'Aigle !

Et c'est précisément à ce moment-là qu'elle aperçut...son époux...

Vite, elle essuya ses mains grasses de poulet sur ses braies et tout sourire, elle s'avança jusqu'à lui.
Trésor ! Vous voici, mais où étiez-vous ? Tiens, un bisou sur la joue en prime...Allez, souris Kéri Chéri...Elle est trop meugnonne, ton épouse...avoue !
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Messire_godefroy
Ouf !... Il faisait chaud...Entre deux combats, Godefroy décida de s’accorder une petite pause et d’aller se désaltérer d’une bière, voire de déguster une morceau de volaille rôtie. Il venait de voir passer des fermiers qui, bénévolement avaient choisi de porter des victuailles aux combattants. Il fut surpris de voir un attroupement devant la tente. Qu’importe ! il avait soif et faim, il pénétra sans bruit dans la tente… Rhooooo....Quelle surprise ! il aperçut Dame Della, la consort, nue comme au premier jour, en train de se frotter les fesses à l’eau de violette..... Elle ne le vit pas… Arf, il ressortit aussi vite et aussi furtivement que possible… Les sourires de Mumbly et d’Ursus l’accueillirent. L’un lui tendit une bière, l’autre un pilon de poulet… Godefroy était tout rouge, il ria de bon cœur….

Vous auriez pu me prévenir, bandes de rats morts…. Et si elle m’avait vu ?... Et si le Duc était là… Et si Léa était là ?...Vous êtes des traitres, mes amis….

Arf…Pour votre peine, je ne vous dirai pas si elle est belle…, pourtant…


Les trois hommes partirent d’un éclat de rire. Godefroy bu sa bière d’un trait, avala sa pièce de volaille, balança l’os à un drôle de chien qui trainait dans le coin et s’essuya la bouche du revers de la manche.

Il vit alors la consort sortir de la tente vêtue de vêtements frais. Il la salua d’un hochement de tête et sourit davantage qu’à l’accoutumée. Evidemment les deux compères, Mum et Ursus étaient morts de rire à quelques mètres.


Bon ! Ce n’est pas tout, les combats doivent reprendre. J’y retourne…

Godefroy se replaça au centre de l’arène.


J'appelle en lice les deux combattants suivants !

Sire Mumbly contre Sire Manulechti

Mum effaça son sourire immédiatement. Il mit son heaume, se munit de son épée et de son bouclier et se dirigea vers le centre de la lice en trottinant. Il se mit en garde en faisant tourner, de temps à autre, son épée dans sa main, ce qui témoignait d’une grande dextérité…
Manu arriva dignement, en marchant doucement. Il se mit en garde en poussant un cri terrifiant destiné à effrayer Mum.



Combattez !

Mum attaqua le premier, puissamment, il frappa de taille de haut en bas, à plusieurs reprises. Le bouclier de Manu bloqua toutes les attaques. Même si les chocs étaient rudes, le matériel tenait bien face aux coups de boutoir que martelait Mum. Manu s’élança en contre attaque. Il plaça son épée juste au dessus de son bouclier, la pointant sur Mum et étendit le bras. Le coup fut paré de l’épée par Mum qui changea de tactique. Il asséna un violent coup de bouclier à Manu qui tomba à terre en arrière en butant sur une pierre… cris dans la foule .......silence pesant… Mum lui fit signe de se relever, il était un homme d’honneur, il n’aurait jamais profité d’une situation aussi injuste. Manu se releva, il repartit à l’assaut aussitôt tentant de frapper Mumbly aux jambes. Mum sauta pour éviter le coup, jeta son bouclier, pris son épée à deux mains et retomba en déposant la pointe de son épée sur le cou de Manulechti. Il regarda Godefroy d’un air de dire : terminé !

Le combat est terminé. Vainqueur Sire Mumbly !

Les deux hommes se saluèrent et partagèrent une accolade chaleureuse. Ils se respectaient mutuellement. Manu prit le bras de Mum et le leva vers le ciel… Clameurs de la foule…

Ils partirent tous deux, en marchant cote à cote, vers la tente des combattants….

Si tout le monde pouvait avoir un si bon esprit… Godefroy, visiblement satisfait de la qualité du combat, sourit…. Il consulta ensuite son parchemin pour prendre connaissance des prochains adversaires !

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Godefroy Amaury de Malphètes,
Zelenka
La voix grave et puissante du maître de jeu Messire Godefroy retentit hors de l'arène jusqu'aux oreilles de la brunette d'Adonville. Il venait de prononcer son nom! Elle qui attendait patiemment et tendrement accrochée à son valet de coeur. Ca y est c'est son tour de fouler le sol de la lice, ce qu'elle ne rechigna pas à faire. Elle semblait surexcitée, survoltée, sautillante et vive comme l'éclair. Gardant à l'esprit les quelques conseils que Etienne lui donna plus tôt dans la journée et surtout le défi lancé, le kilt en question. Mais une fois sur scène elle oublia déjà son premier conseil! Dur dur pour la jeune guerrière d'y aller dans la finesse quoique le Mac Leod fut si surpris par la fulgurante attaque qu'il n'eut même pas le réflexe de protéger ses attributs masculins. La Zel avec toute la détermination que certains lui connaissent s'en prit au kilt de son adversaire!! Etrange démarrage de combat!! Avec une habileté inouïe, bien aidée de sa lame très acérée elle découpa le ceinturon qui tenait ledit kilt qui par malchance fut rattrapé in-extrémis par la main de l'homme avant qu'il ne descende et assouvisse la curiosité de bon nombre de personnes icelieu.

Fichtre! j'y étais presque se dit-elle intérieurement.

Ainsi déconcentré l'Immortel des Highlands fut submergé par la violence des coups d'écus donnés par la vaillante Zelenka qui l'emporta haut la main.

Entrée surexcitée, sa sortie l'était tout autant voire plus encore d'avoir vaincu le géant à la longue chevelure. Elle chercha partout pour voir la réaction de son homme lorsqu'elle entendit la Consort hurler son nom. Ce qui la remplit de fierté, Zel encore dans l'arène se dirigea vers le Duchesse Della et s'inclina devant elle en signe de respect.
Merci Della! lui dit-elle, tout sourire en se jurant d'aller la féliciter elle aussi pour sa victoire contre le terrifiant Destructeur.
Elle finit par quitter les lieux afin de rejoindre la tente, un réconfortant en-cas agrémenté d'une bonne rasade de bière lui ferait un bien fou. Se changer?? Heu ben non, elle n'eut même pas le temps de suer vu la rapidité de son duel.

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Messire_godefroy
J'appelle en lice les deux combattants suivants !

Sire Pomdunor contre Sire Elyasdecortavar

Elyas s’approcha, presque timidement tenant une épée très courte et un petit bouclier rond. Il avait sur la tête posé une cervelière de métal blanc qui semblait être trop grande pour lui. Ajoutant au tableau allure frêle du jeune homme. Il ne faisait pas bien peur le pauvre bougre. Pomdunor arriva tout sourire, près à en découdre, une drôle d’épée à la main. Elle semblait avoir été bricolée sommairement.
Les deux antagonistes se mirent en garde, près à bondir l’un sur l’autre.

Godefroy fronça les sourcils, tant la différence de gabarit était flagrante. Sauf miracle, le sort du combat était plié…



Combattez !

Pomdunor n’eut pas d’état d’âme… Il attaqua franchement son chétif adversaire. Il frappait, frappait, frappait de plus en plus fort sur le bouclier d’Elyas. Le pauvre bougre reculait à chaque coup asséné. De plus, il avait du mal à rester stable sur ses jambes.
Godefroy soupira…trop déséquilibré ce combat….
Mais Elyas avait toujours son regard lumineux, déterminé. Il subissait mais ne pliait pas. Les coups pleuvaient sur son petit bouclier rond mais ce dernier tenait bon.
Pomdunor commençait à s’énerver, il frappa encore plus fort. Son épée commençait à se démancher, il ne s’en aperçut pas immédiatement. Au dernier coup porté d’une violence extrême sur le bouclier d’Elyas la lame de l’épée se démancha du pommeau et s’envola à plusieurs mètres. Elyas en profita aussitôt. D’un geste déterminé il attaqua et plaça la pointe de son épée sur le cou de pomdunor.
Godefroy n’en croyait pas ses yeux. Quelle malchance pour Pomdunor ou, plutôt, quelle chance pour Elyas !


Le combat est terminé. Vainqueur Sire Elyasdecortavar !

Pomdunor regardait, dubitatif, le pommeau de son épée resté dans sa main, cette épée était vraiment de mauvaise qualité…. Elyas, lui, leva le bras en signe de victoire puis s’approcha de pomdunor comme pour s’excuser … Clameurs de la foule… Les dieux de la guerre n’étaient pas avec Pomdunor, ce jour…

Ils partirent tous deux, en marchant cote à cote, vers la tente des combattants….

Incroyable ! pensa Godefroy, visiblement ébahi de l’issue du combat, il sourit, c’est la vie….

Il fallait maintenant tirer au sort les combattants du second tour….

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Godefroy Amaury de Malphètes,
Messire_godefroy
Godefroy venait de procéder au tirage au sort. Il retourna au centre de l'arène.

Il rappela la liste des vainqueurs du premier tour...



Combattants restant en Lice pour le second tour

Hibelin dict le sanguinaire

Sire Ursus de Valbois, duc de Chateaurenard

Dame Della

Sire Alonso

Dame Zelenka

sire Aigle_Blanc

sire Mumbly

Sire Elyasdecortavar


Puis Godefroy annonça les combats du second tour.....


RÉSULTATS DU TIRAGE AU SORT POUR LE 2eme TOUR


Dame Zelenka.............contre............Sire Mumbly

sire Aigle_Blanc..........contre............Sire Elyasdecortavar

Hibelin dict le sanguinaire du Ponant......contre.......Sire Ursus de Valbois, duc de Chateaurenard

Dame Della .................contre............Sire Alonso


Bien, que chacun prenne un repos bien mérité... Les combats reprendront demain.
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Godefroy Amaury de Malphètes,
Elyasdecortavar
Elyas regardait les combats tranquillement installé. Pas d'alcool avant un combat, la chopine doit être une récompense et non un échappatoire, tels étaient les mots de son père. Il fixait donc les farouches guerriers, pronostiquant les vainqueurs, analysant les faiblesses et surtout essayant de sécher ses mains moites.

Puis vint le simple mot : "Combattez !", un mot lourd de sens, un mot dont-il n'était pas prêt...

Son père disait : "observer, comprendre, réagir" Le jeune homme ne prit qu'une seule option, la protection.
Il subissait donc les assauts répétés, sans faillir, sans broncher. Son épaule le faisait souffrir, son bras était las, le sang battait à ses tempes. Et pourtant, il tenait.

La chance fait partie du combat... Elle est l'élément hasardeux, parfois troublant, parfois révoltant mais toujours essentiel pour l'un ou l'autre des combattants.

Aujourd'hui c'était son moment. Lui le pauvre bougre était en passe d'avoir un moment de gloire. Il souhaitait plus que tout apparaitre en pleine lumière. Devenir un homme, devenir quelqu'un !


Le combat est terminé. Vainqueur Sire Elyas !

Un sourire illumina le visage de l'enfant, disparaissant pour montrer un visage victorieux de l'adulte en devenir.
Il s’approcha de pomdunor.


Désolé...Je ne mérite rien...

En repartant vers la tante, il se forçait pour ne pas masser son bras endolori.
Fêlure ? Luxure ? brisure ? Quelle douleur... ?
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