Alwenna.
[Vannes Le Temps des aux revoir]
La nuit avait été courte sous les étoiles, la Rousse été pensive lovée dans le creux des bras de son tendre amour, elle pensait à son avenir, à ce tendre enfant qui grandissait déjà au creux de son ventre, heureuse l'était-elle? A cela elle vous aurait répondu que oui bien entendu et sans l'ombre d'une hésitation. Regrettait-elle ses choix? Non aucunement sa vie était emprunte d'une douceur nouvelle. Aimait-elle ses enfants? Bien au delà de tout faisant parfois des choix impensable qu'elle regrettait parfois...
Elle était dans ses divagations quand les remparts de la ville se dressèrent devant-elle, les remparts de cette ville qu'elle avait aimée, cette ville qu'à une époque elle n'aurait jamais quittée, puis il y eu le temps du rejet, comme un jour on rejette le sein maternel, comme un jour l'enfant devient adulte et veut se détacher de la mère nourricière..
Elle leva le regard vers les hauteurs grisâtre des remparts, elle sentit un frémissement sur sa peau, craignait-elle quelque chose? Non pas du tout, mais ce lieu lui rappelait beaucoup de choses, des bons des moins bons, une vie en somme..
Elle sourit à son tendre amour, puis son regard se posa sur ses enfant, que les faibles rayons de soleil printanier venaient chatouiller leur minois, elle pouvait sourire de leurs mimiques agacées par ce soleil dérangeant leur nuit peuplée de fées et lutins, une main maternelle et douce se posant sur leurs têtes blondes.
Bonjour mes amours, on arrive... On va voir .. papa...
Elle avait hésité sur ce mot, pas qu'elle reniait cela, mais il y avait une angoisse de la rencontre, ces derniers mois était vide de son absence elle ne savait pas trop comment aborder à ce jour cette visite.
Enfin la charrette stoppa au milieu d'une placette, elle s'étira les fourmillements endolorissant ses membres, et se redressa sautant en bas de la charrette.
Mes amours... il faut descendre nous allons nous rendre chez papa.
Elle sourit à son promis, ses lèvres effleurant les siennes, son regard lui promettant amour et infini, puis elle fit descendre les enfants, et enfin prit Maelle dans ses bras, pour prendre le chemin de la Rue des Remparts.
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La nuit avait été courte sous les étoiles, la Rousse été pensive lovée dans le creux des bras de son tendre amour, elle pensait à son avenir, à ce tendre enfant qui grandissait déjà au creux de son ventre, heureuse l'était-elle? A cela elle vous aurait répondu que oui bien entendu et sans l'ombre d'une hésitation. Regrettait-elle ses choix? Non aucunement sa vie était emprunte d'une douceur nouvelle. Aimait-elle ses enfants? Bien au delà de tout faisant parfois des choix impensable qu'elle regrettait parfois...
Elle était dans ses divagations quand les remparts de la ville se dressèrent devant-elle, les remparts de cette ville qu'elle avait aimée, cette ville qu'à une époque elle n'aurait jamais quittée, puis il y eu le temps du rejet, comme un jour on rejette le sein maternel, comme un jour l'enfant devient adulte et veut se détacher de la mère nourricière..
Elle leva le regard vers les hauteurs grisâtre des remparts, elle sentit un frémissement sur sa peau, craignait-elle quelque chose? Non pas du tout, mais ce lieu lui rappelait beaucoup de choses, des bons des moins bons, une vie en somme..
Elle sourit à son tendre amour, puis son regard se posa sur ses enfant, que les faibles rayons de soleil printanier venaient chatouiller leur minois, elle pouvait sourire de leurs mimiques agacées par ce soleil dérangeant leur nuit peuplée de fées et lutins, une main maternelle et douce se posant sur leurs têtes blondes.
Bonjour mes amours, on arrive... On va voir .. papa...
Elle avait hésité sur ce mot, pas qu'elle reniait cela, mais il y avait une angoisse de la rencontre, ces derniers mois était vide de son absence elle ne savait pas trop comment aborder à ce jour cette visite.
Enfin la charrette stoppa au milieu d'une placette, elle s'étira les fourmillements endolorissant ses membres, et se redressa sautant en bas de la charrette.
Mes amours... il faut descendre nous allons nous rendre chez papa.
Elle sourit à son promis, ses lèvres effleurant les siennes, son regard lui promettant amour et infini, puis elle fit descendre les enfants, et enfin prit Maelle dans ses bras, pour prendre le chemin de la Rue des Remparts.
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