Emma.
La blonde s'était naturellement rendu dans la Rue des Maraudeurs, un nom pas facile pour une auberge, mais le quartier était pittoresque et chargé de bonne humeur, elle avait reprit la maison de sa soeur, elle avait demandé certains aménagements nécessaire pour l'auberge et a présent tout est prêt pour y accueillir, amis, voyageurs et autres..
Un instant elle resta devant la battisse, tout était différent désormais, mais cette maison allait renaitre, reprendre vie, déjà les fleurs en éclosion lui rendait son charme, le jardin aménagé en petit lieu où il ferait bon de prendre le repas les soirs d'été lui donnait un aspect calme et paisible..
Elle s'approcha doucement, comme une Demoiselle au coeur affolé, son émotion était à son comble, elle regarda sa propre maison à quelques mètres de là et ferma les yeux, souvenirs brûlants, cette maison lui rappelait beaucoup de choses... elle avait ce côté brut et ce côté doux à la fois, les pierres tannées par le temps, elle surplombait la ruelle, les champs alentour et embrassée de sa hauteur la beauté Franc Comtoise.
Prenant une goulée d'air la Blonde, remonta doucement les marches, ses yeux se perdant vers l'horizon, le cadre était magnifique, du haut de la terrasse qui donnait dans la rue, on pouvait y voir de cet endroit, les rondeurs du Comté et sentir la douce odeur que dégageait les alentours, embrassé du regard les couleurs doré des champs alentour, elle prit appuis un instant sur le rebord de pierre, se laissant aller à sa rêverie, tout était intact dans sa tête et en ces lieux..
Elle tourna les talons, scruta la porte espérant peut-être que celle-ci s'ouvre sur le trésor de sa vie, puis posa la main sur la poignée, ouvrit doucement la porte, espérant bien que l'aménagement était enfin fini, une vague fraiche vint se glisser sur son minois et son regard s'émerveilla devant les travaux accomplis, une salle magnifique se dressait devant elle, elle fit ses premiers pas dans ce nouveau lieu, un peu hasardeuse, touchant à tout, vérifiant chaque détail, dans sa tête elle était satisfaite, dans son cur se réalisait un rêve.
Elle prit la direction du comptoir, le tabouret haut était déjà à sa place prêt à accueillir sa digne tavernière, sa fée Clarri, elle rayonnait de jours en jours et elle espérait que ce cadeau lui plaisait, bien que la Blonde, n'aimait pas trop les regards insistants sur le corps de sa petite princesse, elle était son âme, son coeur et n'appréciait pas qu'on lui fasse du mal, elle passa une main sur le comptoir en bois massif, rien n'avait été omis et ses économies avaient était creusée pour cet endroit, mais elle sentait que cela serait un bon investissement, que plein de choses viendrait ici.
Se tournant vers l'escalier, elle posa sa main sur la rambarde et monta à l'étage, les odeurs de fleurs se faisant sentir, elle respira un peu plus, quatre chambres avaient été faite, pour le moment elle jugea cela bien suffisant, poussant doucement la porte de la Chambre Blanche elle fut surprise elle-même devant la douceur et l'apaisement que procurait cette pièce.
La fenêtre ouverte, laissait venir un courant d'air frais, tournant dans la pièce elle enleva quelques poussières qui étaient venues se perdre, puis se postant devant la fenêtre elle admira le paysage, le vieux chêne n'avait pas bougé, il était toujours là fier et droit, elle pensa que bientôt elle se rendrait à son pied pour s'y recueillir comme elle aimait le faire par le passé.
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Un instant elle resta devant la battisse, tout était différent désormais, mais cette maison allait renaitre, reprendre vie, déjà les fleurs en éclosion lui rendait son charme, le jardin aménagé en petit lieu où il ferait bon de prendre le repas les soirs d'été lui donnait un aspect calme et paisible..
Elle s'approcha doucement, comme une Demoiselle au coeur affolé, son émotion était à son comble, elle regarda sa propre maison à quelques mètres de là et ferma les yeux, souvenirs brûlants, cette maison lui rappelait beaucoup de choses... elle avait ce côté brut et ce côté doux à la fois, les pierres tannées par le temps, elle surplombait la ruelle, les champs alentour et embrassée de sa hauteur la beauté Franc Comtoise.
Prenant une goulée d'air la Blonde, remonta doucement les marches, ses yeux se perdant vers l'horizon, le cadre était magnifique, du haut de la terrasse qui donnait dans la rue, on pouvait y voir de cet endroit, les rondeurs du Comté et sentir la douce odeur que dégageait les alentours, embrassé du regard les couleurs doré des champs alentour, elle prit appuis un instant sur le rebord de pierre, se laissant aller à sa rêverie, tout était intact dans sa tête et en ces lieux..
Elle tourna les talons, scruta la porte espérant peut-être que celle-ci s'ouvre sur le trésor de sa vie, puis posa la main sur la poignée, ouvrit doucement la porte, espérant bien que l'aménagement était enfin fini, une vague fraiche vint se glisser sur son minois et son regard s'émerveilla devant les travaux accomplis, une salle magnifique se dressait devant elle, elle fit ses premiers pas dans ce nouveau lieu, un peu hasardeuse, touchant à tout, vérifiant chaque détail, dans sa tête elle était satisfaite, dans son cur se réalisait un rêve.
Elle prit la direction du comptoir, le tabouret haut était déjà à sa place prêt à accueillir sa digne tavernière, sa fée Clarri, elle rayonnait de jours en jours et elle espérait que ce cadeau lui plaisait, bien que la Blonde, n'aimait pas trop les regards insistants sur le corps de sa petite princesse, elle était son âme, son coeur et n'appréciait pas qu'on lui fasse du mal, elle passa une main sur le comptoir en bois massif, rien n'avait été omis et ses économies avaient était creusée pour cet endroit, mais elle sentait que cela serait un bon investissement, que plein de choses viendrait ici.
Se tournant vers l'escalier, elle posa sa main sur la rambarde et monta à l'étage, les odeurs de fleurs se faisant sentir, elle respira un peu plus, quatre chambres avaient été faite, pour le moment elle jugea cela bien suffisant, poussant doucement la porte de la Chambre Blanche elle fut surprise elle-même devant la douceur et l'apaisement que procurait cette pièce.
La fenêtre ouverte, laissait venir un courant d'air frais, tournant dans la pièce elle enleva quelques poussières qui étaient venues se perdre, puis se postant devant la fenêtre elle admira le paysage, le vieux chêne n'avait pas bougé, il était toujours là fier et droit, elle pensa que bientôt elle se rendrait à son pied pour s'y recueillir comme elle aimait le faire par le passé.
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