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[RP] Taverne :Les Ailes dans le Vent

Benjichou
Citation:
Vous l'avez rencontré en tant que tribun, c'est cela ?

Oui en effet je l'ai connu pour la première fois lorsqu'elle était tribun de ce village. Elle fut ma tutrice à mon arrivée mais après quelques temps disons qu'elle ne m’appréciait plus. Mais ce serait trop long à vous expliquer... Oh, ne vous en faites pas mon cher elle n'y est pour rien!
Benjichou lui sourit.
Citation:
Mais je n'ai pas encore la chance d'être son fiancé.

En y repensant, c’était logique qu'ils ne le soient pas encore... mais qui sait l'amour peut faire des miracles...
Ah mon cher je suis certain que votre union avec ma dame Mélissandre ne sera sans tarder! Mais ne précipitons pas les choses, cela arrivera au moment opportun.
Il pensait que cet homme irait bien avec ma dame Mélissandre...
Il se voyait déjà être présent à leurs fiançailles...mais pas sûr que ma dame Mélissandre l'accepterait...
Bon, finit les rêves et retournons à la réalité. Pour l'heure, il se trouvait à discuter avec deux hommes très aimables qu'il ne connaissait pas auparavant et cela le rendait heureux.Oui, il lui en fallait peu...
Larouquine
En arrière cour...
La rouquine avait bien entendu la question du seigneur tribun Jason de Vissac...

Citation:
Heu Larouquine as-tu besoin d'un coup de main, tu sembles embêté avec ton cochon . Veux-tu que je t'envoie Cosette pour t'aider à faire les basses besogne, c'est l'aide de ma cuisinière, mais en ce moment au château elle n'est pas débordée.

Ce n'était pas tombé dans l'oreille d'une sourde, mais pour le moment, elle s'active sur ce fichu tourne-broche qui semble bien enrayé et dont la manivelle semble ne plus vouloir tourner.
Ho Han...Par tous les Saints, vas tu te décoincer ?
En insistant fortement, elle y arrive, le greffier en poste d'observation.
Bon moindre mal, la peau du rôt en sera plus craquante...Ce sera pour les bonnes dents...Toi...Oui Toâ...Tu ne touches à rien...
Le greffier regarde la scène d'un peu plus loin, assis sur son train, les yeux rivés sur les braises...Le feu, c'est pour l'hiver et il n'a pas trop envie de finir comme ce pauvre cochonnet piqué de part en part...

En arrière salle...
La rouquine, tout en préparant un plateau de salaisons pour les hommes en discutailles réfléchit...Pas une mauvaise idée de faire venir cette dame Cosette du château du baron...Un pt'it coup de main serait la bienvenue...
Elle regarde autour d'elle...En plus, en cette arrière salle se dit elle, il lui faudrait faire quelques changements, déplacer le billot...Mettre des étagères en autre lieu...

Et cette armoire monstrueuse...Pffftttt....Elle serait mieux sur autre mur, cela prendrait moins de place...

En salle...
Et c'est avec sourire aux lèvres de ses futurs projets qu'elle s'approche de la table en posant la plateau de bois bien garni...

Baron Tribun...Pourquoi pas ? Votre Cosette serait une très bonne aide pour la taverne Municipale, je serai ravie de travailler avec elle...Surtout qu'elle doit s'y connaitre mieux que moi...Donc dites lui de passer en ces moments de liberté...Par contre, je n'ai pas de salaire à lui proposer, un bon repas...
La Rouquine regarde le seigneur de Vissac en plissant des yeux, elle espère ne pas s'avancer vis à vis de la bourgmestre Mélisandre...Elle hausse légèrement les épaules...Bah, après tout, c'est le Baron qui propose et le Baron, il est aussi notre dévoué Tribun...
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Jason_de_vissac.
Il sourit et regarda le plateau chargé de bonnes cochonnailles auvergnates..
Rien de tel pour se remplir la panse accompagné d'une bonne choppe de bière


C'est sans soucis que Cosette viendra te donner un coup de main Miss Larouquine. Je l'envoie chercher dès maintenant par mon valet. Elle est jeunette mais à de bonnes manières. Et ne t'occupe point du salaire elle est déjà payée par mes soins, un repas fera l'affaire. Il lui tendit la main pour conclure l'affaire
Affaire conclue alors?
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Hobbf
Hobbf écouta Jason et Larouquine discuter de la taverne, la tavernière semblait avoir besoin d'aide pour les jours où il y avait du monde.
Il jeta un oeil autour de lui, on sentait déjà la patte de Larouquine s'imprimer dans la taverne.


Vous faites un travail formidable, ici, dame tavernière. Et si vous avez besoin d'un coup de main, pour quelque chose que ce soit, mais surtout pour un travail exigeant un peu plus de force, je serais ravi de vous aider. Gratuitement, évidemment, quoi qu'une petite chope en retour ne sera pas de refus.

Il lui sourit, l'idée de boire ne lui déplaisant jamais.
Il prit quelques cochonnailles, regardant la peau du cochon. Bien grillé, comme il aimait. Il mordit à pleine dents dans la nourriture, savourant le goût du bon cochon. Il se demanda quelques secondes si ça avait été l'un des siens, puis enfourna le reste. Il fit passer cela par une rasade de cervoise.


Jason, ça va le poste de tribun ? Pas trop de boulot ?
Jason_de_vissac.
Un morceau de viande à la main il se retourna ver Hobbf

Mon poste ça va, j'ai encore perdu une personne qui se cloîtrait chez elle et là une autre risque de décéder pas tard malgré mes visites journalières en sa chaumière. Mais nous avons un arrivant cet après_midi, Carlos j'espère qu'il restera c'est un savoyard habitant de Bourg qui lui a conseillé notre village. J'espère qu'il se plaira chez nous et viendra partager un verre en taverne et discuter un peu
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Larouquine
En arrière salle...
Il est des "demains" qui se font attendre...
Demain, je ferai ceci, demain, ce sera cela. Et lorsque Demain est présent, il s'efface pour faire place à "l'aujourd'hui" et cela devient un peu compliqué, car "Demain" n'est plus et les projets ne sont plus les mêmes...Encore plus ici bas...

Pffftttt, que c'est compliqué !
La rouquine est en pleine réflexion, tout en découpant le cochonnet qu'elle va présenter avec raves et choux en plat principal à la Taverne Municipale.
Quelques bouts s'en vont directement dans l'écuelle de son greffier.

Hein, qu'en penses tu toi ? Tu t'en fiches, pourvu que pitance garnit ton écuelle, le reste est sans importance ! Et pourtant, pourtant...
La rouquine hausse légèrement les épaules. Demain sera grand jour, puisqu'elle pourra enfin labourer son champ, enfin, elle espère que cela sera fait demain et que l'aujourd'hui ne viendra pas de nouveau enrayer un aussi beau projet.

En salle...
C'est munie de pichets de cervoise qu'elle entre en cette salle et dispose devant les clients présents, cette boisson qu'elle améliore à présent avec un peu de miel, cela enlève l'amertume et cela grâce au sieur Benjichou, sans lui, elle en aurait pas eu l'idée.

Citation:
...Et si vous avez besoin d'un coup de main, pour quelque chose que ce soit, mais surtout pour un travail exigeant un peu plus de force, je serais ravi de vous aider. Gratuitement, évidemment, quoi qu'une petite chope en retour ne sera pas de refus.

Le gent Hobbf la fait sortir de ses réflexions sans fin...
Ho, merci bien, sieur Hobbf. Lorsque la demoiselle Cosette sera en ces lieux...Pourquoi pas...J'ai une grosse lingère en bois de chêne qui dérange le passage sur la cour...Je suis persuadée qu'elle sera mieux placée en mur de face. Mais j'ai bien peur que le bois ne tiendra pas...Elle a dû être montée en même temps que l'auberge, certainement...On verra bien.
Elle lui sourit.
Même avec Cosette, je pense que nous serons pas assez pour se faire, je prends toutes bonnes dispositions...Contre un bon repas.
Comme avec le Baron Tribun, Jason de Vissac, pour Cosette, elle signifie l'accord par un claquement de la paume de leurs mains...On appelle ça, dans certains endroits "faire la patche".
Elle en souriait quand elle voyait les vieux le faire pour toutes affaires conclues. "Faire la patche", je te donne ça contre ça...


Et de s'en retourner en arrière salle voir si son greffier n'abuserait pas en prenant de la hauteur sur le billot...Toujours avoir l'oeil sur ce compagnon, qui décidemment, remplissait bien sa petite vie...Comme les Moulinois qui entrent en cette Taverne Municipale. Elle en sourit et remercie encore et encore la bourgmestre Mélisandre de lui avoir donné cette place...
gRRRRRR ! Greffier ! descends de là de suite ! Ho Bougre ! Vilain de ton espèce ! ZOU du BALAAAAAIIIIIII en bois!!!!
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Cosette

Une petite souillon arriva, elle portait un bonnet et tablier blanc. Elle sautait d'un pied sur l'autre dans ses sabots de bois. Elle triturait son tablier et s'avança vers la tavernière avec timidité, les joues rouges


Bonjour madame Larouquine, mon Maître le Baron de Vissac m'envoie pour vous donner un coup de main. Il m'a dit de faire tout ce que vous me demanderiez sans rechigner, et Dame Gertrude la gouvernante m'a dit qu'elle me chaufferait les oreilles si vous n'étiez pas satisfaite de moi
Larouquine
--Cosette a écrit:

Bonjour madame Larouquine, mon Maître le Baron de Vissac m'envoie pour vous donner un coup de main. Il m'a dit de faire tout ce que vous me demanderiez sans rechigner, et Dame Gertrude la gouvernante m'a dit qu'elle me chaufferait les oreilles si vous n'étiez pas satisfaite de moi

La rouquine plisse les yeux...Elle est perplexe...Mais se reprend bien vite, il est vrai que depuis qu'elle tient la taverne Municipale, elle a pris plus d'assurance, elle est présente, mais de là...
"Madame La Rouquine ! "A voix haute, la jeune rousse répète les mots de la jeune fille qui ne doit guère être plus agée qu'elle...
"Madame La Rouquine ! " Elle se range les cheveux d'un mouvement de tête et n'en tenant plus, éclate de rire.
Puis, voyant certainement, que cela n'est pas de très bon aloi, elle se reprend et se présente à la jeune Cosette.

Bonjour, on me nomme La Rouquine, je ne dois guère être plus agée que toi, si ?
Elle scrute la gaminotte...Puis tout en haussant les épaules, elle ajoute...
Point de Madame La Rouquine avec moi, cela est un premier point. Donc, tu te nommes Cosette ? Ravie de te rencontrer, Cosette...
Et de repartir dans ses pensées, une Cosette, ça cause ou pas ?
Quoiqu'il en soit, voilà aide bienvenue....

Et de virevolter en faisant signe à la Cosette de la suivre...
Donc voilà la salle principale de la Taverne Municipale, les tables doivent toujours être bien rangées et débarrassées lorsque le client part...Suis moi, ici, c'est l'arrière salle, là où on prépare les victuailles et par cette porte, la cour, où j'ai fait installé le tourne broche, c'est plus aisé pour faire cuire les grosses pièces...Bref, revenons en arrière salle, comme tu peux le voir, c'est assez étroit, à cause surtout de cette grosse armoire...J'ai des bleus pleins les hanches...J'ai dans l'idée de la mettre de ce côté ci...Qu'en penses tu ?
Va t'elle causer la Cosette ?
Mais je t'ennuies peut-être avec mes bavardages ? Tu arrives à me suivre avec tes sabots ?

En salle...
La petite Cosette martelle le sol en la suivant, c'est comme une incitation à la danse...

Tu connais la bourrée ?
On pourrait organiser une soirée de bourrée en cette taverne ? Qu'en penses tu ?

La rouquine est déjà en ses propres pensées.
MiAAAAOUuuu...
Ho, serpolipopette, je l'ai oublié celui là...Voilà Le Greffier...C'est son nom, le chat de la place...Toujours avoir l'oeil sur lui, Cosette...Toujours.

Et de regarder la Cosette.
T'as pas peur des chats au moins ?
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Cosette


Elle suivait La Rouquine partout et écoutait ce qu'elle avait à dire avec de grands yeux émerveillés . Elle ne lui criait pas dessus comme Miss_casserole au château. Arrivées toutes les deux dans l'arrière salle

Il est vrai dame que la pièce est très étroite et que vous avez du mal à passer sans vous cogner partout. Il faudrait un homme fort pour déplacer les meubles ou un maçon pour agrandir la pièce. Z'avez qu'a demander au Baron il dit qu'il veut aider les gens

Les oreilles toutes grandes ouvertes elle écoutait les recommandations,ses sabots claudiquant sur le sol en tomettes.

Oui je débarrasserais les tables dès que les clients partent et je vais faire la vaisselle aussi et je fais attention au chat. J'aime beaucoup les chats. Quezaco une soirée bourrée? Dites m'dame c'et'y où que j'vas dormir?
Larouquine
La Rouquine enfant, le vieux Adrien, paix à son âme, clamait haut et fort et à tout moment de journée de labeur, qu'il y avait un temps pour tout...
Cette petite phrase prenait tout ampleur et divers virages dans la cervelle en construction de la jeune Rouquine...
Un temps pour tout ?
En prenant de l'âge, la jeune fille en prenait conscience, et elle s'était vite aperçue que la notion du temps prenait diverses formes et encore plus ici bas.
Chacun y allait de sa sauce aigrelette ou plus digeste, en y ajoutant miel ou autre douceur. Elle se souvenait de cette harpie, la maîtresse en séant, la ferme où elle était logée. Celle ci avait décrété qu'une journée était ainsi faite et imposait à tous sa vision du temps , à telle heure on se lève, à telle heure on mange, à telle heure on se couche, car elle avait la certitude que cette chose, le temps, était chose immuable en ce Royaume...
La rouquine sourit...La raison de ses pensées, des propos, qu'on lui avait amenés de la Grand Ville, concernant des doléances gérées tels sabliers monstrueux...
Mais quel taon les avait bien piqué pour ainsi se faire ?
Et d'en sourire, imaginant tout un conseil ducal dansant la bourrée aux mesures infernales, la bourrée à mille temps...
Et se demander : Combien de temps vont ils tous ensemble, tenir ce rythme ?

La rouquine hausse les épaules et reporte son attention sur la petite Cosette...

Danse bourrée...Où dormir ?...M'dame... Elle sourit...
M'enfin Cosette, on ne saoûle pas les gens en cette taverne...Enfin pas plus que de raison...Et je t'ai dit de m'appeler La Rouquine...Pas Madame...
La danse de la Bourrée...Tu n'es pas Auvergnate ? Quand à ton autre question...

La rouquine fait encore signe à Cosette de la suivre.
Elles prennent l'escalier de bois au fond de la salle...

T'as pas tout vu, en haut, il y a 3 chambres...Peu utilisées, je l'avoue, j'ai bien fait passer message jusqu'au château, avec l'aménagement du port...Mais bon, personne n'est venu, je me demande encore où ils dorment ...Bref, la plus petite est pour toi.
Et de lui montrer une pièce pour elle toute seule, tout en souriant.
Moi, je déroule paillasse en bas, en arrière cuisine, ça me va...J'ai le sommeil léger...Bon, va falloir que je t'explique la bourrée, si j'ai bien compris...
Mais avant, allons en cuisine, l'épluchage nous attend et il nous faut vider la grosse lingère, la déplacer et de faire venir les hommes, costaud comme le baron, pour se faire.


Et de penser de suite...Et le Greffier aussi, toujours l'avoir à l'oeil, celui là, toujours....Et de reporter ses inquiétudes sur la demoiselle aux sabots dansants.
Tu vas te plaire ici ?
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Hobbf
Hobbf buvait sa chope, écoutant la tavernière lui expliquer d'où elle pourrait avoir besoin de ses bras.

Ho, merci bien, sieur Hobbf. Lorsque la demoiselle Cosette sera en ces lieux...Pourquoi pas...J'ai une grosse lingère en bois de chêne qui dérange le passage sur la cour...Je suis persuadée qu'elle sera mieux placée en mur de face. Mais j'ai bien peur que le bois ne tiendra pas...Elle a dû être montée en même temps que l'auberge, certainement...On verra bien.

Une lingère en chêne ! Eh bien, voilà chose qu'il n'avait jamais vu. En chêne, voilà qui devrait être bien solide tout de même.

Pas de problème, dites moi quand vous voudrez que je la bouge.

Il regarda l'arrivée d'une jeune demoiselle, qui, vu son habillement, devait être la jeune Cosette, souillon de ce brave Jason le Baron. Il sourit de sa petite rime
Cosette


Elle suivit la tavernière à l'étage et observa la chambre que La Rouquine lui avait attribué. C'était la première fois qu'elle avait une chambre pour elle seule. Elle se préoccupait peu de la taille, elle qui avait l'habitude de partager une paillasse avec ses 3 soeurs. Un vrai lit avec un coffre pour ranger ses effets. Elle déposa dessus son maigre baluchon.
Citation:

La danse de la Bourrée...Tu n'es pas Auvergnate ?

Ben si mais j'avions point l'droit d'aller au village quand yavait la fête, alors je n'ai pas vue danser la bourrée. Il fallait travailler tous les jours que n'te Bon Dieu y fait. Merci pour t'te v'te bonté. J'vous décevrais pas vous pouvez en être sûre.

Elle embrassait les mains de la tavernière de gratitude. C'est pas qu'elle était mal traitée au château du Baron, mais la cuisinière était revêche et avait la main leste si elle avait le malheur de ne pas aller assez vite. Ici rien ne serait pareil elle en été sûre

Oui La Rouquine nous avons du travail allons y.Par quoi dois-je commencer?
Oui je suis certaine que je vais me plaire ici. Vous ne paraissez pas vouloir me battre comme Miss_Casserole chez le Baron
Larouquine
Y'a des jours avec et des jours, sans...
La Rouquine s'inquiétait de savoir ce qui allait avec et si elle vivrait bien sans.
Elle s'en inquiétait, repensant à son enfance heureuse et son adolescence sur les routes...Etait celà ? Vivre sans ou avec ?
Dans la grand ville, les doléances envers la première dame du Bourbon Auvergne amenaient murmures en bas peuple. La Rouquine en haussait les épaules, a quoi bon vouloir se mesurer aux gents nobles, en général, ces derniers sont inaccessibles, à quelques exceptions près, comme la grande dame Sofio, la Dame Eliéonore, notre dévoué Baron Tribun et autre qui passe encelieu, sans qu'elle sache qu'ils portent titres.
Mais en général, la noblesse ne se mélange pas au bas peuple, elle fait semblant de s'y interresser tout au plus, car le peuple est soumis au travaux divers et les travaux, c'est cela qui amènent fortunes au Duché...Mais de là, en être reconnaissants, le paraître suffit amplement...Du moins, est ce là, pensées qui germent dans l'esprit des gens du bas, levant les yeux vers le Haut.
Mais la germination aboutie, est histoire non encore écrite et que Dame patience trouvera sous terre, moultes âmes populaires chargées de murmures, avant que changement ne se fasse. Et celà, est déjà autre Histoire...

En arrière salle.
La Rouquine hausse légèrement les épaules et tout en plissant les yeux, scrute la jeune Cosette. Cette dernière, parait courageuse, mais tout comme son chat, elle a l'impression qu'il lui faudra en observer le travail.
Elle sourit devant tant de gratitudes, lui baiser les mains ? Est ce signe du destin ? Elle se reprend et attaque un fût et en remplit des pichets, sans en oublier la cuillérée de miel.

Te battre, La Cosette ? Mais que neni, ne sois pas inquiète...J'ai besoin d'une aide, icelieu, ça c'est sur, mais surtout de quelqu'un qui prendra initiative si je dois m'absenter...Donc tu dois apprendre La Cosette...Tu as compris ? Et si non, tu me demandes...
Voilà affaire dans le sac.
Tiens fais comme moi, attrapes ces pichets et vas les mettre sur les tables des clients, en échange des vides que tu rinceras et égoutteras sur la paillasse.
Et de joindre le geste à la parole.

En salle.

Pas de problème, dites moi quand vous voudrez que je la bouge.
La rouquine sourit au sieur Hobbf.
Nous n'avons pas attaqué la grosse armoire en chêne, mais nous allons la vider avec Cosette et ensuite, je vous manderai...Un grand merci à vous, sieur Hobbf.
Un regard au Baron Tribun, elle sait qu'elle peut aussi compter sur lui.

Ho, il paraitrait que la dame aux chopes, Hulrika, est de retour en Moulins ?
C'est une excellente nouvelle, cela.

Et de jeter un oeil sur La Cosette.
Et de jeter un oeil sur son chat, enfin essayer de le faire...

Cosette, tu n'as pas vu Le Greffier ? Depuis notre montée en chambres, je ne l'ai pas revu ?
Tu n'as pas fermé porte sur lui ?

Et de s'en inquiéter, un chat enfermé, c'est jamais bon, surtout celui là...
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Cosette

Elle prit les choppes que lui tendait la tavernière et les posa sur les tables devant les clients sans les regarder en baissant les yeux. Parmi eux se trouvait son maître le Baron elle lui fit une révérence. En déposant les choppes sur la table elle fit attention de n'en faire couler aucune gouttes, elle ne voulait pas faire honte à son maître.
Les choppes pleines servies elle ramassa toutes les vides et alla derrière le comptoir les laver dans la bassine de zinc et les posa bien à l'envers sur la paillasse pour qu'elles s’égouttent. Une fois qu'elle eut finit elle attrapa un torchon et se mit à faire les poussières sur les étagères, elle travaillait avec ardeur, elle se sentait en confiance et ne voulait pas décevoir la tavernière.


Citation:
Cosette, tu n'as pas vu Le Greffier ? Depuis notre montée en chambres, je ne l'ai pas revu ?
Tu n'as pas fermé porte sur lui ?


Elle s'arrêta son chiffon en l'air, et réfléchit.

Non la Rouquine j'suis sûre qu'il est point resté enfermé il descendait avec nous même qu'il a faillit me faire tomber dans les....


PATATRACCCCCCCCCCCC!!!!!!!!

Un fracas la fit s'arrêter net de parler et se précipiter dans la cuisine en arrière salle. Elle trouva le chat au milieu des morceaux du pot de miel que la tavernière avait laissé sur la table Miaooouuu, pffffff, pfffff Le dos hérissé et toutes griffes dehors le chats était prêt à lui sauter dessus. Il avait eut peur et voulait se défendre. Il avait du profiter que personne ne le surveillait pour sauter sur la table et avait tenté de mettre son nez dans le pot de miel qui trônait sur la table, et il avait été déséquilibré par son poids et avait été entraîné sur le sol en tomettes d'où le fracas.

Il est là dans la cuisine, il a essayé de chapardé le miel et l'vla punit.
Maya_bzzz
La taverne, elle y passait bien trop peu ces derniers temps , le boulot encore et toujours , bon faut dire que les beaux jours de ces derniers jours ne lui donnait pas envie non plus de s'enfermer .
Elle poussa la porte et entra dans la bâtisse, prit le premier tabouret libre , un regard vers les araignées locales qui avaient tissées leurs toile et s'étaient intallées là depuis..Fort longtemps.


Bonjour Larouquine ,m'sieur,dame ! une bière bien fraiche siouplé
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