Elisa.
Vue !
Oui La Malemort venait dêtre prise en flagrant délit de rêverie. Elle était restée immobile, quelques instants, juste après que cet anneau simplement orné dor vient se glisser à son doigt, les doigts de son presque époux brûlant contre sa peau. La main de la future mariée tremblante quand la voix de sa moitié retentie de nouveau dans la basilique. Pouvait-il réellement exister pareil amour à linstant précis ? La Malemort en doutait. Jamais elle navait autant aimé, jamais elle navait autant désiré dans sa vie pareil homme.
A leur rencontre, déjà, la princesse de lépoque avait été submergée démotion, espérant chaque jour pouvoir le revoir quelques instants. Espérant chaque jour quil ne trouve pas une autre femme plus intéressante pour le divertir, lui soldat en mission. Espérant au fond elle-même, quelle seule savait le retenir un peu, quelle seule savait lui donner le goût chaque jour de retrouver lambiance chaleureuse des auberges.
Et puis... Vint le jour de son départ. Lorsquil lui annonça, la Malemort cru sentir son cur se déchirer un peu plus. Rien Il ny avait rien encore autre eux Et pourtant, son cur nétait resté insensible aux charmes et aux atouts du soldat Orléanais. En quelques jours, il avait réussit à lui voler le semblant de morceau de cur intact quil lui restait. Aussi stupide que cela puisse paraître, elle lui avait offert bien volontiers. Comme une branche à qui elle venait de se rattacher pour séchapper dun dragon voulant sa peau. Et cest ainsi lui qui la sauverait Et cest ainsi quil la sauvait En la prenant pour épouse.
Ses mots, ses rires, ses soupires, ses siestes improvisées Elle aimait, tout Elle aimait autant que parfois elle pouvait détester. Mais elle ne saurait pas sen passer. Tout cela faisait parti de lui, et elle laimait entièrement. Tout comme elle serait entièrement a lui Ainsi, il ne lui fallut aucune difficulté à lui dire ces quelques mots
Bel Garath dOulvenne, recevez cette alliance, signe de mon amour et de ma fidélité.
Passant des gestes à la parole, « la presque épouse dans quelques secondes » Vint faire glisser lanneau semblable au sien au doigt de son « presque époux dans quelques secondes ». Ses ténèbres sétaient encrées dans les yeux noisette de sa moitié. Il aurait pu lire à ce moment précis, en elle. Il aurait pu lire quelle soffrait entièrement à lui, elle serait sienne, jusquà ce que la mort ne la prenne, et même dans lhaut delà Elle veillerait à jamais sur lui et sur leurs enfants qui viendront au fur et à mesure de leur vie à deux.
Cest bon On peut embrasser la mariée maintenant ?
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Oui La Malemort venait dêtre prise en flagrant délit de rêverie. Elle était restée immobile, quelques instants, juste après que cet anneau simplement orné dor vient se glisser à son doigt, les doigts de son presque époux brûlant contre sa peau. La main de la future mariée tremblante quand la voix de sa moitié retentie de nouveau dans la basilique. Pouvait-il réellement exister pareil amour à linstant précis ? La Malemort en doutait. Jamais elle navait autant aimé, jamais elle navait autant désiré dans sa vie pareil homme.
A leur rencontre, déjà, la princesse de lépoque avait été submergée démotion, espérant chaque jour pouvoir le revoir quelques instants. Espérant chaque jour quil ne trouve pas une autre femme plus intéressante pour le divertir, lui soldat en mission. Espérant au fond elle-même, quelle seule savait le retenir un peu, quelle seule savait lui donner le goût chaque jour de retrouver lambiance chaleureuse des auberges.
Et puis... Vint le jour de son départ. Lorsquil lui annonça, la Malemort cru sentir son cur se déchirer un peu plus. Rien Il ny avait rien encore autre eux Et pourtant, son cur nétait resté insensible aux charmes et aux atouts du soldat Orléanais. En quelques jours, il avait réussit à lui voler le semblant de morceau de cur intact quil lui restait. Aussi stupide que cela puisse paraître, elle lui avait offert bien volontiers. Comme une branche à qui elle venait de se rattacher pour séchapper dun dragon voulant sa peau. Et cest ainsi lui qui la sauverait Et cest ainsi quil la sauvait En la prenant pour épouse.
Ses mots, ses rires, ses soupires, ses siestes improvisées Elle aimait, tout Elle aimait autant que parfois elle pouvait détester. Mais elle ne saurait pas sen passer. Tout cela faisait parti de lui, et elle laimait entièrement. Tout comme elle serait entièrement a lui Ainsi, il ne lui fallut aucune difficulté à lui dire ces quelques mots
Bel Garath dOulvenne, recevez cette alliance, signe de mon amour et de ma fidélité.
Passant des gestes à la parole, « la presque épouse dans quelques secondes » Vint faire glisser lanneau semblable au sien au doigt de son « presque époux dans quelques secondes ». Ses ténèbres sétaient encrées dans les yeux noisette de sa moitié. Il aurait pu lire à ce moment précis, en elle. Il aurait pu lire quelle soffrait entièrement à lui, elle serait sienne, jusquà ce que la mort ne la prenne, et même dans lhaut delà Elle veillerait à jamais sur lui et sur leurs enfants qui viendront au fur et à mesure de leur vie à deux.
Cest bon On peut embrasser la mariée maintenant ?
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