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[RP] Qui veut épouser nos hommes ?

Heloise
Héloïse retint un sourire en entendant la réponse de la jeune femme blonde. Elle semblait plutôt bien encombré par une caisse des plus... ben encombrante. Mais vu ses réponses et ses piques, elle connaissait aussi le seul homme présent dans la salle en dehors des gardes.

La germaine les écoutait déblatérée. Mais rapidement, son oeil gauche puis le droit furent attiré par un mouvement du jury. Oui ça se réveillait et réagissait. Un coup à lui faire lâcher un soupir de contentement. Non pas qu'elle soit emballée d'être là, mais quitte à devoir y passer aussi, autant que cela ne soit pas avant ses 20 ans.

Voyant l'un des membres tournés sont visages vers les nouvelles arrivantes, Héloïse compléta sa génuflexion à l'arrivé par un salut de la tête tenant correctement les pans de sa robe de chaque côté. Une micro flexion des genoux à peine visible pour répondre au salut. Puis elle se remit en position : le dos droit, les mains devant la robe, l'oreille aux aguets. Elle sage ? Non vous rêvez. Elle prenait d'ailleur soit de toujours autant éviter de regarder Hellina, elle risquait de lui en vouloir un petit moment même si elle n'avait rien dit sur le départ.

Ca aurait pû être drole et intéressant si ce n'était pas si... long. Que voulez-vous, la jeunesse se fatigue vite et quand on est habitué à sauter du coq à l'âne automatiquement ça n'aide pas. Et puis il n'y avait ni son homonyme blonde, si la jumelle de cette dernière, leur frère, ou même son frère, juste Hellina. Elle aurait bien pu lui parler, mais la brunette n'arrivait quand même pas à savoir quelle attitude tenir.

Cependant, elle haussa un sourcil lorsqu'elle entendit les questions posés à la première "prétendante", tombé souvent malade ? Des titres ? La jeune fille retint un soupir, les titres toujours les titres. Oui bien sûr, ça ne marche quasiment que comme cela. Elle essaya d'imaginer comment son père le prendrait si on devait lui arracher un titre pour marier sa fille. Déjà rien que de se souvenir de la remarque de ce dernier pour son ex-fiancé peu avant qu'il donne son accord...elle ne savait pas trop. Bah, qui vivra verra non ? Et puis ça se trouve elle ne serait pas retenue. Après tout elle n'est même pas francoyse de naissance, juste de sang. Le rappel des origines de ses parents la fit sourire, toujours le même dilemme.

Le mouvement de départ de la première la fit sortir de ses pensées. Quoi elle part déjà ? La jeune fille eut à peine le temps de voir le visage de cette dernière et compris rapidement que n'ayant probablement pas de titre à ammener, elle ne les intéressait pas. La France et ses hérauts qui refusent des mariages entre noble et roturier... ça a toujours tout compliqué. Même si en fait ca peut-être bien quand on voit l'échec du mariage de ses parents... Lâchant un soupir, la jeune fille, jeune femme se concentra sur le début d'audition de la blonde et la grosse caisse en bois dont elle allait bientôt pouvoir se lester.

D'ailleur, cette dernière n'avait pas dit être le chaperon ? Mais dans ce cas, où est la jeune fille/femme ?

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Mai


    Alors que le regard de la blonde furetait sur le fessier masculin - miam ! - la voix de Calyce se fit entendre. « Marquise » ce devait sans doute être elle. Jetant un coup d’œil à droite, à gauche, au fessier Penthievrique, il lui sembla que c’était bien à son tour d’entrée en scène pour faire l’article de sa fameuse protégée. LA candidate bretonne. Souriant largement au jury, Marie déposa son fardeau au sol avant de se redresser pour être bien droite.

    Mesdames, et… Mesdames ! Et môssieur aussi…

    Elle aurait eu des manches, la blonde les aurait retroussés à la manière d’un magicien au début d’un spectacle. Mais d’une elle n’avait pas de manche et de deux elle craignait d’abimer la dentelle de sa robe. Vu son prix, ça aurait été fâcheux. Enfin bref, la paume bien à plat, la Marquise entama son speach, écrit au sur un palimpseste au creux de sa paume.

    Si je suis devant vous aujourd’hui, ce n’est point pour vous ravir l’un de vos hommes.

    Léger regard au vicomte. C’était déjà (presque) fait de toute manière.

    Mais bien pour vous présenter LA prétendante bretonne. Celle qui j’en suis sûre ravira le cœur du Duc d’Anjou qui vous gouverne. Elle m’a été confiée spécialement par son Altesse Marzina pour que je la chaperonne auprès de vous.

    La jeune fille que je vais vous présenter a encore toute sa vertue et est l’héritière d’une grande famille bretonne… Sa démarche est la plus gracieuse qui soit et son teint blanc comme la neige que l’on n’a pas en Bretagne. Sa voix est douce et délicate et sa beauté…


    La Marquise posa un regard sur la boiboite qui ne moufetait pas. Pourvu que la bestiole ne soit pas morte, Zina ne manquerait pas de la tuer sinon… Le bout du pied breton vint heurter les planches de la caisse en espérant une réaction de la part du monstre. Un couinement/ bruit étrange/ froissement de plume se fit entendre, rassurant aussitôt la Kem sur le bon déroulé de sa mission. Levant le nez vers le jury, Marie esquissa un sourire.

    Et en plus, elle est très très souple puisqu’elle tient dans cette boite ! Et toute femme déjà mariée, c’est que le plaisir masculin est friand de la souplesse féminine…

    Elle commençait à manquer d’argument, la blonde. Autant arrêter de blablater inutilement dans ce cas. La Marquise s’agenouilla pour rendre sa liberté au monstre. Faufilant ses doigts entre les planches du couvercle, elle entreprit de tirer dessus pour l’ouvrir quand un coup de bec se planta dans l’une de ses phalanges.

    Kaoc’h !! Loustooni !! *(Merde ! Saleté!)
    Elle m’a mordu la Con !

    Levant le nez vers le Jury.

    Pardon. C’est rien elle a du caractère !!

    Et le caractère ça fait mal.
    Tenant son doigt endoloris, Marie regarda Kirke avec un air suppliant.
    Help me beau blond.


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--Kanig_du_lac
Il fait chauuuuud, j'étouuuuffe c'est trop long...
Et qui m'a donné un chaperon pareil, franchement?
Elle est blonde quoi, blonde!
Je prends mon mal en patience, je suis prête à souffrir pour lui, l'amûuur de ma vie...
Le bois commence à égratigner mes extrémités, et je laisse entendre un léger couinement plaintif.
Quand, oui, quand ma tortionnaire daignera-t-elle me faire sortir de cette boîte?!
Je tends l'oreille, perçoit des bribes de conversation.
Mais mais mais...elle batifole! Mon chaperon batifole le jour de mes futures fiancailles! Le jour où tout va se jouer! Je lui lance un regard de tueuse à travers la boite. Soit sûre, geôlière blonde, que si je n'étais pas retenue prisonnière dans cette boite, je te défigurerais, et je t'arracherais les cheveux un à un!
...
Mais je suis dans cette boite, impuissante et mon moral s'en ressent un peu. J'en suis presque à laisser entendre ma charmante voix pour la supplier de me laisser respirer un peu d'air frais et m'esbaudir un peu, quand la boite subit soudain un choc violent. Je laisse échapper un cri de surprise affolé.
Félonne, traitresse, malpropre, malpoli, et j'en passe, tu me le paieras!
Attends un peu que je sorte d'ici...
J'attends encore, patiemment, pendant qu'elle fait ma description. Je suis de sang royal, pourquoi ne l'a-t-elle pas précisé! Décidément, elle est plus blonde que blonde celle-là!
Vite vite, c'est mon tour, je veux défiler sous leurs yeux ébahis, je veux sortir!
Toute occupée que je suis à espérer l'ouverture de ma prison de bois, je vois soudain quatre vers rosés tenter d'envahir mon espace vital déjà fortement réduit. Ni une ni deux, je réponds à cette agression par une autre, mordant férocement l'une de ces sales bêtes, ce qui la fait aussitôt fuir avec ses congénères.
Et n'y revenez pas, ou sinon, gare à vous!
Et qu'on m'ouvre, nom de Dieu, qu'on me sorte de là!
Abondance.
[Dans la boîte à femme bretonne ça couine, dans sa poitrine à l'Abondance ça tambourine .]

Elle observait la scène, ou plutôt les scènes, une demoiselle qui est remise à sa place par le blond, une autre qui est recalée , pas assez noble pour le jury, ça manque de terre, et enfin l'autre candidate, une marquise chaperonne, le regard de l'Abondance se dirige vers la boîte que la blonde transporte, un peu perplexe, son cœur se met à battre la chamade.
S'il s'agit d'une naine, elle va rapidement perdre tout son calme la voyageuse prétendante.
Sans trop réfléchir, elle avance un peu, puis soudain se met à causer.


Votre Archigrâce, et mesdames le jury le salut à vous! Je vous prie de m'excuser d'entrée, avant qu'on ouvre cette boîte ...
Je vais me présenter, je suis Abondance je viens de très loin, et là , je vois qu'on vous rapporte une prétendue naine bretonne en boite, sauve qui peut je suis nainophobe.
Du coup, je me permets de couper cette présentation pour quelques secondes pas plus !
Je laisse tous les mâles d'Anjou à cette chose!
* désigne du menton la boite *

Visiblement ça piaille, manquerait plus que l'individu emboîté ait un bec ; là si je découvre que c'est "un oiseau"...Je dirai bien que je suis navrée, je me suis trompée de contrée si en Bourgogne, les femmes courent après les femmes, et qu'en Anjou ça court après les animaux, je ferais mieux de m'en retourner à Rome.

Je suis ici en ce jour d'avril, en compagnie de ces prétendantes , pour prétendre à une chose assez différente de ces dames, je ne veux ni de Duc, ni de vicomte ou baron et encore moins de seigneurs!
Au fait j'ignorais que c'était le jour des enchères de vos hommes, j'aurai su j'aurai décalé mon arrivée.

Je n'ai aucun titre de noblesse , je ne vole pas, je ne mens pas, je ne trompe personne, ceci dit je veux bien accepter vos coutumes si ça peut m'aider à obtenir ce qui suit.


* pose un genoux à terre , pis regarde le jury franchement , pis s'adresse à la vassale de l'archiduchesse.*


Dame Calyce de Dénéré Maline, dite la Lys, la fleurs, la qu'Une oreille, la CAC aussi d'Anjou, je suis ici pour une requête! Je viens quémander "les mains" de votre armée!

J'ai appris que vous étiez la chef d'armée de la « Coin coin », je souhaite qu'on s''épousaille elle et moi, pour le meilleurs et le pire, je suis une conseillère militaire fidèle.

*croise les doigts derrière son dos, a pour habitude de changer de localisation tout les deux matins.*

Je ferai de mon mieux pour servir , votre archiduché.

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Kirke
Qu'est ce que c'est, cette boîte ? En tout cas, cela a tous les airs d'une plaisanterie. Parce que comment voulez vous faire tenir une femme dans une si petite boîte ? Après, Dieu se demandait aussi pourquoi montrer ça, maintenant, en plein casting. Quel rapport ? Peut-être la dot de la prétendante, qui sait ?

Dieu regardait tour à tour les prétendantes, un peu plus en détails, pendant que la Marquise faisait son discours, dont il n'entendit pas un mot. Il se demandait ce que ça donnerait Melchiore marié. Ça serait bizarre, c'est ce qui était sûr. D'ailleurs où étaient les prétendants ? Ils ne devaient pas avoir le droit de décider pour leurs destins, leurs avenirs. Rien que pour ça, Dieu aurait bien créé le scandale, rien que parce qu'il avait envie d'être désagréable aujourd'hui. Mais bon, fallait faire bonne figure devant la Marquise. C'est étrange, elle se fait chiquer par la bête à l'intérieur, alors qu'elle tentait -la bretonne- d'ouvrir la caisse. Et là serait peut-être tout le rôle du seul homme de la salle, en grand sauveur du monde : ouvrir la boîte.

Il médita sur la manière d'ouvrir le cadeau, deux solutions s'offraient à lui : la fracasser contre le sol, ce qui donne l'avantage d'être rapide mais peut briser la chose à l'intérieur, ou l'ouvrir à la seule force des mains, au risque de se faire pincer les mains à chaque tentative... On ne sait pas pourquoi, il opta pour la deuxième solution. Ah si, peut-être parce qu'il se ferait engueuler, qu'il devrait repayer tout ça, et pour un radin, payer ce qui ne lui appartiendrait pas dans tous les cas, c'était indigne !

Il arracha la plaque de bois qui renfermait, en quelques coups, les doigts douloureux de se faire pincer, puis se releva et dit à la Marquise :


- Voilà, votre caisse est ouverte... J'espère que je serais récompensé à ma juste valeur !

Il aurait bien poursuivit sur le prix des soins pour ses doigts. Des fois, la vie est injuste avec les hommes...
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Avec un D, comme Dieu !
Mai


    Alors qu’elle luttait corps et âme - au moins – pour ouvrir cette foutu boite que Marzina lui avait confié, une jeune demoiselle pris la parole pour tout autre chose qu’une histoire de mariage. L’Abondance offrait malgré elle une parfaite diversion à la Marquise qui se tenant le doigt tentait un regard larmoyant - mais efficace - vers son blond vicomte afin qu’il l’aide un peu pour le bien de sa mission. Et c’est ce qu’il fit. Prenant son courage et la caisse à deux mains, le merveilleux Penthièvre réussit sans mal, mais au péril de ses doigt à faire céder les planches pour libérer la fameuse Kanig qui poussa un petit cri ravie pour l’occasion.

    « - Voilà, votre caisse est ouverte... J'espère que je serais récompensé à ma juste valeur ! »

    Pour seule réponse la blonde se saisit de la main endoloris du vicomte et y déposa un chaste baiser.


    Je vous le promet.

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