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[RP] Bureau du Maire, depots des lois de decrets.

Loarwenn
Mi-excitée, mi angoissée, c'était d'un d'un petit pas léger que la Saltimbanque de Castres se dirigea vers la mairie. Le coeur battant la chamade et elle s'arrêta devant l'écriteau des résultats. Elle n'eut pas longtemps à repérer ce qu'elle voulait.

Sont fous ces gens...

Elle souriait pourtant. Élue à deux tiers des suffrages par les Castrais. Comme quoi, une petite lettre de campagne, ça pouvait avoir du bon. Elle s'approcha de la porte de la mairie et poussa.

Gniiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii...

Écarquillant les yeux, sur le manque flagrant d'huile sur les gonds de l'entrée principale, elle commença l’inspection des lieux. C'était un peu vide, mais assez rangé, surtout quand on se souvenait de la récente révolte de la dernière quinzaine. La loctenante avait su gérer l'intérim du mieux qu'elle pouvait.

Loarwenn repéra très vite le bureau qui allait le sien pour le mois à venir. Elle s'y installa et commença à trier les différents papiers


Quand faut y aller...
Nead
Les nouvelles allaient bon train comme on dit ! Les voyageurs colportés bien plus vite les nouvelles que les crieurs toulousains. Le brave était sur les remparts chauriens cette nuit dernière. Il ouvrit les portes de la cité à quelques toulousains qui lui apprirent l'élection d'une bourgmestre en terre Castraises. Julian ne pu retenir son désarrois sur son visage. La fouteuse de trouble avait réussit a éliminer les autres candidats...certainement en les lapidant de balle de farine comme à son habitude.

Julian prit alors de le temps d'envoyer un pli à la nouvelle élue.


Citation:
Donà Consol Màger,

Vous aurez nombre de gratification de la part de vos amis pendant toute la jornada. Pour cela je vous épargnerais les miennes dans cette missive. Je garde ces gratifications pour la fin de mandat lorsque vous aurez fait vos preuves.
Pour l'heure vous devez savoir que la cité chaurienne, voisine et amie de Castras depuis leur création, est désorganisée après l’abandon de poste du dernier bourgmestre. Depuis quelques jorns je suis descendu en leur vilatge pour apporté mon aide au nom de Castras, leur montrant ainsi qu'ils pouvaient compter sur leur allié le plus proche.
Les élections du nouveau bourgmestre se termineront demain. Il y a de forte chance que ce soit donà Pandora. Je vous invite vivement a prendre contact avec elle au plus tôt pour que les deux vilatges s'entraident après cette période de trouble.
Si vous estes dans le besoin, je serais là.

Bene a vos

Senher Julian
Wilfred
Il se rendit à la mairie, sachant que Dona Sebelia n'était plus maire.

Il voulait prendre contact avec la nouvelle Bourgmestre, il arriva devant la bâtisse frappa à la porte et la poussa.

Une Dame était au bureau.

Bonjour Dona, je suppose avoir en face de moi la nouvelle Bourgmestre élue de notre charmante ville.

Mes félicitations pour votre élection, je me nomme Wilfred je suis bucheron et mineur de temps en temps.


Je venais vous voir car j'ai toujours travaillé avec les anciens Bourgmestres en leur vendant mon bois et de temps en temps mon maïs.

Je souhaitais savoir si vous envisagez de continuer ma collaboration avec la mairie


Il lui fit un sourire et attendit sa réponse
_________________
Loarwenn
A peine était-elle installée qu'elle recevait déjà des missives. C'était le sergent Julian qui la félicitait. Elle sourit largement en se disant qu'il avait dû être dans tous ses états d'apprendre qu'elle avait été nommé maire. Lui qui voulait l'arrêter pour des motifs farfelus...

La porte s'était ouverte sur une charmante personne. Elle l'avait croisé dans les rues de Castres, mais ne l'avait jamais abordé. C'était l'homme qui revenait souvent de la forêt. Elle l'avait laissé se présenter tout en lui souriant.


Je suis Loarwenn.

Elle lui tendit une main enfarinée et lui serra la sienne chaleureusement.

Je suis ravie de vous rencontrer enfin senher Wilfred. La loctenante Sebelia m'a beaucoup parlé de vous et de l'aide que vous apporter à la ville depuis de nombreux mandats.
On ne me parle de vous qu'en louanges et éloges! Wilfred, notre bûcheron!

Je dois dire que j'espérai votre venue. Je souhaite effectivement continuer la collaboration de confiance que fait notre mairie envers vous. Enfin si cela vous intéresse toujours, bien entendu!
Wilfred
Enchanté Dona Loarwenn.

Il sourit et répondit à la main enfarinée qu'elle lui tendit et la serra doucement de sa pogne de bucheron.

Bien entendu que cela m'intéresse toujours, pour le bien de notre belle ville.

Je serai ravi de commercer avec vous belle dame !

Je ne vous cache pas que Dona Sebelia m'a toujours impressionné
sous ses allures un peu... comment dire ... dure une femme à poigne dirons nous..


Je vais vous laisser à votre ouvrage et vais m'en retourner dans la forêt, je vous remercie pour les haches misent à disposition cela me rend grand service.

Peut être un jour m'en ferai je faire une gravé à mon nom

Je vous salue Dona et à bientôt pour ma livraison de bois

_________________
Loarwenn
Quelques jours plus tard...

Les journées se suivaient mais ne se ressemblaient. La mairesse de Castres, les traits tirés et les cheveux relevés en bataille, s'installa à son bureau de fonction.

Bon voyons ce qui peut être fait...

Elle attrappa un grand livre de comptes et en commença l'étude. Des chiffres, des colonnes, des colonnes, des chiffres... Tout cela dansait sous son regard. Elle soupirait déjà.

J'y comprends rien, par Merzhin!!

L'esprit de la jeune femme se mit à voyager vers les tavernes. Elle préférait son rôle de tavernière à la Marée Basse. C'était bien plus simple de servir des coups aux Castrais et aux voyageurs. Fronçant le regard sur le grand livre, elle le fit valser d'exaspération. Elle plongea sa tête entre ses bras croisés et ce mit à rêver de sa nuit en taverne.
Jean.de.cetzes
La facétieuse Loarwenn l'avait fait mandé en lui baillant missive au matin. Qu'à cela ne tienne de Cetzes se présenta en après-midi. Après tout il avait bien le droit, pour une fois, de prendre son temps. Mais c'est en fait sans se rendre compte qu'il passa près de deux heures à vagabonder dans sa ville. Saluant les habitants qu'il croisait, échangeant quelques mots avec certains Castrais plus prolixes que d'autres, revenant de l'Eglise et se plaignant de l'absence de curé ou du marché et conspuant les responsables de la pénurie de certaines denrées. D'habitude de Cetzes se serait enflammé, prenant de longues heures pour discuter des problèmes que rencontrait le Comté sous la mandature du Tyran Aymercah. Mais là ? Rien. Pas un mot ou juste quelques phrases de compassion, laissant entendre qu'il comprenait bien le problème et que tout cela avait déjà était dénoncé auprès des responsables qui n'en avaient cure. Sa Querelia se faisait plus bavard que lui pourchassant les importuns lézards qui se dorer la pipule sur les murs ensoleillés des bâtisses. En fait il n'écoutait pas vraiment car tous ces problèmes il les connaissait et pour au moins quelques jours encore il fallait se résigner.

Quoiqu'il en soit, l'enturbané, comme certains aimaient à l'appeler, n'aspirait qu'au calme, voir à la solitude.

C'est pourquoi dans son détour involontaire, comme pour fuir la compagnie de ses semblables, il passa devant la taverne à l'enseigne de sanglier sans y pénétrer, puis longea les maisons de ses propriétaires, Reky et Clive sans trop y prêter attention. Il remonta entièrement la rue de l'Agout pour passer devant celles de Yoshi et de Wilfred qu'il avait connu dès leurs arrivées dans la cité, regardant d'avantage ses pieds que les couleurs chatoyantes des façades. Descendant ensuite par la rue haute, il bifurqua sur le chemin de croix passant devant la taverne du vagabond dans laquelle il avait vécu déjà quelques aventures qui constitueraient, entre autres, pour ses vieux jours ses souvenirs heureux. Il s'arrêta devant, pensif, hésitant à entrer pour y prendre quelques frais breuvages afin de se rafraichir le gosier qu'il avait sec depuis son départ d'Albi, mais il se ravisa finalement pensant que sans Elle, la bière n'aurait pas le même goût. Il prit alors le parti de rebrousser chemin pour descendre par la Grandrue afin de gagner la grand place, suivit de sa fidèle Querelia, dont il aimait flatter la croupe d'une ferme caresse. C'est ainsi qu'après avoir fait le tour d'une bonne partie de la cité, dans une attitude que certains eurent décrit comme les errements d'une âme en peine, il gagna la carrièra del capitoli pour pénétrer la mairie qu'il avait assidument fréquenté. Il ne se fit pas annoncer, par habitude non de la discrétion, mais de la maitrise des lieux et par totalement désinvolture pour le protocole, et puis après tout il n'avait oncque requête à formuler. C'était le maire qui souhaitait qu'il passe la voir en son bureau... Il se dirigea donc à travers les quelques couloirs de l'inconfortable bâtiment, caressant l'huis de l'office cadastral dont il s'était occupé avec bonheur, se remémorant les grincements de certains planches, la petite cheminée et le solide bureau de bois. Alors qu'il se souvenait, sa chienne le regardait d'un air presque provoquant, les oreilles plissées, la tête penchée.


Il poursuivit son chemin, sans prêter attention à l'attitude de la puissante bête, jusqu'à ce qu'il aperçoive l'encadrement de la porte du maire. Il s'arrêta un instant, hésitant à poursuivre. Après tout, pourquoi irait-il dans ce bureau qui fut le sien ? Ne voyait-il pas assez Loarwenn par ailleurs ? Hmpf. N'ayant décidemment pas le coeur à la besogne, il tourna les talons, rebroussant chemin sur quelques mètres avant de s'arrêter une nouvelle fois. Mélancolique il était. Mais devait-il rompre l'engagement d'aider la bretonne ? Fichu honneur. Il fit de nouveau volte face, jeta un regard sur le petit ruban rouge à son poignet, forma une esquisse de sourire, inspira profondément et entra brusquement.

Que me veut donc la peste de Castres ?!

Puisqu'il fallait entrer en matière, autant le faire franchement.
Loarwenn
Sa courte nuit et sa fatigue l'avaient faite sombrer dans un profond sommeil. La jeune femme dormait les bras croisés sur le bureau. Elle était entourée de feuilles et parchemins. Le grand livre de compte avait volé près de la porte du bureau.

La pièce n'était pas en chantier, mais on sentait l'impuissance de la saltimbanque à s'y retrouver dans les classements et le rangement. Un certain désordre régnait, rassaurant le doux sommeil de l'Enfarineuse. Sa respiration régulière soulevait son dos. Les mèches de ses cheveux noirs lui couvraient le visage. Elle souriait en dormant, peut être d'un rêve heureux...

Ce fut ainsi qu'il la trouva. Loarwenn dormait et n'entendit pas entrer le sieur de Cetzes qui entrait en trombe.


Que me veut donc la peste de Castres ?!

Elle ne réagit pas, trop habituée aux bruits des Muses, ses voisines, dans son quartier d'habitation, pour que la simple interpellation de l'Enturbanné pût la réveiller.
Jean.de.cetzes
Frappé par le capharnaüm faisant office de chambre au maire il poussa un soupir, expirant massivement l'air, qu'il avait inspiré avant d'entrer, en un souffle bruyant. Les papiers jonchaient le sol et le bureau, les dossiers s'amoncelaient pêle-mêle et le recueil des comptes de la ville jonchait le sol, sans doute victime de l'humeur taquine de son tenancier.

Face à cet innommable bordel, il hésita entre plusieurs options. La première était de taper du poing sur la table pour réveiller violemment la feignante. La seconde était d'envoyer sa chienne lui mordre les molets. La troisième de s'en aller. Aspirant toujours au calme, et même à la volupté, il faillit choisir cette dernière lorsqu'il fut pris de bâillements. Victime d'un véritable "coup de barre", conséquence de son voyage à Albi, il s'affaissa dans un fauteuil, près de la cheminée qui ne fonctionnait pas. Il profita ainsi du léger courant d'air passant par le conduit de cette dernière pour s'assoupir, la main droite sur le poignet gauche, le maire en vu. Il sombra alors dans une torpeur onirique. et s'enfonçant dans le fauteuil à bras, la tête sur le côté, le turban légèrement désaxé par le contact du dossier.
Loarwenn
Quel étrange tableau... L'Enfarineuse et l'Enturbanné endormis tels des enfants en bas âge. Cela aurait été un spectacle bien surréaliste pour toute personne connaissant leur caractère quand ils étaient en présence l'un face à l'autre. Tous les deux, dans la même pièce, sans aucun cri, aucune boutade, aucune fumée ou poussière de farine voletant partout. Lui assoupi, elle rêvant. Oui, un bien étrange tableau...

Au bout d'une vingtaine de minutes ainsi dans les bras de Morphée, la Saltimbanque sortit de son doux rêve. Avait-il été réel...? Elle se redressa lentement l'esprit encore envoûté. La marque du bracelet, autrefois offert par son ami le musicien, Indi, avait marqué sa joue des empreintes des petites perles. Elle se redressa complètement et se frotta les yeux. Soupirant du bazar que sa fatigue avait provoqué, elle sursauta lorsqu’elle sentit se frotter contre sa jambe quelque chose de poilu. Un chien! Elle s'étonna de la présence de l'animal.


Mais... Querelia...?

Elle avait reconnu la fidèle compagne de Jean de Cetzes. Ce fut à ce moment qu'elle s'aperçut de la présence du Sieur au Turban. Diantre! Elle ne l'avait pas entendu. Il était assoupi, avec cet air toujours aussi grognon, celui qu'il ne lui réservait qu'à elle seule depuis leur rencontre "farinesque", trois mois plus tôt. Pourtant, elle nota une sorte de bien-être dans ce sommeil. Peut-être rêvait-il aussi de belles choses...

Elle se leva, caressant au passage Querelia. Elle sourit. Le calme avant la tempête... Elle se rapprocha de Jean, se pencha légèrement vers lui et lui secoua doucement l'épaule.


Jean... Jean.. Réveillez-vous... Jean

Elle le secoua un peu plus.

Jean, j'ai besoin de votre aide... Et de vos conseils...
Jean.de.cetzes
Hum ? Quoi ? quoi ? quoi ?

De mon aide ? Pour que je vous ensorcelle ?


Il n'avait entendu que d'une oreille endormie les propos de la bretonne que son subconscient avait allègrement transformés. Et ce qu'il croyait avoir entendu ne lui plaisait pas, mais alors pas du tout. De la sorcellerie... la cité était donc aux mains du Sans Nom ! Horreur ! Enfer et Damnation ! En même temps était-ce une surprise venant de cette bougresse qui l'avait enfariné pendant son baptême devant l'évêque, dans l'Eglise, en pleine cérémonie ? Cela ne pouvait qu'être une action inspirée par le malin.

Il se redressa d'un bond, raide comme la justice, et, transfiguré, affirma haut et fort à la créature d'Udûn:


Vous ne passeeerrezzz paaaas !!
Loarwenn
De mon aide ? Pour que je vous ensorcelle ?

La Farceuse de Castres resta interdite l'espace de deux battements de coeur. Elle savait que Jean n'avait jamais pénétré dans l'Atelier. Il ne pouvait... Non. Il ne pouvait rien savoir d'elle. La jeune femme reprit contenance, en le voyant émerger de son voyage au pays des songes. Puis, elle le vit se dresser d'un coup face à elle.

Vous ne passeeerrezzz paaaas !!

Le choc et la puissance de la phrase l'avait tellement abasourdie que la Bretonne en tomba sur son séant. Déjà couverte de bleus suite à une malheureuse série de glissades deux nuits plus tôt, elle se heurta durement sur le sol. Le calme avait cessé d'être, à présent, voilà que venait la tempête.
La mairesse ne put s'empêcher de pester.


Mais z'êtes pas bien ou quoi ??? Qu'est-ce qui vous prend de hurler ainsi ??

Elle se redressait. Sa chute avait soulevé la farine que les allées et venues de la nouvelle mairesse avaient apportée. Elle fit face à son prédécesseur tout en s'époussetant.

C'est votre turban qui vous fait délirer ma parole! Quoique... A voir votre crâne entortillé ainsi, ça doit vous empêcher de bien faire fonctionner votre esprit!

Loarwenn sourit en coin. Elle alla se rasseoir à son bureau, invitant le Sieur de Cetzes à s'installer près d'elle. Elle le surveillait l'air méfiant. Cependant, elle passa outre sa crainte et sortit plusieurs documents.

Jean, j'ai besoin de vos connaissances. J'ai besoin de votre aide.
Jean.de.cetzes
De la poussière de lune se souleva lorsque la sorcière tomba à corps défendant. C'était bien la preuve de sa démoniaque nature !

Vade retro, Satanas !

Sa chienne comprenant l'imminent danger se raidit de tout son être, coucha ses oreilles, releva les babines pour montrer sa forte mâchoire, et poussa un aboiement féroce. Ce n'était pas un chien de garde pour rien.

Croyez-vous que je vais incanter de concert avec vous ?!

Il avait maintenant un doute sur ce qu'il avait compris compte tenu de l'attitude désinvolte et implorante de la bretonne, mais après tout, en matière de sorcellerie, le doute ne devait pas profiter à l'accusé. On brule d'abord, on interroge ensuite. Ca ne l'empêcha pas de jeter un oeil sur les documents qu'elle venait de déposer sur le bureau pour en saisir la véritable nature. Invocation du malin ? Prière au Sans Nom ? Formule alchimique ? Il avait du mal à distinguer les signes formés sur le papier.

Arrière vous dis-je ! Arrière !
Loarwenn
Croyez-vous que je vais incanter de concert avec vous ?!

Et voilà que l'animal aboyait, par-dessus le marché. Elle soupira. Elle passa outre les lamentables diffamations de l'Enturbanné sur son compte. Un regard de ses yeux couleur sylvain vers la chienne, celle-ci cessa de gronder et commença à remuer la queue. La jeune femme lui tendit la main afin de lui flatter le cou.

C'est bien ma fille... Va te coucher maintenant.

Querelia, devenue docile, écouta la voix de Loarwenn et alla s'allonger près du foyer éteint. La Bretonne reporta son regard sur Jean.

Bon... Quand vous aurez fini vos élucubrations, on pourra peut-être s'y mettre, non?

Elle était vraiment épuisée, à présent. Un moment de désemparement l'étreignit soudain et avec un ton plus violent qu'elle ne l'aurait voulu.

Jean, en tant que votre maire, je veux que vous m'aidiez. Vous avez des informations dont j'ai besoin. Vous devez me porter assistance!
Jean.de.cetzes
Sorcellerie !! Que le Très Haut nous garde !

Ainsi furent ses paroles devant l'action de la vile bretonne sur sa chienne. Il aurait juré avoir vu une lumière jaillir de ses petits yeux pervers. En conséquence de quoi il tira son épée du fourreau, la brandissant haut, disposant la croix de son épée à hauteur de son nez en guise de protection sacrée.

Arrière où je vous fait rendre l'âme !

Puis il se dirigea, prudemment mais surement vers la porte du bureau guettant que la sorcière ne bouge ou ne dise mot, récitant dans sa tête le Crédo.
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