Ewaele
Ewa toujours dans des abîmes grondants, habitée par quelques sombres esprits, balancés sur leurs ailes, tapait du pied. Elle était limpassible témoin de ce qui se passait sous ses yeux, elle essayait de patienter en attendant pour tout dire que le baptême soit accompli. Un courant dair énigmatique vient balayer sa mauvaise humeur
Puis, de tous les côtés de léglise, un murmure encore inaudible, vague, innommable, emplit l'espace, cétait les prémices du fracas dune vicomtesse tombant séant sur les pierres froides et humide du sol de léglise, son regard vert fureur se tournant vers elle Elle glissa, heurtant ses monts vertigineux, et projetant ses courbes, la dite dame plaqua rapidement de ses mains jupe et jupons.
Une voix intérieure parla à Ewa « Laisse ton corset en létat, laisse ta colère, ta fureur, tes regrets ou ton incompréhension Nécoute que ton cur et va aider la belle dame à se relever ! » En se dirigeant vers son amie ceux qui tendait loreille aurait pu entendre Ewa murmurer :
Parfois pour faire à ma guise,
Jadmire les femmes délassées leur chemise
Elles ont un épais chignon,
Que tour à tour frise et défrise,
L'aile du vent et de la brise,
De la nuque jusqu'aux talons,
Tout le reste est neige et cerise,
On admire leur vaillantise.
Le sein riche et le pied mignon,
L'il allumé de convoitise,
C'est dans le vin qu'on les baptise,
Vivent les cheveux drus et longs,
Pour avoir bonne marchandise.
Elle arriva devant une Marie-Alice un poil agacée qui lui dit : « mon amie, vends ta prose à la foire ».
Ewa respira à pleins poumons imaginant cette odeur familière, cette senteur de bois vert. Essayant de retrouver les sensations de sa jeunesse. Sous les frondaisons de cette belle forêt aux arbres souvent centenaires.
C'était plus fort quelle, regardant une dernière fois Marie sur son fessier, et lui dit ironiquement « Que fais tu là ? » Elle reprit dans sa tête ses pérégrinations, dans le même temps ses deux mains senfouissent dans les tissus de celle qui a chut et essaye tant bien que mal à laider à se remettre sur ses pieds, évitant toutefois a nouveau son regard.
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Puis, de tous les côtés de léglise, un murmure encore inaudible, vague, innommable, emplit l'espace, cétait les prémices du fracas dune vicomtesse tombant séant sur les pierres froides et humide du sol de léglise, son regard vert fureur se tournant vers elle Elle glissa, heurtant ses monts vertigineux, et projetant ses courbes, la dite dame plaqua rapidement de ses mains jupe et jupons.
Une voix intérieure parla à Ewa « Laisse ton corset en létat, laisse ta colère, ta fureur, tes regrets ou ton incompréhension Nécoute que ton cur et va aider la belle dame à se relever ! » En se dirigeant vers son amie ceux qui tendait loreille aurait pu entendre Ewa murmurer :
Parfois pour faire à ma guise,
Jadmire les femmes délassées leur chemise
Elles ont un épais chignon,
Que tour à tour frise et défrise,
L'aile du vent et de la brise,
De la nuque jusqu'aux talons,
Tout le reste est neige et cerise,
On admire leur vaillantise.
Le sein riche et le pied mignon,
L'il allumé de convoitise,
C'est dans le vin qu'on les baptise,
Vivent les cheveux drus et longs,
Pour avoir bonne marchandise.
Elle arriva devant une Marie-Alice un poil agacée qui lui dit : « mon amie, vends ta prose à la foire ».
Ewa respira à pleins poumons imaginant cette odeur familière, cette senteur de bois vert. Essayant de retrouver les sensations de sa jeunesse. Sous les frondaisons de cette belle forêt aux arbres souvent centenaires.
C'était plus fort quelle, regardant une dernière fois Marie sur son fessier, et lui dit ironiquement « Que fais tu là ? » Elle reprit dans sa tête ses pérégrinations, dans le même temps ses deux mains senfouissent dans les tissus de celle qui a chut et essaye tant bien que mal à laider à se remettre sur ses pieds, évitant toutefois a nouveau son regard.
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