Eliane_
Achetée dès son jeune âge pour servir, Naelys était alors à létat brut. Arrogante, prétentieuse, flemmarde, ce sont là les mots qui la qualifiaient le mieux. Elle trainait la patte, soufflait, prenait son temps et elle navait de cesse de contester les ordres. Un comportement qui agaçait Eliane à lépoque, un comportement quelle rêvait déjà de corriger. Et pourtant sa grande bouche savait lui plaire. Elle était ainsi insoumise mais servile et, lovée dans les bras de Sambre, sa tante, sa première femme, Eliane la scrutait déjà. Brune imprudente aux perles insouciantes et rêveuses qui déambulaient sans se soucier de son destin.
Quelques années plus tard, quelques changements de plus apportés à sa personnalité, Eliane pu enfin soccuper personnellement de cette servante. Le couvent lavait résolument changée, faisant naître en elle une cruauté et un sadisme qui nétait alors quimmature et insignifiant. Cette dévotion, elle lobtient au prix fort. Une stratégie écurante et machiavélique qui ne surprit pas son frère mais qui marqua à jamais lesprit de Naelys. Elle était ainsi offerte mais réfléchit. Libre de ses paroles mais impuissante face à ses maux. Elle subissait sans sen rendre compte, manipulée sans culpabilité par sa Maîtresse. Cette dernière lui avait à nouveau, imposé limpossible en se servant delle comme monnaie déchange pour lobtention de ses herbes. Prête à loffrir, prête à ce quà nouveau son corps soit marqué par lirrespect et le besoin dun mâle.
Et pourtant, Naelys était là, allongée dans sa couche, posée à moitié nue contre elle. La scène parait irréelle. Eliane caresse sa joue alors que son visage repose dans le creux de son épaule. Sa main libre est lovée sur le ventre délicat de sa servante.
Une amante ? Pas réellement. Eliane nétait jamais allée plus loin quune caresse, plus loin quun étreinte ou quun baiser déposé sur les sienne.
Une esclave ? Non, elle désirait conserver son caractère, cette grande bouche comme elle laime à lappeler. Naelys sait louvrir, sait répondre et sait dire non. Libre à sa Maîtresse de respecter son "non" ou de la guider machiavéliquement vers un "oui".
Servante ? Pas totalement. Cest une limite difficile à cerner dailleurs. Où sarrête la servitude et où commence lesclavagisme ? Cette question, elle se la pose justement, alors quelle tire la couverture sur le buste de Naelys. Elle lui a pris sa virginité, avec brutalité. Elle lui a pris mainte fois sa dignité et pourtant Elle est tel un souffre-douleur, telle une entité quelle aime à contrôler totalement et quelle désire sienne. Car là est la nuance, là est la raison dune telle attention, dune telle exclusivité.
La blonde sest attachée à cette imprudente, éprouvant malgré elle une jalousie certaine quand une autre personne vient à la toucher. Elle veille, surveille cette femme qui a souffert malgré elle, qui a su lui offrir des jouissances malsaines et purement intellectuelle.
Eliane désire ainsi voir en Naelys, une femme forte et pleine de potentielle. La lecture, lécriture, la culture et la maîtrise, autant de chose quelle lui apprend pour enrichir son esprit et la rendre toutefois plus autonome. Quant à sa famille, cest une promesse Elle laidera dans sa quête. Alors pourquoi tant de cruauté envers une femme quelle désire et protège ?
Qui aime bien châtie bien ? Cest peut être ça. A moins quEliane ne soit simplement habituée à détruire tout ce quelle touche, à posséder tout ce quelle désire avoir. Naelys fait les frais de ce sadisme, sustente la nature perfide de cette Maîtresse et ce, avec un courage sans faille. Elle est sienne, cest un fait, et pourtant, elle ne la possède pas Elle nose pas.
Tendant le bras, elle attrape la gourde deau qui repose sur la table de chevet et elle senvoie une bonne rasade. Les herbes lui assèchent la gorge. Elle redresse doucement léchine, veillant à reposer délicatement la tête de Naelys sur lun des coussins. Ses iris sombres la lorgnent. Chevelure brune, volage qui lui barre le visage, une mèche glissée entre ses lèvres, prisonnières. Des seins fermes, parfaitement dessinés à la cime rosée et dressée par le froid. Cest une esquisse sensuelle qui se dessine sous ses yeux et quelle refuse de souiller. Si elle doit linitier Elle le fera sous sa demande, mais certainement pas de force
Eliane mordille sa lèvre inférieure et versant quelques gouttes deau dans sa paume, elle vient humidifier son visage, sa nuque et le haut de son buste. Lair frais se pose, saccroche et sa chair frissonne, séveille...Il est lheure de réveiller la Dévouée
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Quelques années plus tard, quelques changements de plus apportés à sa personnalité, Eliane pu enfin soccuper personnellement de cette servante. Le couvent lavait résolument changée, faisant naître en elle une cruauté et un sadisme qui nétait alors quimmature et insignifiant. Cette dévotion, elle lobtient au prix fort. Une stratégie écurante et machiavélique qui ne surprit pas son frère mais qui marqua à jamais lesprit de Naelys. Elle était ainsi offerte mais réfléchit. Libre de ses paroles mais impuissante face à ses maux. Elle subissait sans sen rendre compte, manipulée sans culpabilité par sa Maîtresse. Cette dernière lui avait à nouveau, imposé limpossible en se servant delle comme monnaie déchange pour lobtention de ses herbes. Prête à loffrir, prête à ce quà nouveau son corps soit marqué par lirrespect et le besoin dun mâle.
Et pourtant, Naelys était là, allongée dans sa couche, posée à moitié nue contre elle. La scène parait irréelle. Eliane caresse sa joue alors que son visage repose dans le creux de son épaule. Sa main libre est lovée sur le ventre délicat de sa servante.
Une amante ? Pas réellement. Eliane nétait jamais allée plus loin quune caresse, plus loin quun étreinte ou quun baiser déposé sur les sienne.
Une esclave ? Non, elle désirait conserver son caractère, cette grande bouche comme elle laime à lappeler. Naelys sait louvrir, sait répondre et sait dire non. Libre à sa Maîtresse de respecter son "non" ou de la guider machiavéliquement vers un "oui".
Servante ? Pas totalement. Cest une limite difficile à cerner dailleurs. Où sarrête la servitude et où commence lesclavagisme ? Cette question, elle se la pose justement, alors quelle tire la couverture sur le buste de Naelys. Elle lui a pris sa virginité, avec brutalité. Elle lui a pris mainte fois sa dignité et pourtant Elle est tel un souffre-douleur, telle une entité quelle aime à contrôler totalement et quelle désire sienne. Car là est la nuance, là est la raison dune telle attention, dune telle exclusivité.
La blonde sest attachée à cette imprudente, éprouvant malgré elle une jalousie certaine quand une autre personne vient à la toucher. Elle veille, surveille cette femme qui a souffert malgré elle, qui a su lui offrir des jouissances malsaines et purement intellectuelle.
Eliane désire ainsi voir en Naelys, une femme forte et pleine de potentielle. La lecture, lécriture, la culture et la maîtrise, autant de chose quelle lui apprend pour enrichir son esprit et la rendre toutefois plus autonome. Quant à sa famille, cest une promesse Elle laidera dans sa quête. Alors pourquoi tant de cruauté envers une femme quelle désire et protège ?
Qui aime bien châtie bien ? Cest peut être ça. A moins quEliane ne soit simplement habituée à détruire tout ce quelle touche, à posséder tout ce quelle désire avoir. Naelys fait les frais de ce sadisme, sustente la nature perfide de cette Maîtresse et ce, avec un courage sans faille. Elle est sienne, cest un fait, et pourtant, elle ne la possède pas Elle nose pas.
Tendant le bras, elle attrape la gourde deau qui repose sur la table de chevet et elle senvoie une bonne rasade. Les herbes lui assèchent la gorge. Elle redresse doucement léchine, veillant à reposer délicatement la tête de Naelys sur lun des coussins. Ses iris sombres la lorgnent. Chevelure brune, volage qui lui barre le visage, une mèche glissée entre ses lèvres, prisonnières. Des seins fermes, parfaitement dessinés à la cime rosée et dressée par le froid. Cest une esquisse sensuelle qui se dessine sous ses yeux et quelle refuse de souiller. Si elle doit linitier Elle le fera sous sa demande, mais certainement pas de force
Eliane mordille sa lèvre inférieure et versant quelques gouttes deau dans sa paume, elle vient humidifier son visage, sa nuque et le haut de son buste. Lair frais se pose, saccroche et sa chair frissonne, séveille...Il est lheure de réveiller la Dévouée
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