[RP][Procès Haute Trahison] Prise de Château

Je vous propose d'utiliser le sujet HRP afin de vous mettre d'accord sur la manière de mener ce RP.
C'est par ICI


Edit Ix: ménage fait. vous trouverez vos post en cliquant sur le truc rouge au dessus ...
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Lord Mick qui avait reçu sa convocation se présenta au tribunal ou la il reconnu bon nombre d'accusé mais seulement le Procureur. Il se demanda ou était passé l'ancien juge.

Il alla se mettre avec ses compagnons d'armes et écouta les réquisitions de Dona la Procureur.

Puis quand elle l'appela il se présenta à la barre

Bonjour,

Comme mes camarades vous pouvez voir que je n'ai pas fui et me trouve devant vous.

On va souvent se répéter car nous ne sommes pas d'accord avec l'accusation de haute trahison ou je ne reviendrai pas dessus vu que Dona Thibali, Messers Toni_Montana, Erich, Sene l'ont fais.

Pour mes raisons elles sont plus que simple vu que tout le monde les connait déjà pour les avoirs assez largement expose en place public.

Je suis coupable d'avoir pris un château mais vu que mes convictions me semblait noble j'assume entièrement cet acte et ne regrette pas les faits.

Je l'ai fais pour le Rouergue et pour les habitants sinon il faudrait m'expliquer ou est ma gloire personnel et à quel moment cela ma servi pour quoi que se soit?

Je signale également à la court que nous n'avons rien pille et que le château a été rendu dans un très bon état avec le travail effectue sous les ordres du comte.

Par contre je crois que Madame le Procureur à oublie de précise un petit quelque chose à la cour... Le fait qu'après l'annonce de la Pairie j'ai démission du poste non pas par lâcheté ou autre mais simplement par volonté que si la Pairie nous déboutais je n'irai pas contre.

Je suis à votre disposition pour toute question complémentaire. Et je voudrai appeler Messir Arnault Pandragon à la barre comme Témoin afin que celui-ci nous explique les accords passe et aussi pourquoi il n’a pas garde son poste de juge comme convenu avec le régent…


Lord Mick retourna à sa place et attenda la reponse ou interogation du procureur
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La Garde Meurt Mais Ne Se Rend Pas !!!

La vieille était dans l'assistance, on avait pas dit que le procès était a huis- clos...

Des fois elle piquait du nez, des fois elle buvait les paroles... Et les derniers dires la faisait saliver...

Après l'intervention du Régent Max, elle ne pu contenir une remarque :

N'empêche qu'on voit bien a qui profite le crime.

Vous saviez que les Felons Irlandais allait etre pendu jusqu'a mort s'en suive ?? Y'en a qu'ont la rancune tenance...

Dit elle a sa voisine...

Rodez, au petit matin du 26 avril.

Après une longue journée de route, voila l'escorte arrivée a bon port. l'équipée traverse lentement les rues ruthenoises. Toni contemple le spectacle qui s'offre a lui. La ville commence a prendre forme, de grands bâtiments viennent a l'achèvement. une seule chose manque a cette ville: un marché digne de ce nom. Passant par la place du marché, toni peut y constater les maigres denrées qui ne peuvent servir a nourrir correctement la population, quasiment pas de vêtements, etc... hochant la tête de droite a gauche lascivement, toni constate que ses prédictions étaient justes. sans aide du comté , la ville n'était que l'ombre d'elle même.

Après quelques détours les voici devant l'imposante bâtisse du tribunal. Toni met pied a terre et tend quelques tracts a ses gens pour qu'ils les affichent a la vue de tous. Puis, il entra dans le bâtiment.

Il approche du greffe pour demander des renseignements

Bonjorn! Je suis Toni Montana, coms d'Ayssènes. Je viens pour etre entendu. Pourriez vous m'indiquer le chemin de la salle qui concerne mon affaire, je vous prie?

le greffier jette un coup d'oeil dans ses registres, puis se lève pour conduire Toni jusqu'à la salle d'audience.

Toni entre dans la salle alors que le requisitoire de l'accusation etait lu. Il se tourne vers le garde alors que celui ci allait fermer les portes de la salle

Nul besoin de fermer cette porte. Tout ce qui sera dit ici doit etre su de tous. Laissez les portes ouvertes que chacun entende les explications des uns et des autres.

puis il alla prendre place sur le banc lui etant reservé et ecouta la plaidoirie de l'accusation

Apres avoir entendu l'acte d'accusation ,Un léger rictus apparait sur son visage alors qu'il écoute l'acte d'accusation. Il se lève et commence a arpenter sans mot la pièce.Apres quelques minutes de silence, il commence sa plaidoirie.

Bien! dans un premier temps, nous allons remonter au debut de cette histoire, car bien que la narration de la procure semble etre plaisante elle ne reflète en rien la réalité.

L'histoire commence au début du mandat comtal du comte Ulrich, a cette époque, le régent de Guyenne auquel nous avions porté secours lors de mon mandat comtal, m'envoyait une missive me mettant en garde contre une personne qui venait d'être nommée conseillère comtale. Cette personne en plus d'être d'après lui très dangereuse pour tout ce qui concerne l'économie, se trouvait être inéligible. ce qui de facto rendait sa liste complète inéligible tel que le prévoit le grand coutumier que brandit fièrement la procure.

voici la lettre envoyée par Jeroen alors regent de Guyenne:

Il sort une lettre de sa besace et en fait lecture devant la cour

Alors oui, j'ai eu des doutes sur la gestion du Commisari a ce moment là. Qui n'en aurait pas eu? Je me suis donc mis en quête de renseignements complémentaires afin de vérifier l'exactitude des allégations. Je me suis rendu compte que les achats aux maires avaient été en moyenne divisés par quatre! et n'importe quel économiste en herbe comprendra aisément qu'en divisant ainsi les rachats aux maires, on courre a une catastrophe inimaginable.
le bailli se trouvait etre dans le meme temps, le conseiller économique de la ville de millau, et on imagine sans peine quels ont été les faveurs faites a cette ville au depend des autres villes, une consultation de 3 des maires en place confirma cette idée, l'un des maires avait été menacé de proces car il affirmait trop fort son mécontentement. Celle ci a dénigré sans cesse les actions du comte , et tout ceci aux yeux de tous. D'autre part, le capitaine, le connétable , le mestre de camp ainsi que de valeureux sénéchaux sont venus me voir pour me parler de troubles agitant l'OST.
Toni retourne vers sa besace et en sort un document

Ce que je tiens dans ma main est une conversation que j'ai eu avec l'ex capitaine et nouveau régent:

Texte édité par Ixion, n'ayant pas reçu l'aval des deux parties.

Plus tard dans la soirée, celui ci me recontacte, je dois dire qu'a ce moment là , je commençais a être affolé de tout ce qui venait a mes oreilles.et l'autre conversation que nous avons eu ne pouvait plus faire l'ombre d'un doute.

Retournant a sa place , il sort un autre parchemin de sa besace.

Edit Ixion,Texte édité.

Il depose ses parchemins sur le bureau du juge, puis reprend sa place.

A ce moment l, il ne fait nul doute que le comté était instable.

Je vais résumer la situation. Nous avons donc d'un coté un cac qui importe des denrées plutôt que de racheter les denrées aux maires, créant ainsi des surplus difficilement aborbables par un maire sans l'aide du comté, ce meme Cac qui a eu des carences en gestion que ce soit en Guyenne ou en Lorraine, ceci rapporter et par le regent de guyenne et par la duchesse de Lorraine au moment des faits, nonobstent celle ci appelle les maires " des embouchés" ce qui n'est pas un terme tres approprié pour parler a des partenaires, vous en conviendrez?
Nous avons un bailli qui se trouve etre conseiller economique de sa ville , privilegiant ainsi celle ci aux depend des autres.
un capitaine qui fait une demande explicite a plusieurs personnes de prendre le chateau.
Des mines ayant perdu des niveaux, des rentabilités bien mediocres par rapport a celles des mois précédents, Une perte sèche du prestige imputable a une gestion calamiteuse des finances. Une remontée discutable aux vue des depenses engendrées par celle ci sans porendre en compte les besoins des habitants.
Un comte qui impose sa dictature sans prendre en compte les lois qui regissent notre comté.

Alors oui, sans l'ombre d'un doute, je persiste a dire que notre action, en plus d'etre commanditée par le capitaine lui même nouveau régent, se trouvait etre en adéquation avec notre serment fait au Rouergue. Laisser ce conseil en place conduisait le comté dans une impasse, c'est un fait.

Autre chose, pour bien clairifier la situation. Ce n'est pas le comte qui a donné l'aval au mestre de camp d'entrer dans la capitale et donné ordre au maire de Rodez de mettre "La Mandra" en amie mais bien le capitaine, qui se trouvait lui meme dans l'enceinte de la ville. Pourquoi partir pour faire venir une autre armée ? Il a bien fallu qu'il soit au courant de toute cette histoire pour laisser la chose se faire.

Toni retourne a sa place , prend le verre d'eau et le boit d'une traite.

Maintenant, concernant l'acte d'accusation en lui meme.

haute trahison?

Ne s'agissant pas d'une infraction politique puisque n'etant pas conseiller cette accusation ne tient pas.

trahison?

Aucun acte de sabotage n'a été declaré a notre encontre et ceci pour la bonne et simple raison qu'il n'y en a eu aucun.

Aucun acte d'espionnage n'est porté en grief contre nous car il n'y en a pas.

Fourniture de fausses informations? personne n'a nié nos informations, des temoins viables tels que des comtes , ducs ou fonctionnaires ont fournit l'ensemble des preuves

Ce qui m'amène a dire que cette procédure n'est qu'une mascarade, dont le seul but est de décrédibiliser des personnes dévouées entièrement au comté contrairement a quelques opportunistes qui ne viennent que d'arriver sur nos terres et s'arrogent le droit de croire que le Rouergue est leur terre.

Je demande la relaxe car il est un fait que le conseil était d'une part illégitime aux vue du coutumier rouergat, ce qui rend toute action de celui ci illégale.Et qu'ensuite celui ci a délibérément ou pas nuit aux intérêts du Rouergue.

Toni reprend sa place sur son banc attendant la suite des evenements
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[Procès d'Etienne]

Il entra à la suite des autres ‘’félons’’ dans le tribunal et commença par :

« - Je jure sur le livre des vertus, de dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité.

Il regarde ensuite les membres de la cour, qu’il salue, puis fait un bref silence avant de commencer :

- Adissiatz.
Je commence par préciser que j’assume la totalité de mes actes et mes prises de décision.
Je suis en Roèrgue depuis plus d’un an et mon dévouement pour le Comtat a toujours était sans faille. De par mon engagement dans l’Ost et de ma présence dans ma noblesse, vous vous doutez bien que la prise de pouvoir a été un acte réfléchi.

Je ne vais pas vous ressortir tous les informations que nous tenions, et que nous avons présentées à la Pairie, bien lente à les analyser. Mais sachez que personne dans le Comtat n’a prétendu que nous ayons fait de fausses affirmations. Toutes nos accusations étaient fondées.

Vous prenez comme citation dans votre réquisitoire une phrase que j’ai prononcé : « La Pairie, et le Roy, sont déjà au courant, avant même la reprise, si ils avaient été contre, ils nous l'auraient déjà dis. »
Aurions-nous tort de penser cela ? Pensez-vous qu’il est normal d’avoir une institution qui met plus d’une semaine à débattre sur un dossier face à une armée déjà dans l’enceinte de la ville ? C’est forcement qu’ils ne sont – dans un premier temps - pas totalement contre. J’avouerai que nous avons été déçus par la lenteur de la Pairie, mais aussi par le fait que l’annonce du PiP a été faîtes sans que tous les éléments du dossier aient été lus. [Preuve disponible]

Il fait là une pause pour reprendre son souffle et laissez le greffier prendre des notes

- Je reviens donc sur le réquisitoire. Je reprends le Coutumier Roèrguat que vous citez avec brio : « Il s’agit d’une infraction purement politique consistant à un manquement grave du Comte ou d’un membre du Conseil Comtal à ses devoirs naturels. » J’ose vous avouer que je suis assez perturber – presque autant que d’avoir un juge que je pensais mort depuis plus d’un mois. Si vous nous avez mis en procès pour HT, c’est que vous reconnaissez que avons été membres du Conseil Comtal ou Comte. Cela voudrait dire que vous reconnaissez notre action. Cependant la Pairie dit d’après votre réquisitoire : « En ce sens jugeons ladite révolte illégitime », ainsi aux yeux de la Pairie, le Coms d’Annonay n’a jamais été Coms du Roèrgue, ni moi le Porte-Parole. Seriez-vous contre l’avis de la Pairie ?

Nous voyons donc que l’accusation ne tient pas debout puisqu’il ne peut s’agir de Haute Trahison. Et reprenant les propos du Coms d’Ayssènes et de la Baronà de Landorre, il n’y a eu ni sabotage, ni espionnage, ni désinformation. Sachez de plus qu’aucun sang n’a coulé que ce soit lors de la prise du château, ou deux semaines plus tard lors de la remise aux mains d’Ulrich.

Pour ce qui est de mes raisons pour lesquelles j’ai participé à cette prise, vous les connaissez, et les Roèrguats les connaissent. Si vraiment, vous souhaitez que je me répète, je pourrais le faire lors de ma seconde intervention devant la cour. Mais je ne doute pas que vous le connaissiez. Mes motivations sont les mêmes que celle de Dòna de Landorre, et en effet travaillant à l’Ost au poste de Senescal, je recevais les mêmes informations, et avez donc les mêmes inquiétudes. Je vais y revenir rapidement pour ne pas avoir un témoignage incomplet.


Nous avons essayé de discuter avec Ulrich. Nous avions de grande espérance, car l’Ost était un point central de son programme politique, mais nous avons rapidement constaté que seule une discussion à sens unique s’établissait. C’est ce qu’on pu remarquer lorsque les Conseillers Comtaux nous ont rapportés les mêmes constatations. De même, le Senescal a été déçu par l’exécution du programme de FORCE qui n’a pas touché au code militaire.

La mission de la Mandra en Guyenne a été une victoire pour tout le Roèrgue, et nous rentrâmes sur le territoire le jour des élections. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je me rendis compte que la liste PUR était inéligible. La Pairie débordé m’a dit à peu près cela « Donne le dossier, mais on est débordé par les inéligibilités ». Le dossier a été transmis. Aucune annonce n’a été fait dans ce sens par la Pairie, il est donc normale de croire que le dossier est encore étudié.



Je résume l’inéligibilité de PUR, les mises en garde contre Dòna Songe par le Guyennais, la chute économique, l’absence de bilan comtal – qui fut exposé après demande d’Harpège le jour de la prise du château -, la négligence de la sécurité Roèrguate, les plaintes des villageois, les avis des conseillers m’ont convaincu.


S’arrêtant, il regarde désormais le Régent


- J’ajouterai à cela les propos - expliqués par Thibali et Toni_Montana – tenus par le Capitaine Max, qui ont été confirmé lors de la prise du château.

J’invite Max à dire la vérité sur ses dires. Il dit dans un témoignage à côté « je n'ai en aucun cas soutenu cette révolte si j'avais était au courant j'en n'aurais informé le conseil Comtal immédiatement. » Mon premier devoir de noble est de te guider sur les chemins de la sagesse, et bien que ton suzerain Anduze te l’ait appris, je t’invite à être honnête et franc.
Cette discussion n’a été ni le jour où l’on vous a retiré vous accès, mais celui de la prise du château. Fort inquiet, tu entre dans mon bureau et me demande des explications. Je te réponds que cela est très compréhensible, et tu me demande simplement pourquoi tu n’as pas été informé, pourquoi nous ne t’avions rien dit.

Je lui ai répondu franchement que ce n’est pas du lui d’où viendrait la fuite d’informations, mais par Crysania, son amie, qui d’après moi était assez lié à Ulrich (cf la mise en place du dossier sur l’inéligibilité). Et de là, tu me réponds clairement : « Tu sais très bien que je n’aurais rien dit et que je voulais en faire. […] Thibali m’avait répondu quand je lui avais proposé ‘’Je veux rien savoir’’. » Puis tu m’as dit clairement « Je vous suis. », en précisant que tu aurais voulu être prévenu la prochaine fois.
Je rappelle que j’ai juré sur ma religion de ne dire que la vérité, remettre en doute mes propos serait remettre en doute ma fidélité au Roèrgue et à ma religion, cela sera vu comme une mise en défi.

De même j’aimerais qu’on réfléchisse sur les accords passé avec nous. Ulrich – qui n’est pas plus mort que Maharet – nous avons assuré un procès avec le Juge légitime de l’époque, c’est-à-dire Messer Arnaut. Cet accord a été bafoué, alors que nous n’avons trahis aucun de nos engagements. Pour ma part, je préciserai que cette mise en procès durant ma retraite est aussi une bafouille des accords avec Ulrich, qui m’assura d’attendre mon retour. Je m’engageai à ne pas quitter le Roèrgue, chose que j’ai faîtes.

Puis redirige son regard vers les membres de la cour


Pour terminer, je tiens à préciser que je suis resté en Roèrgue, que je suis resté à mon poste seulement afin d’attendre l’arrivée de la relève. C’est donc bien de mon plein gré que je suis ici devant le tribunal, mais surtout devant la population.

Je sais que c’est possible pour un juge de changer l’acte d’accusation, je demande donc la reconnaissance du vice de procédure, car je n’ai pas commis de Haute-Trahison. Et je demande que cela soit changer en Trouble à l’Ordre Public. J’accepte que le juge change l’accusation afin de ne pas recommencer le procès qui deviendrait caduque – puisqu’on ne peut être jugé deux fois pour le même acte.

Je note aussi que malgré le décret sur les frais de dossiers, les accusés n’aient reçu aucune invitation à y souscrire. Ce décret a été fait pour que l’amende – si il y a – soit versé au Comtat et non pas perdu dans les trésoreries royales.


Je vais dans un premier temps appelé le Régent, Messer Max, afin qu’il vienne confirmer de la véracité de mes propos. Je ne demande ni explications, ni justifications, seulement qu’il dise « Oui, Etienne dit vrai » ou « Non, il ment. C'est le fils de Jehanne d'Arc, il entend des voix. Voilà, mes preuves : … ». »

Un regard vers les autres accusés

[Texte identique au IG sauf mise en forme]
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Frederine ne pouvant pas se rendre à son procès , non pas qu’elle se défile , mais une retraite de 15 jours étant prévue de longue date , elle ne pouvait pas annuler.

[Procès Toni]

Crysania écouta la plaidoirie de Toni, certaines choses relevés dans son plaidoirie, la fit appeler Max12, qui était Capitaine de l'ost à ce moment là, pour témoigner.

Tout le monde avait témoigner, c'était maintenant à la rouquine de prendre la parole.

Votre Honneur,

Des choses intéressante ont été relevé.

Je vais donc commencer par reprendre un peu.

Messire Toni, fait référence aux textes de loi, déclarant qu'il n'était ni conseiller, que cela n'était ni acte d'espionnage, ni fausse preuve... Mais aurait-il oublier ceci :

Donc la liste n'est pas exhaustive. Donc nous pouvons y inclure la prise de Château sans problème. De plus, dans cette liste, on peut voir le point commun de chacun, celui de ''déstabilisé le Comté''.

La prise de Château, en plus d'avoir anéantie le travaille déjà commencer de plusieurs au sein du Conseil, a provoqué la colère des habitants, l'arrêt de travaille de la maréchaussée qui n'a pas été demander par le Prévôt, mais bien exprimé par chacun des membres. L'arrêt de plusieurs érudit à ne plus fournir de PE ect...

Messire Toni semble oublier, qu'au moment des faits, il était le Commandeur de la Chambre législative. Donc une personne au service du Rouergue.

La procureur fit une légère pause avant de reprendre.


Qu'on ne vienne pas me dire, que Songe, à fait de la déstabilisation au niveau économique :

Ce qui est claire que les maires ont la responsabilité de leur économie, donc de leur marché.


Je sais vous allez dire, que le CaC se doit ceci :

Ce que Dame Songe a tenté de faire. Elle demandait clairement au maire leur surplus ou bien pour les besoin interne du Comté, ou bien pour échange à l'extérieur.

Quand on dit surplus, on dit baisse de prix, certain maire avait peine à vouloir les baisser ses prix de vente au Comté. Pourquoi ? Parce que les prix étaient sur le marché était plus haut que ce que Songe arrivait a avoir pour échange à l'extérieur, ou parce que les marchés n'étaient pas si engorger qu'on le prêtant ?

Il aurait été bien plus scandaleux, vous ne trouvez pas, si elle aurait fait des ventes ou des échanges avec de grosse perte pour le Comté ?

Et je crois, que les maires, ont eux aussi la possibilité d'exporter pour décharger. Pourquoi ne l'ont-il pas fait ?

Ensuite, pour continuer sur le sujet de Dame Songe, je ne sais pas si Messire Toni, était au courant des problème exact du Duché de Guyenne.

Mais on peut difficilement, à mon sens, juger Songe, sur la mauvaise santé financière du Duché de Guyenne sans en connaître avec exactitude les détails. Pareille pour la Lorraine.

En Guyenne, qu'est ce qui a été fait ou pas fait avant qu'elle entre en fonction ? Les mines se portaient comment ? Il y avait constamment des animaux pour les éleveurs ? La relation avec les maires étaient comment ? Les soldes des soldats tant qu'à elle ?

Quand Dame Songe a prit ses fonctions, durant son mandat, les même questions se posent.


Réussir a géré un Duché dans de tel condition n'est point chose facile loin de là, payer les soldats, acheter les céréales pour le bétail, sans compter qu'avec un prestige à 0, les attaquent qu'ils ont subis.
Le Duc avait la possibilité de la révoquer, ce qu'il n'a visiblement pas fait. Nous pouvons donc dire, que le Duc est tout aussi responsable que la CaC ou le CaM ou le Bailli si les finances était encore plus mal qu'auparavant.



Au Rouergue, les finances on stationné.

Certes, elle peut être maladroite dans sa façon de vouloir faire appliquer ce qu'elle pense. Mais en rien elle n'a voulu le mal du Rouergue et a tenté malgré les tensions de trouver des solutions pour le rachat de surplus, certes au prix le plus avantageux, mais quand même, quand on parle de gros surplus, on parle de baisse prix donc faisable.


Elle fit une autre pause pour changer de sujet.

Dans le témoignage de Messire Max, il avance bien la preuve, que l'ordre donné à la ''Mandra'' a bien été fait par Ulrich74, Comte à ce moment là.

Pour ce qui est de la conversation, que Messire Max nie, sans vouloir en aucun cas baliser les paroles, et je crois bon que la Prévôté doit lancé une enquête sur ceci, il dit qu'il ''faut réfléchir'', donc personne ne vous a tordu un bras ou menacer pour prendre le Castel. Vous y êtes aller de votre plein gré, sans demander des explications sur ci ou au conseil dans le bureau du Porte Parole par exemple.

Il y avait d'autre moyen que vous auriez tous pu prendre et appliquer, Messire, sans déstabilisé complètement le Rouergue, en vous en prenant au Château, sans l'aval de la Pairie.

Pour terminer, vous parlez de favoritisme envers la Ville De Millau... j'aimerais bien que vous nous avancez les preuves de ce favoritisme. J'ai eu beau épluché le conseil, les bureaux CaC, Bailli, conseil Maires, je n'ai rien trouvée.


Votre Honneur,

La procure demande la culpabilité de Messire Toni.

Celui-ci ne reconnaît pas avoir commis d'acte mettant en péril le Rouergue, tout au contraire, il dit que c'est eux qui y ont mit terme. en rien leur prise de château est justifiable, les caisse du Comté se portait bien, le prestige se portait bien aussi. Aucune preuve n'a été avancer de l'économie comtale catastrophique. Elle était stationnaire, pas dans le rouge.

Et sur le tout, la Pairie n'avait donner aucun soutient et autorisation pour cette révolte.


La procure, au vu de l'implication de Messire Toni dans cette prise de Château demande le bannissement de celui-ci des terres du Rouergue pour une duré maximale. Une amende de 500 écus payable dans les caisses du Comté est aussi demander.

Crysania repris sa place pour entendre la suite.

[Procès Thibali]


Après avoir entendu Thibali et Max, Crysania se leva à son tour pour rendre son réquisitoire.

Je vais commencer par la fin de la plaidoirie de l'accuser. Tout comme je l'ai dis dans mon réquisitoire pour Messire Toni,

Donc la liste n'est pas exhaustive. Donc nous pouvons y inclure la prise de Château sans problème. De plus, dans cette liste, on peut voir le point commun en chacun, celui de ''déstabilisé le Comté''.

La prise de Château, en plus d'avoir anéantie le travaille déjà commencer de plusieurs au sein du Conseil, a provoqué la colère des habitants, l'arrêt de travaille de la maréchaussée qui n'a pas été demander par le Prévôt, mais bien exprimé par chacun des membres. L'arrêt de plusieurs érudit à ne plus fournir de PE ect...

Au moment des faits, vous étiez bien une personne au service du Rouergue non ? Dans une institution importante du Rouergue, n'est ce pas ?
Vous faisiez parti de l'Ost Rouergat en tant que Maître de Camp. À la prise du Château, vous étiez encore Maître de Camp. Donc la Haute Trahison est applicable..



La procureur regarda un instant ces notes avant de poursuivre.

Dans ce que vous dites a propos de Messire Max12, si je regarde le document que Messire Toni a fournis au Juge.

Crysania prit le document en main, et en le regardant, elle continua.

Il ne semble pas insister tellement sur cette de la prise de Château. Il semble plutôt indécis.
Je ne banalise en rien ces pensées, le fait de prendre des renseignements et de tâter le poux de ceux qui pourraient être intéressés. Mais il n'a pas tordu le bras de personne. Mais vous semblez presque dire le contraire. Malgré qu'il dise, n'avoir été au courant de cette révolte. Enfin je parle du projet fini.
Il y a autre chose à rajouter ?

Sinon vous dites :
''[...]j'ai commencé, avec une poignée de Rouergats, conscients du danger qui était à l'œuvre en Rouergue,[...]''

Vous parlez de quel danger qui se mettait en œuvre ?

Vous parlez aussi que le Comte Ulrich n'a rien fait pour le passage des brigands sur nos terres. Quel aurait été la meilleure solution, sachant qu'une simple fermeture n'empêche en rien le passage en douce des brigands. Qu'Ulrich semblait vraiment vouloir évité les bain de sang, j'en fais référence au ''accords'' passés avec les douze félons.

À votre connaissance, a t-il eu d'autre mesure prise comme par exemple prévenir le BA du danger pour eux par Ulrich, le Capitaine Max ? À moins que vous l'ayez fait vous même ?

Ensuite, dans la reprise de la Mairie de VilleFranche, par l'armée de Dame Godelaine, les changements apporté par Ulrich, ont t-il mit le Rouergue en réel danger par l'immobilité de cette armée à Villefranche ?

Dame Songe malgré sa maladresse, comme vous avez pu le remarquer quand vous avez sièger au conseil, avait réussi, sans aucun doute l'aide d'Ulrich, a améliorer un peu la relation avec les maires et tenté d'écouler les surplus le plus possible sans mettre les mairies en perte, mais sans que le Comté soit a perte aussi. En aucun cas, elle a rendu les caisses du comté dans un état désastreuses.

À oui, une dernière question. Vous dites :

''Des décisions douteuses furent prises et contredites le lendemain de la part du capitaine et du comte... ''

Un peu en savoir plus sur ces décisions ?

Enfin, dans toutes vos raisons de prendre le Château, il n'y avait vraiment aucune autre solution, aucune autre manœuvre qui aurait pu être appliquer à la place ?

Dans tous les révoltés, je n'ai vu aucun venir en place public demander des comptes au Conseil.

Crysania se tourna vers le Juge.

Je voudrais rajouter avant de terminer, qu'on m'a fait savoir que Dame Godelaine devrait témoigner dans ce procès, donc que votre honneur sache qu'elle sera appeler à témoigner.

Votre Honneur,

Ce que je constate de la première plaidoirie, c'est
- Que le Rouergue n'a subit aucun soucis malgré les décisions de Messire Ulrich.
- Que Max fini par avouer, avoir parlé de prendre le château une seule fois, sous le coup de la colère, mais que l'idée est resté sans suite de son coté.
- Que dame Songe malgré les débuts difficile, tentait d'améliorer ses relations avec les maires pour ainsi écouler les surplus.
- Et sur le tout, la pairie, même averti, n'avait donner aucun soutient et autorisation pour cette révolte.
- Que jusqu'à présent, rien ne justifie, avant la prise du Château, la prise en elle même.
- Et pour finir, que Dame Thibali a jouer un rôle important dans cette prise de Château avec son Armée la '' Mandra'' qui était destiné à la sécurité du Rouergue.


La Procure demande un bannissement maximal avec une amende de 500 écus.

Crysania reprit sa place pour écouter les réponses de Thibali.

[Procès d'Etienne]

L'attente était longue. Bien trop longue pour une procédure légale. Il s'inquiète. Assis dans le box, il parcourt silencieusement son Coutumier. Il réfléchit. Puis, jettant un coup d'oeil sur l'assemblée il se lève :

"- Dòna Escavin. Cette Maxcarade a trop durée. Nous nous demandons si notre Procuradora a déjà lu le Livre de Droit Pénal. Vous connaissez le délai accordé à chaque intervenant pour formuler sa réponse. Ainsi, ma première plaidoirie a été faites en temps et en heures, et j'attends depuis maintenant un bout de temps le réquisitoire.

Le délai étant dépassé depuis déjà un bout de temps [12h de retard sur 48h soit 25%], je demande que le réquisitoire soit annulé et que nous passions directement à ma seconde plaidoirie.
Sachez Dòna, que je serais intransigeant sur le délai, et pour cause : vous m'avez tirer de retraite pour me mettre en procès. J'ai passé des heures et des heures à préparer mon intervention, et notre Procurador ne respecte pas la loi.

Merci Dòna Escavin de prendre en compte mes considérations.

Sachant l'impartialité que doit avoir le juge, le procès est donc presque terminé.




[NB : Plaidoirie de la défense mise en ligne le 30 Avr 2009 01:21 sur la gargotte, donc un peu avant IG. C'est donc l'équivalent du 29 Avr (si on se base sur la MaJ du jeu). Ainsi, si on ajoute 48h, ça fait avant la MaJ de vendredi 1 Mai au samedi 2 Mai. Il est 14h15 - soit plus de 10h après la MaJ.
J'utilise le témoignage pour être syncro avec le RP, donc j'insererais le témoignage dont j'avais besoin dans ma plaidoirie]
EDIT Remise du HRP
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[Procès E_scout]



Chacun leur tour, ils se présentèrent à la barre pour plaider leur cause. C'était le tour d'E_scout. Crysania écouta, d'un oreille attentif, au visage neutre. Donc son tour était venue de prendre la parole.

D'abord, comme je l'ai déjà dit pour Toni et Thibali, la liste pour la Trahison n'est point exhaustive et qu'entre chaque point, il y a un lien bien précis, la déstabilisation du Comté.

Certes, pour la Haute Trahison vous n'étiez pas un conseiller, ni le Comte, mais vous étiez tout comme Thibali une personne au Service du Rouergue par vos Fonctions à l'Ost. Donc Jugeable pour haute Trahison.

Vous parlez de l'inéligibilité de Dame Songe. Quand celui-ci a été évoqué, j'avoue m'avoir vraiment poser des questions. À l'époque, quand j'ai vu la liste d'Ulrich avec dame Songe qui venait d'arriver, époque ou je n'avais pas l'intention de faire parti d'une liste, mais enfin ça c'est une autre histoire, j'avais moi-même regardé si elle était inéligible, pour en avertir Ulrich dans tel cas. Elle est arrivé le 5 Février, soit plus de 30 jours avant les prochaines élections. Quand je parles des élections je parle du dernier jour de vote.

4.2.a. De l’éligibilité

4.2.1. Tout rouergat est éligible, à condition de respecter les conditions suivantes:

- Etre sur le sol rouergat depuis plus de 15 jours avant la date de presentation au poste de maire et 30 jours pour une presentation sur une liste comtale .

Ce bout de texte, pour plusieurs, est a double sens. On peut tout autant comprendre que tant que cela fait 30 jours qu'on ai au Rouergue avant la date final du vote, tout est bon. Comme on peut le comprendre, que le jour ou cette personne apparaît sur la liste, cela devra faire un minimum de 30 jours qu'elle est au Rouergue.

Plus d'une personne l'ont compris dans le premier sens.

Je suis quand même curieuse de savoir pourquoi aucune plainte n'a été déposé par le conseil passé, dont Toni était Comte soit dite en passant, sur dame Songe et son inéligibilité. Ce conseil, était responsable à ce moment de contrôler tout ceci. Mais on peut voir, dans cette révolte, que plusieurs personnes qui était présent dans ce dit conseil, aujourd'hui clame que Dame Songe était inéligible, mais n'ont rien fait durant leur mandat sur ceci.

J'avoue ne pas comprendre la logique, de rien faire au moment où on peut faire et se plaindre ensuite.

* La procureur fit une légère pause avant de continuer.*

Enfin bref...

Vous dites ceci :

''Vous prenez comme citation dans votre réquisitoire une phrase que jai prononcé : « La Pairie, et le Roy, sont déjà au courant, avant même la reprise, si ils avaient été contre, ils nous l'auraient déjà dis. »

Aurions-nous tort de penser cela ? Pensez-vous quil est normal davoir une institution qui met plus dune semaine à débattre sur un dossier face à une armée déjà dans l'enceinte de la ville ? Cest forcement quils ne sont dans un premier temps - pas totalement contre. ''

Je crois que la Pairie, par son annonce, fait bien comprendre que cette phrase qui arrange souvent tout le monde quand réponse tarde a venir '' Qui ne dit mot consent'' N'a pas de valeur pour eux.

C'est une institution Royale Messire, ils se doivent de faire entendre par des écrits officiel pour informer, de leur décision.

De plus... dans votre conversation avec Messire Max, rien ne fait mention qu'il vous oblige à faire cette révolte, vu qu'il n'était pas au courant.
Donc c'est de votre plein gré, que vous vous êtes révolté.

Il va voir Thibali, il va voir Toni deux fois en terminant sur une note de '' faut réfléchir'' et tout est de sa faute ? Ce n'est pas assumer ses actes cela Messire.

Comme je l'ai dis avec les autres, je ne banalise pas ses paroles et surtout je ne l'excuse pas, je laisse le soin au Prévôt des Maréchaux de faire son boulot.

Crysania se retourna vers le Juge.

Votre Honneur,

L'accuser assume ces acte, ce n'est pas négligeable. Mais est-ce qu'il regrette ?

Il reste que malgré leur nombreuse justification pour prendre le château, la Pairie n'a nullement soutenu cette révolte.
Que d'autre moyen aurait pu être prit avant d'envisager la prise du Château.

Tout comme il aurait très bien pu attendre la décision de la Pairie.


La procure demande le bannissement maximal ainsi que 500 écus payable dans les caisses comtale.

Du fond de son fauteuil, Toni écoute la procure faire son réquisitoire. A la fin de celui ci, il se leva pour prendre la parole.

Dans un premier temps, on va mettre certaines choses au clair. A savoir: je ne suis point messire toni , mais sa grandeur Toni Montana, coms d'Ayssenes ou messire Toni Montana, si ca écorche la bouche de la procure, car il ne semble point l'avoir côtoyé d'assez près pour qu'elle m'appelle ainsi. Ça c'est juste pour remettre certaines choses a leurs places.

Pour en revenir a notre affaire, Qu'avons nous entendu? dans un premier temps, le capitaine Max12 est venu ici nier qu'il m'aurait tenu les propos cités. Dans un second temps il est revenu sur ses paroles pour avouer les avoir dites mais "sous le coup de la colère" dit il.

Si la procure n'estime pas qu'un capitaine alertant la noblesse des exactions du comte , en fournissant les effectifs des maréchaux a ceux ci, en donnant accès a des archives classées confidentielles mettant en doute les capacités du conseil a faire face a ses devoirs entre autres, croyez bien que j'en suis fort marrie. Mais moi, ça m'alerte, oui!

Il est clair même avec le recul du temps que si le capitaine ou un autre conseiller venait me voir avec des papiers sous le bras indiquant que le conseil était incompétent et que pire! celui ci venait a nuire aux intérêts du comté, il ne fait nul doute que j'ai agit comme je l'ai toujours fait, "uniquement dans l'intérêt du Rouergue" !

En revanche, peut on en dire autant du senher Max12 dict la Girouette? je ne pense pas! car selon lui cette action n'aurait jamais du être entreprise, donc il n'aurait jamais dû avoir de tels propos que ce soit a l'OST ou a des nobles.
Il savait pertinemment que par sa fonction, il serait écouté. Il est capitaine depuis bien longtemps maintenant, dire avoir agit sous le coup de la colère n'excuse ni le fait de s'être parjuré devant la cour, ni d'avoir proféré ces paroles qu'il juge aujourd'hui de "coup de sang". Un conseiller comtal a plus forte raison le capitaine de l'ost se doit de garder son sang froid.
Je réitère ma demande de mise en accusation du conseiller Max12 pour parjure.

le comte retourne a sa table et se verse un verre d'eau qu'il boit doucement, puis reprend

La procure essaie tant bien que mal de cacher la pathétique attitude de son amant, mais c'est peine perdue! Elle essaie de trouver n'importe quel prétexte pour écarter des personnes qui ont travaillé avec acharnement au service du comté.
La procure en faisant référence au texte sur la trahison occulte habilement un terme qui a son importance "caractéristiques identiques" et a aucun moment la procure n'a fait état de similitudes entre les faits reprochés et le texte cité ... aveu d'incompétence? nous n'en sommes pas loin.

Ensuite, la prise de chateau, n'a en aucun cas anéanti le travail effectué, vu qu'il n'y a eu quasiment aucun travail effectué! preuve en est les nombreuses demandes de bilans qui sont restés sans suite au bureau du porte parole!

Je vais me permettre de citer certaines paroles de la procure pour prouver la bêtise de l'acte d'accusation:

Mais que veut donc dire "une personne au service du Rouergue" ? Un Commandeur est il une personne au service du Rouergue? légalement parlant, j'entends! qu'on me trouve le texte le stipulant, dans le cas inverse, je crains que cette accusation ne soit que tribulation d'un esprit bien plus malade que je ne le croyais.

je vais continuer avec les propos de la procure, elle m'amuse tant, faut dire...

C'est étrange ce que vous nous racontez là, vous savez? bon, je reconnais que niveau eco c'est pas votre fort, on a tous pu remarquer qu'a ce niveau vous etiez cruche, m'enfin quand même! comment croyez vous que ca se passait avant son arrivée? Il y avait pourtant des ventes et des achats, le comté s'enrichissait en ces temps! Pourquoi ceci aurait changé? non, rien a changé! sauf la médiocrité du Cac, voila la seule et unique différence .
C'est étrange comme l'histoire se répète , ne trouvez vous pas? Lorraine, Guyenne, et maintenant le Rouergue? je crois qu'un tel faisceau de preuves ne peut que confirmer que Dona Songe n'aurait jamais du toucher de près ou de loin tout ce qui touche a l'économie dans notre comté. Et selon moi, il en va de même pour donà Tchikita qui n'a d'yeux que pour sa ville, on ne peut être conseiller économique de sa ville et bailli en même temps, il y a un énorme conflit d'intérêt.

Pour résumer tout cela, je dirais que la demande de la procure est ubuesque, tant par la démesure de l'amende qu'elle tente d'infliger, que par la disparité des demandes suivants les prévenus, que par l'absence d'etaie concernant cette soit disant déstabilisation.

je finirais en disant ceci:

Le capitaine Max12 étant venu me trouver ainsi que d'autres pour mettre au point une révolte, il ne pouvait s'agir a ce moment d'un coup de sang donc il savait tres bien ce que ses paroles impliquaient. Ses paroles étaient on ne peut plus clair: "dit moi comment ça se passe pour choisir un regent?" , "On passera a l'action quand je serais réintégré" ou maintenant" ce qui prouvait bien qu'il s'agissait d'urgence. Point n'est besoin de torsion de quoi que ce soit quand il s'agit de la mis en peril du Rouergue! La procure semble aussi oublier les innombrables demandes dans le bureau du porte parole pour obtenir des bilans , bilans qui avec le recul sont bien negatif si on prend en compte, qu'une mine s'etait effondrée sans que le conseil comtal n'ai averti personne!

Aussi, je serais bref dans mes conclusions

Attendu que la procure n'a produit aucun element ettayant un acte d'acccusation construit,
Attendu que les troubles ne sont que ceux qui apparaissent ce jour dans le comté
Attendu que le conseiller Max12 n'a point été inquieté alors qu'il se trouve etre l'un des acteurs principal de cette action

Nous ne demanderons pas d'excuses publiques de la procure, tant ses paroles nous donnent la nausée, nous ne demanderons pas non plus que les viceres de la girouette soient eparpillés aux quatre coins du rouergue pour que sa lâcheté soit lavée

Nous demandons simplement la justice! Nous demandons la relaxe pour non lieu,

je vous remercie!

Puis le coms se tourne vers la foule qui suit les procès, et d'un voix puissante entame un discours

Je vous le dis aujourd'hui, mes amis, bien que nous devions faire face aux difficultés d'aujourd'hui et de demain, j'ai tout de même un rêve. C'est un rêve profondément enraciné dans le rêve Rouergat."

Je fais le rêve qu'un jour, ce comté se lève et vive sous le véritable sens de son credo : “Nous considérons ces vérités comme évidentes, que tous les hommes ont été créés égaux.”

Je fais le rêve qu'un jour, sur les collines rouges d'Espalion , les fils des esclaves et les fils des propriétaires d'esclaves puissent s'asseoir ensemble à la table de la fraternité.

Je fais le rêve qu'un jour, même Millau , désert étouffant d'injustice et d'oppression, soit transformé en une oasis de liberté et de justice.

Je fais le rêve que nos enfants vivront un jour dans un comté où ils ne seront pas jugés pour la couleur de leur peau, mais pour le contenu de leur personne. Je fais ce rêve aujourd'hui !

Je fais ce rêve aujourd'hui.

Je fais le rêve qu'un jour chaque vallée soit glorifiée, que chaque colline et chaque montagne soit aplanie, que les endroits rudes soient transformés en plaines, que les endroits tortueux soient redressés, que la gloire du Seigneur soit révélée et que tous les vivants le voient tous ensemble.»

Le comte se tait, il scrute la foule immobile quelques instants , puis retourne lentement a sa place. tout en s'asseyant, il lance au juge

J'en ai fini votre honneur!
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A écouter la procure, on peut se demander de qui est-ce le procès ici.
De Donà SONGE, dont la procure tente de justifier l’action, allant jusqu’à affirmer qu’elle a amélioré les relations avec les maires alors que justement toute discussion publique en gargote a été arrêtée plus de quatre jours avant la prise du château ?
Procès de messire ULRICH ? La procure prétend que le Rouergue n’a subi aucun souci du fait de son action. Ce doit être une nouvelle méthode, consistant à affirmer avec force ce que l’on veut être la réalité…. Malheureusement, cela ne suffit pas d’occulter les faits.
Madame le Juge, la procure n’arrive pas à différencier le contenu du coffre du château et la richesse des habitants du Rouergue. Ce n’est pas si compliqué pourtant : le comté achète et vend aux villes, quand il arrête de le faire ou baisse les prix d’achats, que se passe-t-il ? La situation des villes et de ses habitants s’améliore-t-elle ? C’est sans doute pour cela qu’ils ont vendu leurs champs et se sont jetés sur les routes ? La procure sait-elle au moins combien de Rouergats sont ainsi partis au bout de quelques semaines d’activité du comte Ulrich ? Et la preuve la plus éclatante de l’efficacité de l’action du CAC et du bailli de messire Ulrich sur le bien du Rouergue, n’est-ce pas que le bailli n’a pas fait partie du nouveau conseil, et que l’ex-CAC en a démissionné au bout de quelques jours ?

Ou encore procès de "Max" ? Mais j’y reviendrai plus tard.

Revenons si vous le voulez bien sur l’accusation d’avoir tenté de déstabiliser le comté. La prise du château ne pourrait avoir anéanti le travail effectué par l’ancien conseil que si travail il y avait eu. Ce qui n’a pas été le cas, c’est indéniable. Que certains érudits choisissent de ne pas fournir de PE n’a à aucun moment été pénalisant pour le comté, le Rouergue comporte, heureusement, suffisamment d’érudits, et donc n'a jamais souffert de manque de PE .

Si telle avait été mon intention de déstabiliser le comté, Madame le Juge, aurais-je, une fois la prise de château invalidée par la pairie, continué à gérer le comté avec mes camarades ? Pendant 17 jours, mon armée a reculé pour permettre au conseil de messire Ulrich de reprendre le château, pendant 17 jours le comté a été géré, la sécurité assurée, les soldats payés. Est-ce là action déstabilisatrice ? Il aurait été facile de vider les bureaux, de partir et de laisser le comte légitime se débrouiller ne croyez vous pas ? L’avons-nous fait ? Qu’avions-nous à retirer personnellement de ce gardiennage interminable ?

Notons que personnellement j’étais en contact tous les jours avec le comte Ulrich et le capitaine Max12. Que j’ai fait des demandes, j’ai donné des informations, obéi aux ordres du capitaine.
Celui-ci a finalement avoué en partie avoir songé une fois à se révolter. Avouant ainsi avoir menti lors de son premier témoignage. Mais en réalité, il m’a lui-même relancé à plusieurs reprises à ce sujet, pas qu’une fois

N’oublions pas dans cette affaire que le capitaine Max12 était mon supérieur direct à l’ost.

Et puisque vous me demandez d’en savoir davantage sur les "décisions douteuses prises et contredites le lendemain de la part du capitaine et du comte", voici une "liste non exhaustive" de ces décisions, que je me permet de porter à votre connaissance :

Personnellement j’ai reçu l’ordre du capitaine de me déplacer à Rodez. Et notez la réponse du lieutenant Godelaine qui mentionne ne pouvoir bouger, étant donné qu’elle était maire ET chef d’armée ce qui la rendait ainsi immobile. Il faut noter la présence de nombreux brigands à ce moment là autant à Villefranche qu’à Cahors. Et les nombreuses révoltes en BA qui ramenaient tous ces malfaisants vers les routes du Rouergue.
*elle prit un document et le tendit a la procure*

http://img294.imageshack.us/img294/8435/screenost1.jpg

Quand au moyen pour éviter le pillage du BA : à ma connaissance aucune communication ni du capitaine ni du comte n’a été faite envers nos voisins. De plus la disponibilité de l’armée la Mandra alors, aurait été un moyen dissuasif du passage des brigands par sa seule présence sur le nœud Rodez-Aurillac. Et ce, sans dépenses supplémentaires et sans écoulement de sang. Au pire auraient-ils eu à retraiter pour contourner via la Guyenne et le PA. Non, pendant ce temps la Mandra était cantonné à Espalion sans pourtant avoir de raison d’y être autre que de veiller.
Alors dites moi… veiller a Espalion ou veiller sur le nœud ? Quelle différence ? Au moins le passage aurait été bloqué.

Maintenant à votre question
"Un peu en savoir plus sur ces décisions ?" et au sujet du Capitaine Max12 :
Vous connaissez aussi bien que moi les faits suivants :
-Le comte qui retire les accès au capitaine un jour pour les lui rendre le lendemain.
-Un jour le capitaine met l’ost en alerte verte mais demande aux hommes de défendre, ne donnant ses ordres que tard en soirée.
-A un autre moment l’ost est en alerte rouge mais malgré les nombreux mouvements de brigands, les rackets sur nos routes et la présence de malandrins en plusieurs de nos villes, il donne l’ordre de travailler.
-Il a omis d’avertir le Maistre de camp qu’elle était attendue dans une salle de la prévôté, suite à une décision du Prévost de ne plus aller dorénavant à la salle de liaison Ost-prévôté.
-Il ne transmettait pas les informations de l’ost au conseil, ni ne transmettait les avis et directives du comte et du conseil a l’État-major.
-Il a nommé unilatéralement, lieutenant de la caserne de Millau, messire Eliox, dès son arrivée au bureau de recrutement , malgré les dossiers judiciaires de celui-ci et sans avis ni du MDC ni de l’EM. Allant ainsi en totale contradiction avec le codex militaire.

Il me semble avoir fait le tour des inepties du capitaine et du coms à l’ost, mais le sujet est tellement dense, que vous me pardonnerez si j'en ai oublié quelques bribes.

Et maintenant : suite au témoignage du sergent Godelaine :
Elle y accuse Messire Etienne, il se permet donc une réponse;
Dòna. Je ne puis que m’insurger lorsque vous sortez devant la justice de telles bêtises, n’oubliez pas votre serment.
C’est ici de la diffamation, j’ai toujours dis que ça devait être Pandorine la maire, et cela dès que vous nous avez annoncé votre charisme, celui d’Ibalam, et celui de Pandorine. Sachant que le votre est de 255, celui de Pandorine aussi, tandis que vous annonciez celui d’Ibalam a 197. Vous aviez répondu, si ma mémoire est aussi bonne que la votre "alors pas d’hésitation, c’est Pandorine". J’ai tout de suite confirmé vos dires. Mais le choix de mettre Ibalam a été fait par Ulrich seulement.
Certes, j’ai conseillé Messer Ulrich, mais je lui ai conseillé de mettre Pandorine.
Vous ne vous souvenez certainement pas lorsque vous m’avez transmis vos discussions avec celui-ci, où vous vous plaigniez de votre sort. Je vous avais répondu : "C’est normal ; il ne m’a pas écouté".

J'en tire conclusion : Godelaine ment. Je ne sais pas par qui elle est manipulée, ni quels sont ses intérêts dans cette histoire ; mais le fait est indéniable, et cela, malgré qu’elle ait osé jurer sur le livre des vertus.

Je veux aussi mentionner de nouveau à la cour, que les douze ont déposé les armes dès la déclaration de la pairie, collaboré avec le conseil légitime et même suivi les consignes du Comte Ulrich.
Que nous avons laissé un prestige à près de 4.4, des mines en bon état et remplies, et payé les dûs aux maréchaux et soldats, et cela sans que les impôts des mairies n’aient été versés.
Que nous avons assuré la sécurité des villes et du comté jusqu'à la fin. Tout cela malgré les appels au boycott des mines et la démission des maréchaux.
Alors qu’aujourd’hui les mines sont peu remplies et le prestige à 2.5 .


Maintenant revenons à la demande de sanction de la procure :

Article 6.2.2.3. : Du Bannissement. Le bannissement du comté, peut être prononcé pour une période ne pouvant pas dépasser 3 mois, par le juge à l'encontre de toute personne récidiviste condamnée à l'emprisonnement.

Je n’ai jamais été en procès ni ici ni ailleurs, pas plus que je n’ai jamais commis quelques délits que ce soit. Alors comment justifier la récidive tel que mentionnée dans l’ancien coutumier ?


Et pour terminer :

Attendu que les accords avec feu Coms Ulrich et ex-juge Arnautpendragon ont été bafoués,
Attendu que la procure n'a produit aucun élément étayant un acte d'accusation construit,
Attendu que le Régent Max12 n'a point été inquiété alors qu'il se trouve être l'un des acteurs principal de cette action
Attendu que la Procureur n’a en aucun cas prouvé que nous ayons agi contre les intérêts du Rouergue


Nous demandons que justice soit faite .
Nous demandons la relaxe pour non lieu,

Je vous remercie !
_________________

Lord Mick reprit

Votre honneur,

la procureur s'obstine à ne dire qu'aucune preuve ne fut fournit pourant il me semble que tout le monde les a bien entendu et de partout.

Je pourrais vous redonner les arguments de touts les gens qui sont assis avec moi mais est ce bien utiles ? dites le moi et je recommence?

Alors j'ai attaque le Rouergue pour les faits m'ont ete expose sachant le passe de Dona Songe lors de ses differents mandats, le fait que le Capitaine Max s'est plaint et a propose le renversement.

D'ailleur je suis allé voir l'ancien Comte Urich pour les explications sur cette Dona...

Enfin j'avais demande le bilan qui n'arrivait pas et tout cette accumulation de chose à fait que je suis partie avec mes compagnons ici present faire ce qui semblait le plus juste à mon coeur.

Je voudrai savoir pour quelle raison obscur aussi Arnault ne preside pas cette odience?

Comme le procureur s'est trompe dans le chef d'accusation je demande l'annulation pur et simple de cette mascarade de proces.

Attendu que les accords avec feu Coms Ulrich et ex-juge Arnautpendragon ont été bafoués,
Attendu que la procure n'a produit aucun élément étayant un acte d'accusation construit,
Attendu que le Régent Max12 n'a point été inquiété alors qu'il se trouve être l'un des acteurs principal de cette action
Attendu que la Procureur n’a en aucun cas prouvé que nous ayons agi contre les intérêts du Rouergue


Nous demandons que justice soit faite .
Nous demandons la relaxe pour non lieu,

Je voudrai aussi porter une plainte contre le conseil actuel etant donné que Dona Jade à moins de 30 jours dans notre Comte. Meme si je n'ai rien contre elle personnellement ceci ne fais que acredite le fait que se conseil n'a pas plus de legitimite que le notre en avait donc qu'il n'a pas les pouvoirs pour nous juger.

Je vous remercie de nous avoir ecoutez.


Lord Mick retourna a son siege à cote de ses compagnons et attenda le verdict.
_________________
La Garde Meurt Mais Ne Se Rend Pas !!!

[Procès d'Etienne]



D’un air un peu dépité, le Senescal regarde la procureur :

- Dòna sachez tout d’abord qu’il est fort désagréable de voir que vous ne vous justifiez pas concernant votre retard. Cela aurait été plus honnête. Enfin, ce n’est pas la première chose qui me déçoit.


Fouillant dans ses papiers, il dit au juge

- Dòna Escavin, sachez que j'ai ici un témoignage d'un haut fonctionnaire du Royaume qui a confirmer les délais, les dates, et les lenteurs de la Pairie. Sachez que je n'ai pas eu de réponse pour le dossier d'inéligibilité, alors comme vous en l'attente de l'avis de la Pairie, je ne puis assurer que le Conseil d'Ulrich était légitime.
Malheureusement, je ne la retrouve pas, mais je ne vais pas perdre mon temps à la chercher, je vous la transmettrais plus tard.


Puis se redressant, il sourit

- Bon reprenons votre magnifique réquisitoire !
Vous m’annoncez que j’étais au service de Roèrgue donc que je suis passible de Haute-Trahison. D’abord, c’est contradictoire avec la première partie de l’article, donc il est bien plus logique que cela s’applique qu’au Conseil Comtal et Coms.

Je vous explique : pour qu’il y ait Trahison, il faut qu’il y ait rupture d’engagement. Vous êtes d’accord ? Donc qui dit engagement dit être au service du Comté.

Une trahison ne peut donc venir que d’une personne au service du Roèrgue. Comme le dit le dicton : « Vive mes ennemis car eux ne peuvent me trahir ». Nous voyons bien ici ce que j'essaie de vous expliquer.

Donc, reprenons, pour qu’il y ait trahison, il faut qu’il y ait service, ce qui abouti d’après vos dires à une Haute-Trahison.
Cela est sans sens, ce serait remettre en cause les autorités royales qui, eux, font nuance entre Trahison et Haute-Trahison. Ainsi suivant votre logique, il n'y aurait que des procès pour Haute-Trahison. Je vous remercie, car votre réquisitoire prouve bien qu’il s’agit à la limite d’une Trahison, mais en aucun cas d’une Haute-Trahison. De plus, vous accordez que Lordmick n’a pas été coupable de HT, mais de Trahison ; cela est incohérent, car comme il le dit depuis qu’il vit ici, c’est bel et bien un « Serviteur du Roèrgue », donc j’aimerais savoir si il vous a payé, ou si vous n’avez pas toute votre tête. De plus, vous glorifiez le fait qu'il ait démissionné, mais sachez que ce n'est pas la seul personne [cf Bug], je fais aussi partis de ceux qui ont voulu, mais nous n'avons pu. Et puis, pour la suite, nous ne l'avons point fait puisqu'Ulrich nous a demandé de rester en poste, ainsi vous glorifiez celui qui laisse un poste à l'abandon.


Il faut une petite pause, car comme le dit la procureur, elle ne suit pas bien la logique. Il boit un peu, puis la regardant avec pitié, lui tend le verre afin qu'elle puisse boire. Enfin, il reprend lentement

- Je dois vous rappeler Dòna Procuradora que vous êtes ici à mon procès, le but est de m’accuser et d’argumenter, le but n’est pas de défendre vos amis mis en cause. Un dossier sur l’inéligibilité a été envoyé à la Pairie, et je ne serais me fier à votre jugement, sachant le nombre d’incohérence que vous avez dîtes depuis le début de mon procès.


Je vous fais remarquer néanmoins qu’il y a une différence entre le terme « Présentation » et « Election » ; si le Coutumier emploi le terme présentation, ce n’est pour lire élection. Une présentation sur une liste comtale est le fait d’avoir son nom validé sur une liste qui se présente, que vous le vouliez ou non, ce sera toujours ça.


Je suis le seul des félons qui a clamait haut et fort l’inéligibilité de PAM. Ainsi lorsque nous avons mis en place notre action, je n’ai pas tout gardé pour moi, et je leur en ai fait part. Ensuite, pourquoi est-ce que je n’ai pas déposé de plaintes avant ? Simplement car j’étais en campagne avec la Mandra pour défendre notre sœur, et non pas à compter fleurette au Capitaine.

« C'est une institution Royale Messire, ils se doivent de faire entendre par des écrits officiel pour informer, de leur décision. » Cela n’excuse en rien le fait de mettre une semaine pour répondre, vous allez me répondre : « Oui, mais ils doivent réfléchir ». Alors je vous réponds, du temps où Dòna Armoria était membre active de la Pairie les décisions étaient prises sont 48h. Cela voulait-il dire qu’elle n’était pas étudié, ni réfléchis ? Non.

Vous en êtes la preuve même, vous n’avez pas attendu l’aval de la Pairie pour que Max s’autoproclame Régent : la décision de la Pairie est venu après. Vous avez donc fait exactement la même chose que nous, et je ne vois vous pas en procès. Ce ne que nous avons interpréter ne peut donc être retenu comme incohérent ou preuve de trahison.


Il fit une pause

- Dòna Procuradora, la suite est bien plus inquiétante, car je commence à douter du fait que vous ayez écouté ma plaidoirie. Car vous prétendez que j’ai soutenu le fait que Max soit l’instigateur et qu’il nous ait forcé à le faire. Hors, c’est totalement faux. Dans un premier temps, j’ai demandé à Max d’être honnête, et à assumer ainsi son faux témoignage – lorsqu’il affirmait que s’il avait été au courant, il aurait prévenu le CC.

Le fait de dire que Max aurait soutenu notre révolte s’il avait été prévenu, et celui de dire qu’il nous l’a obligé sont deux choses distinctes. Par contre, nous ne pouvons nier que ses réactions nous aient encouragés à continuer. Il faut que chacun ait sa part de responsabilité.


Il lui sourit gentiment, et adresse aussi un regard à la girouette

- Je vous rappelle que le but de votre réquisitoire est de prouver que nous avons fait cela pour le mal du Comtat, et que par notre action nous avons ruiné le Comté, et non pas de défendre Songe ou votre compagnon de lit.
Ceci, vous ne pourrez jamais l’avancé car c’est totalement faux. Nous avons la preuve. Durant le Conseil des « Félons », le prestige du Comté a augmenté, nous sommes allé jusqu’à 4,30. Pouvez-vous m’indiquer à combien est le prestige ? Il est à 2,5. Soit une perte de presque 2 points pour un Conseil censé sauvé le Roèrgue.

Vous ajouterez à cela que les villes étaient toutes défendues. Il est vrai que cela ne fut pas par la Prévôté. Le prévôt, et l’adjoint – vous – ont appelez les maréchaux à ne plus travailler. Bel preuve de service. Je vous rappelle que je suis allé voir moi-même tous les maires et adjoints aux maires pour entrer en discussion avec eux. L’exemple le plus éloquent est Dòna Nina et Messer Belad – de Millau – qui s’insurgèrent contre nous en place publique – c’est leur choix politique -, mais qui cohabitèrent pour mettre en place la défense de la ville. Je pourrais la faire témoigner ici, pour qu’elle affirme que c’est la première chose que je lui ai demandé : « Tu nous soutiens, ou tu nous soutiens pas : ce n’est pas le problème. Pour le moment, on veut un appel au calme, la fréquentation des mines, et la défense de mairies. Sache que le Comté sera là pour aider les mairies, même si celle-ci refusent de lui vendre les produits. » Cette discussion là, je l’ai eu avec bon nombre de Roèrguats. Qu’ils viennent témoigner. Sachez que les mines étaient plus fréquentées durant la reprise, qu’aujourd’hui même.


Il se redresse sur toute sa hauteur, puis continu d’un air sévère

- Mon dernier point sera le plus court, mais certainement le plus important. En tout cas, celui qui m’inquiète le plus. Dòna Procuradora, puis-je vous poser une question ? Avez-vous déjà lu en entier le Livre Pénal ?

Etienne tend par-dessus son box, un exemplaire du Coutumier

- Tenez, je vous prête le mien. Allons-y, lisons ensemble les articles.
Article 6.2.2.3. : Du Bannissement. Le bannissement du comté, peut être prononcé pour une période ne pouvant pas dépasser 3 mois, par le juge à l'encontre de toute personne récidiviste condamnée à l'emprisonnement.

STOP. Arrêtons-nous là. Alors qu’avons-nous compris de ce texte ? Mais, cherchons tout d’abord la définition d’un mot-clef : Récidiviste. Un Récidiviste vient du nom Récidive, qui signifie « Fait de commettre à nouveau une même faute ». La faute en question d’après le texte, est d’être de nouveau trainé en justice avoir déjà visité les geôles comtales.

Ah zut ! Aucun des 12 félons les ont visités ! Il faut dire qu’ils étaient tous au service du Roèrgue.


Il en arrête là. Il se tourne désormais vers l’Escavin

- Excusez-moi Dòna Escavin, de mettre particulièrement adressé à notre Procuradora, mais j’avais peur de votre état de santé. Je tire donc mes conclusions devant vous.

• Attendu que la Procuradora n'a produit aucun élément étayant un acte d'accusation construit,
  
• Attendu que notre Régent est lui-même en partie responsable des faits reprochés,
  
• Attendu que la Pairie a soutenu notre Régent,
  
• Attendu que les accords avec feu Coms Ulrich et ex-Escavin Arnaut ont été bafoués,
  
• Attendu que la Procuradora a lancé mon procès durant ma retraite,
  
• Attendu que la Procuradora n’a pas respecté le livre Pénal pour le temps répartit aux intervenants,
  
• Attendu que le but de la procure est de prouver que nous ayons fait cela contre l’intérêt du Roèrgue
  
• Attendu que la Procuradora n’a en aucun cas prouvé que nous ayons fait cela contre les intérêts du Roèrgue,
  
• Attendu que la Procuradora ne connaît point les textes Roèrguats, et qu’elle demande une peine illégale,
  

Nous demandons la justice et donc la relaxe pour non lieu.


A ce moment là, il se tourne vers la foule.

- Que la vérité sorte, et que l’on nous prouve que nous ne vivons pas dans les magouilles et la corruption !!!

Il se retourne vers la Escavin, et dit calmement

- J’en ai finit Dòna Escavin.


[Pour le témoignage du haut-fonctionnaire, je vous la transmet par courrier bientôt. Peut-être pourriez-vous l'ajouter dans le verdict (en début), afin d'avoir le procès en entier sur l'IG]
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