Douchka
Douchka affichait un visage serein, les pluies d'insultes, même issues de haut rang, elle en souriait.
Le manque d'argument pour ne pas reconnaitre son investissement, son dévouement pour Breizh et le travail accompli, dérivait en menaces, insultes et hélas toujours les mêmes.
Son intégrité et son honnêteté n'était plus à démontrer. Elle faisait partie de ceux qui pensent aux autres avant elle.
Son statut de gueuse encore à ce moment précis démontrait à quel point le faste et les écus ne l'intéressait pas, sauf si c'était ceux de Breizh.
Devenait on forcément ainsi losqu'on passait noble? Beaucoup de Bretons devaient se poser la question, en espérant ne jamais le devenir.
Elle écoutait, concentrée les paroles de Monseigneur Hugo, il avait le verbe juste et nul doute qu'il se ferait entendre par ceux qui savent écouter ou sont encore là pour le faire.
La pureté du blanc, qu'elle affichait marquait le symbole de ce que nous sommes quand défait de tout superflu, reste l'être.
C'est nu que nous sommes venus au monde, c'est nu que nous nous avancerons lors du jugement dernier.
Beaucoup n'avait pas compris, prenant cela comme une insulte, une provocation. Que faire face à des gens si terre à terre, à part attendre que leur esprit s'élève. Pardonnez leur, Seigneur
Nul titre, nul écu n'aura effet sur ce que nous aurons fait de notre vie et la conscience que nous afficherons à ce moment là de notre bref passage sur terre sera seul, ce qui restera.
Et sa conscience elle l'avait pour elle.
Ce qu'Aristote lui avait infligé comme obstacles, ce qu'Aristote lui avait demandé de prouver en matière de courage et d'abnégation, se relever à chaque fois, plus forte et plus convaincue encore, continuer, avancer et travailler, elle ne l'avait jamais perdu de vue.
Le manque d'argument pour ne pas reconnaitre son investissement, son dévouement pour Breizh et le travail accompli, dérivait en menaces, insultes et hélas toujours les mêmes.
Son intégrité et son honnêteté n'était plus à démontrer. Elle faisait partie de ceux qui pensent aux autres avant elle.
Son statut de gueuse encore à ce moment précis démontrait à quel point le faste et les écus ne l'intéressait pas, sauf si c'était ceux de Breizh.
Devenait on forcément ainsi losqu'on passait noble? Beaucoup de Bretons devaient se poser la question, en espérant ne jamais le devenir.
Elle écoutait, concentrée les paroles de Monseigneur Hugo, il avait le verbe juste et nul doute qu'il se ferait entendre par ceux qui savent écouter ou sont encore là pour le faire.
La pureté du blanc, qu'elle affichait marquait le symbole de ce que nous sommes quand défait de tout superflu, reste l'être.
C'est nu que nous sommes venus au monde, c'est nu que nous nous avancerons lors du jugement dernier.
Beaucoup n'avait pas compris, prenant cela comme une insulte, une provocation. Que faire face à des gens si terre à terre, à part attendre que leur esprit s'élève. Pardonnez leur, Seigneur
Nul titre, nul écu n'aura effet sur ce que nous aurons fait de notre vie et la conscience que nous afficherons à ce moment là de notre bref passage sur terre sera seul, ce qui restera.
Et sa conscience elle l'avait pour elle.
Ce qu'Aristote lui avait infligé comme obstacles, ce qu'Aristote lui avait demandé de prouver en matière de courage et d'abnégation, se relever à chaque fois, plus forte et plus convaincue encore, continuer, avancer et travailler, elle ne l'avait jamais perdu de vue.
Citation:
Douchka, approche !
Douchka, approche !