Aegidius
RP ouvert bien entendu à qui le veut, du moment que cela reste dans la trame et que les intervenants aient fait partie des évènements récents en Flandres, vieux nobles flamands, amis, accompagnateurs et même "vilains pas beaux indépendantistes" sont donc les bienvenus.
Désolé de ne pas l'avoir fait plus tôt, le temps est une chose que l'on ne peut contrôler et là encore je dois faire dans le court.
Désolé de ne pas l'avoir fait plus tôt, le temps est une chose que l'on ne peut contrôler et là encore je dois faire dans le court.
Voilà quelque temps déjà que ses vieux amis de feue l'Alliance du Nord lui racontaient comme l'Artois et surtout les Flandres étaient sous le coup des dérives séparatistes et félonnes. Ce ne fut guère surprenant pour lui d'apprendre un bon matin une annonce de pseudo indépendance
Aussi comme ces mêmes vieux amis vinrent lui demander soutien et assistance, il ne prit guère le temps de tergiverser. Bien sûr qu'il en serait, d'autant qu'il pourrait ainsi rendre les politesses transmises par les FSF lors de leur dernière incursion, et qui sait peut-être montrer à leur soit disant général, celui qui, lors de la dernière "guerre" face à la Bretagne et les ruines angevines, avait passé son temps dans les champs d'Avranches et qui osa ensuite réclamer pour lui et les siens, ainsi que les Flandres au passage, une rétribution de la couronne, alors que le seul danger qu'ils eurent à affronter furent les pis des vaches et le manque de Calva Ou encore lorsqu'il trouva le courage d'attaquer des navires marchands dans les rades normandes, navires incapable de riposte face à une cogue de guerre. Faut avouer que plus tard, malgré une vaine tentative de fuite, ce même sombre sire, puisqu'il se complaisait dans la vêture ombrée, avait connu les joies d'un bain salé, ainsi que les misérables qui constituaient ses compagnons de bordée. Sans oublier la branlée reçue en Normandie, mais il fallait reconnaître que hors de ses terres, mener combat n'était pas chose aisée, surtout pour des couards, alors autant voir ce qu'ils valaient sur "leurs" terres. Bref à l'appel des amis, l'envie de montrer à ses pendards ce qu'il en était des Normands était aussi part importante dans la réponse positive qu'il avait adressé. Il serait de l'expédition flamande.
Il restait à faire provision de céréales pour le gruau de voyage, fourbir les armes et surtout, former les rangs. Bientôt le rassemblement puis le départ.
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