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[RP] Memento Mori ou le Printemps de Mont-de-Marsan

Falco.
Cartel Party: Passage du Midiou (Et épilogue?)

Le plus perturbant quand la bataille commence, c'est le passage d'un calme absolu à un chaos indescriptible.

Les abords du Midiou n'abrogent pas à la régle. Les cavaliers démontés sautent dans le gué improvisé, souvent sans jambiéres pour courir plus vite, bouclier dressé.
Lui, tenant son précieux en était au milieu quand l'Artillerie a tirée son unique salve..Et que un de ses deux porteuses semble se ramasser une fléche vicelarde.
Dans une gerbe de flotte ils sont dépassés par Cymoril. La Fourmi est une fameuse sprinteuse et à l'air des plus grognonne. Heureusement que les murs de Lacataye sont épais sinon il plaindrait presque les défenseurs.

Sa chute commence doucement, en agitant le bras qui tient l'épée, le tonnelet coincé sous l'autre.


Culotte de Sainte Acrimine! (Patronne des braies qui tombent) La PouPou! La Drepou! La...Argh!!

SPLOUTCH.

..............Ouille.....Aîe...........Hey!............Naméo!..........Glou..Glou..
Non seulement il se retrouve dans une eau douteuse jusqu'aux épaules, avec un tonnelet de poudre partant rejoindre l'Océan..Mais la vague d'assaut semble le confondre avec un cailloux permettant de sauter plus vite vers la berge.
Sans doute le casque..
Le Midiou a goût de vase tiéde et il a tout loisir de regarder les chapelets de bulles provoqués par les carreaux d'arbaléte ou les fléches disparaissant autour de lui.

Sans sape l'assaut est voué à l'echec.
Fort heureusement de furieux combats plus loin leurs évitent bien des pertes.

Quand il sort de l'onde ce n'est pas Vénus mais Héphaistos qui nait. Phasme cuirassé à la mine lugubre, un tétard en virgule sur le front qui ruisselle, l'épée festonnée de nénuphards en boutons.

Pile pour battre le rappel et entendre un Namay crier un truc de réunion.


Ils ont morflés quand même?
Oui m'sieur l'Fossoyeur, l'Maire a lancé les défenseurs sur eux.
Et le Donjon est tombé?
Non m'sieur
Crotte de mulot! File ta chemise que j'm'essuie. A cheval! A cheval! Marre de la flotte, on passera par la porte!


L'humeur trés joyeuse, donc, il ira se taper un coup de rapports de combats, de cartes et d'espions variés.
Lacataye a tenu.
Et le Duc ne tardera pas à venir les déloger d'ici.
Il dira son point de vue de cavalier.
Namay celui de son infanterie lourde.
Et vogue la guerre civile, son cortége de larmes jusqu'à ce que le Duc abdique.

_________________
Tableau de chasse de Guyenne:

Elissar
[Memento Mori]

Zhu était venu lui annoncer la couleur de son travail, noir.
Noir tel la poudre, noir tel la nuit qui verrait la bataille s engager, noir tel la robe de la mort enveloppant les corps tombés.
Elle lui sourit, espérant que la surprise fonctionne.
Mais pour cela, il lui faudrait aller voir comment se débrouillent les deux autres avec le charriot de feu.

Une voix à coté tonne:


-Spadasse flèche de poix !

Elle lui en tend une sans vraiment réfléchir, après tout, il peut bien faire semblant de s intéresser à se qu elle fait, c est pas ça qui la distraira de son travail.

Voila que le son fouettant de la corde vain à ses oreilles et les yeux se lèvent au ciel pour contempler la trajectoire de la flèche embrasée
Elissar fait la moue, blasée.

Combien minutieux fallait il être pour finalisé la confection du projectile en y insérant délicatement les plumes.
Gâchis...gâchis... en plus il tire avec son arc...
Aucun respect de la propriété privée.
Demande même pas la permission !

Mal élevé !

Où qu il est mon fouet de lieutenant instructeur que je te corrige !

Déjà, d autres affaires l appellent.
Un tour vers ses collègues de diversion, mazette, l engin ne sera pas prêt pour ce soir.
Tant pis, on finira tout ça pour l assaut du lendemain.

Il est temps de se preparer pour le combat qui approche.


[L assaut]


Coup de boulet, fumées, cris de guerres et hennissement de chevaux emballés.
Ils foncent chacun de leurs cotés, artilleurs là bas, Elissar ici, pas loin de Danjam, Zhu, Burrich et Namay.

Les portes s étaient ouvertes, béantes, offrant aux Memento la possibilité d arriver en touriste dans une ville qu ils cherchait à reconquérir.
Un piège ?
Non même pas...

LouisNapoleon, maire farouchement opposé aux actions de son ami Namay avait changé d avis. Il avait comprit la déraison qui avait contaminé le conseil ducal.
Alors, fier gascons souhaitant chasser l armée ennemie de leur cité, les maréchaux combattent fièrement les soldats commandés par Dide.
Et dans les têtes des plus fervents admirateurs du Duck, le mythe de Mont de Marsan, ville peuplée de Loyalistes prés à défendre le pouvoir en place, s envola trés loin.

Alala, tellement nombreux farouches et combattants ces Loyalistes que la Spadasse n a rien à faire ce soir.
Pas même protéger le Capitan qui cherche à pourfendre lui aussi.
Alors qu elle retient un bâillement, un chose attire cependant son regard, à terre, un piège ?
Elle descend tranquillement de cheval et récupère l objet.


Citation:
En chemin, vous trouvez un morceau de bois sculpté. Il s'agit probablement d'une rame. Une série de lettres est gravée dessus : v = (Im(f*)df/dx)/|f|².


-Norf de Norf, des maths ! Hate it.


Elissar toise la rame comme ne sachant pas quoi en faire.
La jeter ?
Partir frapper Dide avec ? Roh, quelle preuve de bonté que de le laisser envie celui là.

Allez, prise de guerre !

Elle la donnera à Falco qui avait peur de se mouiller en traversant le fleuve.


[Morne retour au camp de base]


Elle serre les dents, serre le manche de la rame qui n a pas quitter sa main.
Son regard est froid tourné vers les remparts, son mutisme inquiétant.
La rage bout en elle, et ne s éteindra que lorsque les Estafans seront défaits.
Frustration de ne pas avoir pu être aux premières loges, tremper l épée du sang d un cadet.
Amyr, artilleur joint aux Cartels était revenu aux campement sur une civière rouge.
Elle attend nouvelle devant la tente médicale.


-Spadasse au rapport

La jeune fille entend et crispe sa mâchoire, les nerfs en pelote.
Elle arrive en grondant mi colère mi ironie et jette la rame à ses pieds


-Rapport !! Quel rapport ??? Le rapport de force entre nous et Dide ! En négatif sous le zéro absolu ! Grumpf !
Et où qu ils sont tes renforts fantômes !!!


Il l écoute, calme, un sourire amusé aux lèvres, tandis qu il dé-bouchonne une bouteille de vin.
Le verre plein, il le lui tend.
Grommelant toujours elle le prend, boit d un trait et se laisse tomber à terre, en tailleur.


-Sinon... pour un premier assaut, on s en tire moyen... même trés décevant, j ai du leur faire peur de loin, personne s est jeté sous ma lame.
Tu crois qu ils deviennent intelligent ?
Enfin...perte minimale pour nous... deux blessé graves et non des moindres, une blessée coté Cartel, et des âmes éprouvées. Wala...


Un soupir.
Le verre s est fait remplir à nouveaux durant sa tirade.
Il ne reste plus qu à y porter les lèvres.

_________________
Loulianne
La difficulté de cette rivière...
Tout en portant le pavois, tu t'appliques à lever tes jambes et à les enfoncer dans cette horrible boue où tes bottes risquent à chaque instant d'y rester.
Tu commences à ressentir quelques douleurs dans ton épaule mais tu résistes, histoire de ne pas faire tomber Falconix dans l'eau.
Tout gronde autour du convoi mais vous poursuivez votre avancée malgré la boue. Du côté d'Ael, tu vois un défenseur qui vient s'en prendre à vous. La main agile, elle parvient à le blesser avec sa dague, le détournant de son but initial.
Elle, réactive.
Toi, bien trop occupée à accuser le poids du pavois pendant qu'elle s'occupait de cet homme, t'as pas vu ce qui arrivait sur toi.


Citation:
08-04-2009 04:13 : Garlan vous a porté un coup d'épée. Vous avez été grièvement blessé.


aaaaaaaaahhh !!!

Une grande douleur dans l'épaule gauche et une fièvre soudaine.
Tu veux pas lâcher le pavois pour autant. Il ne vous reste pas grand chose à parcourir, vous êtes bientôt arrivés de l'autre côté de la rivière. Mais cette flèche venue se loger dans ton épaule, te fait horriblement souffrir.
Aller tu tiens Lou, tu tiens ...
Tu tiens ... tu tiens pas ... tu tiens plus ...
Et la vue se brouille subitement.
Ton corps chancelle alors que tu portes encore le pavois. Tes jambes fléchissent progressivement et tu t'enfonces lentement dans la boue. Tu n'arrives plus à te dégager et tu as beau lutter, lutter, tu ne parviens pas à reprendre le contrôle de tes jambes qui s'enfoncent encore et encore. Ton corps faiblit et le pavois bascule.
Puis ... comme un immense vide, le voile noir.
Tu n'entends plus rien, tu ne vois plus rien.
Un voile noir.
Et tu perds connaissance.

_________________
Feliantine
[Mont de Marsan, la veille]

Les rues de la ville grondaient des rumeurs toute plus folles les unes que les autres. Tout le monde y allait de son information qu'il tenait de source sure. Peu savaient en realité. Tout le monde parlait, plus pour chasser l'angoisse qu'autre chose.

Tolosa deambulait dans les rues, cherchant à tuer le temps en attendant... Les tavernes dont les lumieres seules eclairaient les petites rues semblaient avenante. Apres tout, pourquoi ne pas aller y faire un tour. Un coup d'oeil rapide dans la premiere, mouai non... connait personne. Et puis la seconde. Mais n'est ce pas... Si!! Sa niece Aelyce qu'elle n'avait pas revue depuis si longtemps.

Rapidement, elle entre et se precipite pour serrer sa niece dans ses bras. On papote deux secondes, joie des retrouvailles. Et puis Feli jete un coup d'oeil aux autres clients.


Ah tiens il est là, lui.

Lui, c'est Hook, le fanfaron, le fier à bras, l'hypocrite, qui s'enorgueillit de parler occitan et qui se moque de Tolosa qui elle ne parle pas, sauf que Tolosa a reussi là où le pignouff a echoué lui qui connait teeeeellement de chose. Et la discussion s'envenime. Il prend meme son heaume l'autre hospitalier qui a oublier ce qu'est un chevalier. Un chevalier lutte contre l'injustice, un chevalier lutte pour le bien, par pour des couilles molles qui se refugient derriere des interpretation falacieuses de la loi et des magouilles politiques pour evincer un adversaire qui a le tord d'avoir raison. Il parle occitan, oui, il le parle. Elle parle latin et il lui sert le couplet comme quoi l'occitan c'est du latin. Et vas y que je te raconte n'importe quoi pour pas avoir l'air d'avoir tord. Cretino! Ça confond le chorizo avec la rosette de Lyon, mais c'est vrai apres tout les deux sont du saucisson!

Et vas y que je te meprise les gens et vas y que j'y vais à coup de moi je moi je moi je.

Fin de la discussion, Aelyce s'en va, Feli la suit. La compagnie de ce decerébré, de cet orgueilleux qui salit la chevalerie en se comportant comme le pire des gueux n'est pas du goût de Tolosa. Se faire insulter par aussi mediocre que ça, elle a mieux à faire.

Elle s'en retourne au camps. Elle y retrouve son beau frere. Elle prend des nouvelles. L'attaque est imminente.


[aux remparts]

Et puis tout s'emballe. Les ordres claquent. Les cris des officiers et sous officier. Le bruit des armes qui s'entrecroisent dans un bruit sinistre de fer martyrisé. Les cris des hommes qui tombent, blessé. L'odeur du sang, la fumée, la muraille qui ne veut pas ceder. Et partout on court. Partout on se cherche. Taper. Taper encore sur tout ce qui se presente. Avancer, malgré son inexperience, avancer se frayer un chemin, eliminer autant d'adversaire que possible. Et soudain...

Il est là devant elle le fier à bras. Il ne la voit pas. Mais elle le voit!

Geste prompt, precis, vindicatif et efficace. Le poing ganté de fer s'eleve et s'abat violemment, de toute ses forces elle tape! Comme au ralenti, elle voit le maxilaire de son adversaire se demantibuler. Et trois ou quatre point blanc s'echappent de sa bouche avant que le sang ne jaillisse.


Tiens! Bouffe le celui là! Il va t'aider à parler occitan, Pecno! Et tiens en voilà un autre!

Elle frappe. Elle frappe encore. Oh, elle ne lui fait pas bien mal. Mais là où elle tape, il va avoir du mal maintenant à se la ramener moi je parle occitan.

Ça tu vois, c'est methode Lulu! Je te la joue à la bretonne moi mon gars. Pas bien epaisse la gueuse, mais elle te l'a envoyé dans les dents. Y'a une justice mon pote. Tu as cherché à m'humilier, je te chatie par où tu as peché. Dieu a tranché!

Rapidement, elle se penche au sol, evitant la riposte de son adversaire, et ramasse les quelques dents tombées.

Roulé boulé pour s'eloigné de la porté de l'arme que son adversaire brandit deja.


Tu permets?? Je garde ça en souvenir. Trophée de chasse. Ça va etre du plus bel effet en collier. Allez le chevalier de mes deux! A la revoyure.

Et elle ne demande pas son reste. Elle s'eloigne rapidement, laissant son adversaire sonné qui doit encore ce demander comment une crevette comme elle a pu battre un si grand chevalier que lui. L'humiliation! Dieu avait tranché. Dieu, par le poing de la petite avait jugé. Il avait puni là où Pine d'Huitre avait peché!
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Mousse4480
[Dans le camp de Memento Mori]

Mousse se préparait tranquillement, il avait déjà pris épée et bouclier, il ne s'en séparait jamais depuis qu'il était devant les remparts de Mont de Marsan.
Il était encore tout retourné de la déclaration de sa belle Ellya, elle l'aimait.
Il n'en avait jamais douté, mais elle ne lui avait jamais dit non plus.

Puis il y avait les retrouvailles avec Aelyce, un moment merveilleux, depuis le temps qu'elle lui manquait.

Soudain, une explosion le fit revenir sur terre.

[L'assault]

Mousse sursauta, une terrible explosion venait de se produire pas loin de lui.
Il aperçut Amyr volant tel un oiseau avant de s'écraser lourdement au sol.
Soudain des cris venant des remparts, son regard se tourna immédiatement vers ceci.
Le porche de la ville venait de s'ouvrir, il ne comprit pas pourquoi mais il regarda Naniuss, lui fit un clin d'oeil et lui dit

Allez, Nanius, on y va.

Il embrassa une dernière fois son bracelet, cadeaux de sa belle et chuchota: Ellya, pries pour moi.

Il lança sa monture à grand galop, à peine était 'il entré qu'il reconnut Elhini qui s'opposa à lui, son cheval se cabra et envoya un coup de sabot magistral à la pauvre.

Citation:
08-04-2009 04:13 : Vous avez frappé Elhini. Vous l'avez légèrement blessé.


Tandis qu'il regardait le soldat Elhini tomber, il entendit une autre guerrière crier et courir vers lui.
Il reconnut les insignes des cadets.
Elle courait vers lui, l'épée au dessus de la tête, Mousse se pencha sur le flanc droit de son cheval, il entra profondément son épée dans le corps de la demoiselle avant qu'elle n'ai eu le temps de donner son premier coup.
Elle s'écroula instantanément. Mousse ferma les yeux, il venait de rompre sa promesse auprès d'Ellya.

Citation:
08-04-2009 04:13 : Vous avez frappé Morpion79. Ce coup l'a probablement tué.


Soudain l'incompréhension, le combat s'arréta, la maréchaussée regardait les soldats de l'Ost.
Mousse en profita pour ressortir et rentrer à Memento Mori.

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Burrich
Soudain, il se rappella avoir vu une charrette remplie de tonnelets appartenant à son aristocratique commandant. Ni une ni deux, il embarqua la brune et ne tarda pas à trouver ladite charrette. Se posa à présent le problème de la vider toute cette vinasse...
Sourit malicieusement songeant qu’il pourrait faire honneur à la réputation grandissante de sa fameuse descente mais en un regard à sa voisine comprit qu’elle ne le verrait pas du même oeil.
Ca allait leur prendre un temps fou de tout débarquer, ensuite fallait encore la tirer et l’amener au bon endroit...


-On fera les bêtes de somme une autre fois ma grande, la charge a déjà commencé.

Direction le front maintenant. Il enfila une armure dare-dare et se hâta de rejoindre en claudiquant, car fixant ses jambières en même temps, le groupe de tête.

[Assaut - devant la porte]

Cacophonie de cris et de combats qui semblaient provenir de par delà les murs de la cité. Un seul coup de canon...les portes s’ouvrirent sur une scène des plus ahurissantes. Un drôle de théàtre.
Les défenseurs du poulailler duckale qui se tapaient sur la tronche!


-Allons allons, vont quand même pas faire le boulot à not’ place! On est pas assez bon pour s’occuper d’eux tout seul peut être?!

Il hésitait entre taper de pied pour protester et se rouler par terre hilare.

-Pfff ça valait bien la peine d’spresser! Va bientôt plus nous rester grand chose comme ils y vont...

[Retour au camp]

Ils repartirent donc bredouille au camp, la mine boudeuse. Aucun trophée à ramener pour aujourd’hui.
Sa mine s’assombrit davantage voyant amyr dans un sale état passer sur un bancard. Pour sûr qu’ils auraient à sortir les corbillards la prochaine fois les scélérats!


Bougon et exténué d’avoir courru partout pour rien, il s’ouvrit un tonnelet du grand manitou et bu pour oublier cette vilaine journée.
Zhuyanzhang






Laissant sa cuisine de côté, Zhu avait rejoins les autres pour l assaut, restant pas loin d Elissar, les assaillants fondaient sur les murailles de la ville, ça y est, on peut dire que là oui c était partis, le début de la fin du règne de Duc venait de commencer.


Boummmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm !

Telle était le début de ce qui allait être sanglant, Amyr avait lancé le top, comme un chef d orchestre


Zhu fut aussi surprit que tous, quand les portes de la villes se sont ouvertes, serait ce une manœuvre afin de les piégeaient ?

Ses deux sabres sortis prêts ont frappés, il avança avec extrême méfiance, le maire aurait il changé d avis et ce serait il rallier a la cause de Mémento Mori ?


On dirait bien en effet, ben oui beaucoup en avait marre de la politique du Duc, et a moins de souffrir en silence, le Duc verrai bien que les hommes et femmes de cette armée d assaillants, n étaient pas les seuls a en avoir ras le bol !

Avançant donc avec méfiance il voyait que certains des loyalistes étaient mort sous les coups d épée des gens de la maréchaussée, Zhu en rigolait, oui des dommages collatéraux !

Pendant ce temps Zhu avait demander a Wang d activé la correspondance avec les duchés et comtés avoisinant, il voulait savoir si le Duc avait une fois de plus menti sur des sois disantes troupes venues d autres parts, et bien sûr une fois de plus les membres de la fondation qui se trouvaient un peu partout lui dire que non pas de mouvements de troupes qui viennent en Gascogne, mais ça le Baron le saurai a son retour de l assaut.

Wang faisant un rapport précis des 4 armées qui se trouvaient sur le duché, une sur Dax, celle de la copine de Zhu, oui Morphée, et Merlin aussi……, d ailleurs Zhu se ferait une joie de ce payer sa tête a elle oui sûr !

L autre il se fera encore botté le train comme il se doit, puis il a l habitude depuis le temps, le souffre douleur du duché!

L autre étant très loin encore, celle du Duc, oui il arriverait sûrement quand tous les loyalistes seraient morts, la fin donc et sa fin aussi……..


Premier assaut fini, est le début d un carnage chez les loyalistes, pas trop de pertes chez nous, voir quasi nul même, retour au campement comme après un journée de labeur on rentre chez soi, le vin est là, le capitaine Namay demandait les rapports, Zhu était présent pour évaluer les forces encore présente, et quelles forces…………………..


Un peu de répit avant le prochain………………………………………

_________________
Memento Mori

"Forces et honneurs"
Fallgor


[Mont de Marsant - Sur les remparts]
Fallgor vit arriver perplexe les assaillants du tour de garde. Ils arrivaient de partout et traversaient la rivière, une position vulnérable aux flèches. Aussi, il se prépara en bandant son arc, en enflammant une flèche et en se tenant près a lacher la corde qui lui entaillait les doigts.
Et l'ordre claqua dans l'air.

Citation:
Archers, feu!


D'un geste synchronisé avec les autres archés, il lâcha sa flèche. Les bruits des cordes lâchées rendirent un étrange accord, qui résonna dans la cour derrière lui. Il lança ainsi plusieurs flèches, au rythme des ordres.
Après une quatrième volée de flèche, les assaillants était presque devant les portes de la ville.
Heureusement, nous avont des portes bien épaisses, ça va nous laisser le temps de nous organiser dans la cour.

A ce moment, il vit le maire sur les murailles.
Étrange, que fait-il la ? Il ne devrais pas être en train de coordonner les maréchaux en bas ?
Encore plus étrange, il vit Ashmael le poursuivre, épée dégainer. Le maire était en train de sauter au dessus des remparts, au moyen d'une corde !
Mais qu'est-ce qu'il se passe ?
D'instinct, il regarda en contrebas d'où venais les deux sires, afin de comprendre.

Et il comprit.

On les avait trahis ! Le maire les a vendu a l'ennemis et a retourner les maréchaux contre eux !
Fallgor jete son arc a terre, dégaine son épée et descend l'escalier qui menais a la cour. Et il se retrouva nez a nez avec Coeurbriser.

Son sang ne fit qu'on tour. Bien qu'étant son ami, il savait pertinament qu'il avait rejoins les frondarts. Aussi commença un combat précaire sur l'escalier. Après quelques passes reconnaissable, les deux hommes ayant eu la même formation, Coeurbriser réussi a enfoncer son épée dans la cote gauche de Fallgor.
Surpris par la violence de l'impact et de la douleur qui se répandais dans son flanc gauche, Fallgor se sentis défaillir. Il résista tant bien que mal a l'évanouissement, et tomba sur sa droite, dans la cour.
Heureusement, une botte de foin salvatrice amortis sa chute. Mais le mal était fait, et Fallgor sombra dans une semi inconscience. Asser pour se trainer hors du foin et de ramper sur le sol pour que l'on puisse le voir et le soigner.
Citation:
08-04-2009 04:13 : Coeurbriser vous a porté un coup d'épée. Vous avez été grièvement blessé.


Heureusement, la blessure n'était pas mortelle, mais le choc et l'hémorragie lui obligerais a garder le lit pour au moins une bonne semaine ... Et encore, le médecin ne s'était pas avancer dessus.
C'est avec une amère déception que Fallgor compris qu'il n'était plus en état de combattre pour cette bataille.
Il ne pourra plus que réfléchir et s'inquietter, pour ses amis, et bien plus encore, pour sa compagne.
Vit, mon amour, pria-t-il en silence. Bat-toi, et vit, je t'en supplit.

Une larme de frustration lui roula sur la joue. Au nom de tout les gascons dont le sang a ou va couler.



























Nanius


[Cette nuit.....]

La guerre etait déclarée, l'ennemi pointa son nez....
mais pourquoi personne ne se battait contre moi? peut être que j'étais trop faible à leur goût ou pas assez, j'en doute!
malgré tout les combats surgissaient de tout les côtés, les coups d'épées retentissaient, j'avais une pensée pour chacun d'entre eux, quand soudain...

BOOOOOOOOUUUUUUUUUUUMMMMMMMMM

Une explosion eclata non loin, la fumée fusa de part et d'autre, j'aperçus au loin une silhouette d'homme plutôt familiére....
oui c'etait bien lui, Amyr, boitillant, souffrant et vraiment mal en point, malgré son état et à bout de force il en voulait à l'ennemi et s'elança vers lui sans se soucier de sa vie.
A ce moment la nous echangeons un regard, le coeur sérré....non ce ne pouvait pas être le dernier c'est impossible.
Et la le drame se produit ...
Sous mes propres yeux, il reçut un coup d'épée qui lui fut fatal, l'homme que j'aimais plus que tout s'effondra au sol.

NoooooooooooooooooooN

Mon sang ne fît qu'un tour, je jetta les armes à terre, remarque pour ce qu'elles m'avaient servi ce soir.
Les yeux envahient de haine et de larmes, j'accourue à ses côtés.
Il etait là ,etendu sur le sol, la poitrine en sang, le teint livide, le corps froid, plus de réactions.

Amyr c'est moi Nanius...

Une douleur m'envahit, je ne pouvais imaginer le perdre, pas maintenant.nous avions tant de choses à vivre encore ensembles.
La main posée sur sa blessure je le serra contre moi et lui déposa un baiser sur le front en lui murmurant:

J'ai besoin de toi mon amour

J"etais completement désamparée face à son corps inerte
Puis mon regard croisa celui de Mousse
il me fît signe de le suivre . mais il compris que ma place etait aupres d'Amyr.
A nos regards nous nous comprenions et il poursuivit seul
Lunedargent


Mont de Marsan : Porte de la ville

Ici les combats vont faire rage , Lune les cheveux aux vents non loin du capitaine , admirative , passionée , fier mais un secret la ronge, il est la non loin d'elle , arc à la main donnant les directives .

Lune elle le regarde , ecoute ses ordres avec attention peut etre etait ce le moment de lui avouer , belle occasion que de lui dire devant les portes de la ville promise , elle , la jeune femme à ses cotés en guise de récompense parmis les cadavres et les cris assourdissants. Elle ne peut tous de meme pas s'empecher de s'approcher de l'homme revetue de ses plus beaux apparats militaire , tel un chef conquerant et ambitieux ce qui l'avait pas laisser indifférente.A l'oreille discretement mais distinctement pour qu'il entende bien elle se lançe avec courage

c'est dans ton sourire que je puise la force de me battre , des larmes coulent de mes yeux , je tremble , j ai peur , j ai froid , je te vois fier en uniforme , tu m as promis de revenir , je t ai promis de te soutenir ! Bonne chance Capitaine

Puis intimidée n'osant plus regarder son visage , elle regagna ses rangs , la cité etait devant elle , il ne fallait pas le decevoir , elle s'arma de courage et prit son courage à deux mains , elle était enfin prete !

_________________
Amyr
Il vit une silhouette, plus embrouillé que voyante, mais il l'a voyait, celle qui aimait. C'est froid, et oui, il fallait s'y attendre. Un jour ou l'autre! Il l'entendit à peine:

Amyr c'est moi Nanius...

N...Nan... Ne...Ne te soucie... pas de... moi

Étourdie, confus, gelé, mais il avait réussit à formuler ces quelques mots.

Si...Tu veux...M'aider... brûle... Ma blessure pour... la cicatrisé... Fait-le...........

Il s'évanoue à nouveau
Aelyce_h
[Les pieds toujours dans le Midiou]

Tout est allé vite, tout est allé bien trop vite.
Au final, ils étaient tous les trois marqués du scel du Midiou. La vase leur léchait goulument la peau jusqu'à couvrir l'épaule ensanglantée de Lou. Car pendant que Falco sautait dans..l'eau?..et que sa fillote perdait connaissance sous la douleur, elle perdit instantanément l'équilibre, et reçut le bouclier rectangulaire sur le corps pour mieux l'enfoncer dans la l'eau boueuse.
Et sa cotte de maille si fine soit elle, fit office de filet, elle aurait certainement aperçu toute une faune et une flore, grouiller coincées dans les mailles, mais mue par l'inquiétude, elle fit tout pour essayer de se relever, retrouver l'équilibre et rejoindre la blessée pour la trainer par les épaules jusqu'au sec, tout en passant à deux reprises par la case : fesses ventousées aux fonds "Midinousques".


Une fois sur la berge, elle lui enleva sa salade dégoulinante, se débarassa de la sienne, avant de déloger d'un geste sec mais précis la flèche logée dans son épaule, même s'il lui fallut pour ça utiliser les deux mains et tirer de tout ce qui lui restait comme forces.
La douleur intense réveilla à nouveau Loulianne, lui faisant ouvrir des yeux globuleux, le temps d'un gémissement de douleur et elle replonge dans la léthargie.
L'avait elle entendue tandis que sa marraine s'adressait à elle d'une voix émue, tout en lui caressant tendrement ses cheveux


-Pardon ma Lou, il a fallu te torturer une dernière fois, je t'emmène te reposer loin de tout ça...courage!

Le combat fit rage, mais étrangement les cris provenaient surtout de derrière les remparts. Quelque chose ne tournait pas rond.
En attendant c'est tout droit qu'elle devait trainer encore une fois, le corps de sa fillote, vers une tente, au sec.
Elle fût changée, débarrassée de son accoutrement où la vase se mêlait au sang pour dégager dans les lieux une odeur fétide. les blessures furent nettoyées, et Lou recoiffées. Le silence avait balayé les cris de combat, laissant place au loin à des cris de peine, à des pleurs, des hurlements.
La guerre fratricide avait ce goût âcre qu'elle ne connaissait pas encore.

Plus tard ils feront mouvement, mais elle refuse de laisser la blessée seule. Elle demande à Casse_bonbons de rester sous la tente auprès d'elle jusqu'à son réveil, de la nourrir, vérifier qu'elle n'ait pas de fièvre, lui tendant une lettre, une lettre que son ami presque-médecin-s'il-n'était-pas-nul-en-latin Macdes lui a écrite, avec une adresse figurait dans le dos.

Citation:
Ma tendre Amie,

Je me permet de prendre quelques nouvelles de toi, sachant ton plaisir à te mettre dans des situations que je qualifirai, par respect pour toi, de douteuse, sans plus.

J'espere que tu vas bien et que le destin aura la clémence de te mener sur mon chemin dans pas trop longtemps.

En attendant d'avoir le plaisir de te lire, je te souhaite bien du plaisir en notre Royaumes et te dis à bientôt.
Pour ma part, je prend patience et révise mon latin en attendant de reprendre le chemin de l'Université.

Bien à toi.

Mac


-La blessure n'est pas fatale heureusement, tu sauras la soigner Casse_bonbons je te fais confiance, mais si ça tourne très mal et que tu ne sais pas quoi faire pendant que je combats auprès de la maisnie, n'hésites pas à voler jusqu'en Guyenne chercher le lion de Bazas..


Quelque peu rassurée de la laisser sous surveillance, elle tourna les talents, laissant s'envoler une prière balbutiée adressée au très haut du bout des lèvres. Le coeur lui serré par un pressentiment, que le sang de sa fillote n'était pas le seul sang d'un proche que cette terre boira.

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Myrtillia
Regard vers le camps, celui d'une femme decue a qui l'on a menti.

Je n'irais jamais en anjou ... avait il dit la veille alors qu'il lui avait promis .... C'etait un peu comme la promesse de detruire l'armée... encore une qu'il n'avait pas tenu... trop de *blabla* me dit cet homme la, trop de tracas j'ai donné deja ... et de jour en jour la Dénéré s'appercevait que son epoux ne faisait que lui mentir ... mentir toujours et encore


Regard vers sa fille a peine retrouvée.

Regard vers de ce capitaine qui prefere passer son temps avec Elissar ou jouer avec lune mais qui est toujours trop occupé pour son epouse.


En fait depuis qu'il avait son armée, il avait surtout un ego surdimentionné et envoyait petre sa femme des qu'elle osait montrer une once de desacord... il ne fallait faire que selon son desir... prenait les decisions seul... d'aurenavant il serait seul ....
La nuit derniere il avait perdu son epouse, et il pouvait bien rejoindre la couche de toute la bleusaille du monde qu'elle n'en n'avait cure.

Restait a decider si elle abandonnait la cause maintenant, partir ce jour lui serait benefique, coupure nette franche et sans fioriture, il ne le verrait meme pas le grand babo occupé... ou si elle restait pour ceux qui y croyaient ...

Elle se posa sous sa tente et s'endormis, elle verrait bien au reveil...

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Aelyce_h
Premier regard échangé avec sa mère depuis celui qu'elle pensait être le dernier dans la baronnie d'hautpoul. et quel regard. Elle qui s'attendait à voir le même que la dernière fois : froid, hautain, cruel et profondément blessé, elle y vit certes bien des blessures, mais une brisure creusée par le doute, une lassitude qu'elle ne lui connaissait pas.

Spontanément la tête blonde de sa mère se penche sur son front et lui dépose un baiser. Un baiser qui lui conte l'histoire de bien des désillusions, un baiser qui trahit son silence et lui raconte bien des doutes et des doutes qu'elle s'entêtait de taire pourtant.

Mais les rumeurs avaient des ailes. Et il suffit de quelques regards passionés échangés entre un amant et sa maitresse dans un champs de bataille grouillant de soldats, pour qu'elle se propage telle qu'une trainée de poudre jusqu'aux oreille d'Aelyce.

Son regard aux reflets chauds habituellement lançaient des éclairs métalliques impitoyables tandis qu'elle franchissait le rabat d'un pas décidé, trahissant une colère à peine contenue. Mâchoires crispées, et les poings joints elle s'en va la voir, et vérifier. Entre les deux jeunes femmes il y'a une histoire, empreinte de respect et d'honneur même si la Gascogne l'appelait elle "la Catin". Elle veut la vérité de sa propre bouche.

Le printemps, saison des amours lui avait on dit. Peut être voulait on dire, saison des désamours...également.

C'est une jeune femme au regard plus acéré que la lame d'un ennemi qui écarte le rabat de la tente de Lune et qui lui lance sans aucun détour :


-Lune..tu n'aurais pas quelque chose à me dire?
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Gilgalad
[Armée "Los Torros Gascones"-Dax]

Nous étions prêt , le campemant defait ;les ordres allaient et venaient , recrue de dernière minute a acceuillir ...
pas le temps de reflechir pour le moment il faut se tenir prêt , je regarde les hommes, ils trépignent tous d'impatience, certains on entendu ce qui s'était passé la veille, la haine dans les yeux je passe les rangs !


Ne soyez pas aveuglés par la haine ...gardez l'esprit clair ...essayez de ne pas trop picoler non plus !

Je retourne vers le village encore des recrues a acceuillir ... en chemin mes pensées s'egare ... je regarde le ciel , il fait beau en ce mois d'avril ... avril oui j'ai ce mois en tête depuis le debut des événements ...
Je me souviens de cette rencontre il y a quelques mois a Labrit, dans une taverne , Cymoril la fourmi ... Je souris a cette pensée, j'aimais à la traiter de sale gosse, elle me le rendait bien me traitant de vieille carne ...
je me souviens surtout de cette rencontre avec Falco de Cartel ... le fossoyeur , marcel comme je m'amusait a le surnommer, oh il me l'a bien rendu aussi , mais toujours avec respect ...
Inevitablement la discussion tourna autour de la mort ... autour de la mienne, "je choisis le mois d'avril" je lui dis en plaisantant, mais lui ne plaisantais pas et, au final, qui sais, peut être que moi non plus a l'epoque ...
Il me faut en avoir le coeur net, au vu des événements peut-être aurais-je vu juste ?
Un detour par ce qui me sert d'habitation en ce moment , eh oui mon fidèle architecte étant occupé a labrit avec des travaux concernant la maison de Cymoril , en esperant qu'il revienne entier , pas commode la fourmi parfois ... enfin bref ..une plume , un parchemin ...


Citation:
Bien le bonjour messire Falco de Cartel !

Je vous ecris en ce joli mois d'avril pour vous rememorer une petite discussion que nous avons eu il a quelques mois a Labrit...

Je doute que vous ayez oubliés ce fait vu que vous tenez scrupuleusement vostre carnet de commandes a jour, mais je penses que vous allez avoir pas mal de travail dans les prochains jours et que vous prefereriez reporter quelques peu cette échéance.
En effet je n'aimerais pas vous mettre dans l'embarras avec un quelquonque retard dans l'accomplissement de vostre tache et vu que des événements sont intervenus dans ma vie et qu'au final, quand j'y repense, je vous ai effectivement parlé d'avril mais n'ai jamais précisé d'année ...
Donc j'aimerais annuler purement et simplement cette commande voir la repousser de quelques années a vostre convenance bien entendu !

Dans l'attente de vostre réponse, veuiller agréer mes respectueuses salutations mon cher Marcel.

Gil Galad de Saint Estèphe.


Missive envoyée, on verra bien la réponse , je repars le coeur un peu plus leger acceuillr ces fameuses nouvelles recrues.
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