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[RP]On repousse....on repousse et un jour ....

Kalaha, incarné par Ysabeau


Kalaha pleurait en entrant dans la Cathédrale. Elle n'arrivait pas à se décider à ranger les affaires de Béli à l'Université, elle avait parfois l'impression d'entendre sa voix comme un doux murmure d'ange, de la sentir là. Il fallait l'avouer: elle l'attendait encore.

Le tableau de Béli qui brillait des mille petites flammes des bougies qui l'encadraient l'obligeait à affronter la réalité de la perte

Elle essaya de ressaisir, pas pour elle, pour Al, pour qu'il puisse la sentir comme un baton sur lequel s'appuyer. Il était déjà bien entouré, mais il n'y avait personne de trop dans ces situations.

Elle s'approcha de l'époux, lui prit les mains dans les siennes, les yeux baissés pour cacher sa faiblesse et se mit en retrait pour se laisser aller à son chagrin sans témoin




Al regardait tous leurs amis arriver, des amis qu'il avait tous connu grace à son épouse, il y avait tant de peine dans leurs regards, tant de larmes, tant de gentillesse dans leurs paroles.
Son coeur s'alourdissait encore, tant de douleur, tant d'incompréhension, tant de questions en lui
Alberto, incarné par Ysabeau


Alberto arrivait en bonne compagnie à la cérémonie en l’honneur de Belissende. La Comtesse de Fontvieille et sa Comtesse lui faisaient l’honneur de l’accompagner. Tout comme Nathy, Alberto n’aimait pas ces cérémonies qui rappelaient à chacun la triste réalité de la fin.

Il s’avançait doucement laissant ces dames passer devant lui, puis quand vint son tour il salua chaleureusement

Al1... Je suis de tout cœur avec vous, si vous avez besoin de quoi que ce soit, n’hésitez pas. Je sais que votre épouse était ue grande femme très respectée et très aimée, c’est une grande perte pour la Provence et pour la liberté. Puisse t’elle prendre soin de nous depuis le ciel.
Ysabeau
Clealan avait prévenu Ysabeau qu'une cérémonie du souvenir se déroulerait à la cathédrale, pour rappeler la mémoire de Belissende, pour permettre au capitaine Al de célébrer une dernière fois son épouse.
Elle avait été fort occupée, mais elle tenait à s'y rendre. Elle serait un peu en retard, tant pis. L'important était d'être là pour soutenir Al dans sa peine immense.
Elle revêtit donc une robe discrète, d'une couleur un peu sombre, et se rendit à la cathédrale dans un coche.
Elle pressait le cocher, Aix n'était certes pas très loin d'Arles, mais il fallait faire vite...
Le coche traversa la plaine camarguaise, Ysabeau en profita pour admirer le paysage, les envols de flamands roses, la course des chevaux blancs dans les marais salants...
Et ouf ! il s'arrêta devant la cathédrale alors que le glas sonnait encore.
Ourf ! elle n'était pas trop en retard.
Elle donna une bourse au cocher et sans plus attendre, entra dans la cathédrale.
Un beau portrait de la défunte était disposé devant l'autel. Belissende semblait sourire.
Des amis étaient là, elle reconnut Max, avec qui elle avait discuté en taverne, et Clealan.
Elle lui fit un sourire, lui demandant de réserver la place à côté de lui sur le banc, et s'avança vers Al pour le saluer. Dans son élan, elle le prit même dans ses bras et l'embrassa. Puis rougit de sa témérité.



Capitaine Al... Pardon pour cette effusion... Je suis là, je suis venue pour célébrer votre défunte épouse.

Elle regarda le tableau éclairé par les bougies, sentit le parfum des roses qui le décoraient, et...

Elle était belle, votre Belissende. Je regrette fort de ne point l'avoir connue. Nul doute qu'une croisière en votre compagnie à tous deux eût été un grand plaisir pour les voyageurs que nous sommes.
Je compatis à votre peine, capitaine. Je suis certaine que Belissende est maintenant au Paradis solaire, et qu'elle nous regarde et nous protège...

Elle se tut, émue.
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baronne de Sury sur Léré
Kwik, incarné par Ysabeau


Kwik entra dans la cathédrale.

Il n'aimait pas ce genre de rassemblement. D'habitude, tout le monde est si joyeux... mais là... comment l'être en de telles circonstances.

Il avait la gorge nouée.

Il s'approcha d'Al et posa sa main sur son épaule.


Mon ami. Si tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas.

Puis il fit un pas en arrière pour se mettre en retrait.
Sabdel, incarné par Ysabeau


C'est accompagnée d'une profonde tristesse que Sabdel arriva au rythme lent et lugubre des tintements du glas. Le coeur et le pied lourds, elle pénétra dans la cathédrale, vêtue d'une robe que volontairement, elle n'avait pas voulue noire. Sab détestait le noir. Et si elle s'était décidée à venir ici, c'était pour se souvenir et rendre hommage à la femme toujours gaie qu'était Béli, et non à un corps inerte emprisonné dans un cercueil. Elle avait donc opté pour une robe lila, couleur de printemps et de vie.
Ce qui ne l'empêchait pas d'avoir le sang glacé, ni les yeux qui picotaient.

Ses yeux se posèrent d'emblée sur le portrait de Béli. Elle s'en approcha, le contempla un petit moment avant de le toucher du bout des doigts et de lui sourire, comme si Béli la voyait. Et elle pensait bien que Béli la voyait.

Elle se retourna ensuite sur Al1 et lui fit une chaleureuse accolade.

Courage Al, je sais que ton chagrin est immense et légitime. Mais je ne suis pas convaincue que Béli aurait aimé te voir accablé. Elle était de celles qui vont de l'avant. Efforce-toi d'être celui qu'elle aurait voulu que tu sois, comme tu l'as toujours été d'ailleurs.

Elle alla ensuite prendre place dans le fond de la cathédrale pour y suivre la cérémonie qui allait débuter. Chemin faisant, elle salua d'un signe de tête et gratifia d'un sourire toute les personnes qu'elle connaissait : le Comte et la Comtesse, la Marquise, Federer, Miss, Franck, Ysabeau et bien d'autres encore, mais sans vraiment les voir toutefois ...dans sa tête défilaient les moments de complicité qu'elle avait partagé avec Béli, leurs fous rires et des bribes de conversations aussi. Tous gravés à jamais dans sa mémoire.

Elle s'installa, refoula ses pensées et se concentra en attendant le début de l'homélie qui ne saurait plus tarder.
Ysabeau
Ysabeau salua Sab, qu'elle avait rencontrée à plusieurs reprises à l'auberge où elle résidait avec son cher Oxytan et la famille de Clealan.
Puis elle alla s'asseoir près de son ami, lui fit une discrète bise, et, attentive, attendit le début de la cérémonie.
Belissende avait l'air de sourire à l'assemblée, la lumière des cierges éclairait son visage qui semblait vivant. Comme si elle était là.

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baronne de Sury sur Léré
Al1, incarné par Ysabeau


Al était touché par toute cette affection, tous ces mots de réconfort et par la présence de toutes ces personnes qui lui prouvait, s'il en était vraiment besoin, combien son épouse était aimée.
Il répondait tant bien que mal à chacun en cachant du mieux qu'il pouvait sa détresse mais chaque seconde qui passait lui serrait un peu plus le coeur
Chaque accolade le réchauffait un instant avant qu'il ne retombe aussitôt dans ce monde glacial qui était devenu le sien
Guilhem, incarné par Ysabeau


Une silhouette encapuchonnée d'une grande cape blanche se profila à l'entrée, franchissant à son tour le parvis de la cathédrale, déposant son bouclier à côté de celui de Sant Esteban les Orgès tandis que deux gardes veillaient à l'extérieur.

Enlevant son capuchon, Guilhem regarda vers l'intérieur de la nef, au loin,
pris une longue inspiration mélancolique, puis fut rejoint par Ysabelle, et avancèrent dans la nef, sa main gauche tenant la main droite de son épousée.

S'étant rapprochés auprès d'Al1, il posa sa main droite sur une des épaules de ce dernier,
le regardant avec compassion, ne pouvant dire mot ...
un regard en disait long, plus que des paroles, comprenant sa peine ...

Après, tout en silence, il s'éloigna d'un pas, saluant respectueusement l'officiant d'un hochement de tête, ainsi que tous ceux dont leur regard croiserai le leur,
il alla s'assoir, avec Ysabelle, trouvant quelque place collatérale de libre à mi chemin entre l'entrée et le jubé.
Ginetdom, Max, incarné par Ysabeau


Ginetdom entra dans la cathédrale et salua les personnes présentes. Elle se dirigea vers Al et lui posa la main sur le bras

Al, je partage ta tristesse et ton chagrin


Puis elle se mit en retrait la gorge nouée par l'émotion



Toutes ces personnes défilant devant Al en témoignage de leurs soutiens, formaient un hommage poignant.
Il connaissait la plupart d'entre eux et il était facile de voir à quel point ils étaient atteints par ce vide laissé.
Max s'approcha discrètement du Cardinal et lui glissa un mot à voix basse.


Votre Eminence, je souhaiterais dire quelques mots pendant la cérémonie, pouvez vous me faire signe au moment opportun ?
Clealan, incarné par Ysabeau


Il laissa Ysa aller réconforter Al1, il n'était guère doué dans ce genre d'exerice, mais compatissais de tout coeur, il s'approcha de l'autel où un portrait de la défunte était exposé , prit un cierge et l'alluma...

Que le Seigneur accueille cette ame ...avec bienveillance , une ame rappelée trop tôt...

Il reprit sa place et pria.
Richelieu1, incarné par Ysabeau


Le Cardinal rejoignit le parvis, où le cercueil était alors déposé. Ceci fait, il leva les bras au Ciel, et psalmodia :

Après tous nos regards qui ont croisé le sien, qu’il puisse enfin voir le tien, Tout-Puissant.
Et l'assemblée de répondre :
Seigneur ne détourne pas ton regard de notre amie.

Après l’amitié qu’il a reçu et qui a guidé sa vie, accorde lui l’amitié ultime qu’et la tienne, Tout-Puissant.
A nouveau, les présents murmurèrent :
Seigneur ne détourne pas ton regard de notre amie.

Après les peines et les larmes qui ont obscurci sa vie, illumine sa route pour l’éternité.
Les présents dirent alors, en réponse à la déclaration d'Aymé :
Seigneur ne détourne pas ton regard de notre amie.

Toi qui n'est qu'Amour, nous tournons vers toi nos espoirs à l’heure où disparaît le corps de l’ami qui nous est cher.
Accorde-nous l’espérance de le revoir auprès de Toi pour les siècles des siècles.

Amen



Le Cardinal de Sabran fit fermer les lourdes portes en chêne, et déposa une corbeille de fruit à l'entrée de l'édifice. Elle servirait à déposer d'éventuels dons pour les mendiants.

Mes biens chers frères, mes biens chères sœurs, mes amis.

Nous sommes réunis en ce triste matin d'hiver dans notre belle cathédrale pour dire Aurevoir à l'une des nôtres.

Belissende nous a quittée, lâchement assassinée dans des circonstances peu glorieuses. Partie rencontrée le Très Haut afin que son âme soit jugée il ne fait nul doute quelle rejoindras le soleil.
Nul doute en effet que ce Paradis Solaire lui fût grand ouvert, vu la grandeur de son âme.

Nous allons donc ce matin, saluer cette femme sa vie, ses actes. Lui souhaiter un bon voyage par delà la vie terrestre. Nous sommes également là pour sa famille et ses proches. Nous sommes là encore pour nous tous, pour guérir la communauté des fidèles de cette blessure.


[i]Pendant le discours, deux enfants de chœur avait disposé tout autour du cercueil de belles fleurs blanches. L'on aurait dit que la caisse était naturellement déposé dans un jardin.

Ludovi avait prononcé ces paroles avec beaucoup d'émotion. Sa voix restait encore nette même si son ton était alourdit par la peine.


Avant toute chose il fit un signe afin que l'orgue résonne.

Je vais maintenant procéder à la disposition des quatre signe de notre foi. Je vous demanderais de vous lever et de respecter un moment de silence.


Six grands cierges étaient disposés autour du cercueil. Chacun reposait sur un bougeoir en or. Le prélat se munit d'une flamme et fit le tour de la défunte, allumant calmement chacun des cierges.

Il psalmodia haut et fort :




L'amitié est la lumière du monde. C'est la flamme qui réchauffe notre cœur. Qu'elle éclaire maintenant la route de belissende qui la conduit maintenant au royaume du Très Haut notre Dieu.


Un jeune enfant de chœur emmena ensuite une grande croix à Ludovi. Celui ci la déposa sur le sarcophage.



Belissende, nous déposons cette croix aristotélicienne sur ton cercueil.
Cette croix est le signe qui relie Aristote et Christos, qu'elle soit pour toi signe de salut et de vie éternelle.


Une corbeille de l'amitié avait circulé dans l'assistance afin que chacun puisse y mettre quelque chose si il le souhaitait. Que ce soit un fruit ou encore un objet plus personnel. Cette corbeille fut ensuite déposée près du cercueil.

La parole fut ensuite donnée à Al1.
Al1, incarné par Ysabeau


Al tentait bien de suivre la cérémonie mais il s'éloignait de plus en plus ce monde ou il n'avait plus rien à faire
Ses yeux se fermaient
Son coeur saignait
Quel importance ?

Il avait entendu Max faire sa requête et quand le Cardinal lui donna la parole il se tourna vers son ami


Je te laisse la parole mon Max, je suis certain qu'elle t'écoute, qu'elle nous écoute, et nous regarde
Max, incarné par Ysabeau


Max sur l'invitation de Al, se présenta devant l'autel.

Al mon Ami,
Me voilà en ce jour si sombre, partageant ta douleur,
Partager quel verbe étrange, la douleur ne se partage pas
Je crois même qu'elle s'additionne, mais je crois pouvoir te dire que j'éprouve un déchirement comparable au tien.

Je ne suis pourtant que son ami, mais cette femme est admirable, quand je l'ai connu, j'étais au bord du gouffre, je venais de perdre l'être que je chérissais le plus, c'est Belissende qui m'a redonné goût à la vie, c'est elle qui avec sa bonté d'âme et son amour m'a permis de redresser la tête et d'affronter à nouveau la vie en face.

J'ai vécu avec Beli une histoire magnifique.
Puis tu es arrivé mon Al, tu es entrée petit à petit dans sa vie, nous avons connu dès ce moment là une grande histoire tous les trois, faite d'amusement de tendre rigolade, d'agacement quelques fois, nous vivions des jours heureux dans notre village.

Un jour, elle a eu envie de construire quelque chose de plus concret et elle t'a choisi toi pour époux, sans doute étais-tu le plus équilibré de nous deux.


Il s'arrêta un instant et tenta un sourire en direction de son Ami,
sourire qui se transforma en une triste grimace.
Il reprit, la voix moins sure.


Je n'ai pas pu venir à ton mariage Al
Je sais que tu m'en as voulu et tu n'as peut être pas mesuré
Mes vrais sentiments pour elle.
J'ai eu peur de moi-même, j'étais en colère et malade de jalousie.

J'ai d'abord cru que je l'avais perdu pour toujours, mais en fait non
notre complicité a survécu à cette union, mieux encore
Al, tu es devenu un Ami
Ami, qu'en ce jour effroyable, je veux soutenir et être à tes côtes pour t'aider à traverser cette terrible épreuve.

Bien que tu n'aie aucun doute sur ce dernier point que je voudrais aborder, j'ai envie et besoin de le crier fort.
Malgré cette Amitié passionnée que nous éprouvions l'un pour l'autre, jamais Beli n'a enfreint le serment qu'elle t'a fait devant Aristote.

Mais si tu me le permets Al je veux dire au revoir à Beli.

Adieu ma Belissende, je t'aime.
Ysabeau
La cérémonie commençait enfin. Le cardinal avait fait fermer les portes de la cathédrale, et invitait l'assemblée à la prière. Prière pour le repos de l'âme immortelle de Belissende.
Ysabeau écoutait, attentive. L'émotion était palpable.
Elle était certaine que l'âme de la défunte était là, avec eux tous, qu'elle protégeait et protégerait son époux inconsolable.
Elle n'était pas de la famille, n'avait jamais rencontré la jeune femme. Mais elle avait sympathisé avec son époux, qui aurait dû les accueillir à bord de l'Indomptable, elle et son époux, Clealan et Ary, et leur famille.
Elle se leva lorsque le Cardinal alluma les cierges.
Une corbeille passa dans les rangs, elle y déposa une fleur et quelques écus.
Le capitaine Al fut appelé pour parler de sa défunte épouse... Mais visiblement il était trop ému, et ce fut son ami Max qui prit la parole.
Elle écouta l'histoire de leur amitié, une belle histoire, avec ses joies et ses souffrances. La vie...
Elle eut un léger sourire.
Puis, lorsque Max eut rejoint sa place, elle se leva pour dire quelques mots
Rejoignit l'autel où le portrait de Belissende semblait sourire.


Al... capitaine Al... Je n'ai pas eu l'honneur de connaître votre épouse. Je ne suis qu'une voyageuse que vous aviez aimablement invitée à bord de l'Indomptable. Mon époux et moi-même, nos amis étaient ravis et heureux de la perspective de découvrir la vie en mer sur votre navire.
Hélas, une lâche attaque vous a privé de votre bateau, et plus encore hélas, de votre chère épouse.
Je comprends votre désarroi, votre peine immense, l'impression que vous n'avez plus rien à faire sur cette terre où Beli n'est plus.
J'aurais aimé la rencontrer.
Tout ce que je puis vous dire, Al, c'est que je crois profondément que, là où elle est, là où son esprit, son âme est, elle pense à vous, veille sur vous.
Ce sont pauvres mots. Je ne sais s'ils vous aideront.
Sachez aussi que mon époux, mes amis et moi-même sommes de tout coeur avec vous dans cette affreuse épreuve.


Elle se tut, lui fit un petit sourire, et rejoignit sa place. Avait-elle le droit de parler ? Elle ne le savait, mais les mots lui étaient sortis du coeur.
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baronne de Sury sur Léré
Saintsir, Richelieu, incarné par Ysabeau


Saintsir écoutait avec tristesse ses amis, il ne pouvait s'empêche de pensé a ce foutu whisky qui l'avait éloigne de Provence.
S'il n'était pas partis il aurait pu intervenir plus tôt avec le FORCALQUIER car la cible premiere étaient Saintsir et Brutal, mais
ne les trouvent pas ils s'en sont lâchement pris a ses amis qui avaient rejoint la confrérie peu de temps avant.
Un sentiment de rage que rien n'a pu effacé, ni la vengeance, ni la destruction du Hells Star One...

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http://forum.lesroyaumes.com/images/avatars/14039889294ebbffa6f127b.png[/img]

Le Cardinal reprit la parole pour inviter chacun le désirant à s'exprimer.
Quelqu'un d'autre veut il la parole ?
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