Isleen
« Ma femme ! Qui a inventé cette possession ridicule ? »
de Roger Fournier journal dune jeune mariée
Elle est bien là dans ses bras au creux de son cou, lesprit embrumé par les vagues de plaisir, elle redescend tout doucement sur terre, elle caresse machinalement, doucement le torse de son amant, de ces petites caresses que lon donne pour apprécier encore le contact de la peau de lautre sous ses doigts, geste simplement tendre.
Et puis le réveil se fait un peu brutal, « hein ? Quoi ? Comment ? » si elle ne le dit pas la puce, son esprit lui les forme les mots la brume se dissipe, et le « Tu es ma femme maintenant, mon poussin. Entre nous c'est à la vie, à la mort » ça la fait tiquer légèrement voir carrément beaucoup la rouquine, pas quelle naime pas le Philibert, hein non, il lui plait vraiment beaucoup, pour preuve, elle lui a donné sa première fois. Elle est même plutôt bien tombée, il y avait eu la douleur brève et intense, mais pour le reste et excepté son futal qui ne voulait pas partir, cétait un sans faute total, on ne pouvait rêver mieux. Elle pourrait en tomber amoureuse, pourrait veut dire que ce nest pas encore fait, cela demande du temps ces choses là, même si pour lui il semble que cest été rapide souvenir des mots quil lui a chuchoté durant leurs ébats « je taime » et les mots lui tirent un sourire aimant, elle dépose un baiser dans le cou de son compagnon et se redresse pour une petite explication tout en douceur yeux dans les yeux.
Phyl, jsuis pas nimporte quelle rousse tu vas vite ten rendre compte .
Elle ne résiste pas à lui voler un baiser, sourire taquin, ben oui ce nest pas parce que lon va dire des mots déplaisants à lautre, quil ne faut pas en profiter pour donner baisers et caresses mais soyons plus sérieuse maintenant
Je nappartiens à personne Phyl, pas même à toi, je suis la seule maître de moi même, alors oui nous sommes bien ensemble et je souhaite quon le reste mais je ne suis pas à toi. Je ne suis à personne.
Comprendra ? Comprendra pas ? Dans tous les cas, il faudra bien quil sy fasse, la rouquine est la maîtresse de sa destinée, elle sappartient, elle se refuse à devenir comme les femmes de son clan, à devenir comme toutes les femmes en général, la servante des désirs de son mari, homme, chef ou qui que ce soit dautres. Et cest bien ce farouche désir dindépendance et sa cleptomanie qui sont à lorigine de sa venue ici, personne narrivait jamais à rien avec elle.
Quant à la vie à la mort je vais dire à la vie hein .si tu meurs, jserais triste bien sur, tes un amour, mais jvais pas aller mourir pour autant .allez tas raison jtombe de fatigue dormons.
Un baiser sur le coin de la lèvre, elle se blottit contre lui, ça oui il était un amour, peut être quavec le temps elle tombera vraiment amoureuse de lui, peut être quavec le temps, ses actes démentiront ses paroles, quelle sera sa femme, quil sera son homme, ils le sont déjà un peu lun pour lautre même si elle a plus limpression que ça lest déjà bien plus pour lui que pour elle. Bah, elle étouffe un bâillement et se calle un peu plus dans la chaleur des bras de son voleur .
de Roger Fournier journal dune jeune mariée
Elle est bien là dans ses bras au creux de son cou, lesprit embrumé par les vagues de plaisir, elle redescend tout doucement sur terre, elle caresse machinalement, doucement le torse de son amant, de ces petites caresses que lon donne pour apprécier encore le contact de la peau de lautre sous ses doigts, geste simplement tendre.
Et puis le réveil se fait un peu brutal, « hein ? Quoi ? Comment ? » si elle ne le dit pas la puce, son esprit lui les forme les mots la brume se dissipe, et le « Tu es ma femme maintenant, mon poussin. Entre nous c'est à la vie, à la mort » ça la fait tiquer légèrement voir carrément beaucoup la rouquine, pas quelle naime pas le Philibert, hein non, il lui plait vraiment beaucoup, pour preuve, elle lui a donné sa première fois. Elle est même plutôt bien tombée, il y avait eu la douleur brève et intense, mais pour le reste et excepté son futal qui ne voulait pas partir, cétait un sans faute total, on ne pouvait rêver mieux. Elle pourrait en tomber amoureuse, pourrait veut dire que ce nest pas encore fait, cela demande du temps ces choses là, même si pour lui il semble que cest été rapide souvenir des mots quil lui a chuchoté durant leurs ébats « je taime » et les mots lui tirent un sourire aimant, elle dépose un baiser dans le cou de son compagnon et se redresse pour une petite explication tout en douceur yeux dans les yeux.
Phyl, jsuis pas nimporte quelle rousse tu vas vite ten rendre compte .
Elle ne résiste pas à lui voler un baiser, sourire taquin, ben oui ce nest pas parce que lon va dire des mots déplaisants à lautre, quil ne faut pas en profiter pour donner baisers et caresses mais soyons plus sérieuse maintenant
Je nappartiens à personne Phyl, pas même à toi, je suis la seule maître de moi même, alors oui nous sommes bien ensemble et je souhaite quon le reste mais je ne suis pas à toi. Je ne suis à personne.
Comprendra ? Comprendra pas ? Dans tous les cas, il faudra bien quil sy fasse, la rouquine est la maîtresse de sa destinée, elle sappartient, elle se refuse à devenir comme les femmes de son clan, à devenir comme toutes les femmes en général, la servante des désirs de son mari, homme, chef ou qui que ce soit dautres. Et cest bien ce farouche désir dindépendance et sa cleptomanie qui sont à lorigine de sa venue ici, personne narrivait jamais à rien avec elle.
Quant à la vie à la mort je vais dire à la vie hein .si tu meurs, jserais triste bien sur, tes un amour, mais jvais pas aller mourir pour autant .allez tas raison jtombe de fatigue dormons.
Un baiser sur le coin de la lèvre, elle se blottit contre lui, ça oui il était un amour, peut être quavec le temps elle tombera vraiment amoureuse de lui, peut être quavec le temps, ses actes démentiront ses paroles, quelle sera sa femme, quil sera son homme, ils le sont déjà un peu lun pour lautre même si elle a plus limpression que ça lest déjà bien plus pour lui que pour elle. Bah, elle étouffe un bâillement et se calle un peu plus dans la chaleur des bras de son voleur .