Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 10, 11, 12, ..., 16, 17, 18   >   >>

[RP]On repousse....on repousse et un jour ....

Al1, incarné par Ysabeau


Al releva la tête, les yeux pleins de larmes

Moi Monseigneur

Il m'est bien difficile de parler


Merci mon ami Saintsir pour ce que tu as fait, pour ton amitié surtout, pour l'ami fidèle que tu es, pour toutes les valeurs que tu représentent, merci mon ami

Dame Ysabeau, je ne sais comment vous remercier, je vous connais si peu mais vos courriers m'ont tant aidé, si seulement il existait plus de gens comme vous et vos amis en ce monde


Max

Al le serra dans ses bras, sanglotant

Beli tenait tant à toi, tu faisais partie de notre vie Max
Je voulais juste la rendre heureuse
Je voulais tant la rendre heureuse
Je n'ai fait que la tuer
Je n'ai su que la tuer
Jamais je n'aurai du venir ici, elle serait en vie,
Je l'ai tuée Max


Al sortit ensuite un parchemin de sa poche, le froid contact sur son avant bras de la première lame forgée par son épouse lui donna un semblant de réconfort
Kika, incarné par Ysabeau


Le pire moment de la vie reste la mort. La mort de proches bien entendu. Oui, puisque la sienne,de fait, on s'en fou un peu.

Beli était une amie. Al aussi, forcément. Un faisait l'autre. Indissociables ils etaient.

Kika arrivé bien apres la foule reunie, se tient à l'ecart.
Il a trop peur d'affronter la detresse d'Al. Trop peur d'être secoué en public.Sa capuche lui servant de rempart face aux regards possible.


A Dieu Beli.

Fallait de toute façon y être dans cette cathedrale...fallait dire au revoir à son amie.
Al1, incarné par Ysabeau


Al releva la tête, les yeux pleins de larmes

Moi Monseigneur

Il m'est bien difficile de parler


Merci mon ami Saintsir pour ce que tu as fait, pour ton amitié surtout, pour l'ami fidèle que tu es, pour toutes les valeurs que tu représentent, merci mon ami

Dame Ysabeau, je ne sais comment vous remercier, je vous connais si peu mais vos courriers m'ont tant aidé, si seulement il existait plus de gens comme vous et vos amis en ce monde


Max

Al le serra dans ses bras, sanglotant

Beli tenait tant à toi, tu faisais partie de notre vie Max
Je voulais juste la rendre heureuse
Je voulais tant la rendre heureuse
Je n'ai fait que la tuer
Je n'ai su que la tuer
Jamais je n'aurai du venir ici, elle serait en vie,
Je l'ai tuée Max


Al sortit ensuite un parchemin de sa poche, le froid contact sur son avant bras de la première lame forgée par son épouse lui donna un semblant de réconfort
Kika, incarné par Ysabeau



Le pire moment de la vie reste la mort. La mort de proches bien entendu. Oui, puisque la sienne,de fait, on s'en fou un peu.

Beli était une amie. Al aussi, forcément. Un faisait l'autre. Indissociables ils etaient.

Kika arrivé bien apres la foule reunie, se tient à l'ecart.
Il a trop peur d'affronter la detresse d'Al. Trop peur d'être secoué en public.Sa capuche lui servant de rempart face aux regards possible.


A Dieu Beli.

Fallait de toute façon y être dans cette cathedrale...fallait dire au revoir à son amie.
Al1, incarné par Ysabeau


Al se décida enfin, il devait le faire mais sa gorge était nouée, il avait trouvé ce parchemin en rangeant quelques affaires de son épouse, le lire l'avait tant fait souffrir et il devait recommencer

Mes amis, voila quelques mots laissés par mon épouse, ainsi qu'elle l'a souhaité je me dois de vous les lire

La voix emplie d'émotion Al débuta

""A mon époux , mon Max et mes amis
Si vous prenez connaissance de ce mot c'est que je ne serais plus ...
Je sais le chagrin et la peine que l'on eprouve lorsque l'on perd un être cher ou proche
Mais ne soyez pas triste , réjouissez vous pour moi car je suis près de Lui , notre Très Haut !
Ma vie ne fut surement pas exemplaire, mais je me suis efforcée de donner le meilleur de moi même , dans tout ce que j'ai entreprit , hélas je n'y suis pas toujours arrivée .

Une chose est sure c'est que pour moi l'Amitié et l'Amour etaient deux choses indispensables à ma vie .
J'ai constamment mit cette amitié au dessus de tout , de tout parti pris , de toute difference religieuse , politique , physique ...
Pour moi il ne pouvait y avoir que du respect envers les êtres humains , je me suis souvent fourvoyée , mais je n'ai jamais regretté cette façon d'être !
Merci à tous, sincerement , pour votre amitié et votre affection

L'amour etait aussi indispensable à ma vie que l'air que je respirait , j'ai eu deux hommes merveilleux pour combler et pour m'insuffler cet amour ...
L'un etait une amitié si puissante et si importante , l'autre un amour sincere et entier ..
Ils etaient complementaires , je n'aurai pu concevoir la vie sans eux , je pense qu'ils le savaient et ont fait en sorte que tout se passe bien.
Nous avons vécus tous trois une amitié sincere , forte , complice ,tendre et joyeuse !
Merci à vous deux pour ce chemin du bonheur que nous avons empruntés ensembles

Mon amour , mon Max , je veux que vous soyez forts et qu'ensembles vous affrontiez ces années à venir sans penser tristement à moi , je serais toujours là près de vous , à chaque instant , dans chaque souffle de vent ... Je vous protegerai à jamais
Votre Beli pour toujours ""


Al repris les yeux emplis de larmes

Sachez que Beli vous a toujours aimé, tous, avec vos qualités mais aussi vos défauts, c'était une femme exceptionnelle, pleine de bonté et de générosité, une épouse merveilleuse
Elle ne méritait pas ça
Ysabeau
Ysabeau sentit les larmes lui monter aux yeux en écoutant Al lire la missive de sa défunte épouse. Non, elle ne méritait pas ça.
Quel dommage qu'elle n'ait pu faire connaissance, la rencontrer... Nul doute que la navigation avec elle aurait été plaisante aventure.
Beli était vivante, elle n'en doutait pas. Auprès d'Aristote et de Chrestos, au Paradis Solaire d'où elle veillait sur eux, sur son époux, son ami Max.
Beli ne voulait pas que l'on pleure. Elle essuya discrètement la larme qui coulait sur sa joue, et, comme pour elle-même, se murmura une très ancienne prière, celle-là même qu'elle avait lu aux funérailles de son amie, sa très chère amie, Icefly, voilà bien longtemps.


Ne pleure pas si tu m’aimes.

La mort n’est rien
Je suis seulement passé de l’autre côté
Je suis moi-Tu es toi
Ce que nous étions l’un pour l’autre,
Nous le sommes toujours.
Donne-moi le nom
Que tu m’as toujours donné.
Parle-moi comme tu l’as toujours fait.
N’emploie pas un ton différent.
Ne prends pas un air solennel ou triste.
Continue à rire de ce qui
Nous faisait rire ensemble…
Prie, souris, pense à moi,
Prie avec moi.
Que mon nom soit prononcé à la
Maison comme il l’a toujours été.
Sans emphase d’aucune sorte,
Sans une trace d’ombre.

La vie signifie toujours
Ce qu’elle a toujours signifié.
Elle est ce qu’elle a toujours été.
Le fil n’est pas coupé.
Pourquoi serai-je hors de ta pensée ?
Simplement
Parce que je suis hors de ta vue ?

Je ne suis pas loin,
Juste de l’autre côté du chemin…
Tu vois, tout est bien…
Tu retrouveras mon cœur,
Tu en retrouveras les tendresses
Épurées.

Essuie tes larmes
Et ne pleure pas si tu m’aimes.

(d'après Saint Augustin)
_________________
baronne de Sury sur Léré
Clealan, incarné par Ysabeau
Cependant, à Arles, à l'auberge...



Les jours passaient doucement mais surement, Ilan allait un peu mieux mais il devait encore être soigné, cela ne servait à rien de rester enfermé à se morfondre, de plus il devait commencait sérieusement s'occuper de la préparation du mariage, il avait reçu l'accord de Son enimence avec un soulagement certain.


Il sortit de la chambre qui avait un sérieux besoin d'être aérée, et chercha ses amis.


Il aperçut Ysa;


Hey Ysa! ....


La bisouillant affectueusement,

On va voir si on trouve un peu ces fameux flamands roses? J'ai besoin de me dégourdir les jambes!
Ilan, incarné par Ysabeau
... et au monastère où Ilan est soigné



allonger sur le dessus d'un lit encore tout mouillé, les cheveux bouclés eux aussi trempés, une nonne qui lui mettait une lange, assez difficilement vu que le petit homme gigotait en tous sens, ses gazouillis s'élevé.

Mamamama....
AAAAHHHHH
Papapapapa.....
Aheu


il s'essayait a tout les son, il adorait ça et encore plus quand son interlocuteur se mettait a l'imitait et les nonnes étaient très forte a son jeu.
pourtant même si il était chouchouté ici, sa famille lui manqué, l'odeur de sa mère et de son père, e son de la voix de tata et tonton, les rires des frères et soeurs.
il fixa la nonne qui continuait de l'habiller, un jolie vêtement quelle avait elle même cousue, des mini braies pile a sa taille d'un bleu très pâle, une mini chemise assortie et une tout minuscule paire de chausse au pied pour finir l'habillage.
et le voila prêt a faire sa sortie, enfin pas tout a fait, une des nonnes tentait de mettre de l'ordre dans ses boucles qui inlassablement revenait dans le même état d’emmêlement, sa tignasse était rebelle a tout traitement du peigne.
quand la nonne se décida a abandonner et a le prendre dans ses bras, lui ne peu que s'accrocher a sa longue robe noir, chantant ses sons a tue tête, pourtant quand il vit qu'elle franchissait les portes de monastères sur les rues de la ville, il ne dit plus rien, il se contenta de regarder dans tous les sens, a la recherche de ceux qu'ils aimaient tant.
un bon quart d'heure de marche, avant qu'ils ne se retrouvent tout les deux devant l'entré d'une taverne, la religieuse hésita un moment avant d'entrer, elle avait remué les lèvres avant d'entré, une prière demandant pardon.
elle parla a la propriétaire du lieu qui lui indiqua l'étage, la nonne la remercia avant de se diriger vers les marches, les montant doucement une a une, en haut elle s'avança lentement regardant chaque chiffre sur la porte, avant de s'arrêté net devant l'un d'eux.
il senti le bras de la nonne le serrer un peu plus, lui l'observé pendant quelle levait sa main libre, elle allait toqué sur la porte quand il se mit a pousser ses sons.


Mamamamama
Papapapapa


il s'agitait de plus en plus, chantant encore et encore ses sons, la nonnes le tenant dans son bras et qui toqua quelques coups a la porte de la chambre.
Max, incarné par Ysabeau
Retour à la cathédrale d'Aix, cérémonie pour Belissende



Max avait entendu la voix de son Ami Al
Mais c'était les mots de Beli qu'il venait d'écouter pour la dernière fois
Cette pensée était insoutenable et il devait faire un effort surhumain pour garder les yeux secs.
Il serra si violemement le bras de Al à ses côtés que celui ci fit un mouvement de retrait.
Il s'excusa par un signe de tête.
Richelieu1, incarné par Ysabeau


Le Cardinal prit ensuite la corbeille de fruits.



Belissende, nous déposons ces présent sur ton cercueil, signe de notre amitié, signe de notre prière, signe de notre cœur.


Cette cérémonie nous rappelle plusieurs choses mes amis :

- Le souvenir d'une Amie aristotélicienne qui vient de nous quitter. D'une femme profondément bienveillante, gentille et sincère. Elle avait sans nul doute compris le sens de la vie, l'Amour. Elle a vécu cet amour avec sa famille, avec ses amis et avec Dieu.

Nous voici nombreux ce jour, au chœur de Saint Maximin, autour d'elle, pour prendre conscience de ce lien d'amour qui l'a toujours uni à Dieu, qui unit Dieu à chacun de nous, en tout instant.

- La mort viendra pour chacun de nous. Pour les uns tôt, pour les autres plus tard. Pour les uns dans leur jeunesse, pour d'autres dans leur vieillesse.

Le Seigneur nous prévient : "Soyez prêts, soyez toujours prêts car vous ne savez ni le jour ni l'heure"

Aristote nous a guidé et Christos nous invite à prendre exemple sur lui, à trouver notre joie à vivre pour les autres, à aimer comme ils nous ont aimés.

Notre présence ici est prière. Nous invoquons Aristote qu’il mesure les péchés de notre soeur et que Christos intercède auprès du seigneur pour qu’il le reçoive en son Paradis Solaire et Éternel.


Le Cardinal tendit ses paumes vers le haut et récita une prière qui serait repris par les fidèles, du moins l'espérait-il.



Christos a souffert et est mort sur la croix
Toute sa vie il nous a donné
Pour qu'avec la divine vérité
Ainsi nous soit montrée la voie

Pour toujours souvenons-nous
De ce sacrifice qui était loin d'être un rien
Ensemble, unis, Aristotéliciens
Pour diffuser sa foi, notre foi, unissons-nous

La mémoire du prophète ainsi préservée
Les enseignements seront diffusés, perpétués
Et la vérité sera connue de tous les fils
Du Très-Haut, père de la création
Souvenons-nous, croyons

AMEN
Saintsir, Nathy, incarné par Ysabeau


Christos a souffert et est mort sur la croix
Toute sa vie il nous a donné
Pour qu'avec la divine vérité
Ainsi nous soit montrée la voie

Pour toujours souvenons-nous
De ce sacrifice qui était loin d'être un rien
Ensemble, unis, Aristotéliciens
Pour diffuser sa foi, notre foi, unissons-nous

La mémoire du prophète ainsi préservée
Les enseignements seront diffusés, perpétués
Et la vérité sera connue de tous les fils
Du Très-Haut, père de la création
Souvenons-nous, croyons

AMEN




Christos a souffert et est mort sur la croix
Toute sa vie il nous a donné
Pour qu'avec la divine vérité
Ainsi nous soit montrée la voie

Pour toujours souvenons-nous
De ce sacrifice qui était loin d'être un rien
Ensemble, unis, Aristotéliciens
Pour diffuser sa foi, notre foi, unissons-nous

La mémoire du prophète ainsi préservée
Les enseignements seront diffusés, perpétués
Et la vérité sera connue de tous les fils
Du Très-Haut, père de la création
Souvenons-nous, croyons

AMEN
Ysabeau
Ysabeau suivait la cérémonie avec une émotion non dissimulée.
Le rite de la corbeille de fruits... Les mots pour parler encore de tout ce que Belissende représentait pour les amis qui étaient là.
Puis la prière... avant le dernier adieu.
Elle se joignit à tous et récita, les yeux fermés...


Christos a souffert et est mort sur la croix
Toute sa vie il nous a donné
Pour qu'avec la divine vérité
Ainsi nous soit montrée la voie

Pour toujours souvenons-nous
De ce sacrifice qui était loin d'être un rien
Ensemble, unis, Aristotéliciens
Pour diffuser sa foi, notre foi, unissons-nous

La mémoire du prophète ainsi préservée
Les enseignements seront diffusés, perpétués
Et la vérité sera connue de tous les fils
Du Très-Haut, père de la création
Souvenons-nous, croyons

_________________
baronne de Sury sur Léré
les garnements, incarné par Clealan
Les jours se suivant mais ne se resemblant pas , cette fois l'église était le lieu d'un moment de joie, un mariage attendu et murement réfléchi,


Elles arrivèrent les bras chargés de fleurs, de la lavande, quelques arums, avec soin et applications elle disposèrent les fleurs , un bouquet d'arum sur l'autel, et des petits bouquets de lavande mélée d'arum attachés à change rangée de bancs. Elles faisaient leur petit travail avec amour, pour leurs parents..;aujoud'hui...ils allaient se marier, leur mère était nerveuse depuis le matin et leur père avait disparu dans la chambre, avec pour but de trouver dans les malles sa tenue, il avait demandé à Clodulf de l'aider. Donc, elles, Gabrielle et Lyla, étaient parties cueillir des fleurs pour faire une belle surprise aux mariés. Un fois la décoration terminée , elles déposèrent un joli bouquet de mariée juste à l'entrée , Maman n'auait plus qu'à le prendre le moment venu.


Heureuses d'avoir accompli leur idée, elles rentrèrent vite à l'auberge pour mettre leurs beaux habits.
Ysabeau, incarné par Clealan
Enfin, ils avaient obtenu l'autorisation nécessaire. Enfin, Aryan et Clealan allaient pouvoir se marier Res Parendo. Oh, ils étaient déjà époux In Gratibus, avaient vu leur union couronnée par la venue d'enfantelets, mais ils tenaient à le faire aussi Res Parendo...
Ysabeau, fort heureusement, avait emporté dans ses malles quelques tenues de cérémonie. Elle était témoin de la mariée, il s'agissait de lui faire honneur.
A l'auberge, elle fit toilette, et revêtit sa robe vert pâle, qui mettait ses yeux en valeur, se coiffa soigneusement, mit quelques gouttes d'un frais parfum derrière ses oreilles et sur ses poignets.
Puis, ainsi parée, se rendit à la cathédrale d'Arles.


Elle entra. La cathédrale était agréablement décorée de bouquets de lavande et d'arum. Elle reconnut là la "patte" des filles de Clealan, sourit.
Point encore de mariés, point encore d'évêque. Ouf, elle n'était pas en retard.
Elle s'assit juste devant l'autel, à la place réservée aux témoins, et attendit.
drak, incarné par Clealan
Les choses se bousculaient en ce début d'été. A peine avait-il célébré le baptême de Bellabs, la fille de sa marraine Ledzeppelin, sans doute la femme la plus titrée de Provence, qu'il galoppait vers Arles pour le mariage de Messire Clealan des Charmilles
à la cathédrale d'Arles.
La cathédrale avait été magnifiquement décorée et les fleurs toutes fraîches parfumaient l'air.



L'archevesque entra dans la cathédrale et prépara sur la crédence, à côté de l'autel, le registre de mariage d'Arles, ainsi que le certificat qu'il remettrait à la fin de la célébration.

Avant de se rendre à la sacristie pour revêtir ses ornements liturgiques, il fit sonner les cloches.

Quelques instants plus tard il était à l'entrée de l'église, prêt à accueillir les témoins, les amis, la famille et le fiancé, la fiancée faisant son entrée en dernier.


C'est à ce moment qu'il remarqua Ysabeau qui attendait discrètement sur un banc l'arrivée des invités et le début de la cérémonie.



Bonjour gente dame. Je suis l'archevêque d'Arles, le célébrant de ce mariage. Etes-vous parente des fiancés ?
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 10, 11, 12, ..., 16, 17, 18   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)