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[RP] La Forêt de Castres

Isabella_vampiritch


24 janvier 1460


Isabella c'était décider après une discutions en taverne, a faire partir les souvenir du passer de sa vie. Elle savait qu'il n'y avait qu'un moyen pour cela et elle allait le faire. Elle avait pris la direction de la forêt, en profitant au passage pour admirer les arbres. Depuis combien de temps n'était t'elle pas revenu ici ? Une année entière a ce qu'elle se souvenait, depuis sa mort elle n'y était plus revenu. Trop de souvenir en ce lieux, trop de partie de chasse ensemble avait fait qu'elle n'y était jamais retourner....jusqu'à aujourd'hui. Elle était aller aussi loin qu'elle le pouvais et c'était arrêter en face du plus grand arbre qu'elle avait trouver. Elle se mis a genoux puis se mis a creuser un troue avant d'enlever une chaîne de son cou ou était pendu un anneau en argent.

Je ne peut plus vivre dans le passé....Le seul moyen pour moi de t'oublier c'est de laisser ton passage loin derrière moi...J'espère juste que tu ne m'en voudra pas.....

Elle déposa la chaîne et l'anneau dans le troue, l'observent un dernière fois en laissant couler une larme sur sa joue. Elle devait le faire, elle devait tirer un trait maintenant et vivre sa vie. Elle versa la terre pour le recouvrir et traça un symbole Celte sur la terre. Celui ci disparue peut de temps après et de l'herbe poussa la ou elle avait enterrer l'anneau. Ici personne ne le trouverai.

Pardonne moi de vouloir t'oublier.... Mais je ne peut plus vivre avec un fantôme....Je t'ai aimer comme je n'ai jamais aimer personne....mais maintenant je passe a autre chose....Une année entière est passer depuis ta mort je doit faire mon deuil...Qu'Aristote te protège en son royaume mickael...

Elle se releva et fit demi tours sentant son cœur lentement s'allégée. Maintenant elle ferai sa vie sans repenser a lui...

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Lulu007
Lulu arriva dans la foret, par le sentier ou il s'était perdu, il était accompagné de son loup et de son chien qui eux voulais prendre l'air...Il les caressa et s'assit doucement au pied d'un arbre ...

"hum... J'aime m'exiler ... parfois ça fait pas de mal ... hein mes petits ?"

Il sorti son luth et joua doucement
Jaccot
"Partez devant, qu'il avait dit, j'vous rejoindrai en route." Peu avant le départ prévu pour Castel, deux jours plus tôt, Jaccot s'était rendu voir son troupeau. Une bête était boiteuse et chancelante, peut-être avait-elle attrapé la fièvre ? Elle présentait une blessure à l'arrière-cuisse... une morsure... et si c'était la rage ?

Jaccot ne voulait pas prendre de risque, il fallait l'amener pour voir un médicastre, mais pas question de traverser la ville avec une bête portant peut-être le mal en elle, il ferait donc le tour par les bois. Le sentier était d'abord bien entretenu, la bête, sur ses épaules, bêlait, mais le soir tombait vite dans la forêt et l'obscurité commençait à rendre la vision peu précise... une branche qui lui écorche le crâne, il faillit presque en lâcher son fardeau. Nouveau bêlement, il retourne la tête et puis...


*Blarrrrrrrf !*

Le voilà étalé par terre. La brebis s'est retrouvée projetée dans les fourrés, il ne l'entend plus et pour cause : il est lui-même venu s'écraser le front contre un arbre.

Le choc était violent pour cet homme qui n'était pas en pleine possession de ses moyens physiques du fait d'une trop grande fatigue accumulée sur les quelques derniers jours, il ne peut résister, doucement, il comate. Le sol présente un tapis mousseux confortable, dans les bois, on est bien... peut-être qu'au fond, il dort...

...

Frissons terribles, la nuit s'est emparée du paysage. Il revient à lui, il grelotte. Sa peau de bête se trouve toujours posée sur lui, il en profite pour s'y emmitoufler puis il regarde autour de lui... une tache claire, il s'approche. La pauvre bête aura fini sa vie dans un buisson épineux, il ne peut s'empêcher de penser que c'est peut-être mieux ainsi, il aurait probablement fallu l'abattre, probablement. Il faudrait la brûler, il n'en a plus la force, de la porter non-plus. Il l'abandonne, il reviendra.

Sur le bord du chemin, il trouve une petite branche suffisamment solide pour lui servir de bâton, ça lui fera au moins une béquille. Sa jambe lui fait mal, il se traîne mais il sait qu'il ne peut attendre qu'un secours aléatoire, par ici, le chemin était peu fréquenter et l'on ne traîne pas dans les bois à la nuit tombée. Il ne lui reste qu'une solution, rentrer, rentrer avant que le froid ne se soit emparé de lui, qu'il reste gésir ici pour de bon. Péniblement, il parcours la route, rentre chez-lui. Une pensée... Audie.

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Azylys
La petite brune était partie faire un tour en forêt avant le départ. Elle était sur les nerfs, comme souvent maintenant, et elle se retenait, comme trop souvent aussi. Si ce n'était que les mille pensées qui tourbillonnaient sans cesse dans son esprit elle les aurait écartées, si ce n'était que sa colère qui la faisait trembler elle se serait calmée, si ce n'était que de la douleur qu'elle ressentait elle l'aurait fait taire, mais ce n'était pas cela, c'était les trois à la fois. Elle peinait à se contenir, ce qu'elle devait pourtant pour protéger son enfant. Cependant si un heureux hasard avait pu mettre un brigand sur sa route elle en aurait fait de la charpie. Pourtant il n'y avait personne en ces bois, ni âme humaine, ni âme animale qui semblât rôder dans les parages, et la brune tournait en rond.
Si têtue qu'elle était, elle refusait de laisser couler ses larmes, ancienne habitude de guerrière peut-être. Si patiente qu'elle était, elle avait pourtant touché ses limites. Si calme qu'elle pouvait être, elle n'était plus que colère et douleur. Et si sage qu'elle était d'habitude, elle était ce soir une vraie furie.
Elle ressassait encore et toujours, les mêmes paroles, les mêmes évènements, les mêmes détails, les mêmes visages, la même douleur, elle n'en pouvait plus. Elle n'en pouvait plus de mentir, elle n'en pouvait plus de jouer avec les apparences, elle n'en pouvait plus de faire semblant, elle n'en pouvait plus de se retenir, elle ne pouvait plus se contenir.
Elle regarda une fraction de seconde l’arbre qu’elle frôlait, pivota presque brusquement d’un quart de tour, et, serrant le poing au point qu’il lui faisait mal, elle frappa le tronc de toutes ses forces. Elle y mit toute sa haine, toute sa colère, toute sa souffrance, tout ce qu’elle peinait tant à contenir, tout ce qui venait de l’emporter. Le choc de l’impact fit craquer ses phalanges, remonta en une onde sournoise le long de son bras pour lui vriller jusque l’épaule. Elle avait sentit le choc jusque dans les moindres muscles de son bras, manquant de chanceler à présent tant la vague de douleur menaçait de l’emporter. Elle avait bien faillit se déboiter tout le bras, et elle n’était passée que très près de se casser quelque chose. La brune se laissa glisser à terre comme une poupée de chiffon qui ne tenait plus sur ses jambes, fermant les yeux sur cet univers qui se parait de noir autour d’elle et dont seul elle percevait encore la douleur qui pulsait dans son poing.
Elle resta adossée ainsi à l’arbre de longues minutes, perdant la notion du temps, tentant peu à peu de reprendre le contrôle d’elle-même. Elle tenta de desserrer ce poing qui lui faisait si mal, grimaçant sous la douleur qui redoubla. Elle l’ouvrit avec peine, elle arrivait à peine à bouger les doigts. Dans un ultime éclat de lucidité au moment de frapper, elle avait pourtant choisi le bon poing, peu importe si le gauche était inutilisable pour l’instant, elle était droitière et n’avait besoin que de cette main droite pour empoigner son épée et défendre ses amis durant le voyage si besoin. La brune lâcha un soupir et tenta d’ouvrir de nouveau les yeux. Elle voyait encore flou, mais elle voyait. Dans la semi-obscurité, elle ne vit qu’une tache pourpre se dessiner devant ses yeux, son poing ensanglanté. Elle pesta. Quelle inconsciente et quelle impulsive ! La brune esquissa pourtant l’ombre d’un sourire en se rappelant cette soirée à Foix où son ami Matthew avait lui aussi trouvé pour seul défouloir un tronc massif et qu’elle avait dû soigner bien des jours suivants. Elle avait beau se dire que ç’avait été un acte bien imprudent, elle ne le regrettait pour rien au monde. Cette douleur l’avait vidée, le choc qui l’avait anesthésiée sur le coup avait emporté avec lui ses tourments et elle se sentait plus calme.
Rassemblant ses forces la brune se déplaça tout doucement vers un cours d’eau dont elle entendait le bruit. Elle voyait presque clair à présent. Elle s’accrochait pourtant à toutes les branches, à tous les appuis possibles pour faire ces quelques mètres, toute sonnée et tremblante encore qu’elle était. Enfin, elle y parvint et, s’asseyant au bord pour ne point y tomber, elle plongea doucement son poing dans l’eau claire qui se teinta de pourpre, serrant les dents pour ne pas crier. Elle resta ainsi quelques minutes, laissant l’onde glacée anesthésier la douleur et engourdir peu à peu sa main. Elle voyait de nouveau parfaitement net lorsqu’elle sortit son poing du courant. Le regardant attentivement elle évalua les dégâts, chance pour elle qu’elle avait été infirmière de caserne. Elle avait les phalanges en sang, même si bien moins que tout à l’heure, mais la plaie était propre et saine et elle jugea qu’elle guérirait assez vite. Soulagée de n’avoir rien de bien grave, la brune laissa échapper un soupir.
Tirant une bande de tissu de sa besace qu’elle ne quittait jamais, elle la posa sur ses genoux. Elle tira ensuite de cette même besace un pot et quelques plantes. Le temps d’étaler une généreuse dose d’onguent sur sa plaie, non sans une nouvelle grimace de douleur, et elle enroulait doucement la bande autour de sa main. Le pansement soigneusement fait et solidement fermé, il tiendrait bien jusqu’à son retour à Toulouse. La brune passa ensuite doucement sa main droite sur son ventre rond. Elle avait pris un risque, même léger, et elle lui demandait de la pardonner une fois encore. Ce n’était ni la première fois, ni la dernière… Rassurée de sentir la vie battre paisiblement au creux de son ventre, elle se décida à rentrer, le départ était sûrement très proche désormais.
Rassemblant ses forces une nouvelle fois, la brune se leva et fit quelques pas. Elle ne préféra pas pour autant rentrer à pied avec cette douleur sourde qui pulsait dans son bras et ne manquerait pas de se raviver tantôt. D’un sifflement, elle appela sa jument en renfort. Elle n’eût pas bien longtemps à attendre avant que Brume ne vienne la retrouver, flairant sa main et la regardant comme pour la sermonner. Az ne s’en soucia pas, elle n’en avait que faire, et se hissa en selle. Rabattant sa cape sur ses épaules, elle dissimula sa main gauche dans les plis du tissu. De la droite elle saisit les rênes et guida sa jument jusqu’à la ville. Dans l’obscurité, elle n’avait pas à sourire, elle pouvait laisser tomber les apparences, elle se sentait revivre. Rejoignant le groupe, elle adressa un signe de tête à Themis et on se mit en route. Personne n’avait pu remarquer sa main bandée dissimulée sous sa cape ni deviner ce qu’elle avait fait ce soir-là, et c’était très bien ainsi. Elle n’avait besoin de personne pour lui faire la morale.

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Leyoun
[Leyoun effectue le chemin "terrain d'entrainement -> village" et passe donc par un bout de forêt...]

L'ensemble de ses muscles sont lourd. Le pauvre bout d'homme en quête de son identité se déplace péniblement malgré l'apparence. Le bougre marche le buste relevé et torse bombé. Il faut respecter l'image du militaire selon lui sinon "nous passons pour ptites latrines". Cette phrase raisonnait souvent dans la caserne il y a quelques années lorsqu'il endossait la charge de la double barre.

Il regardait au loin se rapprocher les portes de la ville. Il comptait rejoindre l'humble forge de son amis lorsque tout à coup...son pied s’emmêla dans une branche. Bon ok ! Vous avez gagné je vous la fait rapide : http://www.youtube.com/watch?v=FstwtQRsYb8

C'est bon ? Vous avez compris ? Il s'est vautré ! Certains d'entre vous se dirons : "ahahaha bien fait pour cet emmerdeur" ou bien "il avait qu'à pas trahir son comté jadis"....à l'inverse d'autre dirons : "Oh ! Le pauvre petit chou...snif..." . Et bien moi je dis : "Bien fait pour ce chevelé qui ne regarde pas où il met ses pieds !".

Bref !

Par chance sa chute se fit lentement et il n'eut aucun dommage si ce n'est qu'une belle plaie au tibia gauche.
Il ne se frotta pas les mains pour les nettoyer mais regarda aussi vite qu'il le pu l'état de son tibia. Il releva ses braies et examina la plaie. Rien de méchant à première vu.
Il commençait à rabaisser ses braies lorsqu'il s'aperçu d'une marque étrange sur sa peau au niveau de sa cheville gauche. Il avança sa tête vers ses pieds pour observer ceci de plus prés et grinça des dents à cause de la douleur de sa plaie. Néanmoins il constata avec surprise une cicatrice assez vieille. Mais elle n'était point traditionnel. Elle n'était pas continue. Il entourait entièrement le mollet du bougre...une cicatrice en pointillé !

Il resta là un moment, le temps de réfléchir à cette cicatrice étrange dont son origine lui est inconnu....pourtant il l'a bien subit il y a quelques années et de surcroît dans ce même petit bois Castrais lors d'une patrouille de routine.

Une agitation parvient aux oreilles du soldat. Il ne voit personne...il ne bouge pas mais essaye d'orienter sa recherche visuel en fonction des pas. Les pas s'arrêtent près de la rivière et quelques minutes plutard disparaissent dans la prairie qui borde la forêt.
Le bougre se hisse péniblement contre un arbre...
Les minutes passent...
Quelques heures défilent et le bougre commence à ressentir le froid...
Tellement le bougre était épuisé de cet entrainement qu'il en a oublié sa veste sur le champs d'entrainement.
La nuit commence à tomber et le bougre s'endort malgré la température de son corps qui chute.
La plaie s'est arrêtée de saignée mais le pauvre homme semble très épuisé.

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[HRP]Leyoun :
- ne sait pas comment il s’appelle
- est vêtu de simple braies et d'une veste militaire usée, accompagné d'un insigne militaire de premier rang: soldat
- n'a pas d'arme ni d'armure ni casque rien ! ^^[/HRP]
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