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[Rp Ouvert] L'innocence n'est pas le Persil.

--Faustine
15 écus, pas un moins. Pis à ce prix là on bouffe pas. A prendre ou à laisser.

La jeune fille hausse un sourcil. Son caractère marchandeur revient à la vitesse de l'éclair.

Sept, et demain si tout s'est bien passé, tu auras un supplément.

Elle ne précise pas de combien, ce sera selon la nuit qu'elle a passé.
La fille aux émeraudes verse déjà les écus sur le comptoir. Prend la clé abandonnée, amorce un demi-tour avant de se figer.


C'est par où ?

Un sourire plus gentil vient éclairer son visage.

Ah. Je viens de me rappeler quelque chose... Aujourd'hui, c'est mon anniversaire. Tu seras gentil de faire une tournée générale. Mais essaie pas de me plumer, sinon...

Les émeraudes se glissent jusqu'aux doigts du tavernier. S'il savait le pauvre homme, qu'elle s'était retrouvée dans sa position tout juste débarquée à Paris...
--Berni
La vie que je mène est-il vraiment plus différente que celui de la jeune demoiselle. Prisonnière d'un couvent et moi des routes et de ma gourde. Qui suis-je, en voilà une bonne question, comment je pourrais me décrire. Un simple gueux détroussant les voyageurs essayant de se prendre de bons coups avec de jolies femmes. Où bien un libérateur de tracas et de soucis car les gens, une fois détroussé, ne pense plus à protéger leur bien. Ma cause est-elle noble, autant que le noble et les ducs qui charge des impôts faramineux peut-être.

Il regarde la jeune blonde, prenant de petite gorgés sur le bord des lèvres, c'est une habitude se dit-il on ne le goûte plus quand on en prend trop. La regarde directement dans les yeux avec un peu de froideur.

Je suis un simple gueux qui voyage depuis six mois sur les routes détroussant tous voyageurs ou presque leur allégeant ainsi de leurs soucis. Là maintenant, je suis celui qui vient de vous enlever des griffes de quelqu'un qui vous aurait ouvert les cuisses cette nuit....

La regarde sachant que tout ceci est très directe et morne.
--Guillaume_aubergiste


7 écus ? Non mais tu peux te les carrer où je pense... Désserre tes fessiers et tu verras comment ça passe bien. tu te prends pour qui la roulure des bacs à sable ? Tu m'as bien vu ? Tu penses que tu vas m'imposer ta loi sous prétexte que tu manies la dague ? Non mais tu ne me fais pas peur. Je vais t'apprendre la vie, demi-portion !

Ça c'est ce qu'il aurait dit si de bourses il avait eu autre chose que celle de cuir, bien vide, qui pendouillait à sa ceinture.
A la place, d'une voix blanche, monocorde, il marmonna :

Bien m'zelle. Si vous le voulez, ça me fait plaisir à moi de vous faire plaisir.

Comme quoi la notion même de plaisir est particulièrement subjective !
Les écus promis le lendemain il n'y croyait pas. Elle le prenait pour un lapin et c'était évident !

Ah. Je viens de me rappeler quelque chose... Aujourd'hui, c'est mon anniversaire. Tu seras gentil de faire une tournée générale. Mais essaie pas de me plumer, sinon...

Elle ne comptait comme même pas qu'il lui fête. Quelle prétentieuse !

Bon anniversaire m'zelle. Tournée générale !

Qu'est-ce qui lui avait fait le plus mal. La perdre comme fille de joie potentielle, brader une chambre ou perdre des sous en offrant à boire quasiment à l'oeil ? Il était de fort mauvaise humeur ce soir là. Il prit les cruches de la pire piquette qu'il avait, versa quelques godets sur le bar, prendrait qui voudrait...
Il se contenta de gagner la cuisine pour vider quelques verres de rouge, encore un peu plus aigri...
Soaz.
Soaz avait besoin de repos avant son prochain départ pour l'angleterre, ou pour l'espagne... Elle finissait par confondre. A Saumur, elle fréquentait la Résistance, excellent établissement s'il en est. Mais aujourd'hui, elle avait décidé de marcher, marcher et marcher encore. Elle avait été au port, avait parcouru les remparts, tourné et viré, tant et si bien qu'elle avait chu là. De nature curieuse mais réservée voire un brin sauvage elle était entrée sans faire de bruit. Elle était de noir vêtue, rien qui n'attire le regard. Pourtant le tavernier s'était montré un poil collant. D'un ton sans appel, elle avait commandé son verre et il l'avait finalement ignorée.

Elle était là, posée dans un coin, spectatrice des scènes de vie qui se jouaient devant elle. Elle avait vu la gaminette blonde comme les blés pénétrer d'un pas malhabile. Elle se donnait une contenance, mais elle fleurait l'ignorance à plein nez. Soaz tenta d'imaginer sa vie, son enfance certainement préservée. Elle aimait fantasmer les vies. Qu'un couple passe et elle jouait à réécrire leur histoire, le mari aux lèvres serrées et pincées devenait un sombre homme jaloux et la femme à la démarche incertaine devait vivre dans la terreur. Elle se moquait de connaître la vérité car elle ne restait jamais assez longtemps pour s'attacher... Sauf à Saumur.

Le tavernier ressemblait à un pourceau. Il aurait pu survivre avec RilletteIII, c'était certain. Elle n'aurait pas dit de son établissement qu'il était miteux mais on sentait que les moyens n'étaient pas là. L'ambiance était terne. C'était certainement ce qui l'avait le plus frappée, le manque de lumière, de vie.
Heureusement qu'il y avait les clients !

Deux hommes avaient suivi sans qu'elle ne fixe trop mais l'arrivée d'une autre demoiselle avait capté son attention. Elle était fine et froide, avec un charme sauvage à n'en pas douter. Elle transpirait la détermination. Quelle vie avait elle eu ?
Soaz était captivée. L'échange des 2 protagonistes la réjouissait. Mais quel pleutre il était celui là. Un collier et une laisse et il aurait fait le toutou à sa mémère parfaitement. Elle admira la touche finale, tournée générale ! Pas à dire, la demoiselle savait parvenir à ses fins.

Tout près d'elle s'était installés la blondinette et un des hommes, l'autre étant au fond à attendre qu'on daigne enfin lui porter de quoi se restaurer. Elle regardait le couple disparate.


Je suis un simple gueux qui voyage depuis six mois sur les routes détroussant tous voyageurs ou presque leur allégeant ainsi de leurs soucis. Là maintenant, je suis celui qui vient de vous enlever des griffes de quelqu'un qui vous aurait ouvert les cuisses cette nuit....

Un gueux qui détroussant les gens à la place d'un tavernier salace. Avait-elle gagné au change ? Elle sourit à l'évocation de l'ouverture des cuisses, s’interrogeant pour savoir si la gamine comprenait le sens caché du propos. Où pourrait mener une telle rencontre. Elle ressemblait à un cygne paumé au milieu des canards. Un cygne qui rencontrait le prince charmant qui allait la sauver !
Et qui a dit que les contes de fée n’existaient pas
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Emeline.
Ça c'était fait ! Elle n'était pas franchement rassurée pour le coup. Entre bandit et Aubergiste pervers, elle ne savait plus trop qui elle voulait. Autant examiner la situation avec beaucoup de légèreté, pour le moment le vil bandit n'avait pas l'air de lui vouloir du mal et sauf sa bourse très très maigre elle n'avait rien à ce faire voler. Un coup d'oeil au fameux ouvreur de cuisses avant de reprendre une longue gorgée de bière, non décidément elle avait pas perdue au change entre violeur potentiel et bandit pas si désagréable elle prenait le moins méchant de l'histoire.

Oh et bien, enchantée... Et merci de...de m'avoir sauvée de cet homme.

Elle était maladroite la gamine, pas très à l'aise en même temps. Elle remonta de son mieux son décolleté et coinça ses mains entre ses cuisses, respirer et ne surtout pas paniquer.

Vous...vous n'avez pas le projet de...de me...dépuce...ller hein ?

Autant savoir si elle devait hurler de suite ou pouvait ce détendre, c'était mieux ainsi en soit.
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Gaeldenouet
Gaël regardait avec un grand intérêt tout ce qui se passait autour de lui, tout en buvant sa bière en silence au comptoir. Le tavernier semblait vouloir arnaquer tout le monde, mais personne n'était dupe, même les jeunettes présentent. Il ne manquait pas d'air en leur proposant de passer la nuit dans sa chambre à faire à la bête à deux dos avec la subtilité d'un éléphant dans une échoppe de porcelaine de Limoges. Il secoua la tête en le voyant s'acharner, et il sourit en le voyant se faire menacer par une des donzelles, peu subtile comme méthode, mais au moins il était ébranlé. Dans les tentatives désespérés du bougre à vouloir mettre les jeunes femmes dans son lit, Gaël voyait une grande faiblesse qu'il voulait utiliser afin de ne pas se ruiner. Il but une gorgée de sa bière et fit signe à l'aubergiste afin qu'il vienne vers lui.

Hey l'ami
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--Berni
La regarde, toujours avec cette même froideur et boit sa bière cul sec s'essuyant avec sa manche par la suite. L'idée lui avait traversé l'esprit mais cette petite lui parais trop sage pour se laisser écarter les cuisses volontairement et jamais il n'a abusé de femmes. Il trouve toujours son plaisir dans le volontariat...

Oh et bien, enchantée... Et merci de...de m'avoir sauvée de cet homme.

Vous...vous n'avez pas le projet de...de me...dépuce...ller hein ?


Prend le temps de réfléchir à la question et répond honnêtement

Certes j'en ai l'intention mais sans votre accord je le ferai pas, donc non.

La regarde se demandant si elle allait partir à la course ou rester près de lui. Le mal de dos lui reprend, c'est encore cette chaise maudite qui lui inflige autant de souffrance et se dandine pour trouver meilleure position.


Je surveillerai donc en guettant la porte de votre chambre la mienne est juste à côté s'il y a problème.

Se dandinant toujours à cause de ce mal de dos et finit par grogner après la chaise:
FOUTU CHAISE....

Vivant ainsi, en quelque sorte, une chicane de couple.
Soaz.
Là, elle aurait payer pour avoir une place au spectacle !
Délicieuse cette blonde. Quelle fraîcheur. Mais elle sortait d'où ? Sa pinte de bière devant elle faillit terminer sur le sol. Une enfance heureuse à n'en pas douter mais où !!! Où pouvait-on parler de cette façon.

Allez vous me dépuceler ?

Soaz se frottait les oreilles, incertaine d'avoir bien compris. Elle pinçait fortement ses lèvres pour ne pas laisser sortir un rire déplacé mais terriblement justifié !
Pour peu, elle aurait presque eu de la sympathie pour la gamine à l'hymen si précieux !

Certes j'en ai l'intention mais sans votre accord je le ferai pas, donc non.

Alors là, il ne manquait pas de toupet... Elle était quasi niaise... Il était vraisemblable qu'elle ne connaisse pas le sens des mots ! Pour sûr qu'une partie de brouette le tentait... Mais elle était naïve, c'est comme demander à un daltonien s'il faut plutôt utiliser un magenta ou un rouge vif !
Une gorgée de plus pour faire passer l'émotion. Cette gamine n'aurait jamais dû se trouver seule sur la route. Qui avait pu la laisser sortir alors qu'elle ne connaissait rien à la vie.

Elle se fit plus curieuse.
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Emeline.
Un regard dans la taverne, l'aubergiste était occupé à nettoyer les chopines de bière à peine vidées, une femme et un homme seul soucieux certainement d'avoir une oreille sur les conversations restait plus ou moins silencieux. La nerveuse n'était plus si tendancieuse et ils y avaient le ''couple'' le Lion et l'agneau, cherchant encore à quel sauce nous mangerons l'agneau ceci dit. Alors la gamine ce sentie légèrement piégée. Il voulais sa fleur, il voulait être le premier comme des tonnes d'autres en réalité.


Oh...nenni nul besoin de surveiller la porte de ma chambre. Je ne pense pas avoir de gros souci, il auras trop envie des cinq écus promis. A dire vrais, elle n'en savait rien, mais était assurée de ne pas dormir de la nuit ainsi. Ou vous mènera vos pas demain ?

Elle termina la chopine, ce sentant un brin enivrée, mais pas assez pour perdre complétement ses esprit.
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--Berni
Observe discrètement, oubliant la blondine, la jolie bouclée qui les écoute, subtilement sachant qu'elle ne le remarque pas trop. Pendant que la blondine parle il prend un plume avec un petit morceau de parchemin et écrit un petit 5 dessus, son numéro de chambre, sert le tout et plis le morceau c'est alors qu'il entend:

Ou vous mènera vos pas demain ?


Cet idiot de Charles, trop idiot pour ne pas se faire prendre....Maintenant que je n'ai plus d'objectif... Vers où qu'elle m'a dit qu'elle allait...


hausse les épaules

Baaah. l'est, le sud, l'ouest ou le nord maintenant ça m'importe peu, vous avez besoin de protection?

Ça pourrait faire changement un peu, il est plus facile de détrousser un voyageur que d'ouvrir les cuisses d'une belle brunâtre se dit-il. Protéger une fillette d'à peine de 16 ans venant d'une belle grande famille. Peut-être qu'au bout du compte j'aurai mon lot, elle ne pourra pas vraiment refuser, elle est seule, pucelle et loin d'être sur d'elle.

Vous en pensez quoi?

Se lève prend sa chaise.

Toi et moi ma belle chaise, c'est fini...

Se dirige vers la brune qui les écoute et ne change pas de chaise. Il laisse le papier devant elle sur la table avec un sourire en coin et revient vers la blondine et se rassoit sur la même chaise.

Ha tu vois quand tu écoute, tu t'adoucis, mon dos s'en porte mieux... pfff
--Faustine
Bon anniversaire m'zelle. Tournée générale !

Ce qu'on gagne avec une dague... C'est fou, hein ?
Il disparaît. Tant mieux. La jeune fille prend une chopine, la porte à ses lèvres.
Immonde, à l'image du maître des lieux. Quoique maître... Il n'en reste plus rien.
Peu de monde en taverne, en plus.
Là-bas, une jeune fille sensiblement de son âge.
Faustine s'approche à pas feutrés comme toujours.


J'comptais aller me coucher mais... Y a des choses plus intéressantes ici.

Le lit peut attendre encore un peu. Un tout, tout petit peu.

Vous allez voyager.

Sans blague ?
D'habitude elle est plutôt une solitaire la fille aux émeraudes, mais ça pourrait être marrant de faire un bout de route avec eux... Si tant est qu'ils vont dans la même direction.
Ses yeux se posent sur l'autre adolescente.


Tu vas où ? Je file sur Limoges, moi. Si tu vas à peu près dans la même direction on peut faire un bout de chemin ensemble...

... Et au moment de se séparer je te détrousserai allègrement. Mais ça Faustine ne le dit pas non plus. Faut garder une certaine cohérence quand même.
Patiemment, elle attend donc la réponse de son interlocutrice, ignorant totalement l'homme assise en face de cette dernière.
--Guillaume_aubergiste



Hey l'ami

C'est à lui qu'on parlait ? Il chercha mais ne voyant personne venir il en déduit qu'il s'agissait de lui.
Il se bougea lentement, un peu déprimé.

Vous voulez quoi ?

Yavait qu'en même pas foule... Il lui fallait engranger quelques deniers pour vivre... Il se remis donc au turbin.
Emeline.
Avait-elle besoin de protection ? Non plutôt avait-elle besoin de sa protection ? Un bandit ne ce cachant pas, un homme avouant sans gêne vouloir lui ouvrir les cuisses ? Emeline était perplexe à l'importance de ses besoins dans telle situation. L'observant en silence de longue minutes, elle le suivit du regard déposer un papier devant une femme inconnue et fit de même lorsqu'il retourna sur la chaise qui vraisemblablement le dérangeait légèrement. Souriante, elle secoua la tête et ce demanda quel risque prenait-elle en acceptant sa compagnie le temps de rejoindre son protecteur et de subir son courroux. Ont ne vis qu'une fois après tout.

J'accepte, mais si vous chercher à me dépuceler ou à me coller d'un peu trop près, nous arrêterons immédiatement notre voyage ensemble. Bandits j'en est que cure, violeur c'est hors de question.

Timide, mais pas folle pour trois écus, la virginité était le prix à payer pour être vendu à un bon parti, qu'elle soit douce, aimable ou belle n'intéressera pas sa futur belle famille, vierge par contre c'est autre chose, c'était un devoir, une règle strict et Emeline toute timide et innocente était-elle ne prendra jamais le risque de décevoir son parrain et protecteur pour ceci du moins. Le regardant en bilai elle ne savait pas si lui accorder confiance était un bon jeu, mais les cartes changerons peut-être en cours de partie.

Comment dois-je vous nommez ?

Interrompu dans leurs conversation, elle leva le nez vers la femme de toute à l'heure, celle un brin expressive et très porter sur les nerfs. La Pucelle, la fixa un instant dans le silence et fini par dire :

Voyez avec Monsieur, c'est lui qui assure le côté logistique du voyage. Nous allons à Limoges puis pourquoi pas plus Sud ensuite.
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Soaz.
Il se lève et approche.
C'est pas que je sois sur la défensive, mais c'est tout comme. Faudrait pas qu'il s'imagine qu'on est toutes aussi niaises que la petite blonde trop attachée à son pucelage finalement pour voir le danger.
Le danger c'est mon quotidien... Alors tes phrases à 2 écus et ton attitude de chevalier noir romanesque, c'est pas à moi que tu vas les servir.

Humm, un papier. Finalement il n'est peut être pas illettré !

5

Je n'ose pas y croire. Le numéro de sa chambre à n'en pas douter. J'ai l'air de quoi ? Une bonne femme en mal de sexe.
Ah je sais, je bois seule. Ca doit vouloir dire que j'attends le mâle. C'est fou cette notion primaire de la réflexion. Je suis seule donc en manque de sexe, d'où un besoin de copuler en vue de mélanger mes fluides certainement par instinct de reproduction.
S'il savait la puissance l'instinct de reproduction chez moi il n'aurait pas pris la peine de se lever de sa chaise.

5


Soaz replia le mot devant elle, mi fachée, mi vexée. Une nouvelle gorgée pour faire passer.

L'arrivée de la joueuse de couteau était l'apothéose. Sensiblement le même âge, mais manifestement un tout autre vécu. Cela dit elle ne paraissait pas moins dangereuse pour l'innocente.

La pauvre gamine est franchement mal barrée... Si Soaz avait eu un coeur, peut être qu'elle se serait levée pour jouer la secourable, mais pour l'instant c'était quand même particulièrement délectable...
Elle attendait la suite.
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Gaeldenouet
Gaël hallucinait quand il entendit parler les autres gens, ils allaient quasiment tous à Limoges, la ou il allait aussi.

Et ben si tout le monde ici va à Limoges, je tiens à vous accompagner, c'est ma direction aussi...Et puis on ne sait jamais, il est facile de faire des mauvaises rencontres, ce serait bien de garder un œil les uns sur les autres, n'est-ce pas?

Il sourit en coin en regardant l'homme qui s'était auto désigné comme étant le protecteur de la seule pucelle présumée dans cette taverne. Un brigand protecteur, on aurait tout vu, cela puait l'arnaque oui. En plus ils seraient accompagnées par l'autre jeunette qui aimait bien trop s'amuser avec ses dagues, ce qui n'allait pas être de la tarte. Heureusement qu'il avait pris soin de prendre sa fidèle épée, avec qui il avait tant combattu autrefois. En regardant le soit disant brigand, son regard se porta sur une femme qu'il n'avait pas remarqué avant. Elle était plus dans ses goûts par rapport aux deux autres, plus mûre sans doute. Il ne put s'empêcher de sourire chaleureusement en la voyant, mais elle avait l'air occupé par un bout de papier. Dommage. Entre temps le tavernier semblait être sortit de sa torpeur, il avait enfin daigné s'occuper de Gaël, qui se retourna vers lui.

Aaaaah pas trop tôt. Et bien l'ami, vu les tarifs, je veux bien partager votre chambre, et croyez moi, je vous ferai hurler de dou....euh de plaisir. Tellement que vous en redemanderez.

Gaël fit une moue qui se voulait un brin coquine, et bu une gorgée de bière.

Mais bon, si vous ne voulez pas de ma présence dans votre chambre, je crois bien que vous allez devoir baisser vos prix pour tout le monde. Qu'en dîtes-vous...mon chou ?

Gaël jubilait, il tenait vraiment à voir la réaction du tavernier au sujet de sa fausse proposition indécente et pas très aristotélicienne
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