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[RP] Memento Mori ou le Printemps de Mont-de-Marsan

Estalabou
[Armée Civis Pacem, portes de Labrit]

Le Duc se trouvait sous sa tente. Ils avaient voyagé toute la nuit pour se rendre à Labrit.
Il fallait maintenant etablir un plan d'attaque pour soulager Mont de Marsan.

Une estafette s'avance, passe les garde, et se presente au Duc.

Votre Grasce, ils ont bougé !!!

Qui a bougé?

L'armée Memento Mori, ils ont bougé cette nuit. Pobablement ont ils eu information sur notre arrivée.

Et ou sont ils allés?

Sur Dax!

DAX???? Mais alors l'armée du capitaine leur a barré la route?

Ils ont essayé de s'interposer votre Grace, mais ils ont été repoussés. Ils ont pu remonter leur campement à l'ecart de la ville.

Viens me montrer les positions sur la carte.

Le soldat s'execute et pointe les emplacements nouveaux des armées.

Bien, je te remercie. Des pertes?

Oui votre grace, notre capitaine est légèrement blessé. Nous comptons également une perte humaine. Le maistre des Cadets.

Arfff... Voila qui doit faire jubiler nos ennemis.
Bien, vas. Reprends des forces, nous aurons des ordres à te donner.


Long soupir... Le Duc n'aimait decidement pas faire la guerre... Mais il aimait encore moins la vermine...
Il fallait maintenant retourner preparer les prochaines offensives.

_________________
Goum
Armée Los Torros Gascones, Dax

Voilà 2 jours que le Limousin avait intégré l'armée "Los Toros Gascones", drôle de nom pour une armée, drôle de guerre aussi.
Il n'était pas sûr d'avoir bien compris contre qui il allait se battre, d'autres gascons apparemment.

Cette guerre n'est pas la sienne, et pourtant il est là. Coincé à Dax. D'après ce qu'il avait entendu, c'est à Mont-de-Marsan que les combats avaient lieu. Il regardait justement vers le nord quand il vit un nuage de poussière à l'horizon. Il alla sur le champ voir Gil-Galad.


Sergent, je crois que nous avons de la visite

Goum observa calmement le sergent prévenir Morphée, des ordres allaient être donnés, son épée allait bientôt resservir.

L'armée était rangée devant les portes de la ville, la cavalerie approchait inexorablement.
Ils étaient là, les chevaux étaient partout autour d'eux, les ordres étaient incompréhensible, foutu parler gascon!
Goum se tourna vers le sergent, vit qu'il était blessé, Mimi aussi, puis il entendit un ordre qu'il comprenait: la retraite.
Le Limousin n'avait pas porté un seul coup.
Kabotine
[Mont de Marsan – Memento mori au campement…]


En silence, discrète…elle observe les aller et venue dans le camp...ne dit mots…visages connue… puis échos de pas lourd et sûr raisonne sourdement derrière elle sur cette terre Gasconne… long frisson qui parcours l’échine...il est là, elle le présent d’instinct son ainée tout proche. .. Se retourne lentement, haute silhouette qui se dessine en approche… Regard sur lui, iris émeraude qui se croise… échange de regard émeraude et les mots étaient de trop….S’avance silencieusement comme a son habitude…souvenir d’automne qui affluent, sentir encor le souvenir dans son dos larmes versé caché les siennes en se retournant et partant vers l’horizon…le regard trahissant un certains regret de la voir repartir, mais elle en a besoin et il le sait, il ne lui en tiendra pas rigueur. Pensée forte a l’unissions… A jamais… Puis elle sentira nouveau cette main puissante qui sait ce faire si tendre aussi se poser a nouveau sur elle…se laisser aller contre lui…retrouver cette complicité a jamais intact Légère pression tendre instant d’émotion partagé, voie douce murmuré.. il a été là lui aussi pour la soutenir dans tous les moments, ici en Gascogne, en Périgord… les pires comme les meilleurs. Sans mots, il comprenait son tempérament changeant un coup de feu, téméraire, impulsif… .Présence chaleureuse, aimante, protectrice… lève le regard….les mots en réponse qui ne passe cette gorge noué…inutile, il sait, il est là …. Elle est là…de cet amour fraternel que nul ni rien ne brisera…quoi qu’il advienne….à jamais !
Le suivre dans ce campement …sans ordre bien sûr, il connait que trop bien son intolérance pour les ordres…se rallier au camps… point sur la situation donnée, recrue qui arrive

Citation:
Armée "Memento Mori" commandée par Namaycush
L'armée est aux portes de la ville
L'armée recherche un conseiller militaire (30 PE-Armée)
08/04 13:03 : Armee2080 embauche Kabotine


Regardez sa nièce non loin qui lui tends une épée…main qui s’avance, claque un clin d’œil complice a Aelyce et la range dans son fourreau… Bouclier glisser dans son dos celui là même subtilisé plus tôt sur le marché Montois a un hospitalier… Puis rejoindre les rangs….

Citation:
09-04-2009 14:23 : Vous avez été embauché dans l'armée.



[Mont de Marsan – Dax - Memento Mori]

Nuit noir, Trois flèches de feu. Eclaire le ciel….Siege levé ordre de marche… Troupe qui se rassemble, monture en place l’étendard se lève et se déplace…. Chevaucher vers Dax… L'armée ducale "los toros" de Morphée est là et les attends en position d’ennemis… entre Gascons tout de même… se battre parce que le Duc ne souhaite négocier et entendre ce que beaucoup de Gascon souhaite lui faire comprendre… retour sur cette terre et a nouveau combattre pour elle, pour la liberté… et non pour ceux uniquement clouer a leur fauteuil de peur d’en partir et s’attaché a une collection de titre…

Citation:
10-04-2009 04:14 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "Los toros gascones" dirigée par Roross.


Devant les portes de Dax passage est refusé, combat qui s’engage pour les repousser ….Fraction de seconde d’inattention qui aurai pu être fatal, soldat de l’armée de Morphée qui essaie de la transpercer, positionnement du bouclier… feinte de Kab, sourire espiègle en coin, elle esquive et se faufile toujours aussi bien blessé superficiellement.…juste une estafilade sur l’arrondit de son épaule …léger filer de sang qui s’écoule cette jeune recrue court dans tout les sens en manquant son coup d’épée, sourcil qui se hausse…. Voie qui s’élève…

Alerte un énergumène court dans tout les sens écarté vous !!!! il va se faire mal tout seul !!!!

Le voici fonçant sur Louisnapoleon puis ralenti par Feliantine et Zhuyanzhang avant de le voir a nouveau repartir en titubant vers le douanier des portes de la ville. Elle eu envie d’en rire mais se ravisa et ne rajouta pas les mots qui lui brulait les lèvres *prière de le récupérer a la loge du gardien des portes de la ville*

Repartir a l’assaut défensif … l’armée de la capitaine actuelle de Gascogne se disloque, ils s’éparpilles tous pour se refugier dix lieux plus loin, passage ouvert et le gros des troupes de memento mori se regroupent devant les portes de Dax… Reprendre son souffle, réajuster le tissus sur son épaule pour cacher cette blessure insignifiante a son frère et compter les blessés...répertorier pour la nuit prochaine… elle est plus qu’en forme ce matin là même si l’aube fut mouvementé…

Citation:
10-04-2009 04:14 : Prangarde vous a porté un coup d'épée. Vous avez été secoué, mais vous n'êtes pas blessé.
10-04-2009 04:15: Vous vous êtes levé du bon pied ! Vous êtes particulièrement en forme aujourd'hui, et cela se voit ! (bonus +20 de force)

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By Crokie~~~~~~~~~~~ Homines id quod volunt credunt~~~~~~~~~~~~~
Godgaby


Gabriel s’était réveillé au bruit du combat dans sa maison de Dax mais ne s’en était pas inquiété. L’armée du capitaine attendait du monde et devait s’en sortir haut la main, un autre combat, d’autres morts, pourquoi assister au triste spectacle. Mais alors ces bruits s’amplifiaient, trop de bruit pour l’interception de quelques hommes seulement, un groupe à arrêter, cela prend peu de temps. Ce bruit, ce bruit assourdissant qui l’avait réveillé alors que le soleil pointait à peine, le martèlement des sabots qui fait trembler la terre, ce n’était pas normal.

Quelques minutes pour réaliser que les choses ne se passait pas comme ils l’avaient prévu, quelques autres pour se lever et s’habiller, et enfin une dernière poigné pour se précipiter aux remparts afin de voir ce que fait l’armée. Triste spectacle, mais vite compréhensible, l’armée du capitaine Von Frayer est en déroute, dépassé par le nombre des assaillants. Le vieux Duc ne regarde pas plus, les portes sont fermés, la défense civile se met déjà en place, on récupérera les morts et les blessés à la fin de l’engagement.

Plus tard dans la journée, un page lui apporte le nom des victimes de ce combat. D’autres noms qui grossissent la liste de ceux qui sont tombés, des deux cotés, pour une cause qu’ils pensent justes, des inconnues pour certains, des amis pour la plupart, et même parfois de la famille. Une autre page pour les assaillants, son cousin est tombé, deux combats deux membres de la famille mort, le sort s'acharne alors que lui ne peut prendre les armes. Il reconnait dans les assaillants des noms, des noms qui datent maintenant, d'une époque révolue, lointaine, une époque meilleur, peut être pas, la Gascogne a t'elle jamais connue de bonne époque, on peut en douter.

Lui qui se retrouve dans cette Gascogne, à regarder les loyalistes et les révoltés s’entre tuer, se sent impuissant. Chacun mettant de grand mot sur leur cause pour une guerre qui ne concerne maintenant plus les idées mais les hommes, une guerre qui ne se fonde plus que sur l’orgueil de vouloir gagner, quelque en soit le prix. Et lui, lui qui se trouve être défendu sans pouvoir se défendre, qui doit sa sauvegarde au sacrifice d’autres, ne peut sans cesse se demander comment en est on arrivé là.

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Merlin7700


Le Maître des Cadets encore allongé vit arriver sur lui les ténèbres. Son sang se vidait et alors il se rappela.

" Maître, Maître
l’armée attaque "

et au moment ou il se tourna pour donner ces ordres à ces soldats une forte douleur se fit sentir dans le dos, il tomba aussi rapidement qu’un éclair.

Cette douleur il la connaissait déjà, et cela ne présageait rien de bon.

Le Maître des Cadets vit alors son agresseur, il le fixa des yeux.
Mais trop tard, juste le temps de voir Louis Napoléon tombé à ces coté, ses yeux se fermèrent.

Un instant après, le ciel s’éclaircit et un homme qu’il connaissait déjà lui dit…

" Il n’est pas encore l’heure Merlin de Bayonne, retourne accomplir ce pour quoi je t’ai envoyé. "

Le Maître était toujours là sans vie, mais tout d’un coup son cœur se remis à battre, ses pulsations devinrent plus régulier.
Toujours inconscient il remémora ces paroles.


La bataille était à son terme.
Une personne hissa le Maître des Cadets sur un chariot pour le reconduire à son Château où il pourra une fois encore reprendre ses forces et revenir sur ces positions de défenseur de la Gascogne…….
Zhuyanzhang





Mont de Marsan

Après une journée tranquille les ordres venaient de tomber, replis du campement pur faire route sur Dax fut donné.

A cette nouvelle Zhu était réjouit, il allait enfin pouvoir revoir le Capitaine Morphée**, quelle joie enfin un grosse partie du gâteau, ça oui !

On allait enfin savoir si elle était vraiment digne, et Zhu se dit que s il avait le malheur de tombé nez a nez avec elle, elle saurai ce que veut dire le mot ‘ enfer’

Les trois flèches apparurent dans le ciel, dans la pénombre de la nuit, signale de levé de siége, de camp et route vers Dax.

Les troupes se formèrent rapidement, le capitaine Namay en tête, on aurait dit une procession alla vers un lieu de pèlerinage, et quels pèlerins étaient ils tous !



Dax

Dax en vue, l armée loyaliste Los toros, était en point de mire devant les portes de la citée, Zhu se mit a rire en voyant leurs nombres, que ça disait il !!!!!!!!!

Ca va être du gâteau de mater ces loyalistes, ils vont payés chèrement de leurs vie leurs ralliement a ce Duc de pacotille !

L assaut fut donné et Zhu toujours avec ses deux sabres en mains avançait avec prudence , pas lin de son Elissar a qui il gardait un œil dessus, le combat était très sanglant, ça tranchait sec, des corps tombaient sans vie.

Puis Zhu entendit ceci :

Alerte un énergumène court dans tout les sens écarté vous !!!! Il va se faire mal tout seul !!!!



Se retournant il crut reconnaître Prangarde, qui gesticulait dans tout les sens afin d essayer de tuer quelqu un il toucha Kabotine, puis le voyant foncé sur lui, Zhu se baissa pour évité de prendre un coup d épée lui aussi il tendant son bras lui portant un coup de sabre, Prangarde avait ralenti sa course vacillant mais continuant vers la ville.


La bataille fut fini les insurgés sont dans la ville, les loyalistes quand a eux ramasse leurs blessés et se retrouve hors des murs de la citée.


Namay était en train de prendre le rapport de cette bataille, malgrés des pertes dans notre camp, l armée de Morphée** avait bien morflée, voila ce qui coute de tenir tête, la vie du chef des cadets, qui décidément avait prit comme on pouvait le dire Messieux, Dames un abonnement chez le foussoyeur du coin, oui les vers devaient l aimés celui la!

Celui la ne génerait plus , enfin du moins pour un sacré moment, les cadets quand a eux tombaient les uns aprés les autres comme des feuilles sur un arbres en automne..................................


Zhu eu une pensée , eh oui encore une pour le Duc, son heure approchait a trés grand pas, son trépas était tres proche.................

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Memento Mori

"Forces et honneurs"
Morphee**
[armée los toros gascones Dax ]

La capitaine venait d'avoir les derniers renseignements , puis confirmations rapide. La VF Galad se rendit à Dax. La Gascogne son combat son unique combat, elle occupait tout son temps pour le duchéentre le fort et le conseil, ne voyait plus son fils quand elle rentrait , il dormait, quad elle repartat il dormait toujours.

Elle fit appeler les hommes, donne les derniers ordres.
Rejoint par son aide de camp et époux , elle le met rapidement au courant.
Gil aussi confirme.

Les chefs de sections appelés, prevenus qu'un combat aurait sans doute lieu cette nuit.
Le regard déteminé, droite et fière, elle se tenait face à eux, le ton assuré comme à son habitude.


Chefs de section rassemblaient vos troupes !
Qu'ils suivent tous le meneur , ce soir nous devons fermer la route de Dax !
Nous allons intercepté deux lances présentes à Orthez et souhaitant renforcer l'armée félonne.
Qu'Aristote veille sur vous !
En avant pour notre duché !


Chacun partit en suite revêtir armure et prendre les armes.

C'est en rang et dans un parfait silence, qu'ils attendirent et prêt à l'assault aux portes de la ville qu'ils attendaient le passage des lances, listées comme venant renforcer l'armée de Memento Mori. Personne d'autre ne seraient touchés les ordres de la capitaine étaient clairs !

Elles passèrent et au moment de se battre l'armée felonne surgit, elle les attendait, se doutait qu'ils viendraient surement

Epée à la main, Morphée vit arriver sur elle... Gmat... Elle ne l'avait jamais oublié, l'histoire les opposaient une nouvelle fois , ses hommes l'entouraient...
Elle se retrouva face à lui et juste derrière quelques têtes d'anciens soldats, elle ne se battraient pas contre ces

soldats qui avaient demissionné avant de rejoindre Namay mais bien contre les ceux qui avait trahi un jour ou l'autre la Gascogne.

Au moment ou elle voulut porter le coup, Gmat la désarmat et entailla la chaire de son bras droit et prolongea en

direction du cou qu'il ne put atteindre, assaillit par des femmes et hommes de Los Toros Gascones. Elle perdit connaissance.

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Gilgalad
[Armée Los Torros Gascones-Dax]

Rassemblement, derniers ordres , le capitaine confirme on dois arrêter des lances venant renforcer l'armée Memento Mori...

Tout le monde se prépare , revêtit armure et bouclier , pas top habitué aux ports d'armures et de bouclier, je fais de même pestant ...
Arf, un peux trop petite pour moi cette armure ...
prenant le bouclier avec les armes de la famille bien visible dessus ...

Ca va faire une jolie cible tient ... en esperant qu'il va servir a quelque chose ...Un regard vers mon épouse , je ne reste pas loin au cas où ...

Tremblements de cavalerie, les voilà regard en direction d'orthez rien ... mert ...non c'est memento mori qui arrive sur le flanc j'hurle des ordres ...


REFORMEZ LES RANGS SUR LA GAUCHE !!!!

Il en arrive de partout , regard furtif vers morphée , elle se fais assaillir ... mert ... esquive , je me precipite mais trop tard ...elle s'effondre avant qu'un soldat se rue sur Gmat ...

J'arrive auprès d'elle l'orsque je sent la terre trembler puis un cri


Citation:
Gilgalad! Vois ton rêve éxaucé! YéééaAAhhhhh!


Je tourne instinctivement la tête et vois un enorme percheron et surtout ... une lance ... et ... oh mert ...le fossoyeur ...
_________________
Falco.
Dax, son lac, ses troupiers

Duc de Blamont déposez les..Oh et pis flûte..


Le palefroi de guerre. Il vaut plus qu'une grosse ferme, a été formé tout poulain à ne pas frémir quoi qu'il arrive.
A exécuter ruades,voltes, figures de sabots uniquement ordonnés par les jambes de son maitre.
Celui la n'a pas de nom. C'est le Ch'val.
Presque une tonne et demie avec le carapaçon. Lent à demarrer mais d'une agilité surprenante.
Enfin disons plutôt qu'il est une surprise trés lourde pour les pietons imprudents.

La lance est de frêne, fer en feuille de saule avec un arrêtoir trés simple. Cette barre derriére la pointe évite qu'on bataille à extraire son arme d'un cadavre défonçé de part en part.
Quant au Fossoyeur en selle, on ne voit que la mince fente de la visiére, les dents révélées par un sourire carnivore et le bouclier aux armes d'un tricolore bien connu maintenant.

Gilgalad. Il avait pris rendez vous avec sa tombe pour ce mois d'Avril.
Falco est Fossoyeur à veine de pendu puisque ses clients viennent à lui.
Chose trés rare dans sa profession.

Il charge et laisse tomber les sommations d'usage.
La noblesse se doit d'annoncer titre et intentions...Mais comme ils se connaissent, autant se crever la panse sans chichis.

Le bruit qui suit est un florilége de métal torturé, cuir froissé, armure mise en haillon et autres casques cabossés.

Parce que flûte!
Oui, il aurait du stopper et descendre de cheval, faire ça bien et héroîque parce que en face c'est un Duc. Un Duc consort, d'accord, mais quand même.
La scéne aurait été mémorable. La grande faucheuse incarnée par un Cartel squeletique, matérialisation du Mal pour les âmes simples.
Et dans le camp du Bien, en Paladin rutilant, un Gilgalad comme ultime rempart face au démon..
Oui mais non!
Il a talonné le Ch'val et passe en force, sa lance heurte le bouclier de Gilgalad. Le transperce, l'arrache.
Il ne se retourne pas.
Malgrés le vacarme de feraille désarticulée il marmonne.

Caramba! Encore raté!

Demi tour au plus vite. C'est à dire selon le Ch'val, presque à une demie lieue et retour à toute bombe.
Il aperçoit son client récalcitrant. Cette fois sera la bonne!
Tu cours et j'te plante nez dans l'gazon ou bien?

Pendant la manoeuvre, en chasseur habitué à telles prises, il a récupéré le bouclier blasonné et l'a accroché en croupe.
Quelle ruse le galopin va adopter cette fois? Pis comment il a fait pour l'éviter?Foutu anguille!


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Tableau de chasse de Guyenne:

Noupi54
[mont de marsan]


noupi continuait de monter la garde, en bas des portes de la ville elle voyait le camp de namay vide, elle savait qu'il reviendrait, il avait pas fini ce qu'il pensait etre une quête de justice.

elle voyait les feux qui fumaient encore, l odeur de la mort flottait partout, un cri d oiseau déchira le silence, qui s'était installé depuis une semaine, des chiens vagabondaient dans le camp fantomatique.

elle avait la rage au ventre, toute cette horreur pour une soif de pouvoir....
des larmes de rage coulaient sur ses joues.

ses pensées se tournaient vers dax, qui avait ete attaqués cette nuit, beaucoup etaient tombé des deux cotés. merlin, winner,morphé, mimi, prangarde et les autres etaient tombés, elle attendait des nouvelles d'une minute a l'autre, ses inquiétudes étaient grandes, elle jeta un regard noir au camp et leva les yeux au ciel

Aristote donnes nous la force de nous battre, protège nos soldats, protège ta Gascogne.


elle regarda encore le camp et retourna vers ses compagnons
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Isadora.da.vinci
[Mont de marsan – premier assaut]

Et les voilà partis tous azimuts à la recherche du matos pour leur son et lumière avec apothéose pyrotechnique. Sauf que les artificiers impatients décident de lancer le bouquet final avant le grand air de la diva.

BooOoooum !


Qu’ils disaient…

L’italienne et les autre se regardent… tant pis ! On fêtera le nouvel an chinois une autre fois !

Tout le monde à son poste, en rangs serrés derrière le chef de section. Isadora ronge son frein. Ca défouraille dans tout les sens, l’hécatombe a commencée mais elle n’est ni artilleur, ni archère alors… Son heure viendra mais en attendant elle doit se contenter de rester les bras ballants et ça l’exaspère. Au point qu’elle mordrait le premier venu. A propos de morsure… Où est-il ? Elle l’a laissé avec son frère, en pleines retrouvailles et puis chacun a rejoint son poste. Sauf que Namay est là, mais pas lui.

Elle a beau tenter de l’ignorer, l’angoisse lui noue les tripes au point de lui arracher un grognement rauque. S’en suivent quelques savants jurons de son cru et un coup de pied rageur dans une pierre malheureuse qui s’en va rouler plus loin sans amasser mousse, comme il se doit.

- Porca Madonna e ¤ §Berlusconi% @*$¤ !!

Elle tente de suivre d’un œil objectif le déroulement des opérations mais son palpitant bas la chamade et son œil de jais ne fouille la masse des corps enchevêtrés que dans l’espoir fou d’y apercevoir la silhouette chérie. Car il en est ainsi des Harpies, leur cœur toujours oscille entre la femme et le rapace.

Soudain son regard capte un éclair luisant dont l’éclat métallique révèle la détermination implacable, et l’obsidienne tranchante trouve l’acier inaltérable au-delà de la marée humaine qui se heurte au récif et explose en écume carmin. Son cœur se serre devant la férocité glaciale de ses assauts, devant la froide précision des coups qu’il porte avec une force effroyable, lui dont elle connaît la douceur. Dans son esprit étranglé de chagrin s’impose l’image cette madone, grave et souriante, aux lignes pleines de grâce qu’elle a découverte au fond de son atelier sous un voile de poussière. *Protégez-le santa madona, ses mains sont faites pour caresser le bois et non le fer.*

Mais c’était sans compter la folie des hommes contre laquelle Dieu lui-même ne peut rien. A l’instant même où s’élevait ce vœu pieux, un coup de poing le cueille par surprise et le déséquilibre. Le cœur de l’italienne rate un battement et un cri muet s’échappe de ses lèvres exsangues. Paralysée par la terreur elle ne parvient pas à détacher son regard de l’immense silhouette qui chancelle un instant, reprend pied mais ne vois pas venir le coup de taille qui le transperce avec violence. Soudain le temps s’arrête et le silence recouvre tout. Elle le voit sans comprendre, sans réagir, tomber à genoux, porter une main déjà rouge à ses yeux, puis basculer face contre terre, sans un bruit. Plus rien n’existe que son corps allongé dans la poussière.

Poussant un hurlement de rage, elle s’élance dans la mêlée. Pousse, cogne, transperce, ouvrant des gorges, cassant des mâchoires. La colère comme un électrochoc a ranimé autour d’elle le temps et l’espace. Elle perçoit à nouveau les cris des combattants et les étincelles des lames entrechoquées. Dans le crépuscule rougeoyant la Furie prend son envole. Femme blessée, fauve furieux, elle progresse à la force sauvage de sa colère. Son chapeau trop grand tombé sur ses épaules a libéré la masse ondulante de sa crinière brune qui lui dessine sur fond de couchant une auréole noire. Chimère ailée, ange monstrueux s’élevant parmi les flammes d’un horizon consumé aux derniers feux de l’astre solaire, elle nourrit sa violence de celle de l’instant, éphémère, où le monde agonise dans un bain de sang céleste.

Une heure, une minute, une vie…
Le temps s’écoule inexorable tandis qu’elle se fraie un passage jusqu’à lui, l’attrape par les épaules et le traîne de son mieux jusqu’à un repli de terrain. Quelques secondes pour reprendre son souffle, il bouge, sourit, caresse sur sa lèvre la trace de sa morsure, elle serre les dents, retiens ses larmes, murmure dans un souffle rauque et grondant : Accroches-toi ! Sinon j’te tue !

Quelqu’un d’autres les a vu, apparemment, car près d’elle apparaissent des visages connus, graves et concentrés, qui la déleste de son fardeau trop lourd pour elle, et les rapatrie vers le camp de memento. Ils allongent le blessé à terre, et elle se laisse tomber à genoux près de lui. Passant un bras sous ses épaule elle le hisse dans un dernier effort pour que sa tête repose sur son épaule minuscule et dorée. Elle presse d’une main sur son flanc ouvert son foulard mal propre. La joue balafrée s’abandonne dans le creux de son cou où pulse sa peur, elle lui caresse les cheveux et fredonne une berceuse de son pays, elle sait que médicalement il n’y a pas grand-chose à faire de plus… c’est d’abord à lui de se battre. Elle couvre son front de baisers, lui parle en italien, lui parle de cigales qui chanteront bientôt, d’écureuils amoureux qui dansent déjà sur la cime des pins parasols, des écorces fruitées qui parfument l’ombre quand la chaleur fait vibrer l’horizon. Elle lui parle d’amour, de promenades sur le lac aux eaux limpides, dans une barque qu’il aura faite pour eux dans la pénombre de son atelier. De jours paisibles où ils vivront heureux, où elle lui portera à boire l’eau fraîche des ruisseaux et le pain de son fournil pour qu’il reprenne des forces après une belle journée de travail. Elle couvre son front de baiser et lui murmure : non abbandonarmi ! ti amo !


[ Dax]

Elle a dû le quitter, l’abandonner aux mains des médicastres au milieu des autres infortunés dont elle se fout complètement. Il n’a toujours pas repris conscience mais son cœur bat toujours. Et tant qu’il bat… elle aussi.

A genoux près du blessé elle lui promet :

- Je te préviens Grin ! Je fais n’importe quoi quand je suis en colère ! Tu es bien placé pour le savoir… Alors tu as intérêt à te réveiller, parce que je serai obligée de tuer tout le monde si tu ne me dis qui t’a fait ça.

- Je serai en première ligne jusqu’à ce que tu ouvres les yeux mon amour. Parce que si tu décides de ne jamais les rouvrir, je te jure bien que les miens se fermeront aussi.


En foi de quoi elle court rejoindre la longue colonne hérisée de hampes, de rapières et de carquois pleins dont la tête serpente déjà à travers la lande en direction de Dax. Elle sait que de nouveaux affrontements l’attende, elle sait que parmi ses opposants se trouve celui ou celle qui frappa son homme. Elle sait qu’elle lui arrachera le cœur avec les dents si jamais elle lui met la main dessus.
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Gilem31
[Labrit - Campement de Civis pacem]

Gilem avait intégré l'armée de Dhukhon et du Duc Estalabou, il y a trois jours maintenant.

Les premières journées avaient été très calmes. Il avait profité du fait qu'ils restent à Mimizan pour faire la connaissance de ses nouveaux compagnons. C'était la première fois que le pêcheur mimizanais participait à un conflit. Il s'était senti concerné par celui-ci car en tant que paysan libre, il lui importait que le droit règne en Gascogne et que le vote du peuple, son vote, soit respecté - qu'il soit bon ou mauvais n'était pas la question.

La nuit dernière ils avaient levé le camp et rejoint Labrit. Ces manœuvres militaires permettaient à Gilem de voyager pour la première fois. Il était assez excité de se réveiller à Labrit. Après être allé se balader dans la forêt bordant le campement, il s'était mis à la recherche d'informations sur les prochaines directives.

Il n'était pas évident de savoir ce qu'il se passait et Gilem n'aimait pas savoir son bourg sans protection militaire, il pensait à Isabelle qui était restée à Mimizan. Il lui avait demandé de rester contre sa volonté car il pensait qu'elle serait plus en sécurité, ce serait il trompé ?

Il marchait au milieu du camp perdu dans ses pensées, évitant des corps cuvant leur vin, d'autre jouant avec des épis de maïs...

Il se sentait un peu perdu et attendait avec impatience de croiser le fer avec les Frondeurs, c'est quand même pour ça qu'ils étaient là !


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Myrtillia
[Dax : lance des glandeurs - Memento Mori / Maman fait les courses]

Encore une nuit passée sans engager le combat, était ce sa tête qui semblait dire « tu m'approches je te fait bouffer tes bijoux de famille », nuls cadets ou loyalistes n'osaient s'approcher d'elle.

Le camp se remonta, la baronne fila une bourse de mille écus a Adélaïde lui intimant de prendre une bleusaille aux armes de Memento Mori avec elle... ainsi ils partirent en quête de stock. Si certes la blonde n'en manquait pas, le marché de Dax était assez fourni pour faire un plein préventif...

De retour quelque heures plus tard, le couple improvisé revient au campement avec pitance pour ceux qui n'en n'avaient pas les moyens...



Citation:
10-04-2009 18:10 : Vous avez acheté à Grhum 1 miche de pain pour 6,30 écus.
10-04-2009 18:10 : Vous avez acheté à Grhum 1 miche de pain pour 6,30 écus.
10-04-2009 18:00 : Vous avez acheté à Zoralabrune 10 miches de pain pour 6,30 écus.
10-04-2009 18:00 : Vous avez acheté à Zoralabrune 4 miches de pain pour 6,30 écus.
10-04-2009 18:00 : Vous avez acheté à Grhum 1 miche de pain pour 6,30 écus.
10-04-2009 18:00 : Vous avez acheté à Grhum 2 miches de pain pour 6,25 écus.
10-04-2009 18:00 : Vous avez acheté à Lagaulette 8 miches de pain pour 6,25 écus.
10-04-2009 18:00 : Vous avez acheté à Lagaulette 10 miches de pain pour 6,25 écus.
10-04-2009 18:30 : Vous avez acheté à Grhum 10 miches de pain pour 6,30 écus.
10-04-2009 18:30 : Vous avez acheté à Grhum 10 miches de pain pour 6,30 écus.
10-04-2009 18:30 : Vous avez acheté à Lagaulette 4 miches de pain pour 6,25 écus.
10-04-2009 18:40 : Vous avez acheté à Grhum 10 miches de pain pour 6,30 écus.
10-04-2009 18:40 : Vous avez acheté à Grhum 4 miches de pain pour 6,30 écus.
10-04-2009 18:40 : Vous avez acheté à Zoralabrune 1 miche de pain pour 6,30 écus.
10-04-2009 18:50 : Vous avez acheté à Grhum 10 miches de pain pour 6,35 écus.
10-04-2009 18:50 : Vous avez acheté à Grhum 10 miches de pain pour 6,35 écus.
10-04-2009 18:50 : Vous avez acheté à Zoralabrune 10 miches de pain pour 6,30 écus.
10-04-2009 19:10 : Vous avez acheté à Melinha 7 légumes pour 10,30 écus.
10-04-2009 19:10 : Vous avez acheté à Lagaulette 6 miches de pain pour 6,30 écus.


Va porter cela a Elissar, elle en aura peut etre besoin !
Non mais madame c'est pas finit
Quoi encore
C'est la bourgmestre de Dax elle soutient notre cause.

Mais non Ericlin est un Cadet !!! Elle soutient les Lolistes et en est une elle même
Mais si je vous dit !!! Regardez !!! Regardez ce qu'elle m'a vendu !!!


La blonde ouvre de grands yeux perplexes a ces mots et plus grands encore quand la bleusaille lui sort fierement deux boucliers flambants neufs...

Citation:
10-04-2009 18:30 : Vous avez acheté à la mairie 2 boucliers pour 79,00 écus.


elle ne put s'empecher d'eclater de rire

Qui l'eu cru !
Je m'en vais de ce pas lui écrire pour la remercier, et lui demander si elle n'a pas encore quelques épées ou boucliers de trop dans le stock de la mairie.
Il reste encore du pain au marché ?

Oui m'dame encore plus de deux cents miches a vu d'oeil
Bien si nous sommes encore la demain je vous y renverrais, faudrait pas attirer les soupsons


Regard vers son époux, ses soldats avaient de quoi tenir deux jours tranquillement... elle fit prevenir le cartel des nouvelles arrivées... si l'un de ses hommes avaient besoin d'armement il n'avait qu'a venir la trouver.
_________________
Gilgalad
[Armée Los Torros Gascones-Dax]

Citation:
Duc de Blamont déposez les..


Je vois cette masse foncer sur moi ... que dis-je un monstre avec un sourire carnassier par dessus, foutu bouclier ... pourquoi faut-il y dessiner les armes pas moyen de passer inaperçut c'est sur ...

Le cheval ..enfin le truc ... une espèce de masse, je n'arrive plus a definir, me fonce dessus lance en avant ... inutile de resister face a ça je me protège derrière le bouclier ...


BAAAMMM

Le vacarme est impressionnant ... le bouclier transpercer et je me sent comme pousser des ailes ... je voleee ... pas longtemps malheureusement.
la chute et rude aouch ... a peine le temps de reprendre mes esprits qu'il fait déjà demi tour, coup du sort je me retrouve a coté de morphée , je prends son bouclier au cas ou et de l'autre attrappe l'uniforme de morphée et commence a la trainer vers les remparts hurlants ...


A LA GAAARDEEEE !

Et la j'en crois pas mes yeux ... j'en aperçois un rentrer en courant vers dax ... non mais c'est quoi ce merdier ... je hurle

J'AI DIS A LA GARDE PAS RETRAITE !!!!!!!!!

Pire encore, tous le reste de l'armée bat en retraite oh misère ... c'est pas vrai ... qui m'a flanqué une bande de ... grrrrr
c'est pas tout ça mais il me reste le fossoyeur et rien pour le distraire ... quoi que ...

Un des hommes battant retraite passe devant la monture qui se cambre ... un peu de temps de gagné j'attrape Morphée et me precipite vers les remparts ...

_________________
Nanius


[ Campement Mémento Mori …..la veille]

Les blessés avaient été rapatriés, afin d’être soignés, je n’espérais qu’une chose qu’il s’en sorte, mais vu l’état dans lequel il se trouver l’espoir paraissait faible.
Je me devais d’être a ses côtés, face a sa tente le cœur noué, je n’osa entrer ,la peur m‘envahit, je m’attendais tellement au pire après se que j’avais pu voir auparavant.
Laissant toute ma peur et mon chagrin de côté j’entra sous la tente….


[ Tente d’Amyr ]

Il était là, allongé le corps couvert de sang et de boue , abimer par cette bataille, le regard triste et décomposé.
Je ne pu m’empêcher de verser cette larme, je m’assis a ses côtés un instant lui pris la main et lui murmura:

Je vais m’occuper de toi…

Il me l’avait demander je me devais de le faire, bien que je n’avais jamais fait cela auparavant.
Je me leva et alla chercha tout le nécessaire indispensable pour le soigner.
D’un côté un morceau de linge vieilli que je trouva dans un coin de la tente, de l’autre mon épée dont j’avais pris soin de faire chauffer la lame pour cautériser sa plaie.

Voila, je vais…heu …pouvoir commencer

Le doute s’installa, Est-ce que je vais être capable de le soigner et non d’aggraver sa blessure? La crainte de ne pouvoir sauver celui que j’aime tant. Non je me devais d’être courageuse.

Il réussit a m’esquisser un léger sourire, signe qu’il avait confiance en moi.
Je pris soin de mouillé le linge dans l’eau bouillante et de lui déposer sur le front afin de l’apaiser

Tu es prêt?

Il me fit un léger clignement des yeux, il était prêt a subir cette acte douloureux.Je pris une grande respiration, l’épée a la main je la serra fermement
Un temps hésitante…puis….

Pchiiiiiiiiiiiiiiiiii

Je déposa la lame brulante sur sa blessure, et croisa son regard crispé et douloureux il souffrait le martyre, je n’ espérais qu’une chose que tout se termine.
Je respire enfin, j’ai réussi, une fois fini, je lui épongea le front, et fit un bandage sur sa blessure, il lui fallait du repos a présent

Sa main dans la mienne il s’endormit paisiblement , je lui déposa un tendre baiser d’amour sur ses douces lèvres et glissa dans sa main un médaillon m ‘appartenant pour ne pas qu’il m’oublie

Rétablit toi vite….


[ Mont de Marsan- Dax ….. cette nuit ]

Nous levons le campement , la tristesse m’envahit de devoir partir et le laisser ici, j’ espère qu’il comprendra et qu’il ne m’en voudra pas
Les larmes aux yeux je vois sa tente s’éloigner au loin, le cœur lourd
Je pense a lui…..


(Rp en retard desolé)
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