[rp]anniversaire du duché : Grand tournoi de combat à l'épée

Ursus

Ursus connaissait bien ces gueux. Il avait déjà repoussé trois sièges des bretons, et leurs alliés. Les cicatrices qu’il portait au flanc pouvaient en témoigner. Le ponantais qu’il avait en face de lui était du genre grande brute, aux manières des vils brigands.

Et le voilà qui fanfaronnait après sa victoire. Le Duc de Chateaurenard se sentit offusqué par un tel comportement. Il devait se battre pour sauver l’honneur de Bourguignon et pour ses amis orléanais qui murmuraient leur colère dans les tribunes tout autour.

Le combat s’engagea brutalement. Son bouclier faillit exploser sous les coups, mais Ursus préféra esquiver, pour que passe l’orage du feu. Après quelques échanges, il fut le plus rapide et au bout d’un assaut il pointa son épée sous la gorge du ponantais.

C’est alors que ce traite voulut le frapper dans le dos. Il fut heureusement arrêté par son écuyer : une blessure à la cuisse.

Merci Godefroy. Je te dois la vie sauve. Quant à mon bouclier, je ne pense pas qu’on pourra le réparer. Mais peu importe, l’important est d’avoir vaincu cet horrible guerrier…
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Leanore

Le second tour avait commencé, huit concurrents étaient encore en liste dont 7 Orléanais. Un beau palmarès.

Les combattants s’étaient reposés, avait mangé un peu, s’étaient désaltérés et prenaient le chemin du pré.

Son ami Mumbly fut encore victorieux après un combat acharné contre Zelenka qui était vraiment coriace. Sous sa silhouette fluette, elle il y avait des ressources bien cachées.

C’est alors que son amie Ninouchka fit son apparition et Léanore la retrouva avec beaucoup de joie. Elles s’embrassèrent heureuses de ces retrouvailles certes fugitives mais toujours pleines de chaleur. Ninou taquina Léanore sur le tempérament de son époux et la jeune femme rougissante répondit

C’est vrai que Godefroy a de l’énergie.

Petit regard plein de tendresse et d’amour pour l’homme qui comblait désormais sa vie puis sourire qui en disait long à Ninouchka.

Soudain, Godefroy annonça le combat qui engagerait le Ponantais. Il entra sous les huées de la foule ce qui décupla sa rage.

Pour provoquer encore plus l’assemblée, il se tourna vers Léanore pour lui proposer de se battre pour elle. Elle en fut troublée non pas d’émotion et de flatterie mais bien de honte. Léanore était pourtant très ouverte d’esprit et assez conciliante mais de là à ce qu’un autre que son époux se batte pour elle, il exagérait.

Elle aurait voulu disparaitre sous terre et chercha du regard le réconfort de son mari. Elle le vit blémir, puis passer au rouge, elle savait qu’il contenait sa colère.

Cette arrogance ne déconcentra pas Ursus et c’est serein qu’il prit place pour affronter l’effronté.

Les attaques du Ponantais étaient toute en muscles et aucunement en finesse. Ursus eut raison de l’impudent et c’est les bras levés vers la foule orléanaise qu’il montra son contentement.

Le Ponantais, vexé refusa sa défaite et attaqua Ursus par derrière. Un cri d’effroi remplaça les hourras des spectateurs, et avant que Ursus ne se retourne pour parer une attaque traitresse, Godefroy put laisser s’échapper sa fureur et sa colère.

Le ponantais fut blessé et on dut le porter vers la tente. La médicastre qui était en elle prit le dessus : Ponantais, Orléanais, riche, pauvre, gueux, nobles peu importait pour elle dès qu’un homme souffrait. Elle espérait qu’il accepterait son aide.

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Erunlan

Erunlan sourit à Messire Godefroy , il ne l'avait pas reconnu au premier coup d'oeil tout préssé de vouloir se battre , se tournant il vit un ponantais et son visage vira au rouge , se "guerrier" avait gagné son maître car Erunlan jugeait qu'il avait fait du mauvais travail. Que faisait un homme tel que lui dans une si grande et belle fête? Il tira de quelques centimètres son épée mais se rassaisit et tourna la tête vers Messire Godefroy.

Il y'a de fort risque que je reste dans notre beau duché , si je ne peux participer puis-je au moins rester avec vous messire Godefroy ?

Messire_godefroy

Erun ! je comprends ton enthousiasme et il me flatte. Cependant ta place n'est pas au centre de l’arène, tu dois pouvoir trouver une bonne place auprès de Leanore.

Là bas, prés des tribunes... Allez va mon ami, le prochain combat va commencer...
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Messire_godefroy

RAPPEL DES COMBATTANTS ENGAGES AU 2eme TOUR

Dame Zelenka.............contre............Sire Mumbly

sire Aigle_Blanc..........contre............Sire Elyasdecortavar

Hibelin dict le sanguinaire du Ponant......contre.......Sire Ursus de Valbois, duc de Chateaurenard

Dame Della............. contre............... Sire Alonso

J'appelle maintenant en lice Dame Della contre Sire Alonso

Alonso avait fait preuve d'une bonne technique et d'un calme à toutes épreuves cependant il devait, cette fois, affronter le vainqueur du destructeur, dame Della avec sa technique peu orthodoxe mais tellement efficace. Les deux combattants se mirent en garde.

Combattez !

Longue phase d'observation, les combattants hésitant à se livrer. Della courait littéralement autour d'Alonso. Ce dernier se bornant à lui faire face en tournant sur lui même. Soudain Della décida d'attaquer. Elle trouva le bouclier d'Alonso en barrage. Il en suivit un échange de coups interminable ou épées et boucliers furent mis à rude épreuve. Della était plus véloce, plus rapide, plus agressive. Alonso se bornait à parer les coups et ripostait rarement. Il reculait même un peu. Soudain prise de frénésie, Della redoubla de fureur et frappa avec une grande rapidité en direction d'Alonso. Il recula et attendit la fin de la grêle de coups assénés. Bien mal lui en pris, Della en hurlant accéléra encore le rythme de ses attaques et finit par le toucher de manière bénigne au cou en lui faisant une petite estafilade

Le combat est terminé. Vainqueur Dame Della !

Della était en transe, transpirant de tout son corps, les yeux exorbités, elle hurla sa joie en levant les bras. Alonso la félicita en vérifiant la gravité de son égratignure. Ils se dirigèrent vers la tente en marchant cote à cote.
Hum… Pensa Godefroy… Quelle pugnacité ! La volonté de vaincre de dame Della est impressionnante... Faut pas l'embêter ! la consort !
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Messire_godefroy

RESTENT EN LICE POUR LES DEMI FINALES

Sire Mumbly

sire Aigle_Blanc

Sire Ursus

Dame Della

TIRAGE DES DEMI FINALES

1ère DEMI FINALE : Sire Aigle Blanc......contre.........Sire Mumbly

2ème DEMI FINALE : Dame Della...........contre..........Sire Ursus
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Erunlan

Erunlan hocha de la tête , ne voulant pas gêner les spectateurs et les participant , il sortit de l'arêne et alla observer le plus près possible les combats.

A plus tard messire Godefroy et bon arbitrage.

Keridil

Trésor ! Vous voici, mais où étiez-vous ?

Une voix vint sortir Keri Keri de son mutisme bougon. Della avait vaincu, mais le chemin n'était pas encore arrivé à terme. Se retournant, il accueillit la Duchesse avec un air d'abord froid.

J'étais là.

Où pouvait-il bien être, si ce n'est entre deux stands.
Un rien blasé, il se dérida tout de même devant le minois blond qu'il avait plaisir à voir évoluer dans le paysage orléanais. Si lui ne pouvait combattre, elle le faisait : un peu frustrant pour un homme, mais honorable pour un nom.
Souhaitant tout de même lui rendre la pareille en terme d'inquiétude, le brun annonça à sa mie :

Ma douce, je n'aime guère vous voir combattre, mais enfin si vous vous amusez...Moi, j'ai choisi de faire la course à Trois Pieds. Je suis inscrit avec Séverin. Il faut bien détendre ce brave garçon.

Vas-y, tu peux maintenant demander à Kerichou s'il ne craint pas de devoir subir une ablation de la jambe. PocPoc.
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Et si tu veux la liberté, l'égalité et la fraternité, va jouer à Tribalistan.

Della

Le Duc avait failli sourire, quand même.
Bon, il était encore un peu grognon mais Della était certaine que cela allait passer, la petite lueur dans son regard signifiait qu'il était presque rendu.
Le sourire qu'elle lui fit devait l'achever...un sourire charmant et charmeur, plein de promesses...
Hé oui, que voulez-vous, le temps passe, la trop timide Della si prude et si vite offusquée était à présent une épouse aimée et aimante, heureuse aux côtés de son époux, qui ne rougissait plus aussi vite lorsqu'on parlait des devoirs conjugaux qui avaient depuis longtemps perdu toute résonance de corvée.

La course à trois pieds !? Oh ! Avec Séverin ?
La bouche et les yeux avaient pris le même arrondi d'étonnement.

Mais...? Elle se mordit la lèvre, cherchant ses mots, voulant demander si cela était bien raisonnable, mais renonça, de peur de blesser ou de vexer son cher et tendre.
Je suis certaine que vous allez gagner, tous les deux !
Séverin doit être fou d'impatience !
Voici comment une femme amoureuse, une cousine aimante, arrive à aligner deux mensonges l'un à la suite de l'autre, tout cela pour préserver l'époux et le cousin.
Je viendrai vous soutenir ! Voulez-vous ?
Voulez-vous que je vienne hurler vos deux noms sur le parcours ? Aurait été la question...

Les combats reprirent.
Trésor, excusez-moi, mais je dois y retourner.
Un sourire encore, un regard caressant et un baiser, cette fois sur les lèvres et...zou ! direction la lice où Zelenka avait encore liquidé son adversaire, ce qui emplit la Duchesse de fierté - entre femmes, on se soutient.

Puis, Aigle gagna à nouveau
Et ensuite Ursus !

Bravo ! Bravo à tous !!!

Et ce fut à nouveau à elle.
Elle affrontait un homme, un dénommé Alonso qu'elle ne connaissait absolument pas mais qu'elle avait observé un peu plus tôt lors du premier combat.
Elle espérait bien le battre !

Parée à nouveau, elle se signa en entrant dans la lice, espérant attirer le regard du Très Haut et recevoir Sa protection.

Remise en forme par sa collation qui avait été tout sauf frugale, Della repartit aussitôt pleine d'énergie, à l'attaque de son adversaire. L'ivresse du combat la gagna tant et si bien qu'elle avait l'impression d'avoir des ailes. On lui avait bien parlé d'un ancien dieu, un certain Raidebulle qui donnait des ailes. Etait-ce un des effets de ce dieu ? Le mystère resterait entier.
Toujours fut-il que...tchac par ci, paf par là, zip ici et schlong encore...Han, l'épée passa un rien trop près du cou d'Alonso qui se mit à saigner !!!

Si Messire Godefroy n'avait pas crié la fin du combat, déclarant Della victorieuse, celle-ci aurait bien été capable d'achever son adversaire tant elle était excitée par son si beau combat !

Une nouvelle fois, elle cria sa joie :
Youhouuuuuuuuuuuuuuuu !!! Vive Montpipeau ! Vive Orléans ! Vive moi !
Ah ben oui, vive elle quand même un peu, hein.

Le sieur Alonso vérifia qu'il ne perdait pas tout son sang - tu parles, même pas coupé avec une enveloppe et il feint la mort...Puis, il vint féliciter Della.
Celle-ci lui offrit un beau sourire, avec un peu de moquerie dedans, il faut bien l'avouer. Façon paon qui fait la roue, quoi.
Merci, messire, pour ce duel.
Et surtout, merci d'avoir perdu, héhéhé.

Ils s'en allèrent tous les deux vers les tentes...Restait à attendre la demi-finale contre Ursus. Ouille.
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Aigle_blanc

Aigle avait combattu sire Elyas :

Une tactique qui avait fonctionné, pourquoi pas la réutiliser pensa-t-il.

Il testa donc le bouclier d'Elyas.

Se rendant compte de sa solidité, il brisa son attaque pour ne point devenir trop prévisible.

Suivi une période d'attente de l'attaque d'Elyas.

Celle-ci se concrétisa par une attaque croisée au bouclier, laissant par le fait même son flanc complètement ouvert.

Aigle en profita pour insérer son glaive sous le bras d'Élyas au niveau du coeur après avoir bloqué l'attaque en soulevant l'arme et donc ledit bras.

...

Arrêt de l'arbitre

Rapides salutations et retour à la tente des combattants pour le prochain tour.

Aigle_blanc

Suite à sa ré-hydratation, Titouan était allé voir les résultats du tirage au sort pour les demi-finales :

Oh, oh, Mumbly !

Cette demi-finale "ne sera pas de la tarte" se dit-il.

Plus expérimenté, plus solide, seul sa jeunesse jouait pour lui pensa-t-il.

Il devra "se bouger" pour gagner cette demi-finale analysa-t-il.

Messire_godefroy

1ère Demi-Finale
J'appelle maintenant en lice Sire Aigle Blanc contre Sire Mumbly

Mumbly faisait tourner son épée d'une main à grande vitesse avec dextérité, il vint se mettre en place au centre de l'arène. Ramassa un peu de terre, se frotta les mains comme à son habitude pour éviter que son épée ne glisse de sa main. Il se mit en garde le regard très concentré. Aigle_blanc avait l'air un peu impressionné, il se mit en place en marchant cherchant un regard ami dans les tribunes. finalement, il croisa le regard de Godefroy qui lui sourit et lui fit un clin d’œil. Il se mit ne place timidement mais son regard était déterminé.

Combattez !

Drôle de début de combat. Aigle semblait refuser de se battre. Il reculait constamment. Mumbly paraissait un peu désorienté par l'attitude de son adversaire. Il attaqua fort. Résolument décidé à en finir vite il frappait fort en avançant rapidement, chargeant son adversaire. Tout à coup, Aigle cessa de reculer et avança brusquement en portant un coup a la gorge de Mumbly. La pointe de l'épée s’arrêta à quelques millimètres du cou de Mumbly qui attaquait garde ouverte.

Le combat est terminé. Vainqueur et premier finaliste Sire Aigle_blanc !

Mumbly resta ébahi ! Il venait de se faire piéger comme un bleu. Il avait sous estimé son adversaire. Grave erreur, Aigle n'avait pas atteint les demi finales par hasard. Aigle laissa éclater sa joie et brandissant son épée vers le zénith, il sourit au soleil, au ciel, et aux nuages. Ils retournèrent à la tente des combattants ensemble. Mumbly le félicita sincèrement.
Arf… commenta Godefroy… Ce petit a vraiment un don, jamais vu une telle stratégie. Brillant !
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Aigle_blanc

Comme redouté, Sire Mumbly avait une technique sûre.

Recherchant un appui dans la foule, Aigle le retrouva en lice avec messire Godefroy.

Intimidé mais déterminé, Aigle se mit en place.

Faire travailler Mumbly, trouver la faille. Tel était la tactique choisit par Aigle pour ce combat.

Travail actif de celui-ci, charge constante constata-t-il.

À force, ses attaques montrèrent des similitudes observables.

Ce qui facilicita la remarque d'une garde légèrement différente, offrant une mince ouverture en garde haute au niveau du cou.

Aigle en profita pour lancer son attaque, l'arrêtant à quelques millimètres du sus-nommé.

...

Le combat fût arrêté et Aigle fût déclaré vainqueur.

Aigle passait en finale, il démontra sa fierté ainsi que sa joie avant de retourner en la tente des combattant où il reçu les félicitations de son adversaire.

Recevoir les félicitations de Mumbly, un honneur dont Aigle se souviendra longtemps pensa-t-il.

Suite à un léger repos ainsi que le nécessaire à son ultime combat, Aigle de dirigea vers la lice pour observer la deuxième demi-finale et ainsi connaître son adversaire pour l'obtention du titre de champion ou championne Orléannais du Grand Tounoi à l'Épée 1460.

Messire_godefroy

2ème Demi-Finale
J'appelle maintenant en lice Sire Dame Della contre Sire Ursus

Dame Della se présenta la première dans l'arène sous les acclamations du public présent en très grand nombre dans les tribunes et tout autour de l'arène. Elle salua la foule gracieusement et se mit en place au centre , attendant son adversaire. Ursus arriva ensuite en marchant calmement, doté d'un bouclier flambant neuf. Le public l'acclama de la même façon. Il salua dignement la foule en souriant. Les deux combattants se mirent en garde, prêts à en découdre.

Combattez !

Ils s'observaient en marchant latéralement doucement , tournant face à face durant de longues minutes. Della attaqua de taille la première. Il s'en suivit un échange de coups et de parades long et bruyant. Du public, les adversaire pouvaient entendre les encouragements destinés aux deux combattants. Ursus tenta de la toucher aux jambes. Elle évita le coup en sautant. Elle essaya de riposter en attaquant d'estoc au poitrail d'Ursus. Le coup fut paré par le Duc. La consort déchaina ensuite toute son énergie à vaincre son adversaire. Elle attaqua sans trève, avec détermination et Ursus dut faire face à un déluge de coups sur son bouclier étincelant. L'orage passa. Les adversaires s'observaient.
Le Duc eut une idée. Il se plaça face au soleil qui brillait ardemment en cet après midi et fit miroiter son bouclier face à la Duchesse. Elle parut aveuglée pendant un court instant. Ursus en profita. Il décocha un coup d'épée qui atteignit le bras de la Consort. une estafilade marqua le bras de la jeune femme. Elle lâcha son épée. Furieuse, elle lui assenât un coup de bouclier sur le bras. L'épée d'Ursus chût de la même façon. Les voila désormais, face a face, sans armes. Della se précipita en même temps qu'Ursus pour se saisir de son arme. Elle fut la plus rapide. En se relevant, elle plaça habilement le tranchant de son épée sur le cou du Duc, encore à genoux.

Le combat est terminé. Vainqueur et second finaliste Dame Della !

Ursus sourit et félicita son adversaire. Della reçut dignement le compliment et levant son épée, laissa éclater sa joie en saluant le public dont les acclamations retentissaient bruyamment autour de la lice.

Hum, cela nous promet une belle finale ! pensa Godefroy.
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Della

A l'annonce du premier duel des demis-finales, Della était sortie de sa tente pour assister aux passes d'armes.

Della observa la façon de procédé du jeune Aiglon...cela lui ressemblait bien de feinter ainsi pour ensuite asséner un coup qui pourrait être fatal s'il s'était agi d'un réel combat à la vie à la mort.
Ce gamin avait de la ressource et la Duchesse se mit à penser que peut-être, elle pourrait lui proposer de devenir son écuyer. Son intention était de perdurer dans les joutes, il suffirait de quelques baisers et quelques battements de cils à Kéri Chéri pour qu'il finisse par accepter l'idée...et donc, un écuyer serait indispensable. Or, la façon dont celui-ci se démenait laissait présager qu'il serait un adversaire intéressant lors des entraînements.
Il faudrait discuter le bout d'gras avec sa mère.
Mais avant ça, il faudrait se battre, peut-être, contre l'Aigle puisqu'il venait de l'emporter.

Ce fut au tour de la Duchesse, contre Ursus.
Si les deux précédents adversaires ne l'impressionnaient pas - elle ne les connaissait pas - celui-ci, par contre, ne la laissait pas indifférente. Se battre contre Ursus, c'était...plus difficile parce qu'elle le connaissait un peu certes, mais un peu quand même. Et surtout, elle l'appréciait.
Mais soit.
Le duel commença et là, ne compta plus que la victoire qu'il fallait arracher !
Elle joua encore de sa taille et de sa souplesse, évitant des attaques jusqu'à ce que Ursus joua de perfidie, en tentant d'aveugler son adversaire et la blessa !
Adversaire qui, jurant, riposta aussitôt, ne s'en laissant pas conter et qui, jouant encore de vitesse, se tint en position de vainqueur !

Mais ce ne fut que lorsque Messire Godefroy annonça la fin du combat qu'elle baissa sa garde et qu'elle salua le public en délire qui scandait son nom à tue-tête.

Del-la Del-la Del-la Del-la

Merci, votre Grâce, pour ce duel. Adressa-t-elle à Ursus avant de s'en retourner une fois encore sous la tente.
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anniversaire du duché : Grand tournoi de combat à l'épée

Messire_godefroy

GRANDE FINALE DU TOURNOI A L'EPEE

J'appelle maintenant en lice nos deux finalistes Sire Aigle Blanc contre Dame Della

Dame Della se présenta toute pimpante et souriante, elle salua la foule en faisant de grands gestes vers la tribune. Les acclamations retentissaient jusqu'au centre ville d'Orléans, déserté pour l'occasion. Elle se mit en garde au centre de l'arène. Aigle_blanc entra dans l'arène en courant, il ne regardait pas la foule, il paraissait très concentré. Il prit sa position face à Della et ne fit pas cas des acclamations qui lui étaient destinées.

Combattez !

Aigle_blanc semblait vouloir opter pour la même tactique qu'en demi finale. Il reculait sans cesse, semblant refuser le combat. Della, elle, avançait mais se méfiait de la vitesse de contre attaque d'aigle blanc. Elle avait fort bien analysé son combat en demi finale et savait qu'il pouvait la contrer de manière fulgurante. Elle procédait en fausses attaques faisant semblant de se jeter à l"assaut et en criant. Aigle Blanc ne bougeait pas, ou plutôt, continuait à reculer. Ce piètre spectacle commençait à agacer passablement le public qui se mit à huer Aigle pour son manque de combativité. Cela faisait vingt bonnes minutes que pas un coup n'avait été échangé. Il recula sans cesse si bien que les huées emplirent l'arène et les quolibets commençaient à fuser du public qualifiant Aigle de noms d'oiseaux bien moins nobles que l'aigle...

Ce n'est pas un aigle, c'est un pigeon !

Ma parole c'est un poulet ! L'aigle ne s'envole plus .....

Della relâcha sa garde et regarda Godefroy... Elle avait l'air de ne pas comprendre la situation...

Combattez sire Aigle_blanc ! C'est une faute contre l'honneur que de refuser le combat, combattez ou je vous disqualifie !

Il se jeta alors a l’assaut de Della. Elle faillit être surprise et la frappe de taille assénée par Aigle passa a quelques centimètres de sa tête. Elle réussit à avoir le réflexe de se baisser au dernier moment. Elle reprit sa garde et sa concentration. Elle attaqua et bloqua toutes les contre attaques d'aigle blanc. Elle asséna de grands coups d'épée sur le bouclier de son adversaire qui peinait à le tenir. Son bras devait être tuméfié. Finalement au bout d'une heure d'un combat épique, Della sauta les deux pieds en avant et fit perdre l'équilibre à aigle. Dans l'élan, elle se retrouva à califourchon sur son thorax, prête à enfoncer son épée dans son cou.

Le combat est terminé. Vainqueur et champion du Duché pour cette année 1460, DAME DELLA !

Della se releva sans un regard pour son adversaire. Elle salua la foule et sauta de joie. Elle était le champion du Duché ! Godefroy leva le bras de Della en souriant. Le Duché avait son champion. Les acclamations redoublèrent d'intensité. Aigle Blanc retourna à la tente, on entendait encore quelques petits quolibets à son passage...

Godefroy s'adressa à Della.

Permettez moi Duchesse d'être le premier à vous féliciter. Bravo pour vos combats, le destructeur, Ursus, quel tableau de chasse ! Vous savez décidément allier charme, efficacité et combativité....
LE DUCHÉ PEUT ÊTRE FIER DE SON NOUVEAU CHAMPION ! DAME DELLA !
Vous pouvez aller faire prendre votre gain, le magnifique Frison nommé Ouragan. Envoyez un écuyer le chercher...
Il est exposé là, prêt de la tente des combattants.

Arf… commenta Godefroy… Ce n'est que justice... La combativité paie toujours même quand elle sent l'eau de violette...!
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Aigle_blanc

L'Aigle se redit compte qu'il n'avait point été trop discret dans sa tentative.

Un proche du duc l'avait remarqué et s'entretenait discrètement avec celui-ci en le pointant du doigt.

Honteux, il se retira discrètement près de la tente des combattant, maintenant assuré que le duc avait été averti de son intérêt à parlementer.

Cevanne

Le renart suivant à la trace son Duc observait les combats avec indifférence.
Même quand ce fut sa cousine Della qui combattit, il ne montra pas plus d'émotion.
Le renart n'était pas connu pour être amateur des activités qui nécessitaient des prédispositions physiques qu'il avait faibles.
De plus la violence que représentait un combat ne lui plaisait pas, il était un cérébral.
L'aspect ludique de ce qui se déroulait sous ses yeux lui échappait complètement, pourtant il consentit a quelque applaudissements quand Della remporta son combat partageant d'un sourire l'enthousiasme du duc.

- Je vous le concède volontiers votre grâce. Della a toujours su faire preuve d'un caractère a toute épreuves.

Il pensa au parcours de la renarde, partie de rien. Bien qu'il ne partageât pas l'avis du duc quant au fait de faire honneur à son nom au combat, il n'en dit rien. Il y avait tant de formes de combats...
Il ne commenta pas les derniers mots du duc et ne le complimenta pas plus, promenant son regard bleuté dans l'assistance, regard qui fut attiré par un individu qui semble t'il cherchait à attirer l'attention du duc.

Severa hocha la tête et attendit un moment propice se penchant vers le duc.

- Votre grace, il y a là un sire qui désirerait pouvoir s'entretenir avec vous. Il semblerait que ce soit le prochain adversaire de la Duchesse Della.
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Aigle_blanc

Titouan répondit à messire Godefroy :

Bien messire, votre décision sera la mienne.

Honorablement, Titouan s'inclina humblement.

Voyant le duc de l'Orléanais en la tribune, celui-ci se dirigea vers celle-ci de par ses flancs en attirant l'attention de son page lui faisant comprendre qu'il désirait s'entretenir avec sa grâce de par son entremise...

Keridil

Et l'Amahir qui s'était déridé complètement de hurler, dans les gradins où il avait posé son Ducal Fessier :

OUAAAAAAIIIIS ! Della ! Della ! Della ! Vive la Duchesse d'Orléans !

Il aurait volontiers crié "Vive le Duc", pour accompagner l'acclamation, mais c'eut été se jeter des fleurs, et d'aucuns l'auraient trouvé un rien mégalo. Certes, il l'était un peu, mais il n'était nul besoin de le faire savoir à la populace.

Séverin, vous devez avouer que votre cousine est merveilleuse et d'un courage rare. Sachez que je l'encourage moi-même à faire honneur à son nom au combat. Moi, je peux pas, mais je vous garantis que si ma jambe le permettait ! J'aurais mis la pâtée à bien des molosses.

Toutefois, il fallait ne pas oublier qu'elle venait de terrasser Ursus, qui tout adversaire fut-il à cette occasion, était l'un des vassaux du Duché les plus dévoués et sympathiques que l'on pusse rencontrer en taverne.

Quant à encourager Della...Keridil venait d'asséner à son page un mensonge des plus éhonté. Gloire, que ne nous fais-tu pas dire ?
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Et si tu veux la liberté, l'égalité et la fraternité, va jouer à Tribalistan.

Messire_godefroy

Qu'est qui se passe Aigle ?

Tu ne veux pas affronter Dame Della ? Qu'est ce que c'est que cette histoire de tissus noir ? C'est un tournoi bon enfant, organisé à l'occasion de l'anniversaire du Duché ???

Les choses sont simples. Tu combats ou tu ne combats pas ?

Si tu ne combats pas, tu abandonnes et Mumbly est repêché pour la finale.

Alors, ta réponse ?
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Aigle_blanc

À la réflexion, messire Godefroy lui laissait le choix entre combattre, l'objet du tournoi, ou abandonner, une chose qu'il ne pouvait sans remplir de honte sa mère adoptive et toute sa famille.

La devise de celle-ci :

Tout affronter, tout oser.

Devise qu'il décida, à terme, d'honorer.

Ce sera un combat défensif en ce qui le concerne, un combat d'usure, peut-être épique, si sa défense tenait le coup. La jeunesse vs la sagesse.

Résolu, il déclara à messire Godefroy :

J'accepte de combattre messire.

Messire_godefroy

Hum ! j'espère que tu combattras franchement, car tu ne peux priver les habitants du Duché d'une grande finale !

Je ne comprends pas tes états d'âme....

Nous sommes tous les vassaux et les sujets du Duc, le fait de combattre la consort ou le Duc lui-même en tournoi ne vaut pas félonie mais, au contraire loyauté au Duché. Le combat n'est pas un combat à mort.... C'est une festivité à laquelle tu as l'honneur de participer... Ne vas pas gâcher la fête en offrant une finale truquée aux habitants d'Orléans.

Il nous faut des combattants sincères et volontaires. Je doute de la sincérité de ton engagement.

Hum.... je vais réfléchir.... Je préfère avoir une vraie finale avec des gens motivés.... Je vais peut-être te disqualifier et rappeler Mumbly....

Réponse demain, la nuit porte conseil...
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Ursus

Pas facile de se battre contre une Duchesse. On sentait que moult personnes dans les tribunes la soutenait, et notamment le Duc Kéri, Kéri en personne.

Ce fut un beau duel pendant lequel on entendait le fracas des épées qui s’entrechoquaient et le halètement des escrimeurs qui se donnaient corps et âmes dans le combat.

Après quelques échanges, ils se retrouvèrent désarmé. La duchesse fut la plus rapide.

Félicitations votre Grace. Je vous souhaite bonne chance pour la suite du tournoi.
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Aigle_blanc

Ne trouvant malheureusement pas de tissus noir, Aigle se dirigea vers messire godefroy pour s'entretenir avec lui de la situation...

Aigle_blanc

MINCE!!!

La Duchesse consort de l'Orléanais venait de remporter la deuxième demi-finale du grand tournoi annuel de combat à l'épée !

Il était, pour l'Aigle, diplomatiquement impensable que de pouvoir ne serait-ce que penser à jouter avec celle-ci.

Il s'empressa, à l'annonce, d'aller quérir de quoi masquer ses armes et couleurs d'un tissu noir en vu de la grande finale.

En trouver ne serait probablement pas compliqué au vu de la situation actuelle.

Mumbly

Mmbly s'était présenté pour les demi-finales.Quelques applaudissements saluèrent son arrivée.
Aigle_ Blanc se présenta à son tour.
Le combat tarda à s'engager.Mum avançait prudemment tandis que son adversaire semblait refuser le combat.
Mumbly se décida à grands coups d'épée à terrasser Aigle_ Blanc.
Tout à coup,ce dernier fit face et d'un rapide mouvement de bras trouva la faille.Mum ,surpris ,ne put qu'accepter la défaite.
Mum sourit puis s'avança vers Aigle_Blanc.
Beau combat l'ami,vous êtes rapide et efficace.Vous irez loin.
Mum lui serra la main et sortit de l'arène tout en saluant la foule.
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Della

Aigle_blanc

Messire_godefroy

Aigle_blanc

Messire_godefroy

Erunlan

Keridil

Et si tu veux la liberté, l'égalité et la fraternité, va jouer à Tribalistan.

Della

Messire_godefroy

Erunlan

Messire_godefroy

Leanore

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Ursus

Messire_godefroy

Godefroy vit se présenter Erun qu'il avait bien connu auparavant. Il lui avait enseigné les rudiments du combat à l'épée. Il avait l'air surexcité.

Bonjour messire , je suis venu m'inscrire j'espère qu'il n'est pas encore trop tard ?

La réponse fut sans appel...

Désolé jeune escuyer...

Le tournoi a commencé, nous en sommes au deuxième tour. Il est impossible de vous inscrire. Les inscriptions sont closes depuis hier.

Compte tenu du succès de cette festivité, nous en organiserons d'autres de même nature. Vous serez alors le bienvenu si vous êtes encore dans le Duché....

Godefroy lui ébouriffa les cheveux d'un geste paternel...
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Erunlan

Erunlan arriva en courrant , le petit garçon encore frêle voulait affronter les grands et voir à quel point il avait progréssé.

Bonjour messire , je suis venu m'inscrire j'espère qu'il n'est pas encore trop tard ?

Ninouchka

Son cher duché retrouvait l'animation des grands jours !

Le printemps était au rendez-vous, le ciel était du côté des organisateurs, l'ambiance était gaie et chaleureuse.

Ninouchka avait cependant hésité à se joindre à la foule. Elle s'était un peu renfermée sur elle-même ces derniers temps suite à son deuil, ne fréquentant qu'un petit groupe d'amis.
Mais elle avait appris que son suzerain allait participer au combat à l'épée et elle aurait aimé voir ça. Elle prit donc la direction d'Orléans se disant que ça lui ferait le plus grand bien de se replonger dans la vie.

En cours de route, elle se remémorait d'autres jeux en d'autres temps. Elle souriait toute seule en évoquant certains épisodes comme celui du tir à la corde contre Liloute ou Bourguignon ou encore contre Keridil.
Sa coéquipière et elle avaient pris des bains de boue qui leur avait redonné une peau de bébé et tout ça dans la plus parfaite bonne humeur.
Elle se souvenait avec amusement des basses manoeuvres verbales de l'actuel duc régnant pour essayer de la déstabiliser ... il y était presque parvenu ! Il avait failli réussir à gagner sans combattre ... quoique ça ne devait pas être vraiment le but ... ça ne l'aurait pas mis en valeur aux yeux d'une certaine Della qui était dans les parages à l'époque ...

C'est des souvenirs plein la tête et le sourire aux lèvres qu'elle arriva sur le lieu des combats.

Ce fut le duc Bourguignon qui ouvrit le bal ... hélas, son adversaire fut reconnu gagnant et Ninouchka s'apprêtait à s'en aller, quand elle se dit qu'elle allait rester pour voir les autres combats.

Il y avait là pas mal de gens qu'elle connaissait et les voir à l'oeuvre l'intéressait.

Elle rejoignit Leanore qu'elle avait vu de loin. Souriante, elle embrassa affectueusement la jeune mariée. Puis retrouvant son naturel parfois un peu moqueur, son envie de rire aussi, elle dit à son amie

Dis donc ... ton époux il a de la voix et de l'énergie ! Il devrait en revendre un peu ... On a quelques Orléanais qui se ramollissent là ... je ne parle pas des femmes bien sûr ! Elles s'en tirent plutôt bien !
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Dame de Talcy

Messire_godefroy

J'appelle en lice les deux combattants suivants !

Hibelin dict le sanguinaire du Ponant......contre.......Sire Ursus de Valbois, duc de Chateaurenard

Le comte Hibelin dict le sanginaire se mit en place, sous les huées du public Orléanais, nonchalamment en toisant la foule… … Cynique et provocateur, il chercha une dame afin de lui proposer de se battre pour elle. Dame Xalta l’ayant purement et simplement méprisé et ignoré, il se dirigea vers le tribun d’Orléans en souriant : Dame Léanore. Il avait remarqué qu’elle était l’épouse de Godefroy…. Et il entendait par là procéder à une triple provocation…Provoquer Orléans et ses habitants…Blesser le tribun en la personne de Léanore…. Et agacer Godefroy.

Permettez-moi, Gente Dame, de combattre pour vous, vous êtes la grâce et l’élégance incarnée, hé hé hé !…..

Il s’esclaffa alors grassement d’un rire sonore et ajouta, en levant son épée :

Pour le Ponant !.........

Il vint se mettre en place en riant et en dévisageant Godefroy…..Il se mit en garde face à Ursus.

Godefroy ne broncha pas. Il restait dans son rôle d’Hérault du tournoi. Il soutint le regard du pleutre sans sourciller. Nul ne pouvait deviner les pensées de Godefroy à cet instant précis, exceptée, peut-être, Leanore qui le connaissait si bien.

Ursus de Valbois, Duc de Chateaurenard, vint se mettre en place en marchant tranquillement. Il semblait effaré par le spectacle auquel il venait d’assister. Il se concentra, de nouveau, aussitôt. Comme pour vérifier si ses mouvements étaient limpides et si ses bras fonctionnaient bien, il faisait des moulinets avec son épée qui sifflait dans l’air…. Il se mit en garde, prêt à combattre…

Combattez !

L’impétueux Ponantais avança sur Ursus en poussant un cri effrayant… Il tenait sa large épée à deux mains en dessus de sa tête et frappa de taille de haut en bas. Le bouclier d ‘Ursus prit le choc terrible dans un vacarme assourdissant. Le duc riposta et tentant de frapper d’estoc le poitrail de l’adversaire. Hibelin esquiva la riposte. Le Comte frappa derechef visant la tête d’Ursus. Le Valbois eut juste le temps de se baisser. Déjà une autre attaque arrivait, cette fois-ci visant les jambes. Ursus dut se relever et sauter dans le même mouvement. La lourde épée passa sous ses jambes. Il en suivit une phase d’observation assez longue durant laquelle les combattants tournaient en se regardant et en tentant de s’intimider. Ursus prit l’initiative. Il jeta son bouclier et couru sur son adversaire. Sautant très haut au dessu du ponantais, il écarta sa lourde arme de sa main libre et pointa son épée dans le cou d’Hibelin.

Le combat est terminé ! Sire Ursus vainqueur.

Ursus, lacha ses armes et leva les deux bras en signe de victoire en direction des tribunes, tournant le dos à son adversaire. Hibelin s’estimait lésé, il n’accepta pas la défaite. Il chargea Ursus par derrière, comme un lâche et tenta de lui asséner un coup d’épée dans le dos largement découvert.

Godefroy se précipita, ramassa l’épée du Duc et asséna avec dextérité un coup d’épée à la jambe du Ponantais qui chuta aussitôt. Sa cuisse était largement ouverte et saignait abondamment.

Faut il être aussi félon et aussi pleutre à la fois. Ce sont des choses qui se font pas en chevalerie monsieur le Ponantais… Je vous laisserais bien crever comme une bête ici même mais nous avons d’autres manières au Duché… Que l’on fasse venir la charrette et un médicastre…

Hibelin enrageait et se tordait de douleur.. Bientôt la charrette l’évacua vers la tente. Léanore acceptera-t-telle de le soigner ? Seule elle pourrait répondre à cette question …

Ursus remercia Godefroy chaleureusement et retourna à la tente, il sera de nouveau en lice dans quelques temps… Il fallait se préparer sans perdre de temps.
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Mumbly

Mumbly combattait contre Zelenka.Deuxième combat en deux jours.Il n'avait rien dit,mais le combat contre Manu avait laissé des traces.Son corps était marqué par les multiples chocs.
Un peu à l'écart,il s'était échauffé ,tentant de réveiller sa vieille carcasse.
A l'appel de son combat,il rejoignit calmement la lice et se présenta au centre de l'arène.Zelenka arriva en petites foulées,prête à en découdre.
Combattez
A ces mots,Zelenka se jetta sur lui telle une morte de fin.Il n'eut que le temps de se protéger avec son bouclier tout en s'arc-boutant.Heureusement que c'était une femme;le choc fut rude,mais il ne bougea point.A sa deuxième attaque,il vit rapidement la faille et lui balaya les jambes et rapidement lui pointa l'épée sur son visage.
Mumbly,voulant l'aider à se relever,la vit grimacer.
Sans un mot Zelenka se releva et quitta la lice lentement en restant digne sous les applaudissements de la foule.
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Messire_godefroy

J'appelle maintenant en lice les deux combattants suivants !

sire Aigle_Blanc contre Sire Elyasdecortavar

Aigle blanc s'était bien battu au premier tour, Godefroy l'avait lui-même qualifié de prometteur. Elyas, lui, avait bénéficié d'une chance insolente face à Pomdunor. Il se mit en place le premier... toujours la même allure déglinguée avec un petit bouclier rond et un casque trop grand. Aigle lui semblait concentré, il se mit en garde avec application, le regard fixé sur son adversaire.

Combattez !

Aigle attaqua le premier bousculant son adversaire qui reculait constamment. L'épée d'Aigle frappait sans cesse le bouclier d'Elyas qui fut tellement secoué qu'il perdit son casque. Il reculait toujours. Il en suivit une phase de combat ou Aigle cessa d'attaquer par crainte d’être contré... Longue phase ou les deux adversaires s'observaient. Elyas rompit la trêve le premier en se jetant courageusement a l'assaut. Son épée fut stoppée nette par le bouclier d'Aigle blanc dont le glaive, lancé en contre attaque vint stopper son élan à quelques centimètres du cœur d'Elyas.

Le combat est terminé. Vainqueur Sire Aigle Blanc !

Elyas comprit immédiatement qu'il avait perdu. Il salua son adversaire très sportivement et alla ramasser son casque. Il repartit penaud vers la tente des combattants en faisant un signe timide à la foule très présente autour de l'arène... Aigle blanc leva le bras fièrement en signe de victoire et retourna en courant à la tente.

Holà… murmura Godefroy… Déçu le petit Elyas, mais bon on ne peut pas avoir de la chance à tous les coups. Aigle blanc a bien mérité sa victoire.
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Zelenka

[sous la tente des combattants]

Son premier combat terminé, la brune s'en était retournée sous la tente réservée aux combattants. Elle y avait déposé ses armes à terre dans un coin et se rafraîchissait d'une bonne bière. La faim la tenaillait désormais et le plat de viande rôtie mis à disposition la tenta de plus belle. Elle prit une côte bien charnue dans sa main et en déchira la chair avec ses dents, et l'avala tout rond quand Etienne fit son entrée et la félicita. Elle jeta l'os à terre, essuya sa main sur ses braies et sa bouche d'un revers de manche puis se retourna pour lui faire face, elle était fière comme un paon qu'il soit là à la féliciter, elle était toute souriante.

Merci mon tendre! Elle s'approcha de lui toute heureuse Oui! tu as vu j'ai essayé de vérifier sous son kilt mais le bougre a été trop rapide et l'a rattrapé trop tôt! pfffff ils sont vraiment pas drôles ces Ecossais! faisant l'innocente non non mon cher ma victoire n'est dû qu'à mon envie insatiable de vaincre bien sûr! et puis seul ton propre service m'est précieux voyons!! Elle se mordit la lèvre pour ne pas pouffer alors qu'il posa sa main dans le creux de son dos et l'attira à lui, leurs corps étaient l'un contre l'autre ce qui ne déplu pas à la Zel.

Citation:

Tu crois que ça m'irait un kilt ???

Hmmm je sais pas mais cela me donne des idées... lui dit-elle avec son air malicieux. Dans un geste affectueux, elle lui caressa doucement la poitrine.

[le lendemain]

Zelenka était la première à combattre et cette fois contre un Orléanais! Elle avait côtoyé Mumbly durant une guerre, dur de se souvenir durant laquelle tellement elle avait combattu. Il est bien plus difficile de combattre contre un allié même "pour de faux"! Mais elle mit ses doutes de côtés et se lança à l'attaque à l'entente du mot

Combattez!

Et comme on ne change pas une équipe qui gagne, elle ne changea pas sa façon de faire! Grave erreur celle-ci s'en retrouva les fesses par terre! La lame de son adversaire bien trop proche de son visage pour être honnête! La brune se mit à rire aux éclats, la situation était pour le moins cocasse. Elle ne sentit pas de suite la douleur mais elle venait de se fouler le poignet en tombant en arrière. C'est lorsque Mum lui tendit la main afin de l'aider à se relever qu'elle eut la désagréable surprise.

Aïeeeeeee!! Elle attrapa son poignet endolori dans son autre main et sortit de la lice en tentant de rester digne.
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Aigle_blanc

Aigle, son lavage fait, se vêti de ses vêtements ajustés et vérifia l'état de son équipement.

Ne manquerait plus que la même mésaventure de reproduise à son désavantage, l'expérience commençait à porter pensa-t-il.

Sa vérification à sa satisfaction faite, il se dirigea vers l'annonce du deuxième tour.

Elyasdecortavar lut-il.

Inconnu au bataillon, se remémora-t-il.

Raison de plus pour se méfier enregistra-t-il.

Lenore

Cachée dans le public, la blondine, rehaussée sur la pointe de ses pieds, s'épouvantait à observer les combats s’enchaîner. La barbarie des uns se prétendait l'art des autres. Lénore ne voyait rien d'artistique à se taper dessus mais tous n'ont pas le même seuil de sensibilité à l'art.

Les coups pleuvaient, les adversaires hurlaient leur envie d'en découdre tandis que les badauds vivaient l'évènement à leur manière dans les gradins -cris, bousculades, etc...-. Au milieu de cet agitation, la jouvencelle, terrifiée, essayait de se frayer un chemin vers la sortie. La curiosité est un vilain défaut et c'est les jambes flageolantes que la "Princesse" le comprit.
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EN RETRAITE DU 10/04 au 19/04

Manulechti

Voilà voilà

Le combat était terminé, Manu était battu, comme les années sont dures pour le vieux Manu, sa vieille carcasse était de plus en plus dure a se bouger.
Il lui faudrait quelques séances de sport pour se refaire une santé, pourquoi pas ma foi.
Le Seigneur de la Moutonnière félicita son adversaire.

Beau combat Sieur Mumbly, votre jeunesse et votre fougue a été déterminant pour l'issu du combat, je vous souhaite bon courage et d'aller le plus loin possible lors de ce tournoi.
Et, je ne suis pas contre une bonne Gienlain ^^
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Messire_godefroy

RÉSULTATS DU TIRAGE AU SORT POUR LE 2eme TOUR

Dame Zelenka.............contre............Sire Mumbly

sire Aigle_Blanc..........contre............Sire Elyasdecortavar

Hibelin dict le sanguinaire du Ponant......contre.......Sire Ursus de Valbois, duc de Chateaurenard

Dame Della .................contre............Sire Alonso

LES COMBATS REPRENNENT ! J'appelle en lice les deux premiers combattants du second tour !

Dame Zelenka contre Sire Mumbly

Combat intéressant, la fougue de Zelenka contre la technique de Mum. Dame Zelenka, comme à son habitude, vint se mettre en place en courant au centre de la lice. Elle sautillait sur place, impatiente de combattre. Sire Mumbly se positionna en marchant en faisant tourner son épée dans sa main. Il se mit ne place, ramassa un peu de terre, se frotta les mains avec de façon à ce que l’épée ne glisse pas. En garde, son regard déterminé était planté dans les yeux de Zelenka.

Combattez !

Pas de phase d’observation, Zelenka, fidèle à sa stratégie se jeta sur son adversaire bouclier en avant. Mumbly ne bougea pas. Il l’attendit et poussa en avant de son bouclier à l’impact. Le choc impressionnant des deux boucliers retentit dans toute l’arène…. Clameurs de la foule… Mumbly avait mis le poids de son corps sur la jambe avant si bien que Zelenka rebondit littéralement contre lui. Elle faillit perdre l’équilibre mais se rétablit assez vite. Elle relança aussitôt une attaque en sautant en direction de Mumbly. L’épée plongea en direction du cou de Mum. Il eut juste le temps de se baisser. En se baissant il vit la faille. Il balaya aussitôt les jambes de la guerrière qui se retrouva, en un instant au sol, sur le dos. Dans le mouvement, Mum plaça la pointe de son épée devant les yeux de Zelenka.

Le combat est terminé. Vainqueur Sire Mumbly !

Zelenka se releva très vite… aidée par Mumbly…tssss… Est-ce bien régulier tout cela ?… Elle en douta un instant… Mumbly salua la foule et, tous deux retournèrent à la tente des combattants.

Hum… Pensa Godefroy… Quelle intensité ! Issue déterminante en deux échanges très denses.
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Aigle_blanc

Après avoir Salué son adversaire, Aigle avait engagé le combat.

Étant le moins expérimenté, il joua un jeu serré, cherchant la faille.

Après une heure de combat, jugeant sa jeunesse inférieure à l'expérience de son adversaire, il se mit à mettre de la pression sans quoi son adversaire, plus expérimenté, trouverait faille avant lui ne serait-ce que par mon expérience moindre.

Ce messire Scoldt était un combattant qui en avait vu d'autres, ses armes aussi remarqua-t-il.

Jugeant que c'était la seule avenue possible pour lui, le déshonneur dans l'âme, il axa ses attaques sur le seul point faible de son adversaire, l'expérience de son bouclier. Une fois que son vieux bouclier ait rendu l'âme, le reste était un jeu d'enfant, même pour lui.

Chevalièrement honteux, il salua son noble adversaire, puis la foule en montrant ses couleurs tout-de-même heureux de passer au second tour.

Tout-à-coup un cri pour lui, il avait des supporteurs !

Il touna son oeil vers le cri et y découvrit un ange.

Chevaleresque, il incina noblement sa tête en sa direction de façon légérement désaxé.

Puis il se dirigea vers la tente des jouteurs.

En chemin il prit un bol d'eau, un peu de sel et le jus de raisin qu'il mélangea avec l'eau ainsi qu'une pincée de sel. Il bu le mélange avant d'aller se laver en attendant le prochain tour.

La_hire

Sur le bord de la lice, Etienne de Vignolles était confiant. Il savait sa dame exceller dans le domaine des armes même si elle avait un doute sur une victoire face à son imposant adversaire. Pour la mettre en confiance et lui enlever un peu de pression, l'écuyer lui avait proposé une astuce pour vaincre, voire un défi : vérifier si ce qu'on dit sur les écossais et plus particulièrement sur les dessous de leur kilt n'étaient que légende. Si elle y arriverait, son adversaire ne manquerait pas de lâcher son arme pour rattraper son vêtement, elle pourrait prendre l'avantage ou à défaut vérifier la légende.

Lorsque les combattant furent face à face, il eut tout de même un sentiment de doute : et si l'écossais broyait d'un seul coup la tête de sa dulcinée ? Non ! elle était trop rapide et trop agile pour cela, du moins tenta t-il de s'en persuader. Le combat s'engagea et lorsqu'il vit Zelenka s'en prendre au ceinturon de son adversaire il fut étonné ne la sentant pas capable d'oser une telle manœuvre puis pouffa de rire.

Elle a osé !! ... elle est gonflée pensa t-il ...

Le combat fut rapide et rude et il fut heureux et soulagé lorsque la dame d'Adonville sortir vainqueur. elle était heureuse de sa victoire et elle alla saluer la duchesse d'Orléans avant de regagner sa tente. La Hire qui avait du mal à se frayer un passage parmi les spectateurs arriva un instant plus tard. Il entra dans la tente comme s'il entrait chez lui et la félicita !

Bravo ma belle ! bien joué ! bien combattu !!! une belle victoire ... mais à quel crédit dois-je la mettre ??? à ton désir de vaincre ou à ta curiosité de vérifier le service trois-pièces de ce bel écossais ????? Il leva son index. Attention à ta réponse Zel !!!!!

Il fit la moue et la laissa réfléchir quant à sa réponse tandis qu'il attrapa un pichet de bière posé sur la table voisine et dont il en siffla une bonne partie d'une seule rasade. Il reposa le pichet et s'essuya la bouche d'un revers de la manche avant de prendre la belle par la taille et de l'attire à lui.

Tu crois que ça m'irait un kilt ??? ça doit être pratique en été mais pour une longue chevauchée ..........

Il secoua la main imaginant l'omelette puis il se mit à rire bruyamment !
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Mumbly

Mumbly arriva dans l'arène un peu tendu.Il y avait un certain temps qu'il n'avait plus combattu.Il savait qu'il avait toujours la technique,mais la rapidité serait-elle encore là.Il vérifia rapidement que son bouclier était bien en main,baissa son heaume .Manu arriva face à lui.
Il poussa un cri .Mum ne broncha point,habitué aux hordes de sauvages qu'il avait combattus et qui se ruaient vers lui en hurlant .
Mum se dit que la meilleure défense étant l'attaque,il prit l'initiative du combat,frappant plusieurs fois.Son adversaire en bon technicien parait ses attaques.Il s'offrit même le luxe de contre attaquer.Mum para et attaqua dans la foulée ce qui surprit Manu qui tomba.
Mum le laissa se relever.Tout ceci n'était qu'un jeu et il fallait que le combat dure un peu pour satisfaire la foule.
Manulechti un peu vexé d'avoir chuté se rua vers Mum qui évita le coup.
Le Patichon laissa choir son bouclier et d'un geste rapide prit son épée à deux mains,puis d'un feinte pointa son épée sur le cou de son adversaire.
Le combat était terminé.
Une accolade pour se féliciter mutuellement et ils rejoignirent la tente des combattants.

Messire,je vous offre une bonne bière ,qu'en dites vous?
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Leanore

Le soleil commençait à chauffer dur et Léanore se demandait bien comment les combattants pouvaient supporter la chaleur et être aussi résistants. L’habitude sans doute.

Le combat suivant promettait d’être de toute beauté. Non seulement il y avait une autre femme mais en plus elle affrontait ce jeune écossais que Della et elle-même avaient remarqué. Zelenka ne lui laissa aucune chance utilisant même des moyens peu académiques.

Le combat était assurément magnifique d’autant plus que dans ses mouvements, l’écossais faisait bien involontairement tournoyer son kilt et on put entrevoir ses jambes velues, ses cuisses puissantes et parfois même des fesses charnues et musclées.

Zelenka fut déclarée vainqueur.

Deux orléanais d’adoption s’affrontèrent ensuite. Aigle le fils de Xalta et Scoldt récemment arrivé à Orléans et déjà très investi dans la vie de la capitale et du duché. Les deux semblaient de force égale et ce n’est que l’usure des armes qui permit de les départager, le bouclier de Scoldt rendant l’âme.

Léanore applaudit les deux hommes et son regard chercha une nouvelle fois son époux. Elle le fit tout chose, maugréant contre Ursus et Mumbly qui riaient en se tenant les côtes. Puis après une boutade qu’elle n’entendit pas et un clin d’œil elle l’entendit rire lui aussi. Ah ces hommes ! Qu’est ce qui pouvaient les faire se tordre ainsi ? Se moquaient ils de l’écossais et de son kilt dansant qui laissait songeur ?

La voix de son époux la sortit de ses réflexions. Mumbly était appelé pour combattre contre Manulechti. AH dilemme. Mumbly, son frère contre un homme qu’elle appréciait de part ses fonctions de rectrice.

Combat tout en force encore une fois et Léanore eut sa dose d’émotion. Mais elle fut vite soulagée en voyant que les deux hommes terminaient sans aucun bobo et de plus avec Mumbly vainqueur.
Elle courut immédiatement vers lui pour l’embrasser et le féliciter.

Bravo Mum ! Et bravo aussi à vous Sire Manu !

Elle entendait au loin les clameurs, le bruit des armes qui résonnaient lorsqu’elles s’entrechoquaient, la vois puissante de Godefroy qui hurlait le nom du vainqueur.

Bientôt elle vit arriver un jeune garçon qui se tenait le bras. Etait-il blessé ? Elle se dirigea vers lui

Je suis Léanore, l’épouse de Godefroy et médicastre. Je vois que vous vous tenez le bras. Désirez-vous que je vous examine ?

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Elyasdecortavar

Elyas regardait les combats tranquillement installé. Pas d'alcool avant un combat, la chopine doit être une récompense et non un échappatoire, tels étaient les mots de son père. Il fixait donc les farouches guerriers, pronostiquant les vainqueurs, analysant les faiblesses et surtout essayant de sécher ses mains moites.

Puis vint le simple mot : "Combattez !", un mot lourd de sens, un mot dont-il n'était pas prêt...

Son père disait : "observer, comprendre, réagir" Le jeune homme ne prit qu'une seule option, la protection.
Il subissait donc les assauts répétés, sans faillir, sans broncher. Son épaule le faisait souffrir, son bras était las, le sang battait à ses tempes. Et pourtant, il tenait.

La chance fait partie du combat... Elle est l'élément hasardeux, parfois troublant, parfois révoltant mais toujours essentiel pour l'un ou l'autre des combattants.

Aujourd'hui c'était son moment. Lui le pauvre bougre était en passe d'avoir un moment de gloire. Il souhaitait plus que tout apparaitre en pleine lumière. Devenir un homme, devenir quelqu'un !

Le combat est terminé. Vainqueur Sire Elyas !

Un sourire illumina le visage de l'enfant, disparaissant pour montrer un visage victorieux de l'adulte en devenir.
Il s’approcha de pomdunor.

Désolé...Je ne mérite rien...

En repartant vers la tante, il se forçait pour ne pas masser son bras endolori.
Fêlure ? Luxure ? brisure ? Quelle douleur... ?

Messire_godefroy

Godefroy venait de procéder au tirage au sort. Il retourna au centre de l'arène.

Il rappela la liste des vainqueurs du premier tour...

Combattants restant en Lice pour le second tour

Hibelin dict le sanguinaire

Sire Ursus de Valbois, duc de Chateaurenard

Dame Della

Sire Alonso

Dame Zelenka

sire Aigle_Blanc

sire Mumbly

Sire Elyasdecortavar

Puis Godefroy annonça les combats du second tour.....

RÉSULTATS DU TIRAGE AU SORT POUR LE 2eme TOUR

Dame Zelenka.............contre............Sire Mumbly

sire Aigle_Blanc..........contre............Sire Elyasdecortavar

Hibelin dict le sanguinaire du Ponant......contre.......Sire Ursus de Valbois, duc de Chateaurenard

Dame Della .................contre............Sire Alonso

Bien, que chacun prenne un repos bien mérité... Les combats reprendront demain.
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Zelenka

La voix grave et puissante du maître de jeu Messire Godefroy retentit hors de l'arène jusqu'aux oreilles de la brunette d'Adonville. Il venait de prononcer son nom! Elle qui attendait patiemment et tendrement accrochée à son valet de coeur. Ca y est c'est son tour de fouler le sol de la lice, ce qu'elle ne rechigna pas à faire. Elle semblait surexcitée, survoltée, sautillante et vive comme l'éclair. Gardant à l'esprit les quelques conseils que Etienne lui donna plus tôt dans la journée et surtout le défi lancé, le kilt en question. Mais une fois sur scène elle oublia déjà son premier conseil! Dur dur pour la jeune guerrière d'y aller dans la finesse quoique le Mac Leod fut si surpris par la fulgurante attaque qu'il n'eut même pas le réflexe de protéger ses attributs masculins. La Zel avec toute la détermination que certains lui connaissent s'en prit au kilt de son adversaire!! Etrange démarrage de combat!! Avec une habileté inouïe, bien aidée de sa lame très acérée elle découpa le ceinturon qui tenait ledit kilt qui par malchance fut rattrapé in-extrémis par la main de l'homme avant qu'il ne descende et assouvisse la curiosité de bon nombre de personnes icelieu.

Fichtre! j'y étais presque se dit-elle intérieurement.

Ainsi déconcentré l'Immortel des Highlands fut submergé par la violence des coups d'écus donnés par la vaillante Zelenka qui l'emporta haut la main.

Entrée surexcitée, sa sortie l'était tout autant voire plus encore d'avoir vaincu le géant à la longue chevelure. Elle chercha partout pour voir la réaction de son homme lorsqu'elle entendit la Consort hurler son nom. Ce qui la remplit de fierté, Zel encore dans l'arène se dirigea vers le Duchesse Della et s'inclina devant elle en signe de respect. Merci Della! lui dit-elle, tout sourire en se jurant d'aller la féliciter elle aussi pour sa victoire contre le terrifiant Destructeur.
Elle finit par quitter les lieux afin de rejoindre la tente, un réconfortant en-cas agrémenté d'une bonne rasade de bière lui ferait un bien fou. Se changer?? Heu ben non, elle n'eut même pas le temps de suer vu la rapidité de son duel.
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Messire_godefroy

J'appelle en lice les deux combattants suivants !

Sire Pomdunor contre Sire Elyasdecortavar

Elyas s’approcha, presque timidement tenant une épée très courte et un petit bouclier rond. Il avait sur la tête posé une cervelière de métal blanc qui semblait être trop grande pour lui. Ajoutant au tableau allure frêle du jeune homme. Il ne faisait pas bien peur le pauvre bougre. Pomdunor arriva tout sourire, près à en découdre, une drôle d’épée à la main. Elle semblait avoir été bricolée sommairement.
Les deux antagonistes se mirent en garde, près à bondir l’un sur l’autre.

Godefroy fronça les sourcils, tant la différence de gabarit était flagrante. Sauf miracle, le sort du combat était plié…

Combattez !

Pomdunor n’eut pas d’état d’âme… Il attaqua franchement son chétif adversaire. Il frappait, frappait, frappait de plus en plus fort sur le bouclier d’Elyas. Le pauvre bougre reculait à chaque coup asséné. De plus, il avait du mal à rester stable sur ses jambes.
Godefroy soupira…trop déséquilibré ce combat….
Mais Elyas avait toujours son regard lumineux, déterminé. Il subissait mais ne pliait pas. Les coups pleuvaient sur son petit bouclier rond mais ce dernier tenait bon.
Pomdunor commençait à s’énerver, il frappa encore plus fort. Son épée commençait à se démancher, il ne s’en aperçut pas immédiatement. Au dernier coup porté d’une violence extrême sur le bouclier d’Elyas la lame de l’épée se démancha du pommeau et s’envola à plusieurs mètres. Elyas en profita aussitôt. D’un geste déterminé il attaqua et plaça la pointe de son épée sur le cou de pomdunor.
Godefroy n’en croyait pas ses yeux. Quelle malchance pour Pomdunor ou, plutôt, quelle chance pour Elyas !

Le combat est terminé. Vainqueur Sire Elyasdecortavar !

Pomdunor regardait, dubitatif, le pommeau de son épée resté dans sa main, cette épée était vraiment de mauvaise qualité…. Elyas, lui, leva le bras en signe de victoire puis s’approcha de pomdunor comme pour s’excuser … Clameurs de la foule… Les dieux de la guerre n’étaient pas avec Pomdunor, ce jour…

Ils partirent tous deux, en marchant cote à cote, vers la tente des combattants….

Incroyable ! pensa Godefroy, visiblement ébahi de l’issue du combat, il sourit, c’est la vie….

Il fallait maintenant tirer au sort les combattants du second tour….
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Messire_godefroy

Ouf !... Il faisait chaud...Entre deux combats, Godefroy décida de s’accorder une petite pause et d’aller se désaltérer d’une bière, voire de déguster une morceau de volaille rôtie. Il venait de voir passer des fermiers qui, bénévolement avaient choisi de porter des victuailles aux combattants. Il fut surpris de voir un attroupement devant la tente. Qu’importe ! il avait soif et faim, il pénétra sans bruit dans la tente… Rhooooo....Quelle surprise ! il aperçut Dame Della, la consort, nue comme au premier jour, en train de se frotter les fesses à l’eau de violette..... Elle ne le vit pas… Arf, il ressortit aussi vite et aussi furtivement que possible… Les sourires de Mumbly et d’Ursus l’accueillirent. L’un lui tendit une bière, l’autre un pilon de poulet… Godefroy était tout rouge, il ria de bon cœur….

Vous auriez pu me prévenir, bandes de rats morts…. Et si elle m’avait vu ?... Et si le Duc était là… Et si Léa était là ?...Vous êtes des traitres, mes amis….

Arf…Pour votre peine, je ne vous dirai pas si elle est belle…, pourtant…

Les trois hommes partirent d’un éclat de rire. Godefroy bu sa bière d’un trait, avala sa pièce de volaille, balança l’os à un drôle de chien qui trainait dans le coin et s’essuya la bouche du revers de la manche.

Il vit alors la consort sortir de la tente vêtue de vêtements frais. Il la salua d’un hochement de tête et sourit davantage qu’à l’accoutumée. Evidemment les deux compères, Mum et Ursus étaient morts de rire à quelques mètres.

Bon ! Ce n’est pas tout, les combats doivent reprendre. J’y retourne…

Godefroy se replaça au centre de l’arène.

J'appelle en lice les deux combattants suivants !

Sire Mumbly contre Sire Manulechti

Mum effaça son sourire immédiatement. Il mit son heaume, se munit de son épée et de son bouclier et se dirigea vers le centre de la lice en trottinant. Il se mit en garde en faisant tourner, de temps à autre, son épée dans sa main, ce qui témoignait d’une grande dextérité…
Manu arriva dignement, en marchant doucement. Il se mit en garde en poussant un cri terrifiant destiné à effrayer Mum.

Combattez !

Mum attaqua le premier, puissamment, il frappa de taille de haut en bas, à plusieurs reprises. Le bouclier de Manu bloqua toutes les attaques. Même si les chocs étaient rudes, le matériel tenait bien face aux coups de boutoir que martelait Mum. Manu s’élança en contre attaque. Il plaça son épée juste au dessus de son bouclier, la pointant sur Mum et étendit le bras. Le coup fut paré de l’épée par Mum qui changea de tactique. Il asséna un violent coup de bouclier à Manu qui tomba à terre en arrière en butant sur une pierre… cris dans la foule .......silence pesant… Mum lui fit signe de se relever, il était un homme d’honneur, il n’aurait jamais profité d’une situation aussi injuste. Manu se releva, il repartit à l’assaut aussitôt tentant de frapper Mumbly aux jambes. Mum sauta pour éviter le coup, jeta son bouclier, pris son épée à deux mains et retomba en déposant la pointe de son épée sur le cou de Manulechti. Il regarda Godefroy d’un air de dire : terminé !

Le combat est terminé. Vainqueur Sire Mumbly !

Les deux hommes se saluèrent et partagèrent une accolade chaleureuse. Ils se respectaient mutuellement. Manu prit le bras de Mum et le leva vers le ciel… Clameurs de la foule…

Ils partirent tous deux, en marchant cote à cote, vers la tente des combattants….

Si tout le monde pouvait avoir un si bon esprit… Godefroy, visiblement satisfait de la qualité du combat, sourit…. Il consulta ensuite son parchemin pour prendre connaissance des prochains adversaires !
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Della

Après avoir aimablement demandé aux messires de bien vouloir sortir quelques minutes et de ne pas regarder par les trous d'usure de la toile, Della quitta ses vêtements avec grand plaisir pour en enfiler d'autres, frais eux, non sans s'être préalablement rafraîchie et parfumée de cette délicieuse eau de violette reçue récemment.

On apporta un plat garni de cuisses de poulet bien rôties...Miam !
Della en emporta une en sortant, direction la lice où les combats avaient repris.
Elle en avait raté un. Celui en cours opposait dame Zelenka à l'homme en kilt ! Chouette !

Se postant au bord de la lice, tenant fermement son poulet dans sa main droite, la Consort avait bien l'intention de vérifier ce qu'il se passait sous ce fameux morceau de tissu. Lorsque Zelenka le frappa, Della pensa que l'homme allait rouler, les quatre fers en l'air et que ce serait le moment opportun ! Hé ben non...il ne roula pas. Déception...
Mais Zelenka vainquit !
Ce qu'il restait de la cuisse de poulet se balança au rythme des :
Youhou ! Bravo, Zelenka ! Le dernier os fut jeté à un brave toutou aux yeux de chapoté.

A son voisin de droite - qu'elle ne connaissait pas - Della dit toute sa joie : Z'avez vu ? Haha ! Terrible les femmes, par ici ! Et de partir dans un grand éclat de rire lorsqu'on annonça la combat suivant.

Celui-ci fut lent au début...Della fila chercher une autre cuisse de poulet et ramena par la même occasion, une gourde remplie d'hypocras.
Elle s'installa à même le sol pour son pique-nique...Cela lui donna quelques idées pour les festivités royales du couronnement puisque Sa Majesté Vonafred voulait un pique-nique, ce qui bien évidemment, désolait le Premier Maître d'Hôtel, habituée qu'elle était à mettre les petits plats dans les grands lorsqu'il s'agissait de confectionner les menus de la famille royale. Mais bon, que voulez-vous, les Rois et les Reines allaient et venaient, chacun avec leurs goûts tandis que Della, elle, restait attachée solidement à son Office qu'elle gérait de main de maître, s'adaptant autant qu'il le fallait.

Alors qu'elle était perdue dans ces considérations, il lui sembla que l'Aigle ait pris le dessus.
En effet, Messire Godefroy l'annonça vainqueur !
Là-dessus, l'on vit la Consort de lever comme saute une grenouille un soir d'été et à nouveau, elle s'égosilla : Bravo, l'Aigle !

Et c'est précisément à ce moment-là qu'elle aperçut...son époux...

Vite, elle essuya ses mains grasses de poulet sur ses braies et tout sourire, elle s'avança jusqu'à lui. Trésor ! Vous voici, mais où étiez-vous ? Tiens, un bisou sur la joue en prime...Allez, souris Kéri Chéri...Elle est trop meugnonne, ton épouse...avoue !
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Messire_godefroy

J'appelle en lice les deux combattants suivants !

Sire Aigle_Blanc Contre Sire Scoldt

Les deux combattants entrèrent simultanément. Ils se placèrent face à face et se mirent en garde.

Combattez !

Après une phase d’observation assez longue, les adversaires engagèrent le combat. Scoldt attaqua le premier, de taille. Aigle brandit son bouclier et para le coup. Il contre attaqua en tentant une frappe de taille de traverse. La aussi, le bouclier de Scoldt fit son office…Pendant près d’une demi heure, ils échangèrent des coups alternativement sans que l’un d’eux ne prenne véritablement le dessus. Le bouclier de Scoldt montrait des signes de faiblesse. Tout cabossé, la sangle de cuir usagée, était aussi sur le point de rompre. Aigle s’en aperçut et déchaina sa fureur en s’acharnant sur le bouclier dont la sangle finit par rompre. L’écu de protection tomba au sol lourdement. L’échange suivant fut déterminant. Scoldt, le bras endolori, tenta une attaque qui fut bloquée par Aigle Blanc. Aigle blanc attaqua simultanément, son assaut ne rencontra pas la résistance du bouclier absent et trouva le flanc du thorax de Scoldt.

Le combat est terminé. Vainqueur Sire Aigle Blanc !

Scoldt regarda avec mépris son bouclier… Trahi par son équipement…tssss… pensa-t-il… Il salua ensuite dignement son adversaire… Sourit à la foule et se retira en marchant vers la tente.

Aigle Blanc Leva le bras en signe de victoire et salua la foule ou se trouvait sa famille. Il arborait un grand sourire.

Hum… Pensa Godefroy… Ce très jeune homme promet… Excellent combattant !
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Bourguignon

Le Boeuf partit sous la tente des combattants attendre le début des combats et surtout savoir contre qui il allait se mesurer. Il salua les participants mais n'eut pas le temps de commencer une discussion que l'organisateur appelait déjà les différents inscrits pour qu'ils puissent prendre connaissance de leurs adversaires.

Le Gouverneur tomba sur un Ponantais pas de chance pour lui ces derniers ne lui avaient réussi lorsqu'il était parti pour Poitiers, il esperait cependant que s'inverse pour les festivités orléanaises.
Après s'être équipé il se présenta devant son adversaire, le salua puis attendit le signal de l'arbitre.
Des qu'il fut donné le ponantais se rua sur le Boeuf, frappant de toutes ces forces, vite et bien, Bourguignon surprit par la rapidité de ces attaques ne put que parer certains coups mais l'issue ne serait pas en sa faveur et après un combat de courte durée le corps du Duc s'écroula par terre devant les assauts répétés de son assaillant.

Bourguignon se releva, salua son adversaire ainsi que le foule qui par courtoisie l'applaudit avant de huer le gagnant. Une défaite n'était jamais plaisante et encore moins contre un Ponantais mais il fallait se rendre à l'évidence le Boeuf commençait surement à s'enrouiller et était tombé ce jour la sur plus fort que lui. La chance lui sourira surement pour un autre tournoi.
Il repartit en direction de la tente pour reprendre une tenue plus correcte puis assista aux autres combats ne manquant pas d'applaudir et d'encourager les Orléanais, notamment la Consort qui en avait fait de même pour lui, lorsque leur tour arrivait.
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Ursus

D’aucuns pensent que plus elle est grosse mieux c’est. Mais voilà, il ne faut point être trop gourmand car grande épée est aussi très lourde. Le Duc de chateaurenard se contenta d’esquiver les puissantes frappes de son adversaire. Pourtant celui ci aurait dû savoir que le sabre léger peut donner de mortels coups.

Alors que son ennemi se fatiguait et suait à grosses gouttes, il ne restait plus qu’à ajuster quelques coups de taille pour défoncer l’armure de Renaud de Chatillon. Dans un ultime effort celui ci se jeta en avant pour porter une attaque désespérée. Une petite poussette, une jambe en barrage et le voilà terrassé au sol.

Ursus regarda son écuyer et leva le poing en signe de victoire. Il retira ensuite son heaume pour saluer la foule et tendit la main vers son adversaire pour l'aider à se relever.

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Leanore

Godefroy ne savait où donner de la tête tant les candidats étaient nombreux. Un dernier se présenta in extremis avant la clôture des inscriptions. Bientôt son époux afficha le tableau des combats futurs.
Tous auraient fort affaire face aux terribles combattants venus de l’étranger.

Le son des trompettes annoncèrent le début des combats et Léanore s’écarta un peu pour pouvoir admirer le spectacle sans aucun risque.

Ce fut le gouverneur en personne qui dut ouvrir le feu et pas le moindre. Contre un représentant du Ponant. Tout un symbole. Comble de l’ironie, le ponantais présenta ses hommages à Xalta en lui annonçant qu’il combattait pour elle. Ainsi il y avait aussi des chevaliers là-bas.

Le sanguinaire eut très vite le dessus et malheureusement, le gouverneur fut à terre. Godefroy arrêta le combat lorsqu’il vit la pointe de l’épée sur la gorge de Bourguignon. Serait-il allé jusqu’au bout ?

Près d’elle DElla criait ou plutôt hurlait ses encouragements. Tout le monde applaudit le gouverneur qui s’était battu avec vaillance.

Les combats se succèdaient avec plus de réussite pour les Orléanais. Ursus fut vainqueur de son templier qui avait mal choisi son arme.

Lorsque Della prit place, Léanore retint son souffle. Comment une femme chétive pourrait venir à bout de ce mastodonte. Et pourtant elle y parvint. Léanore admira sa grâce féline, sa souplesse. Elle combattait toute en finesse tandis que son adversaire y allait de sa force. Lorsque Della fut déclarée vainqueur, Léanore applaudit encore plus et eut envie d’aller la féliciter. Mais elle se retint se disant que la dame voulait sans doute se reposer et se rafraichir. Cela attendrait donc surtout qu’un autre combat allait commencer.

Une autre femme, une guerrière contre un autre Orléanais que Léanore ne connaissait pas. Mais elle l’encouragea autant que les autres. La combattante semblait coriace est surtout très agressive. Pour la première fois dans ces duels, le sang coula. Lorsque Godefroy cria l’arrêt du combat pour annoncer la victoire de Alonso, la guerrière ne sut pas cacher sa colère et sa rage. Godefroy lui proposa de venir se soigner mais accepterait elle ?

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Messire_godefroy

Que les deux combattants suivants entrent en lice !

J'appelle le Seigneur Mac Leod dict l'immortel des Highlands et Dame Zelenka

Zelenka entra la première, en courant doucement, la tête haute et le regard intrépide. Elle vint se placer au centre du cirque armée de son épée favorite et de son bouclier. Sautillant sur place, elle semblait être impatiente d’en découdre … Elle aperçut enfin le highlander pénétrer dans l’arène en marchant nonchalamment, un petit sourire éclairait son visage. Il ne portait pas de casque. Son kilt était constitué d’une étoffe particulière, celle qui portait les motifs du clan des Mac Leod. Les deux concurrents se mirent en garde face à face.

Combattez !

Dès le signal, Zelenka, véloce, couru littéralement vers l’écossais et avec la détermination visible de vouloir en finir vite. Mac Leod, surpris par la charge de l’attaquante, recula en retard, mais réussit, tout de même, à parer le coup de l’amazone. Dans l’élan, Zelenka ressentit une rage enfiévrée de gagner. Elle prit son bouclier à la main et lui assena deux violents coups à la tête. Le pauvre écossais, pris de vitesse, assommé par deux fois, abasourdi semblait ne plus avoir ni la notion du temps, ni celle de l’espace…Il tenta d’avancer vers elle. La point de l’épée de Zelenka l’en empêcha. Elle était déjà figée droite contre sa gorge….

Le combat est terminé. Vainqueur Dame Zelenka !

Mac Leod ne comprit pas tout de suite qu’il avait perdu mais il sentait bien la lame de Zelenka appuyée contre sa glotte. Il comprit alors que la guerrière l’avait vaincu. Il se résigna et sourit largement…

Zelenka leva alors son bras vainqueur vers le ciel et salua la foule qui l’acclamait. Elle repartit en petites foulées vers la tente des combattants…

Le highlander continuait de sourire. Pffff ! Il venait de comprendre que parfois, il ne vaut mieux pas défier les dames. Il eut fallu y songer auparavant….
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Zelenka

La brune fraîchement revenue de s'inscrire à la course à trois pieds, elle découvrit le panneau d'affichages ainsi que le nom de son adversaire. Son sang avait dû se figer quelques instants glaçant tout son être, elle en devint blême. Courage! Tu en as vu d'autres!!! se dit-elle intérieurement. Secousse de tête pour se remettre les idées en place suivi d'étirements plus ou moins ordonnés. Durant ce temps les combats allaient bon train, déjà trois de passés sans que Zelenka n'en vit une miette! Les rumeurs circulaient et disaient que Dame Della avait vaincu le Destructeur, est-ce possible? oui nul doute là-dessus! Annonce qui remis du baume au coeur de la guerrière qui se dirigeait vers la tente, il lui fallait un petit remontant malgré tout! Elle avala d'un seul trait une chopine de bière et fila à la suite vers la lice. Son nom retentirait certainement très bientôt. Armée de son épée favorite, celle-là même qui transperça il n'y a pas si longtemps le Poilu en personne!! Son bouclier sera de la partie aussi, tant qu'à se protéger autant bien le faire.
Elle resta concentrée jusqu'à ce qu'elle aperçoive son homme non loin de l'arène. S'approchant de lui par l'arrière, elle glissa doucement sa main dans la sienne entrelaçant ses doigts entre les siens avant d'y donner un coup d'épaule. Alors es-tu prêt à me porter dans tes bras jusqu'à la maison quand l'Ecossais m'aura découpée en rondelles? lui dit-elle en riant avant de lui donner un baiser fugace.
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Messire_godefroy

J'appelle maintenant les deux combattants suivants !

Xeenaa dicte la peu farouche contre Sire Alonso

Les deux combattants entrèrent en lice. Xeenaa passa pres de Godefroy, à le frôler, elle le regarda et lui glissa une oeillade lascive du regard. Cela agaca passablement le maître d'armes. La belle guerrière tentait-t-elle de le corrompre ?.... Elle se mit en garde face à Alonzo qui sourit malicieusement en voyant son jeu outrancier...
Alonzo fit tournoyer une fois son épée pour s'assurer qu'il l'avais bien en main et se mit en garde le regard fixé sur les yeux de l'amazone.

Combattez !

Les adversaires s’observèrent en tournant face à face pendant de longues minutes. La détermination d'Alonzo se lisait sur son visage détendu mais son regard était très concentré. Xeenaa riait, faisait mine d'attaquer en avançant une jambe. Le geste étant accompagné d'un cri d'attaque impressionnant... Soudainement, elle lança son attaque. Elle tenta de le piquer d'estoc. Il parât l'attaque en balayant devant de son l'épée. Il recula un peu. La voluptueuse guerrière chargea alors et infligea une volée de coups sur le bouclier d'Alonzo qui commençait à se déformer sous l'avalanche de puissants coups martelés. Mais la protection tenait bon et Alonzo attendait l'instant ou la contre attaque ferait mouche... Il attaqua à son tour, puissamment, précisément, il entama l'épaule de Xeenaa. Elle hurla de douleur et devint enragée. Ellese rua sur lui de toutes ses forces, aveuglée par la colère, elle se découvrit au flanc...
C'est ce qu'attendait Alonzo. Il glissa audacieusement sous la charge puis sous le bouclier. l'épée de la furie le frôla. Il se retrouva contre elle, corps contre corps, il sourit. La pointe de son épée était bien appliquée sur le flanc de la farouche guerrière, au niveau de son coeur.

Le combat est terminé. Vainqueur Sire Alonzo !

Alonzo déposa un baiser de défi sur la joue de Xeenaa puis ria de bon coeur. Puis il salua la foule, et repartit tranquillement vers la tente afin de recevoir des soins. Xeenaa écumait de rage, son épaule saignait. Elle jeta son épée et son bouclier à terre de rage...

Godefroy ramassa l'arme et le bouclier...

Venez ! je vous accompagne à la tente... il faut vous faire soigner. Leanore ! Une cliente pour toi !...
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Keridil

Après son inspection de la lice, Keri Keri, qui n'avait pas pris la peine de regarder qui étaient les participants, était parti voir ailleurs, et notamment s'inscrire à la course à Trois Pieds, lui qui n'en a, en pratique, qu'un de valide, et de fait, il avait raté le lancement des combats.
Pas de bol, il y aurait découvert que son épouse, une fois de plus, se prenait pour l'homme de la maison.
De loin, entendant la voix de la blonde s'élever pour encourager les Orléanais en lice, le Duc s'était satisfait de voir sa consort investie, et présente. Elle ne faisait pas pot de fleur, c'était le principal, et, belle comme un coeur, elle travaillait au prestige de sa Couronne.
Toutefois, parvint à l'oreille du brun qui s'approchait des lieux de combats, après s'être inscrit sur le registre idoine, une allocution du maître du jeu, et qui ne fut pas pour lui plaire.

Vainqueur Dame Della !

Han ! Séverin ! Della est allée combattre. La bougresse !

Et de se pointer dans les gradins, la fusillant volontiers du regard. Pas de bol, elle partit dans sa tente sans regarder dans sa direction. Ce soir, y'en a une qui va prendre !
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Et si tu veux la liberté, l'égalité et la fraternité, va jouer à Tribalistan.

Della

On avait encore pu entendre sa voix s'élever lorsque Ursus avait vaincu son adversaire.
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Bravo ! Bravo ! Vive Orléans !
Comme personne n'avait été envoyé par son époux pour lui dire de se calmer, elle en avait déduit qu'il n'était pas dans les parages et donc, elle en profitait allégrement.

Mais lorsque son tour vint, elle ne pipa plus un mot. Une grosse boule de frayeur lui coinçait le gosier, l'empêchant presque de respirer.
C'est qu'il était balèze le Conan et son surnom, il ne l'avait pas volé.
Mazette, il n'allait rien rester d'elle si elle ne la jouait pas finaude. Pas question de se laisser battre devant les Orléanais qui l'avaient accueillie si chaleureusement.

Quel pouvait bien être le point faible de cette armoire tout en muscles ?
Elle le découvrit bien vite, même si ce fut par hasard qu'elle se sauva lorsqu'il fonça droit sur elle en faisant de grands moulinets avec son épée. Diantre, la peur qu'elle avait eue ! C'est à peine si elle n'avait pas mouillé ses braies dis donc !
Et elle comprit...L'armoire était balèze mais pas très futée. Elle l'aurait à l'usure, en esquivant chaque frappe d'un saut tantôt en arrière, tantôt d'un côté, puis de l'autre...Hop hop hop...Simple !
Petite, pas trop grosse, habituée aux longues marches dans les vignobles et rompue aux travaux des vignes, Della avait pour elle un souffle à tout épreuve. Loué soit le ciel !
Lorsqu'elle vit que Conan commençait à souffler comme un boeuf, elle décida que c'en était assez. Elle suait elle aussi et un bon bain était absolument nécessaire. En deux temps, trois mouvements, elle se retrouva à cheval sur les épaules du destructeur après un lancer réussi de son bouclier et...pareille aux gladiateurs qui attendaient le signal du pouce impérial, elle attendit le verdict de Messire Godefroy.

Vainqueur Dame Della !

L'était temps ! Parce que là, elle était fourbue.

Elle quitta sa monture, en lui tapant un coup d'épée sur la tête, sans le faire exprès bien entendu, lui décocha un sourire moqueur et après moult saluts à la foule en délire, elle s'en alla prestement vers la tente où elle pourrait quitter ses vêtements collants et se rafraîchir.

Mais où était donc Kéri Kéri Chéri ?
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Messire_godefroy

J'appelle les deux combattants suivants :

Coonaan dict le destructeur contre Dame Della.

Les deux combattants se mirent en place tranquillement. Dame Della tenait ferme son épée, elle fit un geste à l'assemblée qui l'acclamait en souriant largement. Puis elle se mit ne garde, son visage devint grave. Elle fixa son adversaire. Coonaan ricanait outrageusement, lui aussi n'avait pas de bouclier mais une épée longue et lourde à deux mains.

Ils se mirent en garde face à face.....

Combattez !

Le destruteur fit tournoyer son épée en avançant sur son adversaire. La lourde épée sifflait dans l'air.Il tenta de toucher Della en frappant de taille de haut en bas. Della, légère et furtive, esquiva le terrible coup.. Godefroy fronça les sourcils, il suffisait qu'il la touche une seule fois pour la blesser tant les coups étaient d'une violence impressionnante.
Le combat durait, durait...Della, féline, esquivait tous les coups et le destructeur enrageait et frappait l'air de plus en plus fort en poussant de grands de grands rugissements de rage.
Il combattirent pendant près d'une heure. Della semblait fraiche comme une rose... Coonaan soufflait et donnait des signes de fatigue, il transpirait à grosses gouttes. Della, elle, était vive et sautillante. Elle esquivait tous les coups de la brute.
Tout à coup, elle lança son bouclier dans les jambes du colosse, le jet précis atteignit les rotules de Coonan. Le destructeur tomba à genoux et lâcha son impressionnante épée. Soudainement, elle sauta sur ses épaules et enserra sa tête de ses cuisses. Elle placa son épée sous la gorge du barbare.

Godefroy sourit de soulagement, la finesse et l'intelligence avaient eu raison de la force brutale....

Vainqueur Dame Della !

Della sauta de joie et leva son épée en signe de victoire en direction de la tribune. Elle se retira, laissant Coonaan dépité, au pas de course, visiblement pas trop fatiguée.
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Scoldt

Scoldt attendait devant la tribune que son heure arrive.
Pendant ce temps il observa les moindres fait et gestes des combattant, surtout des gagnants, dans la possibilité où il en viendrait à combattre contre l'un d'entre eux.

Son air était loin d'être comparable à celui de son arrivée, joyeux, festif et inconscient. Il était à présent sérieux, ne remuant pas un cil mais suivait simplement des yeux les combats.
Il attendit, encore et encore, calmement, patiemment, l'épée au fourreau et sa tenue de combat prête.
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Aigle_blanc

Avant d'entrer en lice, Titouan rejoignit sa mère dans les estrades.

Arrivé à sa hauteur il mit genou en terre devant elle et s'exprima de façon solonelle :

Ce serait un honeur pour moi de pouvoir porter et défendre vos couleurs mère.

Dit-il en inclinant la tête ainsi que quelquepeu son tronc.

Messire_godefroy

J'appelle les deux combattants suivants :

Renaud de Chatillon, grand maître Templier contre sa grasce le Duc Ursus de Valbois.

Les deux combattants se mirent en place simultanément, Urus avait son regard des bons jours qui voulait dire : je vais le bouffer le templier ! Chatillon affichait un grand calme, il n'avait pas de bouclier mais une épée longue et lourde à deux mains.

Ils se mirent en garde face à face.....

Combattez !

Le templier se rua aussitôt sur son adversaire, frappant le bouclier d'Ursus. Godefroy fronça les sourcils, craignant de voir se répéter le scenario expéditif du combat précédent.
Ursus esquiva latéralement le second coup et la furia de Chatillon n'atteignit que l'air de la lice.
Il combattirent pendant près d'une demi heure. personne ne pouvait deviner qui serait le vainqueur... Le templier donnait des signes de fatigue, sa lourde épée pesait sur ses bras. Ursus, lui, tournait rapidement autour du colosse faisant tournoyer son épée plus légère mais bien affutée.
Soudain, il trouva la faille, tournant plus vite que le templier, il le poussa des deux mains, occultant volontairement de se servir de son épée. Il mit sa jambe en barrage et le puissant Renaud de Chatillon s'effondra dans un fracas épouvantable. Il lâcha sa lourde épée...
Ursus appliqua alors son épée sur le cœur du templier qui tentait vainement de se relever, gauche comme un gros coléoptère .

Godefroy sourit de plaisir, c'était gagné....

Vainqueur Sire Ursus !

Ursus, aida son adversaire à se relever et retourna simplement en direction de la tente des combattants. Les clameurs du public emplissaient la lice. Ursus fit un geste à la foule et se retira.
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Mumbly

Mumbly avait pris connaissance du nom de son adversaire.Il fit un peu la moue.Le combat serait rude.Manulechti était vigoureux et ne craignait pas l'affrontement.Il pensa qu'il devrait jouer de technique plus que de force face à lui.
Il se mit à l'écart et entama une suite d'attaques et de parades pour se préparer.
Bien que se combat soit amical,Mum était tendu et ne voulait pas décevoir son amie Léa.Surtout ,il ne voulait pas qu'elle accourt vers lui s'il devait être blessé.Elle avait toujours été là pour lui remonter le moral et il voulait se montrer digne en sa présence.
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Della

Gloups.
C'est la pensée qu'avait eue Della en voyant les duels inscrits par Messire Godefroy qu'elle regretta de ne pas avoir soudoyer pour qu'il la place face à un adversaire moins...destructeur.
Mais bien vite, elle chassa cette pensée, on était là pour s'amuser et pas pour vraiment se découper en petits morceaux. Héhé.

Elle était prête déjà.
Braies, chemise, surcot court et protections telles que celles admises, il ne lui manquait que son heaume qu'elle mettrait le moment venu.

Là, au bord de la lice, mais pas trop près quand même, elle regarda le premier duel et comme promis à Boubou comme l'appelait affectueusement son tendre Kéri Chéri, elle lança :
Allez, le Boeuf ! Mettez-lui la pâtée ! Vous allez le terrassez !!! Ouiiiiiiiiiiii !

Oups à nouveau...car Kéridil devait être dans les parages...Jusque là, elle avait réussi à lui filer entre les pattes, évitant ainsi le terrible face à face du Duc et de sa tendre épouse momentanément dans la peau d'une extraordinaire guerrière ! On verrait ça plus tard...ce soir...ou pas.
Regard donc qui pique vers le sol, genre : "Non non, c'est pas moi qui ai crié comme ça." et sourire mutin parce que qu'elle s'amusait bien !

Oui enfin, jusqu'à ce que Boubou mange la poussière.
Arg ! Crénom ! Saleté...d'Angevins ! Je hais les Angevins !
Oui, Della et les Angevins, c'est une longue histoire de haine.
Il est peut-être pas Angevin ? Ponant, ça veut dire Angevin, non ? Non ? Ah...tant pis !
Et les mains en porte-voix :
Houuuuuuuuuuu ! Vilain Ponantais !
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Messire_godefroy

QUE LES COMBATS COMMENCENT !

Les trompettes résonnèrent dans la lice faisant vibrer leur cuivre avec l’éclat d'une série de notes aiguës d'une haute intensité.... Les spectateurs, habitants du Duché, cernaient la zone de combat. Les nobles étaient installés assis sur une tribune située au plus près des affrontements...
L'agitation gagnait le public, nobles et roturiers, et l'on sentait la fébrilité ambiante qui soufflait comme un vent guerrier qui attend impatiemment d'en découdre.

Godefroy vint se planter au milieu de la lice....

Votre grasce, Belles dames et beaux sires, peuple d'Orléans et du Duché, vous allez assister au plus beau tournoi de combat à l'épée de tout le royaume de France. Je vous souhaite de jouir d'un beau spectacle.

Je rappelle les règles du combat : les combattants ont droit à une épée, un bouclier, un casque de type cervelière ou heaume léger ainsi qu'à des protections de bras et de jambes. les armures entières sont interdites, les plastrons aussi.
Il est interdit de frapper un adversaire à terre.
Si un combattant met volontairement un genoux à terre et s'incline, il capitule, de ce fait, il est interdit de le frapper.
Les duellistes n'ont droit qu'à une seule épée et un seul bouclier.
Il est interdit de frapper un adversaire dans le dos.
Le vainqueur est celui qui est en mesure de tuer son adversaire

puis s'adressant aux combattants...

Battez vous avec honneur dans le respect des règles de la chevalerie, respectez votre adversaire...
Je vous souhaite force, honneur et courage...

J'appelle les deux premiers combattants !

Le comte Hibelin dict le sanguinaire du Ponant et Le Duc Bourguignon dict le bœuf, gouverneur de la province !

Les deux hommes entrèrent en lice. D'un pas déterminé, fixant son adversaire, le bœuf prit sa place le premier. Il se campa fermement sur ses jambes et se mit en garde.

Le comte Hibelin se dirigea, en tout premier lieu vers la tribune des nobles et se planta devant Dame Xalta.
Il releva la visière de son heaume, sourit et s'inclina.

Je combat pour vous belle et gracieuse Dame !

Il leva son épée en pointant le ciel et hurla son besoin de combattre. Il prit sa place face à Bourguignon et se mit en garde.

Alors que les clameurs s'élevaient pour encourager le boeuf, godefroy s'approcha.

Combattez !

Dès l'ordre donné, Hibelin se rua sur le gouverneur, il frappa plusieurs fois le bouclier qui éclata au dernier coup. Le bœuf tenta de maitriser cette attaque mais la fureur du sanguinaire était telle que le gouverneur se retrouva au sol. Aussitôt, le comte Hibelin fit peser sa botte sur le poitrail du Duc. Il plaça la pointe de son épée sous la gorge du boeuf.

Godefroy intervint aussitôt...

Le combat est terminé. Vainqueur Sire Hibelin !

Le ponantais n'eut pas le triomphe modeste, il releva son épée vers le ciel et hurla encore une fois de rage.
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Manulechti

Manu souri à Messire Godefroy

Je ferais de mon mieux bien sur et je puis vous assurer que les jeunes auront du fil à retordre ^^

Le Seigneur de la Moutonnière appose sa signature sur le registre.

Après avoir signé il s’intéresse au résultat du tirage au sort et lance :

Sacré tirage au sort, il va falloir donner le maximum de soi car sire Mumbly est un coriace candidat.
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Aigle_blanc

Titouan vint à passer devant l'annonce du tirage au sort :

Ho, ho, Sire Scoldt. Des parades en primes, des attaques en secondes, des brisures en tierce, des contres-attaques en quarte, des cavalières en sixte, des priorités aux pieds en septimes avec des octaves en prime.

Toute une commande pour un jeune de quinze ans pensa-t-il.

Puis de façon plus générale :

Tout un programme !

C'est VRAIMENT bien organisé comme tounoi, on se croirait au Lavardin se fit-il comme réflexion.

Il prit résolution d'en toucher deux mots un jour à l'organisateur.

Lenore

Les combats allaient débuter, Lénore n'était pas friande des tournois en lice ou des joutes, sans doute car elle n'y connaissait rien. Ne voulant pas mourir inculte, la blondine vint faire un tour pour se donner une idée de la lutte armée.

Le regard écarquillé de stupéfaction, la "Peste" détailla chacun des adversaires ainsi que leur équipement. Par tous les Saints! pensa t-elle en jugeant les carrures et les aciers divers. Même les dames participait à cette activité mais avaient-elles la moindre chance de ne pas sortir abîmées?

La curiosité attisée, l'adolescente se fraya une place près de la lice pour observer le premier combat...
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EN RETRAITE DU 10/04 au 19/04

Messire_godefroy

LES INSCRIPTIONS SONT CLOSES

PANNEAU D'AFFICHAGE :

RÉSULTATS DU TIRAGE AU SORT

Combats du premier tour

Hibelin dict le sanguinaire......... contre .........Sire Bourguignon dict le boeuf

Renaud de Chatillon......... contre ...................Sire Ursus

Coonaan dict le destructeur .........contre ........ Dame Della

Xeenaa dicte la peu farouche .........contre .......Sire Alonso

Mac Leod dict l'immortel .........contre .............Dame Zelenka

sire Aigle_Blanc .........contre .............Sire Scoldt

sire Mumbly .........contre .............Sire Manulechti

sire Pomdunor......... contre .............Sire Elyasdecortavar

HRP Ce soir je réglerai le résultat des combats aux dés, je fais un petit rp pour animer.Vous pourrez commenter rp votre combat ou pas, comme vous voulez...

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Godefroy Amaury de Malphètes,

Pomdunor

Heureusement qu'il avait été charpentier ! Tout comme il avait été forgeron. Un pommeau adapté à sa main, ce n'était pas si difficile à réaliser. Bien sur, il n'était pas fait avec une matière noble et il n'avait pas trop belle allure. Qu'importe, l'essentiel était que le tenu soit correct. Pom soupesa son épée, satisfait de son ouvrage.

Bien, maintenant, on verra ce qu'on verra.

Il ne se faisait aucune illusion, ce n'était pas les quelques passes qu'il avait opérées avec Camille dans les forets de Champagne qui lui permettrait de rivaliser avec un champion. Ou même un simple soldat. Mais le gout de la vie était si fade en ce moment qu'un rien le distrairait. Ces joutes tombaient à point nommé.

Une nouvel chopine, combien cela faisait-il ? Il ne le savait pas, tellement il était occupé à la préparation de son épée. Mais finalement, il avait été plus sobre qu'à l'accoutumée. Un dicton ne dit-il pas "le travail c'est la santé" ?

Oui, je crois bien que toutes les grandes lames de l'orléanais sont venues en découdre.

Il était surpris de voir autant de membres de la noblesse en ce lieu. Il en arrivait à se demander s'il était à sa place ici. C'est qu'il avait en horreur toutes ces simagrées, ces ronds de jambes, ces politesses simulées. D'autant qu'à la moindre parole déplacée, au moindre geste de travers, au moindre regard trop appuyé, un procès était envisageable. C'est que les nobles, c'étaient pas des rigolos.

Quand il entendit un rire féminin, ses yeux se tournèrent vers l'entrée de la tente.

Tiens, v'la une boite de macarons qui me vient à l'esprit.

Il reconnut immédiatement Della. Pourtant qu'il semblait lointain le temps passé aux Ambassades ! Il se leva et se dirigea vers la duchesse bourguignonne.

Bonjour, votre Grâce. Quelle surprise que de vous voir ici !
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Vous pouvez utiliser mes lettres RP

Keridil

Sorti de la Cathédrale où s'était déroulé le Couronnement plus tôt dans la journée, et changé de sa tenue cérémonielle pour quelque chose de plus décontracté, le Duc d'Orléans arriva, canne battant le sol, sur le terrain des combats à l'épée.
L'activité, martiale s'il en était, semblait attirer la noblesse que l'on disait volontiers difficile à faire participer aux animations. Les faits pourtant, réjouirent l'Amahir, puisqu'ils faisaient mentir les mauvaises langues.
Ce disant, il approcha du meneur de jeu.

Vos Grâces, Seigneur, Messire Godefroy.
Les choses se déroulent-elles comme il sied ? Avez-vous le moindre besoin auquel nous pourrions suppléer ?

Bah quoi ? Il faut bien veiller au bon déroulement de l'anniversaire du Duché, et s'il ne peut pas combattre, eu égard à sa jambe un chouilla boîteuse, Montpipeau tient à se montrer. Après tout, n'est-ce pas le rôle d'un Duc que de soutenir l'investissement de ses sujets ?
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Et si tu veux la liberté, l'égalité et la fraternité, va jouer à Tribalistan.

Alonso

Il a eu chaud, fin des inscriptions le 28 mars, je m'inscris Messire Amaury

J'ai hate de combattre!!
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Messire_godefroy

Décidément c'était tout le gratin de la noblesse orléanaise qui se déplaçait pour voir les épreuves... Godefroy considéra l'arrivée d'un hôte de marque avec un respect affiché.

Sa grasce Keridil, lui même, s'inquiétait de savoir si tout se passait bien Arf ! Quel honneur !

Vos Grâces, Seigneur, Messire Godefroy.
Les choses se déroulent-elles comme il sied ? Avez-vous le moindre besoin auquel nous pourrions suppléer ?

Un peu intimidé, mais rassuré par la présence d'Ursus qui souriait en coin, Godefroy s'inclina respectueusement.

Merci, votre grasce de vous enquérir de notre humble condition. Tout roule comme sur des petites roues de chariotes... Les candidats sont nombreux et l'ambiance est parfaite... Heu ! Juste un détail, c'est bien le Duché qui paie la bière ? Parce que je ne sais pas dans quels états ils sont mais c'est le troisième tonneau que je perce aujourd'hui.

Une autre voix tonitrua :

J'ai hate de combattre!!

Bienvenue sire ! pas de problème, vous allez pouvoir vous en donner à cœur joie ! inscrivez vous et rendez vous sous la tente,boissons et bonne ambiance vous attendent.
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Ursus

Ursus avait déjà participé à un duel à l'épée, lors de l'anniversaire du Duché. Aussi, il se devait de défendre son titre de champion. Il s'approcha de son écuyer et des quelques nobles qui s'étaient déjà inscrit.

Bonjour à tous!

Godefroy, s'il te manque un participant pour les duels, je suis prêt.
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Messire_godefroy

Godefdroy entendit une voix nasillarde dans son dos, il se retourna et ne vit personne.... Quelle est donc cette diablerie ?
Puis en baissant les yeux, il aperçu enfin le sire Manulechti.

Bienvenue sire Manulechti, signez le registre puis vous êtes attendu sous la tente des combattants afin de bénéficier d'un peu de repos, si vous le souhaitez avant de combattre. Vous y trouverez aussi de quoi vous désaltérer. Et ne soyez pas si dur avec vous-même, votre vielle carcasse peut encore tenir quelques années... Croiser le fer ? Certes... Mais avec vigueur !

Content de vous voir, en fait, on ne vous croise pas souvent dans nos quartiers populaires, merci de nous faire cet honneur.

Puis s'adressant au gouverneur :

Voyez, votre grasce, quand je disais que votre présence allait faire venir du monde....

Une voix puissante et familère retentit :

Bonjour à tous!

Godefroy, s'il te manque un participant pour les duels, je suis prêt.

Godefroy reconnut immédiatement la voix puissante mais posée d'Ursus, un duc qui avait fait de lui son écuyer, Godefroy lui en était très reconnaissant et avait beaucoup de sympathie pour lui. Homme simple, sobre et emphatique, il disposait de la vraie noblesse, celle de l'âme, de l'esprit. Oui Ursus, lui, était un vrai noble car il inspirait le respect sans faire état de sa qualité de noble.

URSUS ! hum... votre Grasce ! je désespérais de te voir participer... J'ai préparé ton équipement avec beaucoup de soin, il est dans ton coffre sous la tente.
Tiens inscris toi et allons boire une bière ensemble, c'est le Duché qui paie...

Visiblement très heureux de retrouver son seigneur et ami, godefroy ria de bon coeur.

Encore quelques heures et les inscriptions seront closes, après Godefroy devra procéder au tirage au sort.
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Bourguignon

Donner une dimension importante je ne pense pas, se n'est pas parce que je compte parmi les participants qu'il y aura plus d'affluence, non je pense que cela sera du à l'interet que tout le monde porte à votre animation.

Mais je n'exclus pas de voir des personnes venir pour estropier le Gouverneur en place.

Petit sourire, il prit ensuite la plume que lui tendit Godefroy et signa le registre

Je vais donc me rendre dans la tente avec les autres participants et pour ce cher vivre noblement, si quelqu'un dit quelques choses nous répondrons que pour l'anniversaire du Duché il est oublié car avant tout nous sommes la pour festoyer ensemble autour d'un évènement commun qui se veut fédérateur et rassembleur. Il n'y aura donc pas de différences de stature aujourd'hui, seulement des hommes et des femmes du Duché d'Orléans.

Bourguignon stoppa sa progression vers le campement quand il vit la Consort se tourner vers lui et lui adresser la parole.
Il lui sourit et lui répondit aussitôt

Votre Grasce je vous remercie pour votre soutien
mais ne voudriez vous point ...

Pas le temps pour le Boeuf de répondre que la Duchesse venait de s'inscrire et partait vers le campement. Puis se fut au tour de Manulechti de se présenter

Bonjour Manu,
Un duel ?
Pourquoi pas je serai ravi de te rencontrer.
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Manulechti

Un combat à l'épée, voilà qui était rafraichissant et qui pourrait rappeler quelques bons souvenir de fêtes Giennoises qui existaient à l'époque.
Se rapprochant de l'estrade où avait lieux les inscriptions il reconnu la Rectrice et le Gouverneur.

Bonjour Léanore, et bonjour Gouverneur, comment allez vous ?
Une petit duel pour fêter le printemps ? ^^

Un petit signe de bonjour vers l’épouse du Duc régnant qu'il ne connaissait pas, puis il se retourna vers la personne qui officiait.

Bien le bonjour sieur Godefroy, si vous avez encore une petite place, j'en serais bien moi de ces joutes à l'épée. J'ai grand besoin de réveiller ma vieille carcasse et il n'a rien de mieux que de croiser le fer, n'est il pas ?
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Della

Della partit d'un éclat de rire aux paroles de Godefroy. Ah oui, elle avait bien fait de participer à cet anniversaire. L'ambiance était joviale et la journée promettait d'être parfaite.

Bien, d'accord. Pourvu que je sois vainqueur, alors ! Se saisissant de la plume, elle écrivit son nom sur le registre.

Voici qui est fait, Messire Godefroy !
Bien loin était à présent la menace du regard noir de son doux époux sur cette décision qu'elle venait de prendre, ne laissant place qu'à la joie de l'amusement.

Et vous, dame Leanore ? Pas envie de taquiner l'adversaire ? La question était posée sur un ton amical et plaisant, sans jugement aucun.

Un regard vers la tente indiquée précédemment par l'organisateur.

Je vous retrouve là-bas.
Et puis, en aparté : J'ai un faible pour le seigneur Mac Leod, j'aimerais bien savoir ce qu'il cache sous son kilt. Un clin d'oeil et zou, elle s'en va en riant vers la tente.
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Leanore

Nul jalousie aucune. Godefroy croquait la vie, aimait la vie mais elle savait qu'il n'y avait qu'elle dans son coeur. Aucun doute, aucune crainte.

Della signa de sa plus belle écriture et la taquina et elle répondit d'un doux sourire

Je ne sais pas vraiment manier l'épée et je fais déjà la course à trois pieds.
Mais j'avoue que j'aimerais prendre des leçons.....De plus je ne sais pas non plus monter à cheval alors si je gagnais, que ferais-je d'une aussi belle monture. Je me rends compte que j'ai quelques lacunes qu'il me faudrait combler si un jour j'en ai le temps.

Della lui prit le bras et d'un air de complicité lui chuchota
J'ai un faible pour le seigneur Mac Leod, j'aimerais bien savoir ce qu'il cache sous son kilt.

Léanore rosit légèrement puis pour ne pas en rester là ajouta d'un même ton

Vous croyez qu'il donne des leçons d'escrime ?

Mais elle n'en pensait pas un mot car le seul professeur qu'elle désirerait serait son époux. Elle courut l'embrasser avant de retourner à son poste.

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Messire_godefroy

La journée était braiment belle, ensoleillée et pleine de jolie femmes... Tout pour ravir Godefroy qui, même s'il adorait son épouse, ne répugnait pas à contempler et complimenter une jolie femme, fusse-t-elle duchesse, princesse ou même reine, cela ne l'impressionnait pas. Et puis, c'était pour jouer, pour se rassurer sur son pouvoir de séduction car il aimait Leanore par dessus tout...

Il contempla avec beaucoup de plaisir, le temps de réflexion de dame Della, se mordillant la lèvre inférieure, trépignant à l'idée d'en découdre. Cette attitude le séduisit, cette femme si féminine, si gracieuse, si belle, disons le clairement, voulait en découdre. Il connaissait son passé militaire et savait qu'elle était valeureuse.

Effectivement, dame Della, vous allez devoir vous changer pour être plus à l'aise. Mais, vous pouvez aussi les vaincre dans cette tenue, plus d'un guerrier se laissera distraire pas votre charme et votre beauté...Il déposera les armes sans combattre... en tout cas moi, je suis déjà vaincu.

Il sourit largement et jeta un coup d’œil furtif à Leanore pour voir si elle n’était pas trop furieuse de tant de galanterie. Après tout, elle avait bien regardé avec insistance la musculature des participants masculins, ...

Gracieuse dame Della, inscrivez vous, je vous prie, sur le registre avant de vous changer, que votre place soit réservée... Rejoignez nous ensuite sous la tente, dès que les inscriptions seront closes, je procèderai au tirage au sort pour les premiers combats.
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Leanore

Son époux l'accueillit plus que chaleureusement. Elle lui rendit son sourire et osn baiser. Elle était comblée de le voir ainsi épanoui, heureux d'animer les duels à l'épée.
Il semblait confus de ne pas lui avoir demandé d'être là pour les soins éventuels mais elle le rassura très vite

Bien sûr que je serai là, je ne vous en veux point vous le savez.

Petit sourire coquin et malicieux

Hum, ma réflexion était plutôt admirative en voyant ces corps si magnifiquement proportionnés. Vous savez je suis médicastre et je m'intéresse beaucoup à l'anatomie humaine.....

Elle lui posa rapidement un baiser sur la joue. D'autres personnes arrivaient encore, le combat était un succès. A croire que les hommes n'étaient pas las de se battre. Enfin..... Ce qui la rassurait, c'est qu'ici c'était pour le jeu...

Dame Della apparut. Comptait-elle prendre une épée elle aussi ? Léanore s'inclina tout en remarquant que la duchesse tout comme elle quelques minutes plus tôt lorgnait sur les musculatures des adversaires.

Bonjour Dame Della, je vous remercie. Vous êtes également en beauté. OUi vous avez raison, les combats seront rudes et surtout je crois très beaux.

Enfin ce fut le gouverneur en personne qui venait. Léanore s'inclina et sourit, heureuse qu'au moins un des membres de la CDE, et pas des moindres, venait participer. ET Léanore entendit la réponse de Della à son époux.
Elle regarda la duchesse admirative se rendant compte qu'elle avait dans son entourage beaucoup de femmes courageuses qui prenaient l'épée, montaient à cheval, pouvaient même aller guerroyer.
Elle en était un peu honteuse même s'il lui arrivait de prendre très occasionnellement l'arme pour défendre la capitale.

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Della

Le Gouverneur Bourguignon arriva à point nommé, évitant à Della de devoir répondre trop spontanément à l'invitation de Messire Godefroy.
D'un coup, elle aurait dit "oui" !
Si Della n'avait pas été éduquée pour les armes, cela se comprend, elle avait appris à manier l'épée lorsqu'elle était au sein de l'Ordre Teutonique et que son parcours l'amenait à devenir Schwester, branche combattante de l'Ordre. Elle y avait pris du plaisir, à cet apprentissage et il ne fallut pas attendre longtemps pour qu'elle doive croiser la lame avec des hérétiques, c'était pendant la Croisade d'Anjou au cours de laquelle elle fut très gravement blessée et pour laquelle elle reçut une belle décoration tout droit venue de Rome.
Tout cela était bien avant son mariage.
Mariage qui essuya les conséquences de cette Croisade puisque longtemps, Della se crut incapable de donner un enfant à Kéridil, son ventre lacéré semblait vouloir rester vide.
Ce fut grâce aux bons soins d'un médecin depuis déclaré félon que le couple enfanta. Curieusement, ce bonheur arriva après que l'époux eut suivi une médication visant à lui rendre des forces. Fallait-il chercher le "couac" ailleurs que dans les entrailles de la Blonde ? L'histoire ne nous le dit pas encore.

Vous comprendrez sans doute pourquoi la Duchesse hésita, se mordillant la lèvre inférieure, trépignant comme une enfant devant un pot de confiture et pourquoi, elle vécu l'arrivée du Gouverneur comme un heureux hasard.
Se tournant vers celui-ci, elle lui sourit : Bonjour, votre Grâce. Je vous soutiendrai lors du combat, soyez-en persuadé !

Le sourire fit place à un rire joyeux, histoire de gagner encore un peu de temps avant la décision finale...

Messire Godefroy, j'en serais également !

La phrase n'était pas sitôt sortie que déjà, la Duchesse la regrettait.
Pas qu'elle n'eut pas envie de participer mais surtout qu'elle entrevit l'espace d'une fraction de seconde, le regard de Kéridil lorsqu'il apprendrait que son épouse participerait à un combat à l'épée...

Pourtant, elle ne revint pas sur sa décision et continua d'un même élan, à l'adresse de Messire Godefroy : Il faudra juste que je me change...Dit-elle en étalant un peu le jupon de sa robe...Je doute que ceci soit l'idéal pour une passe d'armes.
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Bourguignon

Après avoir tant entendu parler de l'anniversaire du Duché mais également proposer quelques idées le Gouverneur se devait de se présenter pour voir les différentes animations retenues. L'une d'elle attira tout particulièrement le Boeuf : Le combat à l'épée. Il y avait bien longtemps qu'il ne s'était pas entrainé à cet exercice enfin non pas si longtemps que cela puisque pour se préparer aux dernières joutes ayant eu lieu en Béarn le Boeuf s'était de nouveau essayer à l'exercie en présence de son écuyer ... tiens en parlant d'ecuyer ou était donc le jeune Erunlan ?

Coup d'oeil à droite, coup d'oeil à gauche, non pas la moindre présence du jeune homme ... il devait être encore auprès de la Vaisneau à surveiller l'héritier. Se reconcentrant sur son sujet Bourguignon s'avança et salua toutes les personnes qui s'agglomeraient autour de Godefroy.

Bonjour à toutes et à tous,

Messire Godefroy s'il vous reste encore une place je veux bien faire parti des participants.

Un sourire du Duc puis il attendit la réponse
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Messire_godefroy

Alors qu'il roucoulait avec Léanore, échangeant regards complices et éclats de rire avec sa belle qui avait l'air de bien prendre le fait qu'il ne lui ai pas parler du risque de blessures des combattants participants. Il essayait de la charmer un peu plus afin de ne pas se faire trop houspiller.

La distinguée Dame Della vint leur rendre une petite visite sur la lice.

Godefroy quitta le regard de Léanore et sembla subjugué, un instant, par le charisme de la duchesse.

Bien le bonjour, Messire Godefroy !
Et bonjour à vous, dame Leanore. Vous êtes resplendissante !
Haha...on dirait bien que les combats vont être rudes !

Bonjour belle et gracieuse dame Della, merci de nous faire l'honneur de votre présence. Oui, les combats vont être durs, je n’espérais pas un tel nombre de participants aussi prestigieux de toutes les contrées.
Vous êtes particulièrement en beauté en ce jour faste ! permettez moi...
Seriez vous intéressée ? Voulez vous participer ? Je peux vous aider a vous préparer et vous prodiguer quelques conseils...
Il la regarda et esquissa son sourire le plus charmeur.

Sur ce fait, il n'eut pas le temps d'écouter la réponse, le Duc de Sorel, bourguignon dict le boeuf, venait de l'interpeller :

Bonjour à toutes et à tous,

Messire Godefroy s'il vous reste encore une place je veux bien faire parti des participants !

Bien sur, monsieur le gouverneur, quel honneur ! De par votre présence vous donnez à notre tournoi une dimension importante. Nous sommes très honoré de vous compter par les participants.
Tenez, inscrivez votre nom et signez le registre, je vous invite ensuite à aller vous désaltérer dans la tente des combattants, il y règne une joyeuse ambiance. L'ambiance y est, comment dire... populaire... J'espère que votre cher "vivre noblement" n'en souffrira pas... Ce sont des hommes et des femmes simples qui aiment le combat.
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Della

L'anniversaire du Duché !
Et il y avait une sacrée ambiance, surtout autour de Messire Godefroy qui semblait ne plus savoir où donner de la tête tant il y avait de personnes désireuses de combattre !

Della s'approcha un peu, histoire de zieuter un peu du côté des combattants...d'admirer les musculatures d'athlètes et les si belles armes qu'ils s'apprêtaient à brandir.

Bien le bonjour, Messire Godefroy ! Lança-t-elle alors.
Et bonjour à vous, dame Leanore. Vous êtes resplendissante !

Un petit signe de tête aux autres personnes : Et bonjour à tous !
Haha...on dirait bien que les combats vont être rudes !

Un regard sur le sieur qui s'éloignait vers une tente, en se disant qu'elle l'avait déjà rencontré...sans doute aux ambassades.
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Elyasdecortavar

Un regard lumineux ? Lui le pauvre Elyas, un simple mineur. Ces quelques mots le remplir de joie. Une joie non dissimulé, en effet le jeune garçon prenait la route du registre les épaules hautes.

Il inscrit son nom. Seul mot que son père est eu le temps de lui apprendre. Fort heureusement, il avait jugé bon avant de disparaitre, de lui apprendre le maniement des armes. Et l'épée tout particulièrement !

Il se retrouva sous la tente, ou il cherchait une arme à sa mesure. Comme disait son père : "La modestie, toujours à l'excès." Son regard se porta donc sur une épée courte maniable au vu de sa frêle carrure.

Après plusieurs moulinets, il fut satisfait de l'équilibre de l'acier.

Je la prend !

Pomdunor

En effet, messire Godefroy. Nous nous sommes rencontrés en place publique il y a quelques temps déjà. Ce fut un débat intéressant même si à mon avis, il n'apportait pas grand chose. peu de choses ont changé depuis.

Mais trêve de billevesée, j'm'en va aller me choisir une lame. A plus tard, messire.

Rassuré par les propos de l'organisateur, Pom s'éloigna et pénétra dans la tente. Il se dirigea vers le tas de ferraille, des épées amoncelées dans un ensemble confus. Après en avoir soupesé quelques unes, son choix s’arrêta sur un braquemart entièrement noir. Malheureusement, dès qu'il le serra un peu plus dans sa main de bucheron, la poignée s'effrita et le pommeau tomba sur le sol.

Cré nom, ça promet. Mais peu importe, j'm'en va me l'arranger à ma façon.

Un petit tour vers l'autre endroit intéressant de la tente, un verre avalé, un deuxième pour la route, il entreprit de fabriquer une poignée avec les différents ustensiles et matériaux qu'il avait dans sa besace.

Tout en observant du coin de l’œil ses futurs adversaires....
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Vous pouvez utiliser mes lettres RP

Scoldt

Stoppant un instant ses gestuelles presque pathétiques, il écouta attentivement Godefroy

Allons Godefroy, nous nous connaissons suffisamment, inutile de faire dans l'usage, surtout que je me considérerais comme une "Excellence", que lorsque j'aurais accomplis quelque chose le méritant ! Sieur Scoldt suffira amplement ! Voir même Scoldt hein .. Par contre Scoty c'est réservé à ma chère et tendre .. dit-il en riant

Puis il enleva son heaume qu'il porta sous son bras, et pris un air plus sévère et plus calme

Bon plus sérieusement, je suis ravis de voir que les animations débutent, grand bravo à vous ainsi qu'à votre compagne c'est remarquable et agréable de voir à quel point notre Gargote retrouve en vivacité.

Il se pencha ensuite sur le registre où il apposa sa signature. Il adressa un dernier sourire à Godefroy avant de remettre son heaume et de recommencer à faire le pitre

Hahaa ! La boisson est de ce côté ?!! Vous voulez enivrer les concurrents afin qu'ils aient plus de mal à jouter !?
Soit ! Qu'il en soit ainsi !
Gaaaardez moi de la vignasse !! J'aaaariiiveeee !!

Puis il s'éloigna pour se diriger vers la tente, tout en faisant de nouveau de grandes gestuelles sous le regard inquiet de certains adultes, mais sous les rires des enfants qui se moquaient de lui.
La journée était belle, le soleil brillait, la joie devait être de rigueur ! Tant pis s'il faut faire le pitre !
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Elyasdecortavar

Elyas se présenta lui aussi devant l'homme. Il n'était pas très grand, mais savait manier une épée. Il espérait en trouver une à sa taille. Le poids était sont principal ennemie.

Euh... Bonjour... Elyas... Puis-je participer ?

Le garçon était particulièrement timide, et l'homme l'impressionnait beaucoup.

Scoldt

Ahah ! Que ne fut pas sa joie lorsqu'il entendit qu'un tournoi d'épée était organisé pour les festivités du Duché !
L'ancien Garde Royale allait pouvoir faire de nouveau quelques passes et tournoiements d'épées !
Sortant de chez lui, avec pour seule avis à sa femme "Ne m'attends pas Chérie ! Je vais tailler dans du gras d'bidoche toute la journée haha !" qui laissa celle-ci au dépourvue et plutôt dans le questionnement, il se déplaçait dans les rues d'Orléans, équipé de sa longue Claymore Byanca et portant d'épaisses protections de plates portant encore les traces d'anciens combats contre le Ponant

Il arriva devant le stand tenu par Godefroy, tout en se pavanant fier comme un paon, on s'adressa à lui avec une voix forte, sûre, et plutôt prétentieuse

Haha ! Me voilà !!
Un duel ?! Je suis là !!
Prêt à en découdre !!
Puis il partit dans un délire psycothique en riant et en faisant de larges gestes et mouvements simulant un combat contre un ennemis invisible ... un "Grand Fada" comme dirait le Duc de Touraine ..
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Messire_godefroy

Il avait reconnu la silhouette féline de loin. Cette attitude digne, ce port de tête majestueux, cette façon généreuse et gentille de s'adresser aux gens qu'elle croisait, les gratifiant à chaque fois d'un sourire empathique, caractérisait Léanore, sa belle.

Il marcha vers elle en souriant. Il la prit dans ses bras et lui chipa un baiser en riant. Puis elle s'adressa à lui.

Dis-moi Godefroy, nos amis orléanais ne risquent rien...... n'est -ce pas ?

Godefroy ne lui en avait pas parlé mais il comptait sur elle pour assurer les soins des blessés.Il s'en voulait. Il est vrai que pris tous deux par les préparatifs des festivités, il avait occulté de lui demander de se tenir prête au cas où. Cependant, il avait tout de même aménagé une paillasse sous la tente avec du linge propre, de l'eau, et quelques onguents que Leanore lui conseillait quant il était tuméfié à l'entrainement ou au combat.

Pardonnez moi ma mie... Hum... J'ai omis de vous en parler. Effectivement, nous ne sommes pas à l’abri d'une blessure plus ou moins grave. Je comptais vous en faire part, mais j'ai été pris dans la préparation. J'avais, de toutes façons, la certitude de pouvoir compter sur vous. C'est pourquoi j'ai pris la liberté de mettre en place une infirmerie de campagne sous la tente des combattants. hum... Pardon ma belle...

Alors qu'il déposait un baiser sur le front de Leanore, presque simultanément, deux autres combattants se présentaient pour concourir.
Le premier était un jeune homme frêle mais qui semblait n'avoir peur de rien. Godefroy considéra son regard lumineux et sa simplicité avec beaucoup de sérieux.

Euh... Bonjour... Elyas... Puis-je participer ?

Godefroy le prit par les épaules et lui sourit :

Bien sur , ami ! Nous avons besoin de guerrier de votre trempe doté d'un regard lumineux qui ne faiblit pas. Inscrivez vous sur le registre et rendez vous à la tente que vous voyez là... Des rafraichissements vous y attendent.

Il reconnu sire Scoldt de suite, qui comme à son habitude, fanfaronnait de manière impétueuse. Il aimait bien cet homme qui souhaitait le bien de la communauté même si ses manières n'étaient pas toujours comprises. Et Godefroy pensa qu'il en était de même pour lui avec ses manières de rustre il était parfois incompris. Mais Godefroy s'en moquait, il espérait qu'il en était de même pour Scoldt.

Je souhaite la bienvenue à son excellence l'ambassadeur... Bravo messire Scoldt pour cette nomination.... Tenez, inscrivez vous là, sur ce registre, et allez vous désaltérer sous la tente, de nombreux participants au tournoi vous y attendent.

Godefroy se retourna ensuite vers Leanore appréhendant sa réaction... Il sourit timidement et leva un sourcil, essayant de l'amadouer.
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Leanore

Profitant d'un petit moment de répit, Léanore décida d'aller voir la lice où aurait lieu les combats à l'épée. Son époux lui avait dit qu'il y aurait de redoutables combattants venus des quatre horizons.

Le combat allait être un succès au vu du nombre de participants déjà. Léanore les salua tous d'un petit mot gentil ou d'un sourire.
Elle ne put s'empêcher de lorgner du côté des guerriers impressionnée par la musculature et leur air farouche et prêt à en découdre à n'importe quel prix.

Soudain inquiète elle chuchota à son époux

Dis-moi Godefroy, nos amis orléanais ne risquent rien...... n'est -ce pas ?

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Zelenka

L'homme l'invita à signer le registre afin d'officialiser sa participation, ce qu'elle fit sans rechigner, sans un mot. Puis alors qu'elle signait de sa plus belle plume, l'idée la frappa et une légère honte la traversa, elle releva la tête.
Mais, veuillez me pardonner, je ne me suis pas présenté! Je me nomme Zelenka, Dame d'Adonville. parait qu'ça en jette bon pourquoi pas alors. Elle se fendit d'un sourire puis suivi l'homme de bon coeur vers la tente réservée aux combattants du jour. Mais n'ayant ni soif, ni l'envie de se reposer, se reposer de quoi d'ailleurs? il était encore tôt et rien ne l'avait fatiguée. Elle resta devant ladite tente profitant des doux rayons que le soleil leur offrait en cette magnifique journée.
Merci Messire, nous nous reverrons plus tard. sourire de circonstance

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Messire_godefroy

Il n'eut pas à attendre longtemps, une belle dame au regard farouche et déterminé se planta devant lui. Elle le regarda dans les yeux et, sans une hésitation, lui fit part de son souhait d'en découdre pendant le tournoi.

Le bonjour Messire! C'est bien à vous que l'on doit s'adresser pour le tournoi? A l'épée hein! Je désire m'inscrire!

Godefroy sourit. Il était heureux de voir enfin une dame guerrière venir s'inscrire. Et pourtant, elles sont moultes vaillantes combattantes à résider dans le duché, il songea à dame Kalimalice ou à Isabeau ou encore Aegidia qui étaient expertes. De plus cette dame était très belle mais Godefroy se garda de tout compliment car il venait de se marier et cela aurait été inconvenant et surtout, le regard déterminé et farouche de la concurrente pouvait refroidir les ardeurs trop courtoises....

Bonjour Dame, vous êtes la bienvenue ! Il s'agit bien d'un tournoi à l'épée...
Bien, Inscrivez votre nom sur le registre des combattants. Vous pouvez aussi vous désaltérer dans la tente ou vous trouverez des boissons fraîches à votre goût...

Godefroy l'accompagna un instant pour lui montrer la tente puis il revint à l'entrée de l'arène pour accueillir les concurrents.
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Zelenka

Cela faisait que trop longtemps que son épée ne sortait plus de son fourreau, il fallait remédier à cela au plus vite! Quoi de mieux que le grand tournoi de combat à l'épée? Pas de guerre en vue donc rien de mieux en effet!! La brune d'Adonville s'en alla sur la place où se dérouleraient les festivités de l'anniversaire du duché. S'approchant d'un homme qui ne lui était pas familier mais pourtant il lui semblait bien que son visage ne lui était pas totalement inconnu, bof sûrement qu'elle l'avait croisé en taverne...
Le bonjour Messire! C'est bien à vous que l'on doit s'adresser pour le tournoi? A l'épée hein! Je désire m'inscrire!

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Messire_godefroy

Mumbly et Godefroy venaient de boire trois bières bien tassées. Godefroy sortit de la tente ou une joyeuse ambiance régnait afin de profiter du soleil qui était précoce en ce début de printemps. Il vit s'approcher une silhouette qui lui semblait familière.

Bienvenue sire, nous nous sommes déjà croisés, il me semble. Ne seriez vous pas sire Pomdunor, nous avions débattu ensemble sur l'avenir du Duché et vos interventions étaient bien enlevées et judicieuses.

Si vous êtes aussi habile avec votre bras qu'avec votre langue, vos adversaires ont du mouron à se faire. Muhahaha...

Tenez inscrivez votre nom sur le registre et allez vous désaltérer dans la tente des combattants vous y trouverez vos compagnons et adversaires de tournois.

Pour répondre à vos questions, voyez l"enclos qui jouxte notre arène, c'est là que se déroule la course en ânes qu'organise, pour les enfants, mon épouse Leanore. Elle est une médicastre émérite reconnue pour sa compétence en haut lieu. Elle est prête à intervenir pour soigner les blessés.

Dans la tente, il y a un lot d'épées, essayez d'en trouver une qui soit à votre main. Elle ne sont pas neuves, elles ont bien vécu...

Godefroy décida de rester en dehors de la tente pour accueillir les combattants ou les combattantes. Il avait bu assez de bières pour aujourd'hui.
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Messire_godefroy

Godefroy fendit son visage d'un grand sourire lorsqu'il vit arriver Mum.

Holà mon ami, soit le bienvenu, je suis très heureux de te voir.

Décidément, nous allons avoir de redoutables combattants pour ce tournoi....

Inscris toi sur le registre des combattants et allons boire une bière sous la tente. C'est moi qui offre... ah ! je suis vraiment heureux de te voir.

Il se dirigèrent vers la tente, Godefroy songeait tout de même qu'il serait bien qu'une guerrière vienne s'inscrire, cela rendrait le tournoi plus attractif.
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Pomdunor

Pom lut l'affiche.

Tiens, v'la qui va me changer.

Il se dirigea vers le bonhomme qui se tenait près de là. Il observa une moue de dépit sur son visage mais lui adressa quand même la parole.

'jour messire. J'm'en veux bien voir ce que je vaux au combat. Mais j'aurais deux questions à poser. Si je reçois de graves blessures, y a-t-il une équipe chargée des premiers secours ?

Il sourit, se rappelant une certaine infirmière qu'il avait connue il y a bien longtemps, en compagnie d'un jeune homme qui n'était pas encore duc en ce temps.

Ensuite, j'ai laissé mon épée à Montargis, en avez-vous à disposition ? Sachant que vu mon habileté, vous devriez la retrouver en miettes à l'issue du premier duel.
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Vous pouvez utiliser mes lettres RP

Mumbly

Mumbly arriva à grands pas au bureau des inscriptions pour les combats d'épées.
Bien le bonjour Godefroy,je viens m'inscrire pour le combat.
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Messire_godefroy

[HRP] Ce RP ouvert à tous. Les combats sont réglés aux dés par moi.

Inscriptions
1) les concurrent(e)s se présentent rp.
2) je tire au sort les adversaires (noms dans un chapeau).
3) Je mets un tableau d'affichage avec les combats prévus, jusqu'à la finale

Les combats
je tire un dé alternativement pour chacun des adversaires, je commente rp le combat. je considère la différence des deux lancers.
Je tire jusqu'à ce que le vainqueur ai 6 points de plus que le perdant.

Le vainqueur du tournoi remporte ce magnifique Frison nommé Ouragan avec son harnachement complet de combat...

Voici les participants inscrits des autres contrées :

HIGHLAND : seigneur Mac Leod dict l'immortel

EMPIRE GERMAIN : Xeenaa dicte la peu farouche

HIBERIE : Coonaan dict le destructeur

TEMPLIERS : Renaud de Chatillon

PONANT : Le Comte D'Hibelin dicte le sanguinaire

PANNEAU D'AFFICHAGE :

Hibelin dict le sanguinaire contre .........

Renaud de Chatillon contre ...................

Coonaan dict le destructeur contre ........

Xeenaa dicte la peu farouche contre .......

Mac Leod dict l'immortel contre .............

INSCRIVEZ VOUS !...... fin des inscriptions le 28 mars

LISTE DES INSCRITS
sire Aigle_Blanc
sire Mumbly
sire Pomdunor
Dame Zelenka
Sire Elyasdecortavar
Sire Scoldt
Sire Bourguignon dict le boeuf
Dame Della
Sire Manulechti
Sire Ursus
Sire Alonso
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Aigle_blanc

L'Aigle avait entendu parler du Grand Tournoi à l'épée pour souligner l'anniversaire du duché.

Intéressé, il demanda à la volée :

Excusez-moi, l'inscription au Grand Tournoi c'est par où ?

Messire_godefroy

Godefroy vit arriver un jeune sire qui voulait s'inscrire au grand tournoi.
Il afficha un grand sourire. Il reconnu Aigle Blanc.

Bonjour sire !

Bienvenue ami et fier guerrier !

Je me charge des inscriptions. Pour l'instant, je vous prends en candidat, je ferai le tirage au sort plus tard pour désigner votre adversaire.

Inscrivez votre nom ici, sur le registre des combattants ou faites une croix si vous ne savez écrire. Cela n'est pas utile pour combattre....

Vous pourrez patienter ensuite dans la tente des candidats ou des boissons sont à votre disposition pour vous désaltérer. Il y a de la bière, de l'eau et des jus de fruits non alcoolisés.

Godefroy lui tapa sur l'épaule en guise de bienvenue et lui indiqua la tente.
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Godefroy Amaury de Malphètes,

Aigle_blanc

Mes respects messire Godefroy,

L'Aigle inscrivit son nom.

Suite à l'encouragement, celui-ci se rendit sous la tente.

C'est très bien organisé pour les concurents ce tournoi se dit Aigle, satisfait.

Il trouva les jus non-alcoolisés et se fit des réserves énergétiques en vu de l'effort que demandera le tournoi où seront présent, espéra-t-il, au moins un champion par grande maison du duché, à moins qu'ils ne veulent côtoyer la roture, ce qui serait domage...

Lenore

La blondine avait disparu dès les premiers combats, la brutalité de ces derniers l'avait complètement effrayé. Pourtant Lénore ne flânait jamais loin des animations et les premiers badauds sortis de la lice clamait la victoire de l'épouse du Duc. C'était donc Dame Della la championne de l'Orléanais pour cette année.

Cette annonce enthousiasma la jouvencelle qui applaudit à tout rompre. Les préjugés étaient donc infondés puisque que c'est la dame, assez menue face aux adversaires, qui remporta le tournoi. La force et le fénimisme peuvent s'allier, la grâce et l'habilité s'accorder pour gagner. Pleins d'idées germèrent dans l'esprit fertil de l'adolescente qui s'imaginait déjà preue chevalière dans de belles robes, une rapière à la garde.

C'est donc, en rêvassant que la donzelle partit fêter la victoire autour d'une chope de bière.
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EN RETRAITE DU 10/04 au 19/04

Della

Le manège de l'Aigle n'était pas passé inaperçu auprès de la Duchesse qui se demandait ce qu'il passait fomenter avec Messire Godefroy qui semblait bien contrarié par ces apartés.

Finissant par hausser légèrement les épaules, elle décida que cela ne la regardait pas et qu'elle devait uniquement se concentrer sur le prochain duel, ne serait-ce que pour faire honneur à son Kéri Kéri Chéri qui s'était même mis à crier, lui aussi, parmi les spectateurs.

Les trompettes résonnèrent.
La voix de Messire Godefroy se fit entendre, la finale était proche.

Avant de quitter sa tente, Della s'agenouilla et adressa une courte prière au Très Haut.
Bien sûr, personne n'allait mourir, personne ne serait blessé, normalement, mais bon, cela faisait partie du scénario.

Della apparut, et déjà l'on entendait les spectateurs crier leurs encouragements auxquels la jeune femme répondait par des signes de la main.

Droite comme un I, elle se planta, en garde, attendant l'Aiglon. Il fit son entrée en lice et Messire Godefroy lança le signal.
Della plissa un peu les yeux, jaugea la situation et attaqua ! Et attaqua ! Et attaqua ! Encore. L'Aigle reculait...encore...et encore...!
Cela en devenait ridicule. Della lança un regard vers Godefroy...Hé què ? sembla-t-elle demander.

Alors, enfin, l'Aigle bougea, faillit surprendre la Blonde qui ne dut son salut qu'à sa rapidité ! Zou, elle s'abaissa et l'épée de l'Aigle frôla ses cheveux !
Crénom ! Lança-t-elle avant de s'en aller derechef à l'attaque, cette fois, sans merci ! L'épée frappa, cogna, frappa, cogna, et encore et encore...et l'Aigle tenait bon et Della aussi ! Elle changea de tactique et sauta sur le jeune homme qui chut, se retrouvant avec une Consort sur le corps, prête à lui trancher la gorge. Na !
Mais elle n'en fit rien, bien sûr.
Elle se releva, souffla un peu, c'est que c'était vachement crevant quand même, ces duels...et retrouvant le sourire, elle leva haut les bras en signe de V comme Victoire !

M...Mer...Merci, mess...messire...Godefroy. Articula-t-elle...toute heureuse et tellement fière d'avoir tenu jusqu'au bout.
Je prendrai grand soin d'Ouragan, vous pouvez en être certain !

Merci à tous pour votre soutien ! Cria-t-elle encore à la foule.
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[rp]anniversaire du duché : Grand tournoi de combat à l'épée