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Investiture de Douchka

--Paysan_pas_content


Il était pas content. Mais alors pas content du tout.

Ce Chouan de souche en avait contre la Duchesse de s'être fait nommé de cette façon si grossière pour la Breizh.

Et puis une mauvaise récolte avec un temps pourris avait finis de l'énerver.

Bref, il avait pris son arc et le voici à tirer comme des lapins ces "nobles", pas foutu de faire pousser une carotte.

Une flèche dans le général qui vociférait des ordres.

Bon, il tira encore une flèche pour faire bonne mesure, dans le tas, et puis prit la fuite, comme un lièvre des bois, histoire de pas se faire prendre, ni pendre d'ailleurs, ce qui revenait au même.
Valoche
Val avait tout vu.

Elle hurla à sa dizaine :

Vous évacuez la foule fermement mais gentiment

Puis elle vit revenir gavril et lui crie on fait sortir tout le monde

et soudain son regard est attiré par quelque chose oui quelque chose qui se sauve à toute jambes. Val est très entrainée donc elle le rattrape sans peine
et vlan un coup dans les dents qui l'estourbit mais elle sait que c'est un fort gaillard alors elle crie

A l'aide vite
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Gavril
Gavril revenait au pas de course de la caserne, la route fut nettement plus courte que pour convoyer le probable assassin, en même temps, plus simple de marcher avec une charge sur l'épaule, même si elle gigotait.. Il était sur le point de rejoindre la foule et de se remettre en position quand soudainement, un vrombissement, les ordres du génèral, deuxiéme vrombissement, panique, eh défection sa recommence! Après une centaine de jurons laché en quelques seconde dans toutes les langues que maitrisait Gavril, il se mit a éxécutez les ordres.. Protéger, évacuez, puis les ordres du sergent, poussez la foule protéger de l'est.. Gavril n'avait pas de bouclier, sa c'était sur et pas le temps de s'en trouver un, et vient les ordres du capitaine qui corroboraient ceux du sergent.

Que pouvait t'il faire donc, les enfants! Les enfants de la cérémonies, il était la avec le druide, la fléche enait de transpercer le bras du génèral, il n'avait pas encore bouger, il se dirigea donc vers eux aussi vite qu'il pus, et s'arréta devant le druide qui avait présidait la cérémonie mais aussi devant les enfants qui y étaient parti prenante, le nom du druide était Oban, mais sa il ne pouvait le savoir.


Demat mon père ou je ne sais quel nom vous donnez druide, suivez moi avec les enfants, je vais vous ouvrir la foule pour que vous puissiez prendre une ruelle et évacuer cette zone dangereuse..

Il le regarda une dernière foix en même temps que les enfants le druide pour lui dire qu'il pouvait lui faire confiance mais aussi que c'était un homme des hermines qu'il savait ce qu'il fesait.
Il détourna la tête et regarda, au loin la primatial, la zone de la cérémonie et les petites rues. Dans une petites rue ils pourraient se mettre a l'abri.. Dans un suivez moi, il comença a ouvrir la foule pars des places ou en poussant gentillement mais présemptement la foule pour ouvrir la voie.. Au bout d'une a deux minutes, il les aurait mis en sécurité et pourrait voir si sa section avait besoin d'aide, il éspérait ne pas avoir désobéit aux ordres, ce n'était pas dans ses habitudes de sauver la veuve et l'orphelin mais peut être une façon de se racheter de son passé..


Soudain, a quelques pas de la ruelle, il entendit puis d'un coup de tête, vis la capitaine.. Elle avait besoin d'aide, il était un homme de sa section, il devait y aller. Il se retourna vers les personnes qu'il escortait.

Druide, je vous laisse rejoindre la ruelle avec les enfants, vous êtes en sécurité maintenant, je dois aller aider mon capitaine, prenez soin de vous et des enfants..

Gavril se retourna trés rapidement et courut vers son capitaine a coup de poussade et autre pour se frayer un chemin.. Arrivé en vue du capitaine, il vit l'homme par terre a coté d'elle qui avait l'air sonné, pas de menace immédiat, juste interpellez l'homme et le garder pour la haute dizaine.. Il vint se placer a coté de la capitaine et se mit a genoux sur le tireur en lui tenant les deux mains machinalement, c'était un réflexe, neutraliser la cible et être sur qu'elle ne pourrait plus nuir... Pour le coup le troisième de la journée.. Sa commençait a faire beaucoup. Il se permit alors de relever la tête et de dire au capitaine.

Je le tiens fermement mon capitaine, vous prévenez la haute qu'on l'a mon capitaine mais pourrez y en avoir d'autre..
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Esmica
La jeune femme suivait la cérémonie druidique depuis le début pas très loin de la Duchesse, à côtés des autres conseillers ducaux. Tout se passé bien, un peu près. Quand l'épée fut donné à la Duchesse, quelques secondes après, Douchka s'écroula par terre, une tàche rouge grandissant sur sa robe blanche. Cette fois le tir ne la pas ratée. La jeune femme sans réfléchir se précipita a ses pieds, mais elle n'eut pas vraiment le temps de faire quoi que ce soit, voilà qu'une autre femme qu'elle ne connaissait pas lui prodigua quelques soins, et que le Général disparut avec la Duchesse dans ses bras, lui même blessée, dans la primitaele. Elle avait promis à Douchka, qu'elle la protégera, mais personne n'a vu le tir venir. Elle se mit a courir à son tour suivant le Général, qui était trop rapide. Arrivant à la hauteur de la femme qui avait prodiguée les premiers soins à la Duchesse et qui suivait Cassius aussi.

Je viens vous aider, Dame. Je vois que vous avez l'habitude vous me direz ce que vous voulez que je fasse.

Les gens couraient, criaient, les soldats de l'Hermine, évacuaient, c'était un sacré bordel. Elle se retourna un instant voyant que l'archer avait été maitriser, puis murmura.

Il mérite la mort celui-là.

Puis ne voyant plus rien autour d'elle, ce qui comptait c'est soigner la Duchesse.
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Vicomtesse de Pleuvihan
Procureur de Bretagne
Ex Mairesse de Reoz
Adjointe au Maire de Reoz
Pelotine.
Apaisée , la jeune femme assistait a la cérémonie , la tête ailleurs , se demandant comment on pouvait passer d'une ambiance si agitée a une si sereine.
Sereine ? pas tant que cela , un élément perturbateur venait de faire son entrée , une flèche.
Ah elle était bien placée celle la , l'archer devait être un bon tireur , la chute de Douchka arracha un nouveau cri a Pelotine , mais la panique se sentait bien moins ressentir , moins de mouvements , les soldats paraissaient plus calmes et organisés , la pelote se sentit donc moins en danger.

Par contre , la tâche rouge qui se répandait doucement sur les haillons de la nouvelle Duchesse c'était légèrement plus dangereux a son goût.
Elle en aura vu des gens chuter , faire des malaises , mourir même , mais Douchka ! ça elle ne s'y attendait pas.

Lentement elle recule laissant les personnes expertes prendre la situation en main.
De loin , elle observe , peut être venait elle de gagner un nouveau client , et pas des moindres !

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Madennig
La jeune demoiselle bien que encore nouvelle dans ce monde trouvait que la cérémonie prenait un tour bien étrange. Voila que la duchesse venait de s'écrouler sa robe blanche arborant quelques lueur rouge vif et que des flèches fusaient en tout sens. Alors c'est cela le courage du peuple breton ? S'attaquer ainsi aux gens en un lieu sacré plutôt que de se faire entendre par le biais de représentant ou même de son roi ? La Bretagne n'était vraiment pas prête a se relever finalement, il n'y avait qu'a voir cela.

Une flèche se planta non loin de son visage dans ce tir aux nobles comme on pourrait le dire mais qui ne la fit pas broncher. Voila qui pouvait surement paraitre suspect mais dans ce chahut qui le remarquerait. La jeune brune soupira cette Bretagne sombrait et semblait aller de plus en plus bas. Non loin de la porte où elle était, elle fit un pas de coté pour laisser passer la noblesse sortir en premier. Sur un bateau on dit bien les femmes et les enfants d'abord, sur terre c'est noblesse puis peuple.

Elle attendit donc que le gros du convoi sorte pour pouvoir en faire de même a son tour de toute façon, son carrosse attendait dehors et sa garde a deux pas.

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Quand une duchesse rencontre un comte, voila le résultat !
Oban
Il venait juste de se retirer … un sifflement, un impact…, il ne comprenait pas ce qu’il se passait, regardant hagard autour de lui…

Un corps qui s’effondre tenant en main l’épée qu’il vient de remettre…

Il sort ses mains de ses manches, prêt à intervenir que déjà il est bousculé…

La duchesse sur le sol, une flèche fichée sur la poitrine, git près d’une femme qui s’agenouille faisant obstacle de sa chair, lui enlevant d’un geste rapide et précis le javelot.

Quelques ordres donnés, un second sifflement un second impact…

Le général touché à son tour, se saisit de la Duchesse et file d’un pas rapide vers la primatiale, l’agitation reprend, des gardes sortent de toutes parts, dégageant une voie vers la primatiale, repoussant de ci, de la foule de leur bouclier.


Citation:
Demat mon père ou je ne sais quel nom vous donnez druide, suivez moi avec les enfants, je vais vous ouvrir la foule pour que vous puissiez prendre une ruelle et évacuer cette zone dangereuse.


Un homme d’arme venait de l’interpeler…

Regard échangé avec l’homme de l’hermine…puis il s’adresse aux enfants…


Suivez cet Homme !

Le pas pressé il ferme la marche de la troupe d’enfants, se dirigeant vers une ruelle sombre qui semblera les mettre en sécurité.

Citation:
Druide, je vous laisse rejoindre la ruelle avec les enfants, vous êtes en sécurité maintenant, je dois aller aider mon capitaine, prenez soin de vous et des enfants..


L’homme s’éloigne déjà…

Trugarez sieur !

Que la Mère vous épargne dans votre combat !


Poussant de nouveau les enfants de ses bras, il les fit enter dans une taverne en lieu sûr…, puis ressortit observer la suite des événements...
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Camille.
Trois flèches fusent. Une est évitée par le général, la seconde auréole de sang la tenue de la duchesse et la troisième se perd dans la foule. Du moins tout dépend ce que l'on nomme se perdre car la fine lance de bois armée file à vive allure vers les rangs des clercs et vient se figer dans une tenue pâle. Le visage blêmissant, Camille baisse son regard et observe l'objet incongru qui s'est planté dans le haut de sa cuisse.

Moment irréel, elle qui allait se précipiter comme à son habitude se fige et sous le choc ne sent même pas de douleur l'envahir pour l'instant, engourdie par la surprise. Son regard se relève, presque trop calme et scrute les environs. La foule qui s'éparpille, le druide mit à l'abri, l'attroupement autour de la duchesse pour prendre soin d'elle. Camille, elle, reste là, debout sans bouger, comme suspendue dans le temps par l'absurdité de la chose.

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Pouilloux
La bétise Humaine à l'état brut. La bète sans nom qui en chef de meute les dirigent... Le constat de Pouilloux est décevant... Il prie le Très Haut, de leur rendre la raison, que ses Hommes et ses Femmes se souviennent qu'ils sont Tous ses enfants. Hommes en arme partout, des flèches lancées...

Le père Pouilloux regarde autour de lui, ça court de partout, tout est en mouvement, tout est précipitation, tout se floute autour de lui, tout ... Tout sauf L'image de Camille. Pouilloux ne vois rien d'autre que la mère avec son aube blanche... La blancheur l'aveugle... Le reste n'existe plus car un point rouge, qui grandi de plus en plus apparait sur le blanc si pur.

Incompréhension totale... Pouilloux parlait au Trés Haut et brusque retour à la réalité. Les cris de ceux qui courrent rendre en colision avec le silence de la scène sous ses yeux...


Nonnnnnnnnnnnn, Camilllllllllllllllllleeeeeee....

Il se précipite sur elle et la cueille dans ses bras. Elle est complétement ailleurs, perdue dans ses pensées. Il la porte vers le dispensaire de Rennes. Regardant sans comprendre cette flèche qui sort de son aube, et tout ce rouge. trop de Rouge...

Il traverse la place en direction du dispensaire que sa marraine à ouvert dernièrement... Il regarde Camille, la flèche, incapable de juger la gravité, d'évaluer la blessure... Et toujours ce rouge, ce maudit rouge... La dispensaire est devant lui... Camille ne pèse rien dans ses bras, mais pourquoi tant de rouge, tant de sang....
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Lauralyne
La cérémonie touchait à sa fin, tout semblait se calmer. Semblait seulement car le danger était toujours là. Et ce qui devait arriver arriva, un sifflement, un éclair une tâche écarlate. Un hurlement de commandement venant du général Cassius:

La Tierce, en protection!!! On évacue!!!
La Seconde, protégez la foule et faites évacuer!!! La Haute, débusquez le tireur embusqué!!


Laly suivit du regard la trajectoire éphémère des flèches et repéra l'individu qui dans sa course rencontra la capitaine de la seconde dizaine.

Haute dizaine, on protège la foule, le tireur est maîtrisé. Il n'est sans doute pas seule.
Eli va auprès du général et de la duchesse, tes compétences de médecin seront nécessaire.


La foule criait, s'éparpillait, fuyait le lieu du grand chêne. Les soldats de l'Hermine aidaient les femmes, les enfants, les hommes. Laly, arme à la main, bouclier dans l'autre, les guidait.
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Maman d'Elrick, Floraline, Krystal, Enoal et mère de coeur de Titouan et Klauss
Soeur de Debad, JEpl et Eldon
Elibas
Eli était attentive. Un chêne, cela lui rappelait bien des choses. Mais là n'était pas le jour, elle laissait son regard parcourir la foule, les visages. Il semblait que la folie avait gagné les hommes. La nouvelle duchesse ne laissait pas sans réaction. La tension montait, la cérémonie se terminait, tout pouvait encore arriver.
Les ordres fusèrent, un archer avait touché ses cibles. La duchesse, le général étaient touchés. Sa capitaine lui donna l'ordre de rejoindre ces deux derniers à la primatiale, l'archer était sous bonne garde. Elle se précipita pour soigner.
Elle rejoignit le général qui portait la duchesse, le bras rougit de son propre sang, ses vêtements tâchés de celui de la duchesse.


Mon général, je vais vous porter les soins pendant que cette dame s'occupe de la duchesse, dès que nous serons en un lieu sur.
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Bruce
Une flèche ... du sang, personne n'avait rien vu venir, un archer embusqué avait tiré sur la duchesse, elle était blessée. Le lieutenant de la Haute Dizaine se mit alors à regarder vers le ciel, il vit alors une seconde flèche heurter le Général Cassius ... s'en était trop.

Il avait vu d'où provenait la flèche, il fonça alors vers ce même endroit. Il entendit une jeune femme demander de l'aide, Gavril interpella totalement l'arche. Une fois maîtrisé, Lauralyne arriva juste derrière Bruce, elle donna ses ordres, il fallait protèger la foule.


"A vos ordres !"

Bruce alla vers Gavril et attrapa par le col l'archer, il dit à Gavril :

"Bien joué, nous devrions veiller, la sécurité des lieux n'est pas encore assurée apparemment."

Le lieutenant Bruce attrapa son bouclier, il assèna alors un violent coup de bouclier dans la tête du paysan en l'injuriant. Inconscient, il ne poserai plus de problème, désormais il ne représentait plus une menace ... Bruce aida alors à diriger les gens vers la sortie, tout en gardant un oeil sur l'archer qui était parti pour faire une trés longue sieste ...
Ozareff
Obéissant aux ordres de Lauralyne, Ozareff accourait afin d'aider son compagnon Bruce, ce dernier s'étant emparé du criminel.

- Laisse le moi frères je m'en occupe, continue à diriger les gens vers la sortie.

Malgré l'inconscience du meurtrier, Ozareff lui asséna un coup de botte dans le ventre.

- Celui là il est bon pour le châtiment de la scie, j'ai hâte de voir ça



Il lui attacha ensuite les mains et les pieds, le teins par ses cheveux et le traîna vers un lieu plus discret afin de débarrasser la salle de ce rat.
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Rejoignez-nous!
Madcat
Anne-Solenn, toujours derrière son pilier et avec une folle envie de s'éclipser, entendit le cri poussé par son filleul. Elle n'avait rien vu, que se passait-il donc, tous ces cris, ce brouhaha, ce désordre.

Soudain, Pouilloux surgit de la foule, l'air hagard, les yeux exorbités, tenant dans ses bras Camille inanimée et semblant perdre tout son sang.

Sans perdre de temps, elle souleva légèrement ses jupes pour ne pas trébucher en se hâtant et elle tenta de se dégager de la foule en folie qui lui barrait le passage, pour courir après Pouilloux.

Perdant toute retenue, elle hurla, tout en bousculant gueux, nobles et manants qui se pressaient pour mieux voir elle ne savait quel spectacle .


Pouilloux, Pouilloux, j'ai la clef du dispensaire, je viens t'ouvrir la porte, ne crains rien on va la soigner.

Un dernier effort, quelques pieds écrasés, quelques belles Dames et grands Seigneurs évités de justesse, et enfin elle arriva à se dégager. Oubliant toute dignité, elle prit ses jambes à son cou, en brandissant la clef du dispensaire comme un trophée, et arriva presqu'en même temps que Pouilloux devant la porte du dispensaire.

Hors d'haleine, incapable de parler, elle ouvrit rapidement la porte, non sans avoir torturé la clef pour l'introduire dans la serrure, et elle fit signe à Pouilloux d'entrer.

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Pouilloux
Rennes : le dispensaire

Anne, elle ne parle pas... elle n'a rien dit

Pouilloux vient d'entrer dans le dispensaire de Rennes. Il béni sa marraine de l'avoir ouvert, d'avoir eu la présence de comprendre son cri.

Pouilloux, est toujours obnubilé par la couleur Rouge sur l'aube Blanche de la Mère Camille. Dans le dispensaire, il la dépose sur la table de travail. Regardant sans comprendre le fin morceau de bois qui sort de l'aube
.

Je n'ai pas compris marraine, nous étions à la cérémonie druidique, il y a eu des cris... J'étais perdu dans mes pensées, et elle était là debout à moitier chancelante... Et cette tache rouge qui ne cessait de grossir, de grossir... Elle n'a rien dit.

Entrer dans les ordres en même temps, lors du tro, forcément ça crée des liens. Ils ont passés tant de journées ensembles sur les routes, dans toutes les villes de Bretagne. Ils ont pris le temps de se connaitre. Passant des soirées entières à parler de tout, de rien, de leur vie passé, et surtout de celle qui s'offre à eux avec leur ordination. Ils sont devenus proches

Et Pouilloux ne comprend pas comment elle est là dans son sang, sans rien dire... Là sur cette table... Ce que les gens de Tours, n'avaient pas réussi à faire, les bretons, des Bretons ont ... Non ! Elle ne peut pas...


Anne... ?

Pouilloux reste planté là, ne sanchant que faire, quoi faire. Nulle formation de médicastre, nul antécédant dans sa vie devant le sang, devant tout ce rouge... Il regarde Camille, lui tient sa main, sent un léger pouls, sent la vie en elle...

Anne ? C'est grave ... ? Pourquoi elle ne dit rien.... ?
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