Investiture de Douchka

Kalonek

J'assiste pour la première fois à une investiture. Je me sens un peu perdu dans cette immense foule et cherche à reconnaître certaines de mes connaissances.

Pour une première entrée dans un Conseil Ducal, je me demandais si cette ambiance malsaine était souvent de mise.
Que de temps perdu à fomenter qui des concours de lancées de tomates, qui des projets d'assassinat sans parler d'un énergumène qui se croit à une foire aux cochons.
Quelle piètre image de la Bretagne, ils pouvaient donner. Je pouvais comprendre leur désaccord politique avec le nouveau conseil mais ce n'était ni le lieu, ni l'heure de l'exprimer, en ce jour de cérémonie.

J'entre donc dans la Primatiale, me dirige vers les places réservées aux Conseillers Ducaux. Je vois mon ami Ankou, cela me rassure, et vais m'asseoir à coté de lui, dans l'attente de l'arrivée de la Duchesse Douchka.
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Le_jack

Jack avait fait le déplacement pour l'investiture. Il avait trouvé plusieurs raisons pour y venir, et une seule pour ne pas s'y rendre.
En effet, pourquoi un maire d'une ville prospère ne tiendrait-il pas son rang pour honnorer Breizh? Et il suivait bien les investitures lorsqu'il n'était pas en fonction, alors pourquoi pas maintenant?
La représentation est aussi un devoir.

De plus, il s'était bien entendu avec Douchka, travailleuse, pas de plus mauvaise foi que la moyenne des Bretons... bref, en plus de montrer que ses paroles d'un soir en taverne n'étaient pas des déclarations en l'air, il espérait ainsi montrer à la Duchesse qu'il s'opposait certes à ses idées, mais pas à la personne.

Jack entra dans la primatiale, et s'assit là où il trouva de la place, loin des rangs réservés aux nobles.
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Blackbird

Erwin s'invitait par curiosité à cette investiture. Il voulait en particulier voir à quoi ressemblait la nouvelle duchesse de sa nouvelle "patrie", et puis comme toujours, il aimait observer les gens.

Il commença par repérer les places et s'éloigna assez des nobles, quand il aperçut Jack, le jeune homme vint prendre place à ses côtés et s'adressa à lui à voix relativement basse

Tu vas dire que je suis partout, mais étant donné qu'on doit être pendus ensemble, je crois qu'il va falloir qu'on s'habitue à être proches l'un de l'autre

Il rit doucement

Puis je crois que tu te sentiras moins seul dans ce ramassis de mondanités.
Dis moi, Douchka, cette nouvelle duchesse, elle fait faire du bruit autour d'elle, qui c'est au juste... ?
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--Flippant

La place se remplissait, les gens arrivaient en nombre.
Houla des soldats lourdement armés prenaient place sur toutes les issues qu'il avait repérés.Mince Mince! Il déforma son visage par une grimace quand l'un d'entre eux le dévisagea. Mince Mince, démasqué?
Il sourit faussement en courbant l'échine un peu trop bas comme pour saluer maladroitement les soldats et celui qui semblait leur chef. On le bouscule un peu en arrière, la Douchka n'allait pas tarder à arriver. Mince, mince. Vite trouver un autre plan, il fallait l'atteindre avant qu'elle n'entre sinon c'était perdu d'avance et on ne donnerait pas cher de sa peau si il remplissait pas sa mission. On entendait les sabots sur le sol, le convoi arrivait, rester là et planter la dague à la sortie du carrosse, puis fuir en chassant le cocher et en fouettant les chevaux. Voila, c'était ça ! Mince Mince!

Namyda

Virevoltante d'un pied sur l'autre, sautillant de pavé en pavé pour se donner un air enfantin, la Brunette de Rennes prit le parti d'assister à l'investiture de la nouvelle Duchesse.

Restant à bonne distance pour ne pas se faire refouler par la garde en raison de sa tenue sale et déchirée, la jeune adulte aux faux airs d'enfant laissa son regard errer sur les personnes présentes. Derrière ses longs cils battant l'innocence et les tâches grisâtres couvrant son petit visage, la malice et l'intelligence semblaient inexistantes. "Mieux vaut avoir l'air bête et sauver ta peau, plutôt que d'avoir l'air intelligent et de finir au cachot." qu'on lui avait dit un jour. Appliquant ce conseil, la jeune fille avait traversé les affres de la vie sans trop de soucis. Bientôt, un sourire malicieux glissa lentement sur ses lèvres rosées alors qu'elle reconnaissait quelques personnes, et une secrète pensée vola jusqu'à sa vieille tante bretonne à l'article de la mort, la remerciant pour ces "présentations" à sens unique.

Puisqu'il fallait désormais attendre pour apercevoir la Duchesse Douchka, Namyda s'adossa à un mur et empoigna un bout de son jupon vert pour en gratter une tâche de boue d'un air distrait.

Bahia7

Bahia entra dans la primatiale, non sans émotion. il n'avait jamais raté une investiture, du moins tant qu'il le pouvait.
La place était remplie déjà, et la foule avait afflué en nombre. L'atmosphère était tendue, certes, mais il savait la garde efficace et vigilante. Pas l'ombre d'un doute là dessus.

Il se fondit dans la masse humaine, et rejoint discrètement la place réservée aux membres du Conseil, attendant l'arrivée de la Duchesse.
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Melancovic

Au moment de rentrer pour l'investiture un visage pas méconnu passait devant lui sans même jeter un oeil vers Melancovic, oui c'était le pirate anciennement de KP car, on ne le voyait plus depuis belle lurette, depuis la mort de Sanzi tous ceux qui la suivaient à la trace comme des élans en rut avait complètement disparu de Kastell Paol.

Lui faire signe, non, a quoi bon ! Il le verait plus tard peut être.

Melancovic rentra et pris place.
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Killdragon

Le Tro Breizh avait été particulièrement appréciable. Mais le repos n'était pas de mise, Monseigneur Hugo avait demandé au Vidame de Bretagne le soutien de la Garde Episcopale pour l'investiture de la nouvelle Duchesse.

Monseigneur Killdragon avait donc posté ses gardes dans des endroits stratégiques: leur mission était de protéger le lieu Saint avant tout et les religieux qui s'y trouvaient. La Duchesse avait en principe sa garde rapprochée, mais il fallait tout de même rester attentif.

Il aurait préféré s'installer tranquillement sur le banc réservé aux nobles ou à sa famille, mais il semblait qu'une partie de la foule était mécontente, et qu'un débordement pouvait arriver très vite.

Killdragon avait fait le tour de la Primatiale à cheval, accompagné de quelques gardes, puis il confia sa monture à l'un d'entre eux avant d'entrer par la porte principale.

Un salut militaire à son Lieutenant Elicas.

Comment ça se passe ici Lieutenant?

Renforcez les colonnes, il vaut mieux qu'il y ait un garde de plus derrière chacune d'entre elle, c'est préférable. Restez à l'entrée et envoyez-moi un garde me faire un rapport dès que c'est nécessaire. Je serai posté près de l'autel.

Il observait la foule tumultueuse, il espérait juste que cette dernière, malgré ses protestations, resterait digne.

Les gardes épiscopaux étaient en ligne, fixes, l'armure scintillante, la tête droite et la main tenant fermement leur hallebarde.

Le Maréchal Killdragon remonta la nef par la partie gauche et vînt saluer Monseigneur Hugo, puis se posta non loin de l'autel, après avoir fait signe à Secate de le rejoindre.

Secate, vous restez derrière moi, et vous vous préparez à agir dès que je vous en donnerai l'ordre.

La tension était palpable, peut-être faudrait-il évacuer la foule. Monseigneur Killdragon s'y préparait. Le dispositif était prêt, même si il espérait de tout cœur ne pas avoir à en venir là: chacun et chacune avait le droit d'assister à l'investiture, et il était préférable que celle-ci se déroule dans de bonnes conditions.
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Aanor

[Dans son appartement rennais]

Discussion entre la blonde et sa dame de compagnie

- La blanche ?
- Non
- La bleue ?
- Non plus
- Mais madame…
- Ce n’est pas son baptême… la bleue doit être mise dans la malle qui part avec nous en Champagne demain. Et la rouge ?
- Elle est déjà dans la malle madame
- Elle n’a pas qu’une rouge, j’en suis sûre… Mettez-lui la rouge avec les broderies d’or sur les manches. Elle est assez simple, pas trop voyante et en même temps digne d’une première sortie officielle. Vous penserez à lui mettre son bonnet en dentelle aussi.

La décision était des plus importantes. Sa fille était arrivée voilà deux jours de Besné avec sa nourrice, sous escortes. Elle avait décidé que l’investiture de la nouvelle duchesse serait la première sortie officielle de la très jeune demoiselle dont on avait fêté le premier anniversaire il y a quelques jours. Première sortie officielle en Bretagne, avant de prendre la route pour la capitale de la champagne et une autre cérémonie qui lui tenait tout particulièrement à cœur. C’est cela aussi qui angoissait a blonde au caractère pourtant bien trempé.

Elle était elle-même vêtue d’une robe aux couleurs de la vicomté de Besné. Nul signe des armoiries de la dite vicomté mais une tenue rouge et or qui y faisait allusion. Elle laissa Eillena, sa dame de compagnie apprivoiser ses cheveux. Elle déposa ensuite un fin diadème qui traversait le haut de son front pour se perdre dans sa coiffure.

- Laonie est-elle prête ?
- Oui madame
- Faites prévenir que nous gagnerons la primatiale à pieds.

Elle revêtit aussi une de ses capes car le temps restait frais, prit sa fidèle besace dans laquelle elle glissa une précieuse missive. Elle lui avait promis qu'elle lui remettrait. Et la blonde ne manquait jamais ses promesses, encore moins à celles données à un ami cher et de longue date.

[Dans les rues de Rennes puis au lieu de la cérémonie]

C’est à pieds, puisque l’appartement était assez proche du lieu de culte, que la blonde gagna le lieu de la cérémonie, accompagnée de sa dame de compagnie qui portait sa fille et d’un homme en armes qui ne la quittait presque jamais lors de ses déplacements. Elle laissa l’homme à l’entrée, pris des bras d’Eillena, Laonie. Elle marcha le long de la nef pour gagner les places réservées à la bourgeoisie.

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Douchka

Au fur et à mesure qu’ils approchaient, le murmure de la foule se faisait plus sourd.

Douchka était assise dans ce carrosse qui l’emmenait vers un autre épisode de sa vie.

Jamais rien n’avait été simple et limpide dans son parcours et cette investiture le prouvait encore. Elle connaissait la grogne, les injures qui entouraient l’investiture mais on était venu lui rapporter un fait nouveau pour l’évènement, la menace …

Le regard sur ses mains qui nerveusement triturait l’étoffe de la robe que Meiline lui avait offert pour l’occasion, étonnée des coups de ciseaux que Meiline avait distribué dans l'étoffe, elle avait décidé de la porter, en hommage à ses talents créatifs.

Elle repassait dans sa tête les derniers évènements.

Peur ? Non elle n’avait pas peur et avait même refusé qu’un tas de muscle prenne place en face d’elle dans ce carrosse.
Nerveuse, oui comme à quelques minutes d’un évènement aussi important dans sa vie.

Étonnée, touchée et interdite aussi par tant de haine que l’humain est capable de faire naitre en lui, abasourdie par l’effet de groupe dans son plus mauvais exemple qui est de se laisser entrainer par une voix haineuse, en oubliant tout du pourquoi on est là, abandonnant par là même, toute possibilité de penser par soi même.

Elle avait toujours été de celles qui tentait de faire comprendre que c’est en équipe qu’on fait le meilleur travail, sans jamais prendre sur l’identité de chacun de ses membres, sans jamais empiéter sur ses convictions profondes. Mais chacun ne pouvait comprendre ce message et elle l’actait aussi et l’acceptait.

On lui avait imposé une garde rapprochée, elle avait acquiescé, sans être convaincue qu’il le faille.

On lui avait parlé d’humiliations possibles, de meurtriers, elle ne voulait pas le croire.

On ne pouvait imaginer de tels actes entre Bretons, et surtout pourquoi ? Une erreur valait elle tout ce déchainement ?

A l’instant présent, son boulier de Cac lui manquait terriblement, ses soirées passées à recompter encore le stock Ducal, pleine de poussière et souriante avec la satisfaction du devoir accompli.

Un bref instant où le visages de ses camarades, passait comme un éclair dans sa tête. Elle était si fière d’être leur amie. Elle ne les décevrait pas, elle tiendrait malgré la tourmente.

Elle finissait par penser qu’on la craignait pour vouloir l’éliminer ainsi au lieu de tenter de la connaître. Mais elle ne craignait pas la folie des hommes.

Le carrosse ralentissait, les sabots des chevaux cognaient moins fort, le sol, le Cœur qui s’emballe, on y était.

Elle ferma les yeux et prit une longue inspiration, croisa ses doigts et les serra très fort puis se murmura à elle-même
« C’est maintenant, on y va ».

La porte s’ouvrit, une main gantée se tendait pour l’aider à descendre, la foule scandait, elle ne comprenait pas un mot mais la rumeur, lui donna un long frisson.

Elle posa un pied à terre puis un second, déposa un regard sur l’homme qui l’aidait à ne pas se prendre les pieds dans sa robe.

Et sans avoir eu le temps de comprendre, un homme se rua près d’eux, elle ne vit que ses yeux brillants, puis un rictus sur son visage et la chute de son corps devant elle.

Vite on l’emmenait, elle se sentait tirée vers l’intérieur de l’édifice comme soulevée de terre, elle ne marchait plus, elle volait, un autre homme l’ayant prise sous le bras, elle était soulevée à quelques centimètres du sol.
Quand ils la déposèrent devant la grande allée, elles les entendit donner quelques consignes et repartirent prestement vers l’extérieur.

Il fallait avancer maintenant vers Monseigneur Hugo, elle prit donc l’allée, saluant d’un sourire doux, chaque regard croisé sans en oublier aucun. Elle ancrait ce moment dans sa mémoire, avançant doucement pour prendre la mesure de l’évènement.

Que s’était-il passé ? Il faudrait qu’elle pose la question plus tard mais là n’était plus le moment.

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Lallie_ap_maelweg

Non loin de là, parce qu'elle avait de par son statut l'obligation d'assister à pareille mascarade, la Duchesse de Poudouvre s'amusait de certains comportements. Mais ce n'est pas le lancé de tomate ou les soudars endoctrinés de la nouvelle "Duchesse" qui firent le plus sensation, mais plutôt l'hideuse apparition, toute de guenilles revêtue, impudique, vulgaire, dissimulant à grand peine tétons et mont de vénus et le tissus éfiloché de toute part, qui au moindre mouvement révélait tout.

Cette robe avait probablement été taillée à l'épée ou bien volée à un nécessiteux. C'était tout bonnement indescent. Elle aurait pu tout aussi bien venir nue que l'effet aurait probablement été le même.

- C'est un scandale,gémit la pauvre Brivael, oser se promener ainsi, dans un lieu de culte en plus ! N'a-t-elle donc ni respect ni honneur ?

Elle n'aurait jamais cru si bien dire.

- C'est définitif ma bonne Brivael, voilà la Putain de Bretagne.

Non sans détourner les yeux sur ce qui ne laissait planer aucun doute quant au genre de la ribaude sournoisement couronnée, elle eut un sourire narquois.

Une voix au loin tonna :

- Mais qu'est-ce que c'est que ça ? C'est un sapin de noël ou quoi ?

Quelques têtes se retournèrent, des murmures indignés, quelques rires moqueurs, un autre ajouta :

- Mais que font les lanceurs de tomates pour nous masquer cette gorge et ce cul que l'on ne saurait voir ?

Cette investiture semblait s'annoncer sous de meilleurs hospices...
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Mike.de.naueriels

Le connétable vit la duchesse et se demanda qu'elle étrange tenue qu'elle portait là. "hum intéressant comme concept, j'aime bien". Il croisa le regard d'un autre en train de regarder la même chose que lui et ne pu s'empêcher de rire. Il se dit que le pauvre archevêque va avoir beaucoup de mal à faire son investiture.

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Maire de Rieux et Connétable de Bretagne.

Secate

La cadette avait suivit Elicas qui l'avait posté près d'un pillier pour surveiller, ne quittant pas Monseigneur Hugo de l'oeil.
Soudain le Vidame lui fit signe de la rejoindre, elle acquiessa et se dirigea donc vers lui; le saluant militairement et saluant Hugo religieusement, elle était diaconesse tout de même...

Le Vidame lui ordonna de rester derrière elle, elle recula donc d'un pas, laissant les deux hommes parler tranquillement. Mais elle n'était pas très rassurée, l'ambiance changeait, les esprits semblaient s'échauffer.
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--Mary_la_catin

Mary regarda, estomaquée, la "Duchesse" entrer dans le lieu de culte. Mais... Quel accoutrement était donc le sien ??? Même dans son métier de femme de plaisir, qui exigeait pourtant un soupçon d'indécence bien placée, elle n'avait jamais vu une robe aussi... ouverte. Scandaleuse. Qu'une geuse porte des vêtements lacérés, cela n'avait rien d'extraordinaire... mais une Duchesse, personne riche et de haute stature, sensée être une représentante de la Bretagne ??? Mais par tous les Dieux, que lui prenait-il donc ? On voyait son nombril, son aine, les tétons de ses seins ! Ses bras étaient nus, sa gorge offerte !!

La jeune femme resta bouche bée devant ce spectacle. La foule chuchotait, ricanait, sifflait de manière insistante. Pauvre Duchesse. La cérémonie n'était pas commencée, et déjà elle était huée, moquée. La putain de Bretagne.

Mary la regarda avancer, puis se reprit. Quelques chaises étaient là, rangées près d'un mur, en arrière de la foule. Elle grimpa lestement sur l'une d'elles, dégaina une tomate, et la lança de toutes ses forces sur la Duchesse dénudée.

Elle sauta de la chaise, se faufila entre les gens, et disparut un peu plus loin...

Douchka

Douchka s'était arrêté près de la Duchesse de Poudouvre qui avait les yeux exorbités.

Elle se pencha vers elle pour lui chuchoter "Pourriez vous redire ce que vous venez de souffler? Il me semble avoir entendu Putain dans votre langage si châtié d'ordinaire Duchesse. Un souci peut être?"

Un sourire chaleureux à la Duchesse qui avait fait le déplacement pour cette investiture, bien qu'elle ai refusé d'officier dans la partie druidique.
Elle releva la tête et se redressa quand un projectile étonnamment rouge la frola pour s'écraser sur... la Duchesse de Poudouvre.

Rassurée, Douchka se dit qu'elle n'était pas seule à avoir des détracteurs.
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Investiture de Douchka

Preciodekerroch

Dispensaire de Renne

« Le chirurgien est un homme qui en vaut plusieurs autres, s’il s’agit de retirer les traits ».

Penchée sur la cuisse de la clerc, Precio semblait chercher quelque chose. La hampe de la flèche. la hampe est en bois ou en roseau. Le trait lui - même est en fer, en airain, en étain, en plomb, en corne, en verre, en os ou même aussi en roseau ou en bois. Il y en a qui sont hérissés de piquants et d’autres qui n'en ont pas. Parmi ceux qui en ont, les uns ont ces piquants tournés en arrière afin qu’en voulant les retirer ils percent au contraire ; les autres ont les piquants tournés en avant afin qu’en les poussant, ils percent également ; d’autres en ont qui sont tournés en sens contraire à la manière des foudres, afin que quand on veut, soit les retirer, soit les pousser, ils s’enfoncent au contraire. Quelques uns aussi portent une charnière au moyen de laquelle les piquants se tiennent réunis, puis quand on veut arracher le trait, ces piquants se déploient et empêchent l’extraction.

Mais c'est presqu'un souffle de soulagement qui s'échappe des lèvres de la Violine. Son oeil exercé vient de capter qu'il s'agit d'une flèche simple, avec une queue de fer insérée dans la hampe. Sans poison, et dont le fer ne resterait pas dans la plaie. Mais le trait semblait s'être fiché dans un vaisseau et la complication était là. Elle allait devoir avant d'ôter la flèche lier les vaisseaux de chaque côté de la blessure.

Le temps de lever les yeux et déjà son assistante vient de lui porter l'huile de rosat tiédie. D'une main experte, Precio en enduit les chairs meurtries afin de les mollifier tout d'abord et les fortifier par le séchage de l'huile. Cela permettait ainsi d'introduire l'huile, entre le manche de la flèche et son pourtour. Se saisissant d'une fine aiguille et de fil de lin, elle se met en oeuvre de ligaturer les vaisseaux endommagés de chaque côté de la plaie. Ceci afin de prévenir un jet impétueux de sang.

Tout en terminant ses ligatures, elle parle à voix haute, tout autant pour rassurer la jeune femme que les personnes dans la pièce.

Vous avez de la chance, le fer de la flèche est apparent. Mais je vais devoir l'extraire.

Tout en parlant, elle se remémore les sept façons différentes qu'elle a appris pour extraire une flèche.

Elle se saitsit des pinces dont les extrémités ressemblent à un bec d’oiseau. Cannelées comme des limes, elle sait que l'instrument une fois saisi de la flèche, ne la lâchera pas. Tenailles d’Abulcasis en main elle regarde le prélat qui est avec eux.

Monseigneur. C'est le moment de confesser votre clerc.

Certes, la demande de Precio peut paraitre incongrue, ou fortement inquiétante. Mais c'est de la manoeuvre qui va suivre que dépendra la vie de sa patiente. Si malheur devait arriver, il vaut mieux qu'elle soit prête.

Elle sent bien le regard de Pouilloux et de Madcat qui se portent sur elle, mais elle ne se déconcentre pas et continue son oeuvre.

La maître-herboriste, d'un revers de main, essuie les gouttes de sueur qui perlent à son front. Qui aurait cru lorqu'elle est venu à cette investiture, qu'elle se retrouverait à soigner une blessure que l'on ne trouvait en général que sur un champ de bataille.

La manoeuvre la plus délicate reste à faire. Pas une minute pour souffler, le temps presse. Les fines mains dirigent le manche de la flèche entre les tenailles dentées et affermis de son ustensile, et impriment un mouvement ferme des doigts sur la partie postérieure des tenailles, afin que les dents des tenailles s’incrustent fortement dans le manche de la flèche. Ceci fait, Precio tourne les tenailles à droite et à gauche afin de ramèner la flèche à l'endroit exact par où elle est entrée. Tout en tirant doucement et précautionneusement, Precio ramène fermement tenu par la pince, la pointe de fer de la flèche, et dépose le tout sur un linge.

La flèche est extraite. Il me reste encore à nettoyer et suturer la plaie avant d'apporter les derniers soins.

Le regard de Precio se pose sur Madcat, lueur dans le regard lui signifiant que le plus dur est fait.
Puis s'adressant à Pouilloux.

Maintenez lui bien les épaules je vous prie, qu'elle bouge le moins possible.
La flèche étant extraite, je vais remplir la plaie avec des bourdonnets de lin trempés dans un mélange d' huile de rosat, de jaune d’oeuf, et de safran.

Ce faisant Precio termine ses soins en suturant soigneusement la plaie, dentellant la peau de fils de lin très fins, ce qui laissera une cicatrice pas trop marquée, elle l'espère.

Camille ? C'est terminé. Et vous êtes toujours parmi nous.

Il sera temps ensuite de la transporter dans l'une des alcôves du dispensaire et de veiller sur elle afin de lui apporter les soins quotidiens que son état va nécessiter ces prochains jours.

Soupir de soulagement.
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Roxannemontfortlaval

Panique générale.

Sa marraine qui se porte au secours de la duchesse.

Son cousin Cassius qui se jette dans la mêlée et se prend une flèche dans le bras avant d'emporter Douchka dans la Primatiale.

Des hurlements qui se font entendre, ça crie et ça court de partout.

Un regard sur Pelotine qui semble nettement mieux que tout à l'heure. Un autre sur le garde du Tregor. Qu'est-ce qu'il attend pour se bouger le trégorrois !! Que sa Pelote se fasse embrocher ? Roxanne se tourne vers le maréchal.

Je ne sais ce que vous comptez faire maréchal, mais pour ma part, je vais emmener Pelotine se mettre à l'abri dans une taverne à Rennes ! Puis avec toute cette agitation, je commence à croire que nous serions bien mieux sur Rennes. On ne sait jamais ce qu'il peut s'y produire. Vous venez avec nous ? Une lueur mutine dans les gris en se haussant à son oreille de manière à n'être entendue que de lui. Ta vie m'est précieuse et je ne voudrais pas que tu te reçoives une flèche perdue toi aussi !

Puis d'un pas ferme, la gonfanonier passe sous le nez du garde qui semble ailleurs et sourit, rassurante à son amie.

Viens avec nous Pelotine, on va aller se boire une bonne chopine en taverne, histoire que tu te remettes de tes frayeurs. Puis au moins, tu seras à l'abri.
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Lalael

Présent dans la Primatiale pour l'investiture de la nouvelle duchesse, Lalael de Montfort-Toxandrie fût plus que choquer quand la violence commença à perturber cette cérémonie sacrée. Le manque de respect des assaillants pour le lieu et l'occasion même mériterait plus tard les plus verte réprimande et même des sanctions. Mais pour l'heure, des personnes étaient blessé.
Lalael vit une flèche atteindre la poitrine de la duchesse, et ne s'exclama horrifié :

Pour l'Amour d'Aristote et de Christos !!!!

Il avait couru vers la duchesse aussi vite que ses habits de cérémonie le lui permettait pour lui porter secours et les premiers soins. Arrivée auprès du corps de la duchesse, il avait commencé son travail en sortant les quelques simples qu'il avait avec lui tout en pensant à la folie des hommes qui bafouait les enseignements du Très-Haut pour de simples querelles politiques. Après avoir quelque peu stabiliser l'état de la patiente, il aidait maintenant à évacuer son corps vers un lieu plus sûr. Il s'inquiétait aussi de savoir si Monseigneur Hugo avait pu se mettre en sécurité dans toute cette agitation. Il fit une prière en ce sens.
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Sieur Lalael de Montfort-Toxandrie.
Responsable des relations avec les curés du diocèse de Nantes.

Eozenez

La petite, était sous le choc ... elle était haut perchée et elle prêtait attention aux alentours ... elle aurait dû l'apercevoir. Elle s'en voulait énormément.

Elle était très inquiète ... pour la duchesse d'abord et puis pour son Général aussi.

Swann a écrit:

DOUCHKA BAT TOI, MEURS PAS

Puis elle entendit ce cri qui lui glaça les sangs. Elle aussi, elle avait hurlé quand ... "N'y pense pas. Agis" se morigéna-t-elle. Elle crapahuta de son perchoir urgemment pour aller porter secours à l'évacuation.

Elle s'approcha du jeune homme et lui dit délicatement "Viens, je t'emmène à l'abri. Nous trouverons où ils ont emmené la duchesse. Ne t'inquiète pas, ils vont s'occuper d'elle." Elle le prend alors par la main et se met à courir en direction de la primatiale ... n'étant là que depuis peu, elle ne connaissait pas encore bien Rennes. Mais il fallait évacuer cette place ... plus loin on verrait.

Lemerco

[Château de Dol]

Lemerco avait hésité à venir à l’investiture. Toujours les mêmes discours, toujours la même rengaine. Pourtant il n’allait pas rater la seule investiture dans l’histoire de Bretagne durant laquelle il s’est passé des choses. Et pour cause… Lem est un homme de l’ombre. Et des rumeurs venues des bas fonds véhiculaient l’idée comme quoi un attentat était prévu durant la cérémonie. Il aurait pu rester indifférent, faire comme si il n’avait rien entendu. Après tout il a été et reste toujours en désaccord sur bien des choses avec Douchka. Mais peut-être que le temps passant, les années s’accumulant, la vieillesse augmentant et la mort se rapprochant, avaient poussé Lem à ne pas demeurer indifférent au sort qu’attendait la duchesse en exercice. Alors avait-il envoyé des hommes proches de lui, surveiller les choses. On pouvait être un opposant, mais ne rien faire quand on est au courant c’est presque synonyme de complicité. Une lourde charge à assumer quand viendrait son jugement devant le Très Haut.

Alors que les flèches pleuvaient, une discussion brêve avec Ankou qui se solda par la mise à disposition de sa garde pour sortir la duchesse blessée de là. Puis il avait pris les devants pour rentrer en sa demeure avant tout le convoi. Certaines personnes lui en voudront très certainement de ne pas la laisser mourir. Mais la haine mérite-elle de se changer un meurtrier ? Au moins Douchka sera proche de Fougères durant sa convalescence, et pourra se retirer rapidement chez elle une fois qu’elle ira mieux. Le reste et l’avenir, peu lui importait.
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Camille.

La tête lui tourne, lui tourne, lui tourne. Surement le sang perdu, le choc de la blessure. Elle observe autour d'elle le bal qui se joue, les danses de chacun. Anne courageuse et attentive qui seconde Precio. Cette dernière qui a prit les choses en main et dont les doigts déjà pianotent sa mélodie sur sa peau ensanglantée. Tant pis pour l'Aube, que vole le tissu. Elle a toute confiance en les personnes présentes. Hugo est comme un père et veille sur elle, balançant l'encensoir pour que l’Éther les entourent et les lie à l'essence divine. Oui, elle est entre de bonnes mains, médicinales et spirituelles. Et dans la main de Pouilloux qui veille sur elle. Sa caresse sur son front dépose une chaleur apaisante. Que sa peau est chaude.. A moins que ce soit elle qui a perdu de sa propre chaleur. Elle est si bien pourtant étonnément, il lui suffirait de fermer les yeux et de s'endormir.... Mais le regard de Pouilloux la tient éveillée. Il est si urgent si inquiet et les paroles arrivent à ses oreilles.

Camille, nous sommes tous avec toi !
On va vous tirer de là, je vous le promets.
Camille, bat toi pour cette liberté que tu viens de retrouver... Laisse le printemps gagner, pense à cette naissance, cette renaissance... Reste avec nous Camille...

Les mots font leur chemin. Oui, elle doit se battre. Ils ont besoin d'elle, elle s'est offerte au Très Haut pour les guider et elle n'a pas encore fait son temps. Elle doit rester réveillée pour ses ouailles, son fils, cette renaissance et le reste, tout le reste... Camille se redresse un peu et sert la main de Pouilloux en essayant de sourire. Avec la force de surmonter le choc de l'attaque, elle retrouve ses sens et la douleur qui diffuse de sa cuisse pulse soudain, crispant ses doigts à ceux de son ami.

On y va.

Je suis prête...

Regard de petit soldat avec cette lueur de peur, consciente de ce qui l'attend.
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Preciodekerroch

Dispensaire de Renne

Des mots qui s'échappent de la bouche de la clerc

Hémorragie... cautériser... sutures...

Precio ne répond pas, la maître-herboriste, chirurgien-barbier, est déjà à son office, penchée au-dessus de la blessure. La flèche est profondément fichée sur le haut de la cuisse. Mais l'extraction va être délicate. Artères et vaisseaux vitaux passent par-là.
Sans lever ses violines qui continuent d'évaluer les dégâts, elle sait qu'il va falloir faire vite.

Dame Madcat. Je vais avoir besoin d'eau chaude. De linges propres. Et de sang-froid pour les personnes présentes dans cette pièce, parce que je n'aurais pas le temps de m'occuper de quelqu'un d'autre que de la patiente ! Dans ma besace.
Ciseaux,
thermocautère,
aiguille,
fils de crin,
linge propre pour faire le pansement
Charpie pour fabriquer une tente molle.

Huile de rosat que vous me faites chauffer. safran, suc de solathre, joubarbe.

Le ton est donné, laissant comprendre ainsi sans ambigüité que la blessure est importante. Elle sait déjà que simplement tirer sur la hampe ne suffira point à extraire le carreau d'arbalète. La plupart du temps seule la hampe, simplement emboîtée, peut être extraite. Elle n'aurait alors plus qu'à sonder la blessure, s'il s'avère que le fer est prêt à sortir du côté opposé,elle utiliserait son impulsoir. En passant par le trou laissé par la pointe, elle viendrait loger son instrument dans la douille de la flèche et la pousser en avant. Quand cette dernière pointe de l'autre côté, les chairs se déforment, et elle aurait alors à pratiquer une coupure en croix pour limiter la déchirure des tissus et une dernière impulsion lui permettrait d'extraire la flèche.

Sauf que dans le cas présent, la situation est toute autre. La Violine réfléchit à toute vitesse. Ses instruments sont auprès d'elle. Ses yeux se lèvent un instant sur Pouilloux avant de se reporter sur la clerc.

On va vous tirer de là, je vous le promets.

Precio appliqua en inhalation une éponge soporifique de Salerme imbibée d'opium, de mandragore, de musc et lierre. Le dosage était toujours très délicat, car en cas de décés elle encourait la peine capitale !!...mais la Violine faisait partie des rares qui savait parfaitement doser tout cela. Elle avait été formée dans la meilleure Guilde qui soit il y a déjà plusieurs années. La Guilde des Cévennes. Elle eut une pensée pour son ancienne mentor et maître, comme à chaque fois qu'elle s'apprête à entreprendre une délicate manoeuvre. Dame Saku de Franchimont.

On y va.
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Madcat

Anne-Solenn, toujours derrière son pilier et avec une folle envie de s'éclipser, entendit le cri poussé par son filleul. Elle n'avait rien vu, que se passait-il donc, tous ces cris, ce brouhaha, ce désordre.

Soudain, Pouilloux surgit de la foule, l'air hagard, les yeux exorbités, tenant dans ses bras Camille inanimée et semblant perdre tout son sang.

Sans perdre de temps, elle souleva légèrement ses jupes pour ne pas trébucher en se hâtant et elle tenta de se dégager de la foule en folie qui lui barrait le passage, pour courir après Pouilloux.

Perdant toute retenue, elle hurla, tout en bousculant gueux, nobles et manants qui se pressaient pour mieux voir elle ne savait quel spectacle .

Pouilloux, Pouilloux, j'ai la clef du dispensaire, je viens t'ouvrir la porte, ne crains rien on va la soigner.

Un dernier effort, quelques pieds écrasés, quelques belles Dames et grands Seigneurs évités de justesse, et enfin elle arriva à se dégager. Oubliant toute dignité, elle prit ses jambes à son cou, en brandissant la clef du dispensaire comme un trophée, et arriva presqu'en même temps que Pouilloux devant la porte du dispensaire.

Hors d'haleine, incapable de parler, elle ouvrit rapidement la porte, non sans avoir torturé la clef pour l'introduire dans la serrure, et elle fit signe à Pouilloux d'entrer.
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Pouilloux

Rennes : le dispensaire

Anne, elle ne parle pas... elle n'a rien dit

Pouilloux vient d'entrer dans le dispensaire de Rennes. Il béni sa marraine de l'avoir ouvert, d'avoir eu la présence de comprendre son cri.

Pouilloux, est toujours obnubilé par la couleur Rouge sur l'aube Blanche de la Mère Camille. Dans le dispensaire, il la dépose sur la table de travail. Regardant sans comprendre le fin morceau de bois qui sort de l'aube.

Je n'ai pas compris marraine, nous étions à la cérémonie druidique, il y a eu des cris... J'étais perdu dans mes pensées, et elle était là debout à moitier chancelante... Et cette tache rouge qui ne cessait de grossir, de grossir... Elle n'a rien dit.

Entrer dans les ordres en même temps, lors du tro, forcément ça crée des liens. Ils ont passés tant de journées ensembles sur les routes, dans toutes les villes de Bretagne. Ils ont pris le temps de se connaitre. Passant des soirées entières à parler de tout, de rien, de leur vie passé, et surtout de celle qui s'offre à eux avec leur ordination. Ils sont devenus proches

Et Pouilloux ne comprend pas comment elle est là dans son sang, sans rien dire... Là sur cette table... Ce que les gens de Tours, n'avaient pas réussi à faire, les bretons, des Bretons ont ... Non ! Elle ne peut pas...

Anne... ?

Pouilloux reste planté là, ne sanchant que faire, quoi faire. Nulle formation de médicastre, nul antécédant dans sa vie devant le sang, devant tout ce rouge... Il regarde Camille, lui tient sa main, sent un léger pouls, sent la vie en elle...

Anne ? C'est grave ... ? Pourquoi elle ne dit rien.... ?
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Lavatar

La tierce du capitaine Lavatar s'était postée autour du Grand Chêne, surveillant d'un air sombre les hommes, femmes et enfants qui étaient restés pour l'investiture druidique de la duchesse…
Il était pas tranquille… le peuple était là, curieux de voir comment la duchesse se plierait aux traditions ancestrales, retenu par une barrière de soldats qui lui faisaient face… Mais un mauvais pressentiment lui travaillait les boyaux.

Ses pensées allaient aussi vers le soldat Dalton… Celui-ci avait perdu beaucoup de sang et il avait ordonné à Aradroth et Kiklan d'aider Melyane à le porter au dispensaire… Il attendait avec impatience leur retour afin de prendre nouvelles…

Puis à nouveau, des cris, un corps qui s'écroulait, celui de la duchesse, et le Général de hurler

La Tierce, en protection!!! On évacue!!!

Avant de grimacer lorsqu'il reçut la flèche sur le bras…

Encore !?!?!
La tierce se mit en place rapidement, se regroupant autour de son général, boucliers levés et épées au poing… Le général serrait les dents et tenait bon, mais la duchesse ensanglanté dans ses bras ne bougeait plus…

La Seconde, protégez la foule et faites évacuer!!! La Haute, débusquez le tireur embusqué!!!

La capitaine fut rassuré d'entendre que le ton de Cassius n'avait rien perdu de sa puissance et tous coururent ainsi jusqu'à la primatiale, tels un bouclier humain qu'aucun projectile ne saurait traverser… La vie de la Duchesse avant tout… Mais n'était-il pas trop tard ?
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Madcat

Le Dispensaire de Rennes

Anne-Solenn Wolback avait précédé Pouilloux dans le dispensaire et l'avait aidé à étendre Camille sur la table. Le jeune curé semblait avoir complètement perdu la tête. Anne-Solenn n'osait lui parler pour ne pas le perturber davantage.

Quand Precio apparut Anne Solenn soupira intérieurement de soulagement. Voilà enfin quelqu'un qui saurait ce qu'il fallait faire pour Camille. Cependant elle ne s'attendait pas à ce que la maître-herboriste la choisisse comme assistante.
Mais comme du sang froid, elle en avait à revendre, elle ne se posa pas de questions et commença par faire chauffer l'eau dont la jeune femme avait besoin. Elle lui apporta ensuite une pile de linges propres qui sentaient bon les fleurs séchées qu'elle avait glissées dans les placards.

Cependant, quand Precio lui demanda de fouiller dans sa besace et de lui passer les divers instruments nécessaires pour traiter la plaie de Camille, le maire de Rennes eut un moment d'hésitation, elle connaissait la vertu des simples et leur utilisation, mais ses connaissances en médecine s'arrêtaient là. Quant à la chirurgie, ses talents se limitaient à l'extraction d'une épine du doigt de sa fille Alana. Alors, reconnaître les instruments que réclamait Precio...

Mais la chance semblait être avec elle, à mesure que la maître-herboriste nommait un instrument et tendait la main vers Anne-Solenn, comme par miracle, l'instrument passait de la main du maire de Rennes dans celle de Precio. Et il faut croire qu'il n'y eut ni erreur ni confusion, car lorsqu'Anne-Solenn eut fini de passer les instruments, faire chauffer l'huile de rosat et trouvé tous les simples nécessaires, la maître-herboriste déclara sur un ton décidé:

Citation:

On y va

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Ankou

Un bref échange avec le Marquis de Dol.
Nous ne pouvons pas la laisser la, c’est trop dangereux.
Avec son accord et avec les soldats qu’il m’a confiés, discrètement, profitant de la bousculade je rejoins la Duchesse, un coup d’œil à la
blessure m’apprend que si la blessure est grave la vie de Douchka n’est pas en danger, trop de pagaille, trop de risque, sa vie est bien
trop précieuse pour quelle reste à la porté d’un autre attentat.
Conte Cassius, je l’emmène en lieu sur, confiez la moi, je fais des études de médecine, venez avec nous, je pourrais vous soigner aussi et si
vos hommes veulent nous escorter ce n’en sera que mieux.
Je m’adresse à deux soldats du Marquis
Toi, toi, aidez moi, je l’emporte en lieu sur, elle sera soigné et protégé, les autres suivez moi ouvrez nous la route nous devons nous hâter.
Protégé et escorté par les soldats, j’ai tôt fais d’atteindre discrètement la sortie.
Installer le plus confortablement possible la Duchesse dans un chariot ne nous prend qu’un instant, direction le château du Marquis de Dol.
Nous sommes rapidement hors de vue et solidement escorté par les soldats elle ne risque plus rien.
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Melyane.

Un sourire sur mon minois voyant la scène. Mon époux était dévouée à sa Duchesse.
Je regarde autour de moi, qui était blessé? pourquoi? J'entends une personne crier "Camille" au loin je me retourne me hissant sur la pointe des pieds, ma soeur était blessée elle aussi? Mais c'était la guerre ou bien?

Pouilloux

Rennes : Le dispensaire

Pouilloux n'aurait rien pu faire d'autre que de suivre les paroles de Precio. " Restez auprès d'elle et parlez lui, afin de la rassurer.".

Lorsqu'elle est entrée, et en voyant de qu'elle façon elle prend en main la conduite des choses à faire, Pouilloux est soulagé. Il regarde Camille, lui tenant toujours la main, lui souriant en caressant son visage...

Tu es en de bonnes mains Camille.... Sois forte... Dame Precio, va te soigner, elle ve te guerrir.

Pouilloux se demande, s'il doit parler de Damian, l'enfant de Camille. Il est sur qu'elle y pense déjà. Qu'elle doit déjà se battre pour qu'il ne perde pas sa mère. Il pense surtout à tout ce qu'ils ont pu se dire pendant le Tro.

Camille, bat toi pour cette liberté que tu viens de retrouver... Laisse le printemps gagner, pense à cette naissance, cette renaissance...

Monseigneur Hugo arrive à son tour et le questionne.

Je ne sais pas, il y a eu tant de cris, et Camille était là avec cette flèche plantée dans son aube, et tout ce sang, qui l'a tachée, tout son sang qui quittait son corps...

Il la regarde, de nouveau en lui souriant, elle avait réussit à pronnoncer des mots. Lui massant toujours sa main, lui caressant le front. Mon dieu qu'elle est froide...

Reste avec nous Camille...
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Hugo.

Le Prélat était en train de prier dans la sacristie quand il vit de l'agitation dehors, regardant à la fenêtre, il vit Pouilloux crier.
Le Prélat reconnu vite Camille dans les bras de Pouilloux, elle saignait beaucoup et Pouilloux avait prit la direction du dispensaire.
Le Prélat mit alors son chapeau noir qui allait si bien avec sa soutane noire,
les prêtres présent tentèrent bien de le dissuader mais le Briochin est têtu !
Il n'est pas médicastre mais il a ses remèdes,
un encensoir et une gourde de chouchen, cuvée de bruz de 1458.
Il sortit donc dehors prenant le chemin du dispensaire.

[Dispensaire de Rennes]

Il voyait bien du mouvement, là ou certains auraient hésité à rentrer lui rentra d'un coup d'un seul, sa place était là auprès de sa Vicaire, avant de continuer il prit le temps de bien refermer la porte afin d'éviter d'autres troubles !
Le Prélat arriva à la hauteur de Pouilloux et lui dit.

Pouilloux que s'est-il passé ? J'ai vu soudain Camille tomber dans tes bras !

Puis il tendit sa gourde de chouchen à Precio, c'est toujours utile pour cicatriser selon feu Mgr Kurios.
Lui il allait se mettre à son office, il allait prier pour Camille, pour sa guérison.
Certains trouveraient cela dérisoire mais là est sa place et il ne se défilera pas.
Il fit rependre de l'encens tout autour de Camille avant de réciter.

Seigneur, Toi qui vois aujourd'hui une de tes plus grandes fidèles dans la douleur, veille sur elle.
Donnes lui le courage et la force de guérir afin de rester parmi nous .
Délivres là de ses souffrances que nous partageons en ce moment même avec elle.
Amen !

Camille, nous sommes tous avec toi !

Puis il se tourna vers Precio en lui disant quelques mots simple, elle était occupée avec Camille, il ne fallait pas la déranger.

Puisses ces mots simples la réconforter !
J'ai foi en vous ma chère, et si vous avez besoin de quoique ce soit, n'hésitez pas à nous demander.
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Swann

On la emmené
et plus rien
Douchka est entrain de mourit surement quelque part et on sait rien
tout le monde s'en fout finalement
une de moins qui diront
Mais moi j'ai la colère, la haine et je le gueule
JE VEUX SAVOIR
bande de pourri vous l'avez eu
ILS SONT OU SES AMIS ILS SONT OU CEUX DE FOUGERES ILS SONT OU CEUX DU CHATEAU ILS SONT OU CEUX QUI L'AIME
DOUCHKA BAT TOI, MEURS PAS

Elibas

Eli était attentive. Un chêne, cela lui rappelait bien des choses. Mais là n'était pas le jour, elle laissait son regard parcourir la foule, les visages. Il semblait que la folie avait gagné les hommes. La nouvelle duchesse ne laissait pas sans réaction. La tension montait, la cérémonie se terminait, tout pouvait encore arriver.
Les ordres fusèrent, un archer avait touché ses cibles. La duchesse, le général étaient touchés. Sa capitaine lui donna l'ordre de rejoindre ces deux derniers à la primatiale, l'archer était sous bonne garde. Elle se précipita pour soigner.
Elle rejoignit le général qui portait la duchesse, le bras rougit de son propre sang, ses vêtements tâchés de celui de la duchesse.

Mon général, je vais vous porter les soins pendant que cette dame s'occupe de la duchesse, dès que nous serons en un lieu sur.
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Bruce

Une flèche ... du sang, personne n'avait rien vu venir, un archer embusqué avait tiré sur la duchesse, elle était blessée. Le lieutenant de la Haute Dizaine se mit alors à regarder vers le ciel, il vit alors une seconde flèche heurter le Général Cassius ... s'en était trop.

Il avait vu d'où provenait la flèche, il fonça alors vers ce même endroit. Il entendit une jeune femme demander de l'aide, Gavril interpella totalement l'arche. Une fois maîtrisé, Lauralyne arriva juste derrière Bruce, elle donna ses ordres, il fallait protèger la foule.

"A vos ordres !"

Bruce alla vers Gavril et attrapa par le col l'archer, il dit à Gavril :

"Bien joué, nous devrions veiller, la sécurité des lieux n'est pas encore assurée apparemment."

Le lieutenant Bruce attrapa son bouclier, il assèna alors un violent coup de bouclier dans la tête du paysan en l'injuriant. Inconscient, il ne poserai plus de problème, désormais il ne représentait plus une menace ... Bruce aida alors à diriger les gens vers la sortie, tout en gardant un oeil sur l'archer qui était parti pour faire une trés longue sieste ...

Ozareff

Obéissant aux ordres de Lauralyne, Ozareff accourait afin d'aider son compagnon Bruce, ce dernier s'étant emparé du criminel.

- Laisse le moi frères je m'en occupe, continue à diriger les gens vers la sortie.

Malgré l'inconscience du meurtrier, Ozareff lui asséna un coup de botte dans le ventre.

- Celui là il est bon pour le châtiment de la scie, j'ai hâte de voir ça

Il lui attacha ensuite les mains et les pieds, le teins par ses cheveux et le traîna vers un lieu plus discret afin de débarrasser la salle de ce rat.
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Rejoignez-nous!

Camille.

La fleur rouge s'épanouit sur son aube et Camille la regarde, interdite, comme si elle était à distance de son corps. Le temps semble suspendu, les gens crient en tous sens autour d'elle sans qu'elle ne perçoive le moindre son, spectacle surnaturel qui se déroule sous son regard presque absence. Et soudain...

Nonnnnnnnnnnnn, Camilllllllllllllllllleeeeeee....

Tout s'accélère à nouveau au cri guttural qui la percute de plein fouet. La vie reprend son rythme, bruits, odeurs, mouvements rapides et bousculades et Camille tangue au milieu de tout ça, prise à la gorge par la douleur qui soudain monte en elle irradiant de sa blessure. Pouilloux semble se matérialiser auprès d'elle, il la cueille, prend les choses en main, la soulevant comme une plume avant de filer à vive allure dans les rues de Rennes. Où vont ils? Elle n'en sait rien, ne se repérant encore que vaguement dans la ville, ses sensations prises par sa souffrance, ne songeant qu'à s’agripper au cou du prêtre. Sa tête se nichant dans le creux de son cou pour tenter de ne pas la laisser dodeliner. Elle se sent sous le choc, léger et sans vie dans ses bras. Elle voudrait réagir, mais pour une fois, elle qui cherche toujours à veiller sur les autres, elle laisse à un autre le controle de sa vie. Heureusement, Pouilloux et Anne ont les bons réflexes, vite rejoins par une femme que Camille se rappelle vaguement avoir vu lors du Tro.

Le dispensaire de Rennes. Anne prend les devants, ouvre la porte et guide son clerc servant dnas les couloirs jusqu'à une salle de soin. Le pauvre a un peu de mal à la détacher de ses bras mais lui prend de suite la main qu'elle sert de peur de perdre ce point d'ancrage. Mais déjà Anne et la jeune dame sont autour d'elle. Sa raison lui crie bien qu'il faut briser la flèche avant de l'extraire avec soin pour cautériser si besoin toute voie de sang sectionnée, mais le choc lui donne pour le moment une drôle de tête, cheveux en désordres, vêtement couvert de sang, une fléche fermement plantée dans le haut de sa cuisse et ses prunelles dilatées d'un regard tétanisé par le choc. Elle a traversé une enfance sur les routes, une révolte, une guerre, une vendetta et une fuite à travers la France avec des brigands aux trousses pour finir par prendre sa première blessure sans raison par une fléche perdue dans un attentat qui n'avait rien avoir avec elle. Le monde a parfois de ces ironies. Blessée sur la terre qu'elle a défendu contre les siens alors qu'elle n'a rien avoir à l'affaire.

Camille ouvre les lèvres, mais aucun son ne sort. Elle voudrait mais rien ne sort. Elle sert plus fort la main de son ami, déglutit difficilement et enfin quelques sons sortent à destination des deux femmes.

Hémorragie... cautériser... sutures...

Elle se sent bête et voudrait réagir mieux, mais la tête lui tourne. Elle ne réalise pas qu'elle a perdu beaucoup de sang : visiblement la flèche a fait plus de dégats qu'elle le pense mais ça c'est au médecin d'agir...
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Camille.

Trois flèches fusent. Une est évitée par le général, la seconde auréole de sang la tenue de la duchesse et la troisième se perd dans la foule. Du moins tout dépend ce que l'on nomme se perdre car la fine lance de bois armée file à vive allure vers les rangs des clercs et vient se figer dans une tenue pâle. Le visage blêmissant, Camille baisse son regard et observe l'objet incongru qui s'est planté dans le haut de sa cuisse.

Moment irréel, elle qui allait se précipiter comme à son habitude se fige et sous le choc ne sent même pas de douleur l'envahir pour l'instant, engourdie par la surprise. Son regard se relève, presque trop calme et scrute les environs. La foule qui s'éparpille, le druide mit à l'abri, l'attroupement autour de la duchesse pour prendre soin d'elle. Camille, elle, reste là, debout sans bouger, comme suspendue dans le temps par l'absurdité de la chose.
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Lauralyne

La cérémonie touchait à sa fin, tout semblait se calmer. Semblait seulement car le danger était toujours là. Et ce qui devait arriver arriva, un sifflement, un éclair une tâche écarlate. Un hurlement de commandement venant du général Cassius:

La Tierce, en protection!!! On évacue!!!
La Seconde, protégez la foule et faites évacuer!!! La Haute, débusquez le tireur embusqué!!

Laly suivit du regard la trajectoire éphémère des flèches et repéra l'individu qui dans sa course rencontra la capitaine de la seconde dizaine.

Haute dizaine, on protège la foule, le tireur est maîtrisé. Il n'est sans doute pas seule.
Eli va auprès du général et de la duchesse, tes compétences de médecin seront nécessaire.

La foule criait, s'éparpillait, fuyait le lieu du grand chêne. Les soldats de l'Hermine aidaient les femmes, les enfants, les hommes. Laly, arme à la main, bouclier dans l'autre, les guidait.
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Maman d'Elrick, Floraline, Krystal, Enoal et mère de coeur de Titouan et Klauss
Soeur de Debad, JEpl et Eldon

Pouilloux

La bétise Humaine à l'état brut. La bète sans nom qui en chef de meute les dirigent... Le constat de Pouilloux est décevant... Il prie le Très Haut, de leur rendre la raison, que ses Hommes et ses Femmes se souviennent qu'ils sont Tous ses enfants. Hommes en arme partout, des flèches lancées...

Le père Pouilloux regarde autour de lui, ça court de partout, tout est en mouvement, tout est précipitation, tout se floute autour de lui, tout ... Tout sauf L'image de Camille. Pouilloux ne vois rien d'autre que la mère avec son aube blanche... La blancheur l'aveugle... Le reste n'existe plus car un point rouge, qui grandi de plus en plus apparait sur le blanc si pur.

Incompréhension totale... Pouilloux parlait au Trés Haut et brusque retour à la réalité. Les cris de ceux qui courrent rendre en colision avec le silence de la scène sous ses yeux...

Nonnnnnnnnnnnn, Camilllllllllllllllllleeeeeee....

Il se précipite sur elle et la cueille dans ses bras. Elle est complétement ailleurs, perdue dans ses pensées. Il la porte vers le dispensaire de Rennes. Regardant sans comprendre cette flèche qui sort de son aube, et tout ce rouge. trop de Rouge...

Il traverse la place en direction du dispensaire que sa marraine à ouvert dernièrement... Il regarde Camille, la flèche, incapable de juger la gravité, d'évaluer la blessure... Et toujours ce rouge, ce maudit rouge... La dispensaire est devant lui... Camille ne pèse rien dans ses bras, mais pourquoi tant de rouge, tant de sang....
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Esmica

La jeune femme suivait la cérémonie druidique depuis le début pas très loin de la Duchesse, à côtés des autres conseillers ducaux. Tout se passé bien, un peu près. Quand l'épée fut donné à la Duchesse, quelques secondes après, Douchka s'écroula par terre, une tàche rouge grandissant sur sa robe blanche. Cette fois le tir ne la pas ratée. La jeune femme sans réfléchir se précipita a ses pieds, mais elle n'eut pas vraiment le temps de faire quoi que ce soit, voilà qu'une autre femme qu'elle ne connaissait pas lui prodigua quelques soins, et que le Général disparut avec la Duchesse dans ses bras, lui même blessée, dans la primitaele. Elle avait promis à Douchka, qu'elle la protégera, mais personne n'a vu le tir venir. Elle se mit a courir à son tour suivant le Général, qui était trop rapide. Arrivant à la hauteur de la femme qui avait prodiguée les premiers soins à la Duchesse et qui suivait Cassius aussi.

Je viens vous aider, Dame. Je vois que vous avez l'habitude vous me direz ce que vous voulez que je fasse.

Les gens couraient, criaient, les soldats de l'Hermine, évacuaient, c'était un sacré bordel. Elle se retourna un instant voyant que l'archer avait été maitriser, puis murmura.

Il mérite la mort celui-là.

Puis ne voyant plus rien autour d'elle, ce qui comptait c'est soigner la Duchesse.
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Vicomtesse de Pleuvihan
Procureur de Bretagne
Ex Mairesse de Reoz
Adjointe au Maire de Reoz

Pelotine.

Apaisée , la jeune femme assistait a la cérémonie , la tête ailleurs , se demandant comment on pouvait passer d'une ambiance si agitée a une si sereine.
Sereine ? pas tant que cela , un élément perturbateur venait de faire son entrée , une flèche.
Ah elle était bien placée celle la , l'archer devait être un bon tireur , la chute de Douchka arracha un nouveau cri a Pelotine , mais la panique se sentait bien moins ressentir , moins de mouvements , les soldats paraissaient plus calmes et organisés , la pelote se sentit donc moins en danger.

Par contre , la tâche rouge qui se répandait doucement sur les haillons de la nouvelle Duchesse c'était légèrement plus dangereux a son goût.
Elle en aura vu des gens chuter , faire des malaises , mourir même , mais Douchka ! ça elle ne s'y attendait pas.

Lentement elle recule laissant les personnes expertes prendre la situation en main.
De loin , elle observe , peut être venait elle de gagner un nouveau client , et pas des moindres !
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Madennig

La jeune demoiselle bien que encore nouvelle dans ce monde trouvait que la cérémonie prenait un tour bien étrange. Voila que la duchesse venait de s'écrouler sa robe blanche arborant quelques lueur rouge vif et que des flèches fusaient en tout sens. Alors c'est cela le courage du peuple breton ? S'attaquer ainsi aux gens en un lieu sacré plutôt que de se faire entendre par le biais de représentant ou même de son roi ? La Bretagne n'était vraiment pas prête a se relever finalement, il n'y avait qu'a voir cela.

Une flèche se planta non loin de son visage dans ce tir aux nobles comme on pourrait le dire mais qui ne la fit pas broncher. Voila qui pouvait surement paraitre suspect mais dans ce chahut qui le remarquerait. La jeune brune soupira cette Bretagne sombrait et semblait aller de plus en plus bas. Non loin de la porte où elle était, elle fit un pas de coté pour laisser passer la noblesse sortir en premier. Sur un bateau on dit bien les femmes et les enfants d'abord, sur terre c'est noblesse puis peuple.

Elle attendit donc que le gros du convoi sorte pour pouvoir en faire de même a son tour de toute façon, son carrosse attendait dehors et sa garde a deux pas.
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Quand une duchesse rencontre un comte, voila le résultat !

Oban

Il venait juste de se retirer … un sifflement, un impact…, il ne comprenait pas ce qu’il se passait, regardant hagard autour de lui…

Un corps qui s’effondre tenant en main l’épée qu’il vient de remettre…

Il sort ses mains de ses manches, prêt à intervenir que déjà il est bousculé…

La duchesse sur le sol, une flèche fichée sur la poitrine, git près d’une femme qui s’agenouille faisant obstacle de sa chair, lui enlevant d’un geste rapide et précis le javelot.

Quelques ordres donnés, un second sifflement un second impact…

Le général touché à son tour, se saisit de la Duchesse et file d’un pas rapide vers la primatiale, l’agitation reprend, des gardes sortent de toutes parts, dégageant une voie vers la primatiale, repoussant de ci, de la foule de leur bouclier.

Citation:

Demat mon père ou je ne sais quel nom vous donnez druide, suivez moi avec les enfants, je vais vous ouvrir la foule pour que vous puissiez prendre une ruelle et évacuer cette zone dangereuse.

Un homme d’arme venait de l’interpeler…

Regard échangé avec l’homme de l’hermine…puis il s’adresse aux enfants…

Suivez cet Homme !

Le pas pressé il ferme la marche de la troupe d’enfants, se dirigeant vers une ruelle sombre qui semblera les mettre en sécurité.

Citation:

Druide, je vous laisse rejoindre la ruelle avec les enfants, vous êtes en sécurité maintenant, je dois aller aider mon capitaine, prenez soin de vous et des enfants..

L’homme s’éloigne déjà…

Trugarez sieur !

Que la Mère vous épargne dans votre combat !

Poussant de nouveau les enfants de ses bras, il les fit enter dans une taverne en lieu sûr…, puis ressortit observer la suite des événements...
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--Paysan_pas_content

Il était pas content. Mais alors pas content du tout.

Ce Chouan de souche en avait contre la Duchesse de s'être fait nommé de cette façon si grossière pour la Breizh.

Et puis une mauvaise récolte avec un temps pourris avait finis de l'énerver.

Bref, il avait pris son arc et le voici à tirer comme des lapins ces "nobles", pas foutu de faire pousser une carotte.

Une flèche dans le général qui vociférait des ordres.

Bon, il tira encore une flèche pour faire bonne mesure, dans le tas, et puis prit la fuite, comme un lièvre des bois, histoire de pas se faire prendre, ni pendre d'ailleurs, ce qui revenait au même.

Valoche

Val avait tout vu.

Elle hurla à sa dizaine :

Vous évacuez la foule fermement mais gentiment

Puis elle vit revenir gavril et lui crie on fait sortir tout le monde

et soudain son regard est attiré par quelque chose oui quelque chose qui se sauve à toute jambes. Val est très entrainée donc elle le rattrape sans peine
et vlan un coup dans les dents qui l'estourbit mais elle sait que c'est un fort gaillard alors elle crie

A l'aide vite
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Gavril

Gavril revenait au pas de course de la caserne, la route fut nettement plus courte que pour convoyer le probable assassin, en même temps, plus simple de marcher avec une charge sur l'épaule, même si elle gigotait.. Il était sur le point de rejoindre la foule et de se remettre en position quand soudainement, un vrombissement, les ordres du génèral, deuxiéme vrombissement, panique, eh défection sa recommence! Après une centaine de jurons laché en quelques seconde dans toutes les langues que maitrisait Gavril, il se mit a éxécutez les ordres.. Protéger, évacuez, puis les ordres du sergent, poussez la foule protéger de l'est.. Gavril n'avait pas de bouclier, sa c'était sur et pas le temps de s'en trouver un, et vient les ordres du capitaine qui corroboraient ceux du sergent.

Que pouvait t'il faire donc, les enfants! Les enfants de la cérémonies, il était la avec le druide, la fléche enait de transpercer le bras du génèral, il n'avait pas encore bouger, il se dirigea donc vers eux aussi vite qu'il pus, et s'arréta devant le druide qui avait présidait la cérémonie mais aussi devant les enfants qui y étaient parti prenante, le nom du druide était Oban, mais sa il ne pouvait le savoir.

Demat mon père ou je ne sais quel nom vous donnez druide, suivez moi avec les enfants, je vais vous ouvrir la foule pour que vous puissiez prendre une ruelle et évacuer cette zone dangereuse..

Il le regarda une dernière foix en même temps que les enfants le druide pour lui dire qu'il pouvait lui faire confiance mais aussi que c'était un homme des hermines qu'il savait ce qu'il fesait.
Il détourna la tête et regarda, au loin la primatial, la zone de la cérémonie et les petites rues. Dans une petites rue ils pourraient se mettre a l'abri.. Dans un suivez moi, il comença a ouvrir la foule pars des places ou en poussant gentillement mais présemptement la foule pour ouvrir la voie.. Au bout d'une a deux minutes, il les aurait mis en sécurité et pourrait voir si sa section avait besoin d'aide, il éspérait ne pas avoir désobéit aux ordres, ce n'était pas dans ses habitudes de sauver la veuve et l'orphelin mais peut être une façon de se racheter de son passé..

Soudain, a quelques pas de la ruelle, il entendit puis d'un coup de tête, vis la capitaine.. Elle avait besoin d'aide, il était un homme de sa section, il devait y aller. Il se retourna vers les personnes qu'il escortait.

Druide, je vous laisse rejoindre la ruelle avec les enfants, vous êtes en sécurité maintenant, je dois aller aider mon capitaine, prenez soin de vous et des enfants..

Gavril se retourna trés rapidement et courut vers son capitaine a coup de poussade et autre pour se frayer un chemin.. Arrivé en vue du capitaine, il vit l'homme par terre a coté d'elle qui avait l'air sonné, pas de menace immédiat, juste interpellez l'homme et le garder pour la haute dizaine.. Il vint se placer a coté de la capitaine et se mit a genoux sur le tireur en lui tenant les deux mains machinalement, c'était un réflexe, neutraliser la cible et être sur qu'elle ne pourrait plus nuir... Pour le coup le troisième de la journée.. Sa commençait a faire beaucoup. Il se permit alors de relever la tête et de dire au capitaine.

Je le tiens fermement mon capitaine, vous prévenez la haute qu'on l'a mon capitaine mais pourrez y en avoir d'autre..
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Harles

Harles obéit sans réfléchir aux ordres du général, de la direction de la flèche, il en déduit que l'archer était quelque part à l'est.

Poussez la foule derrière vous et dirigez vous vers l'est pour leur faire rempart, bouclier en avant soldats !

Protégez les de votre mieux, on se met en ligne, front à l'est !

Il laissait les gens passer en leur indiquant de continuer vers l'ouest, derrière eux...

Preciodekerroch

Mouvement de panique, un visage qu'il lui semble connaitre sans bien discerner qui il est, et voila qu'une flèche siffle près de son oreille pour venir se ficher dans le bras de l'homme d'arme.

Il faut évacuer madame!

Crénom de non, elle en avait oublié l'évacuation !! Bien que nombre de fois elle soit intervenue directement sur le champ de bataille lorsque l'évacuation était tout bonnement impossible.
Attrappant au vol, sa besace que Maëllia venait de lui rapporter, relevant jupons en mains, elle se met à courir derrière l'homme d'arme en direction de la Primatiale, tout en attrappant la main de Maëllia dans la sienne et l'entrainant sans ménagement avec elle. Et durant sa course, de souffler entre ses dents.

Et dire que mon époux est heureux de ne pas être venu à cette investiture ! Il va le regretter sous peu !

Et l'épouse du Mestre d'Armes des Trente de continuer sa galopade derrière le Montfort qu'elle venait enfin de reconnaitre afin de pouvoir prodiguer soins à la Duchesse et maintenant à l'homme d'arme avec sa flèche fichée dans le bras. Encore heureux qu'elle fasse suivre sa besace où qu'elle aille.
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Douchka

Elle empoigna l'épée puis se tourna vers les personnes restées là pour la cérémonie.

Dans une grande expiration, elle lança

Plutôt la mort que la souillure !

Peuple de Breizh, je suis votre Duchesse mais surtout votre serviteur.
J'ai donné mon énergie, mon temps, ma vie entière au service de notre terre et je continuerais, forte de mes convictions pour vous tous.
Je remercie du fond du coeur ceux qui ont été avec moi depuis le premier jour et les formidables personnes que la Bretagne à en son sein. Je remercie aussi toux ceux qui ne m'ont pas apprécié jusqu'à tenter de me connaitre et travailler avec moi. Rien de tout cela n'aurait été possible sans eux

Un sourire franc sur les lèvres, elle reposa la pointe de la lourde épée au sol.

Un impact au son sourd, la bouche qui s'ouvre en un rond parfait, une auréole de sang qui grandit sur sa poitrine et la chute de son corps au sol en arrière, piquée par une pointe.
Ses yeux vers le ciel voilé par quelques nuages qui dessinent des formes floues, tellement floues ...

L'épée des Ducs dans ses mains qui serrent plus fort le pommeau.

Un soupir lent et long comme un jour sans pain et ses yeux qui se ferment doucement.
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Preciodekerroch

Elle est là avec Maëllia. Elle observe la cérémonie non loin de la Duchesse qui reçoit l'Epée des Ducs. Elle entend le discours du Druide. Et c'est alors qu'elle voit Douchka tomber au sol. Et la tâche de sang qui s'élargit. Precio regarde autour d'elle , certains semblent n'avoir rien vu, d'autres restent immobiles, pétrifiés par la surprise, d'autres encore se désinterressent complètement de la scène.

La maître-herboriste, chirurgien-barbier de son état ne cherche pas à comprendre. Elle a fait le serment il y a déjà quelques années de soigner quiconque se trouvera en besoin de soins, quelqu'il soit. Ami ou ennemi. Noble ou gueux. Et elle a l'expérience des champs de combats sur lesquels elle en a ramassé des blessés et des morts lorsqu'elle dirigeait le dispensaire de l'Ost de Retz.

C'est en bousculant les quelques personnes devant elle et des hommes d'armes qui la gênait, lachant la main de sa fille, que d'instinct, elle se porte au secours de cette femme à terre. D'un oeil avisé, elle se rend compte de la situation. La pointe est fichée au dessus de son sein droit et la tâche de sang s'étale, formant une tâche pourpre sur le corsage de la robe. La Duchesse est consciente bien qu'en état de choc.
D'une main ferme et précise, Precio place sa paume autour de la pointe, la serrant fermement et tire dessus d'un coup sec.
La plaie n'est pas profonde mais bien sanguinolente. D'un coup de dent, la vicomtesse déchire un morceau de la manche volantée de sa robe, qu'elle plaque posément sur la plaie, alors qu'elle tourne légèrement la tête vers sa fille tout en lui criant calmement

Maëllia, va chercher ma besace sur Tornade. Dépêche toi !!!

Puis se penchant sur cette femme qu'elle avait récemment rencontrée en taverne sur Kastell Paol.

Ce n'est rien Douchka, ça va aller. Respirez calmement.
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Cassius

La cérémonie continue malgré le danger, elle aurait dû être annulé mais la Duchesse malgré les conseils avisés en avait voulu autrement. Le lieu extérieur était à découvert, il avait été sécurisé en urgence, sans préparation au préalable, autant dire qu'une frappe de proximité était quasi impossible mais à distance était aisé pour un aguerri.

Le Montfort était au premier rang, lorgnant les alentours, ne prêtant plus vraiment d'attention à la cérémonie druidique, quand soudain un son que l'homme d'armes avait côtoyé tout au long de sa vie pourfendis l'air et l'impact qui résonna en disait long sur la réussite du tir.

Son regard se porta immédiatement sur la Duchesse qui debout, sa robe d'un blanc immaculé vira subitement au rouge vif au niveau de la poitrine. Elle se laissa tomber en arrière, le Montfort se précipita sur elle la protégeant de son corps... Une femme porta soudainement assistance à la Duchesse, il crut reconnaître l'épouse du Mestre d'armes des Trente, son ami Lancéor. Mais le temps n'était point aux soins, à découvert... Il fallait évacuer.

Il faut évacuer madame!

Un hurlement profond du Général déchira les airs...

La Tierce, en protection!!! On évacue!!!

Au même instant, couvert par la voix du Général, une deuxième flèche fut projetée et se planta d'un trait dans le bras du Montfort, qui sous la douleur serra la mâchoire. Malgré l'agonie, il souleva la Duchesse et prit la direction de la primartiale où ils seraient à l'abri. La Tierce quadrillait maintenant le Montfort et la Duchesse empêchant tout tir supplémentaire d'atteindre sa cible...

Tout en avançant à foulée rapide, il lança ses derniers ordres...

La Seconde, protégez la foule et faites évacuer!!! La Haute, débusquez le tireur embusqué!!!
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Comté de Kervegon

Douchka

Douchka le regardait sans baisser les yeux

Il s'agissait d'un sermon bien personnel, et Oban avait du prendre grand soin à le préparer.

Elle le laissait parler, le regard toujours accroché à ses prunelles.

La neutralité n'était apparemment pas de mise chez les druides, un sourire imperceptible sur les lèvres, elle le regardait plus intensément.

Chaque mot était là pour faire mal, pour toucher au plus profond, ce n'était pas là les seules paroles d'un druide, hélas.

Ose donc Oban, ose, où les autres ont échoué, va plus loin encore ...
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Oban

Lentement il entama un demi cercle, posant la pointe de l'épaule gauche à l'épaule droite …

Instant solennel d'un regard froid, puis il la retourna, pointe en main, lame sur l'avant bras et lui présentant la garde...

Voici l'épée des ducs de Bretagne…!
Aussi je te la remets, au nom de nos ancêtres, au nom de nos traditions et coutumes, ainsi qu’au nom du peuple qui t'a élue...

Puisses-tu t'en montrer digne, avec notre soutien, et le leur !

Libéré de l'épée, il reprit...

Relève toi, Dugez a Breizh...! Tu as à faire, désormais...!

Le visage toujours aussi sévère, il s'effaça après un signe de tête
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Mike.de.naueriels

Mike fut heureux que le cérémonie touche à sa fin. Il sourit malgré tout et attendit la suite des évènements en espérant que plus rien ne viendrai perturber la cérémonie..
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Maire de Rieux et Connétable de Bretagne.

Oban

Après un silence lui laissant le temps de s'installer et s'assurer de l'attention générale, l’épée traditionnelle en main, celle que ceignaient tour à tour les Ducs de Breizh depuis plusieurs générations, la lame pointée vers le haut, il inspira profondément et reprit la parole...

Duchesse ... Tu viens d’être consacrée par la religion du peuple, laisse-moi te sacrer à mon tour, au nom de nos ancêtres, de nos traditions et de nos coutumes !

D'un geste ferme, il abaissa la lame, bras tendus droits devant lui, fixant dans les yeux la Duchesse, braquant à quelques centimètres la gorge de cette dernière...

Le métal froid luisait sourdement…, la Duchesse à sa merci, il marqua un temps de silence, la fixant plus intensément

Aujourd’hui simple épée d'apparat, elle a connue jadis les tempêtes guerrières, le fracas métallique et le goût du sang..., sang de l’ennemi !

Nouveau silence..., il reprend

En ces jours ou Breizh connait des affrontements internes, tu devras te dresser droite et intègre..., tel le menhir...
La responsabilité de cette épée est une charge et un honneur, Douchka de Kreneg, une charge qui résonne, certes, autrement de nos jours, mais de façon non moins significative que pour tes prédécesseurs...
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Oban

La pointe toujours devant sa gorge, il continua

Elle est le symbole de la force de nos ancêtres, de ceux qui ont lutté avant toi pour que notre pays reste libre, fier et indépendant....

Elle représente la justice que tu devras faire régner dans une totale intégrité...

Tu en seras seule responsable en cas d'échec..., ne renvoi pas la faute sur quelconques personnes, conseillers ou autres..., car toi seule n'auras pas su les réunir...

Sache que si elle t'est remise aujourd'hui, elle peut aussi t'être enlevée demain !
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Douchka

Citation:

En ces jours ou Breizh connait des affrontements internes, tu devras te dresser droite et intègre..., tel le menhir..

Droite elle l'avait toujours été, intègre elle le serait à jamais,jusqu'à la mort.

Aucune expression sur son visage, le visage pâle et concentré sur l'instant.

Elle lisait dans ses yeux, une flamme vive et perçante qui ne savait pas mentir, que l'épée te glisse tes mains, Oban et c'est la fin de Douchka en un instant.

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Scotty

scotty assurait aussi la sécurité avec Uriell.
il se trouvait de l'autre côté de Bruce.
il était clair qu'il ne pouvait plus rien se passer tant que les hermines seraient là.
la main sur le pommeau de l'épée, l'oeil aux aguets, tout mouvement suspect devait être avorté.
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Oban

Ces paroles terminées une enfant arriva le pas un peu pressé, tenant en main le gui et le chêne entrelacé qu'elle tendit à la dame du jour avant de s'éclipser d'un pas encore plus rapide...

Plus lentement une enfant du pays de Léon, choisie du fait opposé au pays de la Duchesse afin qu'elle n'oublie pas, apportait le coussin supportant l'épée des Ducs de Breizh.

Reçois le gui, symbole du renouveau.
Reçois le chêne, symbole de force et de longévité de notre pays.
O Ghel an Heu, que germe le blé !
Awen !

Moment de silence et de quiétude à l'attention de tous

Il saisit l'épée libérant ainsi le coussin que l'enfant déposa aux pieds de la Duchesse.

Agenouilles toi, Douchka de Kreneg !
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Blackbird

Erwin avait esquivé les conflits et suivit à bonne distance le cortège ducal, intrigué par la cérémonie druidique qui devait avoir lieu. Il suivit donc le cortège jusqu'à cette cérémonie et l'observa en retrait.
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Camille.

Camille avait laissé couler autour d'elle les évènements mouvementés du début de cette investiture. Chacun pouvait donner l'image qu'il voulait de lui, elle se refusait à entacher celle de l'Eglise. Elle suivit donc avec discrétion Monseigneur Hugo et sortit avec les autres clercs pour assister à la cérémonie druidique.

La jeune abbesse suivait avec attention le cérémonial. C'était la première fois qu'elle observait une célébration druidique et les paroles la captivaient. Un sourire doux aux lèvres, elle appréciait ce respect des traditions des terres de Bretagne.
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Roxannemontfortlaval

Une voix qui se fait entendre et la tête se tourne en sa direction. Colosse qui remet épée en place. Il considère qu'il en a terminé et qu'il redevient simple spectateur. Ce qui signifie qu'à postiori elle aussi. Un regard sur Pelotine.

Tout va bien maintenant. Tu peux profiter tranquillement de la cérémonie druidique. Puis regarde, ton garde Tregorrois du jour s'y connait à son office. Le maréchal me mande, je le rejoins.

Quelques minutes plus tard, Roxanne était auprès de Maël pour assister à la fin de la cérémonie druidique.
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Douchka

Citation:

Voici trois breuvages produit sur nos terres, le cidre le chouchen et la prunàVampi !
Symbole de nos tavernes, fruits de nos fûts..., délectes en les papilles, étanche ta soif pour t'éclaircir l'esprit, sans pour cela en abuser !

Elle gouta, un à un les mets qu'on lui tendait, elle prenait le temps de mâcher, pour délivrer les saveurs et s'en imprégner.
Une des coupes vola alors en éclat, faisant vaciller les deux autres. Un sursaut, non pas d'étonnement, ils iraient jusqu'au bout...

Elle aussi ...

Elle tourna la tête pour chercher d'un regard interrogateur ce qui avait pu se passer dans la foule massée autour d'eux.

Il restait deux coupes sur le plateau, humides du liquide qu'avait laissé l'autre coupe en éclatant.
Elle en prit une dans chaque main avant qu'on ne les détruise de nouveau puis porta la première à ses lèvres pour laisser couler le liquide dans sa gorge,ses yeux plantés dans ceux d'Oban.
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Madennig

Voila quelques temps que la gamine était partie faire ses études un peu partout où sa mère l’envoyée afin de parfaire son éducation. Il faut dire que la duchesse n'est pas des plus maternelle mais elle ne lésine pas sur l'éducation. La gamine ne l'est donc plus tellement avec les quelques années qui sont passer même si aux yeux des adulte elle doit surement l'être encore. Enfin bref, la fille de sa grâce Anastriana duchesse du Rohannais a depuis peu 10 ans et n'a pas perdu son amour pour sa terre de naissance la Bretagne.

A peine rentré qu'elle apprend qu'a lieu en ce jour le sacre de la duchesse de Bretagne, Douchka qu'elle se prénomme a ce qu'on lui a dit. La jeune demoiselle ignore totalement de qui il s'agit mais un coup d’œil ne coute pas grand chose. A l'heure ou la carrosse la dépose, la cérémonie en est a la phase druidique ce qui n'est pas pour déplaire a la demoiselle plus familiarisée par ce milieu de par sa mère. Même pas eu le temps de voir ses parents encore mais elle sait comme ils travaillent pour ce duché donc cela ne l'offusque en rien.

Entrant dans la place, elle ne peut que voir des sourire en coin sur le visage de certain ou deviner des messes basse...Que pouvait-il bien se passer par ici pour faire autant jaser ? Aucune idée mais la jeune demoiselle ne se préoccupe pas des ragots en générale. Vêtue d'une simple robe blanche elle se fond assez bien dans le décor ne dérangeant pas la cérémonie se déplaçant toujours comme si elle marchait sur un nuage. Parlant de blanc, il semblerait que la duchesse ait choisit la même couleur. Tout a fait de circonstance pense la jeune brune par contre, elle est moins convaincu par le côté fortement "ajourée" de la robe. Encore qu'elle parvient a faire un parallèle avec le faite de se montrer nue devant le très haut tel qu'ils nous a fait mais nue devant la Bretagne...Elle voit moins le rapport. Surement une signification caché de personne plus âgées va, elle demandera a mère histoire de savoir de quoi il retourne. En tout cas, à présent, elle sait a quoi ressemble la duchesse. C'est une bonne façon pour marquer les esprit remarquer.

Pendant la cérémonie, la jeune demoiselle parcours du regard les personnes présente voir si elle reconnait certaines personne. Pas évidant quand quelques années vous sépare de ces rencontres. Cependant, elle reconnait blasons et armoiries comme la duchesse de Poudouvre a la chevelure de feu, le maréchal de Bretagne surtout reconnaissable a sa carrure, la duchesse Chimera et bien d'autre souvent jamais rencontrer. Pour sur qu'il serait enrichissant de connaitre autant de monde mais comme on dit, c'est un cercle bien fermer où les jeunes n'ont que peu de place. Ce qui n'empêche pas la jeune brune de faire son bout de chemin.

En attendant, elle suit la cérémonie en silence non loin de la porte pouvant ainsi distingué du monde au moment de la sortie.
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Quand une duchesse rencontre un comte, voila le résultat !

Bruce

Bruce vit une flèche fendre la zone, elle éclata un vase rempli d'un breuvage suspect, apparemment on suspectait un nain d'avoir interagit avec ce breuvage ... Gavril se chargea de le sortir discrétement, il agissait dans le bon sens, il n'affolait pas la foule.
Bruce se rapprocha de la foule, il rassura cette masse, leur indiquant qu'il n'y avait aucun danger. La flèche avait pu en effrayer certains, il voulait empêcher une nouvelle émeute ...

C'est alors que Douchka dû boire le breuvage, heureusement il n'y avait plus de danger. La Duchesse devait se mettre à genoux, Bruce se décida à assurer la sécurité, il avança autour de la foule lentement, il était prêt à intervenir discrètement si le besoin se faisait sentir. Il vit Gavril partir avec le nain tandis que l'investiture se poursuivait.

Douchka

Après avoir bu les deux vases et écouté Oban, Douchka posa genoux à terre.

Le murmure dans son dos était perceptible, elle baissa la tête .

Un frisson la parcourut, elle était dans une position de condamnée à qui on allait trancher la tête, le confortable coussin pour ses genoux en plus.

Elle releva rapidement la tête d'un mouvement de cou sec et attendit silencieuse.
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Gavril

Gavril acquiessa au paroles du capitaine, il allait s'occuper du nain tout seul, aprés tout c'était un nain.. Il changea sa prise pour lui tenir les mains avec une des siennes mais de devant cette foi, il commença a le fouiller avec sa main libre, c'est vrai que comme sa, il pouvait tenter de fuir, mais sa serait débil du fait de sa petite taille et de sa faible rapidité.. Le pauvre était génétiquement programmé a l'échec au sprint.
Il éxécuta la fouille rapidement, apprament, rien de supect, rien qui pourrait servir d'arme ou être utilisé pour s'évader une foi au fer a la caserne.
Il se retourna donc sur lui même et fit grimper le nain sur son épaule tenant fermement ses maisn devant lui. le pauvre nain ne pouvait plus rien faire et sa devait être une position trés inconfortable, le ventre sur l'épaule de gavril, les mais tendut tenue par une seul de gavril et ses pied batant dans le dos du soldat. De plus si le nain l'ouvrait, tenter de crier, gavril l'avait prévenut, il avait encore une main de libre et sa cogne fort une main libre. gavril n'était pas fan de la violence gratuite, trop de mauvais souvenir mais l'investiture avait déjà trop subit de dérengement..
Il était donc en route pour la caserne chargé d'un jolie petit nain qui avait intérêt de se la fermer, sa allait rajouter un bonhomme aux fer a la caserne..

Coldtracker

Cassius a écrit:

Il s'en sortira, une flèche mais point meurtrière, c'est un homme solide, il en verra d'autres.

Tu ne l'as pas raté celui-là mon frère.

Tu m'excusera mon ami, je vais veillais à ce que l'organisation de mes hommes soient en place, ils n'ont pas encore l'habitude des "Trente" dans ce genre de protection. Mais je dois t'avouer que pour une situation d'urgence telle que celle-ci, ils n'ont pas démérité loin de là. Dommage qu'il n'y ai eu un vrai préparatif, il n'y aurais pas eu un bordel pareil.

Léger sourire du colosse qui répondit:
-"Je n'ai pas vraiment eu le choix....
C'est dommage qu'il ne puisse plus parler cependant...

Vas-y, je vais suivre cela de prêt...

On pourra parler d'une investiture inhabituelle, pour sûr...

Et oui, tu peux féliciter tes gars, ils ne sont pas habitués mais ils ont assuré...."

Ce faisant le Maréchal de Bretagne rengaina son espée et héla Roxanne en lui disant..
-"Finissons donc cette cérémonie....Il ne sera pas dit que des assassins pourront empêcher une investiture...."
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Une guerre à mener?De Morrigan-Montfort à vostre service...

Valoche

Gavril faisait un travail énorme. Il avait déjà immobilisé le nain, tranquillisé les enfants, et en plus tout ça sans trop perturber la cérémonie.
Bien sur le vase serait à refaire.

Gavril lui présenta le fauteur de troubles

j'aimerais que tu lui donne le même sort que l'homme au poignard dit-elle
moi je reste ici et je veille au grain.
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Mike.de.naueriels

Il regarda Cassius passé et lui parler d'honneur sans qu'il sache vraiment pourquoi. Il n'avait juste fait que laché un écu qu'il avait ramassé quelques minutes auparavant..parterre.

Mike a laché l'écu parterre, pas "jeté salement" ou "mettre à terre de manière violente l'écu"merci ljd Cassius et Roxanne. Tant qu'on y est Mike la jeté dans la boue, puis la piétiné et comme si ce n'était pas suffisant il l'a donné au cochon pour qu'il fasse du frisbee avec...misère..

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Maire de Rieux et Connétable de Bretagne.

Roxannemontfortlaval

Il y en a une autre qui de là où elle se trouve, jette un coup d'oeil sur son ambassadeur lorsqu'elle voit Cassius, qui était quelques secondes avant avec le Maréchal, le rejoindre et à son expression qu'elle connait bien, son cousin ne semble pas avoir apprécié l'acte du Kermabon. Roxanne l'a bien vu également mettre à terre de manière violente l'écu des Hermines. Mais ce n'était pas à elle d'intervenir, Mike n'était plus escuyer chez eux. En aurait-il fait de même alors qu'il se trouvait au sein des Trente ? Aurait-il mis à terre l'un des écus de ses propres frères et soeurs d'arme ? Elle ne le saurait puisqu'il avait démissionné de manière officielle pour aider sa famille. Mais elle commençait à comprendre que les raisons en étaient autres très certainement. Son geste venait de l'en conforter.

Déçue la Montfort-Laval. Extrêmement déçue d'une telle attitude. La gonfanonier des Trente qu'elle est saurait se rappeller de ce vilain geste d'humeur. A croire que la puissance du pouvoir monte à la tête de certain. Et que finalement ils sont loin d'être tel qu'on s'imagine qu'ils soient aux premiers abords.

La jeune femme s'assure du coin de l'oeil que sa Pelote va mieux. Celle-ci semble reprendre un peu de couleur et d'assurance. Ses gris semblent alors chercher au travers de la foule, la silhouette de cet inconnu qui se trouvait tout à l'heure près de l'Oncle Jack. Il lui avait dit venir à la cérémonie druidique. Puis elle voit sa marraine accompagnée de sa fille non loin qui sont là et elle leur adresse un petit signe de main. Un peu plus et elle ne reconnaissait pas la petite Maëllia. C'est fou ce qu'elle avait grandi. Mais ce qui commence à l'inquiéter, c'est qu'elle ne voit toujours pas trace de la tantine ni de Jack. Auraient-ils décidé d'écourter leur présence à la cérémonie druidique ?

C'est alors qu'elle voit la duchesse arriver et les yeux de Roxanne continuent de surveiller les alentours tandis que ses esgourdes ne manquent point d'écouter les paroles du Druide. Son attention se fait plus insistante encore à son égard. De près, elle apporte protection à Pelotine, mais de loin , c'est au Druide qui officie sur lequel elle veille.
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Valoche

Val patrouille avec Gavril A priori c'est le calme plat. Elle a vu eoz perchée sur son arbre et ça la rassure. De la-haut elle voit tout.

Soudain, elle entend le bruit d'une flèche, jette un oeil en haut et eoz affiche un grand sourire

IL faut qu'on s'approche il se passe quelque chose dit-elle à Gavril

Ils se mettent à courir puis Val repére tout de suite le vase cassé et un nain à la mine patibulaire dans le groupe des enfants, rien d'approchant avec un gamin.

C'est notre homme murmure-t-elle à Gavril
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Gavril

Gavril patrouillait tranquillement avec la capitaine, le calme était revenue et c'était pas plus mal.. Il avait repéré Eoz sur son petit arbre, elle était trés discréte de la haut, mais pas assez pour Gavril, la discrétion, sa le conaissait, c'était d'ailleurs sa seul vrai et unique compétence quand on y penssé..
Soudainement, le bruit d'une fléches, un récipient qui se brise, houla byzarre byzarre. Les yeux attirer par le bruit, gavril vit tout de suite, le vase et la fléche plantée, le groupe d'enfant Les paroles du capitaine.. Il se mettent donc a avancer rapidement, mais discrétement, le but étant de ne pas créer une nouvelle panique, sa serait vraiment une horeur si c'était a nouveau le bordel la.. Ils se dirigèrent donc vers le groupe. Tout de suite, une personne se démarquait, délit de faciès, on pouvait le dire, dans un groupe d'enfant, un nain, même si y fesait la même taille, sa passait pas indiscret.. Sa devait être le fauteur de trouble, de toute manière si c'était pas lui, eoz pourrait nous avertir vu qu'elle avait du voir l'action.
La capitaine lui fait la même remarque qu'il c'était fait et lui demande d'éxécuter un détours pour empécher toute sorti de fuite au petit être, a partir de maintenant, il avait peu de chance, avec ses petites pattes, il pouvait pas aller bien loin et sa paraitrait suspect. Ils l'encerclèrent donc. Gavril se chargea de le récupèrer en l'attrapant par le col bac tout en souriant aux enfants présent. Il plaça contre lui le suspect en lui maintenant les mains, on ne savait jamais, puis tout bas dis aux enfants:

Ne vous inquiétez pas, il faut qu'on lui parle un peu, continuer la cérémonie tranquillement..

Puis se fit la marche arrière, le nain toujours bien plaqué avec une main pour l'empécher d'utiliser les siennes et une autre pour lui mettre sur la bouche pour qu'il évite de brailler.. Une foix de coté a l'écars, il déssera un peu l'étreinte en lui tenant les deux mains dans le dos en face du capitaine. Il savait pas trpo quoi faire du nabot, la capitaine lui dirait bien..

Mc_conan

Mc Conan avait fait la route depuis Tréguier où sa charge de Chef Maréchal l'avait retenu plus qu'il n'aurait voulut et du coup il arriva en retard pour la cérémonie

Aussi il voulait rendre hommage à la Duchesse Douchka, en tans que Penn pour tout le Clan des Mc Conan
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Douchka

Elle ne quittait pas Oban des yeux, écoutant ses paroles attentivement.

Elle regardait les enfants, les enviant de vivre encore dans l'insouciance, ils étaient si beaux, si purs et si sérieux dans leur tache.

Oui nous retournerons tous à la terre qui nous a vu naitre, qui nous a nourri, cette terre qui est la notre.

Ses yeux se portèrent sur la vasque devant elle, symbole de tout ce qu'était la Bretagne.

Un instant elle repensa aux tros qu'elle avait fait plusieurs fois, des visages revenaient à sa mémoire, des lieux aussi, des saisons ...

Elle releva doucement la tête, un étrange sourire sur les lèvres, d'autres pensées faisaient leur chemin.
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Elibas

Elibas avait laissé le soldat Dalton aux mains de l'infirmière Melyanne et de Kiklan. Cela fait elle alla rejoindre sa section au grand chêne.
Elle écouta les ordres et se plaça, main à la garde.
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Olixius

Sourire pour Pelotine, pendant que les uns et les autres prenaient place.

Je vous en prie Pelotine, je ne pouvais décemment pas laisser votre partie bénite plus longtemps abandonnée au sol.

Il vit arriver la Duchesse, puis Roxanne de Montfort dont il savait qui elle était, même s'il avait du mal à la cerner, et puis un homme de garde. Il les salua d'un hochement de tête neutre, souriant poliment.

Le briochin qui avait raté absolument tous les évènements leva la tête. Sans comprendre pourquoi, il eut des envies subites de fromage.
Chassant cette idée fugace de son esprit, il reporta son attention sur les échanges entre Oban et la Duchesse. Sa main se posa par mégarde sur le fourreau de son épée.

Finalement, je ne sais pas pourquoi je l'ai prise, tout s'est bien passé. On a eu droit à une cérémonie bien calme en fait, limite ennuyeuse.
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Oban

Puis trois pas sur le coté, il rinça abondamment ses mains avant de prendre par les épaules deux jeunes garçons qu'il dirigea vers la Duchesse.

Dans les bras de son voisin de droite, un jeune fils de berger dont les troupeaux paissaient dans les grasses vallées nantaises, une gerbe…

Neuf branches des essences symboliques d'arbres venant des forêts de Breizh que l'enfant déposa à la gauche de la vasque.

Sa pensée vagabonda quelque peu vers le manoir, lieu reculé, ou il aimait tant se pauser.
Se reprenant bien vite et il durcit son regard comme il lui était de plus en plus coutumier...

Ici les essences de notre terre, sache également les préserver afin qu'ils ne disparaissent !

Dans les bras tremblants du second..., jeune fils de la noblesse bretonne..., un plateau où étaient placées des petites coupes contenant chacune quelques mets de Bretagne, produits d'un dur labeur, et de la collaboration entre la terre et les hommes...

Du pain fait de nos blés, du jambon de nos porcs grassement élevés par notre maïs, du lait trait de nos si rares vaches, du poisson et crustacés de nos cotes, des fruits cueillis de nos vergers, et des légumes de nos potagers …

Le plateau lourdement chargé, il l'aida le déposant à droite de la vasque, toujours aux pieds de la Duchesse

Goutes ces produits de qualités, issu du labeur de ton peuple qui travaille d'arrache pied pour la grandeur de Breizh...
Veille à ce qu'aucun de tes sujets ne n'en manquent !

Trois petites coupes ornaient le bord du plateau

Voici trois breuvages produit sur nos terres, le cidre le chouchen et la prunàVampi !
Symbole de nos tavernes, fruits de nos fûts..., délectes en les papilles, étanche ta soif pour t'éclaircir l'esprit, sans pour cela en abuser !
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Bruce

Bruce surveillait toujours l'investiture, sa mission était simple, surveiller les alentours et assurer la protection de la duchesse durant l'investiture qui devait se poursuivre ici, sous le Grand Chêne. Il faut dire que la situation est désormais moins chaotique qu'elle ne l'était avant, la sécurité des lieux étant revenue. Bruce savait qu'il allumerait le premier qui lui passerait sous la main et qui tenterait quoi que ce soit.

La main toujours sur le pommeau de son épée, il scrutait les alentours, chaque visage, chaque centimètre carré de cet emplacement qu'était le Grand Chêne. L'investiture se déroulait comme il fallait, plus personne n'osait plomber l'ambiance, Bruce veillait !

--Nainporte

Il rigolait lui dans son coin, cette fois c'est lui qui rigolait et pas eux qui riaient de lui.
Il y avait des avantages à être de petite taille, comme s'approcher des enfants, juste à leur hauteur, les amuser de deux ou trois histoires, et puis sans qu'ils s'en aperçoivent, glisser le poison dans le vase à boire.
Héhéhé, il était assez fier de lui, assis sur un tonneau il regardait la scène.
Pas besoin de dague ou d'arc, juste être plus malin héhé.

Elle allait boire et terminé, elle était bien obligée, héhé.

On lui avait promis des cous de cygne farcis, des langues de boeuf entrelardées et autres mets luxueux qu'il avait jamais gouté.
Il était pas très demandeur mais une place de serviteur fidèle et de confiance, ça oui, il pouvait pas résister...

Allez bois ma jolie, bois donc ...

Eozenez

La petiote, sur son arbre perché ... arf nan ... bref, l'avait vu le manège du p'tit nain (rho le vilain pléonasme) ... qui avait vidé tout le contenu d'une fiole dans le vase à boire. Bien étrange tout ça ... !!! Quoiqu'il arrive, il avait fait ça relativement discrètement, il semblait faire en sorte que personne ne le remarque : ça ne devait donc pas être très heureux comme mélange !

Aussitôt vu, Aussitôt fait, elle arqua, respira, visa, expira, corrigea et ... pfiooouuu ... en plein dans l'mil "a pu d'vase ... l'est tout cassé" chuchota-t-elle pour ne pas déranger la cérémonie. Puis, elle pensa tout de même "j'espère qu'il n'était pas de trop grande valeur ce vase ! Moins de valeur que la Duchesse, certes ... mais tout de même !"

Elle avait agit très discrètement,le tout sans toucher personne bien entendu ! Si il bougeait encore, elle le "clouait" au chêne, l'olibrius ...

Pelotine.

Olixius , une main tendue , qu'elle accepte pour se redresser doucement.

Merci Olixius , il est vrai qu'il était un peu déplacé de ma part de me vautrer de la sorte dans l'herbe.

Il fallait dire que Roxanne avait de la poigne et il fut difficile de rester debout durant toute la course folle qu'elle lui imposa.
Une fois debout elle donne son plus beau sourire a Oli qui semble tout serein , cela apaise la jeune femme qui jusqu'alors n'en pouvait plus de peur.

Roxanne sur ses gardes , Oli qui lui sourit et ... et oui Blacas qui arrive.
Elle supportait mal le gorille de son ancien suzerain , il fallait dire qu'il était toujours la , au milieu voulant se rendre utile , prenant plus de place qu'il n'était utile , d'après elle.

Bien protégée elle était la Pelote et rassurée donc.
Elle attends donc sereinement la suite des événements.

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Oban

[Sous le grand chêne]

Il reprit place devant elle, après avoir fait un signe de tête aux enfants, placés sous le chêne, pour qu'ils se tiennent pret.

Voici neuf enfants des provinces de Breizh...neuf enfants qui t'ont apportés une poignée de leur terre pour que tu n'en oublies aucune

Voici le Léon, la Cornouaille, le Trégor, le Vannetais...

Au fur et à mesure les enfants avançaient tenant en leur main une petite sacoche contenant leur terre précieuse

Mais aussi les pays de saint Brieuc, de saint Malo, de Nantes, de Dol et enfin celui de Rennes ou tu as tes quartiers !

Les enfants se regroupaient au centre devant une vasque déversant tour à tour leur trésor.

Toutes étaient représentées par ce simple élément qui était leurs origines même...

Tantôt grasse, tantôt sablonneuse ou calcaire, elles étaient, par les différences qu’elles présentaient, typique de la diversité de Breizh..., cette même diversité qui faisait la force d'un état devenu indépendant.

De ses mains, il les mélangea pendant que trois jeunes filles chargées de jarres apportaient les eaux

Que les terres des différents duchés de Bretagne soient à jamais unies...!

Les trois jeunes filles versèrent en même temps, à rythme régulier les flots.

De par l’eau de mer qui lèche inlassablement nos cotes...
De par l’eau des sources qui nous vient de la terre...
De l’eau de pluie qui nous vient du ciel....

Que ces terres soient éternellement scellées...!

Car de la terre naît notre nourriture..., de l’eau naît la vie..., de la mer nous vient le sel conservateur...!

Grâce de la terre..., don de la vie... !

Que ces éléments soient notre force et nous unissent comme ils sont unis dans cette vasque !

Qu’aux quatre points cardinaux de notre terre sacrée, tu en sois le garant en prenant les décisions sereines et réfléchies pour ton peuple !

Veille sur cette terre qui te fait vivre, veille sur cette nature qui t’a fait naître et où tu retourneras...

Il déposa devant elle, à ses pieds, en son centre, la vasque dont le mélange précieux commençait à durcir.
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Cassius

Une masse imposante apposa sa dextre sur l'épaule du Montfort...

-"Ton gars est dans quel état?"

Voilà une voix que l'on ne pouvait oublier, sèche, franche et puissante. Cassius se releva à ce même moment...

Il s'en sortira, une flèche mais point meurtrière, c'est un homme solide, il en verra d'autres.

Jetant un regard à l'homme occis non loin

Tu ne l'as pas raté celui-là mon frère.

Un léger sourire plus tard...

Tu m'excusera mon ami, je vais veillais à ce que l'organisation de mes hommes soient en place, ils n'ont pas encore l'habitude des "Trente" dans ce genre de protection. Mais je dois t'avouer que pour une situation d'urgence telle que celle-ci, ils n'ont pas démérité loin de là. Dommage qu'il n'y ai eu un vrai préparatif, il n'y aurais pas eu un bordel pareil.

Prenant la direction du grand-chêne, le Comte s’arrêta à l'entrée du parvis et déposa une bourse d'écus entres les mains de l'un des prélats présents

Une donation du Comté de Kervegon pour le désagrément de ce jour.

Le Général continua sa marche, pénétra la foule et s'arrêta devant un homme, un des conseillers ducaux, un certain Mike qui avait salement jeté à même le sol un des boucliers de ses hommes. Il le ramassa et frappa de son poing l'emblème de l'Hermine.

Apprenez à respecter les vôtres et vous en sortirez grandi, l'honneur et le respect ne s'achètent point, ce n'est point comme un titre si vous voyez ce que je veux dire.

Le Comte avança à nouveau jetant un regard amplis de fierté à ses hommes qui assuraient la sécurité des lieux, il était fier d'eux, ils n'avaient pas failli à leur office. Ils pouvaient tous s'améliorer, la besogne serait effectuait, tous n'en demandaient pas moins.
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Comté de Kervegon

Lauralyne

Les ordres avaient été donnés. La cérémonie allait se poursuivre. La capitaine de la haute dizaine sécurisa avec ses hommes l'accès au grand chêne. Le lieutenant Bruce était efficace. Chacun avait pris ses positions. Les seconde et tierce dizaine assuraient la protection rapprochée.

Parfait lieutenant Bruce, on ouvre l'oeil et le bon.

Elle garda la main sur le pommeau de son épée, regardant les visages, les personnes.
Elle remarqua une hermine perchée et sourit à cette idée.
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Maman d'Elrick, Floraline, Krystal, Enoal et mère de coeur de Titouan et Klauss
Soeur de Debad, JEpl et Eldon

Eozenez

Pendant ce temps ...

Maîtr' Archère, sur son arbre perchée,
Tenait en ses main un bel arc.
Maître Brigand, par défi alléché,
Lui fit à peu près cet' remarque :
"Hé ! Bonjour Madame de l'Hermine,
Que vous êtes jolie ! Que vous me semblez fine !
Sans mentir, si votre précision
Se rapporte à ma vision,
Vous êtes la Championne* des hommes de cette place."
À ces mots l'Archère n'est vraiment pas dupe
Et pour calmer le gueux sans perdre la face
S'il n'est point de flèches, ce sera l’uppercut
...

*private joke

Mike.de.naueriels

Le connétable assista à la cérémonie...seul le très-haut devait savoir qu'il n'aimait guère autre religion que la grande et magnifique religion aristotélicienne..mais il était un peu tolérant malgré tout car le druidisme était une religion trés ancrée dans la culture bretonne.

Mike tenait son épée et avait laché le bouclier de l'hermine de Dalton juste devant lui..parterre. Il resta à l'affut au cas où...L'atmosphère était un peu tendue et des cris s'élevaient au loin, témoignage de la brutalité des soldats qui tabassaient des geux qui tentaient de s'introduire en force pour assister à la céromonie ou peut être était-ce le début d'une révolte ou encore une mauvaise interprétation..
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Maire de Rieux et Connétable de Bretagne.

Gwenael.

Argh, il fallait que Niark lui demander d'aller voir Pelotine.
Son ancienne vassale. Léger grognement entre les dents du Duc.

Un court voyage au travers de la foule et voila que Blacas lui fait de grand signe par dessus la populace.
Elle sent pas toujours bon d'ailleurs la populace. Erk.
Quelques pas pour le rejoindre en bousculant sur son passage..

Mon Duc, la Duchesse veut que je reste près de vo...

Un geste de la main de Naël pour lui dire de se taire.

Blacas, va retrouver Pelotine et assure toi de sa protection.
Reste a ses ordres, il s'agit d'une ancienne vassale du Tregor.

Et Gwenaël s'enfile dans la foule pour aller retrouver sa Duchesse.
Il aime bien penser qu'elle est sienne, et aussi qu'elle est Duchesse, ce qu'elle sera bientôt d'ailleurs.
De plus Gwenaël a fait un serment de Chevalier il y a bien longtemps et il ne l'a pas oublié.
Il est son Chevalier. Et il file vers elle.
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" Nec Jactantia, Nec Metu "

--Blacas.

Blacas, venait de retrouver son Duc lui indiquant rapidement ce qu'il en était avant d'être coupé net...

Blacas, va retrouver Pelotine et assure toi de sa protection.
Reste a ses ordres, il s'agit d'une ancienne vassale du Tregor.

Un long cri aurait pu sortir de la bouche du garde Tregorrois. Mais il n'en fut rien.
Les ordres sont les ordres, peu importe. Même si ça doit le faire courir.
Chose qu'il fait, un fleau qui court au travers de la foule, main sur le pommeau de son épée.
Course qui s'arrete a l'approche de l'endroit ou aurait du avoir lieu la cérémonie druidique.
Le Grand Chêne.

La dame de Concoret en vu, Blacas s'approche.
Les couleurs de la garde du Tregor lui permettant de s'approcher sans trop de soucis jusque la.

Intron, je viens sur ordre du Duc du Tregor pour m'assurer que vous allez bien.
En tant qu'ancienne vassal vous garder certain "privilège".

Si on peut appeller ça un privilège.
Levant son regard de la dame il regarde un homme (Olixius) et une Dimezell (Roxanne).
Pas méfiant, si ils sont la sans qu'on ne leur disent rien, c'est qu'ils ne sont surement pas dangereux.

Je suis la si vous avez besoin..

Et le voila qui zieute un peu partout autour de lui pour protéger Pelotine.
Et rien qu'elle.

Bruce

Bruce avait rejoint le groupe des Hermines, Cassius parlait alors à la Duchesse, il leur donna alors un ordre propre à chaque dizaine. Sans tarder, Bruce se mit en place, le lieutenant de la Section Haute Dizaine des Hermines voulait montrer l'exemple. Le capitaine Lauralyne et sa section devaient s'occuper de passer en éclaireur. Bruce prit les avant-postes au péril de sa vie, il posa une main sur le pommeau de son épée, prête à la dégainer, bouclier en position, il avançait lentement mais pas trop, il ne voulait pas ralentir le cortège de la Duchesse. Il passa alors la porte qui allait le mener au grand chêne.

[Sous le Grand Chêne]

Bruce tenait son poste, comme précédemment, il était sur la droite à l'avant, scrutant chaque centimètre du terrain de ses yeux, il ne vit pas de danger à l'horizon. Tout semblait calme, il se tourna vers Lauralyne et dit :

"Capitaine, le terrain semble dégagé ! On ouvre l'oeil !"

Il se plaça assez prêt de l'endroit où allait se passer la suite de l'investiture, entre la foule et "l'attraction" comme il aimait appeller ça ... Il attendait, veillant au moindre ennui, il allait devoir anticiper chaque mouvement suspect, plus question de voir de tomates voler, ou encore d'archers embusqués, et encore moins d'assassins ... L'investiture devait se poursuivre et s'achever ! Il attendait d'éventuels ordres de Cassius ou de Lauralyne, jusqu'ici la transition vers le Grand Chêne s'était déroulée correctement.

Roxannemontfortlaval

La chevalier était toujours auprès de Pelotine lorsqu'elle remarque un homme qu'elle ne connait pas personnellement mais qui ne lui est point étranger. Il s'agit d'une personne qu'elle croise régulièrement au parlement. Dardant oeil sur lui, il prête main forte à la Dame de Concoret pour qu'elle se redresse.

Toujours en train de scruter les alentours, immobile, une dextre sur la bastârde, la senestre tenant fermement son longbow, malheur à celui ou celle qui tenterait une approche.

Et une silhouette qui fonce droit sur eux. La dextre se resserre prête à se saisir de son arme lorsque les grisailles observatrices reconnaissent les couleurs du Tregor sur l'homme qui se rapproche.
La main s'apaise. Elle entend que c'est le Duc qui envoie l'un de ses gardes personnels veiller sur Pelotine.

Un bref signe de tête pour le saluer. La chevalier ne bouge pas d'un iota. Restant auprès de son amie. Sa surveillance ne se déconcentre point.
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Diat

Diat rentrait de chez les moines et décida de se joindre à la cérémonie d’investiture de son amie la duchesse Douchka.

Il était très en retard et décida de ne suivre que la cérémonie druidique. Il se rendit directement sous le grand chêne. Déjà beaucoup de personne était présentes et surtout beaucoup d’hommes en armes. Il vit la duchesse arriver escorter de façon rapproché.

Questionnant quelques badauds il apprit les événements de la primatiale mais que les gardes avaient la situation en main. Rassuré il s’assit et attend la suite de l’investiture

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Esmica

La jeune femme attendait devant la grand chêne, que la Duchesse arrive. Quelques instants après, l'endroit était sécurisé et la Duchesse fit son apparition, s'installant au près du Druide. Elle s'approcha et pris place aux près des autres conseillers, suivant le début de la cérémonie druidique.
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Vicomtesse de Pleuvihan
Procureur de Bretagne
Ex Mairesse de Reoz
Adjointe au Maire de Reoz

Maellia_de_kerroch

Maellia fit un sourire en se souvenant des mots de sa Mère. Elle serrait sa main prête à fuir, elle escalade la fenêtre faisant bien attention et saute.
Quand se fut le tour de sa Mère elle ne manqua point de l'aider afin qu'elle ne tombe pas.

- Mère j'adore les investitures, vivement la prochaine, je m'en suis bien imprégné de celle-ci.

Un sourire taquin sur son minois, la petite s'était bien amusée à voir tout cela, mais heureusement, elles n'étaient pas blessées.
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Preciodekerroch

Pendant ce temps, la vicomtesse n'eut de cesse que de protéger sa fille de la folie ambiante qui s'emparait de la Primatiale.
Voyant hommes d'armes en masse elle prit sa fille par la main fermement, mais en silence. Precio prenait garde à rester calme. Pas le moment d'aller faire un malaise cardiaque et s'écrouler au sol. Respirant bien calmement, concentrée sur la porte en bois, en retrait dans le mur qu'elle avait vu, elle l'ouvrit et s'engouffra dans la pièce avec Maëllia.

Inspectant les lieux il ne semblait pas y'avoir une porte qui puisse leur offrir une issue de sortie. Etaient entreposés candélabres, enluminures, soieries et brocards luxueux et chatoyants. Quelques imposants vitraux se découpaient à la lueur du jour mais dans un coin de la pièce, une petite fenêtre semblaient n'attendre qu'elle.
Un regard sur Maëllia. Confiant.

Passe par la fenêtre, je te suis.

Et c'est ainsi que mère et fille ne tardent point à se retrouver à l'air libre et main dans la main, de prendre la direction du Chêne auprès duquel se déroule la cérémonie druidique.
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Ozareff

Ozareff qui jusque là ne faisait que repousser quelques excités d'entrer dans la primatiale répondit à l'appel de son coéquipier Bruce, mais contrairement à ce dernier il n'avait pas la même patience, la masse de gueux n'avait pas le droit d'entrer, alors il en cognait un du poing et un autre du pied à l'arrière train, un autre apparemment très subjugué par la beauté de sa Grâce se plaisait à grimper les épaules,

- et V'lan,

de son bouclier sur la tête

- Celui là n'est pas prêt de réveiller,

Il obligea 2 personnes à le soulever et le traîner, continua à guider les plus compréhensifs vers la sortie pendant que d'autres plus coriaces s'en prenaient soufflets et coups de pommeau...

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Rejoignez-nous!

Douchka

Ses yeux qui plongent dans ceux d'Oban, tiens on dirait qu'il y a de la rancoeur encore... C'est vrai que beaucoup pensaient encore qu'elle était la cause d'une exode massive de Fougères à Rohan.
Mais comment aurait-elle pu convaincre autant de gens à partir de la ville, certains même qu'elle n'avait jamais croisé en taverne. Comment mieux qu'eux même en tribu, pouvaient se monter le bourrichon ensemble, en s'auto convaincant qu'il fallait partir, chassés par une femme, une seule.
Elle n'avait jamais cru avoir ce dessein, ni même avoir pensé à aucun moment que l'effet de commérages entre amis pouvait engendrés tant de grandes décisions. Mais l'effet de groupe, le "on dit", le c'est mon ami, alors je le crois et voila...
Elle n'avait aucune rancune envers personne, ce n'était pas apparemment le cas pour bon nombre.
Mais cet effet de groupes, de smala, quelle plaie, la privant même d'amitiés naissantes avec des gens qui hélas avaient suivi la meute.

Bain de souvenir ...

Il semblait lui laisser le temps de la réflexion sur ses paroles ...

Elle réfléchissait, oui, mais à ce qu'elle avait entr'aperçu avant d'arriver sous le grand Chêne.

Niark, trente? Ah non Hermine, euh ..je crois
Cassius, Ah oui remercier Cassius et les Hermines, prendre des nouvelles du blessé et allait le rencontrer,

Le Maréchal aussi, elle l'avait entendu, on pouvait pas le rater ...
Mike trente? euh non Ost depuis peu
Esmica? Ost, enfin il me semble mais dirigée par qui? L'ancien ou le nouveau capitaine absent?
Des regards croisés de l'Ost ou alors non ils ont changé mais trente ou Hermine.
Bon sang elle ne comprenait plus rien.

Il allait falloir remettre un peu d'ordre dans tout ça et que chacun y retrouve ses petits.

Une chose sure, il fallait demander à l'Ost pourquoi rien n'avait été prévu, contrairement à la dernière investiture de Bahia.

Bien, bien, elle aurait quelques courriers à envoyer, une fois tout cela terminé.

Retour sur Oban, euh oui voilà, elle avait réfléchi, pas sur que ce soit sur le bon thême et comme à son habitude, elle pensait vite et à beaucoup de choses en même temps et surtout à ce que la Bretagne montre une image ordonnée et pas ce binz, de panique indescriptible.

Et les membres du CD, ils avaient suivi? Ils étaient où?

Soupir ...

Oban donc... L'investiture ...

Ses yeux arrêtèrent un instant de papillonner comme lorsqu'elle réfléchissait trop et se recentra sur la cérémonie.
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Lanna.

lanna ecoutait les paroles du generale ,elle était vraiment en colere que mike avait essayer de l'ecarter de la duchesse .La blonde n'avait fait que obeir au ordre du sergent et du general alors lui n'avait point son mots a dire!
Elle ecouta les ordres en rangea doucement son épee dans son fourreau

a vos ordres mon general..

Lanna suivit de pres le capitaine et le sergent les aidant a regrouper la foules jetant des regards un peu partout .. Le calme revenait peu a peu
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Jamais sans son frère...´

Gavril

Gavril suivait la capitaine et écouta le génèral avec attention, puis se fut a nouveau la capitaine, il revenait dans le coeur de l'action, il éspérait en tout cas qu'il n'aurait plus rien a faire, beaucoup trop de dégat pour aujourd'hui, beaucoup trop de honte pour la Bretagne..

Il était donc revenue de la caserne, le malfrat n'avait pas pus faire grand chose, et mainetant, il le pourrait encore moins, dans la caserne de l'hermine, bien gardé par des soldats trés entrainés et en plus attaché grace à des fer.. On pouvait pas faire mieux, il risquait pas de bouger et quand viendrait l'heure de l'interogatoire.. Bref, une foi mission éxécuté, la capitaine et lui avait rejoins le reste des hommes et on en était la, il s'était rensseigner rapidement sur la situation, Dalton blaissait.. C'était le seul probléme, a pars le sacrilége en lieu saint, mais sa..

Il obéissa donc a son capitaine d'un acquiessement de tête et partit rejoindre la foule , il éspérait qu'il n'y aurait pas d'archet, car il n'avait pas de bouclié, il n'aimez pas du tout mais alors pas du tout cette planche de bois ou de métal suivant les ocasions. Quoi qu'il en soit, maintenant, l'hermine veillait au grain..

Coldtracker

Le Duc De Rhuys s’approcha de Cassius et demanda:
-"Ton gars est dans quel état?"
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Une guerre à mener?De Morrigan-Montfort à vostre service...

Valoche

Val a disposé sa dizaine de façon stratégique. Ils semblaient tous se fondre parmi la foule mais qu'on ne s'y trompe pas, chacun avait l'oeil aux aguets.

Le capitaine scrutait chaque visage, chaque geste suspects prête à intervenir très vite.
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Maeve

Je m'ennuie. Vivement la cérémonie druidique, au moins on prendra l'air.
Je suis dans mes pensées, ne suivant pas la cérémonie -bah, personne ne s'en rendra compte !- et manque donc tous les épisodes de Lallie, de la catin et des tomates, et même de l'archer. Oh, il y a du bruit autour de moi, un peu trop peut-être, mais je ne tilte pas ; nous sommes nombreux dans c'te cathédrale, et les gens sont bruyants -que voulez-vous, tout le monde n'a pas eu de bonne éducation.

Madame, il faut partir !
- Hein, c'est déjà fini ? Allons Blacas, il reste encore la cérémon... Mais qu'est-ce que tu fais là ! Ce rang est réservé aux Conseillers ! La honte, nos gardes qui font n'importe quoi... Que vont en penser les gens ?
- Pardon, mais il le faut.

Et, m'attrapant fermement par le bras, Blacas m'entraine vivement vers la sortie, entouré de deux ou trois gardes Trégorrois. Je hoquette devant un tel affront, une telle brutalité ; puis je m'ouvre au monde extérieur, et découvre que c'est la panique. Keskicépaçé ?

Et le Duc, qui le protège, hein ? BLACAS ! Nous voilà dehors, écartés du gros de la foule. Allez donc le rejoindre, je ne pourrai supporter qu'il lui arrive quoi que ce soit. Ceux-là sont suffisants pour me protéger.
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Hugo.

Le Prélat assistait à la scène sans broncher !
Il était aussi dépité que la moitié des personnes encore dans la Primatiale, oui l'autre moitié était occupé à se battre.
Même le Maréchal était de la partie, d'ailleurs sa présence amusait intérieurement le Prélat.
Certes il n'était pas toujours en bon termes avec lui mais là, il était admiratif !
La façon d'éjecter un homme le laissait songeur, heureusement que les cardinaux ne savaient pas faire ça à la curie !
Dans ses pensées, le Prélat fut attrapé par Secate ! Il lui sourit et lui dit.

Viens Secate, allons rejoindre la Sacristie, les autres prêtres doivent nous y attendre.
Tu peux aussi dire au Vidame de me rejoindre ainsi qu'à ceux qui ont trop peur de sortir.
Je pense regagner le Palais Archiépiscopale avant la fin de l'investiture.

Diantre ! Il y avait des flèches, des tomates, des boucliers, des épées.
A la base ça devait être une simple investiture qui était devenue une véritable émeute !
Il avait bien fait d'appeler la Garde Episcopale, sans quoi il aurait sans doute reçut une flèche ou une tomate.
Dans la sacristie, le Prélat enlevait ses vêtement liturgiques afin de garder sa soutane noire.
Il regardait depuis la fenêtre les personnes déjà présente sous le vieux chêne.
Il était certains que le Prélat allait méditer longuement sur le déroulement de l'investiture.
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Cassius

La situation était maîtrisée, un rapide coup d'oeil à chacune de ses Dizaines le confirma. Voilà ce qui arrive quand un lieu n'est point protégé comme il se doit, protection dans l'urgence, désorganisation et mise à mal d'une cérémonie. Avec un vrai système de sécurité comme il l'avait vécu aux côtés des "Trente" n'auraient jamais entraîné telle situation. Mais ses hommes avaient brillé ce jour, même dans l'urgence, ils avaient sauvé la Duchesse, là était le principal, la cérémonie n'était que secondaire car une investiture pour une Duchesse pourfendue n'a jamais vraiment eu d'intérêt.

Au moment où il s’apprêtait à s'enquérir de la santé de la Duchesse désormais à l'abris, la porte s'ouvrit laissant apparaître la Duchesse elle-même. Elle semblait déterminée à reprendre les festivités...

Douchka, mes hommes sont intervenu sous mes ordres voyant la situation dégénérer et surtout ne remarquant aucun service de sécurité mis à part la garde épiscopale, en sous nombre pour couvrir l'intégralité de ce lieu et surtout t'apporter protection. Je ne suis pas là pour juger mais mes hommes ont donné leurs vies et l'un d'entres eux est d'ailleurs blessé. Je crois remarquer que tu souhaites continuer l'investiture, en ce sens, faisons cela avec toute la protection qu'il t'est du ainsi que pour celle de mes hommes.

Les ordres à Lauralyne et sa Haute Dizaine...

En éclaireur, veillez à ce que le chemin jusqu'au grand chêne soit sans danger. Arrivé là bas, mettez vous en place afin d'encadrer le lieu de cérémonie.

A Valoche et sa Seconde Dizaine...

Allez vous positionner dans la foule présente au Grand Chêne, faites en sorte qu'il y ai bonne distance entre la foule et l'emplacement de la Duchesse. Ensuite ouvrez l'oeil sur la foule.

A Lavatar et sa Tierce...

En Carré autours de la Duchesse et escortez là au Grand Chêne! Veuillez à sa protection avec Niark.

A tous...

Désormais, on avance et on se fait discret, on protège mais on garde nos place, la cérémonie doit reprendre tel est le désir de la Duchesse

Un coup d'oeil à Niark

Merci pour votre coup de main Sénéchal.

Les ordres passés, il se dirigea vers son homme tombé au combat, il posa genoux à terre

Tu t'es bien battu soldat, tu survivras.

D'un geste de la main, il fit signe à un contingeant de le sortir de là.
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Comté de Kervegon

Valoche

La capitaine et gavril venaient juste de revenir Elle avait mis le tueur en de bonnes mains à la caserne. Il ne ferait plus de mal à personne celui-là

Elle entendit les ordres du général et cria à ses hommes (comme elle aimait à les appeler)

On se déploit tous parmi la foule et surtout surveillez bien partout

et en douceur on ne perturbe pas la cérémonie.
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Harles

[i] Harles jeta un coup d'oeil aux soldats autours de lui et remarqua que le capitaine était remonté des geoles avec Gavril.

Il se prépara à se fondre dans la foule, et laissa les membres de la troisième dizaine prendre place autours de la Duchesse./i]

Menaçant les gars, faut pas qu'on puisse croire qu'on peut nous en cuire sans s'y faire piquer !

Oban

[Sous le Grand Chêne]

A peine avait il terminé ses mots que la Duchesse descendait, accompagnée de gardes, les quelques marches reliant ainsi la primatiale à la cour du grand chêne...

Affublé de sa saie blanche en soie, se plaçant face à elle, il reprit son sérieux la regardant sans vraiment y prêter attention, du moins jusqu'à son approche, ou ses yeux fixèrent les siens...

La Duchesse, il la connaissait...

Il la connaissait depuis qu'elle s'était installée à Felger en cette année 1458, ou peu à peu jouant de coudes et de larmes, voir même usant d'autres stratèges, elle avait évincée l'équipe municipale, bernant nobles et villageois et dont certains avaient préférés abandonner leurs biens pour s'installer dans des villes plus morales...

Tout ce passé lui resurgissait en tête...

Après un moment de silence qui lui sembla interminable, il prit respiration et s'adressa à elle

Soit la bienvenue Douchka de Kreneg...!
Dans quelques instants tu recevras l'épée..., symbole des Ducs de Breizh !

Te voici pour la seconde fois placée à de hautes responsabilités..., ne déçoit pas ce peuple qui attend beaucoup...

D'un geste de la main, il l'invita à faire un pas de plus

Vois ce chêne..., vois ce qu'il incarne, cette sagesse, cette vie et sa longévité..., comme tes prédécesseurs médites et sois humble devant cette puissance !

Il s'effaça légèrement le temps à la Duchesse de prendre réflexion...
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Douchka

Citation:

Je crois que le Général Cassius a pris en main la situation avec son ordonnance. Et pour l'Ost... L'avez vous mobilisez pour l'investiture ? J'ai vue aucun soldat !!

Mobiliser l'Ost? Mais on a un capitaine pour le faire non? Un capitaine invité à l'investiture il me semble non?

Alors c'est à moi de mobiliser l'Ost? Vous vous foutez pas un peu de moi là?

Mais Niark avait deja tourné les talons.
Elle regardait les hommes autour d'elle.

Il m'énerve, il m'énerve, il m'énerve !!!!!!!!

Allez Hop, vous suivez la Duchesse et on y va, quand tous ces gens arriveront à se mettre d'accord, il pleuvra plus une goutte en Bretagne. En rang de bouclier ou je sais pas comment vous appelez ça, Bref ! On y va

Et là voila ouvrant la porte et marchant d'un pas décidé et pressé vers le grand chêne. Oban devait prendre racine
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Mike.de.naueriels

Citation:

Alors c'est à moi de mobiliser l'Ost? Vous vous foutez pas un peu de moi là?

il préféra ne rien répondre...

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Maire de Rieux et Connétable de Bretagne.

Olixius

[Sous le Grand Chêne, again]

Tu sais, c'est pas la saison des tomates non plus, Oban...
Niveau taverne, y'a bien celle près du port à Saint Brieuc, mais tu la connais par coeur, maintenant.

Regard sur le cortège qui semble approcher.

On va avoir besoin de toi, Oban...

Sourire au sage homme, puis le marin-charpentier s'écarte, se rapprochant de Pelotine, un chouilla mal en point, puis il l'aide à se redresser.
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Niark

Et de haut il regarde la scène, la pièce ce vide petit à petit, mais c'est toujours un sacré foutoir tout ça...
D'ailleurs les mots de la Duchesse résonne encore, " Mais le capitaine devait s'occuper de ça ", mais le capitaine répond aux ordres de la Duchesse, et puis la garde avait été donné à la Garde Épiscopale qui d'ailleurs n'avait pas fait grand chose.
M'enfin, sans ordres les soldats n'agissent pas, et donc la, faute ou non de la duchesse il y avait un soucis.

En tout cas à peine était il sorti et monté que la Duchesse sorti, se dirigeant vers la sorti, direction le Chêne... Idiote, courageuse, ou voulant finir son investiture coûte que coûte.
En tout cas tout cela manquait vraiment de bon sens question sécurité.
Mais bon devant les volontés d'une Duchesse que faire ? Presque un caprice de princesse, en tout cas pour le Rat fini !
Il avait fait preuve de bon sens, mais vue que les personnes visées s'en foutait, lui aussi bin voila.

Rangeant son épée dans son fourreau, il prit la direction de la sorti, jetant des coups d'oeil de droite à gauche. Mais sans plus, maintenant il s'en fichait, et le voila qui partait à la taverne du coin, prendre une rasade de prune.
Passant à côté de Cassuis, il ce permit de lui tapoter l'épaule, avant de lui indiquer la Duchesse.

- Général, je vous laisse vous occuper de sa Magnificence Grâce Douchka ! J'ai fais ce que je pouvais, mais quand on écoute pas...
Bonne chance Général !!
Venez boire un coup après ça.

Et voila le rat qui s'en vas, trouvant ridicule de continuer cette investiture, au moins elle restera dans les archives, faudra qu'il pense à aller voir la Missange pour que ce soit inscrit à l'encyclopédie, on pourra en faire une belle fête de la bouffonnerie.
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Eozenez

Après avoir observé le cortège serré de la Duchesse guidé vers une pièce dont l'entrée se trouvait sous ses pieds, Eozenez décida de continuer à "couvrir" la sortie ... restait tout de même le Général et SON Capitaine. Puis elle entend du remue ménage dans son dos et voit par la fenêtre la duchesse dans sa magnifique robe, sortir par une petite porte "de service". Ni une ni deux, elle dévale l'escalier, se faufile pour sortir de la primatiale et court au plus vite là où la majeure partie des gens semblent se diriger.

Sur une place, un "Grand Chêne" sous lequel patiente un homme. Sans doute le maître de cérémonie qui fera face à la Duchesse. Alors, la petite choisi un arbre sur lequel, elle aura une vue imprenable de la cérémonie et de l'assemblée y assistant.

Sitôt vu, sitôt fait : elle grimpe sur un arbre lui donnant une vue de profil du Maître de cérémonie. Elle s'installe confortablement et maintient son arc, déjà presque armé, en attendant la venue de la Duchesse. Elle observe les quelques personnes déjà présentes, jauge le risque éventuel et est aux aguets ... comme quand elle chassait avec mammig !

Douchka

Au pas de course, tenant sa robe de chaque coté, elle avançait, suivie ou non, peu lui importait, elle n'avait pas peur et si sa dernière heure était venue, et bien on le saurait assez tôt mais surement pas planquée dans un cagibi.
Remontée, ah ça oui elle l'était et bien comme il faut!

Un coup d'oeil circulaire sur les personnes deja présentes, puis son regard se pose de nouveau sur Oban.

Désolée pour ce retard ... Il y avait du monde sur la route.
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Pelotine.

Et tout va vite , comme depuis qu'une substance rouge s'est retrouvée sur la gorge de la Duchesse.
Son amie était revenue , l'avait attiré vers elle.
Ce geste simple était pourtant très important , elle allait peut être lui sauver la vie , qui sait ? dans tout ce désordre , une flèche perdue , une dague furtive ... tout pouvait arriver et la Pelote était loin d'être une femme d'armes , ah ! les coups de pelle pleuvaient mais les épées , les boucliers , ce n'était pas pour elle.
Alors , en cet instant , elle est apeurée et l'intervention de Roxanne lui chamboule le cœur.

Une fois sous le grand chêne , la croque se laisse tomber au sol , les émotions qu'elle venait de vivre étaient bien trop grandes.

La peur.
La panique.
La reconnaissance.

La Salaün vient de perdre son père , peut être est ce a cause de cela qu'elle est a fleur de peau ? Mais elle a vu en son héroïne Montfort , son père.
Oui , lorsque la guerre avait éclaté il y a de cela quelques années , Pelotine encore enfant , s'était retrouvée seule , au milieu des batailles , et Tatoo était arrivé , l'attrapant par le bras , la trainant a l’abri , comme venait de le faire Rox a l'instant.
Même si le contexte était peut être moins dangereux , l'ex baronne n'oublierait jamais le geste de son amie.

Un regard vers les présents.
Oban.
Roxanne bien sur et Olixius.
Enfin elle était en sécurité.
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Oban

[Sous le Grand Chêne]

D'mat Oli...!

Lui sourit un peu amusé

C'st bien là en effet que l'on peut trouver ce genre de chose...

Mais vois tu..., cèpes ou glands...ce n'est pas encore la saison..., mais l'époque des plantations..., je crois bien que les enfants et moi-même allons prendre racines...

Dis moi tu connais une petite taverne sympa pour aller prendre une bolée ?
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Olixius

[Sous le Grand Chêne]

Oli s'était avancé vers le Grand Chêne avant que ne débutent les hostilités. Coup d'oeil pour Oban qui attendait. Le briochin s'approcha de celui dont il appréciait toujours la mesure.
Sous les chênes, on trouvait généralement deux choses.

Demat Oban... Tu cherches des cèpes ?
Parce que les glands, ils arrivent...

Sourire désinvolte et blasé du briochin, qui se plaça sur le côté, en attendant que le cortège déboule, un jour.
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--Mary_la_catin

Etourdie par le coup, Mary tomba à genoux. Elle venait de sauver la Duchesse en faisant chuter l'archer du haut de sa place, mais elle savait que cela, on l'oublierait bien plus vite que les deux pauvres tomtates qu'elle avait réussi à lancer...

La putain porta la main à son visage douloureux, s'appuyant de l'autre sur le sol.

Lauralyne

Laly scrutait, surveillant aussi ses hommes. Bruce lui jeta en quelque sorte aux pieds la lanceuse de tomates.

Hé bien Mary, voilà qui met de l'animation, ne savez-vous que l'on ne joue pas avec la nourriture?

Elle remercia son lieutenant de dizaine.

Bien Bruce. Tu peux retourner à ta tâche.

Elle se baissa et attrapa rapidement les poignets de la femme puis les lia avec une courte corde qu'elle avait.

Je crois qu'il va falloir vous expliquer de votre geste.

Elle releva la femme après l'avoir lié des poings. Elle repéra Eli qui semblait avoir fini avec Dalton. Ce dernier était entre les mains de Melyanne et Kiklan. Elle appela Eli qui la rejoignit rapidement malgré la foule pressante.

Eli tu surveilles la prisonnière et l'amène en sécurité pour interrogatoire.

Laly continua à sécuriser les lieux, faisant évacuer les lieux et dirigeant ceux qui le voulaient vers la suite de l'investiture, c'est à dire le grand chêne.
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Maman d'Elrick, Floraline, Krystal, Enoal et mère de coeur de Titouan et Klauss
Soeur de Debad, JEpl et Eldon

Roxannemontfortlaval

Elle était auprès de Pelotine lorsque soudain elle croit se retrouver en plein rêve. Si, si !! Comme ceux qu'elle faisait quand elle était petite fille et qu'elle se voyait dans les bras de SON héros, qu'elle allait for-cé-ment épouser un jour. Oui parce que dans les belles histoires ça se termine toujours comme ça. Le héros et la belle se marient. Et font beaucoup d'enf...Ah non là Roxanne tu abuses, c'est pas possible c'est ton cousin !! éloigné, trèsèèès éloigné mais il est ton cousin. Il y a des jours comme cela où elle regretterait presque être une Montfort. L'instant fut bref mais oui, elle se retrouve vraiment enlacée par deux bras musclés et le temps de machinalement retrouver ses réflexes, elle comprend qu'il vient très certainement de lui sauver la vie. SON héros de maréchal. Elle n'a pas eu le temps de percevoir quoi que ce soit mais l'homme est au sol. Celui là ne se redressera point, ç'en est terminé pour lui.

Grisailles éloquentes qui se lèvent sur Maël, joues qui vire coquelicot, pas le temps de lui dire quoi que ce soit que déjà elle a compris à ses paroles qu'ils doivent se joindre à l'action. Deux Trente dans la mêlée et c'est parti !
Elle aura tout le temps plus tard pour réfléchir à ce qu'il s'est passé et se repasser ce moment inoubliable dans sa tête mille et mille fois sans aucun doute. Elle fonce récupérer son longbow et se dirige droit sur son amie toujours au sol. Pelotine relève toi ! Viens ! Non!! elle n'abandonnera pas Pelotine au milieu de ce carnage. Et se penchant, elle lui attrappe le bras, l'aidant à se relever, et la tenant fermement, se met à courir, l'entraînant avec elle et prenant soin de la protéger s'assurant que la voie n'est pas obstruée par quelques rebelles. Les yeux se portent un peu partout, perçants, habitués à observer et déceler le moindre danger imminent.
Elle protège Pelotine tout comme elle le ferait pour son Grand-Duc et un moment plus tard, les voila qui arrivent toutes deux aux abords du grand-chêne où se déroule la cérémonie druidique.

La dextre est toujours posé en protection sur Pelotine et d'instinct, c'est la haute silhouette du Maréchal qu'elle cherche histoire de s'assurer qu'il n'est pas en mauvaise posture. Voyant que tout semble sous contrôle de sa part et s'apercevant combien la Dame de Concoret est paniquée, Roxanne prend le parti, tout en surveillant les alentours de rester auprès d'elle.

Un regard sur le druide. Manquerait plus maintenant que ce soit lui qui soit la proie de ces gueux sanguinaires !
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Esmica

Elle était rassurée de savoir que la Duchesse allez bien. Elle regarda autour d'elle avant de répondre.

L'ost? Je ne sais pas Duchesse, les avez vous demander? La seule chose que je vois c'est moi et Mike, de l'Ost, en même temps vous nous direz, on est la aussi en tant que conseillers.

Elle n'eut même pas le temps de finir sa phrase, que Niark, disparu avec la Duchesse derrière une porte, mais pour qui celui-ci se prend.
A ce moment la, la jeune femme se dirigea vers la sortie,s se faufilant un passage parmi la foule, essayant de calmer les gens paniqués et leur disant.

Dirigez vous tous vers la sortie, et calmement.

Les soldats de l'Hermine, étaient un peu partout. Elle réussit enfin à sortir, et se dirigea devant le grand chêne, faisant le guet, afin de voir si l'endroit était sécurisé. Elle aperçut une personne qui attendait, il avait l'air impatient, c'était surement le Druide. Elle espérait que d'autres soldats viendraient sécuriser l'endroit, en attendant que la Duchesse arrive.
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Vicomtesse de Pleuvihan
Procureur de Bretagne
Ex Mairesse de Reoz
Adjointe au Maire de Reoz

Preciodekerroch

Dispensaire de Renne

Alors qu'elle courrait, voila qu'elle ne sent plus la main de Maëllia dans la sienne. Et c'est en s'arrêtant et se retournant pour s'assurer que sa fille est bien là, près d'elle, qu'elle voit là non loin la clerc s'affaisser. Et le clerc qu'elle a accueilli lors du Tro sur Kastell Paol qui se précipite en courant et en criant qu'il faut la conduire au dispensaire de Rennes.

Le sang de la jeune femme ne fait qu'un tour. Entre son dispensaire de Kastell Paol, celui de Rennes, et celui chez les Trente, elle à de quoi cavaler. Au moment ou une femme inconnue lui dit qu'elle vient avec elle s'occuper de la duchesse, elle voit Madcat, la mairesse de Renne passer en courant en brandissant la clé du dispensaire. Un regard à l'inconnue.

Allez y je dois me rendre au dispensaire de Renne pour ma part.

Et prenant la main de Maëllia, elle se met à courir avec elle tout en lui disant

Maëllia, lorsque nous arriverons tu pars sur les remparts prévenir ton père de ce qui se passe.

Cavalcade, cavalcade dans les rues de Renne avant d'arriver devant le dispensaire, sa besace à la main et de manquer de percuter la mairesse en arrivant.

Excusez moi ! Je vous ai suivi en voyant la jeune dame s'effondrer au sol. Je vais évaluer la situation.

Regardant Pouilloux.

Restez auprès d'elle et parlez lui, afin de la rassurer.

Un regard sur le clerc, un autre sur Madcat avant de le poser sur la jeune femme allongée sur la table et de s'en approcher, jugeant de la situation.
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Bruce

Toute la compagnie de l'Hermine se trouvait sur place, il y avait un bordel sans nom, la foule était plus qu'agitée, il faut dire que cette investiture tournait au drame. Dès le début ça semblait mal parti, une fois que les tomates se sont envolées, l'anarchie a débuté. Une catin s'amusait à lancer des tomates, un archer tirait sur la duchesse, et deux assassins avaient tenté de tuer la duchesse, qui soit-dit en passant, portait une robe de ... catin. Bruce avait sur lui son armure, il avait prit ses armes et se dépêchait de se rendre à son poste, Cassius avait donné des ordres, il fallait assurer la sécurité des lieux; Lauralyne avait quant à elle fixé les positions des soldats. Bruce devait sécuriser la zone droite, accompagné d'Ozareff, il se rendit à l'endroit désigné aprés avoir lancé un :

"A vos ordres !"

Le lieutenant de la Section Haute Dizaine des Hermines vit une foule paniquée, certains semblaient désorientés, perdus, d'autres couraient vers la sortie. Il fallait calmer la situation, surtout que les deux assassins étaient hors d'état de nuire, et que l'archer était quant à lui tombé de sa position pour mourir en contrebas. Il ne restait plus qu'une catin complètement folle qui jetait des tomates moisies ... Bruce fit une ronde afin d'examiner la situation, il prit alors la parole d'une voix rauque :

"Du calme ! La duchesse va bien ... dirigez-vous par là pour la suite de l'investiture !"

Il dit alors à Ozareff, qui se trouvait non loin de lui :

"Soldat Ozareff ! Dirigez ceux qui ne veulent pas se rendre à la suite de l'investiture vers l'autre sortie, et vite ! Et surtout, faites attention, ouvrez l'oeil !"

Il indiqua quant à lui la direction à suivre pour la suite de l'investiture de Douchka, l'investiture devait se poursuivre coûte que coûte ... Il dirigea la foule du mieux qu'il le pouvait, essayant de garder un semblant d'ordre dans cette foule, il regardait attentivement chaque personne comme s'il elle était suspecte, il ne voulait rien laisser passer.

C'est alors qu'il vit la catin qui avait lancé des tomates moisies non loin de lui, il s'empressa de s'approcher d'elle, il lui dit :

"Cela suffit, tu en as déja fais assez comme ça !"

Bruce lui assèna un coup de bouclier au visage et il lui agrippa le bras droit avec sa main droite, libre de tout mouvement, et la tira vers lui, il l'amena à Lauralyne et la bouscula afin qu'elle tombe à genoux devant le Capitaine, elle ne se trouvait pas loin de là, vers le centre. Désormais, son sort dépendait de Lauralyne ... Bruce reprit son poste, assurant la sécurité, évacuant la foule intéressée par la suite de l'investiture.

Oban

[sous le grand chêne]

Cela faisait un moment qu'il lui avait semblé entendre la sortie de la primatiale....

Bruit de foule, exaltation, bruits d'armes, il comprenait peu ce qui se passait, la Duchesse prenait elle un bain de foule...?

Il patientait faisant les cents pas devant le chêne...
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Niark

Les choses ce passe bien vite, la Duchesse est pleine de questions, ce qui est plus que normal, mais en attendant les choses ne bouge pas...
Une dame arrive, avec un plis, en voila un moment pour donner une missive, non mais c'est un sacré bordel tout ça, et encore, même au bordel de Vannes les choses ce passe bien mieux.
Il laisse un instant la Duchesse lire et remercier la dame pour la missive, en attendant il fait je guet, essayant de voir ce qui ce passe.
Les Hommes de l'Hermines sont partout, investissant les lieux, la Garde Épiscopale s'occupe des hommes d'Eglise, mais non pas d'Ost... D'ailleurs la duchesse avait elle demandé la présence de l'Ost, car un ordre est un ordre.
Son étonnement avait d'ailleurs été présent en arrivant et en ne voyant que des gardes de l'Eglise et aucun de Bretagne.

Quelques seconde donné à la Duchesse qui paraissent des heures, puis il ce retourne vers elle, le choc surement le choc, elle a même oublié la première flèche et le soldat qui c'est jeté devant elle avant d'être recouverte de la cap.
Cette fois il fallait reprendre la marche.

- Duchesse avancez s'il vous plait, il faut aller en lieu sur et rapidement... Je vous raconte tout !

Puis lui reprenant la main l'attirant, laissant Mike sur place, les hommes d'Armes de l'Hermine créant un bloc autour de la duchesse, boucliers levé !

- Je ne connais pas le nom du blessé votre grâce, juste que c'est un homme d'arme de l'Hermine. Son état de santé... Il n'a pas l'air d'avoir été touché en zone vital, mais je n'en sais foutrement rien, dans ce bazar c'est dur à voir.

Continuant à marcher vite, tout en rejoignant la porte dérobée de service.

- Je crois que le Général Cassius a pris en main la situation avec son ordonnance. Et pour l'Ost... L'avez vous mobilisez pour l'investiture ? J'ai vue aucun soldat !!

Ouvrant la porte, entrant en premier pour inspecter la petite pièce, deux autre portes dans le fond, pièce vide !
Faisant signe à la duchesse de rentrer.

- Nous resterons dans cette pièce le temps de sécurisé les lieux. Je retourne à l'intérieur prendre en charge l'évacuation avec le Général.
Surtout ne bougez pas d'ici !!

Puis la laissant seule avec les hommes de l'Hermine, il retourna au centre du bazar, essayant de trouver un lieu en hauteur pour voir ou en était les choses !!
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Eozenez

La p'tite hermine, arrivée bien tardivement, était là ... pour voir ce qu'était une investiture. Et, force était de constater, que c'était ... vivant pour le moins !!!

Aranguée par les ordres donnés deci par un sergent, delà par un capitaine ... ici par le général en personne, là par l'homme qu'elle croyait être le maréchal ... Bref, elle ne savais plus où donner de la tête.

Dans la cacophonie la plus complète, les gens se dépêchaient de sortir, des cris étaient poussés, des flèches étaient tirées.

Hélas, elle ... toujours petite ... ne voyait quasi pas ! Qu'en était-il ? Où se rendre et comment y parvenir ?

Elle faillit se laisser gagner par l'ambiance survoltée ... jusqu'à ce qu'elle pense qu'elle serait tellement plus utile avec son arc. "Oui, prendre de la hauteur". Elle aperçut non loin un escalier vers lequel elle se précipita à toute jambe.

Une fois plus haut que la foule, elle avait une vue générale de tout ce qui ce passait. Elle mit un genou à terre, posa son carquois, prit son arc, l'arqua ... et elle regardait la scène. La duchesse est ses frères et sœurs d'arme avaient toute son attention. Régulièrement, elle inspectait alentour à la recherche d'une personne suspecte, puis reprenait sa surveillance de celle qui aujourd'hui incarnait la Bretagne. Un œil vers son Général pour s'assurer que tout allait bien, vers SON Capitaine ... puis à nouveau la duchesse.

Douchka

Elle regardait l'un puis l'autre, ils n'avaient pas l'air d'accord.

Elle se demandait si chacun allait la prendre par un bras et la tirer dans son sens.

Des flêches? Un mort? Un blessé? Mais comment voulez vous que je sache tout ça, vous m'avez enfouie sous ce tissu?

Bien je veux des nouvelles de ce blessé, qui est il? Comment va-t-il?

Qui se charge de mettre la situation sous controle?

Où est l'Ost?

Elle regardait autour d'elle, elle reconnaissait certains visages, de l'ost ? Pas de l'Ost, Plus de l'Ost, elle n'en avait aucune idée.
Le fait était que certains avaient risqué leur vie pour défendre la sienne.

Bien alors qui que vous soyez Bretons et d'où que vous viennent vos ordres, je vous demande de mettre le lieu sous controle et d'aller repérer Sous le grand chêne, que la cérémonie puisse avoir lieu d'ici peu en toute sécurité.

Crotte à la fin, elle était Duchesse oui ou non?

Une dame s'approchait, elle l'avait croisé plusieurs fois, elle lui remit un pli, qu'elle ouvrit prestement.

Les yeux qui deviennent ronds comme des roues de charrette

Milouse ... Nul ne pouvait ignorer ce nom, elle en avait souvent entendu parler sans jamais connaitre l'homme.
Et le voila qui la félicitait !
En un rien de temps elle plia le papier et l'enfourna dans son décolleté.
Allons bon voila autre chose !

Il serait temps de répondre à ces félicitations inattendues, une fois tout ce bazar en ordre.
Elle repensa à "vipère commerciale" un sourire en coin en pensant de qui il voulait parler, ça aussi il faudrait éclairicir, pour pas faire d'erreur.

Merci dame Aanor pour m'avoir délivré ce message et pour vous être déplacé pour cette cérémonie.
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Mike.de.naueriels

Il préfera ignorer Niark...pour qui il se prenait celui là. Il répondit gentiment à la duchesse.

Petit topo de la situation : un homme au sol, blessé. Un tué, l'archer je crois et pour le reste...tout va bien...la situation va rapidement rentré dans l'ordre.

Il se montrit rassurant, pour ne pas inquiéter encore plus la duchesse

Je vous suis sous le grand chêne votre altesse, terminons votre investiture.

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Maire de Rieux et Connétable de Bretagne.

Niark

Se tourne vers la Duchesse qui n'a pas l'air de comprendre ce qui lui arrive. Une petite tête sort de la cape, les joues bien rouge, le souffle court...
Et la voila qui veut rejoindre le Chêne, a t'elle au moins vue les flèches ?
Il avait pris la tête de l'opération de sauvetage, il prendrait donc la parole pour lui expliquer ou en était les choses. Soupirant aux mots de Mike qui comprenait pas que la situation méritait un peux plus de sécurité que ça.

- Duchesse, on va vous emmener en lieu sur, la cérémonie du Chêne... On s'y rendra une fois la situation sous contrôle.
Un des assaillant est surement mort comme l'a dit Mike, mais on ne sait pas combien ils peuvent être, donc pour le moment suivez nous, l'investiture reprendra plus tard.

Sur ses mots il fit signe aux hommes de continuer la marche, entraînant avec eux la Duchesse, contente ou non, volontaire ou non, pas grave. Pour le moment le rat ce fichait bien de ce qu'elle pouvait en penser, il fallait la mettre en sécurité.
Tout en continuant la marche il ce pencha vers elle.

- Deux flèches ont été tiré dans votre direction Duchesse, un homme de l'Hermine est touché, pour le reste je sais foutrement rien de ce qui ce passe !

[ poste croisé... ]
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Aanor

Si elle avait su.... elle aurait pas venu.* Enfin elle n'aurait surtout pas amené sa fille.

Alors qu'elle voit la situation dégénérée, elle n'a d'yeux que pour sa progéniture. Un regard vers sa dame de compagnie, sa seule et unique préoccupation est de la sortir de ce merdier.

S'adressant à sa dame de compagnie

Les bretons sont vraiment tombés sur la tête... j'ai toujours dit que le plus grand ennemi de la Bretagne était elle-même. En attendant, il nous faut sortir Laonie d'ici. Mexter nous attend sur le parvis, tu rentreras avec lui à l'appartement. Je suivrai seule la duchesse.

Elle serre sa fille contre elle, l'enveloppant de sa cape.Prenant soin de contourner l'agitation, elles filent d'un pas agile et pressé vers la sortie, là où Mexter, le garde qui les avaient escortés, se trouve, sur les dents. Elle récupère auprès de lui sa dague qu'elle cache sous les plis de sa tenue et lui confie Laonie et Eillena.

Elle gagne quant à elle le Grand Chêne où se tient à présent la duchesse. Mis à part les hommes en arme, la foule ne semble pas avoir encore suivie. Elle s'approche, ouvre sa fidèle besace et glisse dans sa main l'objet de sa mission, une missive venue d'outre mer. Elle se penche vers elle pour lui murmurer quelques mots à l'oreille.

Votre Grâce, si nombre de bretons ici semblent vous avoir en grippe, il en est d'autres éloignés qui pensent à vous.

La missive qu'elle confie à la duchesse, elle ne l'a pas lue elle même mais elle en connait l'expéditeur... Ces mots que la blonde ignore mais que la duchesse va découvrir si elle n'égare pas la missive avant de l'avoir lue sont les suivants

Citation:

De Milouse Coatmeur, l’exilé
A Sa Grâce, Douchka, Duchesse de Bretagne

Douchka,

Je fais confiance à mon amie Aanor pour mener à bien la mission que je lui ai confiée, te remettre cette missive. Même en mer ou loin d’elle, je garde un œil sur la Bretagne et je tenais à te féliciter pour ton accession à la charge de duchesse.

Un petit conseil, fait attention à la vipère commerciale, c'est la pire de tous. Elle te fait la danse du zig zag mais le final est toujours le même : sifflement et dénigrement du travail d'autrui.

Milouse

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Douchka

Une cape sur les épaules, maintenant une cape sur la tête, elle est dans le noir, elle ne comprend rien. Elle est si moche que ça, sa robe?

C'est fou comme dans le noir, les autres sens se développent. Elle reconnait des voix, une main qui la tire, des bruits de la foule qui panique, des voix inconnues, une odeur de poussière.
Bon sang mais elle étouffe là dessous, mais où est ce qu'on l'entraine comme ça.

En un éclair, le jour, elle plisse les yeux, Niark, Mike, Esmica, des hommes d'armes tout autour d'elle, des boucliers levés.

Citation:

Vous allez bien Duchesse?

Euh, oui je vais bien, chaudement mais... Bien, je vais bien...

Elle sentait ses joues rougies par la cavalcade enfouie sous cette lourde cape et très certainement la mèche en bataille, plus très présentable sans doute.

Peut on m'expliquer ce qui se passe? Est ce que tout le monde va bien?

Elle les regardait tour à tour, complètement abasourdie par la folie ambiante.

Qui fait quoi ici? C'est un véritable Bord.. se reprenant en toussotant c'est la pagaille non?

Je vais bien et à présent j'aimerais rejoindre le grand chêne, qui veut m'escorter le fasse !!!

Elle poussa gentiment un ou deux grands corps pas malades du tout et se tournant vers les membres du CD

Alors vous venez?
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Secate

La zone devenait dangereuse. La Duchesse était en danger, mais ce n'était pas du ressort de la GE. D'après ce qu'elle avait entendu, l'Ost avait refusé de prêter son concours à la défense de la sécurité de la cérémonie, mais d'après ce qu'elle voyait, les Hermines avaient répondues présents.
La GE était là pour les clercs, pas pour la Duchesse, les gens se méprenaient sur l'action de la Garde, cela était décevant, mais bon il était toujours simple de critiquer...

Après avoir reçu l'autorisation du Vidame, Secate avait rejoint l'Archevêque, il fallait assurer sa sécurité à tout prix.
Ils étaient à découverts, le clerc risquait de se prendre une flèche et cela serait dramatique.

Monseigneur! Je vais vous conduire à l'abri! Restez près de moi!!
La jeune fille avait presque crié, elle empoignit l'épaule du clerc pour le faire bouger. Une fois un peu plus à l'abri, elle sortie son épée du fourreau, prête à en découdre avec quiconque viendrait s'attaquer au clerc
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Coldtracker

Le colosse ne s'était pas attardé et était revenu auprès de Roxanne à laquelle il dit:
-"On a pas grand monde à nous ici mais les frères de l'hermine sont là,
On va se faire un peu de place si on a encore de la visite, histoire de pouvoir sortir les grands arguments..."

Et il hurla:
-"Place à Doué!"(1)

Sur ce il dégaina son espée bâstarde...
Un mètre vingt-cinq de lame faite sur mesure pour le colosse...

Du bon acier germain aiguisé comme un rasoir....

Il dit à Roxanne:
-"Au boulot, on va aider nos frères d'armes..."

Sans attendre il partit à grande enjambées...
Il ne craignait point le corps à corps mais se méfiait d'un trait bien placé...

hrp(1) cri d'avertissement
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Une guerre à mener?De Morrigan-Montfort à vostre service...

Niark

Une forte escorte entourant la Duchesse, le Rat rejoins par le jeune Nael, pas besoin d'échanger des mots, des ordres, ils se comprennent, la priorité est d'évacuer la Duchesse loin de tout cela.
Entouré de l'Hermine, que quelques hommes tout du moins, ils avancent, rang serré autour de Douchka pour éviter qu'elle ne rentre en contacte avec qui que ce soit.
Sans bouclier, il avant, dégageant à grand coup la voie, aidé par les soldats de l'Hermine, puis tout en continuant son avancé, il ordonne à voix haute.

- Position de la tortue, bouclier en hauteur autour de la Duchesse !

On la camoufle, on la sécurise des projectiles. Les lieux sont devenu un vrai champs de bataille, des épées tirée de partout, mais aucun combats.
Peut être l'assassin était il seul, peut être que ses compères ont pris la fuite, en tout cas pas le temps de penser à tous ça. Sans savoir le mieux est de prévenir.
La porte de "service" est plus qu'à quelques pas, mais la progression ce fait lente, la foule hystérique empêchant une avancé rapide.
Mais la, voila que le Mike arrive accompagné de Esmica, et le voila qu'il essaye de congédier les hommes d'armes de l'Hermine.
Un coup d'oeil à Mike, sans s'arrêter, faisant signe aux hommes de l'Hermines de continuer à le suivre.
Puis lâchant à Mike et Esmica !

- Occupez vous d'évacuer les lieux, vous voyez que la Duchesse est escortée !

Sec, autoritaire, énervé du manque de prévoyance... Ou plutôt du manque d’anticipation des deux.
Et le voila qui continu sa marche avec l'Hermine, soupirant, les yeux parcourant la foule, pour voir le moindre gestes suspect.
Et le voila qui vois au loin, Pelotine, au sol, perdu, terrorisée. Et lui occupé, ne pouvant pas partir maintenant.
Regardant Nael !

- Nael, va récupérer Pelotine s'il te plait, je continu avec la Duchesse ! Fait la sortir...
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Kiklan

Un chaos pareil pour des flèches et une ou deux tomates... Mais qu'est ce que ce sera au champ de bataille hum? Bon en guerre il y aura pas de panique vu que les soldats savent à quoi s'attendre mais là c'était quand même difficile à croire. Son attention se porta sur Dalton, étalé à coté:

dit moi quand je serais evacuer a la caserne pour etre réparer ?

Bonne question! C'est qu'il n'allait pas rester ici quand même! Il fallait surement des choses pour le remettre d'aplomb... Sa soeur et Elibas s'affairaient toujours. Il attendit un instant puis Dalton cracha un truc rouge tout en grommellant quelque chose. Il prit donc une décision.

Bon Mel, je ne pense pas qu'on peut encore attendre longtemps pour lui. Il faut le transporter! On l'emmene à la caserne, c'est pas loin d'ici et tu auras tes outils pour le soigner. Dame Elibas, vous nous accompagnés? Vous ne serez pas trop de deux dans l'état ou il est...

Il regarda sa soeur et Dame Elibas qui n'avaient pas encore dit un mot en guettant leur bénédiction pour ce qu'il allait faire puis apperçut Hogan qui partait:

Hé Hog! Viens ici, on va le porter à l'infirmerie de la caserne! Tu prend par les jambes et moi sous les bras...
'tention, un, deux et trois!
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Kentoc’h mervel eget bezañ saotret!

Plutôt la mort que la souillure!

Dalton

dalton prit la bouteille et but quelques gorgées

dit moi quand je serais evacuer a la caserne pour etre réparer ?

Puis dalton toussa encore du sang

merci pou..

dalton perdit connaissance

Le_jack

Fichtre! Ca partait vraiment dans tous les sens...

D'abord profondément choqué par le premier attentat contre la Duchesse, Jack commençait à s'inquiéter pour la sécurité de Mimilia... Oui, certes, ce n'était pas elle qui était visée, mais l'acte d'un possédé pouvait fort bien être détourné vers une autre personne moins défendue que la duchesse...
Moins défendue? Difficile...

Il avait pourtant pensé trop vite, car soudain, tout s'enchaîna. Les gros bras faisaient enfin leur apparition.

Jack entendit Erwin l'inviter à suivre la remise de l'épée. Il hésitait... Non, vraiment, il était écoeuré, et ne se sentait soudainement plus la force de prendre une décision. Il murmura à sa fiancée:

Mimi, que fait-on? Nous suivons la cohue? Ou bien tu préfères reprendre la route tout de suite?

Voila, en fait c'était plutôt ça... Il avait envie de partir, une envie purement égoïste, et cela n'avait rien à voir avec la sécurité. Après tout, la catin avait été maîtrisée. Le danger était passé.

C'était son intuition...

Fidèle à la légende qui poursuivait le rouquin, l'intuition s'avéra splendide... Un autre attentat!

Là, c'en est trop. Que les forces de polices n'aient pas pu sauver ton fils, c'est une chose, mais qu'une duchesse puisse être assassinée au même endroit un mois plus tard, voila qui relève de la trahison!

Viens.

Prenant fermement la main de Mimilia, Jack commença à se diriger vers la porte fortement encombrée de la primatiale.
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Hogan__

Se sentant inutile et transparent, hogan prit ses clics et ses clacs et fila a la taverne se souler

Pelotine.

La foule s'agitait , les flèches fusaient , la duchesse avait disparue , Pelotine hurlait toujours , la panique ambiante n'arrangeait pas les choses , son bras est arraché a celui de Niark qui court dans une direction que Pelotine ne pourrait déterminer.
Dans le flou total , elle suffoquerait presque tant la peur lui prenait au ventre.

Soudain une main se pose sur la sienne , une amie , un visage qu'elle connait.
Parmi tout ce mouvement , Roxanne est la , et elle porte son attention a Pelotine , qui touchée lui sourit , malgré le stress enduré.

Si ... si je vais a la ...

Et la phrase ne put être terminée , Roxanne venait de disparaitre dans les bras du maréchal.
Ce qui provoqua un nouvel élan de panique chez la dame de Concoret qui se recroqueville au sol en attendant que l'agresseur de son amie se fasse décrocher la machoire.

Une fois ceci fait , la jeune femme se relève et cherche des yeux qui pourrait lui venir en aide , qui pourrait lui permettre de se faufiler loin de tout ce raffut.
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Trilo

Le capitaine fraichement élu travaillait à l'état-major. La duchesse a préféré insulter l'ost de Bretagne en demandant la protection de la garde épiscopale. Il a décidé ne pas aller à l'investiture par respect pour ses soldats car la duchesse actuelle montre peu de considération pour leur travail et leurs compétences.

Elle n'avait qu'à s'en prendre à elle s'il arrivait malheur. Les fois précédentes, lorsque l'ost était présente, il n'y a jamais eu d'accidents à déplorer.
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Dalton

dalton vit kiklan arriver ce qui le fit sourire

Gast, ça fait mal, t'inquiète vieux je vais pas me laisser crever * dalton esquissa un sourire * qui sera la pour t’embêter ?

Puis fit signe a kiklan de s'approcher

J'ai drôlement soif crois moi ! tu aurais pas quelques chose a boire ?

dalton souri malgré ça mine macabre

Kiklan

Gast, ça fait mal, t'inquiète vieux je vais pas me laisser crever qui sera la pour t’embêter ?

Toujours autant d'humour celui là! Au moins il écoutait ce qui voulait bien dire qu'il n'était pas encore mort hein!

J'ai drôlement soif crois moi ! tu aurais pas quelques chose a boire ?

Il rit malgré lui... Il sortit une bouteille dépassant de la chemise de son ami. Toujours à vouloir le chouchen des autres hé hé!

Tiens, je crois que c'est à toi... Bois autant que tu veux, ca peux pas te faire plus de mal hein!
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Kentoc’h mervel eget bezañ saotret!

Plutôt la mort que la souillure!

Mike.de.naueriels

L'ost n'est pas là car la Duchesse a préféré la garde épiscole.

Le connétable armé de son épée et du bouclier de Dalton qu'il avait ramassé plutôt, il regarda sa soeur :

Viens on va voir la duchesse, je n'aime guère ce qui se trame...

Il se méfiait de plus en plus des Hermines..un complot ? tout devenait de plus en plus fou ici. Mike fit demi tour et se dirigea vers la duchesse qui était pour lui en danger entouré ainsi de soldat qu'il ne connaissait pas. Il arriva à leur hauteur et dit :

Faite place au connétable et à la procureur. Nous nous chargerons de la sécurité de la duchesse avec Niark de Ratspoutine.

Il fit un signe aux soldats de l'hermine de se bouger et prit place auprès de la duchesse. Il la regarda puis lui demanda :
Vous allez bien ?
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Maire de Rieux et Connétable de Bretagne.

Dalton

dalton reprit connaissance en ré-ouvrant les yeux, puis se mis a tousser du sang...il reconnut le visage d'éliba et lui demanda

la duchesse elle va bien ?

Puis dalton se re-mit a cracher du sang violement

Kiklan

Quand le capitaine ordonne, le sergent obeit et file vers son destin... Il descendit donc les marches puis rejoingnit sa soeur et une Dame portant le nom d'Elibas d'après ce qu'il avait compris, aux coté de dalton qui n'allait pas si bien que cela. Il fallait lui parler, lui dire quelque chose pour ne pas qu'il parte. Pendant que Mel s'occupait de sa bléssure, il prit son air faussement détaché et regarda son ami droit dans les yeux:

Soldat, c'est le sergent qui parle, il faut que tu t'accroche et que tu restes! Tu fais parti des hermines alors montre ta force nom de Zeus!

Pas de réactions... Il réessaya sous un angle plus ironique:

Bon tu vas rester allonger sans bouger et si tu vois un drole de bonhomme en blanc qui te fais des signes, tu fais demi tour d'acc?

Il regarda le visage de son frère d'arme, souriant malgré l'occasion... Kiklan regarda les deux medicastres faire et leur demanda:

Y a t-il quelque chose que je peux faire?
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Kentoc’h mervel eget bezañ saotret!

Plutôt la mort que la souillure!

Esmica

Citation:

Viens on va voir la duchesse, je n'aime guère ce qui se trame...

Elle en était sur, le voilà qu'il commence déjà à se méfier de certaines personnes, et surement cela va provoquer des réactions, elle avait bien raison de le suivre.
La jeune femme toujours épée à la main, guettant tout, elle avait l’œil, elle apercevait les choses de loin, c'était une qualité chez elle.

Elle suivit son frère, arrivant près de la Duchesse.

Vous allez bien Duchesse? Et Niark vous aussi?
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Vicomtesse de Pleuvihan
Procureur de Bretagne
Ex Mairesse de Reoz
Adjointe au Maire de Reoz

Elibas

Eli vit le maréchal s'occuper d'un autre homme qui semblait se diriger vers elle et Dalton. Ce dernier voulait sans doute finir le travail de l'archer mais sa course se termina mortellement. Elle adressa un signe de remerciement au maréchal. Elle tappota les joue de Dalton pour lui faire reprendre connaissance.
Un homme lui posa une question.

Il va bien ?

La blessure n'est pas mortelle il semble, mais j'en serai plus quand la flèche sera retirée. Il devrait s'en remettre rapidement.

Elle regarda autour d'eux et ne vit que de rares soldats de l'ost.

Mais que fait l'Ost, il devrait être là pour défendre la Duchesse.

Elle vit Esmica, soldat de l'Ost s'approcher de l'homme qui avait demandé des nouvelles de Dalton.
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Mike.de.naueriels

décidément c'était un foutoir complet cette investiture. Il prit la direction de Dalton qui était au sol et dont une de ses soeurs armes avaient coupé la flèche.

Il va bien ?

Il regarda son amis au sol puis ramassa le bouclier frappé de l'hermine et dégaina son épée. Après tout, la folie regnait en ses lieux et il valait mieux être prudent. il se dit :"A croire que c'était un coup préparé par les Hermines pour se mettre en évidence..étrange qu'il soit tous apparu si promptement....bizarre"
Il scruta la foule pour savoir si la duchesse était finalement, enfin en sécurité..
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Maire de Rieux et Connétable de Bretagne.

Esmica

Il y avait un vrai bordel, les gens couraient de partout, d'autre crier, d'autres se bous bousculaient, presque marcher dessus.
La jeune femme avait suivi toute la scène, des lancés de tomates, c'était marrant, mais les flèches beaucoup moins, surtout lorsqu'elle aperçut un de ses amis, s'en prendre une dans le flanc. Elle dégaina son épée, puis qu’apparemment tout le monde le faisait, il fallait se protéger et protéger les autres.
Quelques secondes après, un homme tomba de très haut, mort sur place, mais personne s'en soucié, cela devait être surement l'archer.

Dalton à terre, la jeune femme s'approcha de lui, pour voir si tout allait bien, il était inconscient mais entre de bonnes mains, elle était rassurée. Les soldats de l'Ost, n'étaient pas très présent, mais il y avait son frère, elle le suivit, épée à la main. De loin elle voit un homme, dague à la main, se faufilant dans la foule, s'approchant du soldat à terre. Et puis d'un coup plus d'homme, envoyé valsé, par le Maréchal contre un mur, il était surement mort sur le coup.

Cela devenait vraiment du n'importe de quoi, il y avait des blessées, des morts, du sang...et une panique générale.

Faisant attention à tout ce qui se passait autour d'elle, et à tous les gestes, elle suivit Mike, afin de le soutenir au cas où, elle connaissait son frère. Il était très impulsif, on sait jamais, si il fait des bêtises.
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Vicomtesse de Pleuvihan
Procureur de Bretagne
Ex Mairesse de Reoz
Adjointe au Maire de Reoz

Coldtracker

Soupir lassé, le colosse dit à Roxanne:
-"Un instant...."

Il avait repéré un oiseau qui n'était pas bon augure....

A vrai dire , il n'aimait pas la duchesse de Bretagne mais c'était la duchesse de Bretagne maintenant ....Alors bon...

Il enlaça Roxanne et la fit pivoter comme aux cours d'escrime...

Pivot du pied gauche et le colosse se retrouve face au bonhomme qui sortait un couteau...

L'homme arma pour frapper..

Avec la force qui était la sienne , le Maréchal de Bretagne tapa du point fermé sur l'avant bras armé et de l'autre frappa du direct à la gorge de l'adversaire qui chuta...

Un coup de paume ajusté et l'adversaire s'écrasa derrière un pilier à l'écart de la foule...

Le colosse ne dégaina pas son arme et frappa du talon en pleine tête...

Fin du combat...

Le Duc de Rhuys se pencha sur l'homme pour lui poser des questions mais la tête marquait un angle bizarre avec le reste du corps....

Il n'allait plus parler....

Le colosse dit:
-"Merdasse..."

En même temps occire des gens , c'était son métier et la pitié n'avait jamais été dans ses prérogatives surtout avec les assassins...

Conditionné par des années d'entraînements, il se releva vite et prit position...

Un petit rictus sur les lèvres...Après tout il était dans son élément...
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Une guerre à mener?De Morrigan-Montfort à vostre service...

Lauralyne

Laly observa un mouvement. Elle avait vu Eli auprès de Dalton. Elle lui administrait les premiers soins. Un homme s'approchait doucement.
Doucement, c'est suspect ça. Elle perçut un éclat fugace. Sur sa nuque un picotement, elle se rapproche de l'homme et dit à Lybrylla de continuer à sécuriser.

Lybrylla tu sécurises. Gardes les yeux bien ouvert.

Elle sortit sa dague la gardant le long du corps. Elle se déplaça souplement, en silence. Elle s'approchait inexorablement de l'homme. Le maréchal fut plus rapide et s'occupa de l'homme sans faire dans le détail. Elle eut un sourire.
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Maman d'Elrick, Floraline, Krystal, Enoal et mère de coeur de Titouan et Klauss
Soeur de Debad, JEpl et Eldon

Lanna.

lanna ecarquilla les yeux comment en partant d'un lancer de tomate pouvais t-on en arriver la .
Ils étaient tous fou ma parole!
La blonde était proche de la duchesse quand il entendit le sergent Harles lui donner l'ordre de se mettre a sa gauche.
Elle obeit tout de suite s'en reflechit et tourna le dos a la duchesse en sortant son épée .
La foule etaient en panique on entenait des cris de partout..Le sergent leur donna l'ordre de ne bouger quand tout cela se serait calmée.
La blonde hocha la tete et resta vigilente a la moindre prochaine attaque
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Jamais sans son frère...´

Blackbird

Lors de sa conversation avec Melancovic.

Content de te voir l'ami. Je pensais pas que tu étais encore à St Pol.
Me concernant j'avais déménagé à Vannes peu avant la mort de Sanzi, je l'ai apprise par les force des choses. Comme tu l'a dit j'ai été en quelque sorte accueilli, je me suis fais quelques amis à Vannes. Et puis tu me connais, je vais la ou bon me semble

Lui adresse un sourire amical
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Lavatar

La Tierce Dizaine, vous protégez le repli, qui approche dague à la dextre, vous me l'embrochez sur place.

La voix sonore et pausée du Général résonna dans l’église malgré les cris et mouvements de foule…
Bloquant avec ses hommes le passage de l’allée qu’avaient empruntés Niark, la Duchesse et la seconde dizaine , Lavatar porta un œil sévère à la situation…
La lançeuse de tomate était aux mains de la Haute, le fourbe archer nageait dans son sang, le crâne ouvert… Personne ne semblaient vouloir courir après la Duchesse…
La situation étant maîtrisée, il hurla sans se retourner, ne quittant des yeux la nef qui se vidait peu à peu…

— Melyane, vois dans quel état se trouve Dalton… Kiklan, reste avec elle et fais ce qu’elle te dira… Kerlane, Creusi et Aradroth, on élargit peu à peu le cercle et on évacue.. Les autres, fouillez les suspects…Enfin, pas les gens d’église ni de la Duchesse, hein.. du tact… Zimbota, poste-toi devant la porte de sortie…

Quelle pagaille ! Comment a-t-on pu en arriver là !... Le capitaine serra les dents et commença le lent refoulement vers le portail, veillant à ne laisser personne dans quelque recoin que ce soit..
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Elibas

Eli avait vu comme sa capitaine un homme tombé lâchant en même temps un arc, son carquois en bandoulière. IL n'y avait plus de mouvement de ce côté. Elle se dirigea vers Dalton et s'agenouilla. Il avait perdu connaissance. La flèche était fichée dans son flanc.

Dalton c'est moi Elibas, de la haute dizaine, accroche-toi, ta soeur ne va pas tarder.

Elle examina rapidement la blessure qui était propre. Il ne fallait pas retirer la flèche, elle le savait, n'était-elle pas médecin du Triskell rouge tout comme Laly?

Elle tourna Dalton sur le côté, le maintenant, elle sortit son couteau et coupa le bout de la fèche. Elle fit un pansement de fortune dessus. Il faudra voir si quelque chose était touché lorsque la flèche serait retirée. Elle regarda si Melyanne arrivait tout surveillant les alentours pour signaler tout individus suspect. Elle n'avait pas encore vu l'homme s'approcher.

[ Edit pour plus de cohérence]
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Harles

Le sergent de la seconde dizaine a vu l'archer chuter lourdement au milieu du schmilblick.

Il se détendit imperceptiblement, mais mis en branle les ordres du général. Il ordonna :

Boann, revient à ma droite, Lanna, met toi à ma gauche !

Et puis, beaucoup plus courtoisement, à la Duchesse

Majesté, si vous voulez bien vous mettre dos à un mur, c'est nettement moins fourbe qu'un traitre.

Ainsi, avec un soldat avec bouclier et épée sur chaque coté et lui avec son épée au centre, pas de risque de se faire hacher menu.

A ses 'hommes' il dit :

On attend que ça se calme pour bouger les filles.

Melancovic

Signe de tête respectueux d'Erwin en direction de Melancovic.
Le pirate l'avait reconnu, autant aller de ce pas lui dire le bonjour en face.

Demat dit Erwin content de te voir, depuis que tu es parti du port de Kastell Paol je ne t'ai plus revue, tu t'es fait accueillir autre part ou quoi ?

La robe de la duchesse ne lui déplaisait pas, on pouvait voir les formes agréables qu'elle avait, ça changeait par rapport à certaines, qui avec tous l'attirail qu'elles portaient sur elles, n'avait que pour but de cacher leur misère dégoulinant de graisses.
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Lauralyne

La capitaine de la Haute dizaine des Hermines était là avec ses hommes. Elle avait vu les soldats de l'Hermines agirent rapidement et avec efficacité. La tierce et la seconde dizaine étant près de la duchesse; ses hommes et elle s'occuperaient d'un cercle plus large répondant à l'ordre du général.

A vos ordres mon général.

Ozareff et Bruce à droite, Scotty et Uriell à gauche, Lybrylla au centre avec moi. Eli, tu t'occupes de Dalton en attendant l'arrivée de Melyanne, ne lui retire pas la flêche.

Laly alla rapidement avec Lybrylla assurer les alentours. Elle avait la main sur sa garde prête à agir vite et bien.
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Maman d'Elrick, Floraline, Krystal, Enoal et mère de coeur de Titouan et Klauss
Soeur de Debad, JEpl et Eldon

Hogan__

Hogan rejoingni vite sa soeur et les autres hermines de la seconde dizaines pour faire rempart a tout danger d'ou qu'il pouvait venir...La regardant d'abord d'un oeil inquiet, son sourire en coin eu aussitot fait de le rassurer, d'autant que le sergent se tenait a ses cotés...

Scrutant les moindres fait et geste et tout ce qui se passait au alentour, c'est l'epee degainee et le bouclier brandit en guise de protection, qu'il se mit en deuxieme ligne de defense afin de se concentrer sur l'origine d'un nouveau danger s"il venait a surgir...

Chaque personne, chaque fenetre ou portes, n'echappaient au regard acerré de ce jeune soldat qui se sentait comme galvanisé par l'importance de la tache qu'il etait en train d'accomplir...

Un clin d'oeil a lanna, et il suivi le mouvement en continuant de scruter les alentour en bombant le torse et pret a l'action...

Boann

Elle est prête à suivre le Sergent Kiklan quand, un peu plus loin devant elle, un corps tombe lourdement au sol.

Est-ce le tireur ? *Hésitation* Doit-elle continuer et suivre le Sergent ? Les flèches ne volent plus...

Le Général ordonne et met fin à ses hésitations ; elle doit se concentrer sur la protection de la Duchesse en retournant près de Lanna et du Sergent Harles, tenant son épée d'une main, son bouclier de l'autre.
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Assasin, incarné par Dalton

http://www.google.fr/imgres?num=10&um=1&hl=fr&biw=1024&bih=629&tbm=isch&tbnid=cbohxNoHp3QsDM:&imgrefurl=http://valdebise.forumzen.com/t25663-evolutifdruide-roublard-metamorphehrannon-kulrajh&docid=K_JPMG3EX-9X6M&imgurl=http://img237.imageshack.us/img237/6976/assassin.png&w=269&h=528&ei=P5-NT4_KDZH88QP_4PzRCw&zoom=1&iact=hc&vpx=191&vpy=201&dur=2676&hovh=315&hovw=160&tx=86&ty=202&sig=108607052768997158447&sqi=2&page=1&tbnh=129&tbnw=63&start=0&ndsp=18&ved=1t:429,r:7,s:0,i:79

L’assassin vit un soldat a terre puis se dit " vu que ça tourne mal autant en profiter d'essayer d'achever celui la ".
Puis se dirigea vers le soldat a terre en utilisant les mouvements de foules pour se dissimuler. Tout en s'approchant il sortit un couteau de lancer qu'il allongea le long de ça cuisse.
Observa si il y' avait du monde a proximité, observa le soldat a terre, s'approcha encore un peu
[/url]

Blackbird

Erwin vit la nièce de Jack passer devant lui, il poursuivait son chemin vers la sortie avant de se rendre compte qu'elle s'adressait à lui. Il répondit à la souriante jeune femme.

Dans ce cas j'y serais, car c'est bien la seule chose dont Breizh peut se vanter et être fière aujourd'hui, sa terre.

Il continua vers la sortie, le visage agacé de toute cette cérémonie, espérant presque à l'implorer que la suite soit moins pathétique pour tout le monde. Espoirs vite mis de côtés étant donné le bazar dehors. Il entendit et commença à en apercevoir les raisons, la duchesse n'était pas au bout de ses peines apparemment, mais là c'était bien plus sérieux qu'une tomate...

Il conserva sa main près de son épée, par simple habitude dans ces situations, et continua son chemin sans se faire prier. Il jeta un regard en arrière à Jack et Mimilia puis suivit le mouvement de la cérémonie. Regrettant d'être venu, mais estimant que puisqu'il était là, autant y rester, et puis c'était trop important pour mépriser un tel évènement, aussi bafoué soit il, sans compter qu'il ne pouvait plus avoir la même façon de vivre qu'avant, et qu'il devrait se plier un minimum aux devoirs de citoyen, dont il avait la même estime que ses valeurs, par amour pour la Bretagne.
En marchant, il se perdit dans ses souvenirs de pirate, oubliant presque ce qui se passait autour de lui.
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Cassius

La situation avait dégénéré, l'heure n'était pas au combat dans une situation de protection, la principale tache à effectuer était le repli et assurer la protection de l'emblème de Bretagne durant ce repli.
L'Hermine n'avait nullement été mandaté dans la protection de ce jour, mais la garde n'ayant été mise en place au préalable, chose accablante en soit, l'Hermine a su s'adapter tel un corps d'armes professionnel au service de sa Bretagne et de sa Duchesse.

L'image en serait presque risible, lors du dernier mandat de Douchka, le Montfort avait levé ses hommes à la demande de sa Majesté pour la démettre de ses fonctions, aujourd'hui ses hommes et le Montfort lui même mettaient leurs vies en danger pour sauver la sienne sans être mandaté pour cela. Ce n'est point ce qu'il pensait de Douchka qui avait fait agir le Montfort, mais bien l'emblème qu'elle représentait, elle avait fauté par le passé, Cassius avait pardonné l'erreur, espérant que cette situation ne se reproduise, aujourd'hui il faisait preuve de ce pardon.

Les ordres fusèrent...

La Tierce Dizaine, vous protégez le repli, qui approche dague à la dextre, vous me l'embrochez sur place.

Autre regard...

Seconde Dizaine, en carré serré autours de sa Grâce de Bretagne au côté du Sénéchal de Cholet et vous veillez à ce que la Duchesse soit en sécurité.

En direction de la Haute Dizaine...

Veuillez à la sécurité des lieux et qu'il n'y ai plus de danger.
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Comté de Kervegon

Gwenael.

Une tomate, passe encore. Une flèche ça passe un peu moins, surtout quand elle touche un soldat de l'hermine.
Se levant d'un bon, ne prenant pas le temps de répondre au Lieutenant Ethane il se dirige vers Niark et l'accompagne.

Blacas non loin reçoit quelques ordres rapide a l'oreille

Va me chercher Maeve avec la garde du Tregor.
Je vous rejoins.

Oui, la Duchesse du Tregor doit être elle aussi en sécurité et cela rapidement.
Avant d'aller la retrouver, Gwenaël lui s'occupe de pousser les badauds en compagnie d'autre soldat afin de faire de la place a Niark et a la Duchesse "preskapoil".
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" Nec Jactantia, Nec Metu "

Lavatar

Le capitaine de la tierce dizaine des hermines était resté avec quelques compagnons à surveiller les alentours de l’église, au cas où d’autres malfrats que le possesseur de la dague et la câtin lanceuse de tomates ne vinssent encore perturber la cérémonie…

Trois de ses hommes étaient allés rejoindre les autres à l’intérieur… Lorsqu’il entendit les gens fuir de la nef en hurlant à l’archer, le sang du grand blond ne fit qu’un tour et ce fut épée flamboyante qu’il courut à l’appel des gardes…

Son regard analysa la situation en un quart de tour.. Des hommes encadraient la Duchesse, d’autres aux couleurs des Hermines emportaient un fou furieux, Dalton à terre !!!!, une folle lançait une tomate…

BBZZZZZZZZIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!

Le capitaine suivit des yeux l'élégante courbe qu’exerçait celle-ci et repéra l’affreux encagoulé fissa qui se cachait lâchement dans l’ombre.

la rage dans le coeur, voyant Dalton qui restait à terre, il vit alors sergent Kiklan grimper les escaliers de bois qui menaient aux balcons et partit à sa rencontre, poussant sans retenue les malheureux qui ne s’écartaient pas à son passage…

— Place !!! Place !! CRE-NOM-DE-ZEUS !!! Mais dégagez le passage , mortecouille !!!

A peine avait-il dit cela qu'un corps s'écrasa devant ses yeux, l'éclaboussant de jus de tomates...
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--Flecheur

Il tira lentement la corde en arrière, bloqua sa respiration, visa très soigneusement.

Après tout, si on le payait si cher, c'est qu'il y avait une raison.

Il comptait vraiment mériter son salaire.

Il vit la couronne, et visa là où une faille entre les deux soldats ne protégeait pas la duchesse.

Il allait lâcher la corde quand...

Une tomate s'écrasa sur son visage, il lâcha la corde et la flèche alla se perdre dans l'édifice.

L'archer jura abominablement pendant qu'il tentait de se nettoyer le visage, il avança.

Puis tomba dans le vide.

Il restait un corps avec un restant de tomate sur le visage, le corps désarticulé.

Niark

Alors qu'il s'était levé, prenant la direction du lieu ou devant avoir le couronnement druidique ou il ne savait quel nom lui donner, un grand fracas ce mis en marche, hommes d'armes à la poursuite d'une pauvre catin sans défense, épées contre tomate... Pauvre Femme.
Mais tout cela bougeait bien vite, alors qu'il avait encore le sourire aux lèvres, un chose plus dangereuse surgit d'une hauteur, une flèche en direction de la Duchesse filait.
Bon duchesse et rat ne s'aimait pas d'un amour fou il est vrai, mais bon une tomate ça le faisait rire, mais une flèche pas du tout. De la à souhaiter sa mort, loin de lui l'idée.

Pas le temps de réagir dans cette foule qu'un homme en arme c'est déjà jeté sur le projectile, sauvant de ce fait la duchesse, mais pour combien de temps ? Le bougre est blessé et incapable de la protéger d'un second trait... Le courage est parfois proche de l'idiotie, mais bon, un sacré gaillard quand même le bougre.
Sortant son épée, le rat se dégagea de la foule à grand coup de coude, sans ce soucier de qui est nobles ou gueux, il fonce dans le tas.
D'ailleurs certains ont encore rien vue, d'autre reste agars, ne sachant que faire et enfin d'autre courent dans tous les sens, un état d’hystérie s'empare du saint lieu.
Et voila le rat qui ce démène pour se frayer un chemin jusqu'à la duchesse, pas le temps de s'occuper de l'homme à terre, il a fait son devoir, mais bon, prion pour qu'on s'occupe vite de lui.

Arriver à la hauteur de la Duchesse, qui ce trouvait déjà bien entouré, mais en pleins champ de mire... et se penchant à son oreille !

- Il faut bouger Duchesse, et très vite !!

Puis se tournant vers les soldats, il n'avait pas d'ordre à leurs donné mais bon...

- On dégage la Duchesse, suivez moi en rang serré !

Pas le temps de lui demander son avis, détachant sa cap, il la recouvre du tissu, camouflant comme il peut son visage, et la tenu des moins discrète.
Un regard en hauteur, les hommes d'armes s'active, l'archer était en vue, quand... Une tomate, une chute... Mais bon faut pas espérer, venir seul c'est du suicide, un autre ce cache peut être.
Prenant la main de la Duchesse, épée d'en l'autre, il la tire sans retenu, la forçant à la suivre dans la foule, essayant toujours de ce diriger et de passer prêt de personnes qu'il connait, des personnes de confiance.
Mêlant la Duchesse à la foule, il limite les risques, il limite l'espace et la visibilité, au pire si une nouvelle flèche est tirée, elle a une chance de ce planter dans quelqu'un d'autre.
Et le voila, tirant la duchesse, donnant de grand coup de coude pour ce dégager un chemin en direction d'une porte dérobé, surement une porte pour les enfants de coeurs, ou les curées...

[ EDIT pour un peux plus de cohérence]
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--Flecheur

L'archer ajusta son tir, il voyait que les hommes de l'Hermine commençait à monter sur le coté, il visa une grande tache rouge sur le cou de sa cible. Sa cible qui se cachait derrière deux soldats.

Et tira...

La flèche fit un grand "TONGGGG" en se plantant violemment dans le bouclier de la soldate... l'envoyant valser.

Il n'aurait plus qu'une seule chance de tirer.

L'archer prit une nouvelle flèche, très calmement.

Il voulait vraiment son argent.

--Mary_la_catin

Mary profita de la cohue provoquée par l'archer pour se libérer des gardes qui ne la tenaient plus qu'à moitié, préoccupé par le danger qui n'avait plus rien à voir avec une tomate. La catin se releva. Elle avait repéré l'archer, depuis le coin où elle était. Il était concentré sur la Duchesse.

Ha non, il n'allait quand même pas lui piquer sa cible à elle !

Sa main se glissa dans la poche du tablier, saisit une tomate... et la lança le plus fort possible en direction de l'archer.

(*bruit d'une tomate qui vole*)

Dalton

Dalton regarda tout ce qui se passa, voyant la Catin prendre fuite ... puis Dalton commenças a perdre connaissance

Melyanne.. Mel ...

Dalton perdis connaissance tandis que son sang commençait a se rependre sur le par terre de la place

Roxannemontfortlaval

La Montfort-Laval, saluant le jeune inconnu et qui se dirigeait vers la sortie afin de rejoindre le lieu de la cérémondie druidique ne manque pas de voir le geste et d'entendre l'appel de Cassius. Aussitôt les hommes d'armes de la Compagnie des Hermines surgissent de part et d'autre. Habituée à ce genre de déployement, la Gonfanonier des Trente continue sa progression.
Apercevant SON héros de Maréchal, contre l'un des piliers de la Primatiale comme à son habitude, elle s'approche de son cousin en toute discrétion.

Maréchal. C'est un plaisir que de vous revoir. Je vais assister à la cérémonie druidique mais ensuite je me rends en notre Oratoire. J'ai besoin de vous là-bas, si vous pouviez m'y rejoindre. Une mission urgente à mettre en place ainsi que quelques détails dont j'aimerais vous parler.

D'un ton bas, de manière à n'être entendue que de lui.

Je me suis rendue au chevet de Sa Majesté et je dois vous entretenir.

Bien entendu, elle ne lui en dira pas plus en ces lieux et le salue d'un bref signe de tête à la manière des hommes et femmes d'arme.
Puis son office fait auprès de lui, c'est d'un pas rapide et sans prêter grande attention à ce qu'il se passe autour d'elle, hormis prendre la précaution de ne point se recevoir une flèche perdue de l'un des archers, et elle est aguerrie à l'exercice, étant elle-même archère, elle se rend sur les lieux de la cérémonie druidique.

Passant non loin de sa Pelote, elle l'entend pousser un hurlement. Main apaisante qui vient se poser sur celle de la jeune femme. Avec elle, c'est naturellement qu'elle s'exprime. Pas de vouvoyement ni de simagrées superflues. Une amie aussi noble soit-elle est avant tout...une amie.

Tu vas toi aussi assister à la cérémonie druidique ?
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Kiklan

Laissant Dalton par terre, il se mit à courir aussi vite qu'il le put... Il avait repéré le point de départ de la flèche, ou du moins l'endroit probable du tir... Il passa près de quelques hermines auquelles il fit un signe, deux le suivirent et il grimpèrent les marches menant à l'endroit... Il allait payer très cher ce qu'il avait fait!
Lorsque l'on attaquait une hermine, on attaquait le groupe! Il avait donc été attaqué et devait exiger réparation!
Il fit signe aux deux de se mettre en position et arriva au niveau de l'étage...

Si deux hermines veulent venir et mettre un nom sur ceux qui accompagnent Kik' ils ou elles sont les bienvenu(e)s
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Kentoc’h mervel eget bezañ saotret!

Plutôt la mort que la souillure!

Harles

Harles regarda autours de lui. Il se reprit rapidement quand il vit Dalton tomber.

Boann, trouvez moi le maudit tireur, Lanna, avec moi, avec un bouclier, protégez la duchesse, on se réfugie dans le presbytère ! Faites gaffe !

Il regardait autours de lui, son épée en main, espérant que l'archer ne tirerait plus...

Kiklan

Un ami, une flèche et plus rien! Dalton s'étala par terre, la duchesse en arrière, c'est qu'on lui en voulait dis donc! Il balanca la tête de gauche à droite... La duchesse ou Dalton? D'un coté il vit que plusieurs autres soldats s'occupaient de la duchesse alors autant allez voir son frère d'arme!
Il courut vers son ami puis s'agenouilla devant lui:

Alors vieux! Tu veux faire les honneurs hein! Mince! Elle s'est joliement planté, va falloir la retirer...
Serre les dents, Mel va arriver bientôt... En attendant, boit un peu de ta bouteille là, je la voit qui dépasse!

Essayant de lui parler pour ne pas qu'il s'endorme dans un sommeil sans réveil, il attendit sa soeur qui ne devait pas tarder...
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Kentoc’h mervel eget bezañ saotret!

Plutôt la mort que la souillure!

--Flecheur

Le traître était en haut, il avait tiré du premier étage, si ce crétin de soldat qu'il n'avait pas prévu n'était pas là, il l'aurait eu. L'autre imbécile avec sa dague qui s'était fait avoir avait été du pain bénis. Qui aurait cru que ce serait aussi facile?

Il avait été payé très grassement pour ce boulot, et n'avait pas l'intention de laissé tomber si près du but.

L'archer était près a recommencer, d'un autre angle, avant que les autres s'excitent.

Pelotine.

Pelotine s'était levée pour suivre le cortège afin de se rendre a la cérémonie druidique , toujours aux cotés de Niark , qui était devenu une sorte de béquille en cette journée catastrophique.
Son rôle se renforca quand la jeune Pelote entendit un cri , intriguée , elle leva les yeux et vit un homme a terre , le flanc en sang.
Un nouveau cri vient accompagné celui du soldat Dalton , la brunette hurle , horrifiée par ce qu'il se passe devant ses yeux , toujours la main agrippée a sa béquille qu'était le poilu a ses cotés.
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Ethane

Ethane arriva a sont tour a grand pas dans la salle d'investitude ou son amie douchka avait etait semble t'il agréssée .

Et bien ce dit t'il autent de monde pour un si petit bout de femme .
Le lieutenant ce placat a coté du capitaine Gwenael. lui fit un signe de la tete .
Bien on dirais que nos soldats metrisent la situation dit 'i'l au capitaine .

Il sortis sont épée et resta posté au cas ou il lui faudrais porter mains forte a la compagnie .
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Lieutenant de la compagnie des hermines section 2

Gavril

Gavril salua le général quand il apparut.. Enfin comme il put car en tenant fermement l'homme, c'était pas simple, voir impossible.. Donc un signe de tête suffit pour salut, il l'écouta donc avec attention, puis se fut autour du capitaine de donner ses directives, il l'écouta donc aussi avec attention, il était un peu déçue de devoir partir du point chaud si on pouvait dire.. Mais bon, il était le premier sur place, autant finir jusqu'au bout sa mission avec le capitaine. Toujours en tenant l'homme fermement au cas ou, il suivit la capitaine ne formulant aucun mot.. Il éspérait pour l'homme qu'il aurait une sacré excuses même si a son humble avis, quoi qu'il raconte, il n'aurait pas de cadeaux. Gavril était en même temps fier de lui car il ne s'était pas trompé, il n'avait pas plongé sur un noble ou quelqu'un d'important car sinonle général Cassius l'aurait reconnu.. Il suivit donc le capitaine avec le prisonnier vers la caserne apparament, il serrait mis au fer et quand le général arriverait, le probable assassin serait dans la panade..

Gwenael.

Le regard qui se tourne vers l'entrée.
Les soldats de l'hermine en action.
Un sourire sur les lèvres et le voila qui porte a nouveau attention a la cérémonie.
Cérémonie qui lui semblait être la pire qu'il ai pu voir. Même Patate avait pas fait mieux.

Mais l'esprit ailleurs il sourit en pensant aux soldats de l'hermine qui s'occupe de trouble "fête".
Si besoin, il serait la.
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" Nec Jactantia, Nec Metu "

Dalton

dalton arriva prêt de ces compagnon l'épée à la main

Capitaine voulez vous de l'aide pour emportez cette mécréante au trous ?

Puis se souvint que la duchesse était sous petite protection, courra vers elle pour la protéger, puis se mit en formation bouclier lever et son épée parré a frapper

--Mary_la_catin

Mary trouvait éminement drôle de voir qu'après que les soldats lui aient laissé tant de temps pour lancer ses projectiles, ils réagissaient tous d'un seul coup pour se jeter sur elle... Là voilà fort bien entourée... Les hommes lui tenaient les bras, d'autres la menaçaient... Elle leur jeta un regard lubrique :

Hmmm, messieurs, si vous savez comme j'aime qu'on me tienne ainsi pour m'assaillir...

Oeil moqueur.

Dalton

dalton regarda la fille d'un mauvais œil puis se mit a fureter les moindres mouvement quand il aperçut un projectile qui filait vivement vers la duchesse. Dalton l’observa puis reconnut une flèche et cria

Attention flèche !! madame la duchesse décalez vous !!

Dalton se re-mit a courir pour parer la flèche de son bouclier et en même temps pour décaler la duchesse de la trajectoire de la flèche, ayant mal estimer la trajectoire de la flèche : la flèche passa en dessous de son bouclier pour que la flèche vienne ce planter dans le flanc gauche de dalton.

OUAAAAHHAAAAAAA

Dalton s’étala part terre

Valoche

A vos ordres mon général.

Val s'empare du tueur et dit Gavril avec moi

Puis elle se tourne vers le prisonnier

Ah nous deux Tu voulais faire ton malin et bien tu vas être servi Aller en route pour l'enfer

La capitaine accompagnée de Gavril se rend vite à la caserne mettre les fers à ce fils de catin
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Harles

Harles était plus loin et mit un peu plus de temps à arriver quand il entendit l'appel aux Hermines. Il courut vers ce qui semblait être une échauffourée, la main sur le pommeau de l'épée.

Il arriva sur place et vit que le capitaine comme le général était déjà sur place.

Un individu venait d'être appréhendé, le général donna ses ordres.

Le sergent ne voulait certainement pas le contredire, il demanda à son capitaine.

Je reste avec nos soldats autours de la duchesse, mon capitaine? Pendant que vous mettez au fer ce misérable?

Il pensa que cela permettrait à Valoche d'exécuter les ordres reçus.

Allez les gars, on obéit au général, en carré de protection autours de la duchesse !

Il sortit épée et se mit devant la duchesse, à deux mètres, puis fit signe à Boann et Lanna de se mettre autours de la duchesse également.

Kiklan

Présent discretement dans un coin de la salle, il avait vu la scène, avait été mortifié par l'attaque et était fier de ses compagnons ayant maitrisé les suspects.
Le général avait mobilisé toute les hermines, il faut montrer toute la puissance de notre compagnie!

Suivant son instinct de soldat, il se rapprocha discretement de la duchesse pour en assurer la sécurité. A moins de quelques pas de sa grace, il scruta les environs en quête d'un éventuel autre traitre...
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Kentoc’h mervel eget bezañ saotret!

Plutôt la mort que la souillure!

Valoche

Le tueur ficellé comme un saucisson, la capitaine se retourne et voit tous les regards braqués sur eux.

Oui laissons la cérémonie se déroulait normalement.
Boann allait plutôt ainsi que vos compagnons protéger la duchesse.

Ils s'éloignèrent un peu hors de vu de tout le monde
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Cassius

Le Comte sort de la primartiale légèrement plus tôt que la Duchesse, un homme est entres les mains de sa Compagnie, il s'approche de son Capitaine de section...

Valoche, prends quelques hommes et mets moi ce fils de catin aux fers!

Un signe au reste de la Compagnie et quelques paroles...

En carré de protection autours de la Duchesse, faites en sorte de mettre la foule à distance, soyez précis, rapide mais surtout faites cela en douceur, le but n'est pas de déstabiliser la cérémonie, même si on nous a pas attendu pour cela. Allez-y!
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Comté de Kervegon

Boann

Elle patrouille autour de l'Eglise depuis un bon moment déjà quand elle entend un cri. Un appel aux Hermines ! C'est Gavril ! Ni une, ni deux secondes de réflexion... Sortant immédiatement le fauchon de son fourreau, elle se met à courir pour faire le tour de l'imposante bâtisse et rejoindre le parvis, d'où semblent provenir des bruits de lutte. Le Capitaine Valoche est déjà là. Un homme semble en mauvaise posture, Gavril le plaquant au sol. Lanna est également près de lui. Parfait. L'individu est maîtrisé, dirait-on.

Elle continue d'avancer vers eux, l'arme à la main *regards à droite et à gauche, aux aguets, vérifiant qu'il n'y ait pas d'autres personnes mal intentionnées dans les parages*

Gavril

Gavril toujours sur le bonhomme, le pauvre, y devait pus respirait la dessous.. Enfin, en même temps, portant une dague attendant a l'entrée, un regard qui revenait pas a Gavril, il y avait peu de chance qu'il est interpellé un noble et qu'il ce soit trompé..

Quoi qu'il en soit, a trois, il était assez dans son sens pour le métriser totalement.. Il se releva en l'entrainant avec lui lui maintenant les bras dans le dos, il fit signe a Lanna de le fouillet et de le désarmer. pendant ce temps, tout en le tenant fermement, les mains tiré en arrière et son genoue dans son dos. Dans cette position, il ne devait normalement pas pouvoir bougé.. Il s'adresse alors au capitaine:

Mon capitaine, on va le mettre un peu a l'écars pour le reserver au général ? Et surtout pour évacuer un peu la scéne ?

Gavril regarda autour de lui, en plein sur le parvis.. Ils étaient pour le point pas discret.. Des badeaux les regardaient avec des gros yeux, sa devait surprendre, c'est sur..

Valoche

Val se devait d'être auprès de son général et de ses hommes et protéger Breiz hors c'était la duchesse qui représentait la Bretagne.

Val patrouille devant l'église, attentive à tout débordement et soudain un cri retentit

Citation:

Hermine! Aidez moi a maitriser cet homme!

La capitaine de seconde dizaine de l'hermine reconnait la voix de Gavril

Arrivée sur les lieux, Gavril et Lanna. avaient déjà attrapé l'individu.
Elle se précipite à leur secours et 'aide à maitriser l'homme

Celui-ci , très subtil se tortille dans tous les sens et Val remarque le manche d'un poignard à l'intérieur de son doublet.

Elle croise le regard de Gavril et de lanna. elle comprit qu'ils avait vu eux aussi

attachez le fortement, nous le remetrons aux mains des autorités.
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Lanna.

lanna rangea son épee puisque gavril le maintenant fermement ils ne risquait plus rien .Elle s'agenouilla et mis ses cheveux en arriere en commenca a ballader ses mains un peu partout sur l'homme.Elle ne s'entait rien.. bizard.. Elle ouvrit doucement sa veste et un bruit se fit entendre quelque chose avait percuter le sol.Un poignard assez grand avec un manche blanc en ivoire. Elle sourit et le ramassa doucement

arme trouvée mon capitaine...

elle lui montra le poignard et baissa les yeux vers le suspect

c'etait pour couper tes pommes je suppose?

La blonde fronca les sourcils en donnant l'arme au capitaine et lui souffla qu'elle allait pres de la duchesse afin de la proteger.
Elle lui sourit et grimpa les marche de la paroisse
Elle se posta devant l'entrée en observant chaque geste de la population ..on avait echapper a un incident il ne fallait pas que cela se reproduise
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Jamais sans son frère...´

Lanna.

La blonde avait recu les ordres du géneral proteger la duchesse.. Elle était contente enfin une mission meme si entre nous ce n'était pas grand chose .
Mais sa lui suffisait emplement.La seconde dizaine était a l'affut du moindre geste suspect. Lanna faisait des rondes accompagnée de sa louve Tessa et observait chaque personne..
Beaucoup de monde était venu écouter la duchesse .Il étaient presque tous empilé les uns sur les autres. Elle observait un homme qui etait entrain de voler dans la besace d'un autre ,elle allait faire un commentaire quand elle entendit les crit de Gavril .. Le blondinet elle l'aurait reconnu entre milles voix!Lanna appella tessa et accouru vers lui en le voyant plaquer au sol ,elle grimace et sortit son épee de son fourreau en la pointa a deux centimetre du visage de l'aggresseur. Tessa ,elle avait les babines retroussée et grognait sur l'individus. elle n'aurait pas hesiter une seconde a le mordre

ca va gavril? releve le et attachent ses mains si il bouge je le plante!
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Jamais sans son frère...´

Myrlin

Pauvre Bretagne songea le régent. Avec tous ces gens qui ne peuvent s'empêcher de vomir leur haine constamment. Il y a heureusement bien des Bretons qui ne se livrent pas à ces excès. Mais il suffit d'un fruit pourri pour gâcher tout un panier.
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''C'est la morale d'un peuple qui fait le crédit public'' (Chateaubriand)

Cassius

Le Montfort avait laissé faire le temps, voir si cette mascarade allait se terminer, mais rien, la Duchesse était bel et bien sans protection... Incroyable pour le symbole de Bretagne, à ce niveau quiconque pourrait la priver de sa vie...
L'un de ses Officiers était non loin de lui, il s'en approcha...

Va mobiliser les hommes de l'Hermine présents à l’extérieur, qu'ils protègent la Duchesse de Bretagne! Hâte-toi!

La réponse de l'Officier fut brève mais explicite

Immédiatement Général!
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Comté de Kervegon

Esmica

La jeune femme se leva et suivit tout le cortège pour assister à la suite de la cérémonie, la cérémonie druidique. Mais depuis le début quel scandale, quel honte pour Breizh, tout ces comportements de haine. Elle n'était pas l'amie de la Duchesse, mais des comportements ainsi, c'est une honte, c'est inacceptable.
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Vicomtesse de Pleuvihan
Procureur de Bretagne
Ex Mairesse de Reoz
Adjointe au Maire de Reoz

Gavril

Gavril étant membre de l'hermine devait être présent autour de son génèral au cas ou mais aussi pour protéger la bretagne s'il le fallait. Et la bretagne c'était aussi sa duchesse, il patrouillait dans une petite rue parallele, tout paraissait calme quand tout un coup..

Omibilisation a l'extérieur, il devait se passer quelque chose de grave, vieux reflexes qu'il tenait, il se mit a courir a toute vitesse vers le lieu de la cérémonie, c'était a a peine 30 secondes mais les plus longues secondes de sa vie. Arrivant au vue de l'entrée, il vit quelques badeaux attendant la sortie ducal si on pouvait dire, mais pas que..

En effet, Gavril avait une certaine expérience de la chose, due a son passé, dont seul le lieutenant était au courant.. Mais il ne lui fallut pas longtemps pour faire le tour de la situation et de voir a l'entrée un homme portant une dague dans son doublet.. Qui cela pouvait être, ordre ou pas odre de l'arréter, pas le temps, si ils étaient mobilisé c'était pour répondre a toute menace.. Il s'aprocha discrétement et a la foi rapidement, il ne savait pas quand la céréonie pourrait se finir.. Agir vite était de mesure, l'homme avait l'air bien concentrée sur l'entrée ce qui l'arrengeait pour tout dire.

Arrivé a faible distance, il éxécuta un petit sprint, lui sauta dessus pour le plaquer au sol.. L'effet de surprise ne pouvait être paré.. Utilisant tout son poid, Gavril le maintient au sol et surtout ses mains. Cela donné une position peu glamour et noble, mais au moins la personne était maitriser, il s'exprima a forte voix pour attirer ses compagnons:

Hermine! Aidez moi a maitriser cet homme!

Gavril le tener au sol devant le parvis, il éspérait qu'ils auraient clarifier la situation avant la sortie du cortége, pas envie de se montrer ainssi devant ce beau monde.. Pauvre Bretagne..

--Flippant

Un petit malin l'avait doublé en lui piquant son idée, le pauvre bougre l'avait payé de sa vie.Finalement le plan était pas le bon mais maintenant elle allait sortir, de nouveau et seule. Personne ne semblait protéger la Duchesse et personne n'en avait envie visiblement, Mince mince, ça va être trop facile, finalement.A se demander si les hommes en armes qui étaient présents avaient pas le même plan que lui.Il était resté à la porte de l'édifice et n'avait rien raté de tout cela. Elle arrivait doucement, il riait intérieurement, il allait tuer avec complicité des Bretons. Ca, ça valait tout l'or du monde et même si il y perdait la vie parceque un trouverait l'envie de lui crever le bidon pour sauver l'honneur, ca resterait lui l'assassin de la Duchesse et eux tous les complices. Bien fier de pas être Breton tiens et vive mes terres du Sud !

--Mary_la_catin

Douchka a écrit:

Puis elle s'arrêta, là où la jeteuse de légumes avait été stoppée et maitrisée. Elle plongea ses yeux dans les siens puis murmura :
Je ne sais qui vous a payé, mais retenez une chose, n'agissez jamais que pour ce que vous croyez être juste, jamais sur les propos d'une autre qui vous fera croire que c'est juste.

Mary, entre deux gardes, éclata d'un rire franc :

Je vais vous décevoir... personne ne m'a payée... et j'ai agi en raison de ce que je crois injuste... ou en l'occurence... inacceptable.

Elle baissa les yeux sur le corps à demi dénudé, puis se lécha les lèvres avec provocation.

Hrolf

Hrolf accompagné de son épouse Mary avait décidé d'aller assister à la cérémonie d'investiture de la nouvelle Duchesse.

Il fut très surpris de la voir apparaitre quasiment dans le plus simple appareil mias bon venant d'elle plus rien ne l'étonnait. Se tournant vers Mary il lui souffla

Mary ... je crois que le ton de ce mandat est donné ! profitons du spectacle ou plutôt de cette comédie !

Sagement Mary et Hrolf se mirent dans un coin et regardèrent ...
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Chikaka10

La baronne était là depuis un moment mais était restée sur le parvis, attendant que sa quinte de toux cesse afin de faire son entrée. Vu le brouhaha dans la Primatiale, il devait se passer quelque chose. Buvant un peu d'eau, pour la soulager un peu, elle put enfin entrer.

Cherchant un endroit libre pour s'installer, elle vit Horlf et Mary installée, elle se dirigea d'un pas fragile et s'installa près d'eux. Ensuite son regard se porta vers la duchesse... et là... Par Aristote ! Quel scandale !

Les paroles d'Horlf n'était que judicieuse. Pour lui répondre...

Je ne dirai que deux mots... Pauvre Breizh !
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Douchka

Douchka qui avait remarqué l'absence du capitaine de Bretagne sur le banc du Conseil, remarqua par là même qu'aucune personne de l'Ost n'avait eu d'ordre de la protéger et qu'aucun ne le ferait.

Heureusement que le lieu, les clercs et Monseigneur Hugo avaient eux, des gens fidèles et respectueux de leur charge.

Hugo lui remit la couronne rapidement comme pour se débarrasser de ce calvaire qu'il semblait subir.

Elle portait la tête droite et cette couronne la grandissait de quelques centimètres non négligeables.

A peine Hugo avait il fini son office que Killdragon l'enveloppait de sa cape. Elle ne sentait pas le froid pourtant. Elle comprit à son regard que lui non plus n'en pouvait plus.

Elle remercia Hugo d'un regard chaleureux ainsi que killdragon de l'attention qu'il venait de lui porter.

Elle prit l'allée dans le cortège, seule, pour rejoindre le grand chêne,drapée dans cette cape bien trop grande.

Elle n'entendait plus rien, le regard fixe,ni les vomissures, ni les silences lourds, elle ne recevait aucune image des regards haineux, des statiques, des abandons, même de ceux qu'elle pensait les plus proches, elle avançait vers le grand chêne, elle continuait à suivre le rythme de la tradition.

Puis elle s'arrêta, là où la jeteuse de légumes avait été stoppée et maitrisée. Elle plongea ses yeux dans les siens puis murmura :
Je ne sais qui vous a payé, mais retenez une chose, n'agissez jamais que pour ce que vous croyez être juste, jamais sur les propos d'une autre qui vous fera croire que c'est juste.

Elle reprit sa marche lente, ne craignant rien de plus que ce qui était arrivée jusqu'à maintenant, de toutes façons elle comprenait à l'instant qu'elle aurait à l'affronter seule, quoi qu'il arrive.

Si, elle, elle ne respectait pas la Bretagne d'après ce qu'ils pensaient, alors que dire de ce capitaine fraichement élu qui ne se déplaçait pas et ne donnait aucun ordre pour le bon déroulement de la cérémonie.

Mais non, elle ne dirait rien.

Pour eux, elle était seule fautive, eux avaient tous les droits.

Elle avait pourtant pris cette place de Duchesse par leur bêtise mais ce serait à elle de le payer, encore une fois.

Il n'y avait plus grand chose à penser de tout cela, triste constat, triste parti pris, triste Bretagne ...

Avance Douchka, avance ...
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Roxannemontfortlaval

Roxanne embrassa affectueusement sa tante, heureuse de la revoir. Elle ne put qu'entendre les paroles de la tantine mais ne releva pas. Son coeur se broyait doucement, sachant son grand-oncle au plus mal. D'ailleurs, à Retz, elle se savait attendue à son chevet. Elle irait rejoindre Marzina après la cérémonie. Enfin. Cette parodie de cérémonie.
D'instinct, le regard de la gonfanonier des Trente se tourne vers son Maréchal et son Sénéchal. Leurs mines sont éloquentes mais la jeune femme ne bouge pas d'un iota. Son office à elle, est de protéger le Grand-Duc. Ses grisailles croisent le regard de l'inconnu près de son futur oncle et elle le salue d'un léger signe de tête pensant qu'il allait s'éloigner. Bien dommage d'ailleurs mais bon lui apparemment n'est point un noble et n'a pas obligation d'assister à ce pugilat.

Quel triste spectacle que pour Breizh se dit la jeune Montfort. Même si à titre personnel, elle n'estime pas Douchka, elle garde respect pour la fonction ducale et ne cautionne pas ce qui est en train de se passer actuellement.
Il est certain que jamais un grand-duc, quelqu'il soit d'ailleurs, ne se serait retrouvé dans telle situation. Il y aurait déjà belle lurette que les Trente auraient mis la main sur les fauteurs de trouble et sécurisé le périmètre. Un regard sur son cousin Killdragon à qui elle n'envie pas l'office en ce jour.

Puis un sourire à l'oncle Jack et à la tantine, s'excusant auprès d'eux.

Je vais assister à la cérémonie druidique.

En passant devant l'inconnu près de son oncle, la future Scelaig qui est sur le point de commencer sa formation avec l'une des Druidesses, lui adresse quelques mots, suivi d'un sourire.

Vous devriez venir, c'est un moment qui vous transporte et vous fait communier avec cette terre de Breizh.
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Lolias

Lolias n'est là que pour voir l'office des Druides. C'est "ça" qui l'intéresse.
Elle est posée sur son séant les gravillon lui gratouillent la peau faute de coussin. Elle envie l'intérieur, les hauts rangs du premier rang... Mais elle est loin de tous ça.
Elle ne connait Douchka que parce que la nouvelle duchesse a été maire de sa ville.
Mais, la pauvre Lolias a ouïe dire qu'aucun passage d'épée n'aura lieu...

- Qu'est ce qu'on peut faire pour mériter ça ? ÇA c'est de l'éffront, ça vaut bien mille tomates ! D'ailleurs jeter des tomates... En plein mois d'Avril, c'est déjà une chance d'en avoir ! Alors les jeter... Pfff maugrée-t-elle.

Elle n'a donc qu'une investiture décriée à regarder. Écouter les pailleries, regarder les courses folles, et les nuderies, au début le temps passait sans faire parler de lui, mais là il se fait lourd...

Pouilloux

Pouilloux passe devant la duchesse du poudouvre, la grognasse de service.La renarde dans sa plus belle bassesse.

Toujours en train de Maudire Duchesse? Votre vie doit être tellement d'une piètre qualité pour y consacrer autant de temps à dire du mal de ceux qui vous entourent. Est-ce cela la philosie druidique?

Il la regarde et lui montre sa bouche; Je crois bien que vous êtes en train de baver Duchesse...

Pouilloux sort suivre la fin de la cérémonie, avec un véritable druide, qui pense avant tout aux symbole de la Bretagne qu'a ses propres intérêt. Il apperçoit Oban, et lui souhaite une fin de cérémonie plus digne pour la Bretagne et ses symboles.
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Coldtracker

Il était écœuré par cette scène, il n'avait jamais vu pareille investiture....

Il ne fit aucun signe à ses hommes et ne bougea pas d'un iota même s'il était scandalisé par la tenue de la duchesse comme par la gueuse lanceuse de ...

De quoi au fait....?

hrp: après la maïs qui n'existait pas à l'époque, on les tomates, de mieux en mieux...
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Une guerre à mener?De Morrigan-Montfort à vostre service...

Lallie_ap_maelweg

La Duchesse de sourire, elle n'avait semble-t-il rien a envier de sa verve à celui qui osait lui adresser la parole sans y avoir été invité. Elle connaissait l'homme pour l'avoir vu à l’œuvre et elle savait qu'il était de ceux que l'on endoctrinait facilement lorsqu'un statut social ou un poste était à la clé. Elle connaissait les bienfaits que ce bon vieux Clode avait pour lui et elle n'ignorait en rien ce qui avait été proféré sur son compte dans les sacrosaintes

Il était pourtant bien triste de constater qu'un homme d'Eglise était incapable de faire la différence entre un constat et l'action de maudire. C'était d'autant plus grave qu'elle avait eu vent de son ordination et le voilà qui se permettait lui, pauvre petit être insignifiant dénué de spiritualité et de respect, nier son statut ? Si elle n'était pas aussi bien éduquée elle l'aurait bien vite remis en place comme elle avait su le faire en d'autres lieux. Mais elle savait où elle était pour sa part, aussi ne répondit-elle rien. C'était d'ailleurs qui bavait.

Elle suivit le mouvement et se leva pour rejoindre le chêne.
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Secate

La Cadette était choquée...choquée de l'attitude de certaines personnes, ces personnes qui dénigraient non pas la personne mais la fonction de Duchesse. Etait-ce cela la Bretagne maintenant? C'était pitoyable.... Secate avait presque honte d'être bretonne.

Des tomates volaient, la Duchesse était visée. La jeune fille avait beau chercher du regard qui l'avait fait, impossible de savoir.

Mais ca y est, elle venait de voir le visage de l'envoyeur, il s'agissait d'une femme. D'un coup d'oeil vers le Vidame, elle compris qu'elle avait autorisation de l'intercepter; mais surtout éviter tout esclandre.

La jeune fille s'éloigna donc, à pas rapide mais sans non plus courir; l'ambiance n'était déjà pas bonne, il était inutile d'alerter tout le monde.
C'est très rapidement qu'elle rejoignit le fond de la Primatiale, le responsable était déjà intercepté.
D'un sourire au soldat qu'elle reconnu comme le Maire de Rieux qu'elle avait croisé, ils l'entrainèrent hors du lieu Saint, non sans ménagement.

Sans un mot, main sur la garde de son épée qu'elle avait pû garder, elle bloquait la femme contre le mur, attendant que le Vidame vienne s'occuper de son cas.
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Olixius

Oli restait là, sans rien dire, partageant le sentiment général, totalement affligé par le spectacle proposé.

Il entendit les leçons de morale proférées par celle qui vantait quelques années auparavant les bordels de Vannes. C'est vrai qu'elle s'y connaissait rudement bien en putains, la vannetaise.

Regard sur Niark qui rigolait, sans se rendre compte que c'était tout l'édifice de la Bretagne qui chancelait.

Le briochin se demandait combien de mariages, combien d'investitures avaient eu droit à un tel traitement en Bretagne. Une tomate avait été jetée sur la Duchesse, et il y en avaient tout de même pour justifier l'acte. Il sentait la colère monter en lui, mais la contenait.

Il fallait que cette cérémonie se termine coûte que coûte. Et que la Duchesse Douchka termine tant bien que mal son règne.
Elle avait été élue Duchesse par ceux qui avaient étés élus par le peuple breton. Elle était la Duchesse de Bretagne.
Lui jeter une tomate dessus, c'était souiller la Bretagne, point barre.
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Blackbird

Après l'intervention d'Hugo, la cérémonie pouvait poursuivre et suivre sont cours, jusqu'à ce qu'une deuxième tomate soit lancée, atterrissant tout droit sur la duchesse en pleine investiture.

Erwin jeta un œil à Jack et aux deux femmes l'entourant, il soupira, affligé d'une telle mascarade, rappelant les plus mauvaises pièces de théâtre. Il ne pouvait s'empêcher de sourire de l'attitude de la duchesse, totalement inattendue. Puis arriva au comble de l'agacement lorsque la foule se décida a signaler son mécontentement concernant l'attitude de la catin, alors qu'ils l'avaient tous contenu en messe basse à l'arrivée de la duchesse, qui apparemment rappelait de par sa tenue, la précédente. Seule Lallie resta selon Erwin, lucide et juste dans son discours.

L'ex pirate se retourna quand il ressentit les mouvements de foule, provoqués par la garde, qui avait été sommée d'agir à l'encontre de la putain. Bien que ne soutenant pas ses agissements, car sensible au respect dû à l'Eglise malgré ses convictions, Erwin fut désolé de la situation de la putain, pourchassé par plusieurs hommes armés, qui, représentant la justice, le bien, et donc le respect des valeurs, s'attaquaient à une femme désarmée, vulnérable de par son rang, alors qu'eux mêmes semblaient gênés de l'attitude de la duchesse, et ne l'avaient nullement manifesté, même avec respect, peu importe, rien ne leur interdisait.

Erwin ne dit rien, jugeant qu'il n'avait rien à dire ou à faire, cependant il adressa un signe de tête à Jack comme pour lui dire à plus tard, et salua les deux femmes, Mimilia, et sa nièce. Il s’apprêtait à quitter les lieux, lorsque il aperçut Melancovic, il lui adressa un signe de tête respectueux, assez content de le voir, il espérait pouvoir discuter avec lui plus tard. A ce moment Hugo s'apprêtait à poursuivre la cérémonie, ce qui nécessiterait le mouvement de la foule. Après courte réflexion, le jeune homme décida donc de rester, pensant mais surtout espérant que la suite serait calme et brève, se disant qu'après tout en tant que nouveau citoyen breton depuis quelques mois, il allait de son devoir de suivre un évènement d'une telle importance. Sens du devoir qu'il avait acquis par le passé, bien que le sens du devoir pirate soit bien différent, cette vie lui avait inculqué des valeurs qu'il voulait appliquer à cette nouvelle vie, regrettant la franchise pirate, et déplorant la superficialité, le scandale, et l'hypocrisie qu'il constatait et se faisant la réflexion que ce n'étaient pas les valeurs ou le sens du devoir qui séparait ces deux mondes, comme le monde "civilisé" voulait bien l'entendre, mais la manière de vivre et de penser. A chacun de juger laquelle lui convenait, mais dans l'esprit d'Erwin, étaient actuellement l'incompréhension et l'interrogation qui régnaient

Etait-ce la la Bretagne dont sa mère, elle même bretonne lui faisait l'éloge durant toute ses années ? Il se disait qu'elle serait très certainement surprise voire déçue si encore de ce monde.
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--Mary_la_catin

HRP : Excusez-moi LJD Mike.de.naueriels et Killdragon, j'ai commencé à répondre juste après l'intervention d'Aanor, vous n'aviez pas encore publié vos réponses quand je rédigeais mon post ! C'était involontaire

Du coup, merci de ne pas prendre en compte mon post précédent, si la censure voulait bien le supprimer ça serait chouette.

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Killdragon a écrit:

Il évita le projectile rouge qui vint s'écraser sur la gorge de la Duchesse.

Mais cette fois-ci, il avait vu d'où cela venait. Il fit signe à Secate d'aller intercepter la gueuse puis se précipita vers elle, l'emmenant manu militari vers la grande porte.

Cette fois-ci, cela ne restera pas impuni. Au pilori! Vous aimez les tomates? Vous allez pouvoir les apprécier et que ceci serve d'exemple! Vous êtes dans un lieu Saint, pas dans un Lupanar de bas étage!

Elle avait réussi à le faire sortir de ses gonds. Killdragon était pourtant connu pour son calme Olympien, mais là s'en était trop. Bafouer une Primatiale sans respecter ni le lieu, ni ses protecteurs était déjà une atteinte à la religion Aristotélicienne. Ne pas respecter la fonction d'une duchesse aussi peu dévêtue soit-elle était également gravissime.

Il ordonna à deux gardes de l'emmener à l'extérieur pour la mettre au pilori, la foule pourrait ainsi se défouler le temps de l'investiture.

Mary se sentit attrappée sans ménagement par deux gardes costauds... Flûte, elle n'avait pas été assez rapide. Elle entendit un homme donner ses ordres d'une voix fort fâchée, et on la traina vers l'extérieur de l'église.

Au pilori ? Bon, c'était une punition honnête.

Mary ricana toute de même intérieurement. Se prendre des tomates quand on est catin, ce n'est pas grave. Se prendre une tomate lors de son couronnement de Duchesse... haha.

Mike.de.naueriels

(je sais pas celle que je menace avec une dague et qui parte un panier de tomate pourie non ?

)
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Maire de Rieux et Connétable de Bretagne.

Lallie_ap_maelweg

La Duchesse de Poudouvre avait quitté la foule amassée dehors pour rejoindre les bancs de l'église à la place que l'on réservait d'ordinaire à la noblesse. Elle avait perçu les regards outrés de certains partisans qui ne jugeaient visiblement pas scandaleux qu'en 1460 une femme pénètre un lieu de culte vêtue comme une racoleuse de bordel. Ainsi donc l'insulte faite à l'Eglise, aux druides, aux bretons et au caractère solennel d'un tel évènement ne justifiait pas la colère des insultés ? C'était amusant.

Une énième tomate vola et vint s'écraser cette fois sans peine sur la Duchesse. Comble de l'indécence cette dernière se pourléchait les doigts avec provocation et lubricité. L'ancienne Vicomtesse s'était dressée à une vitesse impressionnante pour hurler au scandale. Quand elle eut terminé, notre héroïne ne pu retenir une parole sans élever toutefois le ton, il n'était pas utile en des lieux où le son était propagé avec facilité.

- Pour mériter le respect la fonction ducale aurait du revêtir, si je puis me permettre, un peu plus de décence. A quelle mascarade assistons-nous je vous le demande ? Quelle femme occupant pareille fonction peut bien oser ridiculiser et moquer une investiture en livrant aux vues de tous croupe et gorge ? Faut-il que nous lui jetions quelques piécettes ? C'est à se demander où nous sommes.

Désignant l'endroit occupé quelques secondes plus tôt par la lanceuse de fruits pourris.

- Que se soit cette gueuse ou celle-ci, désignant alors la Putain de Bretagne (R), aucune des deux n'a de respect pour ce lieu. Alors de grâce, au lieu d'intervenir laisser cette parodie de cérémonie se terminer que chacun puisse retourner à ses occupations car la convenance et le devoir nous oblige à rester sis. Épargnez nos âmes et écourter ce supplice, Monseigneur Hugo poursuivez par pitié.
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Niark

S'accroche avec force au bras de Pelotine qui l'a rejoins de nouveau... Étouffant son rire dans sa main à grand mal.
Rire qui disparaît bien vite, on ne peux plus rire de cette idiote situation il faut croire.
L'image de la Bretagne, un manque de respect, et voila que les grands mots peuvent, d'ailleurs il reconnait la brune qui intervient, elle intervient d'ailleurs souvent si le rat ne se trompe pas.
Mais bon la n'est pas le problème, le tout devient de plus en plus une farce, au lieu que les gardes s'occupent de la catin, et l'envois au fond d'une geôle, les gens s'esclaffe, les leçons de moral pleuvent et le rat en passe.
La noblesse fait son apparition, des grands mots, de grands esprits surement.

Mais bon, au lieu de tout ça, si la garde Épiscopale, faisait son travail aussi, d'ailleurs pourquoi ce n'était pas l'Ost ? M'enfin pas grave, juste décevant, pour une fois qu'on pouvait lui donner une mission à faire et une mission prestigieuse.
En tout cas, tout cela aurait très vite pu prendre fin, mais non les gens préfère palabré qu'agir.
Lui ne fera rien, il préfère le cocasse de la situation et il n'a rien à dire, rien à faire, c'est pas son rôle.
Et puis les hommes d'Armes de Cholet on autre chose à faire que prendre le travail d'autre hommes d'Armes, ça risquait de tourner au règlement de compte, mais bon chacun a sa place !

Ce qui est drôle dans tout ça, c'est que les mauvaise langues penseront tout de suite que c'est un coup monté... Ce qui amusa le rat, car la logique peut être tournée dans un sens plus logique durons nous.
Une catin, une tomate, un gros risque, une garde qui ne bouge pas, un geste passible de la peine de mort, voir pire, torture et tout le tsoin tsoin, oublions pas qu'on est en 1460 !
Donc une catin fait un geste passible de lui coûter plus que cher, tout cela pour de l'argent.
Idiot, mourir pour de l'argent, stupide idée ! Surtout qu'elle ne fait rien pour rester discrète, si la garde avait été réactive, elle aurait passé un sale moment pas de doute.
Mais par chance elle réussi à s'enfuir, mais pas chance uniquement.
Donc si quelqu'un est prêt à accepter quelques pièces pour risquer sa vie, chapeau bas au commanditaire pour l'avoir trouvée.

En tout cas la scène était drôle, choquante, tout ce que le Rat aime voir.
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Killdragon

La situation devenait absurde et particulièrement déplaisante.

Kill se demandait ce qu'il faisait là. Il donnait des ordres tout en cogitant, l'esprit troublé. La GE n'avait pas vocation à protéger la Duchesse qui était sensé avoir sa propre grade rapprochée.

Monseigneur Hugo avait demandé à la Garde Episcopale d'être présente pour protéger la Primatiale, sa personne et les clercs s'y trouvant.

Des regards noirs. Des incompréhensions...

Comment une poignée de gardes pouvait-elle contenir une foule aussi nombreuse et agitée? Le Vidame de Bretagne se demandait surtout ce que faisaient les osts de Bretagne, car jouer les méchants milites qui servent de cible n'était pas son rôle.

Il avait raté le premier jet de tomate, n'étant pas dans le secteur à ce moment là, mais il vit partir le deuxième comme un mini boulet de canon, dans sa direction qui plus est!

Il évita le projectile rouge qui vint s'écraser sur la gorge de la Duchesse.

Mais cette fois-ci, il avait vu d'où cela venait. Il fit signe à Secate d'aller intercepter la gueuse puis se précipita vers elle, l'emmenant manu militari vers la grande porte.

Cette fois-ci, cela ne restera pas impuni. Au pilori! Vous aimez les tomates? Vous allez pouvoir les apprécier et que ceci serve d'exemple! Vous êtes dans un lieu Saint, pas dans un Lupanar de bas étage!

Elle avait réussi à le faire sortir de ses gonds. Killdragon était pourtant connu pour son calme Olympien, mais là s'en était trop. Bafouer une Primatiale sans respecter ni le lieu, ni ses protecteurs était déjà une atteinte à la religion Aristotélicienne. Ne pas respecter la fonction d'une duchesse aussi peu dévêtue soit-elle était également gravissime.

Il ordonna à deux gardes de l'emmener à l'extérieur pour la mettre au pilori, la foule pourrait ainsi se défouler le temps de l'investiture.

Le Vidame de Bretagne commençait à se demander si il n'allait pas faire appel à l'Ordre Teutonique et aux Chevaliers Francs pour contenir cette foule indisciplinée, du moins pour ceux qui l'étaient.

Pourquoi est-ce qu'il fallait toujours que cela tombe sur lui? Cela lui rappela l'arrestation du Duc Riwan quand il était Prévôt de Bretagne dans le bordel de Vannes...

Il retira sa cape et la proposa à la Duchesse. Il pensait que la tenue qualifiée d'indécente de cette dernière n'était pas de mise dans une Primatiale, et en écoutant les réactions de certains, il se dit qu'il fallait pallier à la situation, en espérant que la Duchesse accepte. Il tenta néanmoins de le faire avec tact.

Tenez Vostre Grâce, ceci vous empêchera de ne point prendre froid...

La cérémonie dans la Primatiale touchant à sa fin, et le cortège se mettant en route, Monseigneur Killdragon poussa un soupir de soulagement en regardant Monseigneur Hugo.

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Mike.de.naueriels

En voyant la tomate s'écrasé sur la duchesse, le duchesse de Breizh ! Il se leva furibond et se dirigea dans la foule pour trouvé la lanceuse qui souillait la Bretagne par ce geste. Le connétable était certe dans la liste adverse mais il y avait des choses qu'on ne peut tolérer..Il chercha des yeux celle qu'il avait cru entrevoir un instant avant le lancé...Il bouscula plusieurs personne en traversant la foule et s'excusa à sa manière.

Pardon.

Il continua sa traversé et vit une femme qui portait un panier remplis de tomate avariée..et ce en même temps que dame Aanor....

Elle est là !!!!!

Il la coursa et parvint à sa hauteur, dague à la main et l'air menacent..

On ne bouge pas...
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Maire de Rieux et Connétable de Bretagne.

Aanor

Trop c'est trop... La blonde confie sa progéniture à sa dame de compagnie et se lève. D'un doigt elle désigne la putain.

Suffit! Nous sommes pas dans votre bordel! Ce n'est peut être pas votre élue mais elle est élue du peuple de Bretagne et à ce titre elle doit être respectée. Qu'importe qu'elle vienne ici en haillon ou grand apparat... Nous sommes dans la maison du Très Haut et vous n'avez de respect, ni pour lui, ni pour l'élue qu'elle est, ni pour la fonction qu'elle représente... vous n'avez donc rien à faire icelieu !

Aux gardes...

Et vous qu'attendez vous pour mettre cette putain dehors ? Qu'elle aille lui planter une dague dans la chair ? Ou le spectacle pitoyable qu'elle nous présente vous délecte-t-il ?

Au père Hugo

Je suis désolée mon père... loin de moi l'envie de vous interrompre mais moi ce que je trouve indécent aujourd'hui ce n'est pas la tenue de la duchesse mais bien plus le sort qu'on lui réserve aujourd'hui et la complaisance d'une partie de l'assemblée face à cette situation... Est-ce cela aujourd'hui la Bretagne ? Une bataille d'égo ? Vous n'aimez pas Duchka... mais aujourd'hui en lui manquant de respect icelieu, que ce soit cette putain avec son jet de tomate, ou simplement vous qui riez de la situation... vous manquez de respect à la fonction ducale que nous honorons aujourd'hui.

Sa fille s'est réveillée et commence à se manifester. Elle se rassoit et la prend contre elle mais à bien du mal à la calmer étant elle même en surplus d'adrénaline. Elle ajoute, toujours sur le coup de l'indignation, à sa dame de compagnie, à voix super basse... qui ne peut donc n'être entendu que d'elle.

En voilà une qui a du être payée par la comtesse que ça ne m'étonnerait pas... c'est une histoire de famille de s'en prendre aux élus avec lesquels on est en désaccord... quoi que prendre une putain est en soit plus malin et plus discret que de tuer par la lame et de vouloir ensuite faire passer ça pour un suicide... j'espère que le jeune héritier du Trégor, qui me fait jusqu'alors bonne impression, n'a pas hérité de ce trait de caractère de ses parents.

edit pour corriger les fautes
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Cassius

La scène était pitoyable, nul ne devait ridiculiser une Duchesse de Bretagne ainsi, quelque soit le ressenti à son encontre et doué sait que le Montfort n'était point partisan formel de la nouvelle Duchesse. Mais l'image était sali par ce geste, la Bretagne était sali, il n'en fallait pas plus au Comte pour trouver la scène scandaleuse, la gueuse devait être puni par la peine la plus lourde qu'il soit.

Son regard se posa sur les gardes qui pour le moment n'agissaient point, la sécurité Ducale laissait à désirer... Quelques hommes du Montfort étaient présents au sein de la primartiale, d'un simple geste, ils mettraient la femme aux fers, mais il laissa la garde Ducale agir, il n'était point là pour veiller à la sécurité des lieux.
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Comté de Kervegon

Pelotine.

Le banc tremblait , non pas de peur , ni de honte , mais du rire du sénéchal a ses cotés.
Les yeux toujours rivés au sol , Pelotine ose relever la tête , par curiosité , elle veut savoir ce qui fait autant rire son ami.
Et en effet il y a de quoi rire ... ou pleurer.

Aucune réaction ne se manifeste chez l'ancienne Baronne , elle observe , toujours aussi choquée , sans voix , ne comprenant vraiment pas comment une investiture pouvait se passer ainsi.
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Hugo.

Le spectacle continuait, le Prélat voyait le garde lui faire les beaux yeux pour aller arrêter l’élément perturbateur.
Il lui fit signe d'aller s'en charger, nul doute que les Gardes allaient faire le nécessaire.
Il allait maintenant faire signe au clerc d'aller chercher la couronne qu'il apportait sur un coussin. Il lui présenta la couronne ducale, au prélat qui s’en saisi. S'approchant de Douchka et mettant la couronne juste au dessus de la Duchesse, il dit d'une voie forte et audible.

Au nom du Très-Haut, père de l'humanité, de ses archanges et de ses saints, au nom de ses prophètes, Aristote et Christos... Au nom des sept saints fondateurs de la Bretagne, St Brieg, St Tugdual, St Pol Aurélien ou de Leon , St Patern, St Kaouritin, St Samsom et St Malo, je te béni toi, Douchka, que tes actes restent dans le droit chemin du Très Haut et qu'ils profitent au plus grand nombre, aux plus forts, comme au plus faibles.

Puis le Prélat posa la couronne sur la tête de Douchka, se recula et dit.

Relèves-toi Douchka, Duchesse de Bretagne !

La laissant se relever, le Prélat prit la direction des conseillers Ducaux, encensoir à la main il la fit répandre autour d'eux en disant d'une voie forte.

Au nom du Très-Haut, père de l'humanité, de ses archanges et de ses saint, au nom de ses prophètes, Aristote et Christos... je te béni conseil ducal de Bretagne, Que tes actes restent dans le droit chemin du Très Haut et qu'ils profitent au plus grand nombre, au plus forts, comme au plus faibles.

Diantre ! Ils avaient bien besoin de la bénédiction, ça n'était pas de trop !
Le Prélat était soulagé d'en avoir enfin terminé ! Habituellement ça ne le dérangeait pas, mais il n'avait à cette heure qu'un souhait, c'était d'arrêter le cirque !
Il déclara donc la suite de la cérémonie.

Bien je vous invite à vous rendre sous le vieux chêne pour la remise de l'épée par les Druides !

C'est ainsi que ça se terminait, il fit signe qu'on lui apporte sa mitre et sa crosse.
Laissant le cortège des prêtres se faire, il fit signe de lancer le grand orgue, le petit orgue et la chorale.

Sur toi, ô Très Haut, je m'appuie,
Ne laisse pas triompher notre ennemi,
Cette créature sans nom qui veut notre malheur,
Malgré le péché qui est au fond de nos cœurs

Epargne-moi,
Je suis prêt à suivre tes voies.
Fais moi connaitre la route
Qui fera disparaître mes doutes.

Rappelle ta tendresse.
Oublie les péchés de ma jeunesse,
Ne m'oublie pas dans ton amitié,
Aies pitié.

Ne me laisse pas orphelin,
Toi qui montre le chemin,
Aux pauvres l'amour et la vérité,
La justice à ceux qui ont péché.

En Toi nous avons un défenseur,
Dans l'attente du soleil radieux.
Moi qui ne suis qu'un misérable,
Que ton soutien me soit agréable.

Vois ta création qui est en guerre
Protège moi ainsi que mes sœurs et frères,
Aide nous dans la détresse
Supprime de nos cœurs toute faiblesse.

Mais délivre nous de la haine,
Donne nous des pensées saines
De toutes angoisses libère nous.
Ô Très-Haut, veille sur nous.

Pendant le chant, les clercs descendaient la nef, le Prélat prenait le temps de remercier d'un signe de la main le Vidame pour sa présence avec ses gardes qui étaient plus qu'utile pour maintenir le bon ordre.
Le cortège avançait bien, il était temps pour lui de fermer la marche et de se rendre au vieux chêne afin de suivre la fin de l'investiture.
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--Mary_la_catin

Perplexité... lançait-elle si mal que ça? Il lui semblait avoir visé le garde À COTE de la Duchesse... !

Et bien, en tout cas, la voilà toute tâchée. Ca lui cache un peu la gorge... C'était résolument un bon lancer, finalement.

Mary sauta de sa chaise et, avec un éclat de rire, se précipita dans la foule en direction des portes.

Et puis là, devant elle, deux grands gardes, baraqués, et l'air pas content du tout.

Ho, ho.

(Parce que ce PNJ est là pour lancer de l'interaction, moi, je n'attends que ça, que les gardes lui courent après ou que quelqu'un la gifle ou la fasse tomber, qu'elle soit attrappée, battue, et collée au pilori pour l'exemple...

)

Niark

Amusé le Rat ?! Ma foi il était temps, depuis que Pelouse était parti, quittant la nef et la compagnie du rat au passage, il se sentait bien seul, au milieu des conseillers ducaux qui avaient fait le déplacement.
Et puis il s'ennuyait, écoutant le sermon de père Hugo, un sermon juste mais pas amusant, un sermon d'occasion mais bon...
Les rats sont de nature à aimer s'amuser, à se moquer, à rire et à colporter des mala... Et à aimer la vie sociale quoi.
Mais la c'était vraiment d'un ennuiiiiiii !

Mais c'est à ce moment, le rat baillant à se décrocher la mâchoire, que les prunelles de la Duchesse se tournaient vers lui, vers eux, vers les membres de son conseille.
Zoupla, une main vient vite cacher le fond de sa gorge, quand une belle tomate bien rouge, bien mûre, goûtant dans sa voltige acrobatique, s'arrêta net, propre, en pleins sur la Duchesse.
Quelques seconde de silence, les mouvements en suspend, avant que le rire du Rat n'éclate dans la pièce, résonant au milieu du silence.
Seul au fond un autre rire ce faisait entendre en même temps, celui d'une pauvre femme, sale, mal fagoté, surement la coupable de ce geste, car elle fuyait la scène du crime.
Quoi que, déjà des hommes armes ce jetait sur elle pour la maîtriser.

Hilare qu'il était le rat, avant que le rouge de gêne ne lui monte aux joue, jetant un regard vers la Duchesse, les yeux lui demandant de l'excuser, mais la scène était vraiment drôle non ??!!
C'est donc, main devant la bouche, essayant de ce contenir, que le rat se cala dans le fond de son fauteuil, essayant de retenir son fou rire à grand peine, les yeux humide de larmes.

Il voulait rire et s'amuser, il était servi !

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Olixius

Edit : Argh, bon, bé, histoire de ne pas l'avoir tapé pour rien, je le laisse, grumph, mais juste comme ça car il faut se référer au post précédent. (la censure pourra le modérer sans justification si elle le juge nécessaire)

Le briochin était là, il observait, il notait, il pensait. L'ambiance était tendue, c'était peu de le dire. Et d'ailleurs, il ne disait rien.

Madcat, femme qu'il avait toujours apprécié alors qu'ils étaient tous les deux maires se présenta à l'entrée de l'église. Dans l'entrebâillement de la grande porte, il vit Liocea à l'extérieur. Un jour, il faudrait qu'il aille la chercher par la main pour qu'elle entre dans ce genre d'endroits et de cérémonies.

Retour sur Madcat qui s'infiltrait dans un rang, le briochin se leva discrètement pour lui permettre de passer et de rejoindre ses amies, quelques hésitations avant de se rassoir, un coup d'oeil vers l'arrière de la nef, et

SPLOTCHHH !!!!

Une belle rouge dans la face. Belle ? Non, hideuse.
Le visage empourpré, le briochain écarta la chair rouge du fruit de ses yeux et regarda. La même catin que celle qu'il avait remarqué avant la cérémonie. Regard noir pour les gardes qui l'avaient laissé rentrer alors qu'elle n'était là que pour semer le désordre.
Le briochin chercha un chiffon dans sa besace et s'essuya le visage, contemplant la catin sans mot dire, pour ne pas en rajouter à l'ambiance houleuse.

Une catin offrait son corps pour de l'argent. Certainement qu'elle avait offert cette piteuse démonstration pour quelques deniers. La seule question intéressante était de savoir pour qui, finalement.
Mais ils étaient nombreux ceux qui haïssaient la Duchesse. La liste était trop longue et le débat serait vain, et inapproprié. Et puis, déléguer entretient la confusion. Finalement, les hypothèses étaient nombreuses et chacun en prenaient un peu. Chacun de ceux qui ne supportaient pas celle qui dirigerait la Bretagne pendant deux mois sous le vent de la colère.
Car il ne fallait pas s'y tromper, avec l'élégance de ces jets de tomate et des insultes, la colère montait des deux côtés.

Oli termina de s'essuyer le visage, un dernier regard noir pour le chef de la garde, puis il s'asseya, sans mot dire. Un regard pour Hugo l'invitant à continuer comme si rien ne s'était passé.

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Douchka

Douchka avait juré, elle se tourna pour regarder les membres du CD et leur faire partager le moment.

Quand elle eut tourné la tête, le regard posé sur le banc des conseillers, un second projectile arriva et s'écrasa sur sa gorge.
Le temps à peine de l'impact sur sa peau pour s'en rendre compte. Elle descendit son regard pour voir la tache rouge s'étaler sur son cou.

Un regard qui se lève et s'adresse aux gens présents, un regard sans haine, un regard blanc, neutre.
Elle cherchait dans ces gens, le sens du geste, elle cherchait le manque de courage de celui qui avait fait ça dans l'ombre, elle se demandait si rester cachée par la foule donnait un sentiment de puissance, elle observait les visages un à un.
Si on voulait la tuer, il fallait plus d'audace, si on voulait l'humilier, il fallait agir aux yeux de tous, si on voulait l'anéantir il faudrait de la patience, si on voulait la rayer de la carte ou la remplacer, il fallait montrer de quoi on était capable.

Doucement ses doigts remontèrent vers sa gorge, recueillir le fruit rouge et collant pour nettoyer l'endroit puis lentement en les regardant tous, elle lécha ses doigts comme un chat ferait sa toilette, un à un, chacun leur tour, pour qu'ils s'imprègnent de ce que le mot dignité veut dire.

L'instant passé, elle se tourna de nouveau vers Monseigneur Hugo, prête pour la suite.
Il lui semblait pour avoir vécu par le passé sa propre investiture que manger était réservé à la partir druidique, les coutumes avaient peut être changé...

(Aucun contact de la part de ce pnj avec moi même et je tiens à le préciser, je jouerais puisqu'il faut le jouer ainsi)
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{Caswallawn}

{Caswallawn} a écrit:

Bonjour, bonjour !

Alors...remarques HRP entre joueurs par mp uniquement, je vous remercie.

Je me cite, premièrement parce que s'auto-citer, c'est classe, et deuxièmement parce que je dois être le seul à m'écouter, c'est désobligeant au possible. Je dois être mon meilleur public, on dirait.

Il se trouve aussi que je suis d'une infinie patience. Donc ce genre de remarque, par ailleurs pétrie de bon sens, elles se font par mp. L'idée, dans un jeu multijoueurs, quand on souhaite de l’interaction, c'est d'abord de se mettre d'accord. Maintenant, c'est parfaitement jouable, comme situation, suffit que le pnj accepte de se faire molester par la garde. Donc donc...mettez vous d'accord, jouez ça en vous éclatant, et donnez nous du plaisir à lire vos aventures !

Merci !

Bon jeu,

{C.}
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Liocea

Liocea restée en place publiqueavec les gueux de toutes sortes, à bonne distance de tous projectiles malheureux, se marrait bien avec ses copains.
Elle la simple pêcheuse, qui ne devait ses titres amicaux, qu'à ses actes, mais qui en ce jour se sentait la plus noble des nobles à voir ceux qui avaient du prendre costumes de gueux pour masquer leurs effets.
Mais Lio se marrait parce qu'un noble quand il voulait se travestir n'en restait pas moins avec toutes ses manières et ses choqueries à qui mieux mieux.
Ce ne devait pas être le même chouchen qui coulait dans leurs veines.

L'en avait rien à s'couer elle, de la robe de la mariée, enfin tout comme, ce qui lui importait c'était que le boulot soit fait avec ou sans belle tenue.
C'est la dessus qu'elle jugerait, et elle avait des attentes, elle se disait qu’il fallait être bien mondain pour ne s'occuper que d'un bout de tissu, plutôt que de ce qui devait être fait pour qu'elle et ses amis les pêcheurs puissent avoir un port plus grand pour le commerce et la protection par exemple.

En attendant elle se marrait bien , le verre à la main, parce que dehors sa festoyait déjà....
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Pouilloux

Qu'un PNJ intervient, en dehors de la primatiale pour faire des actions je trouve déjà le principe relativement moyen.

Mais que ce même PNJ, crache sur le sol de l'église, en toute impunité...

Lance des projectiles dans l'église, en toute Impunité encore...

Alors qu'il y a des gardes... joués par des vrais personnages.

Où est le jeu entre les joueurs avec ce genre d'intervention ?

Il est nul pour tout le monde. Comment malgré tous les gardes, le PNJ arrive à agir ainsi.

Je trouve que ce genre d'intervention tue le jeu. Nous jouons tous un personnage, qui agit avec d'autre personnage. Chacune de leur intervention implique des conséquences pour notre poupée.

Soit le véritable personnage du joueur assume réellement ses actions, soit il ne fait rien, par contre je trouve totalement douteux de venir sous le couvert d'un PNJ, pour perturber un RP.

Assumez-vous, pour que le jeu soit totalement gagnant. Je ne souhaite pas revivre l'afflut Massif de PNJ, comme sur la Gargote de Guyenne, ou ce que j'ai pu voir en Touraine.

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--Mary_la_catin

Sgamine a écrit:

ils avaient l'air d'oublier que malgré tout, la liste de douch avait été élue avec toute petite minorité

Mary grimaca en voyant les adorateurs de Douchka la regarder avec des airs admiratifs, alors qu'elle se tenait en ce lieu saint comme la pire des putains, menteuse et illégitime... Sa liste avait PERDU les élections. Douchka avait MENTI pour se faire élire. Et cela, les bretons le savaient. Enfin du moins, les bretons qui ne faisaient pas partie des petits caniches soumis aux moindres paroles de leur maîtresse.

Douchka osait se tenir là, nue comme un ver, prodigieusement indécente et prodigieusement sûre d'elle. Se rendait-elle compte seulement qu'elle bafouait les lois de bienséance de l'église ? Que Mary le fasse en jetant des tomates, c'était une chose... Elle, elle n'était qu'une catin, considérée comme la lie de la société, loin d'être une bonne ouaille pour les curés. Mais Douchka était sensée montrer une image respectable de la Bretagne. Et elle montrait son cul à des curés.

Mary cracha par terre sur le sol de l'église. Les soldats de leur maîtresse chérie patrouillaient dans la foule d'un air mauvais. Cela aussi était un scandale : la Duchesse avait mis de côté l'Ost de Bretagne pour son investiture... Cela laissait présager du respect qu'elle accorderait aux institutions bretonnes...

La catin regarda les différents protagonistes. Le curé tentait tant bien que mal de faire sa cérémonie, malgré les chuchotis, les éclats de voix scandalisés - dans les deux camps - et les mouvements de foule. Non, décidément, ce n'était pas une belle investiture.

Il paraît que même les Druides avaient refusé de s'accorder à cette honte diplomatique...

Sourire narquois de Mary, qui prit une tomate dans son tablier. Elle la serra doucement entre ses doigts, chercha une cible... Mh non, pas le curé quand même. Peut-être le grand garde, là, près de Douchka... avec un peu de chance, les éclaboussures rejailliraient sur le beau napperon découpé qui servait de robe à la putain de Bretagne.

Et hop, une tomate qui vole.

Myrlin

Le régent, qui appréciait le courage et l'indépendance d'esprit de la duchesse, se fit installer dans un coin. Ces cérémonies sont des cérémonies en l'honneur de la démocratie, composante majeure du régime politique breton. C'est donc aux élus et au peuple de briller et d'être au premier rang.
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''C'est la morale d'un peuple qui fait le crédit public'' (Chateaubriand)

Madcat

Anne-Solenn Wolback était arrivée tout juste après sa nièce Enora et s'était installée auprès d'elle. De sa place, en tournant discrètement la tête d'un côté et d'autre, elle observait ce qui se passait autour d'elle. Et elle était horrifiée.

Que devenait la Bretagne? Où était le respect dû au Très Haut? Les insultes, les murmures hostiles, n'avaient point place en ce lieu saint. Les nobles, qu'ils soient de la Haute Noblesse ou pas, l'avaient-ils oublié? Quant aux gueux, ils ne montraient pas leur noblesse de cœur à travers leur comportement.

On peut ne pas aimer quelqu'un, mais on doit s'obliger à respecter une fonction. Tous ces lanceurs de quolibets et d'injures, prononcés à voix haute ou seulement chuchotés, ne montraient que leur bassesse et leur manque d'intelligence par leur conduite inconvenante.

La jeune femme fut tentée de chuchoter une remarque à l'oreille de sa nièce. Elle se retint cependant, il ne fallait pas se mettre au niveau des détracteurs de la duchesse, même si la remarque portait sur leur insoutenable grossièreté.
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Alinoë

Alinoë, arriver en retard pour l'investiture, était aller rejoindre le reste du conseil. Il était arrivé juste à temps pour entendre la Duchesse prêter serment.

Il s'agissait d'un moment important et tous devaient être présent.

Il écouta donc avec attention et profita de la sérénité des lieux pour mesurer l'importance de ce moment.

Cassius

Le Montfort était présent, tel son rang le lui ordonné, il était venu seul. Les cérémonies pour lui n'avaient plus vraiment de saveurs, trop de souvenirs bons par le passé, mauvais aujourd'hui, mais le temps apaisera cela.

Douchka, Duchesse pour la deuxième fois, la première, le Comte en garde un mauvais souvenir, espérons que les erreurs du passé ne se reproduisent, il savait pardonner, il n'était pas vraiment rancunier, mais une fois... une seule fois.

Ces pensées enfin ailleurs, il suivit du regard la cérémonie, sans prêter la moindre attention aux éléments extérieurs.
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Comté de Kervegon

Douchka

Citation:

Jures-tu, Douchka de servir le Très Haut pendant la durée de ton mandat, de repousser la créature sans nom, de refuser le péché et de repousser l’hérésie ?

Je le jure

Citation:

Jures-tu, Douchka sur les sainctes écritures, de te souvenir que le premier devoir d’une Duchesse est de faire le bonheur de tout son peuple et non d’une partie de celui-ci ?

Je le jure

Citation:

Jures-tu, Douchka de ne pas te servir de ton pouvoir pour des intérêts personnels, de protéger la Bretagne, de lui garder son intégrité de ne pas conduire ton peuple à la guerre mais de toujours œuvrer pour la paix ?

Je le jure

Les mots étaient simples, justes et précis, ils résonnaient entre les murs par la voix de Monseigneur Hugo.

Le moment était solennel, posant ses yeux tout à tour du livre des vertus au regard d'Hugo qui attendait réponse, elle se tenait devant lui, droite comme un i, déterminée, passionnée et emplie de bonne volonté et de courage.

Elle prononça par trois fois sa réponse, d'une voix affirmée et claire, audible par le dernier rang.

Elle jurait ...
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Bioul

Dans un ptit coin il assistait à tout ce scénario des plus prévisible. Bien que ridicule il resta le séant vissé sur son banc, écoutant les propos d'Hugo. Ainsi la cérémonie pouvait continuer et poursuivre plus sereinement. Il n'avait pas cherché de têtes connues ou autre, entrant parmi les derniers dans le lieu saint. Ce apres quoi il tentait de suivre avec attention les paroles et la tradition.
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Hugo.

Il vit le Vidame qui le regardait, les deux hommes se comprenaient.
Ca n'était pas la première fois qu'il y avait du grabuge dans la Primatiale, mais cette fois ci nous avions atteint un sacré niveau !
Tout de fois le Prélat était content, il semblerait que son sermon ait fait l'effet désiré.
Il allait maintenant passer au serment. C'était sans doute un des moments qu'il préférait oui car l'instant était beau, certes ça ne valait pas l'instant ou il posait la couronne.
Mais le serment avait le mérite d'être pur et sincère, du moins lui était sincère et il a toujours cru que l'élu en face l'était aussi.

Faisant signe à un clerc d'apporter le livre des vertus, il prit sa position habituelle, il tendit la main gauche dessus et leva la main droite, index et majeur joints le pouce replié sur l’annulaire.
Ca n'avait pas l'air mais cela prouvait aux fidèles que l'élu reconnaissait la supériorité du Spirituel sur le Temporel.

Jures-tu, Douchka de servir le Très Haut pendant la durée de ton mandat, de repousser la créature sans nom, de refuser le péché et de repousser l’hérésie ?

Jures-tu, Douchka sur les sainctes écritures, de te souvenir que le premier devoir d’une Duchesse est de faire le bonheur de tout son peuple et non d’une partie de celui-ci ?

Jures-tu, Douchka de ne pas te servir de ton pouvoir pour des intérêts personnels, de protéger la Bretagne, de lui garder son intégrité de ne pas conduire ton peuple à la guerre mais de toujours œuvrer pour la paix ?

Et l'instant est important ! Toutes les personnes qui sont la Primatiale font silence pour écouter Douchka.
Les taquins diront que c'est bien le seul instant ou elle peut parler sans qu'on la contredise mais l'ambiance n'est pas vraiment à l'humour quoiqu'on en dise.
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Killdragon

La foule s'était massée, de plus en plus bruyante et indisciplinée.

Le Premier Maréchal de la Garde Episcopale surveillait de près, mais il devenait très difficile de distinguer tout ce qui se passait.

Il aperçut quelques visages familiers et avait répondu en saluant de la tête à ceux qu'il connaissait de longue date. Un salut de la main à Oban qu'il avait vu de loin quand il était encore à cheval avant d'entrer dans la Primatiale. Il eut également un petit échange avec sa cousine Roxane qu'il connaissait peu.

La situation ne lui permettait, hélas, pas d'aller leur parler, mais il aperçut tout même la duchesse Chimera sur le banc réservé aux nobles, Mimilia et Tadeus.

Il remarqua l'expression du Maréchal de Bretagne quand celui-ci le salua. Coldtracker lui avait dit qu'il le plaignait d' avoir à gérer une pareille situation, et il avait raison.

Les gardes Episcopaux restaient aussi impassibles que des gardes Pontificaux, même si Monseigneur Killdragon pouvait percevoir l’agacement sur certains de leurs visages.

Un garde se présenta pour lui faire son rapport. Un salut militaire.

Ser**** Ep** Sc**** ** r****** Mo*********!!!!!

Le Vidame de Bretagne fronça les sourcils. Il tapota nerveusement la garde de son épée. En fait avec ce boucan d'enfer, il n'avait rien compris. Il fit signe au garde de le suivre à quelques mètres, près du chœur.

Sergent 'Epic Scopal' au rapport Monseigneur!!!!!

Oui, je sais qui vous êtes sergent Epic, pas la peine de me le rappeler à chaque fois que vous me croisez. Allez-y, j'attends votre rapport de la situation.

Alors voilà, la foule est de plus en plus nombreuse. La duchesse est arrivée dans une tenue... heu... un peu ... heu ... dénudée... et certains ont l'air de ne pas apprécier...

Oui... c'est le moins qu'on puisse dire... vous voulez sans doute dire qu'ils n'ont pas l'air apprécier... poursuivez sergent.

Nous avons intercepté un poireau qui allait être lancé et le garde 'Kad Et' a trouvé un sac rempli de topinambours pourris sur un paysan breton, avec une livre de sel de guérande rance.

Hum...

Nous n'avons pas pu intervenir lors du jet de tomate, et hélas il semblerait que la lanceuse encapuchonnée ait eu le temps de prendre la fuite. Après enquête il se pourrait que ce soit une femme de petite vertu, mais nous n'en n'avons aucune preuve pour le moment.

Sinon nous déplorons un évanouissement sans gravité en apparence.

Voilà l'état des événements Monseigneur.

Trugarez Sergent, vous pouvez reprendre votre poste.

Décidément, il pensait avoir tout vu et tout connu, mais là, il semblait bien que c'était du lourd.

Killdragon regarda Monseigneur Hugo, en levant les yeux au ciel, puis continua d'arpenter les dalles de la Primatiale, son regard perçant scrutant la foule, alors que la future Duchesse Douchka s'avançait vers Monseigneur Hugo.
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Pelotine.

Il y a du mouvement.
La dame prend l'air , reprend ses esprits , et peut enfin reprendre sa place aux cotés des autres membres du conseil ducal.
Les yeux fixent le sol , ne voulant perdre a nouveau connaissance.
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Esmica

La jeune femme avait suivi toute la scène, il y'avais du mouvement, l'entrée de la Duchesse fut grandiose, elle à fait parler tout le monde, en effet Esmica trouvait la robe un peu voir beaucoup osée, mais bon chacun ses goûts. Elle se pencha vers Pelotine, qui était de retour, toute pâle, elle lui dit en chuchotant.

Vous allez mieux ma chère?

Il manquait encore quelques conseillers ducaux, la jeune femme attendait la suite de la cérémonie.
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Vicomtesse de Pleuvihan
Procureur de Bretagne
Ex Mairesse de Reoz
Adjointe au Maire de Reoz

Mimilia74

Elle était Baronne, Les nobles n'ont pas que des avantages, ils ont surtout des devoirs. Ce devoir là, était un supplice. L'investiture. Elle était choquée déjà par tout ce qui se passait autour, les bassesses... mais il fallait y aller.
Elle prit le temps de se vêtir convenablement. Elle prit le temps, même si elle n'était pas Elle, la star du jour. De couvrir son corps, d'être soigneuse. Elle gardait précieusement ses tenues olé olé pour la nuit de noce avec Jack. C'est donc, couverte de bas, de belles poulaines, d'une longue robe violette, d'une cape chaude de même couleur... et d'un joli col puis allons y soyons fou, d'un beau chapeau qu'elle entre dans la primatiale.
Pas forcément en avance, mais du moins pas en retard. Elle resta un moment figée à l'entrée, comprenant pourquoi elle avait croisé Pelotine mal en point dehors. Elle hésita à faire demi tour et rentrer. Reprendre son Tro en priant pour une duchesse folle. Mais non. Elle DEVAIT rester.

La diaconesse remonta la nef, et alla s'assoir en entre Jack et Roxanne. Larme émue au coin de l'oeil de voir sa nièce, si elle était là c'est que Loanne allait bien. Et joie non feinte de partagée un moment avec son fiancé qu'elle n'avait que peu vu ces temps-ci. Faute à un Tro.
Elle pose sa main sur celle de Jack. Et murmure à ses deux voisins.

Quelqu'un à une couverture pour couvrir la duchesse ? J'ai peur qu'elle prenne froid, ce serait bête qu’elle décède d’apoplexie en plein mandat! Elle a tellement de bonne chose à accomplir !

Puis je siffle entre mes temps.

Remarquez, une chance, Elfyn allité, elle ne pourra pas le rendre plus mal qu'il ne l'est déjà cette fois.

Malgrè tout j'étais heureuse, contente d'être là. Pour les autres membres du conseil, ceux qui en valait la peine.
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Papincourt

Papincourt avait finalement retrouvé la bonne Primatiale, .....

Sans un mot il écouta les paroles du chef des cérémonies, qu'il connaissait que trop bien, a son grand désarroi. Évidement point l'heure de polémiquer , ou d'attaquer qui que se soit, papin était juste venu la pour défendre et soutenir la Duchesse qu'il aimait tant.Peu importe s'il ne compris le choix de la robe, du Blanc, ou même de cette notion de " nue " fallait il rester nue puisque l'on naissait nue ? Papin étant un homme de la mer, de Chiffre, de Cœur, mais certainement pas de piété il se disait que si sa Duchesse avait choisi sa robe, c'était évidement son choix et le meilleur pour elle.

Il se tint à carreaux lorsqu'il vit ENFIN la Garde épiscopale ... enfin la Belle Duchesse si peu vêtu et si Fragilement accessible pouvait ne plus craindre une ignominie sur sa personne . Il s'assit donc et attendait que le ..... Chef de la cérémonie.... prononce son .... Texte. Il savait déjà que la Duchesse allait s'en prendre plein la "vue" car le verbe déjà employé "Douchka Approche" était bien rude. Aurait il pu dire Dame Douchka , ou Mon enfant Douchka, ou autre , mais non.Enfin .... on peu pas être aimé de tous, s'imagine t il .

Papincourt, Pose son séant à L' ARRIÈRE de l'endroit ou l'office à lieu.

Le_jack

Jack sourit à Roxanne. Il chercha à cacher son émotion de la revoir, après ces longs mois d'absence. Ainsi donc la Blondinette était aussi de retour.

Comme Monseigneur Hugo débutait la cérémonie, il ne présenta pas Roxanne à son ami Erwin, mais se promit de le faire dès que l'occasion se présenterait.

Pour l'heure, il se concentra sur l'évêque et la duchesse.
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Blackbird

Erwin fixait le déroulement des choses, de son regard perçant et observateur. L'ancien pirate se perdait dans ses pensées, comparait les comportements qu'il observait ici avec ceux qu'ils connaissait de la vie de pirate, dans le même genre de situation. Il trouvait ironique que des gens comme lui qualifiés au plus bas, aient un sens de l'honneur plus pointu, malgré leurs actions, qu'ils savent régler ce genre de situation et de désaccords, certes parfois violemment, mais à l'intérieur même de règles instaurés par les pirates eux même, avec donc presque toujours, un fair-play réel, sans coups fourrés ou messes basses derrière le dos. Encore une fois, il en arrivait à la conclusion que les personnes les plus basses d'esprit n'étaient peut être pas celles que l'on voulait bien montrer, que même et surtout des citoyens, soit disant civilisés et respectables, étaient capable comme aujourd'hui de faire preuve de la plus grande bassesse.

Cependant il fut tiré de ses pensées, par une femme s'excusant poliment, voulant apparemment passer. Erwin se baissa légèrement pour la saluer, en guise de respect, et se rendit compte que c'est parce qu'elle était proche de l'ami Jack. Le jeune homme ne replongea pas dans ses pensées et se concentra sur la cérémonie qui allait commencer d'un moment à l'autre.

En effet, le messire Hugo, important homme dévoué au "Très Haut" fit résonner sa crosse afin de rappeler cette foule d'hystériques à la raison, et commençait un discours. Erwin s'attendait à une sorte de messe ou de discours religieux, mais fut agréablement surpris. L'homme tenait un discours très censé selon les idées du navigateur qui avait depuis bien longtemps abandonné sa foi. Pourtant il considérait les hommes comme lui avec respect, car malgré la foi non partagée, ce sont ses hommes qui font fonctionner la société, et ramènent comme en ce moment même, les gens à la raison. Il apprécia et considéra son discours d'une grande sagesse, dans un silence respectueux, les bras croisés et immobile, un léger sourire aux lèvres. Le commencement de la cérémonie était annoncé
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Preciodekerroch

Et sa fille apparemment perturbée, d'y aller de toutes ses questions. La maman prêtait oreille attentive et se mordillait parfois les lèvres afin de retenir un sourire devant l'innocence et la naïveté de Maëllia. Comme celle de lui demander si son père serait heureux de la voir revêtue du même genre de robe. Elle avait presqu'envie de répondre à sa fille, qu'en un lieu privé et clos ou lui seul la verrait très certainement que le vicomte en serait plus que ravi mais comme toute mère qui se préoccupe de l'éducation de son enfant, Precio n'allait certainement pas se mettre en oeuvre d'expliquer ceci à sa fille.

Le regard se fait complice et tendre alors qu'elle lui fait signe d'écouter le prélat. Et elle aime son discours la Violine. Oui oui. Plus particulièrement celui d'envoyer du monde apporter de l'aide dans les dispensaires. Les esgourdes ne sont pas prêtes d'oublier ces paroles. Elle en aurait bien besoin. Entre le dispensaire de Kastell-Paol et celui de Rennes, sans compter celui dont elle s'occupe au sein de l'Ordre des Trente. Quelle bonne idée que le prélat vient d'avoir là ! Il faudra qu'elle pense à lui demander une liste des personnes qu'il estime devoir venir afin qu'elle leur adresse courrier.
Oui mais voila. Dans l'esprit de la maître-herboriste vicomtale, sont-ce bien aux mêmes personnes que le prélat qu'elle pense ?
Elle a noté le départ de Missanges qui n'a sans doute pas supporté l'ambiance des lieux. Elle n'est point la seule d'autres sont partis également. Une jeune dame, d'allure noble a fait un malaise et s'est ensuite éclipsée. Precio a manqué la suivre afin de s'assurer qu'elle allait bien mais sans doute était-ce un simple évanouissement passager.

Du coin de l'oeil, elle note l'arrivée de leur Suzerain. Elle sait que son époux fait quand à lui son office auprès du Grand-Duc. Puis elle se penche vers sa fille, lui soufflant dans le creux de l'oreille.

Maëllia, ceci est la première fois que tu assistes à une investiture. Imprègne toi surtout de l'essence même de la cérémonie et de ce qu'elle implique, quelque soit le Duc ou la Duchesse élue.

Puis souriant à sa fille, La Violine reporte son regard sur Monseigneur Hugo.
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Douchka

Douchka affichait un visage serein, les pluies d'insultes, même issues de haut rang, elle en souriait.
Le manque d'argument pour ne pas reconnaitre son investissement, son dévouement pour Breizh et le travail accompli, dérivait en menaces, insultes et hélas toujours les mêmes.
Son intégrité et son honnêteté n'était plus à démontrer. Elle faisait partie de ceux qui pensent aux autres avant elle.
Son statut de gueuse encore à ce moment précis démontrait à quel point le faste et les écus ne l'intéressait pas, sauf si c'était ceux de Breizh.
Devenait on forcément ainsi losqu'on passait noble? Beaucoup de Bretons devaient se poser la question, en espérant ne jamais le devenir.

Elle écoutait, concentrée les paroles de Monseigneur Hugo, il avait le verbe juste et nul doute qu'il se ferait entendre par ceux qui savent écouter ou sont encore là pour le faire.

La pureté du blanc, qu'elle affichait marquait le symbole de ce que nous sommes quand défait de tout superflu, reste l'être.
C'est nu que nous sommes venus au monde, c'est nu que nous nous avancerons lors du jugement dernier.

Beaucoup n'avait pas compris, prenant cela comme une insulte, une provocation. Que faire face à des gens si terre à terre, à part attendre que leur esprit s'élève. Pardonnez leur, Seigneur

Nul titre, nul écu n'aura effet sur ce que nous aurons fait de notre vie et la conscience que nous afficherons à ce moment là de notre bref passage sur terre sera seul, ce qui restera.

Et sa conscience elle l'avait pour elle.

Ce qu'Aristote lui avait infligé comme obstacles, ce qu'Aristote lui avait demandé de prouver en matière de courage et d'abnégation, se relever à chaque fois, plus forte et plus convaincue encore, continuer, avancer et travailler, elle ne l'avait jamais perdu de vue.

Citation:

Douchka, approche !

Elle avança doucement se rapprochant à pas lent de Monseigneur Hugo.
Le coeur avait entrepris un battement lent et lourd, sa respiration était calme, ses mains ne tremblaient plus.

Un regard reconnaissant à Hugo, elle était prête...
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Coldtracker

Le colosse arriva après le Baptême de sa nièce qui était la priorité ...

Il resta interloqué quant à la tenue de la duchesse...

Elle était habillée comme une catin....
Ou alors elle n'avait pas assez d'argent pour se payer une robe complète....

Au choix...

Il observa le reste, c'était un sacré bordel....

Il n' avait qu'une envie c'était de partir mais s'il n'était pas en mission, son devoir lui commandait d'assister comme tout noble de Bretagne aux cérémonies d'investiture si pitoyable fussent-elles....

Et là, on tenait le haut de la catégorie...

Il salua Killdragon et le plaignit amèrement de se taper une telle corvée....

Il salua d'autres connaissances visiblement aussi interloquées que lui par l'ambiance...

Il s'adossa à un pilier ou le pilier s'adossa au colosse, on ne savait pas vraiment...
Le Duc De Rhuys attendit la fin de la comédie.
Avec la même patience que celle dont faisait preuve à l'égard d'un enfant...
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Une guerre à mener?De Morrigan-Montfort à vostre service...

Beloythes

Beloythes avait pris place au fond de la primatiale, dans la partie qu'il fréquentait parfois.

Il était attristé une fois de plus par le comportement de certains et écoutait avec attention les paroles de Hugo qui une fois de plus lui paraissaient censées. Pourquoi tant de querelles intsetines alors qu'il y avait tant à faire et à construire par ailleurs...

Hugo.

Il se leva, il était temps de revenir au calme, pour recentrer l'attention sur lui il fit donner quelques légers coups de crosse.

Tching ! Tching ! Tching !

Il salua rapidement les Gardes Episcopaux, il était content d'avoir la Garde pour assurer la sécurité ils n'étaient pas de trop.
S'avançant, le Prélat allait débuter son sermon, et ça n'allait pas plaire à tout le monde !

Et bien mes enfants ? Avez vous oublié ou vous êtes ?
N'êtes vous pas conscient de la pureté de la Primatiale !
Vous n'êtes certainement pas en place publique, en taverne et encore moins au Conseil Ducal !
Je sais très bien que vous n'arrivez pas à vous entendre ! Mais j'aurai jamais pensé que nous en arriverions là !
Alors je ne vais pas défendre une liste plutôt qu'une autre, non rassurez vous, je suis apolitique !
Alors j'aimerai que vous repreniez votre calme, d'ailleurs les actes honteux de certains ici me font confirmer mon choix d'appeler la Garde Episcopale !
Oui je sais d'habitude l’Église n'est pas bien embêtante avec les Bretons, mais parce que vous devez vous rappeler les fondements de notre foy
et qu'en plus de cela que ça vous remettra sans doute les pieds sur terre !
Ceux qui auront désormais un comportement déplacé ici ou en place publique irons aider les recteurs des différentes paroisses !

Vous devez savoir qu'il y a en Bretagne des dispensaires et bien je pense que certains ici présent irons donner un peu de leurs temps !
Croyez moi je vais écrire aux Recteurs, Vicaires, Curés et Diacres afin qu'ils n'hésitent pas à le faire !
Puisque vous n'êtes pas capable de vous respecter entres vous, l’Église va vous aider !

Alors je me doute que certains ici doivent se dire, "Qu'est-ce qu'il y a celui là, il peut pas nous faire sa messe sur l'amour et Aristote ?"
Non, je ne vous ferrai pas ce plaisir, j'avais envie de faire une belle cérémonie mais visiblement vous n'en avez que faire !
Il n'y a qu'à regarder votre comportement dans cette belle Primatiale !

Mais n'ayez crainte, mon sermon ne s'adresse pas à tout le monde !
Avec le Tro Breizh que nous venons de finir nous avons pu voir des gens aux comportements exemplaire et je tiens du fond du cœur à les saluer.
Bien je sais que mon sermon n'est sans pas agréable pour certains mais il est sincère et il sera sans doute utile.
Je préfère prévenir que ceux qui vont tenter quoique ce soit se verront expulser de la Primatiale par la Garde Épiscopale et auront droit à une plainte auprès de l'Officialité Épiscopale !
Bien sur ces mots l'Investiture de Douchka et de son Conseil va maintenant débuter !

Avant de commencer, j'aimerai vous dire quelques paroles que j'ai l'habitude de dire aux débuts des Investitures, je les trouve sincère alors permettez moi de vous les annoncer.

Aujourd’hui un duc va prendre en main la gestion, le gouvernement de la Bretagne, demain un autre.
Le peuple lui a confié sa destinée matérielle, nous allons lui confier une mission spirituelle.
Car entendons nous bien être élu n’est jamais qu’un honneur, c’est une charge, une responsabilité, un devoir, une mission qui est confiée.
C’est aussi dans le respect des enseignements de nos prophètes et dans la vertu que sa mission doit être réalisée.
Les élus passent, le spirituel demeure.

Oui entendez bien ceci, on se souvient de celui qui nous a baptisé, mais pas du maire de notre naissance.

Douchka, approche !
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Sgamine

Sgamine était venue assister a l'investiture de son amie douchka, elle fit la grimace en voyant certaines personnes et leur visage déformer par leur méchanceté, ils avaient l'air d'oublier que malgré tout, la liste de douch avait été élue avec toute petite minorité et que cette place qu'elle avait a présent elle ne l'avait pas demander mais subi suite a une erreur.
Elle était lasse de voir tant de comédie faite autour de ce jour qui se voulait important et sérieux.

Il serait bon a présent de faire front commun et d'agir pour le bien de tous.

Sgamine sourit a son amie pour la soutenir fasse a détracteurs.

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Oban

[Sous le grand chêne]

Mandaté par l'archidruide, il avait pris place sous le grand chêne dans la cour de la primatiale, accompagné de quelques enfants des différentes terres de Breizh, il écoutait et observait la foule, tendue, amassée le long des rues, liesse ou déplaisir irrité, chacun en allait de son mot...

Quelques visages connus, nouvellement rencontrés, d'autres de connaissances plus anciennes parsemaient, de ci, de la, les lieux...

Les gens d'armes plus nombreux qu'à l'habitude, allaient et venaient montrant également une certaine nervosité...
Il en avait même été surpris d'apercevoir Killdragon, inquiet, faire le tour de la Primatiale à cheval, entouré de quelques gardes épiscopaux...

Nul doute, l'évènement était de taille...

Ce serait sa première investiture, sa hiérarchie ainsi que la collégiale des druides de Breizh ne souhaitant pas intronisé la nouvelle Duchesse, avait fait appel à lui après des mois de silence...

Bien que ne partageant pas les idées et les façons de procéder de la dit Duchesse, en tant que gardien des traditions et coutumes de Breizh, il avait accepté, là ou les autres se dérobaient devant des valeurs qu'ils prônaient pourtant haut et fort...

Calme et serein, il patientait, là, debout à l'ombre de cet arbre qui avait vu défiler devant les plus grands du pays.

Le bredouillage de la foule se fit soudain plus fort et le bruit des sabots du carrosse ducal un peu plus présent jusqu'à l'arrêt de ce dernier...

La Duchesse fit enfin sont apparition..., apparition brève, car à peine le pied au sol elle se retrouva prise en charge par la garde présente, qui l'enfourna dans la primatiale...

Un sourire amusé, s'afficha sur mon visage...
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Annaell

Annaell hoche la tête, lui adresse un sourire compréhensif.

"Alors, je reprends ma route. Je vais chercher Mergat à Saint Brieuc."

La jeune femme se détourne, se hisse sur sa selle et s'y installe. Un dernier salut, et la cavalière s'éloigne dans la foule en direction de la sortie de la ville. Autant quitter ce regroupement malsain. En s'éloignant, elle aperçoit une jeune femme à l'air effrayé, et s'approche d'elle en fronçant les sourcils, l'air interrogateur :

"Tout va bien, jeune fille ?"
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Roxannemontfortlaval

Elle venait de poser le pied sur le sol breton. Un retour de mission diplomatique. Deux mois et demi sur les merveilleuses terre d'Eire, aussi sauvages que ses terres bretonnes et tellement différentes également. Si sa Breizh lui avait terriblement manqué, elle n'en avait rien dit, elle avait fait son office pour sa terre. Le retour avait été mouvementé, sur des flots déchaînés, ils étaient passés au travers des navires ennemis, la tempête et Eole leur avait sans doute servis.
La jeune femme aurait voulu courir voir son frère, et sa tante afin de la rassurer. Loanne était de retour également. Mais la Consule, qui n'avait pas lésiné sur le travail tous ces derniers mois, était parfaitement informée du moindre évènement breton et elle savait donc qu'aujourd'hui, une investiture avait lieu.
Néanmoins, vu l'heure tardive, elle ne prit pas le soin de se changer. Elle arrangea néanmoins sa mise. Le genre de tenue qu'elle avait porté la plupart du temps dans les îles du Nord. Des braies de couleur perle grisée assorties à ses yeux et par-dessus, une tunique de soie blanche, assortie à la cape d'hermine d'une qualité indéniable, qui porte la marque de fabrique du Duc du Tregor. Parure d'une sobriété manifeste, sans autre ornement qu'une écharpe de soie grise qui lui ceint la taille, dont les pans sont retenus à une hanche, à la mode des marins celtiques.

Elle avait pris soin de laisser ses armes là où le lui indiqua son cousin Killdragon. Elle a beau être diplomate et gonfanonier de l'Ordre des Trente, elle n'est pas en mission aujourd'hui.

Aussi, les gris s'attardent-ils sur les personnes en présence. Et un sourire vient effleurer ses lèvres. La famille. Sa raison de vivre après sa Breizh. Et c'est ainsi qu'elle s'excuse, passant devant un homme inconnu qui est installé auprès de l'Oncle Jack. Sa tante n'est pas là mais elle sourit , presque soulagée en se glissant de l'autre côté du futur époux de la tantine.

Demat deoc'h Oncle Jack. Nous sommes de retour, je vous remmène Loanne en un seul morceau.

Les gris malgré une certaine mélancolie qui ne les quitte plus depuis plusieurs mois, reflètent sans embage la joie d'être rentré et de retrouver sa terre et sa famille. Dans l'immédiat, rien d'autre ne compte pour elle.
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Pelotine.

Réconfortante elle est oui , mais Pelotine se redresse , presque remise par le spectacle qui l'a tant chamboulée.

Non ... je pense rester un peu ici.
Réfléchir , et continuer a respirer un coup.

D'un geste de tête discret , elle remercie la jeune femme pour son aide proposée.
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Murme

La jeune femme qui était à proximité de la cathédrale observait discrètement ce qui se passait autour d'elle tout en faisant attention à ne pas être prise dans les mouvement de foule.

Les habitants semblaient tellement remontés. Murme, arrivée depuis peu ne comprenait pas ce qui se passait. Elle voyait plusieurs personnes avec des légumes pourris.

Pas à sa place, apeurée par tous ces cris et ces grondements et ne voyant personne qu'elle connaissait, Murme restait en retrait, préférant observer.

Annaell

Après avoir sauté de son cheval, Annaell s'était approchée de Pelotine, les rênes à la main, se faufilant dans la foule.

Pelotine a écrit:

"Si ... si je .. je vais bien.
J'ai été un peu perturbée .. mais je vais aller mieux."

Moue peu convaincue de la part de la jeune femme. La petite croque-mort semble trembler, frêle comme une feuille. Annaell retient un geste d'affection, l'entourer de ses bras. Ce n'est probablement pas à elle de le faire. Petit sourire encourageant.

"Non, je n'entre pas. Je n'ai rien à y faire. Et je n'ai pas l'obligation d'y être, d'ailleurs..."

Annaell jette un regard à la foule qui s'échauffe. Elle a vu entrer Douchka, elle sent la colère et la honte qui grondent parmi les personnes présentes. Cela lui suffit.

"Y retournes-tu ? Ou veux-tu que je te ramène à l'auberge ? Ou... prendre l'air sur la plage. Loin de ce... théâtre grotesque."
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Pelotine.

Une silhouette puissante s'avance vers elle , une femme bien différente de la Pelote , aussi bien physiquement que mentalement.
Mais une femme qu'elle appréciait , d'une pour son franc parler , de deux car elle épousait bientôt son ami Trilo.

La main d'Annaell approche de l'épaule a Pelotine , pour l'interpeller mais aussi pour apporter son soutien.

Si ... si je .. je vais bien.
J'ai été un peu perturbée .. mais je vais aller mieux.

Légèrement , elle sourit a la fiancée de Kermeur , pour la rassurer.

Tu entres toi ?
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Annaell

La rumeur enflant, Annaell, parvenue à l'autre bout de la place, se retourne sur sa selle... Comme le ressac, la vague de foule entre, se heurte, ressort. La foule gronde. Le scandale se répand.

Pelotine, l'air hagard, se détache sur la foule, de sa frêle et sombre transparence. Elle titube. Annaell tire sur les rênes de sa monture, revient vers elle.

"Pelotine ? Ca ne va pas ?"
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Maellia_de_kerroch

Tel un poisson la petite ouvre la bouche et la referme aussitôt.
Elle lève les mirettes vers sa Mère puis elle regarde la Dame arriver.

- Mère, la Dame c'est normal qu'il lui manque du tissu sur sa robe? Mère dis tu as une robe comme ça toi ? Mère pourquoi les gens ils s'en vont?

La petite se hisse sur la pointe de ses pieds, elle veut tout voir elle veut tout savoir, elle veut comprendre et elle allait se souvenir de sa première investiture.
Des personnes s'en allaient, d'autres parlaient tout bas.
Maellia regarde la future Duchesse, elle tente de voir sur son visage une émotion, mais par dessus tout, elle attend que sa Mère lui explique ce qu'il se passe.

- Mère peut-être faut prêter à la Dame un manteau? Tu ne veux pas lui prêter le tien? Elle va prendre froid je crois.

Depuis toute petite, l'éducation de Maellia était une priorité pour sa Mère, aider son prochain et surtout ne jamais juger.
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Tadeus94

Tadeus était un peu en retard à cette investiture, c'était la première fois qu'il assistait à une grande cérémonie depuis la mort de son Père.

Il rentra dans la Primatiale où de nombreuses personnes étaient déjà présentes, il salua tout les gens qu'il connaissait en particulier la Dukez Chimera qui avait était si proche de lui ses derniers temps.

Puis il continua jusqu'aux places réservés aux clergés en saluant le nouvel Archeveque de Rennes et attendit le début de la cérémonie.
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Chimera

Des bancs réservés à la noblesse, les azurs de Cholet suivent la scène avec un calme olympien. Elle oberve Niark, qui en bon chevalier veille au bien-être de la plus charmante baronne de Bretagne. Elle observe, et de près, la gorge nue de la duchesse élue qui vient, saillante de nerfs provoquants en sus d'être délicats, taquiner une Lallie toujours résolue à dire tout haut ce que mille pensent tout bas.

En tant que Duchesse elle est venue. L'attitude de Douchka vis à vis de son Conseil a suffit à ce qu'elle ne souhaite pas l'honorer en lui permettant de recevoir l'épée des druides de la main même de l'archidruide de Bretagne. Mais Douchka n'avait semble-t-il pas entendu le message, ou avait préféré y rester sourde, et avait choisi de pousser l'affront plus encore, fidèle à elle-même, jusqu'à perdre un peu plus le soutien d'hommes et de femmes, humbles ou éminents, qu'en tant que Duchesse elle se devait pourtant de représenter.

De souhait de rassembler elle semblait être parfaitement démunie.
Que ce qui n'approuvait pas ses frasques, et ses frusques, se retirent. Etait-ce là le message qu'elle souhaitait faire passer, elle qui ne devait sa présence ici qu'à l'indécision d'un conseil par les urnes également divisé?

Pour ce qu'il en était, et quitte à défrayer la chronique, elle aurait mieux fait d'entrer là nue comme au premier jour, vierge de toute étoffe comme de tout soupçon.
Non. Un pavé, encore, dans une mare qui n'avait point besoin de cela pour être agitée.

La duchesse de Cholet suit la scène, tout en guettant du coin de l'oeil la réaction d'Hugo.
Et Oban? Que feras-tu, Oban des Vergers d'Avalon? Les urnes et le conseil ont décidé, il te faut donc en toute logique la lui confier.
Si tu la lui accorde, néanmoins, tu auras à charge de t'assurer qu'elle s'en montre digne, ou bien il te faudra la lui retirer.
Choisiras-tu d'aller contre ce que la règle suggère?
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Chrisgue

chrisgue entra car il voulait voir cette investiture...

Lorsqu'il aperçu la nouvelle entrer dans cette tenu il comprit rapidement que sa place n'était pas en ces lieux, autant pour lui retourner à ses occupations plutôt que voir un ..... se faire introniser
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Niark

Regarde la Pelouse qui ce réveiller, le rat doit lui retirer le goulot de sa flasque assez rapidement pour en pas avoir à en manquer durant la cérémonie... C'est quelle a grand soif la pauvre Pelotine, les lèvres attirées par le goulot comme un bébé par une tétine.
La scène est comique, mais bon le rat il rigole pas trop avec ces choses la.
Et hop il range la flasque dans une poche intérieur de sa tenu d'apparat.
Mais aussi vite qu'elle peut, donc lentement mais assez rapidement après son réveil, la Pelouse se relève, aidée par le Rat qui ce lève avec elle, lui tenant la main.
Juste un petit mot en sa direction s'échappe de la bouche de Pelotine avant de prendre congé de la scène.
Le pauvre Rat ce retrouve donc tout seul, au milieu des autres conseillers, sans sa Pelotine.

Et le voila qui s'installe, il ne partira pas, c'est trop facile, Pelotine a besoins de prendre l'air, mais d'autre en ont besoin aussi il faut croire, car plusieurs autres personnes quitte le saint lieu.

Et bien... Même pour son investiture la Duchesse déchaîne les chroniques...

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Melyane.

Je regardais la scène et je pris un fou rire. Cette investiture qui devait tourner à un meurtre de la Duchesse finalement fait partir du monde et les écoeure.
Au final qui était la plus intelligente ?
Elle s'est joué de la situation la Duchesse. Je secouais la tête et je regardais Hugo à ce rythme là il n'y aurait que nous et quelques uns à l'investiture.

Je cherche des yeux mon époux afin de voir sa tête face à la situation.

Pelotine.

Le calvados.
Une eau de vie particulièrement importante dans la vie de Pelotine , tout comme dans celle de son ami le rat , tout deux ayant des origines normandes dont ils étaient fiers.
Boisson assez importante et forte pour réveiller la croque en deux secondes chrono !
Les cils papillonnent , la bouche en redemande , la gorge déglutie.
Merveilleux goût de pommes et de poires qui se réunissent pour vous donner des ailes.

Ses perles grises se posent sur le premier visage qui s'impose a elles.
Un visage allongé et familier , celui de sa souris grise.
Allongée elle est , honteuse aussi.

Doucement la jeune femme se redresse , remerciant le sénéchal pour son aide , ses paupières se referment après que sa vue ai croisée a nouveau la silhouette de la Duchesse.

Je ... j'ai besoin de sortir , Niark.

Discrètement la dame de Concoret se lève , longe les murs , et sort prendre l'air un instant.
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Blackbird

Erwin adorait écouter les gens, observer leur stupidité. Il écouta Jack lui répondre d'une oreille, tout en observant ce qui se déroulait. Il ne fut pas plus choqué que ça par la duchesse, peut être avait il banalisé ce genre de chose, même si cela le surprenait de la part d'une femme de haut rang. Il en resta indifférent

-Tu à raison...

Ce qui attira bien plus son attention, fut la tomate fendant les airs au dessus de la foule en direction de la nouvelle Duchesse
Il ouvrit la bouche à l'intention de Jack uniquement pour ajouter

Ca se gâte... et ça se dit noble... Ils ne peuvent pas s'empêcher de s'affronter, c'est vraiment ridicule...

Il en sourit, continuant d'observer avec attention, la foule devenait de plus en plus agitée, certains perdaient connaissance, et le lancer de la tomate n'allait surement pas arranger les choses. Il s'amusait de l'attitude de la soit disant haute société, et en même temps, la prenait en pitié...
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Niark

Le Rat ce délectait des scènes qui ce passait autour de lui, drôle de chevalier mal fagoté, hommes en armes, gueux, pire que gueux, noble de tous les étages, il y avait de tout réuni dans ce même lieu.
On pouvait tout dire sur la Douchka au moins elle savait réunir un peux tout, aimants comme ennemies... Mais bon, pour être franc, dans la tête du rat, il savait qu'elle ne le faisait pas exprès, mais pour mettre de l'ambiance, elle était fortiche.

Mais la, entré en fracas de la Duchesse, les hommes ce taisent, bavant devant la petite tenu, un peux osé pour ce genre d'évènement et surtout pour ce lieu, mais bon, chacun aurait pu crier au scandale, que leurs yeux étaient tous tournée dans la même direction, et si je puis me permettre... Pas vers les beau yeux de la Duchesse ça non !
Mais alors que le silence ce fit chez les hommes, ce sont des cris, des chuchotis et des soupires de scandale, de gênes, et de révoltes qui ce firent entendre chez les femmes présente.
C'est vrai que c'était déplacé, mais le rat aurait apprécié que la Duchesse ce présente ainsi vêtu au Conseil Ducal, elle aurait peut être plus facilement créer un mouvement de coalition qui sait...

M'enfin le rat n'eu pas trop le temps de ce rincer l'oeil qu'une main l’agrippa, serrant fort son bras, n'eu t'il pas eu le temps de tourner le regard vers Pelouse que déjà la main s'ouvris et la pauvre amie s'affalait sur lui.
Trop de sensation d'un coup pour la petite sainte Croque Mort, et voila le rat tout ballot, il sait s'y prendre avec un homme dans cette situation, mais avec Pelouse...
Il essaye de bien la placer, l'allongeant comme il peux sur ses genoux, tout en l’éventant de la main, faisant signe aux conseillers Ducaux autour de lui, de faire de l'air.

- Poussez vous, faites place, faut la laisser respirer !!

Et sans ménagement, zou, deux trois claques dans la trogne de la Pelouse, pas trop forte, mais assez pour essayer de la faire ce réveiller.
Puis, ni une ni deux, il sort une petite flasque de sa tenu, un bon vieux calva, bien fort, bien piquant et réchauffant les coeurs.
Et lui ouvrant la bouche, lui pinçant le nez, il en fit couler une rasade dans la gorge de la Pelotine, avant de la lui fermer, la forçant à avaler.
Si avec ça elle ne ce réveil pas...

Mais pas manque de chance, il a loupé toute la scène de la tomate le pauvre !!
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Missanges

Pas encore assise attendant comme tous les bretons, l'entrée de la Duchesse...
Qui fit sensation...
Sourire des uns, gourmands de se rincer les yeux, une couturière avant gardiste la nouvelle Duchesse de Bretagne.
A chacun son opinion, je me levais prenant congé auprès de Précio, je repartis.

L'air frais vint un instant jouer avec quelques mèches de mes cheveux, tandis que mes pas reprenaient le chemin de l'encyclopédie.

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Chanson. Parole et musique de Peter et Missanges de Kerdren Encyclopédie

Pelotine.

L'attente était presque insoutenable , mais jamais Pelotine n'aurait imaginé que l'arrivée de la Duchesse le soit aussi.
Ses yeux se posèrent malgré elle , sur l'anatomie mise en avant de Douchka.

Une main attrape le bras de Niark qui se trouve toujours a ses cotés, tandis que l'autre tente de s'éventer au mieux ... mais ce mieux ne fut pas assez , devant une nudité évidente , la prude Pelotine tourne de l’œil.

La dame de Concoret tombe dans les pommes.
Vertueuse jeune femme dont les goûts vestimentaires ne supportent point les accoutrements scandaleux.

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{Caswallawn}

Bonjour, bonjour !

Alors...remarques HRP entre joueurs par mp uniquement, je vous remercie. Essayez aussi d'être un minimum cohérents dans vos RP. Ca n'est certes pas de notre ressort, un extra-terrestre débarquant au milieu de l'église qu'on aurait pas notre mot à dire, mais évitez de faire interagir d'autres personnages que le votre, sans quoi c'est certain que ça va dégénérer. Si ça dégénère, je verrouille, c'est aussi simple que ça.

Merci d'avance.

Bon jeu (oui, c'est un jeu, si si !) !

{C.}
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Lallie_ap_maelweg

la censure a été plus rapide que moi

Arquant un sourcil, la Duchesse de Poudouvre qui n'avait pas les yeux exorbités fut pourtant bien étonnée que la "Putain de Bretagne"(R) comme elle venait de la surnommer, prenne la peine de s'arrêter à son niveau.

- Ne vous penchez point trop ma chère Duchesse, lui répondit-elle d'un ton qui suintait l'extrême politesse, vous risqueriez d'enrhumer votre seconde gorge.

Un petit sourire aimable, sachant parfaitement qu'elle avait piqué là où ça faisait mal. Elle l'invita à retourner sur le parvis de l'église duquel on l'avait "téléportée", préférant à sa compagnie le bain de foule qu'elle prenait à l’extérieur. Si elle n'avait pas déjà une opinion toute faite sur Douchka, elle se serait étonnée qu'elle ait pu entendre ses paroles...

S'essayait-elle de faire rejaillir sur notre héroïne, toute l'infamie et le déshonneur qui étaient siens ? C'était peine perdue. Ne pouvant supporter pareille proximité avec ce qu'elle considérait être pire que la plus vile des lèpres, elle se recula d'un pas lourd de sens qui aurait à peu près signifié "Garder vos distances, je ne flirte pas avec les coureuses de remparts".

Elle eut ce geste heureux car en cet instant précis une tomate fut projetée en direction de la ribaude et la manqua de peu. Un peu plus et le jus du fruit pourri aurait giclé sur sa toilette de haute facture. Elle au moins avait le goût sûr en matière vestimentaire...

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Le_jack

Jack ne s'attendait pas à croiser un ami lors de cette investiture. Ne sachant pas quand sa fiancée rentrerait de son Tro Breizh, il s'était décidé à y aller seul. Aussi fut-il surpris d'entendre la voix d'Erwin.

Il sourit à ses propos. Oh diantre, c'était vrai! Il avait oublié sa pendaison. Il répondit au pirate:

Demat Erwin. Eh oui, je commence à croire que tu me suis, effectivement!
Clin d'oeil amusé.

Tu me connais, je ne fuis pas les nobles. Mais je sais rester à ma place. Et puis...

Il renonça finalement à dire le fond de sa pensée sur l'exemple donné par les nobles de Bretagne. Sans doute en premier lieu parce que le Vannetais détestait les généralités.

... et puis on ne se met pas en avant lorsque l'on est un condamné en sursit, n'est-ce pas? Surtout que que risquerait d'être démasqué par Cholet!
Ah, voici la nouvelle Duchesse qui arrive. Je te parlerai d'elle à l'occasion... enfin de son passé. C'est ce que tu as besoin de connaître pour comprendre la plupart des propos tenus à son encontre. Les gens se tournent vers le passé, c'est plus confortable.
Pour le reste, tu pourras te faire un idée par toi-même.

Puis il se tut. Non pas qu'il était trop bruyant de parler, car le chuchottement des deux hommes ne dépassait pas le brouhaha émis par les personnes exprimant leurs opinions diverses en ce début d'investiture, mais il préférait écouter que parler. Chacun sa nature...
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Annaell

À l'extérieur, sur la grand-place, Annaell regardait la foule gronder et siffler. Du haut de son cheval, le visage fermé, elle suivit des yeux l'entrée de la Duchesse.

Cela promettait d'être animé.

Elle fit tourner sa monture, et s'en alla, peu désireuse de se mêler à cette mascarade.
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--Mary_la_catin

Douchka a écrit:

Elle releva la tête et se redressa quand un projectile étonnamment rouge la frola pour s'écraser sur... la Duchesse de Poudouvre.

Rassurée, Douchka se dit qu'elle n'était pas seule à avoir des détracteurs.

HRP : merci de respecter les actions RP des autres. Mary a lancé la tomate en direction de Douchka, j'ai écrit son RP de façon à ce que votre personnage puisse l'EVITER si vous, joueuse, le souhaiter, par contre vous n'avez PAS LE DROIT de décider que la tomate va s'écraser sur un autre personnage. Vous pouviez parfaitement, par contre, laisser la tomate s'écraser par terre ou contre une colonne.

Enora_montfort_laval

J'étais assise sur le banc désigné pour ma famille pour attendre l'arrivée de la Duchesse et assister à son investiture.
Au loin, à l'entrée de la primatiale, un tonnerre d'applaudissement et le mélange des chuchotements montaient dans un vacarne assourdissant.
Je me retournais pour tenter d'apercevoir l'orgine de ce déclenchement d'agitation frénétique.
Quelle surprise !!!!
Du blanc , du blanc et encore du blanc. L'immaculé venait de prendre pied entre les colonnes de la cathédrale.

Je ne retenais pas ma langue.
- Si Aristote ne revient pas parmi les siens aujourd'hui, il ne reviendra jamais.

Je reprenais place sur mon banc en souriant.

Gwenael.

Mais !...

Elle est a poil la "Duchesse" ?
Sous le choc de la tenue horrible et indécente de la "Duchesse" Naël ne put finir sa phrase.

Un honte.

Heureusement que les membres du Conseil Ducal tel que Maeve sont la pour remonter le niveau.
Elle au moins, elle a la classe.
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" Nec Jactantia, Nec Metu "

Douchka

Mike.de.naueriels

Secate

--Mary_la_catin

Lallie_ap_maelweg

Douchka

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Aanor

Killdragon

Bahia7

Melancovic

Namyda

--Flippant

Blackbird

Kalonek

Le_jack

Preciodekerroch

Et le monde continuait d'affluer. Les hommes d'armes ducaux aussi. Ce qui n'étonnait guère la Violine. Depuis bien longtemps habituée à voir ce genre de déploiement. Mais cela ne manqua pas de provoquer l'étonnement de Maëllia, qui venait, elle , pour la toute première fois assister à une investiture. C'est que la petite grandissait et Precio et Lanceor, avaient estimé qu'elle pouvait maintenant accompagner sa mère à certaine manifestation importante et symbolique pour la Breizh. Penchant son minois vers celui qui lui ressemblait avec une fraîcheur encore toute enfantine, la Violine lui explique sérieusement à voix basse afin de ne pas perturber le déroulement en cours.

Non Maëllia, ton père ne sera pas présent à cette investiture pour la bonne raison qu'il est à son office auprès du Grand-Duc. Par contre toutes les deux , nous sommes présentes, ce qui est tout aussi important pour ton père. Une investiture, se produit tous les deux mois, lorsqu'un duc ou une duchesse est élue. Ils se doivent de prêter serment auprès du Prélat mais aussi d'un druide des mains duquel il reçoit l'épée de duc ou duchesse. Je te simplifies la chose mais nous en parlerons plus longuement à la maison si tu le souhaites. Puis ne t'inquiètes pas la duchesse tu la verras. Une duchesse digne de ce nom n'a jamais peur ma princesse, et assure son mandat quoi qu'il arrive jusqu'à la fin de son règne. Quoiqu'il arrive qu'il y ait des exceptions mais de cela aussi nous en causerons à la maison, ici n'est pas le lieu.

Un sourire à sa fille et de voir une amie arriver auprès d'elle.

Bonjour belle dame, cette place est prise…

Lueur taquine dans les yeux.

Je crois bien que maintenant elle l'est...
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Pelotine.

Un chuchotis , puis une réponse par un sourire.
Oh oui l'ambiance était tendue.
Oh non Pelotine n'était pas a l'aise.

Une femme était particulièrement surveillée non loin d'elle , une catin vu son accoutrement , une catin -donc- munie d'une cagette de légumes pourris.

La journée promettait d'être inoubliable.
Niark semblait deja jubiler a ses cotés , ce qui arracha un second sourire , discret cette fois ci , a la dame de Concoret.
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Missanges

Mes yeux se posèrent sur les soutanes qui ondulaient, suivant le balancement des corps qu’elles couvraient. Les serviteurs d’Aristote s’affairaient autour de l’autel, les enfants imitaient les gestes des grands, leurs yeux grands ouverts. Une investiture c’est tout de même un événement…
Une voix chaleureuse me fit sursauter,

Demat Missange, ravi de te voir aujourd'hui !!

Anton ! Quel plaisir de te voir, mon regard le détailla, je lui souris, puis me penchant à son oreille…Cela change un homme une investiture tu ne viens pas habillé ainsi à l’encyclo…Je lui fis un clin d’œil…

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Chanson. Parole et musique de Peter et Missanges de Kerdren Encyclopédie

Mike.de.naueriels

Il regarda la catin avec le tomate et se dit qu'il en lancerait bien aussi mais il se rappela qu'il faisait partie du conseil. Le connétable salua les autres conseillers et prit place.
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Maire de Rieux et Connétable de Bretagne.

Niark

Et voila le Rat, jamais il n'avait mis les pieds à une investiture mais la il avait pas trop le choix.
C'était donc tout fringuant qu'il ce présenta, de noir et rouge vêtu, épée à la ceinture et accompagné d'une petite troupe d'Hommes d'Armes, c'est que ça pouvait chauffer à l'investiture, le Duchesse suscitait des polémiques, et des sentiments extrême, certain la divinisait telle une secte accroché à sa divinité, d'autre ressentait plus un sentiment de haine à son encontre, et la voyait comme la vermine dont il faut ce débarrasser.
Le Rat lui, il ne la vénérait pas, loin de la, mais ne la haïssait pas, bien que parfois la faire brûler l'aurait détendu.
Mais bon, les rats sont d'humeur sympathique, ils ne sont pas mesquin, et son bien au contraire, pleins de bon sentiments, toujours prêt à passer à autre chose.

Mais bon, la ne sachant pas comment les choses pouvaient tourner, il avait ramener une petite armée de Cholet, un peux moins d'une dizaine d'homme armée et en armure légère le suivaient.
Mais bien entendu, ils restèrent à l’extérieur de la salle, prêt tout de même à surgir en cas de débordement.
Et puis le rat sait ce défendre tout seul aussi...
C'est donc épée au fourreau, dague dans la ceinture qu'il entra, saluant d'un petit signe de main ou de tête les êtres connu.
Il y a avait de tout, gueux, nobles, très haut noble, religieux, notables... Et même une personne en armure lourde, se qui ne manqua pas de faire pouffer le rat, une telle armure en un tel lieu... D'une la personne dedans devait suffoquer, et de deux, si les choses tournait au vinaigre, elle l'empêcherait de faire quoi que ce soit. C'est bien beau les armures de tournois, les armures de joutes, mais ça empêche pas mal de mouvement en pleine foule.

Pouf pouf pouf, il traversa la pièce pour arriver au coin réservé du Conseil Ducal.
Et par chance une place était libre à côté de Pelotine, saluant les autres conseillers présent, il alla s'installer à côté de sa ténébreuse croque mort.
Se penchant à son oreille.

- Je crois qu'on va s'amuser, l'ambiance a l'air tendu !!

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Maeve

Elle avait d'abord soutenu ne pas venir, pour soutenir Trilo et accuser le fait que Douchka aurait dû démissionner pour que ce poste lui revienne.
Et puis le Conseil s'était mis en place, et puis elle parvenait à travailler dans de bonnes conditions. "Et puis défection, aussi, arrête de te trouver des justifications."

J'entre, et rejoins les places réservées aux Conseillers Ducaux. Sourire à mon amant en passant devant les rangs réservés à la Haute Noblesse.
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Pelotine.

Une investiture de plus.
Pelotine y était comme a toute , membre du conseil ou non.

Elle s'avance rapidement et s'installe a sa place de membre du conseil ducal.
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Maellia_de_kerroch

Maellia tient fermement la main de sa Mère. Elle fit un sourire à Pelotine et quelques autres personnes que Mère appréciait.

- Dis Mère? pourquoi il y a des personnes qui sont habillés comme Père et c'est quoi une investiture? Ca sert à quoi? et puis Père il viendra avec nous? Elle est où la Duchesse? et si elle vient pas qu'elle a peur?

La petite n'était pas rassurée en voyant tous les hommes avec leur armures, elle se taisait et attendait.
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--Mary_la_catin

Trop facile, de s'entourer de soldats. Trop facile, d'empêcher les gueux de crier leur mécontentement... Trop facile, de se boucher les oreilles pour ne pas entendre l'indignation de son propre peuple !!

Mary fulminait de voir déjà toute une troupe de petits chiens bien élevés surveiller les quelques gueux qui étaient là pour défendre l'avis du peuple...

Rien de plus que l'oppression d'un peuple par une femme qui avait menti pour être élue.

La catin s'éloigna, cherchant un meilleur angle de vue et de tir. Elle se fondit dans la foule. Elle savait qu'ils étaient plusieurs à guetter, munis de fruits pourris et de quolibets. Pas question de laisser se pavaner une duchesse élue grâce à un mensonge.

Esmica

Faisant parti du conseil ducal, la jeune femme devait être présente à la cérémonie d'investiture de sa Duchesse. L'amertume et la rancune, tout cela elle avait mis de côté même oublier, elle commençait à apprécier un peu la Duchesse, oui oui c'est peut être difficile de croire.
Elle entra dans le lieu sacré, se signa, avant d'avancer. Nombreuses tête qu'elle connait étaient déjà présente. Elle les salua tout en avançait pour prendre place au près des autres membres ducaux. Elle s'inclina légèrement devant son futur Duc Gwenael, puis s'installa au près d'un ami Anakin, le saluant.

Demat Mon Capitaine. Sourit en attendant la suite.
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Vicomtesse de Pleuvihan
Procureur de Bretagne
Ex Mairesse de Reoz
Adjointe au Maire de Reoz

Antonslavik

fatigué par le voyage et soulager d'être, cette fois-ci, à l'heure, Anton. IL devait au moins ça à Douchka afin d'honorer tout ce qu'elle a fait pour lui ainsi que son amitié. Enveloppé de sa plus belle tenue d'apparat, Anton entra calmement dans la capitale et prit la direction de la primatiale. L'activité dans la cité était au beau fixe en ce grand jour. Beaucoup de monde était venu participer à l'investiture.
Néanmoins, Anton remarqua que le climat était tout autre sur le parvis de la cathédrale qu'il traversa. Il senti chez certain de l'indignation à devoir assister à l'investiture. La haine que certain n'ont cessé d'alimenter, par intérêt du pouvoir, envers Douchka détériore la liesse qu'engendre ce genre d’évènement, à la grande déception d'Anton. Il savait, que par devoir envers son amie, qu'il devait être là pour la soutenir derrière tous ces requins qui n'attendent qu'une erreur pour la massacrer sans sommation.

Entrant dans la cathédrale, il salua plusieurs de ces collègues qu'il n'avait pas croisés depuis un moment comme Anakin qui semblait assurer la sécurité. Puis il vit Missanges s'installant. Anton alla la rejoindre pour la saluer chaleureusement.

Demat Missange, ravi de te voir aujourd'hui !!
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Gwenael.

Duc, il lui fallait d'être la... Helas.
Bien présent pour l'investiture de Douchka il arrive et vient s'installer sur une place réservé a la Haute Noblesse...

Grmbl.
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" Nec Jactantia, Nec Metu "

Missanges

Le reflet de la psyché renvoya une image d’une belle femme. Oui, cette femme qui se regardait à ce moment là, était belle extérieurement comme intérieurement. Une jeune femme qui toisait son miroir, pouvant ouvrir ses yeux sans crainte de le voir se fissurer, ou de voir la glace se briser en mille morceaux.

Elle ! L’enfant pas assez rayonnante, trop invisible à un moment donné…Elle, qui avait grandi, égalant, dépassant…
Et voilà, le souci…
Lorsqu’un enfant est jeune on lui dit d’attendre, de mûrir, d’apprendre et lorsque le moment est là, lorsque la chrysalide se fend, tout d’un coup c’est une potentielle rivale…

Mes grands yeux verts me renvoyèrent une image qu’au fond de moi je savais, femme sans avidité, femme oeuvrant seulement pour Breizh, mais qu’une bouffée de vent ramenée un soir avait atteint dans sa sensibilité…

Prenant un mouchoir je souris dans cette glace, la vraie reconnaissance est celle des amis et des bretons, pas de celle qui manigance en sous main…
Le mouchoir en poche, je sortis, prenant la direction de l’investiture.

Rester neutre ! C’était sans doute la première ligne de conduite que je m’étais imposée dans cette jungle, où les oiseaux malsains volètent plus vite qu’ailleurs.
Neutre, c’est dans cet état d’esprit que j’entrai dans la primatiale afin d’assister à la cérémonie de la quarante quatrième Duchesse de Breizh.
Nombreuses connaissances étaient déjà assises et je les gratifiais d’un sourire et d’un signe de tête avant de voir mon amie Précio, je pris place auprès d’elle, lui murmurant taquinement,
-Bonjour belle dame, cette place est prise…

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Chanson. Parole et musique de Peter et Missanges de Kerdren Encyclopédie

Ankou

Il fallait envoyer les courriers, préparer tout les papiers pour que tout soit en ordre, dernières consignes au contremaitre qui gérait les mines et enverrait les plis au moment adéquat. La liste des travaux à effectuer était prête, les derniers dossiers épluchés.... Tous mes devoirs défilaient dans ma tête, debout depuis les premières heures du matin, je mettais mes affaires en ordre alors que déjà le soleil se levait.

L'investiture, en tant que conseiller, mon devoir était d'y participer évidemment, je participais de toute façon à toute les investitures même si certaine n’avais pas toujours été à mon gout.
Mais j’avais une autre raison toute personnelle qui motivait ma présence, j’espérais bien l’apercevoir même si c’est fois nous ne serions pas assis cote à cote.

Sur le parvis la foule c’est rassemblée sur la place et se fait de plus en plus dense, à mesure que l'ont approche du portail.
Devant le porche je reste là un moment, à écouter à gauche à droite, de ci de là, suivre un peu toutes les discussions, sans vraiment y prendre part, le fiel se déversais parfois mais aussi la joie et l’espoir.
En venant j’avais remarqué aussi une drôle de jeune fille avec des fruits rouge que je n’avais encore jamais vue ! La drôlesse ne devait pas avoir toute sa raison car elle restait dans l’ombre au lieu de sortir au grand jour pour participer à la fête et à l’union des Bretons, comme si elle voulait se cacher et quelle avait honte d’elle même.

Entré dans la nef, je suis comme d’habitude impressionné par l’édifice, fière, flamboyante, les voutes élancés donne l’impression d’une certaine majesté qui apaise et incite à méditer, des sièges sont disposés, sur lesquels prennent place les prélats.
En passant les portes je m’inquiète de mon retard en voyant déjà du monde, j’entre alors en toute discrétion mais ça n'avait pas encore commencé fort heureusement, rassuré, me faisant discret, saluant ici et la mes amis et connaissances d'un sourire ou en inclinant la tête.
Puis j’aperçois le Capitaine Anakin au loin, lui faisant un signe de la main
Je le rejoins et je vais prendre place à l'endroit réserver aux conseillers attendant que la cérémonie commence, sourire aux lèvres.

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Anakin41

Anakin se devait d'être là...
Oh pas seulement parce qu'il était de nouveau le Capitaine de Bretagne, mais surtout en tant qu'ami de la nouvelle Duchesse.

Il entra dans le batiment religieux, se signant avant de s'avancer dans l'allée centrale. Instinctivement, son regard balaya l'ensemble. Sans un mot il fit un signe de la main, chuchota quelques mots dans l'oreille du soldat de l'ost qui l'avait rejoint.

Surveillez-moi celui-là, et celle-ci.

Ah vos ordres, mon Capitaine, répondit l'homme avant de retourner voir les autres gardes pour diffuser les instructions.

Il poursuivit ensuite sa marche, saluant les personnes présentes puis alla s'installer là où il serai au plus pres de la Duchesse.
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Papincourt

Papin était là, il espérait voir la Duchesse, enfin, il espérait surtout qu'elle le voit lui, mais vue que certains du peuple était munis de fruit pourris de tête sombre aux allures des plus douteuses qui soit permises en ce jour, certains apportaient même des porcs ..... il se disait en lui même, triste Breizh.

Puis prêt à toutes éventualités c'est bien armé de sa gaule de pêcheur... qui sait ce qu'on peu pêcher en ce jour....des tomates volantes....des fuyards équipés de couteau... Mais plus solidement c'est bien de sa hache tranchantes 5 fois, et son bouclier neuf qu'il défendra la Duchesse corps est âmes à l'extérieur du Cortège. Car il n'était pas noble, lui aussi du peuple, mais lui, il aimait et appréciait fort bien la Duchesse.Il envoya aussi à des amis archers et chevaliers pour bien que tous les alentours soit couvert, et que les troubles fêtes soit traînaient en Justice s'ils n'ont pas reçut trop de Flèches Rouge ou de coup d'épée mortel comme ce Cochon possédé d'une force qui est évidement non Aristolicienne pour sure.

Ainsi papin se tenait sur les bords du cortèges aux abords Droite, puis par l’arrière, puis par Bâbord. . . jusqu’à ce que la Duchesse Soit en sécurité et non seulement en sécurité mais non souillé par des fruits et légumes qui ferait mieux d’être confis en échoppe pour en faire de "la bonne poire" à boire...après etre descendu de cheval, bien sure.C'est donc de grande joie remplis, que papin apercut et travailla avec le Capitaine Anakin qu'il reconnu aisaiment à sa maniere élégante de diriger ses hommes et sa monture.

Concentrait sur la protection de la Duchesse et sur la bonne communication entre tout les corps d'armes civil et amis. Il ne pu à son grand regret.... etre paissiblement assi sur le bord du chemin qui menait à l'investiture, criant : VIVE LA DUCHESSE de COEUR DOUCHKA notre bien aimé". Hélas ... non ... pas cette fois trop de gens encore ne l'aimait pas et il voulait la proteger contre ça.

Elicas

Les ordres furent donnés, la Garde Épiscopale avait en charge le bon déroulement de l’investiture. L'aspirant-Lieutenant dut revêtir ses galons ainsi que ses médailles, il se devait de faire bonne impression. Il était exigeant avec ses hommes, celui-ci devait donc être irréprochable.

Arrivant devant le Primatiale de Bretagne, Elicas prit position en haut des marches pour pouvoir scruter la foule d'un oeil observateur. Sa position lui permit de faire face à un bien pitoyable mise en scène. La main sur le pommeau de l'épée, Elicas prononça d'un voix autoritaire :

Circulez, s'il vous plait !
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Aspirant-Lieutenant des Saintes Armées Bretonnes.

Preciodekerroch

Présente elle était. Parce que c'est ainsi, lorsqu'elle est en Bretagne, elle assiste à toutes les investitures. Qu'elle ait des accointances et des affinités avec la personne élue ou pas lui importe peu. Il est du devoir des nobles d'être présent lors des investitures, et elle s'y prête avec toujours autant de rigueur. La vicomtesse-consort s'installe donc sur l'un des bancs, ne prêtant aucune attention au spectacle qui se déroulait au-dehors. C'était à se demander quelle image de la Breizh se tenait donc là.

Et avant que la cérémonie ne commence, c'est pour le Grand-Duc que son attitude se fait pieuse, et qu'elle adresse une prière.

La Breizh, rien que la Breizh et toujours la Breizh, cela est son crédo à elle.
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Melancovic

Il était venu pour Bahia il serait là aussi pour Douchka.

C'est marrant il y avait un cochon qui GggggggggggrRRRRrrroooooooIIIIIIinnnnnGGGGgggg

Ca devait être le masque qui l'avait sur la tronche qui l'empêchait de parler correctement, Melancovic entrevu le visage du goret déguisé en cochon, dommage d'avoir mis un masque car, il ressemblait bien plus à une truie sans.

Le dos appuyer contre l'église Melancovic attendait un peu avant de rentrer.
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Camille.

L'investiture, moment sacré d'une tâche temporelle. Les Ducs passaient mais l'impact de l'investiture rappelait à chacun qu'ils étaient là pour le bien de leur peuple sous le regard bienveillant du Très Haut. Camille avait pris le temps d'enfiler une soutane de lin pâle, simple et longiligne.

Elle prit place parmi les clercs venus représenter le soutien de l'Eglise à la Bretagne. Les querelles politiques, les actions de la plupart avait leur place dans le temporel qu'ils régissaient, et ce n'était certes pas à elle de juger. Sa place et celle des clercs étaient ailleurs, à veiller au salut des âmes des bretons, dans le temps et les générations successives qui peupleraient cette terre.

Les cloches enfin se mirent à sonner, la tirant de sa réflexion. Elle sourit avec affection aux clercs présents, serviteur de la Sainte Eglise, et tous prirent le chemin de la Primatiale en un cortège immuable et serein.
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{Caswallawn}

Bonsoir à tous,

Je vous rappelle, à toutes fins utiles, qu'un pnj est censé être crée pour apporter au RP. Qu'un assassin, le couteau entre les dents, tapi dans l'ombre, fomente un attentat contre une duchesse, et même si c'est irréalisable puisqu'on peut imaginer qu'elle soit sous bonne escorte, pourquoi pas. Ca passe.
Mais spider cochon, là, franchement, je ne vois pas...même s'il peut marcher au plafond...

Je vous rappelle aussi que je peux demander l'identification des pnj, si j'en ressens le besoin.

Fort de cela, je demande à l'auteur de ce mémorable post de le supprimer, sinon je le ferai dès demain moi-même.

Réclamations (car évidemment vous avez le droit d'objecter) par MP uniquement.

On surveille évidemment ce topic comme le lait sur le feu. Tout débordement entraînera immédiatement le verrou momentané du topic, le temps que les esprits se calment.

It's just a game ! Have fun !

{C.}

Edit du 13/04/12 : message spider-cochon supprimé, même si l'auteur l'avait préalablement effacé. Merci à lui d'être revenu à de plus RPistes considérations !

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Pouilloux

Pouilloux est présent pour l'investiture, sans la demande de l'Archevêque, il n'aurai pas fait l'effort de se déplacer. Non qu'il reproche quoi que ce soit à la Duchesse, mais c'est que ces derniers temps le pouvoir temporel l'indiffère complétement. Pourquoi donner de l'importance à ce pouvoir futil? Etre des fonctionnaires c'est la seule chose que Pouilloux veut voir en eux. Des personnes qui travaillent pour le Duché et non pour eux. Mais l'investiture reste un instant important dans le vie Bretonne, pour sa culture, pour montrer pour ceux qui ne le savent pas que le clergé Breton est présent dans tous les instants important.

Il prend place dans le cortège avec les autres clercs. Et c'est au son des cloches que le cortège progresse dans la primatiale.

Edit pour ôter les HRP
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Chevalier_

Le chevalier entendait un cochon brailler. Il regarda le soldat non loin qui rigolait comme un bêta.

- Égorgez moi ça, ça fera de la boufaille pour ce soir après l'investiture de notre Duchesse. Puis ça nettoiera la place....

Le ton était sec clair et net. Le mieux était que le cochon s'en aille vite, quoi-que les hommes auraient faim..

Melyane.

C'est près d'Hugo, en tant que Diacre que j'arrivais à l'Investiture.
Il fit signe d'aller ouvrir les portes de la Primatiale, proche de celle-ci je fis les pas qui menaient aux lourdes portes que j'ouvrais, puis je me mettais dans le cortège non loin de notre Évêque, l'autre diacre sonnant les cloches.

Curieuse j'avais hâte de voir ce qu'il se passait dehors et également de voir si la Duchesse avait une jolie tenue pour l'occasion.

Olixius

Oli n'était pas un habitué des investitures, loin de là. D'ailleurs, cela faisait quelques temps qu'il ne s'était pas rendu à l'une d'elles.
Néanmoins, il avait eu vent de certaines vomissures, de certains projets putrides pour accueillir une Duchesse qui avait le chic d'attiser contre elle la haine d'une caste bien installée dans la Bretagne, depuis fort longtemps.

Que la moindre tête un peu nouvelle émerge en Bretagne, et il y aura toujours une épée à deux mains nichée par là pour tenter de la couper.
L'homme sait être un chien, toujours prêt à pisser aux quatre coins de son petit territoire. Fallait pas toucher à sa gamelle, et tous les défauts du monde seraient toujours trouvés chez qui viendrait bousculer les petits pouvoirs souvent imaginaires des uns et des autres.

Le briochin prit donc cette fois de son temps et se rendit à la Primartiale. Il prendrait également un peu de temps pour saluer Hugo à la fin de la cérémonie, mais hélas à ce moment là le spectacle semblait ailleurs. Un spectacle bien affligeant d'ailleurs.
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Albi95

Il arriva en se faisant discret suite à l'appel lancé par le prélat.

C'est alors qu'il vit 2 individus louches et suspects. Il ressentait en eux de la haine.

Il les dévisagea et comprit vite qu'il n'était pas là par hasard...

Mais cela tombait bien, il avait besoin d'entrainement et au moindre mouvement, il n'hésiterait pas à protéger la Duchesse au péril de sa vie.

Chevalier_

Tout le monde se doutait bien qu'il y aurait des anti-douchka, mais voilà il y avait ceux qui appréciait le travail de cette personne.
Son nom est Chevalier, pas le chevalier cheval !
Il avait prévenu sa garde, la garde privé de la Duchesse.
Le périmètre était bien gardé, on n’abattrait pas la Duchesse ce jours.
Les ordres étaient simple, discrétion - protection et surtout on n’hésite pas à battre son adversaire ensuite cachot - s'il est en mesure de survivre - Il sera jugé comme les autres.

Un soldat non loin

-Bon, f'est bin parce que l'ordensmarschall Vous l'a d'mandé!Vous pouvez aller faire un tour sur le chemin de ronde!
Moi je garde l'oeil sur l'entrée!

Le Chevalier acquiesçait, les hommes étaient en place en dehors de la primatiale, à l'entrée, non loin d'Elle quand elle sera là.
Il ne la quitterait pas des yeux, pas une seconde, qu'elle se gratte le fessier discrètement ou qu'elle éternue, rien ne lui échapperait.
Elle était sa priorité.

--Mary_la_catin

Mary guettait l'arrivée du cortège. Renfoncée dans un coin d'ombre, elle triturait dans son tablier une demi-douzaine de tomates pourries qu'elle s'efforçait de ne pas massacrer avant l'arrivée de la Douchka.

Elle ne la louperait pas, la garce.

--Flippant

Il était là, pas loin, le portrait de la Duchesse bien en tête.Une bien belle femme, avec qui on passerait bien un bon moment au lieu de la percer d'un coup de dague.Mais yaurait pas le temps, la mission était périlleuse. Un coup net en plein coeur et la fuite rapide. Il regardait autour de lui pour s'imaginer la scène et trouver par où s'échapper.Avec un peu de chance, elle aurait pas trop de gardes autour d'elle, ça devrait être facile et surtout c'était bien payé.Il jeta un oeil à une fille aux jupons sales qui malaxait des tomates, elle croyait lui faire mal avec ça, bah il lui laisserait peut être en jeter une ou deux avant de s'occuper d'elle, faut bien que tout le monde s'amuse.

Hugo.

Aujourd'hui une cérémonie importante allait avoir lieu, l'Investiture du Duc ou Duchesse marquant le début du mandat.
Il aimait faire les Investitures, ce coté si solennel et la pureté du serment que prononçait l'élu.
Malgré tout, le Prélat n'était pas très joyeux, les élus n'avaient pas eu un comportement très Aristotélicien et n'avait pas été respectueux des Bretons, il n'allait pas manquer de le faire savoir. Certes ça n'allait pas plaire, mais qu'importe, quand le troupeau s'égare le berger le ramène.
Se préparant dans la sacristie il prenait bien soin de mettre ses vêtements liturgiques, certes il n'avait pas besoin de se cacher dans la primatiale mais il tient à faire le plus grand effet devant les élus.
En y repensant il souriait à la proposition d'un de ses clercs d'amener quelques Gardes Épiscopaux, certes les élus ne s'aimaient pas mais il espérait qu'ils allaient au moins pouvoir rester calme durant la cérémonie.
Une fois près, l'Archevêque fit signe à un diacre d'aller ouvrir les portes puis de sonner les cloches, les autres formaient le cortège qu'il allait comme à son habitude refermer.

BONG, BONG, BONG !

Avançant dans la Primatiale, il prenait l'habitude de saluer les fidèles déjà présent, signe de sa proximité avec les Bretons. Une fois arrivé devant l'autel il laissa les clercs s'incliner devant quand il se mit à genoux avant de prendre place.
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Pelotine.

Et c'est avec un grand sourire qu'elle accepte.

Oh oui... partons vite , je ne supporte plus d'être ici et puis de toute façon je pense ne pas me tromper si je précise que nous ne semblons pas en sécurité.

Hop , elle suit Roxanne sans tarder , cette histoire avait été assez longue.
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Coldtracker

Il interpella Roxanne et lui dit à voix basse:
-"Tu feras attention et mettra nos gens au courant, j'ai la grande chance de ne pas voir grand chose m’échapper dans la cohue qui a suivi la cérémonie, j'ai vu Aanor remettre une missive à Douchka lors de la suite, j'y ai vu les armes de Milouse....

Pour la discretion, c'est raté..."

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Une guerre à mener?De Morrigan-Montfort à vostre service...

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Investiture de Douchka