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[RP] Toi et moi c'est pour la vie

Lexhor
Le maréchal se saisit alors des armes du nouveau seigneur et les lui tendit.

Voici pour vous, seigneur Judas Gabriel Von Frayner, les armes de votre fief de Courceriers.



Portez-les fièrement et n'oubliez pas que vous devez désormais vous comporter selon le vivre noblement.

Le maréchal s'en retourna ensuite à son pupitre rédiger et sceller le contreseing.

Voici pour vous, baronne.

Citation:
Par la présente, nous, Lexhor d'Amahir, dict Orléans, Duc d'Alluyes, Baron d'Auneau et de Château Landon, Seigneur de Pléaux, Maréchal d'Armes et Pair de France, faisons acte de la demande de dame Erwelyn Corleone, Baronne d'Evron, quant à l'octroi de la seigneurie de Courceriers, sise en la baronnie d'Evron, à messire Judas Gabriel Von Frayner.

Après recherches héraldiques dument entérinées, le fief de Courceriers est bien seigneurie vassale de la Baronnie d'Evron.

Après consultation d'armoriaux, les armes se référant à la dite seigneurie sont: "De gueules à la bande d'argent, accostée de deux cotices d'or."
Soit après dessin :



Ci-joint une lettre patente de la baronne d'Evron, Erwelyne Corleone, dûment authentifiée attestant de sa volonté d'octroi d'une seigneurie à messire Judas Gabriel Von Frayner :


Citation:
À vous, Orléans, Maréchal d'armes du Maine,
De nous, Erwelyn Corleone, Baronne d'Evron, Dame de Saint Antoine de Rochefort

Pour ses services rendus à notre personne, pour son soutien sans faille, pour renforcer cet attachement de marraine à filleul qui nous lie déjà, nous souhaitons octroyer la seigneurie de Courceriers à sieur Judas Gabriel Von Frayner, notre filleul devant Aristote, fief mouvant de notre baronnie d'Evron.
Nous aimerions que cette cérémonie ait lieu en notre seigneurie de Saint Antoine de Rochefort, le dimanche huit avril quatorze cent soixante.

Faict en la baronnie d'Evron,
Le vingt-huit du mois de mars de l'an quatorze cent soixante.

Erwelyn Corleone dicte la Rose ou Poney rose porte bonheur à huit doigts




Par notre scel, actons ce document comme valide et conforme aux règlements héraldiques et attestons avoir été témoin de l'échange des serments vassaliques entre l'octroyant et l'octroyé.

Ce fut faict et scellé en double queue sur cirre jaune, à Saint-Fargeau, le quatorzième jour de février de l'an de grâce mille quatre cent soixante.








[Bonjour, Bonjour,
Retrait de l'image par mes soins, car hors norme. Merci de prendre connaissance des Règles d'or du coin des aRPenteurs.
Bon jeu, bon RP,
Modo Mahelya]

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Judas
Couronne et armes, voilà notre Judas fièrement garni des artifices nobiliaires, l'oeil un peu vague, la lippe sèche. Ha! Et la baronne d'en rajouter, achevant son vassal d'un bon coup de masse d'arme dans la tête. On ne soupçonne pas assez le poids des mots!

Lorsqu'il se redressa tenant en ses mains le cadeau empoisonné du maréchal et de sa perfide complice, il balbutia quelques mots incompréhensibles. L'histoire nous apprendra qu'il avaient un peu la teneur d'un " A la première occasion, je me tire, et personne ne me mariera, foy de Judas", a défaut d'un remerciement.

Ne dit-on pas que l'espoir fait vivre?

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