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[RP] Mariage d'Elisa de Malemort & Bel Garath d'Oulvenne

Zelenka
Il était plus que l'heure de se rendre à la cathédrale Nostre-Dame si le jeune couple ne voulait pas être carrément en retard et par la même occasion se faire remarquer lorsqu'il pénétrerait dans le lieu Saint si la cérémonie avait déjà démarré. Fraîchement arrivés de la veille, c'est en se pressant ce matin-là que La Hire et Zelenka avaient revêtu leurs plus belles tenues, tirés à quatre épingles. Ce n'est pas tous les jours que l'on assiste au mariage d'un ami et qui plus est une Lame d'Amahir! Je disais donc, ils s'étaient préparés avec une certaine hâte mais non sans être perfectionnistes afin que rien ne soit laissé au hasard, ils étaient les plus beaux de toutes façons. Oui bon peut-être que les mariés le seraient un peu plus quand même, faudrait voir à pas faire d'ombre aux deux protagonistes quand même!
A peine descendus du coche ils se dirigèrent vers la porte de la cathédrale alors que sur le parvis noir de monde ils cherchaient désespérément leur ami du regard mais nulles traces de Bel.

Toi qui est plus grand que moi, le vois-tu? demanda la brune d'Adonville à Etienne alors qu'elle s'accrochait fermement à son bras afin de ne surtout pas le perdre dans la foule. Sa réponse fut sans appel pas de Bel à l'horizon!
Ils se décidèrent donc à entrer dans le lieu Saint.

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Elisa.
Dans ces moments là, il est facile de passer du rire aux larmes, du bonheur à la peur, et pourtant… La Malemort espérait que cela ne puisse que bien finir. Après tout, dans quelques minutes, elle pourrait enfin rejoindre son fiancé. Se retrouver tout près de lui, et oublier tous les autres autour d’eux. Car oui, Sa Baronnesse lui avait dit que ce moment ne pouvait être comparé à aucun autre, qu’il était indescriptible tellement passionnant et passionné.
Mais en attendant, elle profitait de ses deux femmes qu’elle avait pour elle toute seule pour l’heure. Sa coiffure fut terminée, et son regard se plongea dans le miroir de sa coiffeuse. Serait-elle à la hauteur pour son presque époux ? La trouverait-il toujours aussi belle ?
Détourner la tête pour tâcher de trouver du réconfort auprès de ses amies.


Merci ma douce.

Et les voilà qui s’avancent ensemble vers le lit où est posé cette Robe… LA robe de ses rêves. Sa cousine avait fait des merveilles cela était certain. Pour sur, elle aurait l’âme d’être Reyne du jour. Et sa mère ? Sa mère en aurait pleuré à coup sur de la voir ainsi dans une si belle toilette en s’offrant à l’homme qu’elle aimait. Car cela oui, elle était certaine de l’aimer et de pouvoir résister à tout tant qu’il était près d’elle.

C’est ainsi que sa sœur l’aida à revêtir ses bas en premier, une jambe après l’autre. Puis, ses bottines noires, furent lacées… Voilà que le plus simple était fait… Désormais il fallait serrer ce fichu corser l’empêchant de respirer. Un nœud, deux nœuds, trois nœuds, et au fur et à mesure, la respiration de la future mariée devenait plus courte, tandis que son ventre s’aplatissait et sa poitrine regorgeait de chair. Voilà, il était maintenant l’heure de revêtir la robe… A partir de ce moment, plus personne ne pouvait faire demi-tour, il était… trop tard !
A l’aide de sa sœur, Elisa pu revêtir sa splendide robe. Elle n’était désormais plus la fiancée… mais la future épouse. Elle vérifia le moindre détail de sa robe de gueule, Valeryane avait prit le temps de broder de la dentelle sur tous les bords de la robe. Ainsi que des perles sur les contours du bustier. Puis vint se rajouter par-dessus le voile fin et blanc. La voilà donc fin prête…


Merci... Merci d’être là et de m’avoir aidé. Il faut souffrir pour être belle parait-il… Et bien je ne peux que le confirmer après tout ce que vous venez de me faire subir, mes dames. J’espère que mon futur époux appréciera…


Elle serait rapidement fixée. Il était l’heure qu’elles partent. Rejoindre la Cathédrale pour aller… se marier… ! Pour sur, elle devait être entrain de se faire désirer, comme toute bonne mariée qui se respect bien sur.

Allons y, mes dames. A mon tour de vous rejoindre dans le groupe des femmes mariées, vous n’attendiez plus que moi.

Un regard vers sa Baronnesse, puis voilà les trois jeunes femmes qui sortent de la chambre de l’auberge. Le temps semble s’être arrêté. Tous les domestiques la regardent, s’inclinant sur son passage. La Malemort, elle, continue d’avancer, sa main vient se glisser dans celle de sa Baronnesse. Elles montent toutes les trois dans la voiture, la future mariée assise seule sur une banquette, tandis que ses deux amies se trouvent en face d’elle. Le voyage ne dura que quelques minutes mais qui furent étrangement silencieuse.
Elisa regardait dehors, le ciel était bleu, et le soleil brillait de milles éclats. N’était-ce point un magnifique jour pour se marier à l’homme qu’elle aimait plus que tout au monde et en qui, elle savait qu’il était l’homme de sa vie ? Mais elle n’eut pas le temps de poser la question à son témoin ou sa demoiselle d’honneur. La voiture était déjà arrivée devant le parvis de la Cathédrale. Ce parvis qui s’était désormais vidés, quelques badauds traînaient par là, tentant d’apercevoir quelques brides de ce mariage. Mais l’homme le plus important pour l’heure se trouvait toujours à attendre sur le Parvis… La Malemort se mit à sourire, laissant sortir sa sœur et sa douce en premières. Aldraien pourrait désormais partir rejoindre les premiers rangs, place des témoins, tandis que sa douce Aloara se placerait derrière elle pour l’aider à porter sa traîne.

Elles s’avancent donc toutes les deux jusqu’à rejoindre le parrain de la Malemort sur le Parvis.


Mon Parrain, comme je suis heureuse de vous voir. Comment –allez vous ? Vous êtes prêt à m’emmener à l’autel ?

Oui, elle savait combien il était dur pour lui de devoir l’offrir à un autre homme. Elisa tenta de le rassurer à l’aide d’un sourire. Mais ils étaient déjà tous deux en face de la grande porte de l’édifice. Les cloches sont encore entrain de sonner pour informer d’un mariage dans la bâtisse. La Malemort entends les invités discuter mais n’arrive pas encore à voir l’intérieur.
Une boule au ventre qui revient, Elisa respire profondément inspirant avec le nez et expirant avec la bouche.


Il est l’heure…

Et voici le moment où la limousine passe les portes de la Cathédrale. Son bras est maintenu par celui de son parrain, et les voilà tous les deux qui s’avancent dans l’allée de l’édifice. La Malemort croise le regard de plusieurs personnes, gratifiant d’un sourire, mais ses yeux viennent rapidement se plonger dans le regard de son fiancé devant l’autel. Une bulle se forme autour d’eux, il n’y a plus que lui… Et elle qui avance à pas de souris dans la Cathédrale, obnubilé juste par lui… Rien que par lui.



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Kalimalice
En retard qu’elle était ou juste à l’heure elle savait plus trop .Mais raté le mariage de son ami alors cela non jamais.

La carriole au couleur de le connétablie fit entré sur le parvis et la Marechal de France descendit précipitamment .Si bien qu’elle peut habituée aux robes de donzelle de la cour avait faillit se retrouver les quatre fer en l’air devant les marches de la cathédrale .Se rattrapant de justesse à la porte de la carriole .D’un geste d’aller et retour de tête ,elle remit sa tignasse rousse au vent comme elle l’aimait pas de chignon ,de tresses ,elle se plaisait à avoir ses cheveux libre tout comme elle .
Elle était ainsi la Cheroy libre, fière mais fidèle en amitié.
Elle grimpa les marches pas à quatre à quatre car la robe la gêné pour ce genre d’exercice.
Cherchant des yeux les lames elle balaya du regard la cathédrale à la recherche d’ami commun.
Du marié à qui elle aurait bien fait plein de recommandation pour faire de lui un bon mari .




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La_hire
La Hire et Zelenka tentait de se frayer un passage vers la cathédrale. Les rues étroites devant le parvis, les coches, les gardes, les invités et les badauds rendaient difficile la progression vers la cathédrale. C'était l'endroit idéal pour les coupeurs de bourses et les voleurs à la tire qui au bénéfice d'une légère bousculade arrivaient à détrousser d'honnêtes gens, de riches gens si tant est qu'ils puissent les approcher de près.

Pour l'occasion, La Hire était habillé de neuf, Zelenka lui ayant signifié d'une façon féminine, donc ferme en matière d'habillement, qu'il était hors de question qu'il entre dans Nostre Dame avec les oripeaux qu'il portait habituellement. Il avait donc vidé sa bourse chez un tisserand orléanais et depuis, il ne craignait plus d'être détroussé. La seule chose qu'il craignait était les accrocs dans son beau pourpoint tout neuf, qu'il ne ressortirait certainement pas avant le prochain mariage.


Zelenka tentait de se hisser sur la pointe des pieds à la recherche de leur ami qui ressortirait marié de la cathédrale. Elle se cramponnait au bras de son homme, lui marchant parfois sur les bottes.

Ah les femmes pensa La Hire en remarquant que les mariages les excitaient toujours comme des puces et qu'ils ne les faisaient toujours rêver. Etienne lui aurait juste voulu boire une dernière bière à la taverne du coin avec son camarade des Lames d'Amahir.


Mais céans, la brune lui piétinait toujours les bottes aussi il se décida à agir pour calmer son impatience. Il la prit par la taille, se hissa lui aussi sur les pieds cherchant à faire grandir la dame d'Adonville.

Hummm fit il en tournant la tête de part et d'autres ... non je ne le vois point, mais il n'est peut-être pas encore arrivé.

Reprenant sa stature normale et regardant la jeune femme déçue de ne pas avoir aperçu son ami, il la prit par la main et se fraya un passage vers la cathédrale.

On va attendre à l'intérieur, ainsi nous ne perdrons rien à la cérémonie.

Ils approchèrent de la cathédrale et La Hire fut aussitôt surpris par les dimensions de l'édifice. Les deux tours, la galerie des rois, les arcs-boutants de pierre qui laissaient un grand vide entre eux. Les nombreuses gargouilles, le lourd portail central, les ferronneries finement travaillées qui l'ornaient ainsi que les sculptures qui l'entouraient, les vitraux, la grande rosace au dessus du portail qui diffusait un douce lumière vers l'intérieur... .

Puis l'intérieur quand ils passèrent le portail et entrérent. Les colonnes qui soutenaient les énormes voûtes qui donnaient l'impression de grandir, de s'élever vers Aristote. Les autels, les nombreuses statues richement ornées. Le mobilier de bois finement travaillé. La longue allée menant vers le transept et l'autel ...

Lorsqu'il s'en approcha, il ne put facilement détacher ses yeux du labyrinthe dessiné avec des dalles de couleur différentes sur le sol comme si le labyrinthe l'attirait, comme si une force intérieur lui intimait de le parcourir, ce qu'il tenta de faire du regard.

La Hire se demanda un instant combien d'ouvriers avaient travaillé sur ce chantier pour en faire une oeuvre qui défierait le temps ?

Et puis le silence.... Tout était grandiose dans cet édifice, même le silence.

Avant de se glisser entre deux bancs, La Hire se signa puis il s’installèrent avec Zelenka et attendirent.

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Albin.
Les cloches sonnèrent et les portes de la cathédrale s'ouvrirent. Parmi les invités il reconnu Xalta l'ambassadrice de l'Orleans. Albin alla la rejoindre et la saluer tout en prenant place. Quentin surveillera le cadeaux pour les mariés.
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Lexhor
Alors que la cérémonie n'avait pas encore tout à fait débuté, les deux femmes qui entouraient le duc s'étaient mises en tête de faire connaissance. C'était somme toute assez normal et surtout très comique pour Lexhor qui tâchait de ne pas rire. Mais il devait maintenant intervenir et rassurer la grande comme la petite.
Enserrant Aemilia de ses bras forts et protecteurs, il lui promit de ne pas l'abandonner.


Personne ne va partir loin Aemilia, tu es maintenant chez toi lorsque tu es dans ma maison. Akane a simplement voulu dire que tu deviendras une grande couturière.

Puis, se tournant vers Akane et lui glissant au creux de l'oreille.

Il faut lui parler plus simplement. Elle ne sait encore ni lire ni écrire, même si elle apprend. Et vous aurez aussi remarqué qu'elle est loi de maîtriser les subtilités du langage. Soyez naturelle et tout ira bien.

Sourire, avant de se tourner de nouveau vers sa petite protégée et de lui frotter la joue de son pouce.
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Killijo_de_denere
En voyant le carrosse arriver, il était descendu de cheval, et l'avait laissé à un palefrenier qui le gardait pour lui le temps de la cérémonie. Il était monté sur le parvis pour la voir descendre, et l'admirer.



Il l'admire, la bouche ouverte devant tant de beauté. Il s'avance vers elle, lui tendant la main pour la faire venir à lui.

Elisa. a écrit:
Mon Parrain, comme je suis heureuse de vous voir. Comment –allez vous ? Vous êtes prêt à m’emmener à l’autel ?


Il l'embrasse tendrement sur la joue et lui murmure

Serais-je prêt un jour à vous offrir à un homme ? Aucun n'aura assez de grâce à mes yeux pour vous. Mais vous l'avez choisi.

Il lui tendit le bras pour qu'elle s'accroche. Il attend qu'elle soit prête à entrer, car tous les yeux seront rivés sur elle. Il entend des voix féminines derrière eux. Il n'avait même pas vu ses demoiselles d'honneur. Il vieillit le Killi. Ou trop émotionné de marier sa première fille. En devenant son mentor, il l'avait choisie comme élève mais plus encore, et devenir son parrain avait été pour lui un rôle encore plus important. Il tourne la tête et fait un clin d'oeil à sa soeur et aux autres damoiselles qui attendent derrière. Il pose sa main sur celle de sa filleule, posée sur son bras pour la rassurer.

Elisa. a écrit:
Il est l’heure…


Il se retient de lui dire que si elle veut, ils font demi-tour, et ils partent loin de tout ça. Les gens oublieront, Bel-garath s'en remettra, et elle... Elle retrouvera sa liberté, et il s'occupera d'elle. Mais il sait qu'elle n'a point besoin d'entendre des paroles de fuite. Juste besoin d'un soutien, car elle l'aime. Et pour lui, elle est prête à tout. Il espère juste qu'il l'a compris. Ou il aura à faire à lui. Il s'avance avec elle, à son rythme, attentif aux gestes de sa filleule, la main toujours sur la sienne. Ils s'avancent toujours vers le fiancé qui les attend. Il voit l'inexorable arriver, même s'il aurait bien arrêté le temps pour la garder juste pour lui, libre.
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Akane
Aux conseils prodigués par Lexhor, la brune répondit par un simple mot :

- D’accord…

Plus aucun autre son ne sortit de sa bouche… Sa mine un peu enjouée malgré ses craintes, fit place à un visage sérieux et un peu plus fermé.
Elle comprenait la peur de la petite blonde, et le choix de l’orléanais, mais en les voyant si proches, une blessure du passé se ré ouvrit, blessure avant Vendôme et le Coucou, où on l’abandonna elle pour veiller aux soins d’une quasi-orpheline, un épisode de vie avant son défunt époux qui eu d’ailleurs bien du mal à lui redonner le sourire lors de leur « rencontre ».

Il lui prodiguait tendresse et protection, en l’enserrant de ses bras en lui caressant la joue. Cela l'attendrissait quelque peu.
La normande eut envie de dire
« Et moi ? »
Car oui, même si elle connaissait quelques personnes dans l’assemblée, elle n’était pas dans son monde mais dans celui de l'Amahir, et ressentait le besoin d'être rassurée. Combien de fois avait-elle dû batailler pour obtenir ne serait-ce qu’un tout petit geste de celui qu’elle chérissait ? Elle en avait eu, en Alluyes, et parce qu’elle s’est montrée des plus audacieuses.

Peut-être était-ce une mauvaise idée que d’être venue, il semblait déjà être si heureux avec cette petite orpheline si talentueuse.
Les laissant à leurs étreintes, et pour ne rien montrer des émotions contraires qui lui traversèrent l’esprit, elle se tourna pour guetter la procession de la mariée. Manque de chance, son regard parlait pour elle.

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[ Blason de deuil en cours ]
Sindbad
De l'endroit où il s'était placé, Sindbad pouvait observer le va et vient des invités, en attendant l'arrivée des futurs mariés.

Les Dames se promenaient avec grâce dans leur plus belle toilette, octroyant des sourires à certains, des salutations de la tête à d'autres...L'une des premières langues étrangères que Sindbad avait appris était celui des gestes. Et, en ces célébrations officielles, ceux ci en révélaient bien plus sur l'état d'esprit des personnes présentes que ne le ferait n'importe quel discours.

C'est à ce moment que le regard du constantinopolitain croisa celui du Grand Chambellan de France.

Point n'était besoin d'être un interprète averti du langage corporel pour détecter dans son regard une pointe de vague à l'âme.

Le diplomate serait bien allé à sa rencontre, mais Messire Lexhor se trouvait en sa compagnie. Or, dans certaines circonstances, il y avait trop de monde au delà de deux personnes. Même si la petite qui se trouvait entre eux était bien une troisième personne. Mais s'il était des exceptions, c'était juste pour confirmer la règle.

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Sindbad, GARF, époux aimant de sa douce Akane.

Sindbad est vêtu tout en noir en signe de deuil, arborant à son index droit, une bague armoriée à ses couleurs et ceux de son épouse.
Akane
Alors qu’elle guettait, son regard croisait celui du Grand Ambassadeur qui visiblement devinait un malaise…
Que faire dans son cas ? La jeune femme, habile, lui adressa un signe de la tête… Signe de respect entre deux Grands Officiers qu’ils étaient tous deux, mais surtout moyen de lui signifier que ça ira.

Au passage, elle remarque la présence de son jeune page, et de la très jolie héritière Blanche de Malemort, élégante en ce jour. Un salut de la tête à eux deux également.

Revenons à la mariée… Qui portait une robe rouge, le choix concernant la couleur se trouvait judicieux en bien des aspects. Maintenant, place à la cérémonie...

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[ Blason de deuil en cours ]
Gailen_d_arduilet
Je pense qu'il faut qu'on aille s'assoir où on sera au milieu du chemin de votre cousine dans quelques minutes.

Les mots de la jeune femme le ramenèrent à la réalité. Il était tellement bien au bras de la jeune germaine qu'il en oubliait le temps .


*Arf, oui faut s'installer. Mais ou ? Je ne sais même pas si on a des places réservées. Pfff voilà la mariée qui va arriver, plus trop le temps de tergiverser y'a deux places libres là. On fonce !

Il n'y avait plus grand monde debout et sans s'en rendre compte nos deux jeunes naïfs se donnaient presque en spectacle a rester là plantés au milieu de l'église. Gaïlen attrapa Héloïse et la tira vers deux chaises libres. Ils s'assirent juste à temps pour assister à l'arrivée de la mariée.

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Ceci est un jeu. . MP moi si je vous oublie.
Heloise
Héloïse cherchait à son tour des yeux deux places libres quand Gaïlen l'a tira avec une force dont elle ne le soupconnait pas vers deux sièges vides.

Elle tenta de s'assoir de son mieux en grimacant.


- Mais quelle brute vous faites! Je vais rentrer le bras bleu pour sur.

On dit des germains qu'ils sont des barbares mais faut croire que les francoys peuvent aussi être de vrai brute. Pestant et grimacant pendant qu'elle se frottait le bras afin de tenter de l'empecher de bleuir. Héloïse se concentra sur la mariée qui avancait solennellement vers l'autel. Au moins elle on la tirait pas de force et elle n'aurait pas le bras bleu en allant se coucher !
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Gailen_d_arduilet
[M'asseoir sur un banc cinq minutes avec toi ....]

Eh Paf ! Ou comment ramener un pauvre niais à la réalité des relations homme-femme ou la cruelle opposition entre douceur et brutalité incontrôlée. Ben oui, le pauvre chou avait simplement eu un moment de panique, faut dire que vous ne vous en souvenez peut être pas et Héloïse n'en sait rien mais perturber les noces d'une Malemort à Nostre-Dames c'est du vécu pour le petit Comte. Du vécu et du honteux a se mettre la tête dans un trou et ne plus en sortir pendant des lustres. Donc ben le gamin, pris de panique, il a agit impulsivement. Résultat, le voilà rouge de honte, pétrifié sur sa chaise par la réaction spontanée de la jeune fille qui, on la comprend, s'est exprimée sous la douleur. Du coup, il fait quoi le petit? Ben il a chaud et n'ose plus bouger ni piper mot. La mariée? Il ne la voit même pas tellement ca se bouscule dans sa petite tête de pinson. Que va penser de lui la douce Héloïse ? Que vont dire les gens qui ont assisté à la scène ? puis surtout comment c'est qu'il va rattraper le coup ? Et le pauvre ne sait même pas qu'il y a quelques minutes à peine la germaine le trouvait galant.....

Prenant son courage à deux mains il murmura sans même oser la regarder :


Mes excuses, je suis confus, je ne sais comment me faire pardonner.


S'il ne s'était pas juré de se comporter en homme, en vrai ....il aurait bien accompagné le murmure d'une petite larme de honte.
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Ceci est un jeu. . MP moi si je vous oublie.
Lord_dams
Lord arrivait comme à son habitude avec du retard, peu enclin aux grandes cérémonies et aux jeux de jambes, il entra dicretement dans la Cathedrale.
Il reconnu alors quelques soeurs Licorneux qu'il s'empressa de saluer.

Néanmoins il n'était pas là aujourd hui comme membre de l'ordre, mais pour représenter les Flandres en tant qu'ambassadeur en Limousin et marche.

Il pris place parmis les officiels, sans mots dire, habillé de sa plus belle toilette, quoique comme toujours sombre et par cela peu joyeuse.

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Aemilia
Ou comment rassurer une blondinette. Une jolie rousse qui lui souriait, et métène qui la rassurait... Même si elle n'aimait guère être prise dans les bras à part par son oncle de coeur, en l'instant présent, elle prenait sur elle pour ne pas se débattre dans les bras de l'homme. Un homme reste un homme, et Aemilia, elle n'aime pas ça. Et toc, comme diraient certains. La petite se tourna vers le pair...

La m'dame pis toi que z'allez pô m'renvoyer chez les orphelines alors?

Séchage de larmes dans la manche de sa jolie robe, oubliant quelques instants les règles que son précepteur tentait de lui inculquer. Rapidement, comme toute blonde qui se respecte, la fillette oublia ce qu'il venait de se passer, car déjà, un bruit venait du fond de l'église. La mariée arrivait.

Elle attendait avec impatience de voir quelle tenue elle allait porter. Après tout, elle suivait un apprentissage pour elle aussi devenir une grande couturière, si du moins on arrivait à tirer quelque chose de sa blonditudinesque cervelle. Elle se retourna en arrière. Et fit aussitôt la moue.

La robe semblait spectaculaire par la longueur de sa traîne, mais on avait habitué la jeune apprentie à déceler les défauts des tenues, pour ne pas qu'elle répète les mêmes bêtises... Et là, il y en avait... Légère grimace, avant de tourner la tête vers son métène et sa fiancée. Ou sa promise. Enfin le mot pour dire pas encore mariés, mais ensemble, et certainement bientôt unis. Et là, elle se rappela qu'on était en train de lui inculquer autre chose: ne pas montrer toujours en public que l'on n'aime pas quelque chose... Sa grimace se transforma donc en un sourire forcé, puis le corps de la gamine reprit place dans le bon sens sur le banc. Heureusement, la mariée avait un joli visage, ce qui rattrapait un peu l'ouvrage de la couturière inconnue...

Intérieurement, elle se disait que sa robe de princesse de défilé était bien plus belle... Soupir en pensant à sa maîtresse, souffrante, qui ne quittait guère plus sa chambre au manoir...

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