Gabrielle_blackney
Gabrielle sourit en coin en regardant l’homme toussoter après une gorgée mal controlée de whisky. La brune avait appris à boire dans les pubs de Douvres avec les marins anglois, elle regarda donc l’inconnu et s’enfila la moitié de son godet sans sourciller. Pas très noble certes, mais ça faisait toujours son petit effet.
- La bouteille est là. N’hésitez pas. Mais attention, c’est fort, c’est pas un alcool de damoiseau.
Et la brune de le regarder avec un petit air narquois. Si elle était une donzelle, il serait un damoiseau, égalité de traitement, il n’y a pas de raisons. « Les miches aux genoux ». Non mais sérieusement ! Elle ne put s’empêcher de jeter un œil vers le bas, histoire de vérifier que ça ne se pétait pas encore la gueule. Mais non. Ils défiaient encore l’apensanteur. Enzo l’avait dit « ils sont parfaits », pourvu que ça dure.
Elle sourit à l’inconnu qui venait de se présenter.
- Gabrielle de M… Juste Gabrielle. Ca ira. Et l’auberge est fermée. Je l’ouvre de temps en temps, au gré de mes envies et de mes humeurs.
Ah il allait passer un sale quart d’heure le chapeauté quand il ramènerait ses bottes rouges dans le coin. Il l’avait plantée en lui laissant sa taverne, comme si Gabrielle avait l’âme d’une tavernière. Mais elle avait promis, alors elle prenait soin des lieux.
- Mordric ? L’homme au chapeau et aux bottes rouges. Des tas de bruits et de rumeurs courent à son sujet. Tout à tour bandit ou ami des hauts nobles On dit de lui qu’il enferme les rousses dans sa cave, qu’il jette les bondes dans le port et qu’il allonge les brunes dans son lit.
Les brunes certes. Mais pas elle, quoiqu’en disent les rumeurs.
- Et dites-moi, Dazibaan, que faites vous dans le coin si ce n’est pas détrousser les donzelles ?
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- La bouteille est là. N’hésitez pas. Mais attention, c’est fort, c’est pas un alcool de damoiseau.
Et la brune de le regarder avec un petit air narquois. Si elle était une donzelle, il serait un damoiseau, égalité de traitement, il n’y a pas de raisons. « Les miches aux genoux ». Non mais sérieusement ! Elle ne put s’empêcher de jeter un œil vers le bas, histoire de vérifier que ça ne se pétait pas encore la gueule. Mais non. Ils défiaient encore l’apensanteur. Enzo l’avait dit « ils sont parfaits », pourvu que ça dure.
Elle sourit à l’inconnu qui venait de se présenter.
- Gabrielle de M… Juste Gabrielle. Ca ira. Et l’auberge est fermée. Je l’ouvre de temps en temps, au gré de mes envies et de mes humeurs.
Ah il allait passer un sale quart d’heure le chapeauté quand il ramènerait ses bottes rouges dans le coin. Il l’avait plantée en lui laissant sa taverne, comme si Gabrielle avait l’âme d’une tavernière. Mais elle avait promis, alors elle prenait soin des lieux.
- Mordric ? L’homme au chapeau et aux bottes rouges. Des tas de bruits et de rumeurs courent à son sujet. Tout à tour bandit ou ami des hauts nobles On dit de lui qu’il enferme les rousses dans sa cave, qu’il jette les bondes dans le port et qu’il allonge les brunes dans son lit.
Les brunes certes. Mais pas elle, quoiqu’en disent les rumeurs.
- Et dites-moi, Dazibaan, que faites vous dans le coin si ce n’est pas détrousser les donzelles ?
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