[RP] Cérémonie de l'Ordre du Porc-Epic

Aigle_blanc

Le fils de Xalta vit arriver du coin de l'oeil le Grand Ambassadeur de France.

Honoré tout autant que discret, l'Aigle lui fit discrètement signe de la tête en signe de soumission et de respect.

Sindbad

Sindbad adressa un sourire et un signe de tête au nouvel Ambassadeur Royal adjoint, afin de lui rendre son salut.

Si la courtoisie était le minimum exigible de la part d'un diplomate, il se devait de montrer l'exemple. Et puis, l'homme allait être appelé à jouer un rôle de quelque importance au sein de la diplomatie royale.

Il se replongea donc dans le déroulement de la diplomatie, trouvant que la Dame de Talcy remplissait son rôle à merveille.
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Grand Ambassadeur Royal de France | Délégué Territorial orléanais auprès des Comtés d'Angleterre | Seigneur d'Epieds en Beauce

Della

Bien sûr, que leur enfant irait loin. Il n'y avait aucun doute là-dessus.
Comment pourrait-il en être autrement ? Entre un père Duc qui fut Grand Officier, une mère Officier, un grand père Pair et une grand mère moult fois brillante duchesse, j'en passe et des meilleurs, tous au caractère bien trempé, Clément recevrait l'éducation qui ferait de lui, un personnage incontournable. Il n'aurait guère le choix, d'ailleurs. L'on pourrait même le plaindre...si d'aventure il aimait la pêche, il devrait se contenter d'une carrière politique ou diplomatique ou les deux.

La Duchesse observait, souriait lorsque se présentaient les récipiendaires, avec bienveillance, voulant assurer à chacun qu'elle mettrait tous ses talents et ses charismes au service de l'Orléans, avec son époux, par lui et pour lui.
Dame Ninouchka était absolument parfaite dans le rôle qui lui avait été confié et Della se mit à penser que peut-être, elle pourrait lui parler de l'Office des Huissiers, si la Dame désirait monter à Paris...qui sait ?

C'est sur Sinbad que Della porta le regard le plus long.
Elle n'avait pas encore fait le tour de leur vassal, avait du mal à cerner l'homme. Pas que celui-ci soit fuyant ou mal intentionné, non...cela venait d'elle et d'elle seule. Du moins, le pensait-elle. Elle se promit de l'inviter, un jour, à partager un moment avec elle, juste pour apprendre à mieux le connaître, à l'apprécier peut-être aussi, espérait-elle.

Juste avant que la Dame Alienor se présente, la Duchesse se pencha vers son époux :
Tout est parfait. Lui glissa-t-elle simplement, en observatrice très objective.
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Aurae

Quelques peu en retard cela ne changeait pas vraiment de ces habitudes, c'est surtout que le cœur n'y était plus, ça avançait donc moins bien. En arrivant, il y a quelques jours le nouveau Duc l'avait invité à la cérémonie du Porc-Epic, apparemment feue Lyll recevrait une décoration posthume. Raison pour laquelle il se présenta en publique. Un petit comité était présent, il ne savait plus vraiment qui faisait quoi mais l'apprendrait bien assez tôt.

Signe de la tête vers les quelques personnes qui l'avaient vu, pour ne pas déranger la cérémonie qui avait déjà commencé. Le Duc se posta à un endroit où il verrait tout, las et immobile.

Alienor28

Alienor s'avança à l'énoncé de son nom par sa marraine. Elle lui fit un sourire et fit une révérence au Duc bien installé sur son trône. Elle se demanda alors si, faire une révérence en braies était convenable et si elle n'aurait pas dû mettre un genou à terre comme venait de le faire Atol.

vostre grasce ……… marraine ……….

Alienor releva un peu la tête

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Keridil

Et son collier passé au cou d'Atolchamb, le Duc laissa la danse se poursuivre jusqu'à ce qu'Alienor lui soit pleinement visible de face.
Il l'observa un instant, notant sa mise pour laquelle il dut retenir une grimace. Dans le petit monde de Keridil, une femme porte une robe, lorsqu'elle ne se bat pas. Or, l'Orléanais était de ces provinces dotées d'amazones, de Kalimalice et d'Aegidia, qui passaient plus de temps sur des remparts que dans des salons, pour leur honneur, mais qui de fait avaient cette tendance à oublier l'existence des robes longues.

Madame de Montbeaufranc, c'est avec joie que nous vous honorons aujourd'hui du collier du Pique, et que nous vous voyons intégrer notre Ordre de mérite.
Depuis longtemps, déjà, nous sommes témoin de votre investissement, de votre labeur pour notre Duché. Nous vous avons vue oeuvrer à bien des égards pour notre sécurité à chacun, et nous sommes par ailleurs ravi de vous savoir désormais aspirante à des honneurs royaux, qui permettent à chacun de se distinguer auprès de la Couronne.
Je sais que, vous Prévôt, je puis dormir sans crainte de voir mon sommeil troublé par le sifflement d'une lame, et je vous encourage à continuer votre démonstration de loyauté, chaque jour, comme vous le faites aujourd'hui.
Présentez-nous désormais votre serment, et recevez, Alienor de la Neustrie, ce collier des mains de la Dame de Talcy.
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Et si tu veux la liberté, l'égalité et la fraternité, va jouer à Tribalistan.

Kalwynn

Kal ne revenait plus que très occasionnellement à sa bicoque Giennoise. D'ailleurs en ville tout le monde devait l'avoir oublié, même si ses récentes visites en Taverne semblaient prouver le contraire.

L'officier borgne fut surpris de trouver sous sa porte une missive scellée.
Il brisa le cachet et laissa son oeil valide courir sur le papier...

Le Giennois crut à une erreur. On le convoquait à la remise du collier de l'Ordre du Porc-Epic.
Ses connaissances en chancellerie restaient lacunaires, mais il avait déjà vu des personnalités arborer cette prestigieuse décoration... et il se demandait en quoi il était éligible pour cette disctinction.

De plus il était fort en retard... Kalwynn enfila prestement une sobre tenue azur rehaussée de blanc, et ceignit sa taille d'une ample écharpe de feutre noir. Il gagna au plus vite la Salle du Trône.

Comme il le craignait, la cérémonie était bien entamée.
Le Maître de Front se faufila jusqu'à ce qu'il croyait identifier comme la rangée des récipiendaires... il fut enchanté de reconnaître parmi eux plusieurs camarades de l'Ost.
Manifestement, son entrée ne fut pas aussi silencieuse qu'il le voulait car son pas lourd et le craquement de ses bottes fit tourner quelques têtes.

Kalwynn salua d'un hochement de tête discret, respectueux et tout militaire, les autorités présentes, et fit en sorte de se faire oublier en bout de rangée.
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* Commandant de la Garde Ducale *

Octo

Octo avait lui aussi recu la missive.Il se trouva tres touché par cette attention bien que pour lui il ne meritait pas tant d'honneur.

Il avisa Kalwynn qui se glissait vers le rang des recipiendaires ou tout du moins il le supposait.

Il avait revetu pour l'occasion son grand uniforme et conformement a la demande avait ceint son bras d'un bandeau noir.

Il se glissa a son tour derriere son ami Kalwynn.

Il avisa Josh et Yondolar.Il alla le plus discretement possible rejoindre les rangs ...

--Le_serviteur

Cela faisait quelques mois qu’il avait pas vu sa maitresse. Elle lui avait dit de s’occuper du Domaine pendant son absence. Un matin, il reçut une missive.
Il blémit. Melina de Valverde avait été mortellement blessée. Elle ne rentrerait pas au domaine, lui demandait de la représenter et lire le parchemin qu'elle avait écrit au Duc, puis de fermer le moulin et de la rejoindre.
Il abandonna ses outils, se changea et prit la direction de la Capitale.
Il vit plein de beaux gens entrer dans une salle, les suivit. Il écouta et s’approcha de la Dame qui appelait les autres, profitant qu'elle attendait que les autres personnes parlent.
Il lui fit un sourire.
S’cusez mon affront, mais j’ai sur moi un parchemin de la part de ma maîtresse, Melina de Valverde. Si vous voulez bien m'écouter, puis transmettre au Duc , je veux pas le déranger et en plus je dois faire mes bagages pour aller retrouver ma maitresse .
Il prit le parchemin et le lui lut.

Citation:

De Melina de Valverde
A sa Grasce, Keridil d’amahir-Euphor, Duc de l’Orléanais

Dans l’incertitude que vous ayez reçu ma précédente missive, Vostre Grasce, n’ayant eu à ce jour de réponse, bien que me doutant de vos grandes autres préoccupations, je me permets par l’intermédiaire de mon serviteur et de la missive qu’il vous lira en mon nom, de venir vous réitérer mon serment de fidélité.

Moi, Melina de Valverde, Dame de La Grange prête devant Vous Vostre Grasce, Keridil d’Amahir-Euphor, serment de fidélité envers le duché Orléanais et son Duc, que je jure de servir corps et âme.

Je vous renouvelle aussi mon amer regret de ne pouvoir être présente, espérant votre compréhensibilité de la raison de mon absence.

Votre dévouée,
Qu'Aristote veille sur Vous.

Melina de Valverde

Voilà Dame. Merci à vous de le répéter au Duc. Il lui tendit la missive, la salua et s'en alla, sa première mission accomplie.

Leanore

Toujours cachée derrière sa tenture, Léanore ne voulait rien perdre du spectacle. Une silhouette de temps en temps lui barrait la vue mais en se mettant sur la pointe des pieds ou en bougeant de ci de là la tête elle pouvait observer tout à loisir sans être vue.

Soudain sur un signe du Duc, l’assistance se tut et Ninou commença à égrener des noms. ATol ouvrit le ban et Léanore s’attendait, vu sa maladresse légendaire qu’il se prit les pieds dans un tapis sournois ou une armure traitresse. Ma foi il ne se passa rien et ATol reçut le collier.

Vint le tour d’Alienor tandis que des retardataires arrivaient encore. ET parmi eux, Léanore fut surprise d’y voir Octo, son presque frère. Elle n’avait plus de nouvelles de lui malgré les missives qu’elle lui envoyait. Ainsi il était toujours vivant et s’était même rendu à Orléans pour recevoir la célèbre parure. Léanore pensa qu’il méritait cet honneur tant sa bravoure était grande et elle en était fière.
Peut être qu’à l’issu de la cérémonie, elle sortirait de sa cachette pour le féliciter.

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Alienor28

Alienor se redressa

Moi, Alienor de le Neustrie, Dame de Montbeaufranc, fait le serment de servir mon duché et de servir sa population quelle que soit ma fonction
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Ninouchka

Site de choix, vue imprenable, spectacle garanti ... si Ninouchka avait voulu faire la publicité de la place qu'elle occupait ce jour, elle aurait pu commencer par ces mots.

Sa petite taille faisait que dès qu'elle était entourée de quelques personnes, elle devait se tortiller pour voir ou se mettre sur la pointe des pieds ou changer de place.

Ici rien de tout ça ! Aux premières loges qu'elle était !

Elle avait sous les yeux tous ceux qui avaient franchi les portes de la Salle du Trône. Elle voyait qui saluait qui, qui rejoignait qui en catimini ou pas, qui se cachait plus ou moins, qui arrivait en retard ...

Curieusement les derniers arrivés étaient tous des hommes ... et pas des moindres ! Ne disait-on pas que c'était les femmes qui se faisaient attendre ? Peut-être ces messieurs avaient-ils pris du temps pour se faire beaux ? Pour la Blésoise, c'était la seule raison jugée valable pour excuser leur retard.

Mais la cérémonie suivait son cours. Atol avait rejoint sa place, Ali était devant le duc.

Ninou sourit en entendant sa filleule la saluer après le Duc. Ce n'était peut-être pas très protocolaire mais cela faisait plaisir quand même.

Elle écouta l'éloge prononcé par Sa Grâce Keridil, puis s'apprêta à écouter le serment d'Alienor, quand un homme s'approcha d'elle, faisant mine de vouloir lui parler.

Elle se demanda comment il avait pu échapper à la vigilance des gardes, mais fit néanmoins un pas vers lui pour écouter ce qu'il avait à lui dire.

Elle dut faire appel à toutes les ressources de son éducation pour ne pas broncher en entendant les paroles de l'homme. Elle l'écouta, l'assura qu'il n'y avait pas d'affront, pris la missive qu'il lui tendait et promis de la remettre au Duc dès que possible.

Une fois l'homme disparu, elle glissa discrètement le parchemin à côté des colliers. Elle en profita pour en prendre un. Alienor avait prêté serment, le moment était venu de le lui passer autour du cou.

Elle sourit à sa filleule, sa première filleule ... Après lui avoir remis le précieux collier, elle l'embrassa affectueusement, lui chuchota

Félicitations ma belle, je suis fière de toi tu sais.

Elle se redressa, laissa Ali quitter le devant de la scène et reprit la parole

J'appelle à se présenter devant notre Duc, Manulechti de Ryssel, Seigneur de la Moutonnière
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Dame de Talcy

Manulechti

C’était le moment, la jeune et jolie Blésoise prononça son nom. Un sourire en guise de merci et il s’avança.

Cher Duc, Dame Ninouchka
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Valeria053

val surveillait toujours la capuche et trouvait l'homme ou la femme mal à l'aise, une envie la poussait à aller voir.
Elle se rapprocha discrètement elle voulait en avoir le coeur net

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Keridil

Le Duc d'Orléans observa la chorégraphie de Ninouchka, qui délicatement alla poser son collier, après avoir reçu un mot d'amour d'un admirateur secret. Cela ne manqua pas de faire hausser un sourcil à Keridil, qui s'inquiéterait de la chose en temps voulu.
Enfin, le Seigneur de la Moutonnière s'avança.

Monsieur de la Moutonnière, c'est pour nous une joie, ce jour, que de voir entrer au sein de l'Ordre du Porc-Epic celui qui fut de ceux qui, les premiers, nous donnèrent une chance de nous investir en Orléanais. Le temps à bien passé, mais déjà vous vous distinguiez à la Maréchaussée d'Orléans. Votre parcours au sein de nos institutions est exemplaire, et votre investissement d'élu est notable.
Puissiez-vous en être fier.
Veuillez dès lors nous présenter votre serment, et recevoir votre collier, des mains de la Dame de Talcy.

Au fond, la Baronne de Brou semblait trépigner, et l'agitation ambiante commençait à agacer le Feudataire, qui serra sa main sur celle de son épouse.
Cet homme encapuchonné ne flattait pas la parano du brun, qui, tôt ou tard, risquait de perdre patience et de mander une mise à nu dans les règles.
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Et si tu veux la liberté, l'égalité et la fraternité, va jouer à Tribalistan.

Cérémonie de l'Ordre du Porc-Epic

Octo

Octo avait souri en voyant Yondo approcher,puis lorsque Kal l'ami et confrere se mit a genoux...

Hum il va falloir travailler ta souplesse mon ami pensa t'il
Cependant il regrettait l'absence d'un de ses hommes,de son adjoint.Dada.Mauvaise tete mais bon soldat et desormais bon officier.
Il respira plus librement en le voyant entrer dans la salle.
décidement il ne pouvait rien faire comme tout le monde.

Un nouveau sourire apparut sur le visage d'Octo

Ninouchka

De là où elle était, Ninouchka vit entrer deux hommes à quelques instants l'un de l'autre.

Le second, elle le connaissait, mais le premier était, pour elle en tout cas, inconnu au bataillon. Elle reprit sa liste l'air de rien, la consulta ... c'est pas lui, je le connais ... c'est pas elle, je l'ai déjà vue ... c'est pas lui non plus je l'ai déjà croisé, ni lui je l'ai déjà vu aussi. Reste ... elle releva la tête, espérant que le moment venu, elle ne ferait pas une bourde monumentale. En tout cas, tout comme William, il avait rejoint le rang des soldats et il avait l'air d'y être connu.

Elle reporta son attention sur Xalta qui arrivait devant le trône ducal. Elle répondit à son salut par une petite inclinaison de tête et un sourire.

Lorsque le Duc prit la parole, elle écouta avec attention l'éloge de Dame Xalta. Ces éloges permettaient de découvrir les parcours des gens et étaient parfois fort instructifs.

Quand la Dame de Tronchay et d'Arrou eut prononcé son serment, Ninouchka prit avec soin le double collier qui correspondait au rang de Grand-Pique. Elle le tint des deux mains pour aller le passer autour du cou de Xalta. Elle lui donna une cordiale accolade accompagnée de quelques mots

Mes plus sincères et cordiales félicitations Xalta.

Elle se recula, prête à appeler la personne suivante

J'appelle à se présenter devant notre Duc, Sa Grâce Kalimalice de Chéroy, Duchesse de Dunois, Baronne de Sully-sur-Loire, Dame de Saint-Firmin des Bois et d'Allanches
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Dame de Talcy

Xalta

Elle écouta le duc parler en quelques mots de ce qu'elle faisait, elle ne put réprimer un sourire, non pas d'orgeuil, ni de fierté, juste un sourire naît de la situation, elle était honorée bien entendu de recevoir cette distinction même si elle ne travaillait pas pour cela , sa vraie réussite, elle la jugeait à l'amitié et aux courriers qu'elle recevait régulièrement.

Votre Grâce , Moi Exaltation Lablanche d'Abancourt,dame de Tronchay et d'Arrou, jure de servir mon duché et tous les Orléanais aussi longtemps que le Très-Haut m'en donnera la force et la volonté.

Je suis honorée de recevoir ce collier qui me rappellera mon serment de fidélité à tout moment.

Puis elle attendit sagement avant de regagner sa place.

Joshin

Elle vit arriver Dada, en retard, un peu essoufflé, et elle se demanda ce qui l'avait retenu ainsi.
Cela faisait longtemps qu'elle le cotôyait à l'Ost, où ils étaient avant tout compagnons de fortin. Un peu soupe au lait, caractère de cochon aussi à ses moments perdus, n'aimant ni les honneurs ni les promotions, ce qu'elle regrettait parfois, mais fidèle à l'Ost depuis toujours, désintéressé et toujours prêt à défendre son Duché.
Finalement,c'était une bonne chose que tous ces soldats sortent de l'ombre.

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Keridil

Ah, Xalta, tout un programme. Le Duc d'Orléans l'accueillit en se redressant sur son trône. Après avoir fait l'éloge de soldats qui lui étaient majoritairement inconnus, quoi que très méritants, il revenait aux fondamentaux, à ceux qui, élevés au rang de Grand Piques, était déjà des habitués de la maison.
Le brun fit claquer sa langue lorsqu'entrèrent quelques retardataires, puis commença.

Madame de Tronchay. Que dire de vous ? Jamais nous ne restâmes bien longtemps sans vous voir, sans vous croiser en quelques salons, élus, nobles, diplomatiques. Vous êtes de ceux qui contribuent le plus largement à faire vivre et fonctionner nos institutions, et ce n'est pas pour rien, que de Pique, il a été décidé de vous faire Grand Pique. Assiduité, constance dans le travail, respect de l'adversaire, vous avez de grandes qualités, et votre récente entrée dans les Institutions Royales laisse présager, pour vous, des évolutions futures tout à fait intéressantes, et nous nous en réjouissons. Aussi, si vous l'acceptez, veuillez recevoir ce collier, après nous avoir prêté serment.
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Et si tu veux la liberté, l'égalité et la fraternité, va jouer à Tribalistan.

Dada76

Dada avait reçu la missive. Il se présenta donc à la cérémonie et ce plaça prés de ses compagnons d'armes.
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Aigle_blanc

Le fils de l'appelée était toujours dans la salle, sa curiosité attisée.

William_wallace_ecos

William arriva aussi trés en retard, ayant été retenu chez les moines.

Il salua rapidement.
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Vous m'aimez bien ? Alors montrez le moi ici

Xalta

Elle suivait la cérémonie qui suivait son cours presque normalement, quelques mouvements mais rien qui nuisent au bon déroulement et puis pendant qu'elle regardait les Faucons recevoir leur médaille bien mérités, elle en connaissait un certain nombre avait combattu à leurs cotés pour certains en Champagne. Elle appréciait leur dévouement, leur travail si discret et si essentiel pour la sécurité du duché et la tranquillité de tous, combien savaient les sacrifices auxquels ils concédaient, certes par choix mais aussi par dévouement !

Puis ses réflexions furent interrompues par un garde qui toussota discrètement dans son dos, elle se tourna et lui jeta un oeil inquisiteur et un brin mécontent. Mais l'homme lui murmura quelques mots tout en lui confiant un objet. Aussitôt sa course faite, elle se tourna de nouveau vers le trône ducal tout en jetant un œil sur la baque, car c’était une bague qu'on venait de lui remettre, elle blanchit, elle l'avait reconnu, celle de son mari disparu depuis si longtemps dont elle était sans nouvelle. Que pouvait bien signifier tout ceci ? Elle eut peur qu'on lui apprenne une funeste nouvelle, elle tenta de suivre la cérémonie mais mille et une questions l'assaillaient. Elle fut tirer à nouveau de ses songes par la voix de Ninouchka qui venait de l'appeler, elle s'approcha alors du trône croisant Kalwynn à qui elle sourit au passage.

Arrivée devant le trône ducal dans un léger froufrou de jupes et de jupons, elle fit une profonde révérence pour saluer le duc , puis elle releva la tête sans quitter sa posture humble, inclinée, et salue Ninouchka d'un mouvement de tête. Pour fixer de nouveau son regard sur le duc.

Votre Grasce.

Une pause.

Ninouchka.

Ninouchka

Ninouchka relut attentivement sa liste. Elle avait appelé le dernier soldat présent.

Quelques craquements de bottes plus tard, Kalwynn s'était retrouvé devant le Duc. Une inclinaison de tête à Sa Grâce Keridil, une autre pour elle, à laquelle elle répondit d'un sourire.

Lorsqu'il eut prêté serment, il attendit respectueusement que le Duc lui permette de se relever. Quand ce fut chose faite, Ninouchka qui avait pris un des colliers entre ses mains, s'approcha de lui. Elle lui passa le collier autour du cou, et lui donnant une accolade cordiale elle lui dit à voix basse

Mes sincères félicitations messire Kalwynn.

Elle retourna près de la tablette et rapprocha d'elle les colliers de Grand Pique.

Elle n'avait plus besoin de sa liste maintenant. Elle connaissait les derniers noms par coeur.

J'appelle à se présenter devant notre Duc, Dame Exaltation Lablanche d'Abancourt, dicte Xalta, Dame de Tronchay et d'Arrou
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Dame de Talcy

Joshin

Un peu raide, le Maître du Front de l'Est! Joshin rit en le voyant ployer le genou devant sa Grâce le Duc. Mais il est vrai que les soldats n'avaient pas trop l'habitude de ce genre de cérémonie, et tous ceux qui avaient été honorés ce jour-là étaient quelque peu mal à l'aise, elle en était convaincue, à commencer par elle.

N'empêche. Kalwynn avait été justement remarqué. Elle était sûre qu'un bel avenir lui était promis, il fourmillait d'idées, et aussi, était-il besoin de le souligner, était envers l'Ost d'une fidélité à toute épreuve.Qui sait? c'était peut-être un des signes distinctifs des Riveroy...

Tous les soldats avaient été appelés. Une fois encore, elle se sentit fière d'être parmi eux.

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Kalwynn

Assez raidement -le Maître de Front n'était pas connu pour sa souplesse !- Kalwynn mit un genou en terre devant son Duc, et inclina respectueusement sa grande carcasse.

Moi, Kalwynn Ombremer de Riveroy, fais ici le serment de toujours servir et défendre de mon mieux mon duché et le peuple Orléanais.
Je jure aussi fidélité, aide, conseil à la Couronne Ducale, et de ne porter les armes que pour elle, aussi longtemps que j'en aurais la force.

Engoncé dans sa cuirasse et vêtu de l'azur et blanc des Faucons, l'officier borgne attendit qu'on lui donne la permission de se relever.
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* Commandant de la Garde Ducale *

Ninouchka

Yondolar s'approcha, apparemment un peu mal à l'aise. Qui ne le serait pas en pareilles circonstances à moins que d'être un habitué de la Salle du Trône ou des cérémonies officielles.

Il écouta le Duc puis il mit un genou en terre pour prêter serment.

Ninouchka fut émue de le voir agir. Qu'un noble mette le genou en terre devant son Duc était "normal", était la plupart du temps protocolaire.

Quand c'était un jeune soldat qui le faisait dans un vrai geste de respect spontané à un moment important de sa vie, il se passait quelque chose qui faisait frémir. Il y avait dans ce geste quelque chose qui tendait au sacré.

Lorsqu'il se releva et qu'il vint vers elle, elle prit un collier et le lui passa autour du cou en souriant. Elle lui donna une accolade cordiale

Toutes mes félicitations Yondolar

Elle reprit sa place pour appeler le dernier soldat présent

J'appelle Kalwynn à se présenter devant notre Duc
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Dame de Talcy

Kalwynn

Raide comme un piquet depuis son arrivée, Kal sortit du rang à l'appel de son nom.

Tentant de n'avoir l'air ni trop sévère, ni trop crispé, l'officier borgne sourit et planta un regard franc dans celui de ses interlocuteurs.

Puis il s'inclina...

Votre Grasce, dame Ninouchka, à votre service.
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* Commandant de la Garde Ducale *

Yondolar

Yondolar remarcia Ninouchka et le Duc d'un sourire et d'un hochement de tête. Puis il repartit dans les rangs pour écouter la suite de la cérémonie.

Keridil

Et s'avança le dernier soldat présent. L'Amahir le gratifia d'un signe de tête, il s'agissait d'un officier, qui, pour ses qualités, serait tôt appelé à commander la Garde Ducale, mais ça, au jour de la Cérémonie, nul n'en savait encore rien.
Le Duc y alla de son panégyrique - tout relatif fut-il.

Soldat, Maître du Front Est...seul ce grade démontre l'ampleur de votre investissement. Nous n'avons mesuré votre investissement et votre conseil précieux à l'Ost que récemment, mais nous voyons d'ores et déjà votre potentiel, et quelles qualités font de vous un digne récipiendaire de l'Ordre du Porc-Epic.
Pour vos actions militaires et pour honorer votre carrière, nous vous mandons ce jour, Messire Kalwynn, de nous prêter serment, et de bien vouloir recevoir des mains de la Dame de Talcy, cette médaille.

Et ensuite, l'on passerait aux élévations. La fin approchait, mais des absences étaient à déplorer. A la toute fin, le Duc d'Orléans parlerait brièvement de ceux qui n'étaient pas là, puis des défunts, et enfin, il trancherait quant à la lettre reçue en cours de cérémonie.
And then...rideau !
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Et si tu veux la liberté, l'égalité et la fraternité, va jouer à Tribalistan.

Yondolar

Yondolar écouta le Duc et lorsqu'il aborda le sujet du courrier, auquel il avait effectivement répondu, pensant à une erreur, il fut un peu gêné. Pour quel ignorant allait il encore passé....Ne se laissant pas déstabilisé par les paroles du Duc et appréciant son élocution, le soldat mis un genou à terre et récita:

Moi, Yondolar, fais ici le serment de toujours servir et défendre de mon mieux mon duché et le peuple Orléanais.
Je jure aussi fidélité, aide et conseil à la Couronne Ducale tant que j'en aurai la force.

Joshin

Quel bonheur de voir ses amis, ses frères pourrait-on dire, ainsi récompensés! Elle imaginait bien combien Yondolar avait dû être surpris en recevant cette invitation à venir chercher une décoration. En fait, ils avaient dû tous être surpris, nullement habitués à ce que l'on les remercie d'une quelconque façon. Quant à les décorer...
Mais, contrairement à elle, qui s'était contentée de ne pas comprendre mais d'obéir, Yondo avait manifesté par courrier sa surprise, sa Grâce le Duc l'expliquait en détail, et elle reconnaissait bien là le caractère du jeune soldat patichon, toujours curieux de savoir et de comprendre.
Elle écouta en silence son serment.

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Yondolar

On appela le jeune homme. Il en sursauta presque tellement il était absorbé par les remises de colliers de Joshin et Octo. Il était fier d'eux.

Yondolar se dissocia du petit groupe.
Plus il s'approchait du siège du Duc plus il sentait des bouffées de chaleur l'envahir. Tout ce monde...l'homme n'était pas vraiment à l'aise, mais il tenta de se contenir du mieux qu'il le pût pour ne pas faire paraître sa gêne et son stress. Il espérait ne pas avoir tourné au rouge pivoine lorsqu'il se trouva devant les deux représentants de la cérémonie.

Il s'inclina devant Sa Grâce et Ninouchka. puis attendit.

Octo

Octo etait en effet emu.
Il se voyait remis cet insigne .
Il ne voulait pas les honneurs il ne faisait que son devoir.
Il regagna sa place .En Faisant il croisa Yondo et lui adressa un clin d'oeil de felicitation...

Keridil

A l'appel de Yondolar, le Duc se fendit d'un large sourire. Il avait eu l'occasion de lire la réponse qu'il avait fait porter à son page, lorsque l'invitation lui avait été remise. Aussi, l'Amahir comptait bien exploiter le filon.

Soldat Yondolar, Grand Faucon de Patay. L'un de vos mérites, et pas des moindres, aura été de nous faire rire. Point de moquerie, nenni, mais votre humilité à croire que nous nous étions trompé en vous invitant à cette cérémonie, pour un Ordre auquel vous n'avez point solliciter d'entrée, fut plaisante à lire.
Toutefois, ce n'est pas pour ces faits que vous êtes présents devant nous. Aujourd'hui, nous récompensons votre carrière de soldat, une carrière sans taches, un dévouement pour une cause trop peu reconnue du peuple. L'Ost est nécessaire, l'Ost est un besoin, et chacun de ceux qui contribuent à son fonctionnement mérite d'être honoré et reconnu. Pour votre travail, votre présence, et vos talents, veuillez accepter de recevoir cette médaille, après nous avoir prêté serment.
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Et si tu veux la liberté, l'égalité et la fraternité, va jouer à Tribalistan.

Ninouchka

Octo s'était avancé. Il avait fière allure dans son uniforme. Ninouchka n'avait pas l'habitude de le voir en soldat.

Elle connaissait davantage le Patichon qui venait pêcher à Blois. C'était un homme d'humeur égale, toujours aimable, aux paroles mesurées.

Elle s'aperçut qu'il n'était pas très à l'aise, sans doute ému par les paroles du Duc.

Quand Sa Grâce Keridil se tut, Ninou prit un des colliers restants et s'approcha d'Octo. Lui aussi dut pencher un peu la tête pour qu'elle puisse mettre le collier autour de son cou.

Elle lui fit une accolade cordiale disant

Toutes mes sincères félicitations Octo

Reprenant sa place et son rôle, elle annonça

J'appelle Yondolar à se présenter devant notre Duc.
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Dame de Talcy

Octo

Pourtant peu enclin a l'emotion (sauf lorsqu'il avait ete pere),Octo avait senti une boule au creux de l'estomac.
L'eloge etait belle il est vrai.Mais la devant tout le monde il ne se trouvait décidément pas a l'aise.

Il réussit a deglutir et a Prononcer d'une voix forte (ou du moins il l'esperait):

Moi, Octo, fais ici le serment de toujours servir et défendre de mon mieux mon duché et le peuple Orléanais.
Je jure aussi fidélité, aide et conseil à la Couronne Ducale tant que j'en aurai la force.

Kalimalice

L’arrivée du siège n’était pas passé inaperçu .Keridil l’avait regardé bizarrement comme un regard qui la toisait de haut en bas .Mais surement que son œil avait remarqué son ventre arrondi .Ce qui lui valu une approbation à s’asseoir.

Ne voulant pas plus dérangé la cérémonie à la réponse du jeune homme .Elle sourit.
Un œil d’aigle .Là il pouvait le dire, ayant remarqué malgré son jeune âge l’état de la duchesse.

Titouan, Belcourt d'Abancourt dict Aigle_blanc pour vous servir.

A l’énoncé de son nom elle comprit qu’il était le fils de Xalta .Se tournant vers elle, elle lui sourit en signe de compliment elle hocha la tête.

Mais comme la cérémonie avançait, elle se recula vers le siège ou elle prit place. Elle aurait surement l’occasion de revoir le jeune damoiseau
Regardant avec fierté les soldats se faire décorer.
La caserne, cette famille, ceux qu’elle avait appelé mes loulous .Elle en était si proche qu’ils faisaient partie d’elle.

Joshin, sa fidèle amie, sa dame de compagnie .Elle la regardait avec fierté avançait recevoir des main de Ninouchka ce collier rendant hommage à sa bravoure et son amour du duché d’Orléans.
A voir les deux femmes ensemble raviva dans son cœur douleur pensant aux deux hommes qui étaient leurs maris .L’un un ami fidèle, Arfast .Homme de grande valeur qu’elle n’oublierait jamais et l’autre ce filleul Pépin fils de Gillas homme cher à son cœur.

Puis Octo soldat depuis de si nombreuse année .Discret que l’on ne voyait pas partout mais fidèle pour ce duché qu’il avait servi sans rechigné

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Kali,marie ,Liselotte de Cheroy d'Austrasie
Marechale de France

Leanore

De nouvelles arrivées, de nouveaux mis à l'honneur. Tout se déroulait à merveille, la cérémonie orchestrée de main de main par Ninouchka. Elle tenait son rôle parfaitement.

Soudain elle sursauta. Octo s'était retourné vers la teinture où elle se cachait et elle eut peur un instant qu'il ne l'ait vue. Elle se recula un peu pour se remettre dans l'ombre et fut sauvée par l'appel du nom de son ami.

Elle sourit et retint une petite larme en écoutant l'éloge que fit Keridil.
Son ami, son frère, celui qu'elle avait accueilli à Patay alors qu'elle était tribun, qu'elle avait guidé avait parcouru un beau chemin. Elle était fière de lui. Il méritait cette décoration, connaissant son investissement et sa loyauté envers son duché et ses amis.
Combien de fois l'avait il pris dans ses bras lorsqu'elle était en peine, ou qu'il l'avait soutenu même dans ses erreurs et ses doutes.
Et son côté paternel qui exigeait d'elle lorsqu'elle voyageait un pigeon pour lui dire qu'elle avait était arrivée à destination sans problème.

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Belgarion.

... je relevai la tête pour que val puisse apercevoir mon visage dans l'ombre de la capuche .Mes yeux croisèrent les siens, j’y lu de la surprise, l’espace d'un instant de la joie puis ce que l'on pouvait considérer comme des reproches..

Je la remerciais d'un hochement de tête rapide et me relevais difficilement.

La tête me tournait, la fatigue s'emparait de moi, il était temps d'aller me reposer, je ne me sentais pas capable de tenir jusqu’à la fin mais il fallait que Xalta sache coute que coute.

Je me déplaçais dans la salle, me dirigeais le plus discrètement possible vers la sortie.. A la porte je un garde me regardait je me dirigeais vers lui.

A voix basse

Bonjour Sergent pourriez-vous me rendre un service urgent et aller remettre à la dame de Tronchay cette bague, dites lui de venir me retrouver sur les bords de la Loire en cette fin de journée. Soyez discret.

Je lui glisse quelques écus dans la main, j’attends quelques instants regardant le garde se diriger vers la rousse et quitte la salle ………..

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Octo

Octo ne put s'empecher un leger sursaut.
Voila c'etait a son tour.Lui qui n'aimait pas les honneurs il etait gaté.
tout le gratin du duché.Le ban et l'arriere ban.Tout ce que le coin avait de noble,d'officier,de soldat etait present.

Il eut une pensée comme a son habitude pour son aieul qui l'avait elevé.La a la droite du tres haut il devait etre fier de son rejeton.Puis il pensa a Arfast,son parrain.

Il se redressa,avanca,sanglé dans son uniforme de Maitre de Front.Sa décoration jetait quelques feux dans cet ambiance feutré.
Sa cicatrice a la joue gauche le démangeait un peu mais ce n'etait pas le moment de se gratter.

Il avanca jusque devant Dame Ninouchka...

Keridil

Les choses risquaient de se compliquer pour le Duc.
En effet, plus la cérémonie avançait, moins les récipiendaires étaient connus de l'Amahir, qui, de fait, se retrouverait vite à cours de paroles élogieuses. Toutefois, en orateur averti, il avait dans son chapeau - ou plutôt sous sa couronne - quelques idées d'ameublement du discours plutôt passe-partout, et quelques bribes de souvenirs, en apparence insignifiants, qui pourraient bien lui servir.
Ainsi, quand approcha Octo, il y alla de son usuel petit mot.

Soldat Maître du Front Ouest, c'est non sans plaisir que nous vous faisons ce jour membre de l'Ordre du Porc Epic. Nous ne nous connaissons pas, et nous avons pourtant souvent entendu parler de vous. Votre assiduité en tant que représentant de l'Ost à la Grande Chambre fut louable, votre dévouement en tant que soldat, pour la sécurité de notre peuple, plus encore. Vous, soldats, nous offrez votre corps, qui n'a pas de prix : acceptez en contrepartie cette mince récompense, et si vous voulez bien nous prêter serment, recevez des mains de la Dame de Talcy, votre médaille.
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Et si tu veux la liberté, l'égalité et la fraternité, va jouer à Tribalistan.

Joshin

Elle sourit largement lorsqu'elle entendit que l'on appelait Octo, son garde du corps attitré, son ami de toujours, son frère d'armes... Tant de souvenirs, gais et moins heureux, le rattachaient à lui! Et elle le connaissait bien, aussi. Elle était presque sûre qu'il ne se sentait pas trop à l'aise, car il ne recherchait jamais les louanges ou les compliments, préférant oeuvrer dans l'ombre pour son Duché et pour l'Ost.
Sans doute, au moment où il s'était avancé vers le Duc, avait-il songé à son ancêtre dont il lui parlait souvent, et dont l'exemple l'avait motivé pour son entrée dans l'armée. Il devait être fier de son descendant, qui n'avait jamais failli, depuis si longtemps qu'il était à la caserne.
Les paroles de sa Grâce le Duc furent élogieuses, et il aurait pu en dire bien plus, certes: tout était mérité.
Elle attendit le serment d'Octo, heureuse et fière qu'il fût ainsi distingué.

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Ninouchka

Un semblant de calme était enfin revenu dans la vaste Salle du Trône ! Un semblant ... oui, car par-ci, par-là il y avait encore des petits mouvements, des changements de place, ...

La discipline n'avait pas l'air d'être une des qualités premières des Orléanais en général ! Ils étaient remuants les Orléanais, ils étaient ... comment dire ça ? Pleins d'énergie peut-être ? Oui, c'est exactement ça ! On va retenir cette façon de voir ... c'est le genre de notion qui ne permet à personne de dire, à coup sûr, à quel moment la qualité devient défaut ou vice-versa. Très pratique ça tiens !

Son regard délaissa la Salle qui s'étalait devant elle pour se poser sur Joshin qui arrivait aux pieds du Duc.

Elles échangèrent un sourire avant d'écouter l'éloge prononcé par le duc Keridil.

A un moment le Duc évoqua Arfast et Ninouchka vit, sans surprise, que Joshin baissait la tête. Son coeur se serra, imaginant les tristes pensées qui devaient traverser l'esprit du Grand Maître des Faucons.

Mais Joshin était femme de devoir et de courage et elle releva la tête pour prêter serment.

Ninouchka prit un des colliers, s'approcha de son amie pour lui passer autour du cou, l'embrasser affectueusement en lui murmurant dans un sourire

Toutes mes félicitations ma chère Joshin. Il te va très bien ...

Puis elle reprit son rôle d'huissier, cherchant le nom suivant

J'appelle à se présenter devant notre Duc, Octo
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Dame de Talcy

Joshin

C'était presque toute sa vie qui défilait dans ce que disait sa Grâce le Duc...Elle rougit, elle savait mieux que personne combien ces compliments étaient exagérés et immérités...
Elle avait baissé la tête lorsqu'il avait parlé de feu son époux, ressentant comme une blessure cruelle son absence à ses côtés. Mais la vie était ainsi, il lui fallait aller de l'avant.
Et il lui fallait aussi faire son serment, d'une voix claire, qui s'affermit au fur et à mesure qu'elle parlait:

Moi, Joshin de Riveroy, fais ici le serment de toujours servir et défendre de mon mieux mon duché et le peuple Orléanais.
Je jure aussi fidélité, aide et conseil à la Couronne Ducale tant que j'en aurai la force.

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Kalwynn

Le visage de Kalwynn s'éclaira en un large sourire quand il entendit l'hommage fait à dame Joshin.

Il lui avait dit en Taverne : elle était peut-être le coeur le plus noble qu'il avait pu rencontrer.

Cette décoration prestigieuse était certes une reconnaissance symbolique, mais elle paraissait davantage qu'amplement méritée dans le cas de Joshin.
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* Commandant de la Garde Ducale *

Keridil

Un frisson d'agitation traversa la salle, et l'Amahir toisa la Duchesse de Dunois, qui, dans un état tout à fait honorable, devait s'asseoir. Le Duc lui offrit un signe d'approbation. Sa condition lui permettait une entorse au protocole.
Tractation faite, le regard azuréen se porta sur le Grand Maître des Faucons.

Chère Joshin, lorsque nous nous sommes rencontrés, il y a bien longtemps maintenant, vous étiez Ambassadrice, et j'oeuvrais sous le commandement de feu votre époux, lui aussi, méritant. Puisse le Très Haut l'avoir auprès de lui.

Légère pause. Recueillement oblige.

Ce jour, c'est vous que nous honorons. Sous nos ordres, sous ceux de la Baronne Elisel, vous avez toujours fait preuve de grandes qualités diplomatiques, et nous avons toujours reconnus vos compétences.
Plus récemment, alors que nous étions porté à la tête du Duché, nous avons pu constater votre dévouement au sein de l'Ost. Votre présence, votre avis, sont chers. Aujourd'hui, vous êtes aussi élue ducale. Nous vous remercions pour tout ce temps et toute cette sueur mise au profit des terres qui sont nôtres.
Présentez-nous votre serment, et recevez, s'il vous plait, ce collier qui fait de vous un Pique de l'Ordre du Porc-Epic.
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Et si tu veux la liberté, l'égalité et la fraternité, va jouer à Tribalistan.

Octo

Octo etait au niveau des soldtas et eu un grand sourire lorsque l'on appela son amie.
Voila un honneur qu'elle meritait grandement.
La vie ne lui avait pas fait que des cadeaux mais toujours elle etait presente pres d'eux,les soldats a se demener pour leur bien.

En entrant il avait cru voir la silhouette de Lea dans l'ombre pres d'un pilier.Si en effet c'etait elle il lui faudrait aller s'excuser.Sa fille victoire avait ete malade et il n'avait pu se rendre au mariage sa presque soeur...
Il s'en voulait car il n'aurait pas voulu rater cela.Malheureusement le sort en avait decide autrement.

il reporta son attention sur la ceremonie....

Joshin

Elle avait vu arriver bien des personnes connues, les avait discrètement saluées, souvent d'un sourire. Mais elle était terriblement émue, aussi. Elle avait vu arriver, l'un après l'autre, bien des soldats de l'Ost, et leur présence en ce lieu lui réchauffait le coeur. Il étaient unis par des liens d'amitié et de solidarité qui se tissaient au fil des jours, et qui se démentaient rarement.

Elle avait vu arriver aussi sa Dame Kalimalice, mais n'avait pas osé se déplacer pour aller la rejoindre: la solennité du lieu, la présence de sa Grâce le Duc et l'étiquette qu'il semblait imposer à la cérémonie l'avaient fait rester à sa place. Mais elle lui jetait de fréquents coups d'oeil, et vit avec plaisir que le jeune Aigle_Blanc ne s'était pas embarrassé d'autant de soucis de convenances et lui avait avancé un siège: c'était une bonne chose, et ce jeune homme montrait bien des qualités, ce qui était normal quand on connaissait sa mère.

Toute à ses pensées, elle faillit sursauter lorsqu'elle entendit son nom. Elle essaya de rester impassible, se leva et s'avança lentement .

Elle s'inclina devant sa Grâce Keridil, revoyant en un éclair les salons des Ambassades où elle avait appris à le connaître un peu, et eut un sourire pour Ninouchka:

- Votre Grâce...
- Ninouchka...

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Aigle_blanc

En réaction, Titouan reçut une cramoision.

À sa question, il répondit :

Pour certains peut-être mais point pour mon oeil d'Aigle Dame Kali.

Un sourire.

Titouan, Belcourt d'Abancourt dict Aigle_blanc pour vous servir.

Une nouvelle lame demandée, un coup d'oeil pour se la remémorer...

Xalta

La cérémonie se déroulait lentement mais surement, chaque appelé se présentait, prêtait serment et recevait son collier après un bref éloge. Elle regardait ces hommes et ces femmes qui méritaient amplement cette médaille. Pourtant l'ost était souvent décriée et montrée comme un organe inutile qui coûtait des écus et pourtant c'est grâce à ces faucons que le duché était en sécurité.

Tout d'un coup un mouvement un homme vint porter un pli à Ninouchka puis son fils se mit à se mouvoir avec discrétion pour aller chercher un fauteuil et l'offrir à kalimalice, elle sourit en le voyant faire. Un jeune homme bien, prévenant, attentionné. Elle vit kalimalice adresser quelques mots au jeune homme ( de 15 ans). Puis elle profita de cet instant pour laisser son regard se poser sur les personnes présentes. Un haussement de sourcils marquant sa surprise, sa suzeraine était présente mais en retrait près d'un homme encapuchonné qui était baissé et qui regardait la baronne de Brou vu la position dans laquelle il se tenait.

Ninouchka appela le prochain récipiendaire Joshin, machinalement elle tourne le regard de nouveau vers le fauteuil ducal, en même temps elle se promit d'aller interroger sa suzeraine sur l'air surpris qu'elle affichait en regardant l'homme à la capuche. Même si elle préférait se concentrer sur la cérémonue, elle demeurait néanmoins intriguée.

Ninouchka

Pffffff !!! Que d'animation dans cette Salle du Trône ! Incroyable !

Il n'y avait pas moyen de porter les yeux d'un côté qu'il se passait déjà quelque chose de l'autre !

Un sourire et une inclinaison de tête pour Aegidia, un regard inquiet vers l'homme bien caché de chez bien caché qui avait disparu un instant, un sourire en réponse à celui de la Duchesse de Chéroy dont les pensées devaient à certains moments prendre le même chemin que celles de la Blésoise, puis enfin ... enfin un jeune homme déjà aperçu aux côtés de Xalta qui réalisait qu'on ne pouvait laisser une femme enceinte debout aussi longtemps !

Ninouchka soulagée pour la duchesse Kalimalice, revint vers le Duc qui prononçait l'éloge d'Aegidia. Celle-ci, après avoir donné des nouvelles de sa fille prêta serment.

Ninou se tourna vers les petits coussins pourpres, en dégarni un de plus et s'approcha de la dame de Chêne-Arnoult et Jouy le Potier.

Elle lui passa le collier, faisant attention de ne pas accrocher dans les cheveux puis lui donna l'accolade en disant à voix basse

Sincères félicitations Dame Aegidia

Elle reprit son petit aide-mémoire avec la liste des récipiendaires

J'appelle à se présenter devant notre Duc, Joshin de Riveroy
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Dame de Talcy

Valeria053

val sur le guet, allait bondir quand elle vit l'homme faire tomber son gant, la peur qu'il sorte une dague, la tenaillait, mais elle fut arrêtée dans son elan en voyant les armoiries d'Arrou.
Puis il se tourna vers elle , mi de diou pensa t elle le belgarion est de retour.

Non mais franchement, il était temps, ah les hommes incompréhensibles, il font la cours, sont tendres et d'un coup plus personne et ils reviennent hop d'un coup de baguette magique.

Ah si on les aimait pas ceux là, elle allait avoir une sérieuse conversation avec son vassal.

Elle lui lança un regard qui en disait long

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Kalimalice

Sagement recueilli, elle fut attirée sur sa gauche par le regard insistant d’un jeune homme .Faisant mouliné de son bras afin qu’elle regarde derrière et Oh surprise, un siège s’était avançait tout prés de son séant.
Du coup elle devint cramoisie, son état n’était donc pas passé inaperçu. Et s’asseoir lui ferait le plus grand bien. Mais avant comme elle était femme polie .Elle s’approcha du garçon .Et à voix basse pour ne pas gêner la remise des médailles.

Merci, messire.
Vous avez l’œil, et vu ma fatigue .Mon état ne passe donc plus inaperçu ?

Elle lui sourit ,

Nous ne nous connaissons point.
Peut être n’est ce pas le meilleur moment pour faire connaissance .Je me présente Kali, Liselotte de Cheroy dict kalimalice et vous ?
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Kali,marie ,Liselotte de Cheroy d'Austrasie
Marechale de France

Aigle_blanc

Ayant remarqué une dame à mobilité réduite se préoccuper de son confort, Titouan quitta momentanément le giron maternel pour quérir zieutément une assise confortable.

Ayant trouvé chaussure à ses yeux, celui-ci se dirigea vers le mobilier convoité, le saisit puis vint discrètement le positionner derrière le séant de la mobilité réduite.

Probablement trop discret, Titouan se placa à l'intérieur du champ de vision de la dame avant de s'incliner vers celle-ci en indiquant l'assise derrière elle de son bras gauche.

Aegidia

Dame Aegidia sourit .
D'abord des nouvelles de votre filleule .
Votre filleule Orléane , se porte bien c'est maintenant une grande fille de 8ans , elle sait lire et écrire grâce aux leçons de sa nourrice Maria . Elle monte régulièrement sur le poulain que vous lui aviez offert, au domaine de ma suzeraine Dame Isadam .J'ai commencé à lui donner des leçons sur le maniement de l'épée , dès que mes charges m'en donnent le loisir .

Puis elle s'appliquât pour réciter son serment au Duc.

Moi, Aegidia, Dame de Chêne-Arnoult et de Jouy le Potier , fait le serment de servir et de défendre mon duché, et de servir le peuple Orléanais tant que Aristote me laissera la vie .
En mon nom, en celui des terres qui m'ont été octroyées ainsi que des gens demeurant sur ces terres, je jure fidélité, aide et conseil à la couronne ducale.
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Kalimalice

Elle regardait la cérémonie qui se dérouler, heureuse de voir les soldats misent à l’honneur .Passant par moment sa main sur son ventre rond, geste quasi machinale de femme enceinte .Car debout le bébé commençait à peser .Mais bon pas question de poser son fessier sur une chaise puisque tout le monde était debout sauf le couple ducal.
C’est avec plaisir qu’elle vit arriver Gidi ,Ali ,Xalta ,Val ,la duchesse consort ,le bo’ papa ,les soldats nominés et bien d’autre curieux friand de se genre de manifestation .

.Ben vais pas tous les cités ^^.

Si au fond quelqu’un qu’elle n’avait pas vu depuis longtemps Aurae, du coup elle se demanda ou il était passé tout ce temps.
Un claquement de bottes qui fait que la tête se retourne et c’est Kaliwynn son filleul apparemment en retard et ne sachant ou se mettre.

Un coup de pied et son ventre fit une grosse bosse. La main caressa à nouveau ce ventre rond .Comme pour dire calme toi, allons soit sage.
Puis elle sourit à Ninoucka, pas sure que celle-ci la verrai fort absorbé dans son rôle d’huissier donné à la rosière de l’année.
Pépin aurait été fier de son épouse et kali en était sure il l’a voyait de la ou il se trouvait.
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Kali,marie ,Liselotte de Cheroy d'Austrasie
Marechale de France

Belgarion.

.....Ma respiration revenait à la normale .Tout avait l'air de se passer correctement ,le Dame de Talcy remettait ses décorations et j'avais beaucoup de plaisir à voir tous mes amis les recevoir avec honneur et fierté.
Bientôt ce serait le tours de xalta. Qu'il me tardait de pouvoir la serrer dans mes bras ..... de lui dire .....

Mon regard fut attiré par celui du Duc qui regardait avec insistance dans ma direction ,les sens en alerte ,je sentis une présence ,un parfum se rapprochant de moi ,les poils de mes bras se dressèrent ,je tournais la tête doucement pour analyser la situation et vit val qui s’était approché juste derrière .Qu'essayait elle de faire ?

J'essayais de garder mon calme ,je réfléchissais à toute allure ,il ne fallait pas qu'elle gâche cette cérémonie ...peu de solutions s'offraient à moi ,il fallait que j'agisse rapidement .

J' enlevait donc le gant qui couvrait ma main droite .Celle qui portait la bague représentant mes armoiries ,ma signature.

Laissant volontairement tomber le gant ,je me baissait pour le ramasser exposant la bague à la vue de Val ,tournant légèrement la tête en sa direction ,un doigt posé sur les lèvres comme lui implorant le silence ............

Je restait ainsi suspendu ,le temps s’arrêtant comme les battements de mon cœur espérant ...........

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Keridil

Le Duc laissa se dérouler la routine du collier, puis récupéra la lettre, qu'il allait parcourir quand s'approcha Aegidia.
Poli, l'Amahir mit de côté le pli, qu'il ne pouvait décemment lire alors qu'une noble orléanaise allait prêter serment. Il y alla donc de son panégyrique réduit.

Madame de Chêne-Arnoult.
Nous nous connaissons depuis longtemps, et nous savons vos mérites. Chaque soir, chaque jour, vous arpentez nos remparts sans relâche. Vous menez des hommes. Il y a bien longtemps, vous nous faisiez sergent, et je suis persuadé que vous n'avez de cesse, encore aujourd'hui, d'encourager les bonnes volontés, les jeunes gens.
Vous êtes de toutes les fêtes, et vous contribuez à la vie de nos terres.
Ce jour, pour vous en remercier, nous sommes ravis de vous octroyer le collier du Pique, de l'Ordre du Porc-Epic.
Puissiez-vous le porter avec fierté, mais pas avant de nous avoir prêté serment, et de nous avoir donné nouvelles de notre filleule, que nous ne voyons que trop peu.
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Et si tu veux la liberté, l'égalité et la fraternité, va jouer à Tribalistan.

Aegidia

Dame Aegidia qui attendait sagement , remerciât Dame Ninouchka d'un sourire .
Merci Dame Ninouchka

Puis s'avançât d'un pas martial vers le Duc . Le regardât droit dans les yeux et lui fît une révérence .

Votre grâsce , mes hommages
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Ninouchka

Elle répondit par un sourire discret à la salutation de Manulechti.

Tout en écoutant l'éloge prononcé par le Duc et la prestation de serment du Porte-parole d'Orléans, Ninou laissait errer son regard sur la foule ... mais oui c'est possible d'écouter et regarder en même temps ! Personne n'a jamais dit qu'on ne pouvait utiliser qu'un sens à la fois ... encore heureux d'ailleurs ! Imaginez le résultat si quand vous utilisez vos yeux, vous perdiez le goût ou si quand vous utilisez le toucher il vous manquait la parole. Oui oui, imaginez un peu toutes les situations de la vie avec un seul sens en activité ... Je vous laisse à vos pensées ...

Donc pour en revenir au "multi-usage" des sens de la dame de Talcy, elle aperçut Kalimalice pour qui ça ne devait pas être facile de rester debout et qui lui avait adressé quelques mots gentils, Joshin qui comme toujours l'avait saluée avec affection, Val qui était arrivée en catastrophe et qui se déplaçait au fur et à mesure de la cérémonie vers une silhouette encapuchonnée et un peu inquiétante.
Puis un craquement de bottes attira ses regards dans un autre coin de la salle. Kalwynn qui avait sans doute espéré passer inaperçu ... raté ! ... Octo tout à son avantage en grand uniforme, le duc Aurae qui se tenait parfaitement immobile, l'élégant seigneur d'Epieds en Beauce dont elle se demanda l'espace d'un instant la raison de la présence ... en tant que Grand Ambassadeur Royal sans doute ...

Ses yeux se reportèrent sur Manu qui terminait son serment.

Elle prit un des colliers, se tourna vers lui et sourit en voyant qu'il se mettait à sa hauteur en s'inclinant un peu.

Elle passa le collier autour de son cou, puis lui fit une accolade amicale

Toutes mes félicitations Manu

Pendant que le Seigneur de la Moutonnière rejoignait sa place, Ninouchka se saisit du parchemin qu'elle avait déposé et s'approcha du trône ducal.

Elle s'adressa à voix basse au Duc

Avant de continuer l'appel Votre Grâce, permettez-moi de vous remettre ce pli. Il m'a été donné il y a quelques instants. Le messager m'en a communiqué la teneur ... je pense qu'il serait bon que Votre grâce en prenne connaissance sans tarder ...

Dans un sourire au Duc, elle ajouta

Ceci n'est bien sûr qu'un conseil Votre Grâce

Ce petit aparté terminé, elle reprit sa liste, chercha le nom suivant

J'appelle à se présenter devant notre Duc, Aegidia, Dame de Chêne-Arnoult et de Jouy le Potier
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Dame de Talcy

Valeria053

val surveillait toujours la capuche et trouvait l'homme ou la femme mal à l'aise, une envie la poussait à aller voir.
Elle se rapprocha discrètement elle voulait en avoir le coeur net

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Keridil

Et si tu veux la liberté, l'égalité et la fraternité, va jouer à Tribalistan.

Manulechti

Manu remercia le duc d'un signe de tête suite aux propos à son égard.

Moi, Manulechti de Ryssel, Seigneur de la Moutonnière, fait le serment de servir mon duché et de servir le peuple Orléanais.
En mon nom, en celui des terres qui m'ont été octroyées ainsi que des gens demeurant sur ces terres, je jure fidélité, aide et conseil à la couronne ducale, et ce tant qu'Aristote prêtera force à mon bras.
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Manulechti

C’était le moment, la jeune et jolie Blésoise prononça son nom. Un sourire en guise de merci et il s’avança.

Cher Duc, Dame Ninouchka
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Alienor28

Alienor se redressa

Moi, Alienor de le Neustrie, Dame de Montbeaufranc, fait le serment de servir mon duché et de servir sa population quelle que soit ma fonction
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Ninouchka

Dame de Talcy

Leanore

_________________

--Le_serviteur

Citation:

Melina de Valverde

Voilà Dame. Merci à vous de le répéter au Duc. Il lui tendit la missive, la salua et s'en alla, sa première mission accomplie.

Kalwynn

Octo

Keridil

Et si tu veux la liberté, l'égalité et la fraternité, va jouer à Tribalistan.

Alienor28

Aurae

Della

Aigle_blanc

Le fils de Xalta vit arriver du coin de l'oeil le Grand Ambassadeur de France.

Honoré tout autant que discret, l'Aigle lui fit discrètement signe de la tête en signe de soumission et de respect.

Sindbad

Grand Ambassadeur Royal de France | Délégué Territorial orléanais auprès des Comtés d'Angleterre | Seigneur d'Epieds en Beauce

Sindbad

D'un pas rapide, Sindbad se dirigeait vers la salle du Trône, déambulant dans les couloirs du Palais d'Orléans.

Des affaires l'avaient retenu sur Paris. Depuis qu'il présidait aux destinées de la diplomatie royale, son temps lui était compté.

Arrivant sur les lieux le plus discrètement possible, il vit la Dame de Talcy remettre un collier à Messire Atolchamb. Il avait brièvement croisé l'homme en Ambassade orléanaise. Mais c'était pour son oeuvre en tant que membre de l'Ost qu'il recevait récompense ce jour.

Sindbad se glissa dans la foule le plus discrètement qu'il le pouvait. Beaucoup de visages connus, et notamment un ambassadeur royal adjoint. Au moins, se trouvant sur les lieux, il saurait quand ce dernier serait prêt à partir pour sa province d'affectation.

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Sindbad
Tout de noir vêtu depuis le trépas de Sa Majesté Nébisa
Porte à l'annulaire droit une bague à l'effligie de sa seigneurie d'Epieds en Beauce

Ninouchka

A partir du moment où la Rosière avait prononcé le nom du Seigneur de Monçay, elle ne fut plus qu'inquiétude.

C'est qu'elle le connaissait ! Elle savait de quoi il était capable ... pour faire simple et rapide on va dire capable d'à peu près tout !

Elle balaya du regard l'espace compris entre Atol et le trône ducal. Aucun obstacle n'était en vue, mais ce n'était pas pour autant qu'il n'y aurait pas d'incident !

Quand enfin il fut genou en terre devant le duc, elle se dit que c'était déjà une bonne chose de faite. Encore fallait-il voir la suite.

Elle observait la scène qui se déroulait entre le Duc et le Capitaine Royal. L'éloge de celui-ci fut précis, concis, net et sans bavure. Les premiers mots d'Atol rassurèrent la dame de Talcy. Ils étaient sobres, corrects et elle se laissait bercer par les phrases qui s'enchaînaient.

Tout à coup, le coup de tonnerre dans un ciel sans nuages !

Citation:

... vous pourrez compter sur moi si besoin pour vous frotter vos bottes.

Ninouchka sursauta, regarda Atol, puis le duc, puis à nouveau Atol. Mais qu'est-ce que les bottes du Duc venaient faire là ? Elle ne put s'empêcher de jeter un coup d'oeil, discret bien sûr, sur les bottes de Sa Grâce.

Hmmm ... très belles ma foi, Atol a raison, faut en prendre soin. Mais quand même il pourrait lui dire ça à un autre moment !

Un regard effondré vers le ciel

A mon avis on pourra pas le refaire lui, l'est trop vieux ... faudra qu'on le garde comme il est ...

Une fois son mouvement de surprise contrôlé, elle se tourna vers la tablette supportant les colliers.

Un coup d'oeil du Duc lui avait indiqué qu'il lui revenait de suivre. Elle prit donc un des colliers, s'approcha du Seigneur de Monçay.

Elle lui sourit, lui passa le collier autour du cou, lui donnant une amicale accolade en lui murmurant

Toutes mes félicitations très cher.

Elle laissa à Atolchamb le temps de se replier vers l'arrière selon un mouvement stratégique mûrement pensé puis reprit la parole

J'appelle à se présenter devant notre Duc, Alienor de la Neustrie, Dame de Montbeaufranc
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Dame de Talcy

Atolchamb

Ca y est ,voilà ti pas que le Keri allait faire verser sa petite larme au trublion totolien .
Allez zou ,pas question de céder a la tentation de se mettre en mode bêtises.
quoique le souvenir de discutions entre simples amis diplomate a l’époque portant il est vrai sur le sexe opposé. Les deux était presque prêt a monter une guilde pour défendre les intérêts des célibataires endurci mais les rencontres féminines eurent raison de leurs projet.

Atol fit un petit clin d’œil discret a son ami minant bien évidemment une petite poussière dans l’œil pour éviter tout équivoque.

Merci votre Grace pour ces louanges ! Vous connaissez ma simplicité et ma joie de mener a bien les missions que le duché me confie.

Bon j’y vais.

Le seigneur de monçay prit une grande respiration et commença:

Votre Grâce ,
Moi Atolchamb de Riveroy, Seigneur de Monçay, jure de servir mon duché d’Orléans si cher a mon cœur et jure fidélité a mon duc .
Soyez sur que mon dévouement envers votre personne est totale et que vous pourrez compter sur moi si besoin pour vous frotter vos bottes.

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seigneur de monçay

Keridil

On the road again ! Keri-le-discoureur est dans la place. Les mini panégyriques, ça le connait, ou l'art de meubler, ça dépend. Il fallait admettre que certains honorés du jour étant, pour le Duc, de parfaits inconnus, il faudrait savoir la jouer fine pour n'en rien laisser paraître.
Pour le coup, les choses commençaient plutôt bien, puisque Totol et Keri Keri, ce fut un rendez-vous manqué, une histoire d'amour capotée, et tout ça mes bons amis, la faute aux femmes !

Monsieur de Monçay, relevez-vous.
Atolchamb de Riveroy, ce jour, nous sommes heureux de vous voir appelé à entrer dans le prestigieux ordre du Porc-Epic. Votre parcours en Orléanais est enviable, votre dévouement est indéniable. Nous nous sommes connus simples Ambassadeurs, puis vous fûtes Délégué Territorial. En parallèle, vous avez su mener une carrière militaire, oeuvrer de concert avec les élus, faisant parfois même partie de la CDE. Aujourd'hui encore, vous êtes Capitaine Royal, charge ô combien honorifique.
Ami, nous souhaitons ardemment entendre votre serment, afin que vous soit remis, enfin, ce collier du Pique.

Un oeil vers le blondinet, un oeil vers Ninou-Ninou : à eux de jouer !
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Et si tu veux la liberté, l'égalité et la fraternité, va jouer à Tribalistan.

Atolchamb

atol s'avanca devant le duc d'orleans et posa un genou a terre en signe de servitude.
il attendit les premiers mots avant d'entamer le dialogue comme le protocole l'exigeait.
Pour une fois,il n'etait pas dans l'intention d faire quelques pitrerie comme a son habitude bien que la tentation fut grande.

il se posait une seule question:comment l'amahir allait il le manger?
et pas question de poser la moindre interrogation par peur de se faire lincher en public.

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seigneur de monçay

Belgarion.

Le Duc s'était enfin exprimé ,je ne sais pourquoi mais mes mains étaient moites ,de la sueur coulait dans mon dos ,il fallait vraiment le vouloir pour supporter cet épais manteau dans cette salle du trône dans laquelle les cheminées produisaient une chaleur agréable pour la saison .

Je ne savais pas à quoi Valéria jouait ,mais elle était maintenant derrière moi et cela ne me plaisait guère . on dira ensuite que les femmes ne sont pas curieuse....

La mienne était à deux pas écoutait le Duc ,une main sur l'épaule de son fils adoptif et ne se doutait de rien pour le moment ,c'est surtout cela qui m'importait .

Il fallait que je me détende ,le plus difficile restait à accomplir.....

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Atolchamb

pour ne pas changer ses bonnes habitudes,atolchamb entra dans le lieu ...encore en retard.
bien entendu les tapis etait toujours monnaie courante mais le jour viendrai ou le jeune seigneur arrivera a pretendre participer a une ceremonie officiel sans avoir besoin de se faire remarquer.
il salua discretement les nobles et gens connue et alla se placer tout aussi discretement dans le coin des promus.

Ninouchka

Citation:

Madame, tout le monde n'est pas présent, mais allez pouvoir inviter les présents à approcher

Et voilà, c'était parti ! Autant elle pouvait se décomposer à l'idée de parler en public ou de se mettre en évidence, autant une fois qu'elle était au pied du mur, elle était capable d'assumer.

Donc, maintenant que les "hostilités" étaient ouvertes, y avait plus à tergiverser, fallait foncer.

Elle se leva, se plaça à la droite de Sa Grâce Keridil d'Amahir, duc d'Orléans, jeta un coup d'oeil sur les colliers qui n'attendaient que d'être portés avec fierté.
Elle parcourut du regard le petit parchemin qu'elle avait entre les mains et elle dut se contrôler pour ne pas rougir de honte. Le voir lui rappelait que la veille, elle avait été jusqu'à déranger les services du Duc afin de savoir dans quel ordre appeler les récipiendaires, alors même que, quelques jours avant, elle avait reçu toutes les instructions nécessaires ... panique quand tu nous tiens !

Elle releva la tête et appela le premier qui était sur la liste. Atol ... un Blésois, devenu Capitaine Royal. Ils se connaissaient bien. Comme elle, il était vassal du duc de Beaugency.

J'appelle à se présenter devant notre Duc, Atolchamb de Riveroy, seigneur de Monçay
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Dame de Talcy

Valeria053

val ne quittait pas des yeux l'homme encapuchonné, elle n'aimait pas çà du tout.
soit un mauvais coup se préparait, soit il espionnait, mais quelquechose la turlupinaitet elle devait en avoir le coeur net.

Discrètement, elle se rapprocha de l'homme, passa près de lui en l'ignorant et se plaça derrière, elle aurai ainsi une meilleur visibilité de la salle.

Mais cette stature lui parlait, elle ne pouvait s'empêcher de penser, elle chassa d'un coup de tête cette idée, mais ne quitta pas pour autant sa surveillance.

Elle découvrirai bien ce que cet homme tramait.

Elle attendit donc la suite de la cérémonie, mais toujours prête à agir si il le fallait

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Keridil

Père...

Il aurait été difficile, presque décalé, de traiter Lexhor, le modèle du Duc d'Orléans, comme un sujet, un vassal, une personne hiérarchiquement inférieure. Heureusement, sa position de Pair de France compensait un peu le malaise, et si trôner quand le Duc d'Alluyes restait debout tenait encore de la bizarrerie, la fierté était grande.
A la Baronne de Brou, l'Amahir fit savoir qu'elle n'était pas si tant retardataire que cela.
Aux autres arrivants, il fit un signe du chef.
A celui qui était sous une capuche, il lança un regard suspicieux.

Enfin, il se pencha vers la Dame de Talcy.

Madame, tout le monde n'est pas présent, mais allez pouvoir inviter les présents à approcher.
Les retardataires passeront en dernier.
Les absents devront se justifier auprès de nous ultérieurement.

Il indiqua du doigt une tablette, sur laquelle étaient déposés des coussins pourpres, sur lesquels reposaient les colliers.
Toutefois, avant que la Rosière avec un "s" (celle avec un "z", c'est Liloute) ne commence son travail, le Duc d'Orléans ouvrit la Cérémonies.

Très Chers sujets, nobles, soldats, serfs, citadins, bienvenue à tous en ces lieux chargés de l'Histoire de notre Duché. Aujourd'hui, certains d'entre vous vont être récompensés de leur investissement, de leur travail, de leur dévouement, et ainsi, ils seront de ceux que l'Histoire de l'Orléanais aura la finesse de retenir.
Nous tenons à féliciter chacun de vous, qui donnez temps, énergie, parfois argent, pour le bien de tous et chacun.

Maintenant, je laisse à la Dame de Talcy, Rosière de cette année, l'honneur d'appeler les récipiendaires, qui approcheront et nous ferons serment de fidélité avant de se voir remettre leur collier de l'Ordre du Porc-Epic des mains de notre chère Commissaire aux Mines.
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Et si tu veux la liberté, l'égalité et la fraternité, va jouer à Tribalistan.

Leanore

L’ordre du Porc Epic elle en avait entendu parler mais ne savait pas trop à quoi cela correspondait. Le duc lui avait expliqué que c’était une distinction que l’on remettait aux personnes méritantes.

Elle voulait donc voir de près à quoi ressemblait la cérémonie de la remise du fameux collier.

Se voulant discrète, elle préféra assister un peu en retrait derrière une des tentures noires qui meublait la pièce. On était encore en deuil royal et les cérémonies se devaient être sobres.

Visiblement, au vu des personnes présentes, ce serait pour la plupart des soldats qui seraient honorés.

L’ost ! Elle respectait les soldats et leur courage mais il fallait l’avouer, elle ne comprenait pas toujours leur choix de vie.
Bien sûr le duché, le royaume devait être protégé. Elle le comprenait fort bien et elle était la première à prendre les armes pour défendre occasionnellement les armes lorsqu'une menace faisait trembler le duché. Mais Léanore pensait souvent, que le jour où il n’y aurait plus de soldats, il n’y aurait plus de guerre faute de combattants bien sûr. Utopie ! Naîveté !

Elle se souvenait encore de ces longues campagnes qui avaient emmené ses amis loin de leur maison, de leur foyer. Comme elle avait prié Aristote pour qu’il veille sur eux, comme elle se languissait de ne plus les voir.
La trève était précaire, la dernière campagne encore présente aux esprits. Mais Léanore avait vécu assez longtemps pour se souvenir des autres, des plus anciennes.

Elle se souvenait avoir organisé une grande fête dans la ville de Patay pour le retour de leurs soldats. Aucun n’était mort, certains étaient blessés mais ils étaient tous revenus. Ils n’avaient même plus la force de faire la fête, et dans les yeux de certains on pouvait lire la lassitude, la tristesse.

Elle jeta un regard circulaire espérant qu’on ne la vit pas trop. Le duc était prêt à les honorer secondé par Ninouchka toujours très élégante même dans son deuil récent.

Elle connaissait quelques personnes mais n’osa pas aller les saluer. Toutes avaient bien mérité cette récompense, ils étaient tous méritants que ce soit dans l’armée, dans des fonctions diplomatiques, économiques ou autre avec des décisions à prendre et des taches difficiles à effectuer où bien souvent on pouvait vite se retrouver seul.
Là encore ses souvenirs ressurgirent pour lui jeter à la tête le visage de cet individu peu scrupuleux qui lui avait donné bien du fil à retordre lors de son premier mandat de maire.
Elle venait juste d’être élue et ce malotru avait trouvé le moyen de perturber la vie paisible de son village en achetant en masse tout ce qu’il trouvait sur le marché, le déstabilisant bien sûr pour ensuite revendre à profit. Elle avait du prendre la dure décision de le faire poursuivre par les tribunaux se faisant quelques ennemis. Il avait finalement quitté la ville sans tambour ni trompette, lui laissant une terrible et profonde blessure qui faisait aussi mal sûrement qu’un coup de sabre.
Elle n’avait pas trouvé l’écoute ni le réconfort auprès d’une personne chère à son cœur et importante dans sa vie. Dans cette période difficile, elle ne s’était ni sentie épaulée, ni conseillée, ni comprise dans ses hésitations, ses scrupules, sa peine, son erreur aussi certainement et elle avait compris qu’il ne fallait donner sa confiance qu’avec prudence et malheureusement bien souvent ne compter que sur soi-même.
Heureusement depuis elle avait rencontré des gens formidables qui se donnaient sans compter et sans rien attendre en retour. Certainement que beaucoup des récipiendaires présents ce soir là étaient fort étonnés de se retrouver en ces lieux.

Les personnes continuaient à arriver et elle commençait à espérer le début de la cérémonie toujours se cachant des regards derrière les tentures.

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Yondolar

Yondolar avait reçu un pigeon.
Un certain Cevanne lui avait envoyé une missive concernant une remise de collier d'un certain ordre: l'Ordre du Porc Epic.
Ne sachant pas vraiment de quoi il s'agissait, n'ayant pas plus de précisions sur la chose et ne connaissant aucunement cette personne, le seul nom qui l'avait interpellé était celui du Duc. Pensant à une erreur de destinataire, le jeune homme avait bien faillit jeter la missive à la cheminée, mais se ravisa et se hâta pour aller à cette fameuse salle du trône.

Le soldat était un peu distrait ces temps-ci, l'OST lui prenait beaucoup d'énergie et il tachait au mieux de gérer les petites affaires de la caserne, d'écrire un ouvrage sur les armes et les techniques d'assauts, préparer la campagne de recrutement, qui n'avait, à son grand désarrois, pas fait grand bruit...Le jeune homme s'était donné tant de mal pour monter cette campagne...

Le temps de la traversée du couloir pour accéder à la salle, le soldat réfléchissait. En fait il était perdu. Il ne connaissait pas le lieu, n'y avait jamais mis les pieds et les murs étaient si chargés en tentures que l'homme ne savait ou accrocher son regard...C'était décidément pas son monde, les grands châteaux emplis d'or et de richesses...

Il croisa un valet qui lui indiqua le chemin à prendre pour accéder à la salle du trône. Il prit la dite direction. Arrivé devant la porte, il ajusta le linceul noir qu'il avait noué autour de sa taille en guise de ceinture, vérifia que ses bottes soient d'une propreté irréprochable, défroissa un peu sa chemise puis, prit une grande inspiration et entra.

Il aperçut plusieurs personnes qui patientaient, dont le Duc, assis sur son trône.

Yondolar balaya du regard la grande salle sombre et moche, pour voir si par tout hasard il ne rencontrerait pas un visage familier.

Il aperçut avec surprise Joshin et Kalimalice. Il sourit à l'idée de savoir qu'il ne serait pas seul dans cet endroit inconnu, avec d'autres gens inconnus, pour une cérémonie dont il ne connaissait pas non plus le but et l'objet...

Il s'approcha de Joshin et la salua.

Joshin

Peu à peu, la salle se remplissait. Des personnes connues, qu'elle revoyait avec plaisir, d'autres qu'elle ne connaissait que de vue, comme la belle épouse de sa Grâce le Duc, un personnage qui semblait se cacher dans un grand manteau...
Elle regardait tout, en essayant de ne pas montrer son intérêt et sa curiosité. Bien sûr, elle avait entendu parler de cet Ordre du Porc-Epic, elle avait parfois eu quelques échos des cérémonies qui accompagnaient les remises de décorations, mais jamais, au grand jamais, elle n'aurait imaginé être là en personne.
Elle se demandait vaguement ce qui lui valait cet honneur. Elle n'était pas très méritante, elle le savait. Elle pensait souvent qu'elle devrait faire plus et mieux pour son Duché, mais elle manquait de courage. A dire vrai, ses efforts se concentraient sur l'Ost. Au point qu'une personne qu'elle considérait jusque là comme sa meilleure amie lui avait un jour reproché assez vivement:
- Ma parole, tu ne parles que de l'Ost!
Comment aurait-il pu en être autrement? Elle y avait trouvé, dans des moments de grande affliction et chagrin, une amitié et un réconfort que personne d'autre ne lui avait prodigués. Rien que pour celà, elle se sentait liée à toutes ces femmes et ces hommes qui étaient comme des soeurs et des frères, dans son coeur.
Elle soupira, se redressa légèrement et attendit.

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Belgarion.

Je sentais des regards sur ma personne .J'aurais moi même été soupçonneux au temps ou ma fonction était de protéger les intérêts orleanais, de voir un individu cacher sa face au regard des autres dans la salle du trône ou tout autre endroit du château.

Enfin j’étais plus ou moins à l’écart et l'attention serait plutôt rivée sur les récipiendaires et le duc .
Que de changement dans le duché depuis mon absence 2 mois seulement et tant d'amis disparut ,un nouveau Duc ,je ne pouvais m’empêcher de sourire intérieurement me souvenant avoir formé kéridil à son premier poste de sergent de la prévôté il avait fait du chemin ....

Une nouvelle voix se fit entendre ,je n’étais pas au bout de mes émotions voila que ma suzeraine faisait son apparition,j'allais aussi avoir surement des explications à lui donner ,elle aussi a du beaucoup s’inquiéter ....
Pourvu qu'elle ne se dirige pas vers moi ,la connaissant ....elle avait l’œil

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Valeria053

val arriva une fois de plus en retard, une petite glissade dans les couloirs du château et la voilà devant la porte, de la salle du trône.
Elle entre, mais est intrigué par un homme encapuchonné, elle le surveillerai de loin, on ne sait jamais.

Votre grasce bonjour, pardonnez mon retard

et val file sassoire tout en surveillant la capuche

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Lexhor

Une cérémonie, une de plus, mais celle-ci était particulière, part sa teneur, d'une part, mais aussi par le temps qu'il avait fallut pour qu'elle finisse par être mise en place.
Les récipiendaires de l'ordre du porc-épic qui n'avaient pas encore reçu officiellement leur décoration se verraient récompenser par le duc d'Orléans.
Le maréchal d'Armes et héraut d'Orléans avait, pour l'occasion, revêtu son tabard.
Il pénétra en la salle du trône et s'inclina pour saluer l'assemblée et se plaça à la gauche de Keridl.

Dieu vous garde messires et mes dames.

Un sourire au duc d'Orléans.

Fils...
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Belgarion.

Le voyage m'avait semblé durer une éternité .La charrette n'était pas confortable mais je n'avais pas d'autre moyen de locomotion le cheval était proscrit dans l'état de faiblesse dans lequel je me trouvais et les moines qui m'avaient recueillit et soigné avaient été bon avec moi en me la proposant.
Deux mois s'était écoulé depuis la grave maladie qui s'était emparée de mon être .Cette blessure infligée en champagne mal soignée ,la fièvre ,cet état de latence deux mois entre la vie et la mort un combat contre moi même sûrement le combat le plus difficile de ma vie ....

Je me souvient brièvement de cette lumière ces voix qui m'appelaient ,cette sensation de bien être ,juste un pas ...la délivrance .

Puis cette image forte,cette femme qui m'implore ,ces bras tendus vers moi ,cette main ganté qui essaie de me saisir avec tant d'énergie ma femme toujours aussi belle ,son sourire ....L'amour
Un regard d'un côté puis de l'autre ...la facilité ou le combat contre cette malignité qui me ronge ... Je ne suis point homme à refuser le combat je saisie cette main ......

J'arrive enfin après trois jours de voyage ,je dois la revoir ,elle me manque, je suis comme un arbre sans racines ,un violon sans cordes ,j'ai besoin de son souffle pour repartir du bon pied.

J'apprends qu'elle va être décorée une nouvelle fois ,je dois me dépêcher ,il faut que je sois présent , ma place est à ses côtés .....

J'ai revêtu un grand manteau ,une capuche me recouvre la tête ,non a cause du froid mais je pense qu'il est plus approprié que ma présence soit discrète Ne serait ce que pour pour Xalta . Je ne savais pas comment j'allais être accueilli rien que cette pensée me perturbait. En aucune manière je ne tenais à détourner l'attention sur moi...

J'étais devant la porte de la salle du trône , trop tard pour reculer.Des personnes entraient... je me glissais parmi elles ,en reconnaissant certaines et file m'assoir dans un coin m'enfonçant dans mon manteau....

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Aigle_blanc

Suite à ses salutations, une dame s'adresse à lui.

Heureux, il répondit :

C'est un sentiment partagé jeune dame.

Dit-il en s'inclinant noblement.

Votre mise rehausse votre beauté naturelle.

C'est un plaisir et un honneur de pouvoir contempler un rayon de soleil en ces jours sombres.

Paix à son âme.

L'Aigle se recueillit humblement.

Keridil

Le Duc, de son trône, avait répondu à chacun des entrants par un hochement du chef, parfois par un mot signifiant le bonjour, d'autres fois par un mouvement du bras, invitant les invités à se relever si leur révérence devait être prolongée.
Lorsque la Dame de Talcy se posta près de lui, l'Amahir fut satisfait de constater que le protocole était respecté, et la gratifia d'un sourire un peu moins convenu que celui qui avait été destiné aux arrivants.

Enfin, la Duchesse d'Orléans fit son entrée, dans ses voiles noires. Eut-elle été brune, l'on l'aurait volontiers prise pour la Duchesse d'Auxerre. Keridil l'observa, traversant l'assemblée.
Il était fier de Della : en toute occasion, elle se montrait une épouse présente et fidèle ; jamais encore elle n'avait causé son embarras, et la voir se conduire en hôte avec les Orléanais le réjouissait. La Bourguignonne avait trouvé sa place parmi ces gens, et elle lui serait d'un appui salutaire.
Lorsqu'elle prit place dans son trône, il lui attrapa la main, et se pencha pour savourer sa prose, qui bien sur, lui tira un sourire.

Tout se passe à merveille, ma Douce. Nous attendons encore quelques récipiendaires. L'Ost est un plus plus loin que la Chambre des Nobles, ce qui explique sans doute leur retard.

Puis, laissant son esprit vagabonder jusqu'à un berceau particulier...

Clément aura votre caractère, il sait ce qu'il désire, et fait tout pour l'obtenir. Cet enfant ira loin.

Fier de l'épouse, fier de l'enfant. Manquait plus qu'à savoir si la réciproque était vraie, et de ce règne, l'Amahir escomptait avant tout ressortir fier de son travail et de son oeuvre.
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Et si tu veux la liberté, l'égalité et la fraternité, va jouer à Tribalistan.

Della

Si elle était venue vivre auprès de son époux, c'était pour l'épauler dans sa nouvelle charge.
Aux yeux du couple Amahir, cela était dans la logique même des événements. Et Della, cette fois, avait laissé sa chère terre de Bourgogne, sans aucun regret.

Pour la cérémonie de la remise de L'Ordre du Porc-Epic, elle accompagnerait donc son époux.
Habillée sobrement, de noir, avec pour seule fioriture, un liseré d'or, elle arrivera très peu de temps après Kéridil, un détour par la chambre de leur fils ayant été indispensable.
L'enfant commençait à faire quelques caprices lorsqu'on le mettait au lit. Seule, la voix de sa mère avait effet d'apaiser les pleurs. Et bien que Della tendait à faire croire qu'elle ne passerait rien à son rejeton, dès qu'on lui annonçait que Clément pleurait...hop, elle disparaissait aussitôt auprès de lui ! Tsss...c'était lui donner là de bien vilaines habitudes à cet enfant...

Elle entra dans la salle du trône où son Aimé trônait avec ce petit air fier qu'elle lui aimait.

Quelques dames étaient déjà arrivées, qu'elle salua avec tout le respect du à leur rang et selon leur précédentes rencontres éventuelles.

Le bonjour, mes dames.
Un enfant, qu'elle identifia comme le fils de dame Xalta était présent aussi.
Le bonjour jeune homme. Lui fit-elle. Je suis heureuse de vous rencontrer.

Après les salutations, elle s'en alla vers le trône où elle se fendit d'une révérence avant que de venir s'asseoir auprès du Duc.
Bonjour, votre Grâce. Un regard tendre plus tard, elle se pencha vers lui : Pardonnez mon retard...Clément était un peu difficile.
Kéridil adorait son fils, unique héritier pour l'heure, Della savait qu'il pardonnerait à son épouse ce petit écart consacré à leur enfant.
Tout se passe-t-il bien, mon Aimé ?
Della découvrait cette cérémonie, pour la première fois, attentive à chaque personne, elle le serait tout autant au déroulé que peut-être, une autre fois, elle revivrait dans des conditions moins sobres, celles-là dictées par le petit deuil de sa Majesté.

EDIT : balises
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Aigle_blanc

L'AIGLE BLANC AVAIT REÇU PIGEON DU DOMAINE DE SA MÈRE PYGARGUE.

Ne faisant ni une ni deux, il avait cravaché sa monture à bride abattue pour ne point être en retard.

Peine perdue.

Par chance, le coche de sa mère était visiblement dans la même situation que lui. Le voyant au loin devant les portes d'Orléans, il décida de le suivre discrètement.

Respect partagé votre Grasce

Dit-il à la suite de sa mère de biais par rapport à lui en une profonde révérence...

Manulechti

Le Seigneur de la Moutonnière arriva au château pour ce grand jour, car grand jour il était question. Pour lui ce fut un des grand moments de sa carrière. La plus haute récompense du Duché que cet Ordre du Porc-Epic.
Il marqua le moment devant le nouveau Duc d'un salut, puis alla dire bonjour à ces ami(e)s.

Bonjour mesdames, j’espère que vous allez bien.
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Joshin

Le jour était venu, et elle se rendit à la cérémonie, comme l'en avait prié le courrier reçu. Elle n'avait pris qu'une ceinture de deuil, suivant en celà les directives du courrier, et celà lui convenait bien, finalement. Car elle avait le coeur gros, et se sentait un peu triste aussi. Il était difficile d'être seule en de telles circonstances. Comme toujours, elle était aussi très intimidée. C'était si inattendu...
Elle salua sa Grâce le Duc en s'inclinant puis se hâta d'aller retrouver les personnes présentes.
Heureusement, il n'y avait là que des personnes qu'elle appréciait et elle les salua avec chaleur. Elle demanda à Dame Aegidia des nouvelles de sa filleule, embrassa Ninou avec beaucoup d'affection, salua dame Alienor en l'assurant qu'elle avait plaisir à la rencontrer , et vit avec plaisir que sa Dame Kalimalice se portait mieux, malgré les soucis qu'elle avait eus récemment, et qui l'avaient beaucoup affectée.
Elle se tint près d'elles, un peu en retrait, et attendit.

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Xalta

Elle avait baptisé ce matin galdros dans la plus stricte intimité. Elle était si fière du jeune homme, puis se souvenant de l'invitation reçue la veille, elle s’apprêta rapidement, échangeant sa tenue cléricale contre une robe claire , couleur du deuil puis elle ceint à sa taille une ceinture noire qui rehausse le ton gris perle de sa tenue. Pour une fois elle a ramené ses cheveux en un chignon strict, elle porte col fermé qui cache la cicatrice à la base de son cou. Puis elle prend la route pour Orléans en carosse qui roule rapidement, elle espère ne pas être en retard.

Arrivée devant le château ducal, elle tourne la tête à droite et à gauche, elle cherche des yeux son fils qui l'accompagne partout, mais elle ne sait s'il a reçu son pigeon comme n'ayant pas eu de réponse. Peut-être est-il déjà sur les routes. Son coeur se serre à cette éventualité, elle s'inquiète de le savoir sur les routes même s'il n'est pas seul. Donc elle irait seule à cette cérémonie, puisque son époux ne lui donnait plus signe de vie depuis deux longs mois. Seule , sauf si son fils la rattrapait en cours de route. Elle se dirige vers la salle du trône, elle inspire profondément puis entre, elle salue en premier le duc d'une révérence révérencieuse.

Votre Grasce
Tout mon respect.

Puis elle s'éloigne et salue chacune des personnes qui sont là et pour qui elle a beaucoup d'estime. D'ailleurs que des femmes et dire qu'une croyance populaire dit que les femmes ne sont jamais à l'heure.

Alienor28

Alienor avait avait reçu une missive lui demandant de se présenter en salle du trône. Elle s'y présenta donc avec les vêtements qu'elle portait pour les gardes sur les remparts et qu'elle venait juste de quitter après sa dernière ronde.
C'était donc vêtue de braies et de bottes noires avec une chemise blanche scindée d'une écharpe noire de deuil qu'elle fit son entrée.

Elle s'inclina devant le Duc puis fit un sourire à sa marraine

bonjour vostre Grasce

Elle se retourna ensuite pour saluer Kali et Aegidia déjà présentes
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Kalimalice

Elle fut suivit par une dame bien connu, Ninouchka l’épouse de feu son filleule.

Du coup kali s’empressa de la saluer et rougit un peu gêner

Bonjour Ninouchka .Je suis heureuse de vous rencontrer j’ai manqué ses derniers temps à tout mes devoirs .Je n’ai pas pu me déplacer pour accompagner Pépin vers sa dernière demeure .Peut être n’en avais je pas envie .J’ai accompagné déjà son père, alors encore un être cher qui part c’était peut être un de trop.

Puis elle se déplaça se mit sur le côté ne sachant si elle devait rester debout ou s’asseoir

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Kali,marie ,Liselotte de Cheroy d'Austrasie
Marechale de France

Aegidia

Dame Aegidia Dame de Chêne-Arnoult et de Jouy Le Potier, chef de l'armée de l'Ost "Fortis et Fidelis", entrât d'un pas martial dans la salle du trône dont les portes étaient grandes ouvertes .

Elle avait juste rajoutée à sa tenue une ceinture noire pour marquer le deuil de la Reyne .

Elle fit la révérence devant le duc régnant, qui était le parrain de sa petite Orléane ;il avait bien changé ,plus rien à voir avec le jeune homme timide qu'elle avait connu .

Bonjour Votre Grâce

Puis une révérence à la grande Maréchale Dame Kalimalice , et une autre à Dame Ninouchka.

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Ninouchka

Elle était songeuse ce matin-là la dame de Talcy ... songeuse et triste. Il aurait été si fier d'elle si il avait encore été là ... mais voilà, c'était seule qu'elle se rendrait à cette cérémonie.

Elle s'apprêta avec soin. Même si elle portait toujours le deuil de son époux, il n'était pas question pour elle de se laisser aller.

Elle avait été élevée selon des principes très stricts, parfois trop ! On lui avait inculqué quelques règles pour régir ses rapports avec les autres, dont l'une était de toujours se présenter à son avantage en signe de respect pour ceux qu'on croisait.

Une fois prête, plus ou moins satisfaite de l'image que lui renvoyait son miroir, elle quitta sa maison pour rejoindre Orléans.

Arriver devant les lourdes portes de la Salle du Trône ne posait plus problème. Se les faire ouvrir par le valet de pied non plus.

Elle marqua un temps d'arrêt en voyant que la lumière ne régnait plus en maître, que la décoration était empreinte des couleurs du deuil.

Le duc Keridil était déjà là, la duchesse de Cheroy aussi. Elle se dirigea vers eux.

Elle fit la révérence devant le duc régnant

Bonjour Votre Grâce

Puis elle en fit autant devant la duchesse, se permettant un petit aparté

Bonjour Votre Grâce, j'espère de tout coeur que vous vous portez bien

Enfin, elle prit place non loin du duc d'Amahir afin de pouvoir le seconder comme il lui avait fait l'honneur de lui demander.
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Dame de Talcy

Kalimalice

[Dans les couloirs du château]

La duchesse ,la baronne ,la dame ,la Cheroy ,la d’Austrasie bref en gros la kali ,la guerrière avait reçu invitation du duc nouvellement élu ,le tout apporter par un certain Serafin Anatole de Volvent surement un membre de la famille de son épouse .
Ces derniers temps on l’avait pas trop vu la Cheroy .les nausées, la contrariété du départ de son époux bref pas la grande forme .Mais elle n’était pas femme à se laisser abattre .Apres un passage à la chambre de la noblesse .Elle prit direction de la salle du trône répondant à l’invitation faite.

De noir vêtue portant le deuil de la reyne de France .Mais pas comme une femme, mais bien comme une guerrière Braies et cuissarde le tout avec une chemise blanche .Ayant laissé son arme au garde du château elle s’avançait bottes claquant sur le sol.
Quand une voix forte se fit entendre

Ouvrez les portes, et qu'entre qui voudra bien entrer.

[dans la salle du trône ]

Et bien elle ne se fit pas prier la guerrière et passa la porte, avançant devant le trône.
Courbant la tête devant sa grâce, un petit sourie moqueur sur les lèvres

Votre grâce, vos désirs sont des ordres .Donc me voici.
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Kali,marie ,Liselotte de Cheroy d'Austrasie
Marechale de France

Keridil

[Appartements (de fonction) du Duc d'Orléans, Château d'Orléans]

C'est moche ici. Très moche, d'un goût tout à fait douteux. Ne me dites pas que ce sont toujours les tentures qu'a connues la Sainte ? Bigre.
C'est pour cela que je ne dors pas ici les soirs.

Non, Keridil d'Amahir n'est pas gaga, il ne parle pas seul. Il s'adresse à un valet de chambre, qui d'ailleurs, n'est pas le sien. Cela lui déplaît fort, puisqu'il n'aime guère être bousculé. Toutefois, ce jour étant celui où il remettra les colliers du Porc-Epic à leurs récipiendaires, il n'a pas franchement eu le temps de faire des manières.
Vêtu de velours noir, toujours en deuil, mais s'étant fait broder les armes orléanaises sur le poitrail, le Duc est paré pour une cérémonie "pondérée", comme le lui avait suggéré le Grand Chambellan de France.
Et c'est parti.

[Salle du Trône]

La traversée des couloirs avait été aisée, quoi qu'encore peu assurée, puisque l'Amahir, qui découvrait encore chaque jour de nouvelles salles et de nouvelles portes dérobées au sein du Châtelet ducal, avait tout de même pris l'habitude de se rendre en salle du Trône, ne fut-ce que pour savourer le confort dudit trône.
Arrivé dans ladite Salle, le voilà qui soupire. Oubli malheureux, la garde ducale n'est pas encore formée. Dieu merci, la plupart des honorés du jour sont soldats, aussi sera-t-il exempt d'inquiétude quant à sa sécurité.
Laissant sa canne frapper le dallage, Keridil avance jusqu'à son fauteuil, dans lequel il se laisse choir, savourant avec un dégoût non camouflé la décoration. Le Petit Deuil Royal exigeant une solennité parfaite, et des couleurs, de préférence, sombres, la pénombre a tout pour frustrer le Duc en mal d'optimisme.
Bah ! L'affaire sera vite réglée, et d'ailleurs, elle n'avait que trop attendu.
Ce jour, l'on donnerait juste récompense à ceux qui s'étaient largement investis pour leurs terres natales ou d'adoption. Seul point regrettable : ces méritants attendaient leur heure depuis le règne du Duc Aurae. Trop longtemps.

Ouvrez les portes, et qu'entre qui voudra bien entrer.
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Et si tu veux la liberté, l'égalité et la fraternité, va jouer à Tribalistan.

Nobleserviteur

Noble avait reçu tardivement l'annonce de la cérémonie, sal... de pigeon, il va finir à la broche celui-là. Il entra alors en essayant de ne pas troubler la cérémonie, puis il se mit assis et commença à suivre les évènements.
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Kalimalice

La remise du collier, maintenant qu’elle était bien installée grâce au jeune fils de d Dame Exaltation Lablanche d'Abancourt. Son ventre pesait beaucoup moins .Avec un réel plaisir elle voyait les soldats avancer un a un, un peu étonné qu’ils étaient .Eux les bien souvent oublié que du coup ils arrivèrent même en retard .Ce qui la fit sourire .Fort heureusement sur les champs de bataille ils étaient à l’heure.

Puis ce fut le tour de la noblesse d’être élevée au rang supérieur .La première fut La dame de Tronchay mise à l’honneur pour son assiduité constante dans le duche .
Une fois les éloges et le serment fait Ninouchka appela la nominé suivante .Cette fois c’était son tour.

Elle se leva et s’avança à son tour vers le duc.

Un sourire à Ninou .Une espèce de révérence à son duc .Ben oui déjà qu’elle n’aimait pas cela la révérence, avec son ventre c’était un peu gênant. Il lui fut plus facile de mettre un genou à terre. Mais bon il ne lui en tiendrait pas rigueur le sieur de Montpipeau .

Votre grâce
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Kali,marie ,Liselotte de Cheroy d'Austrasie
Marechale de France

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[RP] Cérémonie de l'Ordre du Porc-Epic