William_Baique, incarné par Ocatherine
« Celui qui soutient sa folie par le meurtre, est un fanatique. »
de Voltaire
Il faisait nuit ce soir la, le ciel n'avait plus cette couleur merveilleuse du milieu de journée. Le cyan avait laissé place à la pénombre, oppressante et effrayante. La dans un village en ruine il restait une mansarde debout, ce genre de bâtisse en ruine. Un pan de mur était écroulé, les fenêtre explosée, dans tous le village il régnait un silence de mort. Comme si l' Ankou était passé sur sa charrette pour envoyer ses clients dans l' haut delà...
Lorsque l'on passait la porte, qui cela dit tombait en lambeaux de bois arrachés et abîmés On rentrait dans une pièce unique, sombre ou la végétation revenait. Sur les murs brisés des feuilles de lierres rampait à la manière de serpent pernicieux et malsain. Dans ce lieu délabré la nature reprenait doucement ses droits...on pouvait se dire que cet endroit était abandonné et pourtant...
Dans le fond de cette pièce on pouvait apercevoir une table, une simple table avec une chaise posée négligemment devant. Sur celle ci, ce soir la un homme y était assis, ses traits était tirés pourtant son visage était fin. Ses prunelles autrefois azurées ne reflétait plus que de la tristesse, accentuée par les profonde poches de replie de chair sous ses yeux. Le regard fixé sur un parchemin, une plume à la main il semblait écrire.
"Ma Lucie,
Je ne compte plus les jours qui me séparent de toi, la vie à perdu le goût sucré que ta présence lui donnait. Je ne trouve même plus l'envie de me réveiller le matin, le soir quand je me couche je m'ennuie de toi. Tes petites mains agiles pour me préparer des plats délicieux, je m'en languis...Ce la fait si longtemps mon ange, si longtemps que tu es partie. Je suis une vieil homme maintenant, je sent bien que je vais partir, te rejoindre enfin. Mais pas comme ça...je n'en ai pas le droit, IL n'en à pas le droit. Des années que je me bat contre la douleur cuisante de ta mort, peu à peu je me consume à petit feu. Tu n'es plus la pour réchauffer mon cur de glace, ma lumière c'est tarie, ma rose c'est flétrie. Ça n'aurait pas dut se passer ainsi, si tu savait comme je regrette ma douce, si tu savait combien le passé m'est insupportable, combien les nuits sont froides. Les souvenirs s'effrite avec le temps comme si javais perdu trop de temps...Le temps...il m'en manque pour te dire combien tu me manque, une vie sans toi n'est pas une vie. A la mort de ta mère j'ai voué ma vie pour toi et pourtant...Tu es partie avant moi, toi si jeune, si frêle...me pardonnera tu un jour d'avoir été l'instigateur de ton trépas? Oh ma fille, mon ange, ma lumière je doit te rejoindre...mais pas maintenant. Il doit payer de sa vie, il doit souffrir comme tu à souffert, tes cris...à jamais gravés dans ma mémoire...tout ça pour de l'or...pardonne moi ma tendre...je te rejoins bientôt. Mais maintenant...maintenant prépare toi le sombre, la main vengeresse viens pour TOI."
La dextre lâchait enfin la plume...l'homme venait de lancer ses derniers mots, il était décidé. Plus que jamais animé par cette folie meurtrière qu'est la vengeance. Il se leva avec difficulté, titubant sur place en toussant. Quelques gouttes vermeilles venant tacher la lettre au même moment. Oui la fleur de la vie se flétrissait pour ce pauvre homme meurtris. Il se dirigea vers son lit, la sous celui ci il récupéra sa hache. Non il n'irait pas de main morte, il était décidé à faire souffrir au centuple celui qui avait osé lui voler la saveur de sa vie. Une cape jetée négligemment sur un dos recourbé par l'age, les traits tirés en un sourire dément. Il s'approche de la porte, pas de bagage, rien , juste un destrier aussi vieux que lui qui attend dehors son dernier voyage. Le vengeur arrive, son objectif faire tomber une ombre pour la réduire à létat de poussière. La porte se refermait alors dans un bruit sec, il n'en fallut pas plus pour la faire sortir des gonds rouillés par les ages. Une torche jetée dans les débris et c'est tout un vestige de souvenir qui à pris feu..Un hennissement violent dans la nuit et notre paternel brisée s'en allait au plein milieu de la nuit. Vers ou nous direz vous? Vers la route sinueuse et violente de la vengeance...
de Voltaire
Il faisait nuit ce soir la, le ciel n'avait plus cette couleur merveilleuse du milieu de journée. Le cyan avait laissé place à la pénombre, oppressante et effrayante. La dans un village en ruine il restait une mansarde debout, ce genre de bâtisse en ruine. Un pan de mur était écroulé, les fenêtre explosée, dans tous le village il régnait un silence de mort. Comme si l' Ankou était passé sur sa charrette pour envoyer ses clients dans l' haut delà...
Lorsque l'on passait la porte, qui cela dit tombait en lambeaux de bois arrachés et abîmés On rentrait dans une pièce unique, sombre ou la végétation revenait. Sur les murs brisés des feuilles de lierres rampait à la manière de serpent pernicieux et malsain. Dans ce lieu délabré la nature reprenait doucement ses droits...on pouvait se dire que cet endroit était abandonné et pourtant...
Dans le fond de cette pièce on pouvait apercevoir une table, une simple table avec une chaise posée négligemment devant. Sur celle ci, ce soir la un homme y était assis, ses traits était tirés pourtant son visage était fin. Ses prunelles autrefois azurées ne reflétait plus que de la tristesse, accentuée par les profonde poches de replie de chair sous ses yeux. Le regard fixé sur un parchemin, une plume à la main il semblait écrire.
"Ma Lucie,
Je ne compte plus les jours qui me séparent de toi, la vie à perdu le goût sucré que ta présence lui donnait. Je ne trouve même plus l'envie de me réveiller le matin, le soir quand je me couche je m'ennuie de toi. Tes petites mains agiles pour me préparer des plats délicieux, je m'en languis...Ce la fait si longtemps mon ange, si longtemps que tu es partie. Je suis une vieil homme maintenant, je sent bien que je vais partir, te rejoindre enfin. Mais pas comme ça...je n'en ai pas le droit, IL n'en à pas le droit. Des années que je me bat contre la douleur cuisante de ta mort, peu à peu je me consume à petit feu. Tu n'es plus la pour réchauffer mon cur de glace, ma lumière c'est tarie, ma rose c'est flétrie. Ça n'aurait pas dut se passer ainsi, si tu savait comme je regrette ma douce, si tu savait combien le passé m'est insupportable, combien les nuits sont froides. Les souvenirs s'effrite avec le temps comme si javais perdu trop de temps...Le temps...il m'en manque pour te dire combien tu me manque, une vie sans toi n'est pas une vie. A la mort de ta mère j'ai voué ma vie pour toi et pourtant...Tu es partie avant moi, toi si jeune, si frêle...me pardonnera tu un jour d'avoir été l'instigateur de ton trépas? Oh ma fille, mon ange, ma lumière je doit te rejoindre...mais pas maintenant. Il doit payer de sa vie, il doit souffrir comme tu à souffert, tes cris...à jamais gravés dans ma mémoire...tout ça pour de l'or...pardonne moi ma tendre...je te rejoins bientôt. Mais maintenant...maintenant prépare toi le sombre, la main vengeresse viens pour TOI."
La dextre lâchait enfin la plume...l'homme venait de lancer ses derniers mots, il était décidé. Plus que jamais animé par cette folie meurtrière qu'est la vengeance. Il se leva avec difficulté, titubant sur place en toussant. Quelques gouttes vermeilles venant tacher la lettre au même moment. Oui la fleur de la vie se flétrissait pour ce pauvre homme meurtris. Il se dirigea vers son lit, la sous celui ci il récupéra sa hache. Non il n'irait pas de main morte, il était décidé à faire souffrir au centuple celui qui avait osé lui voler la saveur de sa vie. Une cape jetée négligemment sur un dos recourbé par l'age, les traits tirés en un sourire dément. Il s'approche de la porte, pas de bagage, rien , juste un destrier aussi vieux que lui qui attend dehors son dernier voyage. Le vengeur arrive, son objectif faire tomber une ombre pour la réduire à létat de poussière. La porte se refermait alors dans un bruit sec, il n'en fallut pas plus pour la faire sortir des gonds rouillés par les ages. Une torche jetée dans les débris et c'est tout un vestige de souvenir qui à pris feu..Un hennissement violent dans la nuit et notre paternel brisée s'en allait au plein milieu de la nuit. Vers ou nous direz vous? Vers la route sinueuse et violente de la vengeance...