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[RP] Taverne :Les Ailes dans le Vent

Hobbf
Hobbf regarde la platée de lard aux légumes que Larouquine lui sert : ah, un repas à sa mesure. C'est que l'homme commençait à avoir faim, et le plat semblait suffisamment grand pour le sustenter complétement. Il goûta le repas, qui s'avéra délicieux.
Il marmonna :


Merchi ... ch'chuculent ...

Il mangea son assiette, jetant un oeil aux deux dames qui posaient leur sac dans un coin en échange d'une chope de bière.
Il finit son repas, le faisant descendre d'une bonne lampée de bière. Il posa son assiette sur le bord de la table, se renfonçant dans son siège en sirotant sa bière.


Ah, ça fait du bien ... !

Il s'adossa dans son siège, regardant la tavernière se démener avec Hulrika et Maya, qui venait de parler de payer une tournée. Il en était ravi, encore une bière gratuite !
--Sofio_de_valmonte
Quelque part en Bourgogne….

Citation:
Amis de Moulins bonjour,
Quelques nouvelles comme promis, de notre aventure qui ne verra pas la fin de sitôt je le crains, la Bourgogne est vaste, et ravagée par une guerre intestine, les nobles se déchirent a coups d’épées, les paysans s’affrontent a coups de fourches, les armées se multiplient mais pas le pain..
Nous avons fini par monter le campement devant les portes de la capitale, un ultimatum est donné au nom du Roy, aux félons opposants, ils ont ordre de se rendre et aucun sang ne sera versé, sans cela se sera un carnage…..

Mais la nuit ne fut pas sans surprise de nombreux félons profitant de la trêve donnée pour renforcer l’armée furent massacrés sans quartiers.

24-05-2012 04:08 : Vous avez été attaqué par Georges_jacquart.
24-05-2012 04:08 : Vous avez été attaqué par Orelya.
24-05-2012 04:08 : Vous avez frappé _ninon. Ce coup l'a probablement tué.
24-05-2012 04:08 : Vous avez frappé _ninon. Ce coup l'a probablement tué.
24-05-2012 04:08 : Vous avez été attaqué par _ninon.
24-05-2012 04:08 : Vous avez été attaqué par Ellana_beauregard.
24-05-2012 04:08 : Vous avez frappé Reginae... Ce coup l'a probablement tué.
24-05-2012 04:08 : Vous avez frappé Reginae... Ce coup l'a probablement tué.
24-05-2012 04:08 : Vous avez été attaqué par Reginae...
24-05-2012 04:08 : Vous avez été attaqué par Gabrylla.
24-05-2012 04:08 : Vous avez frappé Vecchio. Ce coup l'a probablement tué.
24-05-2012 04:08 : Vous avez été attaqué par Vecchio.
24-05-2012 04:08 : Vous avez frappé Nemesis. Ce coup l'a probablement tué.
24-05-2012 04:08 : Vous avez frappé Nemesis. Ce coup l'a probablement tué.
24-05-2012 04:08 : Vous avez frappé Nemesis. Ce coup l'a probablement tué.
24-05-2012 04:08 : Vous avez été attaqué par Nemesis.
24-05-2012 04:07 : Vous avez frappé Poussix. Ce coup l'a probablement tué.
24-05-2012 04:07 : Vous avez frappé Spikelilou. Vous l'avez grièvement blessé.
24-05-2012 04:07 : Vous avez été attaqué par un groupe composé de Poussix de Spikelilou et de Bibineloden.



Un événement bizarre cette nuit, dans la mêlée des coups et des cris, surement sonnée par quelques sons , j’ai cru entendre la voix de Ninon, qui disait ‘PAMOI PAMOI ‘ cela m’a interloqué quelques instants, pour vite reprendre mon épée et frapper sans distinctions un sourire pour cette anecdote, que viendrait foutre Ninon en Bourgogne, a l’heure qu’il était, elle devait surement se pinter dans la taverne municipale, en cherchant une proie.

Les combats vont reprendre dés ce soir et je prie Aristote chaque jour, pensant a vous, l’idée de vous revoir nous fera garder la vie.

Bien a vous..

S de Valmonte


Elienore
Elienore était venue prendre un peu de repos aux Ailes. Une bonne petite chopine avant de reprendre le chemin du domaine. Avec son gros ventre pesant lourd et qui lui donnait vaguement l'allure d'une vache vue de face et d'une oie dandinant côté pile, elle n'avait plus la même énergie même pour se rendre chez le tisserand.

C'est donc attablée, écoutant distraitement la conversation avoisinante, qu'un pigeon la trouva. Elle déplia rapidement la missive qui lui était adressée.


_ninon a écrit:
Ma chère Elie,

Grand bien t’as pris de faire demi-tour et de rentrer à Moulins. Que n’ai-je fait pareil !
Ne t’étonne pas de ne point reconnaître mon écriture, j’ai fait appel à un scribouilleur, car je ressens une légère fatigue et j’ai du mal à écrire. Heureusement, ma langue est intacte même si tout le reste est déglingué et je ne manque pas de m’en servir, tu peux me croire.

Déjà, pour invectiver ce médicastre qui me fait un mal de chien à vouloir à tout prix me retirer ma cotte de mailles. Parait que je lui dois la vie. Excellent matos, ces armures et protections venant de Paris. J’y ai mis jusqu’à’ à mon dernier écus mais ça valait la peine. Le problème est qu’elle est incrustée, enfin, c’est le doc qui dit que c’est un problème parce que pour moi, il peut bien me la laisser ainsi.

Figure-toi que l’Epoux a voulu m’assassiner ! Sisi, je t’assure. Hier soir, en vue de Dijon, j’ai attaché ma monture à un arbre et laissé mes poilus en sa compagnie, histoire de faire une petite reconnaissance pour pas me jeter tête baissée dans les bras de vilains pas beaux. Et tout à coup, ce fut comme si le monde entier me tombait sur le râble. Je basculais cul par-dessus tête alors que les coups pleuvaient sur moi et vla que je reconnais Morphey dans la mêlée. Je crie, fort… « Hé ! C’est moi ! C’est moi ! » Et, je te jure, Elie, j’ai vu un rictus mauvais sur sa face quand il m’a reconnue et il a tapé encore plusieurs fois avant que je m’écroule, vaincue sous le nombre. J’ai même cru reconnaître son garde du corps, Greg, qui disait qu’il aimait ma compagnie. Lui aussi me frappait. Attend que je le croise, celui-là !
Quand je suis revenue à moi, l’aube pointait son nez, y avait plus personne à part des morts ou des agonisants, j’avais plus mon épée ni mon bouclier, mais bien ma dague. Alors, je me suis traînée jusqu’à mon cheval et cette brave bête m’a ramenée à Autun.

Vla, je reprends après avoir dit ma façon de penser au doc, et puis j’ai aussi fait une ptite sieste, le dit à personne mais me suis évanouie, punaise ! J’ai mal ! J’ai jamais eu si mal de ma vie.
Parait que tout le monde me croit morte, mais ce n’est pas demain la veille qu’ils auront ma peau.
Et l’Epoux, il a intérêt à se tenir loin de moi à l’avenir parce que moi, sûr que je ne le raterais pas. Enfin, dès que j’irais mieux.

Je crois que je vais dormir encore un peu.

Bien le bonjour aux Moulinois, à nos amis, je reviendrais, foi de Ninon

A bientôt Elie.
Je te dis pas qu’Aristote te garde parce que moi, j’ai des emmerdes depuis que je suis baptisée. Alors, l’Aristote, je le recommande plus à personne.

Ninon
Agonisante mais pas agonisée


Elle relut trois fois le parchemin pour être bien certaine qu'elle n'avait pas une hallucination. Quand enfin elle en fut intimement persuadée, elle se leva et aussi vite que son état le permettait alla informer les moulinois.
_________________
--Hulrika


Lorsqu'Hobb entra, elle farfouillait dans tout c'fatras essayant d'classer les choppes selon leurs matières, leur tailles et leurs signes distinctifs. Elle r'leva la tête un instant histoire d'l'apercevoir et d'le saluer et r'tourna à son casse-tête.
Elle se sentit quelque peu observée, les clients d'vaient la prendre pour une folle, il n'en était pourtant rien. Et la Maya qui semblait s'moquer à côté, ça avait l'don d'l'énerver un peu.

Dis-moi, toi, au lieu d'rigoler bêtement, tu voudrais pas m'aider?

Après avoir servi les clients, elle vit la rousse qui s'approchait d'plus près.
Mais, j'vous ai pas d'mandé d'acheter, j'viens rendre c'que j'ai emprunté.
Elle releva les yeux vers elle et tenta d'expliquer le pourquoi d'avoir apporter tout cela ici.
J'suis Hulrika, habitante de Moulins. J'ai rangé ma chambre au dispensaire, et euh.. parfois lorsque je n'avais fini ma choppe, j'repartais avec, et euh...j'voudrais les rendre à présent.
Sauf que, j'sais pas lesquels appartiennent à la Mairie, lesquels sont à Traps...

Ecoutant la tavernière puis Maya, elle haussa les épaules et r'ferma le drap sur les choppes.
Bon, eh bien, comme vous voulez, j'vous laisse tout ça, mais sachez que vous êtes en possession de choppes venant d'autres tavernes à présent.
Elle se releva et traina l'tout dans l'coin indiqué par la rousse.

Puis, elle prit la choppe offerte par Maya avec plaisir.

C'pas tout ça, mais j'ai mon baluchon à faire, j'vous emprunte la choppe là, j'viendrais vous l'échanger contre mon drap à mon r'tour, car je pars en voyage quelques temps.

Salut à tous les gens d'la salle avant d'sortir.

Au moment d'sortir, elle croisait Eleonore et lui tint la porte, elle s'était enfin débarassée d'ses choppes, elle laisserait tout le soin à la tavernière de les trier et d'les rendre aux divers propriétaires de taverne de Moulins, ou d'les garder toutes.


Larouquine
Du passage en taverne...
La jeune souillon n'en attendait pas moins du lieu.
Intérieurement, elle sourit. Il ne faut pas trop lui en demander...


Affaire tintante sous le drap contre cervoise et plat bien chaud !
Elle vient de répondre à la nommée Hulrika, cette dernière pourra repartir plus légère, du moins en apparence car la soupe au lard de La Rouquine est bien lourde, c'est un bon "tient le corps pour la route".
Merci sieur Hobbf, votre plate bien vide et essuyée me dit que cela vous a bine fait plaisir...Une petite forte aux fruits pour faire passer ? Je vous l'offre...
C'est qu'elle devient une bonne aide aubergiste, à présent...Donner un peu pour plus recevoir...Sans devenir un dispensaire...Le dispensaire de Moulins est ailleurs et bien présent...
Les choppes tintantes ? Rendre à qui de droit ?
La Rouquine hausse légèrement les épaules et lançant coup d'oeil en coin de salle, les ranger en premier temps et si le nommé Traps, qu'elle ne connait point encore, reconnait les siennes, et bien, il emportera ce qui lui revient...

La Rouquine regarde par la fenêtre...
Des grondements au loin se font entendre...
Des pigeons porteurs de bonnes ou mauvaises nouvelles vont et repartent.

Une grande dame choisit sa taverne pour se reposer quelques instants et se faire lecture.
Un pigeon vient de la mander...
La rouquine regarde le volatile de son mauvais oeil :
Toi, attention à mes pavés...Sinon, la marmite !
Elle installe la grande dame en bonne table avec chaise rembourrée et lui sert une bonne cervoise
Ma Dame, un bon accueil icelieu...Tenez, voici une bonne médicate qui apportera bienfait à votre petit futur...
Elle n'en dit pas plus, la femme à l'air songeur et triste...Certainement de mauvaises nouvelles...

La jeune rouquine soupire...Elle est encore trop jeune encelieu pour tout comprendre, mais ce qu'elle sait, c'est que des soldats vont et viennent en frontières vers La Bourgogne et La Bourgogne, ce n'est qu'à quelques lieues de Moulins...


Tu as encore des travaux à faire, faut pas rêvasser...

En tout cas, soldats ou pas, elle sait La Rouquine, qu'à défaut de réconforter les âmes de ses clients, elle fera en sorte qu'ils sortent d'ici benaises...
Et cela, c'est déjà une de ses priorités.

Miiiaaaaaou....mIAAAAAAA...
La Rouquine sursaute, un regard vers la souillarde, l'arrière salle, puis relevant son tablier, bien trop grand pour elle, elle file vivement vers cet appel.
Mais c'est quoi encore, ce tafouin ?
_________________
Elienore
En cette journée radieuse, la dame de Leschaux avait décidé de se rendre au verger cueillir quelques bons fruits juteux. Son panier bien garnit de poires sucrées, elle revint vers le village.
Les cousins et le doc Yorgues étaient reparti vers leur Gascogne natale et le domaine lui semblait bien vide sans leur joyeuse agitation. Elle n'était donc pas pressée de rentrer chez elle et décida de faire un arrêt dans la meilleure taverne de la ville. La bière y était fraîche et la tavernière efficace. Elle poussa la porte et pénétra dans la grande salle bien propre où régnait une température agréable.


Bonjour tavernière!
Une choppe bien fraîche me ferra le plus grand bien.


Sa commande passée elle s'installa à une table près d'une fenêtre ouverte qui lui laissait voir la place et son marché. Elle sortit de sa besace une lettre reçue le matin même et la relus.

Citation:
Ma chère Elie,

Sombres nouvelles que je me dois toutefois de t'envoyer.
Les premiers combats ont eu lieu cette nuit.
Nos ordres étaient d'interdire aux renforts de rallier l'armée félonne retranchée derrière les remparts de Dijon.

Nous étions en train de patrouiller, lorsque soudain, une forme noire me sauta dessus !
J'ai senti qu'une lame heurtait l'armure que j'avais fort heureusement revêtue. Un réflexe de survie, j'ai riposté, laissant l'assaillant pour mort lorsque d'autres sont arrivés, armes au poing.
L'échauffourée fut rapide et sanglante. Nous étions nombreux contre une poignée, ne leur laissant aucune chance. Il faisait nuit noire et la lune avait déserté le champ de bataille. Une chatte n'aurait pu reconnaître ses petits. Comment aurais-je pu reconnaître Ninon ?

Ce n'est qu'au matin que la liste des morts et blessés nous fut donnée. Le nom de notre amie s'étalait en lettre de sang. Imagine la consternation dans le rang des Moulinois !

Après la consternation, la colère... Mais qu'allait-elle faire dans cette galère ? Sans prévenir de son arrivée !!! Il faut un esprit suicidaire ou une grande confiance en soi pour braver ainsi des armées en guerre !
Je suis heureux qu'elle s'en soit sortie. Malgré tout, une chose est à déplorer : sur 46 coups d'épée, pas un seul pour lui trancher la langue ! Arf..... quand la malchance s'y met !

Gageons toutefois que ce regrettable incident ? accident ?.... ne facilitera pas les rapports que nous entretenions déjà !

Transmets nos amitiés à nos amis, plus particulièrement à Phoe.
Quant à toi reçois un amical baiser.
Priez pour qu'Aristote guide nos coups et nous donne la victoire,
Pour le Roy !

Morphey


Elle soupira et ne put s'empêcher de penser tout haut.

Comment tout cela va-t-il finir...

Elle avait peur pour ses amis et le courrier que Sofio avait adressé à Arthur et qu'il lui avait donné un peu plus tôt n'était pas pour la rassuré. Elle le sortit et le relut également

Sofio_de_valmonte a écrit:
Bonjour, m'sieur le Maire

Je vous écris ces quelques lignes du fin fond....de ma tente, je sais elle est pas immense non plus c'est une tente 2 places comme on en voit partout, un des piquets d'ailleurs est tordu et part à dextre, depuis que Morphey et moi nous avons...fin ...prié dedans!

Dehors! la guerre fait rage, partout des morts, même les rivières en portent les stigmates, puisque l'eau qui coule est tâchée rougeâtre, et non jaunie...trouble.

Je sais que beaucoup d'entre vous se demande, quel est cette guerre si proche des portes de l'Auvergne et pourtant mal connue, c'est pourquoi je tenais aussi a vous en expliquer la teneur.

Élection royale de mars 1460, deux prétendants se disputent le trône : Eusaias et Vonafred.
Vonafred accède au trône, aussitôt accusé d'avoir truqué l'élection par le duc Eusaias. Le roi Louis Vonafred déclare alors Eusaias Félon de la couronne.

Quelque part en Bourgogne Eusaias monta alors une armée.
À la dernière élection ducale, la liste menée par Delamark a recueilli le plus de voix, et celui-ci a ensuite accédé au poste de Duc de Bourgogne.
Comme annoncé lors de la campagne, il a organisé avec les autorités Royales, la capture d'Eusaias.
Un conflit est alors né entre le jeune Duc Delamark, et le Duc Eusaias.

- le jeudi 10 mai 1460, une armée commandée par Eusaias s'est présentée devant les murs de Dijon.
- le vendredi 11 mai 1460, le maire fraîchement élut Ezioauditore, a démissionné ou a été forcé de démissionner. L'armée d'Angélique été alors maître du statu quo.
- le samedi 12 mai 1460, l'armée d'eusaias est entrée dans les murs de Dijon sans qu'aucun combat n'est lieu. (il semble qu'une autorisation de pénétrer dans les murs lui a donc été donné par la dernière personne qui été a la mairie, Angelique dite la vache folle)
Devant les accusations de traîtrise, pour avoir démis le maire, et permis à Eusaias de rentrer dans les murs de Dijon, ce qu'elle niait fermement, Angélique détruit son armée.
Eusaias devient ainsi maître du statu quo.
Une partie du conseil ducal, ainsi que le duc Delamark à alors pris la fuite, en prenant soin de prendre avec lui le trésor ducal.
Mais dans sa fuite, le jeune Duc fut pris par l'armée D'eusaias, et le trésor à été récupéré et rendu au château intact.

À partir de là :
- D'un côté, ceux qui avaient fui ont rejoint Chalon pour organiser la reprise du château.Il s'agit de l'armée d'Armoria. Sans oublié le Roy qui a été appelé en aide pour reprendre le château.
Ces armées sont aujourd'hui devant les murs de Dijon, et se préparent à l'assaut.
Il est a noter que l'armée d'Armoria porte elle aussi un agrément Royale.Avec l’emblème du Lys (domaine royal) aidé par l'armée "*Memento Mori*" commandée par Kahhlan dirigée par le prince Namaycush Salmo Salar, qui est le frere du roy, et l'armée Armée "Mná na hÉireann" commandée par Gwenhwyvar portant elle aussi le lys.

- D'un autre, Eusaias a permis à une armée de bourguignons reconnus comme compétent et neutre dans l'affaire qui l'oppose au Roy, de reprendre le château sans combat, et instaurer une régence dont le but été d'assurer le fonctionnement de la Bourgogne, en attendant les prochaines élections. Cela fut fait le vendredi 18 mai, et marque l'apparition d'un 3e camp, dit "neutre".
Eusaias a ensuite quitté Dijon, pour se diriger vers le domaine royal, où il subit des échecs militaires.

- La régence "neutre", a donc commencé à lancer des appels à la paix et au calme, voyant que la Bourgogne se déchirait entre pro-Delamark et pro-Eusaias.
Mais ces appels fut vains, et rejeter en bloc par le camp Armoria/Delamark, qui l'ont de suite accusé de traitrise, et d’être dans le camp Eusaias.
Elle défend aujourd'hui le château de Dijon, contre une prise de pouvoir illégitime des armées royales et d'Armoria, et d'un éventuel pillage.
Et attends qu'un conseil légitime et représentatif de la dernière élection lui soit présenté, pour rendre le pouvoir.


Pendant ce temps une armée berrichonne composée de renards et menée par Sambre a pris et pille la ville de cogne, et l'a rattaché au Berry.L'occasion qui fait le larron ou déclaration véridique? disant qu'ils redonneront le village lorsque le Duc delamark aura repris son trône.

26 mai 1460 les armées portant le lys sont entrées dans Dijon, ont vaincu l'armée des Bourguignons , l'armée memento détient le statu quo.

Armée "*Memento Mori*" commandée par Namaycush
L'armée est dans l'enceinte de la ville

Armée "Qui m'aime me suive !" commandée par Armoria
L'armée est dans l'enceinte de la ville

Armée "Mná na hÉireann" commandée par Gwenhwyvar
L'armée est dans l'enceinte de la ville

Nous attendons dans les prochains jours l'armée de Thoros parti de Geneve pour venir se frotter a nous...

Venons en au but! Arthur je pige pas du tout la..pourquoi vouloir décimer un a un les Moulinois? tu n'en peux plus de ce village ou le vice règne? je peux comprendre que tout ces gens te gonflent te demandant sans cesse des tas de choses comme :

hé le maire, je prend quoi comme champ
hé le maire, mon moulin tourne pas assez
hé le maire, le pain sur le marché est cher
hé le maire ou que j'ai mon bateau....

et tutti quanti, sans parler bien sur du manque cruel d'Aristoléliciens en ce bourg, mais quand même... de la à les envoyer , un par un a la mort, tu n'y vas pas un peu fort?

Hier Ninon, ce jour Guigm, oh il s'est bien défendu le Moulinois je l'ai appercu, il avait l'air tout étonné quand on a fondu sur lui.

26-05-2012 04:07 : Vous avez frappé Guigm. Ce coup l'a probablement tué.

Bref quand on a un bateau autant s'en servir...

Moulinois! restez chez vous! a part les suicidaires bien sur.

Allez zou, parait qu'on remet ça, le fer de lance est en marche...vraiment dommage que Fabien soit pas de Moulins.

cordialement

S de Valmonte


La jeune femme laissa errer son regard dans la taverne. Les courriers de leurs amis étaient pour tous les Moulinois et elle voulait que chacun puisse en prendre connaissance. Avisant une place sur le mur bien en vue, elle demanda.

Dame tavernière.
Puis-je utiliser cette partie de mur pour afficher quelques missives venant du front bourguignon?

_________________
Larouquine
Dans l'arrière salle...

Il est de ces rencontres qu'on peut appeler "particulières" et ce, sans y réfléchir aux conséquences...
Bref, là devant elle, la jeune souillon se retrouve face à un matou maigre et de couleur assez surprenante.
Ils restent là face à face pendant un court laps de temps, les deux ensemble et sans le savoir, avec ce sentiment de peur qui monte...
Qui va sauter sur l'autre le premier ?
Mais la Rouquine se reprend la première et attrape doucement un torchon...

D'où viens tu toi ? Sais tu que tu te trouves dans mon antre...C'est quoi ce pelage ?
Le greffier plisse les yeux, se redresse doucement, s'étire et... se met à ronronner tout en s'approchant des jambes de la jeune fille...
T'as pas l'air méchant...La Rouquine réfléchit vite puis attrapant un bol en bois, y verse un trait de lait. Le chat en 3 coups de langue, avale le tout, puis tout en regardant la bête à 2 jambes, ouvre la bouche, s'exprime en son propre langage, bref, un 'j'en veux encore !'...
La jeune souillon le ressert et entend la porte de l'auberge s'ouvrir...

Toi, le greffier, tu ne bouges pas de là...Il faut qu'on parle tous les deux...Je veux bien que tu restes...Mais ici, y'a des règles...
La Rouquine se retourne une dernière fois avant de filer en salle.
T'as quand même un drôle de poil...Faut peut-être que je te baquette?
Elle hausse les épaules puis va prendre commande auprès du client.

En salle...
Bonjour tavernière!
Une choppe bien fraîche me ferra le plus grand bien.

La grande Dame est revenue, elle semble plus énergique, La Rouquine pose une légère révérence et installe confortablement la dame sur séant bien moelleux, proche fenêtre, celle qui permet, le jour, de voir dehors, sans vraiment être vu...Les carreaux bullés en étant la cause...

Jour bon Dame...Belle journée que celle ci...Je vous sers cela de suite...
La grande Dame sort lectures, voilà bonne chose en taverne municipale se dit la jeune souillon, voilà dame qui se plait icelieu et qui sait se mélanger au bas peuple .
Elle lui pose la cervoise avec chope tintante, une de celle de la nommée Hulrika, la jeune Rouquine commence à s'éclipser quand la Dame la mande à nouveau.
Dame tavernière.
Puis-je utiliser cette partie de mur pour afficher quelques missives venant du front bourguignon?

On me nomme La Rouquine, et non Dame...
La jeune souillon avait eu la chance de ne pas trop mal naître, "on" l'avait éduqué de façon qu'elle puisse déchiffrer toutes sortes de parchemins, même si, par la suite, adolescente, ce ne fût que débrouillardises, fuites et pleurs, et ceux ci avant d'arriver sur Moulins...
Vous me permettez, dame ? Ben oui se dit La Rouquine, elle est responsable des murs de cette taverne...Donc, elle plisse les yeux, se concentre, elle déchiffre quelques lignes du premier parchemin, puis en vient au deuxième écrit...
Là où on nomme des moulinois grièvement blessés en ce conflit...
Pour la Moulinoise Ninon, la Rouquine l'avait su, et en était désolée, elle ne la connaissait pas vraiment, mais c'était une Moulinoise quand même, mais là, à son grand étonnement le nom du capitaine Guigm apparut...

Le sieur Guigm, il est grièvement blessé ? Elle l'avait rencontré en château, l'air marin qu'il imposait, sa carrure et surtout sa gentillesse...
La rouquine se reprend, elle est choquée...

Bien sûr Dame, tous les murs de cette taverne si vous voulez...Nous devons tous savoir ce qui se passe à quelques lieues de Moulins...et elle insiste pour se faire.
Je vous en prie, dame, en votre état, restez assoise, je vais m'en occuper...

Tout en balayant un mur bien placé pour y mettre les parchemins sur cette maudite guerre, elle se demande ce que va en penser le tribun Melisandre et surtout le bourgmestre...Quoiqu'ils disent, nous devons savoir ce qui se passe...Ces quelques mots la rassurent et elle placarde les parchemins bien en vu.
Puis un léger sourire vers la dame, comme pour chercher une approbation d'un travail bien fait...

Vous avez besoin autre chose ?
_________________
Jason_de_vissac.
La ville était plus que déserte comme si toute la ville s'était endormie. Il décida de passer à la taverne avant de rejoindre son fournil pour y mettre les miches qui étaient en train de pousser au four. Il était debout depuis cinq heures du matin à préparer la fournée de pain du jour. Il poussa donc la porte de la taverne où se tenaient quelques clients connus et inconnus. Il alla jusqu'au comptoir
Bonjour à tous. La bonne journée à vous. dame tavernière je boirais bien une chope de votre bière bien fraîche s'il vous plaît, j'ai le gosier asséché par la farine du fournil.
Il alla ensuite s'installer à la table pour s’asseoir. Il aperçut une jeune femme qui était entrain d'afficher une lettre de Sofio. Il attendit qu'elle eut fini et s'approcha pour la lire. Il fronça les sourcils car cela ressemblait à celle qu'elle avait fait porter au château des mains par Sunburn. Il avait du mal à croire à tous ces morts moulinois, à tout ce sang versé au nom de la royauté. Défendre le Roy quand il était en danger oui, mais là il n'arrivait pas à comprendre vraiment pourquoi l'armée moulinoise se trouvait là bas. En bon soldats les moulinois suivaient les ordres et tombaient comme des mouches.
Il comprenait maintenant la tristesse des habitants et les rues vides de la ville.
Il regagna sa table pour boire sa bière. Sa bonne humeur avait complètement disparue. Il se sentait impuissant ici

_________________
Larouquine
Dans la salle...
Nombreux sont ceux qui passent en taverne Municipale pour y suivre, grâce à de bonnes gens, ce qui se passe en Bourgogne...A quelques lieues de Moulins.

La jeunette fait ce qu'elle peut pour adoucir la tristesse des résidents de Moulins, et ce qu'elle peut n'est en rien ce qu'elle veut...
Après avoir salué comme il se doit, l'homme venu s'enquérir des dernières nouvelles Bourguignones, elle le laissa devant une cervoise bien fraiche et bien frappée d'un coup sec en bord du comptoir...Mais que pouvait elle faire autre ? un peut-être :

Sieur...Bien le jour bon...Si cela vous interresse, à la chambre du peuple, des grands et des gens plus modestes de notre belle province, y tiennent discussions et échanges sur les derniers évènements de Bourgogne...C'est par ...Au Grand Castel...

La rouquine est pensive, il va s'en dire qu'il faut être présenté chez le sieur "s'enregistrer" pour pouvoir y participer...Mais n'est ce pas, là, passage obligé lorsqu'on est résident en province ? Pouvoir être renseigné à la source ? Et la source est le castel du Duché du BA...
Il y a bien détracteurs à ce sujet...La Chambre du peuple devrait se trouver en Gargote...Il est vrai que cela devrait se faire...Moult personnes auraient pu échanger...Sauf que pour pouvoir être présent en Gargote, il faut être présent en Duché et ceux qui se trouvent en Bourgogne n'auraient pu donner des nouvelles aussi fraiches. C'est le chat qui s'mord la queue sans trouver de réelle réponse... La Rouquine reste pensive, secoue la tête et soupire...Pas facile à faire^^...
Puis tout en haussant les épaules :

Bene, c'est pas tout, il te faut te rendre où tu sais et où tu sais n'est pas la porte à côté...

Aujourd'hui est un grand jour, elle a brossé son unique jupe et chemise, elle doit être présentable...


En souillarde...

Mais que fais tu là, toi ?
Le greffier "sans nom" ne se mord pas la queue, lui l'ingrat, mais est roulé en boule sur sa tenue brossée...
Allez du balai...Oust...Va chercher pitance en arrière cour !
C'est sans ménagement que La Rouquine le pousse vers la sortie se demandant bien ce qu'elle a fait pour trouver un tel compagnon...
Pas encore pris le temps de le dépoussièrer, cet animal...Mais cela ne serait tarder...Pffffttttt. Pour l'instant, je m'habille et je file...Pas faire attendre l'autre...Pas faire trop attendre l'autre...Et l'autre, c'est un grand, et les Grands n'attendent point !
_________________
Sofio.de.valmonte
Un retour enfin....

C'est de bon matin qu'ils étaient enfin arrivés, avec dans la bouche ce gout amer d'une guerre acide, un rapide passage dans les villages de Bourgogne pour se réconforter, l'herbe n'est pas plus verte ailleurs.

Elle y avait perdu beaucoup en ces terres Bourguignonnes, déjà pas encore remise du choc d'avoir blessé Ninon, puis une partie des rêves s'étaient envolés, cela n'était pas l'innocence, il ne fallait pas non plus exagérer, juste des restes de rêves d'antan, ou dans sa prime jeunesse, les guerres se faisaient a coups d'honneurs et non pas de magouilles diverses.

Première bouffées de bien être qui devait, ne pouvait se faire qu'à la taverne, elle entra comme à son ordinaire, la porte à la volée battante, s'attendant a y retrouver Melissandre plus ou moins ivre mais.....


Tadam........Méli??


Ben...non ou alors Méli avait plongé dans un bac a rouille la tête en avant, mais elle reconnu la jeune femme appercue en chambre du peuple.

Bonjour mademoiselle, ravie de vous revoir en ces lieux.

Un coup d’œil sur le mur dextre, les parchemins épistolaires accrochés de leurs épopées Bourg'mignonne, tout un pan du mur et une tranche de vie qui restera gravée en sa mémoire, pour son burlesque et paradoxalement tristesse des faits, la guerre le coeur, les déboires, rien eu a boire, et un frisson pour la rencontre sodomite passée a Autun.


Un coup d’œil sur la nouvelle tavernière, un sourire plus amical cette fois.


Et si nous buvions une chope damoiselle, en attendant des arrivants, et peut être que si vous aimez les histoires, je pourrais vous en conter une, je parie que vous ne connaissez pas celle du Roy qui s'endort pendant qu'autour la garde s’éveille?


Les moulinois, elle le savait était friands d'histoires et de potins, les chandeliers rallumés, peut être que cela allait en ramener quelques 'uns.
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Larouquine
La jeune Rouquine faisait des allers retours vers la destination qu'elle s'était fixée.
Cette nouvelle voix lui demandait moult énergie.
Mais son premier devoir était la taverne Municipale que lui avait confié dame Tribun Mélisandre...Et elle sait La Rouquine que cela n'aurait pu se faire, également sans l'accord d'une autre grande Dame.

En arrière salle...

Je t'explique...Regardes moi quand je te cause...En hauteur, c'est mon domaine...Par terre, c'est le tien...Bien que c'est aussi le mien...Mais je m'embrouille...Je t'explique...Tu ne dois en aucun cas, et sans raison évidente, comme la présence d'un animal ressemblant à ces maudits rats, je dis bien, sans raison, grimper sur table, chaise et billot...Tu comprends ça ? Ici c'est interdit ! Là Aussi et ....
Et cela aurait pu continuer longtemps...L'autre, le greffier, qui reçoit semonces, attendant plutôt pitance et la tête penchée, les yeux grands ouverts, les narines dilatés, attendant juste que cela tombe...Quand à La Rouquine, elle est de celle qui pense que tout envoyé sur terre a un but précis et même si le langage n'est pas le même, il est de ses mimiques gestuelles qui parfaitement codées, font en sorte de faire naitre réelle compréhension, même d'espèces différentes...
Elle aurait pu continuer son monologue longtemps si ce n'est l'ouverture explosive de la porte de la Taverne...

Nom d'une pipe...Qui ose entrer ainsi ?

Elle file en salle, tablier relevé et se trouve nez à nez avec la grande Dame guerrière...

Dame Sofio de Valmonte...Légère révérence gauche...Bien aise de vous trouver saine et sauve...Vraiment heureuse...Pour un peu, elle l'embrasserait, La Rouquine, mais avec le grand monde et les Grands, ça ne se fait pas...
Une cervoise avec vous ? C'est un honneur...Une histoire ? Avec grand plaisir...
La Rouquine file sortir chopes tintantes et rutilantes, celles de la nommée Hulrika, pensant bien que le retour d'une si grande Dame, amènera autre compagnie...
Je reviens vous apporter de quoi faire glisser la cervoise...Et de filer, sans point attendre vers l'arrière cuisine et revenir quelques instants après avec, un plateau de cochonnailles , fromages et du pain frais...
On raconte mieux le ventre plein.
Et d'en rire de retrouver telle présence en taverne Municipale...
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Sofio.de.valmonte
Quand le crieur avise avant tout.....

Pour un peu, elle aurait déjà envie de s'en revenir, par la Bourgogne, le Limousin, même le Languedoc qu'importe... mais Moulins...moulins ses habitants son ambiance unique en ce monde, remplie de moulinois, comme une main est remplie de doigts.

La jeune femme s'encombre révérence et bonnes manières, elle lui dira plus tard que seul le soleil peut faire incliner les gens, les pensées fugaces se croisent, chambre des nobles qui se convertira un jour en chambre des lices ou du bénéfice, geste de la main, retour ne veut pas dire amertume, ces sentiments la, elle les conservent en son for.

Victuailles et bières sont de sortie, faire ripaille sera de mise, les baguenauds sauront bien attendre, c'est en s'installant dans la taverne de toutes les trames, adossée au mur comme a son habitude, que le soupir s'ensuit, avec lui tensions et peines s'envolent.


Bon sang , cela fait du bien, dites ? vous avez pas une cloche un cor de chasse? pour rameuter les gens?

Peut être le crieur alors pourrait mentir sans vergogne, avisant bière gratuite a la municipale, mais le maire...
.Arthur! vous savez qu'a Nevers ils sont pas content , mais alors pas content du tout et ils n'osent même plus manger de poissons!

Et elle se garde, de dire qu'ils ont été narrer l'histoire du maire qui se rend chaque matin sur le port, que chaque habitants de Nevers les yeux écarquillés ont pu entendre.
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Elienore
Il y a des habitudes qui se prennent facilement et le passage quotidien aux "Ailes dans le vent" faisait partie de celles-là.
Pour commencer chacun en ce bas monde connaissait la réputations des moulinois tous plus ou moins picoleurs à des degrés différents. Cela allait du un peu en passant par beaucoup, passionnément, à la folie et aucun par le pas du tout. Elienore se situait à la place respectueuse entre le un peu et le beaucoup faisant parfois une petite pointe jusqu'au passionnément. La folie étant réservée aux grandes occasions ou due à une distraction passagère. Ensuite la taverne était le meilleur endroit pour avoir tous les potins de France et de Navarre. Autre bonne raison de s'y rendre régulièrement. C'est donc la conscience parfaitement tranquille, se persuadant même que cela aurait été un pêché de ne pas s'y rendre, que la future mère poussa la porte.
Depuis quelques temps une jeune fille se faisant appeler Larouquine remplaçait agréablement Méli derrière le comptoir. Sa fillote étant certainement très occupée à compter fleurette avec le gentil Hobbf.
Elienore ne fut donc pas étonnée par une tignasse rousse, mais surprise d'en voir deux. Clignements des yeux. Mazette!!! Elle avait encore rien bu et voyait déjà double. Regard qui se pose à nouveau et se concentre...une rousse...deux rousses...son cœur qui fait un bon. Sofio saine et sauve, en chair et en os.


Alors la Reine Fauve, de retour!
Il n'y avait plus de moulinois à zigouiller en Bourgogne?


Elle la joue à la rigolade mais elle est heureuse et soulagée de la revoir si vite et vivante.
Elle s'approche, le ventre énorme en avant et s'installe à la table en compagnie des deux rouquines.


Je t'embrasse pas, tu vas encore mettre un temps fou à t'essuyer la joue mais le cœur y est.

Saluant la tavernière à son tour.

Bonjour Larouquine.
Il semble délicieux ce saucisson.
Vous avez pas un morceau de nougat pour l'accompagner?


Regard à gauche et à droite avant d'interroger son amie.

Tu as fais quoi de l'Epoux?
Il est resté à Autun soigner Ninon? Compter les morceaux?

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benjichou, incarné par Benjichou
Bien le Bonjour mes dames!

Voici du monde depuis quelques jours...Tant mieux, çà met de l'ambiance dans notre belle taverne!


Miaaaouuu??? hummm... c'est quoi çà? Un renard?un furet? ou bien une oie peut-être...
Assit à une table dans un coin de la taverne, benjichou vit s'approcher une grosse boule de poussière avec une queue qui passait le balais partout où la chose passait.
Argh! Encore un rat! Mais c'est qu'il est énorme celui-là! Ma dame la rouquine comment se fait-il qu'un rat haut jusqu'à mes genoux se promène dans la taverne?laissez-vous les meules à même le sol?

après s'être calmé de cette stupeur, il alla essayer de déchiffrer à son tour la missive accrochée au mur.Missive qui,bien que pas très grande était parfaitement bien placée pour que tout le monde la voit.
bla, bla, bla...Ninon... Il s'arrêta un instant pour réfléchir.Tiens je l'ai déjà croisé celle là... Puis se remit à sa lecture. Bla, bla, bla...moulinois...sang...guerre...Royaume... après une bonne dizaine de minute il eut enfin finit de lire mais n'avait pas tout comprit.
Une question qu'il se posait restait sans réponse... Pourquoi faire partir des moulinois dans un endroit lointain pour qu'ils se fassent tuer? Il se dit que finalement il avait de la chance de n'être qu'un pauvre paysan...

Ma dame la rouquine pouvez-vous me donner une boisson ni trop forte,ni trop amère et qui se boit bien je vous prie?
Larouquine
Pas de toi en salle...Du moins pas avant de t'avoir baquetté !
C'est sans ménagement que La Rouquine attrape son greffier, de le remettre en arrière salle, puis de revenir afin de répondre aux saluts des nouveaux venus.

Bien le bonjour, Dame...Je vous sers de suite...Euh...Du nougat ?
La Rouquine connaissait l'odeur et le goût de cette chose, d'où elle venait, ils l'appelaient aussi nugo.
Mais ici, elle n'en avait encore jamais vu au marché...
Ho fallait pas grand chose pour en faire, et les ingrédients principaux, comme les amandes et le miel, elle pouvait en trouver, mais manger celui-ci avec de la cochonnaille ? Elle hôche légèrement les épaules, il est vrai que les Grands du Royaume faisaient ripailles de mets plus délicats qu'en taverne.
Il lui faudra y réfléchir.
Et de répondre :
Nénni, ma grande dame, point de nougat dans mes cuisines, mais je vais vous apporter un pot de miel et des pommes bien juteuses qui adouciront le goût du saucisson.
Il est vrai que ma cochonaille est bien salé pour la conservation, je le reconnais.

Puis répondant au bonjour de l'inconnu entrant :
N'ayez point peur de l'animal, sieur...Euh...Elle n'avait point compris son nom et continue...C'est mon greffier, enfin, un chat...je vous l' accorde, il est de pelage bizarre, un roux tirant sur le rouge vif...Je pense qu'il a dû trainer en chambre de graveurs et s'y coucher dans le pigment...
Je vous apporte une bonne cervoise, bien frappée, la mousse apporte délicatesse et l'amertume en est moins forte...

Et de penser qu'elle mettrait bien un peu de miel dans la bière, pourquoi pas...Et de repartir en arrière salle, compléter les ripailles déjà sur table et de revenir en servant chacun, commençant par la Dame....

C'est qu'elle ne voudrait pas louper les nouvelles histoires de la Dame Sofio, la jeune Rouquine...

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