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[RP] Bureau du Maire, depots des lois de decrets.

--Spy.news
Bien des gens avaient dans un ultime espoir d’expression essayé en vain d’écrire et relater fait ce trouvant en territoire Toulousain.
Hélas les différences d’idée ou de partit prit au final altéraient le jugement de tous de manière bien étrange.
Aussi ce matin, décidé il s’en alla se présenter en mairie de Castres. Quelqu’un voulait enfin montrer au peuple ce qui ce passait et partout.
Commencer a la taille d’une petite ville pourquoi pas.

A voir si la critique bien que aisée soit appréciée a juste valeur.

Le maire de la ville de castres semblait rechercher un journaliste. Un journal cela prenait du temps et pour mériter le nom de journal il en fallait écrire de longue et ennuyantes pages pour la plupart du temps.
Page que quiconque les liraient avec attention au final se rendrait compte de la fausseté des choses. Des « Oh comme vous êtes parfais et blablabla «.

Un journal de critique ou chaque chose serai commenter a sa juste valeur en espérant ne point ce prendre procès dans ce monde de fou.

C’est avançant un vieux vélin utiliser surement une fois de trop annonçant la recherche d’une personne pouvant écrire papier régulier et annoncer nouvelles de la ville que le maire avait envoyé a tous son village il y a quelques temps de cela.

Trainant des pieds, le regard user de par son âge avancer, une cadence qui en disait long sur l’homme qui vêtu simplement pour cet offre d’emploi plutôt que d’en montrer trop. Apres tout vêtu d’apparat impossible de ce mêler au peuple de toute manière ce genre de frusque ne l’intéressait absolument pas.

Levant son bras devant porte, il faillit faire demi-tour mais âpres tout pourquoi pas.

Son bout de parchemin pour preuve de son minuscule talent d’écriture a proposer serrer entre ses doigts qui pour cause de chaleur élever commencer a faire couler encre sur ses doigts.
Un haussement d’épaule au final ca lui permettra de manger un peu plus de pain en sa soupe qui s’éclaircirait au fil des jours.


Toc,toc,toc.


Las de ce dire que ce soir ne sera peut être pas son jour de fête surtout pour son estomac il attendit réponse du maire de la ville.
Jaccot
Du bruit derrière la porte, puis la raisonnance distincte émise par un doigt, ou un poing, qui frappait-là. Jaccot releva la tête du tonneau qu'il gardait toujours disponible à proximité, dans son bureau, pour les jours, toujours plus nombreux semblait-il, où il n'avait pas le temps de se rendre en taverne. Il s'essuya le visage d'un vieux drap sale avant d'aller ouvrir pour saluer le nouvel arrivant.

La porte grinça un peu sur ses gonds, laissant apparaître un homme en sueur agrippant un parchemin avec une fermeté telle que l'on eût cru que sa vie en dépendait. Jaccot esquissa un sourire en s'écartant de l'ouverture.


Ben l'bon'jour mon bon m'sieur. Qu'est-ce qui vous amène céans ?

Il l'invita à entrer d'un geste chaleureux de la main.

Mais j'vous vois tout en sueur, entrez donc, fait plus frais dedans, pis j'ai un tonneau d'bonne bière pas trop tiède que vous m'en direz des nouvelles.

Il lui indiqua un banc près d'une petite table, dans un coin, avant d'aller chercher une nouvelle chope dans un buffet, de récupérer la sienne sur son bureau et de les plonger toutes deux dans le tonneau afin de les remplir. Il revint ensuite s'asseoir sur l'un des deux tabourets qui côtoyaient la table là où le banc n'était pas avant de poser les chopines entre les deux hommes, le regard posé sur son interlocuteur, attendant d'en savoir plus.
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Etre fort, c'est être ouvert. C'est la peur qui mène au rejet de l'autre...
--Spy.news
Un homme avec un drôle d'air le maire a n'en point douter bien qu'il ne soit point adepte de ce genre de monde.

Vu la tête de celui ci surement devait il se reposer. Au final il entra marchant doucement, la fraicheur de la pièce lui faisant du bien sur son visage pale peut habituer a la chaleur.

Reprenant sa respiration, le regard fatiguer il se présenta de sa voix rauque.

Bonjour messire.

Se raclant la gorge pour cause de la chaleur. Faisant un hochement de tête afin d'accepter l'offre pour le breuvage au final peu de mots suffisait pour dire merci et accepter a boire.

Sa venu hum surement plein de question posée lui qui n'aimait point trop parler surtout écrire. Enfin le minimum suffira pour le moment.


Je suis William, mais d'où je viens exactement bien que cela ne soit pas intéressant on me surnomme Spy.news.


Montrant le vélin devenu presque torchon ou l'annonce du maire cherchant journaliste ou autre.


Vous cherchez quelqu'un pour écrire?

--Spy.news
Un homme avec un drôle d'air le maire a n'en point douter bien qu'il ne soit point adepte de ce genre de monde.

Vu la tête de celui ci surement devait il se reposer. Au final il entra marchant doucement, la fraicheur de la pièce lui faisant du bien sur son visage pale peut habituer a la chaleur.

Reprenant sa respiration, le regard fatiguer il se présenta de sa voix rauque.

Bonjour messire.

Se raclant la gorge pour cause de la chaleur. Faisant un hochement de tête afin d'accepter l'offre pour le breuvage au final peu de mots suffisait pour dire merci et accepter a boire.

Sa venu hum surement plein de question posée lui qui n'aimait point trop parler surtout écrire. Enfin le minimum suffira pour le moment.


Je suis William, mais d'où je viens exactement bien que cela ne soit pas intéressant on me surnomme Spy.news.


Montrant le vélin devenu presque torchon ou l'annonce du maire cherchant journaliste ou autre.


Vous cherchez quelqu'un pour écrire?

Jaccot
Le maire se saisit du vélin et un large sourire illumina son visage alors qu'il reconnut le message qu'il avait envoyé à la population. Un chroniqueur... et un qui semblait venir de loin pour ça, en plus ! Mais conviendrait-il pour la gazette locale ? Il détourna son attention du parchemin pour ramener son regard sur ce "spy.news" qui lui faisait face.

William, vous dites ? S'pas un nom d'ici, ça, vous v'nez d'loin ?

Il marqua une petite pause.

Désolé si j'vous semb' intrusif, mais si on cherche ben quelqu'un pour rédiger not' gazette locale, ici, c'est surtout des potins qu'on raconte, des ragots. On est loin d'l'animation des grands centres ousque la guerre fait rage et les r'ligions s'entredéchirent et chais pas ben si not' simple vie paysanne peut r'vêtir un intérêt pour vous. Enfin, si vous souhaitez vous installer, sûr qu'on va vous faire bon accueil, pis quelqu'un ac' du talent pour écrire, par ici, c't'une chose rare !

Son regard affichait un léger amusement tandis qu'il continuait.

Z'allez vous faire des admiratrices, vous savez ?
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--Spy.news
Spy écoutait consciencieusement chaque mot prononcer du maire. Il avait raison sur un point en venant ici. Un journal non, une gazette assurément. Un seul soucis les potins en halles des gens allant et venant sur les places de la ville racontant commérage et ragot aucun soucis pour lui. Il avait eu l'habitude de son époque de jeune chroniqueur a être partout. Mais les tavernes. Des lieux pour la plupart de perdition ou vice et autre ce retrouvaient en un seul et même point.

Les femmes de tout age se réunissant parlant et maudissant sur tout et rien se plaignant la plupart du temps de ne point avoir quelqu'un en leur couche pour s'occuper d'elle une fois la nuit tombée.

Grimaçant quelque peu au mots femme, il ne put retenir un mot.

Horreur.

Se reprenant.


Navres je n'ai rien contre les femmes disons que dans mon pays elles ont leurs manières et ici elles en ont d'autres et je n'ai point encore habitude a cela.

Je suis d'origine anglaise de la province anglaise du Wiltshire plus précisément de la ville d'Oxford. D'où mon nom qui peut vous sembler quelque peu étrange Messire Maire.

Jaccot
L'homme en face de lui semblait doté de réactions étranges. Un léger silence avait suivi les derniers mots du maire, comme si le chroniqueur était perdu dans ses pensées avant sa réaction horrifiée. Un homme quelque peu excentrique, probablement. En même temps, il était anglois ce qui, forcément, expliquait beaucoup de choses.

Et ben, messire William d'Oxford,

Un certain dédain dût se faire perceptible dans sa voix tandis qu'il prononçait ce nom : sa méfiance paysanne lui faisait tout naturellement associer la distance, l'étranger et ce qu'il connaissait de plus distant et étranger en ces terres : les nobles. Loin de tout, la tête rivée dans leur château et, pourtant, un avis sur chaque situation et une solution à proposer à tous les pseudo-problèmes qu'ils s'inventaient et dont ils étaient finalement la seule cause.

Le teint blafard de l'anglais le conforta dans cette idée : profondément incompatible avec le travail au champ, même dans un pays aussi éloigné du soleil que du Très Haut que la lointaine Albion. Celui-ci devait s'être mis dans les problèmes jusqu'au cou pour venir ainsi déambuler en occitan, vêtu de sueur et disputant son bout de pain avec le premier bourgmestre venu.


S't'un ben long ch'min qui vous a mené jusqu'à nous, dites donc. Qu'est-ce que vous v'nez chercher en toulousain ? C'est quand même pas pour coucher nos menus potins sur papiers qu'vous avez quitté vot' pays pour débarquer ici, j'imagine, et comme vous pouvez l'remarquer, j'aime moi-même à savoir c'qu'anime la vie d'mon village. Allons, racontez-moi donc vot' histoire et nous verrons si quelque chose peut êt' fait à vot' propos car j'vous l'ai dit, nous cherchons un chroniqueur, et chuis tout prêt à vous prend', mais c'est pas sûr que l'poste convienne à quelqu'un comme vous.

Il termina son propos en saisissant le gobelet posé devant lui pour l'amener à sa bouche et le vider en une seule longue gorgée puis, tout en le tenant toujours à la main, il se leva en invitant l'étranger à lui fournir le sien afin qu'il les re-remplisse. Manifestement, la conversation semblait partie pour durer et l'alcool aidait toujours à délier les langues.
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Etre fort, c'est être ouvert. C'est la peur qui mène au rejet de l'autre...
Neyco
La miss biscuit on lui avait toujours dit qu'un jour il serai bien que armée se mêle plus aux civils. Aussi après avoir réfléchit autant que possible en tant d'alerte et en temps que future maman, idée avait fusée simplement. D'ailleurs elle se demandait grandement pourquoi ne pas y avoir penser plus tôt. En ayant bien des choses a dire au final faisant plusieurs pierre en un coup, la miss biscuit fila traversant ville pour arriver en mairie. Oh elle ne venait point souvent voir jamais, mais la c'était pour la bonne cause.

Montant marche, elle arriva devant poste.


Toc toc toc. M'sieur Jaccot? Z'etes la?
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Merki JD Riri ^^
Jaccot
Le Jaccot était souvent là. Trop souvent à son goût, même, depuis que sa douce avait refait apparition en ville. Aujourd'hui, il avait un problème de blé, quoi que, en y réfléchissant, c'était plutôt un problème de meuniers... pourquoi ne voulaient-ils pas travailler à prix honnête ? Enfin, la question serait bientôt résolue. Une petite voix derrière la porte :

Citation:
Toc toc toc. M'sieur Jaccot? Z'etes la?


Dame Neyco ? Oui, oui, chuis là !

Il se précipita pour lui ouvrir, l'invitant à s'asseoir sur un fauteuil en entrant.

Qu'est-ce que j'peux faire pour vous ? Une tisane ? Des biscuits ? J'crois qu'la gamine m'en a laissés quelques uns... attendez-voir.

Il se mit à farfouiller dans les placards de la pièce.
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Etre fort, c'est être ouvert. C'est la peur qui mène au rejet de l'autre...
Neyco
A peine une demande de faite que Jaccot apparut.

Bonjorn a vous mon ami, je vous remercie.

Entrant et acceptant le siège elle répondit.

Biscuit oui je vous en remercie. La gamine? Vous avez une petite fille M'sieur Jaccot? Rho même pas que vous m'le dites.

Riant grandement.

Mais je vous en prie mon ami asseyez vous allez vous êtes trop en activité. Après la mairie il vous faudra repos, repos, repos.

Enfin je viens ce jour pour bien des choses.

Une animation faisant un lien entre nos habitants et nos militaires. Une récoltes de noisette en notre belle foret.
Faisant récolte pour en avoir suffisamment pour l'année et confectionner biscuit pour notre armée et notre bonne ville pour des petits repas en notre salle des fêtes.


Reprenant respiration.


Ensuite j'ai un soucis j'ai énormément de mais en ma grange et je vous avoue en avoir un peu trop accumulée ne voulant envahir le marche au final je me retrouve bloquer quelque peu.

Sinon que votre hache sera prête bientôt.


Souriante grandement elle se dit pit'etre trop d'info pour le coup.
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Merki JD Riri ^^
Jaccot
Jaccot arrêta de farfouiller dans les placards pour se retourner.

La gamine ? Oh, c'est pas la mienne, 'savez... Une ch'tiote d'quat' ans, ou presque, orpheline... vive comme le vent, aussi, pas moyen d'met' la main d'ssus mais j'crois qu'a dort que'qu'part dans la mairie... L'a dû trouver toutes mes caches, depuis l'temps. Pour ça qu'j'ai plus d'alcool par ici... z'imaginez ? Quat' ans... a s'rait capab' de s'noyer d'dans...

Il haussa les épaules.

Enfin, les biscuits, y en a pus, en tout cas... 'Vouliez m'parler ?

Il s'assit en face d'elle pour écouter ce qu'elle avait à dire.

Citation:
Une animation faisant un lien entre nos habitants et nos militaires. Une récoltes de noisette en notre belle foret.
Faisant récolte pour en avoir suffisamment pour l'année et confectionner biscuit pour notre armée et notre bonne ville pour des petits repas en notre salle des fêtes.

Hmm... une collecte de noisettes, vous dites ? Les soldats particip'raient ? Et pis pour la confection, 'pensez pouvoir gérer la chose ? J'sais qu'vous êtes spécialiste, hein, mais nous aut', pour la plupart, niveau cuisine, on est plutôt des bras cassés... mais s't'une bonne idée, en fait. Faut voir comment qu'on pourrait organiser ça... ça doit êt' jouable, et pis, c'est la saison. Faudrait juste pas que l'coms passe chasser un cerf pendant qu'nous aut' on s'baisse pour prend' des noisettes, risquerait d'nous tomber d'ssus, mal montés comme on est... p'têt y faudra qu'j'y en parle avant d'lancer la chose, histoire d'êt' sûr qu'il ira chasser ailleurs c'jour-là...

Toujours trop enthousiaste, toujours trop rapide, le Jaccot profita de la préoccupation suivante de la forgeronne pour reprendre son souffle lui-aussi.

Citation:
Ensuite j'ai un soucis j'ai énormément de mais en ma grange et je vous avoue en avoir un peu trop accumulée ne voulant envahir le marche au final je me retrouve bloquer quelque peu.

Sinon que votre hache sera prête bientôt.


Il prit une profonde inspiration : on touchait là le coeur du problème...

Ben... S'avez, dame Neyco, ac les soucis pour la sécurité, dernièrement, j'ai... pas été brillant... niveau finances. Pis avec l'blé qui s'entasse dans les entrepôts, les meuniers qui veulent pas bosser pis les quelques haches qu'j'ai prises pour regarnir les stocks... la trésorerie est vraiment pas au plus haut... Ca s'rait d'combien d'sacs de maïs qu'on causerait ? Savez, j'me suis mis à l'élevage d'cochons d'puis quelques temps, pis du maïs, ces bêtes-là, qu'est-ce qu'elles en mangent !

Tiens, ça m'fait penser, d'ailleurs qu'on cherche des él'veurs d'cochons, en c'moment. Les carcasses se vendent ben et pis si z'avez trop d'maïs... 'savez, ces bêtes-là, c'est très affectueux. Et pis faut pas croire c'qu'on dit, c'est très propre, aussi. J'veux ben qu'les gros verrats, c'est pas tant reluisant, mais les gros verrats, et ben c'est justement ceux qu'on abat... Pis par rapport au blé ou au maïs... franchement, niveau rev'nus, y a pas d'comparaison. C'est pas tant dur à élever, non-plus. Un peu d'amour et zou ! Y vous d'viennent comme l'gros Fredo. Même p'têt un peu plus gros, si vous voulez mon avis.

Ah, et pour la hache, m'en voyez ravi ! J'ai pas ben trop l'temps d'aller couper des arbres ces temps-ci mais y a des brigands... enfin, j'espère qu'a trouv'ra pas usage d'cette façon, mais si y en a un qui vient montrer son nez... ch'rai ben content d'avoir une bonne hache, robuste, à mon côté.


Le Jaccot aussi, il parlait beaucoup. Trop, peut-être, sûrement. Il aurait voulu pouvoir en faire plus, en fait, mais il s'était mis dans une impasse avec la situation du blé et ne trouvait pas de chemin pour s'en sortir. Tant que la situation serait bloquée par-là, il ne voyait pas trop bien ce qui pourrait être fait. Seul le cochon parvint à rendre enthousiaste un sourire qui aurait sinon été désolé. Quand il parlait d'animaux, le Jaccot, ça lui faisait comme un petit bout de ciel bleu dans la tourmente. Leurs vertus thérapeutiques étaient peu connues, pourtant. Il faudrait qu'il pense à les vanter, un jour, pour le bien des habitants de la ville et des pauvres bêtes laissées orphelines chez le bailli.

Il souriait donc, porté par son enthousiasme, tandis qu'il faisait toujours fasse à la future baronne.

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Etre fort, c'est être ouvert. C'est la peur qui mène au rejet de l'autre...
Neyco
Écoutant le récit du maire, la miss biscuit souriait toujours rassurante.

Ça fait plaisir de vous voir enthousiaste par mon idée vous en faites pas pour al confection je m'en occupe sans soucis. Du beurre, un peu de sucre et de miel de la farine et op. Pour moi je vous avoue je fait ca par dizaine de boite vous pensez bien. Faut bien les nourrir les soldats castrais nom d'un biscuit.

Reprenant respiration comprenant les soucis de son amis, elle repensa a l'acheteur de la veille.

Ah mais vous en faites pas m'sieur Jaccot y en a des meunier qui travaillent tenez regardez ce matin.
Vu que je m'occupe du champs de mon petit frère qui hélas est chez les moines j'ai fais récolte de blé pour lui. Or a peine mit en vente que op ca a été vendu et a un meunier qui plus est.


Cherchant petit parchemin en sa besace, la miss biscuit montra le bout de parchemin de vente.




22-09-2010 22:10 : Vous avez vendu à Guilain 4 sacs de blé pour 11,35 écus.
22-09-2010 22:10 : Vous avez vendu à Guilain 6 sacs de blé pour 11,35 écus.


Vous voyez suffit de lui écrire qui sait qu'il travaillerai souvent tiens ce messire qui sait. Maintenant au vu de la défense ces jours dernier j'avoue que c'est pas évident mais vous en faites pas si besoin les castrais sont la pour vous prêt a vous aider.

Maintenant en ma grange je dois avoir dans les 50 sacs de mais qui trainent, mais pour vous faire du bénéfice bien je vous les ferai a 3 écus juste pour vous si ca vous dépanne.

Normalement si ce soir je peut travailler chez moi je vous la finit pour demain. juste une petite finition pour votre touche personnelle en gros le samedi vous l'aurez et pourrez abattre des arbres de notre foret pour notre jour dominical.


Soyez rassurer si besoin de temps autre nous sommes la demandez de l'aide a vos amis, et au peuple de castres vous verrez les mains tendue seront nombreuses.

Ça y était elle le savait tôt ou tard il allait ce faire bouffer. Comme elle, il avait donner trop pour limite recevoir que du négatif. Aider sa ville était bien dur et rare était ceux qui en prenait conscience. Le Jaccot irai loin si on l'aider a surmonter les épreuves que le Tres Haut lui donnait, elle en était persuader.

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Merki JD Riri ^^
Jaccot
Bon, et ben la baronne en devenir semblait connaître son affaire. Pas de raison de lui refuser quoi que ce soit, et pis, des biscuits, ça pouvait toujours aider à passer l'hiver au besoin...

Bon ben c'est entendu, on va aller chercher des noisettes, alors. Z'êtes prête à organiser la chose ou y vous faut l'concours d'la mairie ? Si j'peux vous aider à quequ'chose...

Nouvelle pause, nouveau sujet : les meuniers. La forgeronne était porteuse de bonnes nouvelles et c'est avec un grand sourire que Jaccot répondit.

Ah ben m'sieur Guilain ? J'crois que j'y ai vendu d'la farine, dernièrement. L'est pas boulanger ? L'a p'têt changé d'échoppe, ça s'rait bon signe. Ca s'rait ben qu'on r'commence à produire d'la bonne farine de par ici, et pis on en aura b'soin pour vos biscuits aussi, non ?

Et pis pour vot' maïs, 50 sacs, ça va. Un moment, j'ai cru qu'vous alliez m'annoncer quelqu'chose comme 200... Enfin, on pourra pas tout absorber d'un coup, ni la mairie, ni moi, du coup, j'préfère le prend' moi mais ac la hache qui tombe en même temps -c'dont j'vous r'mercie ben, d'ailleurs-, et ben j'aurai pas les liquidités avant l'début d'la s'maine prochaine. Z'êtes pressée, niveau finances ?


Il marqua une nouvelle petite pause, se posant plus de questions à lui-même qu'il n'avait de réponses, en fait.

Et pis pour c'qu'est d'demander d'l'aide, j'vous r'mercie ben et pis c'est vrai qu'ponctuellement, ça aide ben, mais... c'est sur la durée qu'les choses pêchent. J'crois que j'sais pas y faire pour motiver les gens, ou ben j'parle pas assez, ou ben trop, et pis ça marche jamais comme on voudrait... Tiens, là, faudrait un maréchal, et pis j'ai pas tant l'temps d'm'occuper d'commerce, et pis ma tavernière m'donne pus d'nouvelles... D'jà qu'on a du mal avec la milice, ces temps-ci... Par cont', on a d'la chance, enfin, vous pas, mais les haches semb' résister à toute épreuve ces temps-ci. Z'avez appliqué un nouveau mode de trempage pour les rend' si robustes ?

Au final, c'était la vie villageoise qui allait son cours, avec ses hauts et ses bas et ses petits soucis, aussi, surtout. Le Jaccot, il le savait qu'il était pas fait pour être maire. Maire, c'est un poste où on vous basarde en vous disant que vous faites bien les choses pour que vous continuiez à les faire mais c'était pas pour rien qu'y avait pas beaucoup d'candidats à la mairie et pis, le Jaccot, il avait pas les nerfs pour ça. Le lieutenant Rmx devait en savoir quelque chose, et pis le sénéchal, aussi, de même que plusieurs conseillers comtaux, et pis Athena... Ca en faisait du monde, quand même, qui avait dû supporter ses sautes d'humeur et ses instants de panique ces derniers temps, les pauvres...
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Neyco
La miss biscuit s'en allant pour quelques temps en vu de son devoir militaire, en profita pour écrire a son ami Jaccot tout en lui fournissant sa hache.



Bonjorn mon bon ami Jaccot,

Actuellement je m'en vais en mission bien complexe aussi surement montrer au vilain comment nous les toulousains sommes courtois. Enfin bref.

Ci joint en ce paquet attachant plis votre hache mon ami, j'y ai mit tout mon cœur aussi sachez que si elle se ripe ou autre je vous la réparerai le jour même.

Prenez soin de vous et de notre bonne ville. Notre ville est notre trésor, protégeons la et elle nous le rendra.

Je vous donnerai nouvelle de manière régulière afin que vous sachiez ou nous en sommes un peu sans dévoiler trop de chose pour votre sécurité.

Que le Tres haut vous garde. Ou que vous soyez.

Bien a vous.

La mini baronne biscuit Neyco



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Merki JD Riri ^^
Jaccot
Un commis se présenta à la mairie portant hache et parchemin. L'outil était massif et Jaccot en apprécia le poids dans sa main. De fines écritures scintillaient sur la lame. Jaccot la fit tourbillonner, admirant l'effet qu'ils donnaient tout en fendant l'air. Il adressa un sourire au gamin avant de lui remettre quelques piécettes et de le décharger également de son message.

Tu r'mercieras celle qui t'a envoyé. Et pis tiens, ça, c'est pour toi. Allez, file, sur qu'y a plein d'choses à faire pour toi en c'moment.

Se reposant sur son bureau, il commença à lire le message, caressant toujours la lame de la hache de la main. Il faudrait qu'il aille remercier la forgeronne à son retour de mission.
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