[RP ouvert ] Un peu de féminité dans ces histoires de fesses

Alors ils l'avaient fait... les yeux rivés sur l'affiche, Oranne souriait.
Le concours aurait lieu, finalement.
Un petit coup d'oeil à la ronde, quelques silhouettes connues, d'autres non, femmes, hommes, lycans ou non, Bara avait attiré du monde.

Elle s'approcha lentement du beau brun, un léger sourire aux lèvres. Après tout, ce pourrait être en quelques sortes son baroud d'honneur, qui sait ?

Bonjour joli coeur, dis-moi, on peut s'inscrire jusqu'à quand, à ton petit défilé ?
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*Alors qu'elle avait quitté l'artiste dans un état de fureur indescriptible, pas tout à fait heureuse du déroulement final de leur petite affaire, la flamboyante rousse vit une affiche concernant un concours des plus singuliers. Elle ne put s'empêcher de sourire en son for intérieur, se disant qu'il serait peut-être amusant pour une fois de sortir de ses magouilles pour participer à un tel événement.

Son corset baillant toujours après avoir été dénoué par ce malotru, elle ne pouvait décemment aller nulle part. Elle se rendit donc avant tout dans ses quartiers pour changer les lacets du corsets et le resserrer comme il le fallait. Elle en profita pour gueuler sur quelques-uns de ses hommes à tout faire et pour vérifier les rentrées de la journées, ensuite elle se rendit directement sur le lieu du concours.

Lorsqu'elle arriva sur place, elle se dirigea directement vers l'homme qui semblait orchestrer toute la cérémonie et se pencha sur lui avec un sourire des plus sensuels.*

Bonjour à vous mon beau ... Je m'en viens participer à votre petit concours. J'ai ouï dire que vous cherchiez le plus beau fessier de Sarlat... Ne cherchez donc plus !

*Glissant le bout de son doigt entre ses lèvres, elle le mordilla doucement en plongeant son regard dans celui de Bara.*

On reconnaît un roux parmi mille hommes... mais on reconnaissait Slad dict le Flamboyant parmi mille roux ! Depuis plusieurs semaines déjà il avait réussi à faire venir un marchand de Venise, ville de décadence pour s'offrir une tenue plus classe. Il ne reniait pas ses habitudes, mais tant qu'à faire autant continuer avec encore plus de classe... c'est vêtu de vêtements d'apparats qu'il arriva à Sarlat tard dans la nuit. La route avait été longue. Les enfants dormaient, il ne put que prendre une chambre à l'auberge la plus proche pour s'y reposer.

Le matin au levé il fit mander une femme pour garder les enfants le temps de retrouver sa Brindille. Quand il sortit de l'auberge il se retrouva face à une affiché annonçant un concours du plus joli fessier féminin de la ville. Et bien voilà où il la trouvera ! Il marcha donc jusqu'au lieu où se découlerait le fameux concours, puis laissa passer une jolie jeune femme rousse devant lui qui allait s'inscrire. Il traversa la petite foule déjà présente pour se placer au meilleur endroit, cherchant du regard la raison de sa venue ici, tout en profitant d'admirer les charmes de toutes ces femmes qui passeraient sous ses yeux en tenue plus leste et moins couverte.

Il esquissa un sourire, se sentant déjà chez lui ici. La Brindille lui avait parlé d'un groupe qui l'accompagnait, il ne les connaissait encore pas mais le Flamboyant ne tarderait pas à se faire connaître à sa manière.. Croisant les bras sur son poitrail, il attendit patiemment le début du concours. Il ne connaissait personne ici donc il n'avait à s'attarder en discussions futiles.
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Le concours prenait une telle ampleur que tout le village commençait à se rassembler autour de la scène, attendant avec une impatience non dissimulée et une pointe de voyeurisme.
Fallait dire que les Sarladais, et les Périgourdins en général, étaient très coquins.
On applaudissait, on sifflait, on encourageait les donzelles qui se présentaient à tour de rôle dans l’atelier de fortune de Pochtron, afin de se faire immortaliser le séant.

Baratheon allait bientôt boucler les inscriptions, prenant les dernières signatures.
En parlant de candidates de dernières minutes, Cissou se glissait gentiment au milieu de la foule pour rejoindre l’organisateur. Ce dernier lui fit un sourire bienveillant en lui tendant le vélin.

- Bonjour toi !... Ah ça je le savais ! Tu es une femme de parole, je l’ai toujours dit !

L’anglois lui fit un clin d’œil charmeur avant de croiser les regards de ses deux invités de prestige : le Grand Loup, dict les plus belles fesses de Sarlat, ainsi que Renlie, qui n’est tout autre que Môsieur le Comte!
Il changea de tableau et leur offrit sa plus belle plume.

- Bonjour Messires ! Quel plaisir de vous voir… Z’allez ramener du monde !...
Je me recommande : pas touche aux fesses avant la fin du concours ! Ca vaut aussi pour Lily et Kachi, hein ?!

Difficile de ne pas leur faire confiance soit dit en passant. Les deux hommes avaient plutôt un rôle important et savaient se tenir en public.
Après lui avoir offert leurs signatures, le beau brun les amena à la table du jury, située à une place de choix, à peine à un demi-mètre de la scène.

Baratheon n’avait même pas eu le temps de retourner à sa place qu’il aperçut deux autres Lycanes. Eh oui, les membres de la meute adorent montrer qu’ils ont de magnifiques fesses ! Et ces deux là n’étaient pas en reste : Hylena et Anabel, deux superbes blondes comme on n’en fait très peu.

- Bonjour mes louves !

Il leva un sourcil en entendant la sœur de Joran écorcher son nom sans aucune manière :

- Bara ! Bara ! Ca ira comme ça !... Service d’ordres ? Les Lycans sont partout, on matera la foule si elle se montre trop entreprenante…

L’anglois offrit son meilleur sourire de séducteur aux deux belles et leur quémanda de filer au plus vite montrer leurs fesses à Pochtron, le concours avait beaucoup de retard !

Le maraud aperçut encore une Lycane se déhancher vers lui… Eh bien ! Les loups sont vraiment nombreux !
C’était la belle Oranne qui venait également s’inscrire au concours, avant de se rétracter dans un chuchotement de dépit.
En effet, la belle avait déjà programmé un séjour au convent et ne serait pas là pour le concours.

- Très bien, Oranne ! Pas la peine de te dire que ça me chagrine beaucoup de ne pas voir ton joli petit séant ! J’espère que tu auras l’occasion de me faire un petit défilé privé…

L’anglois lui fit un clin d’œil coquin accompagné d’un petit rire, avant de se tourner et perdre son regard dans les yeux émeraude d’une exquise rouquine qu’il n’avait jamais vu auparavant.
Il secoua la tête un instant pour reprendre ses esprits et lui sourit en voyageant sur ses courbes :

- Bonjour belle rousse !... Oh mais j’en doute pas ! Allez vite offrir vot’ fessier à l’œil expert de notre peintre ! C’est par ici !

Le brun lui montra l’atelier de Pochtron et, dans un dernier souffle de soulagement, reprit ses vélins et alla les afficher devant l’entrée de la halle pour une prochaine proclamation des résultats.
C’est seulement quand il entra dans le bâtiment qu’il vit une foule monstre remplir les lieux, les plus retardataires n’ayant même pas trouvé de place assise.
Il n’y avait pas que des hommes en quêtes de jolies formes, mais aussi des donzelles, sans doute à la recherche de courage pour un prochain concours, ou tout simplement pour regarder ces magnifiques demoiselles se déhancher sur la scène et prendre des notes pour répliquer un défilé semblable devant leur chanceux maris, cette nuit.

En bon maître de cérémonie, l’anglois lissa en hâte ses braies et reboutonna sa chemise avant de monter sur l’estrade pour annoncer l’ouverture officielle des hostilités :




Oyez, oyez, braves gens !

Vous en avez longtemps rêvé, les Lycans l’ont fait !
Après avoir fait saliver ces demoiselles avec les plus beaux séants masculins, voilà que nous récidivons avec les plus beaux fessiers de femme.
Douze candidates, plus belles les une que les autres, vont venir défiler devant vous pour votre plus grand plaisir et devant un jury d’experts que je nomme tout de suite :



Achille, qui représentera les voyageurs de plus en plus présents dans ce Comté qui a récemment ouvert ses frontières !...



Flax, qui représentera le peuple du Périgord, fort et festoyeur !...



Joran, dict le Grand Loup, élu plus belles fesses de Sarlat et Lycan avant tout ! Un incontournable pour ce genre de concours !...



Eeeet… Mesdames, Mesdamoiselles et Messires, veuillez accueillir notre invité de marque, notre cher Comte du Périgord, Renliiie !



La foule scanda les noms des jurées dans des applaudissements retentissants qui firent trembloter les murs de bois de la grande halle.

Je rappelle les règles : les candidates, qui ont posé en tout anonymat devant notre excellent peintre, vont défiler à tour de rôle devant vous.
Chaque juré va rédiger deux classement des candidates: un pour la peinture, ainsi qu’un autre pour le déhanché sur scène. La première de chaque classement gagnera 12 points, la deuxième 11, et ainsi de suite jusqu’à la dernière qui aura 1 point.
La belle qui aura recueilli le plus de points sera élue « Plus belles fesses de Sarlat » !
Je souhaite dors et déjà bonne chance à toutes nos demoiselles et vous souhaite un très bon moment. Place aux fessiers !


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C'était vraiment pas désagréable de dessiner les fesses de ces belles créatures qui faisaient la queue devant son atelier.

Certaines à la peau laiteuse, d'autres plus sombres. Fessiers rebondis, ou plus modestes. Les donzelles étaient toutes plus girondes les unes que les autres.

- Hum, tourne toi un peu, mignonne ! Là c'est bien !

Du plat de la main, il essuya la sueur qui lui coulait sur le front.

- Oh, Didiou, par tous les saints couillus du pape.......


- Suivante ! on se dépêche ! Allez !

En quelques coups de fusain, le bougre les croqua des yeux et du geste. A défaut d'autre chose.

Regard parfois exorbité. Jamais , oh grand jamais, il n'avait vu autant de popotins à la fois sous ses yeux gourmands. Oubliée la Mariette, d'ailleurs la gueuse n'avait pas daigné venir défiler, la coquine.

Enfin, il pu rendre les portraits à Bara. Fier de lui et rassasié du regard. Mais le ventre en feu, foutre Dieu.

Le jour de montrer des fesses.... on ne s'habille pas n'importe comment, surtout quand les seules personnes de vraie connaissance sont un frangin, sa femme et sa jumelle et qu'elle arrivait dans une nouvelle ville, une de plus à sa longue liste, une animée par la ferveur des lycans.

Je sors toutes mes tenues des malles ouvertes, les chapeaux, les ceintures, les voiles, robes, jupes, bustiers, chemises, les dessous... qui a dit que j'etais coquette ?

Ro...ooose ! Rooooose ! Viens m'aider à choisir
Ana... vous n'allez pas monter sur cette estrade...
Joran l'a fait !
Mais c'est un homme
Oouiiii ! tu as remarqué toi aussi !?

L'éclat de rire ne tarda pas et emplit toute la pièce résonnant jusque dans le couloir de l'auberge

Ana ... chut !
j'arrete de rire et soupire en me jetant sur le lit et en battant des pieds dans le vide

Je peux jamais faire comme je veux ! Personne ne m'aime....
Mais si Ana.... tout le monde vous aime... Allez venez on va choisir ensemble.

Le sourire jusqu'aux oreilles, je me retourne vive comme l'eclair et saute du lit

Au bout d'une heure... bon d'accord trois heures, l'Anabel était fin prete, la tignasse blonde domptée par la douce Rose, la mise impeccable avec un je ne sais quoi d'affriolant, le décolleté peut-etre, la jeune femme embrassa son bout de chou qu'elle confia au bon soin de sa nounou avant de se rendre au point de rendez vous des fesses à l'air libre.

Des femmes, sa belle soeur et Théa, toutes plus belles les unes que les autres étaient sur l'estrade attendant de montrer leur derrière, une jolie fille finit sa prestation et sans sourciller la ravageuse blonde monte les marches et se met à battre des mains en regardant l'assistance masculine

Mais où sont les hooooooommes ?!!!
je mets mes mains en porte voix et hausse le ton
Y A T IL DES HOMMES ICI CE SOIR ?!!!!
Une main derrière l'oreille, style j'entends rien
Allez ... plus fort !!! PLUS FORT !!!!

Sans attendre les réactions, je m'assois au bord de l'estrade, mes pieds touchent à peine le pavé, les mains dos contre dos, coincées entre les genoux sérrés, la pointe de pieds vers l'interieur, j'arborre une moue mi boudeuse mi coquine puis fixant les jurés sur la droite, je remonte un pan de ma robe jusqu'à la cuisse découvrant une jambe au joli galbe et déroule lentement le bas soyeux, puis le fais tournoyer et le lance vers un des hommes devant moi.
Je prends appui sur l'autre fesse pour me tourner vers les jurés de gauche et renouvelle l'operation.
Le sourire aux levres, je me lève devant les mâles et glisse une main sous la bretelle de ma robe, la tete legerement en arriere, devoile une épaule mais je retire ma main aussitot et l'oeil coquin accompagne un index qui fait non, non, non.
Je me tourne alors et la main agile dans le dos tire sur le lacet de la robe qui tombe à mes pieds sous l'effet d'un petit déhanché tout en sensualité, mon visage niché dans un bras venu remonter ma chevelure d'or, je leur jette des regards sans equivoque et les laisse admirer mon joli fessier.

Nul besoin d'artifice à la beauté, qui se dévoile fièrement nue et avance d'une feline démarche sur la pointe des pieds vers l'un des jurés, ramasse son bas aux pieds de celui-ci, tourne autour du voyageur entourant son cou du soyeux tissu, passe au devant du second juge effleure son torse du bout d'un doigt et lui pose un baiser sur le nez avant de se placer derrière le 3 eme juge, son frere, qu'elle enlace en faufilant ses mains sous sa chemise et lui laisse en les sortant la marque de ses ongles sur la peau, au tour du dernier juge, pas moins que le coms, se penche devant lui pour attraper son bas au sol, le faire glisser lentement de long de son corps et le laisser pendre à son épaule avant d'attraper le col de sa chemise et l'attirer à elle pour lui mordre le lobe de l'oreille.

Un petit rire moqueur et je repars lentement, accentuant à peine mon déhanché naturel, vers ma robe abandonnée mais qui vois je ? non loin, le peintre qui a immortalisé sur la toile, les fesses de toutes ces dames, et qui ne perd rien du spectacle, une idée ! farfelue bien évidemment, un sourire et l'index qui lui fait signe d'approcher.
Un chuchotement à l'oreille et le voilà qui part chercher son attirail de peintre, pendant que la jeune femme remonte sur l'estrade et offre aux regards ébahis son corps nu.

Pinceaux et couleurs en main, l'artiste revient auprès d'elle qui, du bout de ses doigts qu'elle embrasse, envoie des baisers à la foule, un dernier regard aguicheur au jury puis recule pour laisser le champs libre aux autres femmes.
Commence alors une autre peinture, pendant que les femmes se succedent le derrière à l'air, une toile colorée dont le support n'est autre que l'Anabel.

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Enfin les peintures étaient finies... Ah ce sacré Pochtron! Quand il commence à reluquer, il en perd ses pinceaux!
Baratheon les rassembla toutes et commença à les disposer sur la table des jurées, accompagnées de leur numéro de candidates. Bien évidemment, les fessiers devaient rester anonymes pour une question d'équité, bien que ces Messires en reconnaîtraient peut-être un ou deux.

Candidate 1




Candidate 2




Candidate 3




Candidate 4




Candidate 5




Candidate 6




Candidate 7




Candidate 8




Candidate 9




Candidate 10




Candidate 11




L'Anglois finissait des les entreposer, large sourire aux lèvres, à moitié concentré sur le fessier d'Anabel, puis s'adressa à elle, l'air taquin:

- Ta ta ta! Attention toi! Pas touche aux jurées, sinon je retire des points!

Il fit un clin d'oeil à la belle, ne s'apercevant que quelques minutes plus tard qu'il manquait un tableau.
Sa mine radieuse se transforma quasi-instantanément en un visage au regard noir, se dirigeant à pas décidés vers Pochtron pour le traiter de tous les noms à l'oreille:

- Espèce d'incapable! T'as oublié un tableau! On peut décidément pas te faire confiance, pas possible ça!... Retourne au boulot, et tout de suite!

Le Lycan en colère lui montre fermement son atelier de l'index, lui mettant une tape sur l'arrière de la tête.
Il avait horreur des imprévus quand il s'agissait d'une telle organisation...
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Les yeux fermés, les bras posés de chaque côté du baquet, de l'eau la couvraient jusqu'à la naissance de ses seins, elle se prélace, une odeur agréable se dégage des vapeurs d'eau, son buste perle de petits rosés de sueur, ses joues sont rougies par la chaleur de l'eau bouillante. pur moment de délices que la vagabonde savoure, léger soupire d'extase, il en faut parfois très peu. Le temps passe. Une main lui tapote l'épaule et la fait sursauter.

Dépéchez mam'zelle, vous allez rater le défiler !

Ohhh le défilé, vite !!!

Elle plonge intégralement dans l'eau devenue presque froide qui raffermit son corps et le couvre de chair de poule vigorifiant et elle se dresse sur ses fines jambes d'un bond, emportant presque l'eau du baquet avec elle qui retombe en pluie. Prenant le drap de bain tendu, elle enjambe le baquet en se couvrant, s'essuie et passe dans la minuscule chambre laissant s'empruntes de pas sur le plancher. Le choix des habits fut rapide, Edel ne possède qu'une jupe d'un jaune soleil et d'une chemise au décolleté généreuse assortie, une paire de bas noirs qui met en valeur ses jambes fines.

Elle lisse ses longs cheveux noirs qui crolle malgré elle, relève l'une des mèches sur le côté et l'attache avec sa pince, glisse une petite fleur jaune au même endroit. Elle sourit en inclinant la tête, satisfaite du résultat, relève ses jupons, dévale les escaliers et se met a courrier, buste en avant vers la salle du défilé.
hop, elle se glisse parmi les concurrentes, reprenant son souffle et observant autour d'elle. Des rires, des gloussements, deux concurrentes qui se penchent l'une vers l'autre, se soufflant quelques mots accompagnés de petits rires étouffés. L'excitation est palpable dans la salle, autant du coté du jury, que de la foule qui a pris d'assaut les sièges.

Edel regarde vaguement dans la salle, c'est qu'il y a du monde, puis son regard reste accroché a la première concurrente qui défile. Très jolie d'ailleurs, petite moue de la vagabonde puis elle ouvre de grands yeux, voyant la demoiselle se mettre nue? ....
Puis c'est au tour de la seconde, très sensuelle, très suave, très coquine mais ses gestes sont directes et provoquent, les yeux d'Edel pétillent en la regardant.

Coup d'oeil à gauche puis a droit, elle fait un pas. Profonde inspiration, un bottage de cul mental et la voilà qui déboutonne sa chemise, agitement léger des épaules pour la faire glisser le long de ses bras au moment où elle passe devant le jury, petit sourire accroché à ses lèvres, le regard se plongeant dans chacun d'eux, un quart de tour, elle leur tourne le dos, elle fait deux trois pas, ses cheveux couvrant intégralement son dos caressent le creux de ses reins à chaque pas. Les mains posées sur sa taille, pendant que ses mains légèrement tremblantes font glisser le tissu à ses hanches puis ses cuisses, elle fait chuter sa jupe au sol, dévoilant son petit fessier blanc. Elle l'enjambe en tournant la tête, petit sourire malicieux aux lèvres, jambes serrées, elle se baisse, récupère ses effets et les balances sur son épaule et s'éloigne du jury tout en levant une main qu'elle agite, la démarche accentuée faisant tanguer son fessier rebondi.

Elle avait dit quoi déjà la blonde à Bara? : "oui".
Puis voyant qu'il avait assez de concurrentes avait dit "finalement, non. j'ai pas envie de défiler."
Depuis un certain moment sa folie retombait et elle avait du mal à savoir le pourquoi du comment la Brindille. Puis ses fesses .. elle avait fait une moue en y pensant. Fallait pas qu'ils remarquent ce détail qui la marquait.
Alors bon gré malgré et parce que c'était ainsi que ça devait être, elle passa devant pochtron qui ouvrit de grands yeux lorsqu'il découvrit la chose en question. Erma prit une position puis lui déclara:
J'reste comme ça, et tu m'peindras comme ça s'te plait.

Ce qu'il fit alors, laissant la chose de côté. Et lorsqu'elle regarda le résultat, elle lui sourit satisfaite.

A présent c'était le défilé qu'il allait falloir aborder et elle voulait passer avant Kachi, histoire de pas tomber sur la foule en délire. Juste qu'elle n'en avait pas trop le coeur mais elle avait promis. Et puis elle avait sa fierté, et puis fallait réagir!
T'es pas une mauviette, tu sais que tu as d'belles fesses même si t'as ça et puis c'est une partie de plaisir! Faut minauder, fais les baver !

Le sourire réapparu, un peu plus sûre d'elle de s'être auto dynamisée, reprenant du poil de la Bête.
Aussi lorsque les superbes créatures précédentes eurent fini, elle se drapa dans sa cape et avança sur l'estrade.Elle inspira puis pensa au scénario qu'elle avait mis en place dans sa petite tête. Elle commença sans effusion, sans mouvement plus raide que l'autre.
Sa démarche était souple, lente et féline. Ses courbes étaient cachées par la longue cape sombre. Ses cheveux blonds étaient la seule tache lumineuse qui émanait de sa silhouette.
Son visage était baissé, mais on pouvait voir un léger sourire, doux, couleur de miel.
Arrivée au milieu de l'estrade, les yeux des males rivés sur elle, elle se tourna dos à l'assistance et leva ses bras en croix en un geste theatral. Son menton se baissa, ses cheveux s'éparpillèrent alors que la cape glissait sur sa peau douce la découvrant. Les yeux suivaient la peau qui se libérait et que les rayons du soleil venaient mordre. La blancheur d'albatre de la peau de son dos, soulignant la finesse de sa silhouette et aux rondeurs si féminines se dévoilait, suivit de la douce naissance de son fessier, sa taille marquée puis ce qu'elle avait dissimulé à Pochtron se dévoilà.... et son fessier finalement rebondit et ferme.La cape finit sa course à ses chevilles et elle reste là, sans bouger à la merci de leurs regards.
Le vent, lui seul venait toucher son corps, s'enrouler autour de ses chevilles pour remonter le long de ses fines cuisses et finir la course sur la naissance de ses seins.

C'est un pal à qui elle avait fait la commission auparavant qui monta sur l'estrade, prit la cape et lui recouvrit les épaules.Alors seulement elle rabattit les mains sur la cape la refermant sur elle, se retourna puis le va son menton. Un sourire en coin ,juste ce petit sourire taquin et coquin ornait son visage.Elle fit une légère réverence puis laissa place à la concurrente suivante, soulagée que cette épreuve soit terminée. Au fait, c'était quoi le prix déjà ? ....
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J'm'en va t'leur montrer, moi, c'que c'est que d'la cuisse, à ces libertins !
Laissez moi passer, maudites greluches. A mon tour, didiou, un peu d'respect !

Et à grands coups de coudes , la vieille Felicie, se fraya un passage parmi la foule, lançant au passage un regard dédaigneux aux candidates.

Elle avait entendu parler au delà des murs de Sarlat de ces fameux concours et elle était arrivée trop tard pour pouvoir se rincer l'oeil ou les deux sur les fesses des hommes. Trop tard aussi pour s'inscrire.

Mais la vieille avait vécu, elle en avait vu d'autres. Et pour une fois qu'on s'amusait un peu, par ici, elle voulait faire partie de la fête. Et puis les hommes du jury étaient plutôt bien faits, avec leurs épaules larges et leur allure fière. Bon, là, certains avaient les yeux qui leur sortaient de la tête. Mais ils avaient encore rien vu.

Et grimpant les marches, faisant claquer ses sabots, elle arriva sur l'estrade.

- Haaaaaaaaaaaan ! Le Joran, qu'il est beau !!!!!!!!!!!! A en grimper aux rideaux, elle doit pas s'ennuyer la Kachi, cette gueuse.

et le tombeur de ses dames, là bas, un lycan, lui aussi.

Sa grâce, Renlie, là bas, sur qu'il votera pour moi, lui.......Un homme de goût, celui là.

Et le Flax , l'Achille , si j'avais eu 20 ans de moins, j'en aurais fait mon souper , un en entrée, l'autre en dessert.....

Mais elle rêverait d'eux plus tard, pour l'instant, elle salua ces messieurs, doigts pinçants les coins de son tablier , sabot droit pointé vers l'avant et.....................

Elle entama sans plus attendre , tournant et sautillant, imitant le déhanché des sirènes du coin, une gigue endiablée .

Puis, enfin revenant aux choses sérieuses, elle tourna le dos au juré, se baissa et releva ses jupons d'un seul coup

leur montrant la culotte neuve qu'elle venait d'acheter au marché vers le vieux tisserand, un ancien amant du temps jadis.



Bah, quoi, l'était pas une ribaude la Felicie, elle allait pas montrer ses fesses en place publique, didiou.....
On était en Périgord quand même !!!
Et ses fesses, ba, elle les montrerait qu'à Pochtron, epicétou.

Après avoir enfin réussi à s'extirper de l'atelier de l'artiste avant l'arrivée des autres "pauseuses", la rousse s'était esquivée et avait pris son poste d'observation, assise sur un tonneau. Évidemment voyeurs et jurys s'étaient installés depuis belle lurette, qu'attendre d'autre de ces hommes par cette belle journée de printemps, où la sève montante n'était pas que dans les arbres.

Certaines des concurrentes avaient déjà commencé leur défilé, mais la vindicative ne bougeait pas. Elle savait qu'elle devait y aller, elle savait qu'elle décevrait, mais Bara avait été prévenu dès le début, pas question qu'elle se promène le popotin à l'air sur une estrade comme une vache lors d'une foire agricole. Chacun avait ses secrets, chacun avait ses limites, et puis elle ne manquerait pas de respect envers celui qui lui avait donné sa confiance.

Certaines filles ne manquaient pas de chien, d'humour et d'une envie farouche de gagner, elle se surprend à sourire en les regardant. Il va bien falloir que je me décide, mais pas tout de suite, j'vais attendre encore un peu... Pas prête, pis surtout qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire pour compenser ? Rien sans doute...

Le concours continuait et Patt regardait...
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Le concours commença... Slad écoutait avec attention ce qui se passait à coté de lui, sur la scène, autour de lui... Il faillit même rire lorsqu'il entendit le fameux invité de marque... Un politicien un invité de marque. Un invité fortuné aurait été plus judicieux probablement... Il y avait donc eu un défilé de fesses masculines... Il était dommage qu'il soit arrivé trop tard pour ça, à tous les coups il aurait remporté le prix, après tout c'était quand même Slad ! Il sourit amusé en s'engouffrant dans ses pensées, quant il aperçut la première candidate qui fit son défilé... Elle s'était entièrement déshabillée et faisait des poses des plus suggestives...

Une qui n'avait sûrement pas compris l'essence du concours... De femme elle passait viande, certes, un beau morceau de viande sur lequel on ne se lasserait qu'au bout de trois jours, mais là il n'y avait plus de surprise... Tant le derrière que le devant avait été dévoilé, il ne restait plus que l'odeur d'une excitation débutante et tout avait été vu et connu d'elle... Les jeunes, il fallait toujours qu'elles en fassent des tonnes... M'enfin, ce n'est pas ça qui fit détourner le regard de Slad au contraire... Il matta aisément et sans gène les moindres parcelles de peau offertes à la vue. S'en suivirent d'autres, une femme plus libre encore qui avait tenté désespérément de chauffer la salle avant de passer...

Peu avait répondu, mais il ne pouvait laisser une femme sans réponse, c'était une de ses nombreuses devises concernant la gente féminine, répondant alors à celle qui se ferait appeler Anabel...

Si tu veux des hommes tu n'as qu'à nous rejoindre ! Il y en a des dizaines qui attendent la suite ! Allez fais nous rêver !

Il sourit de nouveau et suivit le défilé avec soin, des envies c'était certain qu'il allait y en avoir qui allait naitre avec tout ça... Autant de belles chaires à vue, et une interdiction d'y toucher... Ce concours prenait forme d'un vrai supplice pour lui ! Des femmes encore des femmes, et il n'y en avait guère de moches, les galbes merveilleusement dessinés, des sous vêtements affriolants qui savaient faire grimper l'excitation dans ces moment d'intimité, des poses aguicheuses, des sourires voulant tout dire... Hum bref, ressaisis toi le Flamboyant, ça va finir par se voir sinon ! Déjà que l'entrejambe coloré par sa tenue de Venise avait tendance à attirer le regard, alors si en plus des couleurs, les formes prenaient place, c'en était fini !

C'est là d'ailleurs qu'il reconnut une fesse. Oui oui une fesse ! A force d'admirer et mater du mieux qu'il pouvait, il découvrit sur les fesses d'une des candidates, une marque quasi effacée, marque que lui seul avait pu faire... C'était ses fesses, les fesses de celle qu'il venait voir... Ah, une histoire bien longue qui ne saurait être racontée ici, mais une chaleur autre et particulière l'entoura, ainsi qu'un large sourire s'afficha sur son visage. Il avait donc bien fait de venir. Le plus dur maintenant était de ne pas tout gâcher et aller la voir dès maintenant... Reconnaitre sa douce par un défilé de fesses c'était quand même fort non ? Les visages étaient peu mis en valeurs, la lumière venait surtout dessiner le corps de ces femmes qui donnaient envie...

Par les burettes d'Aristote ! Que ce concours ne s'arrête jamais !

Il se mit à rire, puis regretta ses paroles lorsqu'une vieille femme prit la place d'une des candidate et s'intercala dans le concours pour faire son petit numéro et montrer à la foule le blanc jauni de sa culotte presque toute neuve... Hum comment réagir ? Huer ? Applaudir ? C'est un applaudissement qui sortit tout naturellement accompagné d'un rire. Bon, il ne souhaitait en aucun cas que la femme ne recommence, attendant la suite pour pouvoir admirer un peu plus et en toute liberté les autres fessiers des participantes.

Super l'ancêtre ! J'aurais 20 ans de... Hum... 35 ans d'plus et j'aurais voté pour toi et ton audace ! Allez laisse dont la place aux jeunes t'vas leur donner des complexes !

Un nouveau rire rejaillit de sa gorge puis il croisa de nouveau ses bras sur son torsail, euh, son poitrail, s'avançant juste assez de l'estrade pour ne pas paraitre du jury, mais tendant la main à l'ancêtre pour l'aider à descendre et surtout faire recommencer le concours qui avait pris une pause avec cette irruption. Agir avec une reconnaissance exagérée, les femmes aimaient les mensonges, après tout, quand elles nous demandaient si elles n'avaient pas grossi, attendent elles autre réponse que "Mais non, tu es toujours magnifique !" ? Bien sûr que non ! Il se proposa donc d'aider la vieille femme à redescendre, au moins à ses cotés il sera sûr qu'elle ne fera pas d'autres victimes sur l'estrade à montrer des choses qu'un jeune puceau ne devrait voir... Et puis quel honneur pour elle tout de même, se trouver au coté du plus beau Roux de France, ce n'était pas rien... Il allait juste falloir garder un oeil sur elle, juste au cas ou...
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