Loarwenn
Sorcellerie !! Que le Très Haut nous garde !
Et le voilà qui délirait à présent. A croire qu'elle ne pouvait pas avoir le contact facile avec les animaux sans se faire traiter de fille du Vilain. Elle n'était pas cela.
Toujours assise à son bureau, elle observait Jean s'exciter d'un coup sortant son épée face à elle.
Arrière où je vous fait rendre l'âme !
Loarwenn ne put s'empêcher de mâcher un long soupir. Elle se leva tranquillement tandis que l'autre gesticulait. Elle s'approcha de Querelia, toujours couchée près de la cheminée. La Bretonne s'assit en tailleur et déposa la tête de l'animal sur ses genoux. La fidèle bête de Jean remuait la queue, tandis que la Saltimbanque lui caressait la tête. Souriant pour elle, la jeune femme leva ses yeux vers le senher de Cetzes. Des yeux légèrement plus clairs qu'à l'ordinaire, des yeux chaleureux, ni moqueurs, ni espiègles.. Des yeux de sérénité et de sagesse ancienne. Une légère lumière éclaira ce regard que Jean ne connaissait pas de la Farceuse. Elle se mit à parler d'une voix légèrement différente, plus grave qu'à l'ordinaire.
Abaisse ton arme, Jean de Cetzes... Tu ne vas fendre l'âme de personne aujourd'hui et tu vas te couper...
Elle reporta son regard de douceur vers l'animal. Elle souriait sans malice.
Le Très Haut ne peut rien pour toi en ces murs. Du moins, le temps que j'y reste.
Toujours assise au sol, elle fit valser sa main libre afin de soulever la farine au sol. Le mouvement créa un léger nuage de poudre blanche. Loarwenn se mit à fredonner.
Souffle sur la flamme
Une chanson à chanter
Entre dans son charme
La musique est arrivée
Et Loarwenn souffla...
Et le voilà qui délirait à présent. A croire qu'elle ne pouvait pas avoir le contact facile avec les animaux sans se faire traiter de fille du Vilain. Elle n'était pas cela.
Toujours assise à son bureau, elle observait Jean s'exciter d'un coup sortant son épée face à elle.
Arrière où je vous fait rendre l'âme !
Loarwenn ne put s'empêcher de mâcher un long soupir. Elle se leva tranquillement tandis que l'autre gesticulait. Elle s'approcha de Querelia, toujours couchée près de la cheminée. La Bretonne s'assit en tailleur et déposa la tête de l'animal sur ses genoux. La fidèle bête de Jean remuait la queue, tandis que la Saltimbanque lui caressait la tête. Souriant pour elle, la jeune femme leva ses yeux vers le senher de Cetzes. Des yeux légèrement plus clairs qu'à l'ordinaire, des yeux chaleureux, ni moqueurs, ni espiègles.. Des yeux de sérénité et de sagesse ancienne. Une légère lumière éclaira ce regard que Jean ne connaissait pas de la Farceuse. Elle se mit à parler d'une voix légèrement différente, plus grave qu'à l'ordinaire.
Abaisse ton arme, Jean de Cetzes... Tu ne vas fendre l'âme de personne aujourd'hui et tu vas te couper...
Elle reporta son regard de douceur vers l'animal. Elle souriait sans malice.
Le Très Haut ne peut rien pour toi en ces murs. Du moins, le temps que j'y reste.
Toujours assise au sol, elle fit valser sa main libre afin de soulever la farine au sol. Le mouvement créa un léger nuage de poudre blanche. Loarwenn se mit à fredonner.
Souffle sur la flamme
Une chanson à chanter
Entre dans son charme
La musique est arrivée
Et Loarwenn souffla...