Emeline.
Les jours s'écoulent et pourtant tous semble s'unir contre elle pour être finalement les-mêmes. Voici plusieurs jours déjà que Vitto et Emeline c'étaient fait avoir sur les routes du Royaume de France et la jeune femme avait bien du mal à s'en remettre. Sont état de faiblesse ne s'arrangeait pas en travaillant pour remplir ses poches de quelques écus et la nourriture ma foy avait un certain cout qu'il fallait bien débourser pour vivre convenablement. De plus quelques cauchemars prenaient possession de ses rêves et bien que sachant son ami non loin, elle aurait aimée parfois le voir un peu plus, mais c'était ainsi et elle n'avait pas vocation à ce plaindre. Son protecteur tout homme d'église était-il ne donnait pas signe de vie non plus, préférant sans doute réfléchir à la punition convenable pour tel affront, décidément la vie hors du couvent était rempli d'imprévue et de doutes, chose qu'Emeline n'avait jamais songé vivre un jour.
En parlant de jour, celui-ci était pluvieux à Rodez, un vent aux senteurs printanière. La jeune femme décida malgré le temps de sortir de l'auberge et rejoindre le marché ou les étales étaient protéger modestement de la pluie. Soyons folle ! Portant une tenue d'un rouge délicat, elle plaça sa capuche sur ses cheveux auburn et quitta le lieu gardé sans autre forme de procès : Le marché !
L'endroit était charmant, du moins assez pour émerveiller une enfant sortie du couvent et encore innocente. Dans son panier elle plaça pommes et carottes, morceaux de pain et autres aliments qui lui serviront afin de rependre un peu de force. Lorsque soudain... Elle marcha sur quelque chose de mou et pourtant assez dur à la fois, sous l'étonnement de cette texture inconnue, la pucelle manqua de tomber dans la boue fraichement formée au sol. Frôlant la catastrophe, elle réussit cependant à ce remettre sur pied sans toucher le sol et fit face au coupable de tel chahut.
Dite donc ! Vous ne pourriez pas mettre votre... Pied ailleurs non ?
Sourcil froncée, air un brin vexée et pourtant toujours aussi innocente et fraiche. Emeline même au comble de la colère ne pouvait pas l'être totalement. Insouciante et enfantine, tout semblait lui convenir, aussi le regard un peu noir que dévoilait ses azures que les bras qui furent croisés sur sa maigre poitrine en guise de frustration. Le panier lui, fut renversé sur le sol dans la cascade et elle dû ce résoudre à voir son repas gâché.
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En parlant de jour, celui-ci était pluvieux à Rodez, un vent aux senteurs printanière. La jeune femme décida malgré le temps de sortir de l'auberge et rejoindre le marché ou les étales étaient protéger modestement de la pluie. Soyons folle ! Portant une tenue d'un rouge délicat, elle plaça sa capuche sur ses cheveux auburn et quitta le lieu gardé sans autre forme de procès : Le marché !
L'endroit était charmant, du moins assez pour émerveiller une enfant sortie du couvent et encore innocente. Dans son panier elle plaça pommes et carottes, morceaux de pain et autres aliments qui lui serviront afin de rependre un peu de force. Lorsque soudain... Elle marcha sur quelque chose de mou et pourtant assez dur à la fois, sous l'étonnement de cette texture inconnue, la pucelle manqua de tomber dans la boue fraichement formée au sol. Frôlant la catastrophe, elle réussit cependant à ce remettre sur pied sans toucher le sol et fit face au coupable de tel chahut.
Dite donc ! Vous ne pourriez pas mettre votre... Pied ailleurs non ?
Sourcil froncée, air un brin vexée et pourtant toujours aussi innocente et fraiche. Emeline même au comble de la colère ne pouvait pas l'être totalement. Insouciante et enfantine, tout semblait lui convenir, aussi le regard un peu noir que dévoilait ses azures que les bras qui furent croisés sur sa maigre poitrine en guise de frustration. Le panier lui, fut renversé sur le sol dans la cascade et elle dû ce résoudre à voir son repas gâché.
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