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[RP] Eglise de Saint-Michel-des-Lions

Christophe_de_lirac
[quote="Christophe"] Chris était la sur la parvis de l'église qu'il connaissait très peu lui l'aventurier ,mais il prit son courage a 2 mains et franchis le pas de la porte en poussant cette lourde porte . il y vit de la clarté dans ce magnifique édifice et un silence de marbre . pas un bruit pas un chuchotement peu de monde en fait présent en ce dimanche matin jour du très haut . il se signa du signe de la croix et rentra dans une allée en esperant pas trop se faire remarquer . il écouta la messe dites par l'evêque sans dire un mot ,lui qui était si bavard d'habitude . mais la il était impressionner par le silence et l'écoute des paroissiens présent . c'etait pour lui que la deuxième fois qu'il ce rendait dans une église mais ,la il était venue lui aussi prié tellement il était heureux des retrouvailles avec son amour de toujours sa belle princesse Cindy. il vit qu'elle était la elle aussi en ce dimanche matin ,elle avait pas remarquer sa présence mais lui l'avait reconnu et ne la lacher pas des yeux comme un aimant qui l'attire vers sa beauté et son charme fou ...

Chris pria le très haut pour que leur amour dure et ne cesse jamais il l'aime très fort

puis il écouta la messe en silence et resta un long moment a admirer ces lieux qui porte tant de souvenir et de prière ...

a la fin de la messe il vint remercier l'évêque pour ce grand moment émouvant et lui promis de revenir plus souvent dans ces lieux saints
du seigneur tout puissant ...

Cindy aperçu ça présence lui fit un large sourire et paraissait autant heureuse que lui et fière de le voir enfin dans ces lieux et non a débattre encore de politique dont il lui avait promit de moins s'en mêler dorénavant .

la messe fini il franchi la porte il retrouva son amour la pris par le bras et fire un tour dans la ville en amoureux ..

avant de rentré chez eux ..
Arnaut_de_malemort
Qu'il est grand le mystère de la foi. Chacun, à son âge, interprète à sa façon les signes de Dieu. Certains disent qu'il est bon d'accompagner ses enfants à la messe, que cela les éduques à la relation au père, et que c'est un chemin inconscient pour entrer en communion avec ses frères. Toutefois, l'âge faisant sagesse, la volonté prend le pas sur l'instabilité de l'enfant, et les vérités de Dieu se révèlent ainsi le plus simplement du monde. Assis sur son banc, au premier rang cela va sans dire, le jeune maire, qui n'en demeurait pas moins un Malemort, un fils de haute noblesse, se questionnait à son tour sur le mystère de la foi.

De grande question, et des réponses si troubles. La noblesse avait sans doute ce luxe d'avoir le moyen d'éduquer ses enfants vite et bien. C'est ainsi que la plupart des vices jouvenceaux, retrouvés dans les classes dites inférieurs, 'ne s'identifiaient pas chez Arnaut. Il savait faire preuve de patience, et d'une extrême maturité dans la prière. C'était sans compter sur ses excès qu'il s'accordait de temps à autre, ces mêmes cris que seul sa mère pouvaient taire. La messe avait débuté. Il goûtait avec joie les chants, et les volutes des tons. Et bien qu'il aimait lui aussi pousser la chansonnette, il avait remarqué depuis quelque temps que l'accession aux notes aiguës se faisait plus ardu. Puis vînt l'homélie, seul instant à véritablement rassasier les attentes de notre garnement. Comme chaque dimanche, son coeur ne s'empêcha d'admirer la vertu des deux prophètes, Aristote et Christos, et comme chaque dimanche, il se promit à lui-même de suivre leurs voix.

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--Darklady

Cette journée paraissait sombre, sombre comme beaucoup d'autres avant..
Les journées lui paraissaient moroses, sombres, glauques, depuis qu'elle avais vu en face la mort de ses parents, l'un apres l'autre.
Son père avais succombé a une grave maladie, et sa mère n'avais pas pu supporter cela tres longtemps.
A ce point que, une semaine apres la mort de son père, sa mère se tua, ne laissant a leur fille unique, une maison en ruine.

Darklady, tel etais le nom qu'elle se donnais.
Elle etais partie de cette maison, allant de ville en ville, sans vraiment savoir ce qu'elle y cherchais

Elle s'etais quelques ami(e)s de ville en ville, mais la malchance la poursuivait encore et encore...
Ils mourèrent les uns après les autres.
Elle se retrouvais seule a nouveau.
Arrivant ce jour là à Limoges, elle se dit qu'elle y trouverai peut etre un petit quelque chose qui la ferai survivre, puis elle vit de loin une immense eglise.

Elle s'y dirigea puis y rentra.
C'etais a vrai dire, la premiere fois qu'elle rentrai dans une eglise.
Il n'y en avais pas dans sa ville de naissance.
Quelques personnes y etaient en train de prier, elle s'avanca près d'un banc, puis fit de même.

Dans sa prière, elle se demandais pourquoi autant le malheur s'accrochais a elle, la mort ne la quittais plus...Pourquoi cela? Peut etre aurait elle une reponse un jour...
En esperant que la roue tournerai enfin, un jour...
Benoite
Benoite était timide, mais la messe lui avait plue. D'ailleurs elle en avait déjà vu quand elle gardait les cochons chez les soeurs. Elle s'avancea vers le curée.

Bonjour mon père. Bien que j'ai peché, enfin je crois que c'etait çà ^^ et bien j'aimerai me faire baptiser maintenant.
Taylore.
Elle passe le porche, pousse la lourde porte de bois, et entre dans l'église, sombre et silencieuse. Elle cherchait un abri pour ses émotions, ses sentiments, un endroit où réfléchir tranquillement sans risquer d'être interrompue. Elle aurait pu, comme à son habitude, partir faire le tour de la ville d'un pas rapide, réfléchir au rythme de la marche, mais aujourd'hui, non, elle avait besoin de se poser, pour faire le point, et elle n'avait trouvé que ce lieu là.

La dernière fois qu'elle était entrée dans l'église, c'était pour s 'associer à la peine de sa famille,
allumer une bougie, confier à la flamme sa tristesse, son désarroi de n 'être pas avec eux, croire désespérément à la force de la pensée, à défaut de prières. Comme elle aimerait posséder encore ce précieux recours, pouvoir venir ici, déposer joies et chagrins, confier à Quelqu'un les pensées trop fortes, trop intimes pour être dites. Avec un soupçon d'amertume, elle cache ses yeux dans ses mains.

Une chanson prend le relais de ses pensées troublées, la force des paroles rebelles couvrant la nostalgie du refuge perdu: « je ne veux pas de ces dieux tristes qui ont embués mon enfance, je ne veux plus de ces martyrs qui font gémir les cathédrales, je ne veux pas de ces dieux là... je ne veux pas de ces dieux là... »

Soudain, la sortant de sa rêverie, la sensation d' une présence, à quelques mètres d'elle. Pourtant il n'y avait personne avant, et elle n'a entendu personne arriver, elle se croyait seule ! Trop absorbée sans doute...
Elle risque un regard vers la silhouette assise très droite dans la pénombre, digne, recueillie.

Puis... l'impression que quelqu'un pénètre au coeur de ses pensées, lit en elle les mots qu'elle prononce intérieurement, lui répond, quelqu'un qui la comprend intimement et qui lui souffle à l'oreille la suite oubliée de la chanson: « Je veux le feu, je veux le vent, je veux le retour du printemps, une source, la mer qui gronde, je veux des forêts et des champs, c'est de ces dieux là que je veux... »

Elle se redresse, relève la tête, « Je veux le coeur, je veux les yeux, je veux l'amour d'une femme, je veux les mains de mes amis, je veux les rires des enfants, c'est de ces dieux là que je veux...», échange de regards, intenses.
Surprise, incrédule, elle ferme à nouveau brièvement les yeux, respire profondément pour prendre la mesure de l' émotion ressentie. Quand elle les rouvre, quelques secondes plus tard, l'église est à nouveau déserte.
- J'ai dû rêver, de telles histoires n'arrivent que dans les contes, pense t' elle. Déboussolée, elle reste encore quelques minutes, prend le temps d'allumer une bougie, et se surprend à murmurer, malgré elle, l'amorce d'une prière: l'espoir de ne faire souffrir personne en laissant vivre ses sentiments.

Elle sort, aveuglée par le soleil. Elle a juste le temps de voir, là-bas, quittant la place et se dirigeant vers la ville, la silhouette bienveillante, trop rapidement aperçue dans l'église.
Chrie6768
Chrie arriva discrètement dans l'église.
ça faisais un bon moment qu'elle voulais y revenir, mais cette fois ci,
elle avais fais tout son possible pour pouvoir venir à la messe.

Elle s'assis doucement sur un banc,a l'arrière de l'église, et ecouta l'évèque puis pria dans sa tête.

Repensant a ces derniers jours passés, ses ami(e)s perdu(e)s ...
La nostalgie la rattrapais une fois de plus.
C'etais inévitable... Du mauvais pour avoir du bon, c'es fort possible.
Il fallais sûrement passer par là, d'abord ..

Fermant les yeux, quelques larmes coulèrent sur ses joues, la nostalgie refaisant surface...
Puis elle entendis que la messe etait fini, tout le monde sortais.
Elle sécha ses larmes, discrètement, et continua de prier , les yeux fermés,
pour qu'on ne voit pas ses yeux rougis par les larmes,
en attendant que les personnes soient sorties, puis sorti à son tour.

Une fois dehors, elle fut éblouie par le soleil.
Elle soupira, et se promena dans la ville, marchant doucement...
Bubu.la.rouquine
Capuche remontée, cape enroulée autour d'elle, Bubu marchait d'un pas rapide vers l'église.
Elle ne voulait pas être vue, elle ne voulait pas que les passants voient les larmes qui coulaient le long de son visage.
Son coeur était lourd, sec et malgré tout cela il battait à la chamade.
Qui a fait cela? se demanda-t-elle en prenant l'allée principale qui donnait sur l'église.

Cela faisait trois jours qu'elle avait franchi les portes de la ville de Limoges, bien décidée à repartir de suite vers les Flandres.
La situation avait changé...
Elle ne pouvait plus s'y rendre, car plus rien ne l'attendait là-bas.

Le seul espoir de savoir pourquoi son époux Morgann était parti depuis bien cinq mois loin d'elle sans rien lui dire et surtout pourquoi il s'était enrôlé dans une croisade qui lui avait coûté la vie s'était envolé.
Tournai était la ville où le corps de l'homme qui lui avait tout appris, qui l'avait toujours soutenue et guidé était enterré.
L'homme qui aurait pu lui fournir des réponses à ses questions, le compagnon d'arme de Morgann avait été lâchement assassiné dans une étroite ruelle de cette ville.

Le matin même, elle avait appris la nouvelle par une missive du maire de Tournai.
Mais ce qui la tourmentait encore plus fut ce qu'elle lut en dernier.
Le corps de son époux était introuvable.
Sa tombe avait été trouvée retournée et plus aucune trace de Morgann.

La mort de son tendre et doux époux l'avait déjà beaucoup affectée, mais après ces terribles nouvelles, Bubu n'était plus que larmes et lamentations.

Doucement, elle poussa la porte de l'église et s'assied au dernier rang.
Les mains jointes, elle ferma les yeux et pensa à Son défunt Homme:
Je n'ai pu me rendre sur ta tombe, mon Amour.
On t'a volé à moi deux fois.
Je t'aime Morgann et je t'aimerais toujours, car tu as été celui qui m'a sauvé d'une mort certaine, celui qui par tes mots et ton sourire m'a redonné goût à la vie.
Je ne pourrais t'oublier...Comme tu me l'as souvent dit "Quoiqu'il arrive, tu dois vivre..."
Tu seras toujours en Moi et je sais que tu veilles sur moi où que tu sois...

Perturbée par un groupe de personne qui venait de rentrer, Bubu se signa et quitta l'église rapidement pour rejoindre sa chambre à l'auberge de son Grand Ami.

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Ma FC, la seule!
Chrie6768
Chrie arriva de bon matin et entra dans l'église.
Elle entra discrètement et s'asseya sur un des bancs puis ecouta l'évèque.

Une fois la messe finie, elle reste un long moment pour prier, repenser aux choses passées, bonnes comme mauvaises, et au futur qui sera heureux et florissant pour elle son amour de mari, mais ça ne se passera pas à Limoges ...

D'autres ambitions les guideront de jours en jours

Une fois ses prières finies, elle fit,comme à son habitude, une petite promenade dans la ville encore endormie, avant de rentrer chez elle rejoindre sa belle petite famille
Arwenn1
Arwenn entra dans l'église de Limoges. De la poussières annonçaient qu'il n'y avait pas eu de célébration depuis un moment en ces lieux ce qui la désola quelque peu. Après avoir nettoyer un ban et l'autel de l'église elle s'installa et pria les mains jointes la tête baissée comme à son habitude. Elle eu une prière première pour son voyage avec son tendre fiancé qu'elle chérissait plus que tout ainsi que pour leur vie future. Elle eu ensuite une autre prière pour que la paix et la sérénité puisse toucher ceux qui en avait besoin. Elle resta ensuite un moment dans le silence de l'endroit à songer et rêvasser.
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--Ombre_muette


La nuit venait de tomber quand une ombre s'approcha de l'église. La démarche habituellement élégante de l'inconnu avait laissé place à celle d'un hors-la-loi, qui se traduisait par quelques rapides coups d'œil jetés aux alentours. Arrivé sous le porche de l'église, il poussa la porte avec discrétion, s'engouffra dans le monument, et balaya l'intérieur du regard. Pas un bruit n'émanait des lieux, un calme des plus pesants régnait dans la bâtisse. La silhouette avança d'un pas décidé en direction de la nef, comme si elle cherchait quelque chose. Une porte dressée au fond de l'église attira son attention, et c'est avec un léger sourire aux lèvres qu'il alla tenter de l'ouvrir. En vain.

Il s'accroupit alors, laissant se dessiner sur son visage un air contrarié, et fouilla dans sa poche avant d'en sortir un morceau de métal. Il le glissa dans la serrure tout en faisant tourner la poignée et entendit un léger
"Clic", signe que la porte de demandait plus qu'à être poussée. Il se redressa et alla attraper un cierge avant de pénétrer dans la pièce sombre et humide. Son regard se posa alors sur quelques bouteilles qui gisaient au pied d'un mur, et il attrapa l'une d'elle. Il souffla dessus, libérant la poussière attachée à une étiquette sur laquelle on devinait les mots: "Vin du duché de Bourgogne" et l'éclaira de sa bougie de fortune. Décidément les religieux du Limousin ne se contentaient pas de simple vin de messe...

C'est avec un sourire accompli et satisfait qu'il glissa un parchemin au coin d'une table:

Citation:

C'est à votre santé que je saurai le déguster! Aristote sait pardonner, n'est-ce pas? Puis-je compter sur sa clémence?


Quelques lignes taquines qui pourraient lui causer bien des soucis... s'il était pris sur le fait! Il s'empara de quelques bouteilles, et quitta les lieux, veillant à ne pas être surpris. Arrivé dehors, il regarda les alentours, et alla se fondre parmi les ombres...


Bartholomaus
En cette belle journée d'avril, le vagabond maître ès ivrognerie, Bartholomäus Grandier, avait décidé de consacrer sa journée à la prière et le travail manuel pour une paroisse de Limoges. Il avait depuis les derniers jours négligé ses devoirs spirituels, étant donné que l'église n'avait guère d'évêque, de curé ou de vicaire. Mais, mû par une inspiration subite, il avait abandonné les tavernes et s'était renfermé le sanctuaire. Contre ses habitudes brouillonnes et sales, il s'arma d'un balais de paille et entreprit de balayer le périmètre de l'église. C'est alors qu'il apprit la bonne nouvelle de la nomination d'un nouvel évêque, Mgr Angelo de Montemayor. Son premier réflexe, en tant que chauvin xénophobe, fut de froncer les sourcils et de grommeler entre ses dents :

Hébé quoa, un lombard? On est f'tu trouvé un bon françois comme évêque? A Lyon, qui longe l'Empire et la Lombardie, m'étonn'rait pas, mais à Limoges, en plein Royaume d'France! Par la mordi..bleu!

Au moins se dit-il, cette ville avait maintenant un évêque.
C'est alors que sans aucun respect pour les gens se recueillant, le vieux bonhomme beugla du centre de la nef :


OURRAH! PAR L'BARBE D'ARISTOTE, VIVE NOT' NOUVEAU MONSEIGNEUR! VIVE ANGELO DE... euh... MONTELAMAIRIE!
Luaine
Ma doué beniguet!!!!! Aucunement question qu'elle rate la messe deux dimanches consécutifs surtout lorsqu'on a un pied dans une ville. C'était sa première dans l'église de la capitale. La Montfort se fraya un chemin entre les mendiants dominicaux qui venaient chercher une obole, pouvant s'approcher des nobles d'assez prêt pour leur tendre la main. La pieuse n'attendait pas de voir une miteuse main noire se tendre vers elle pour y glisser une piècette.
Quelques pains qu'elle avait acheté dans une petite besace, furent distribués aux enfants et quelques écus aux indigents.
La tête ceint d'un voile délicat de dentelle, Luaine pénétra dans l'église où les rayons de soleil filtraient au travers des vitraux. Elle se signa devant l'autel et avança jusqu'aux premiers bancs de bois.

Faisant fis des visages qui lui seraient de toutes manière inconnus, elle resta comme prostrée, les mains jointes et les yeux fermés, ses genoux appuyés sur le prie-dieu.
Son chapelet de perle entortillé entre ses doigts fins, elle récita le credo et fit son oremus pour les vivants et les morts.

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Emeline.
La nuit était passée et la Vipère n'avait que trop peu dormi, passant son temps à ce tourner et retourner, embrasser du bout des lèvres la colère et le pardon tout cela simultanément. Alors dès que le soleil fut levée, elle sortie du lit et après avoir couvert son corps de jupons, corsage et autre couche de vêtements aussi chaud que délicat. Elle quitta la maison qu'elle partageait avec son Papy depuis son arrivée, selon toute vraisemblance celui-ci dormait encore.


Dans les rues de Limoge, la Divinne mordait ses lèvres encore en colère de la veille. C'est donc tout naturellement qu'elle poussa la porte de l'église et suivi l'allée pour rejoindre un banc de prière et prendre une grande respiration.


Seigneur ! Soupir avant de joindre ses mains et poser son front sur celle-ci. Gabriel.. C'était mieux de parler à celui-ci, il connaissait la tempérance toussa. Saint Gabriel archange,
ange de la Tempérance, ouvre nos oreilles aux doux avertissements et aux appels pressants du Très Haut. Tiens-toi toujours devant nous, nous t'en conjurons, afin que nous comprenions bien la Parole de Dieu, afin que nous Le suivions et Lui obéissions et que nous accomplissions ce qu'Il veut de nous


Bon assurément le Créateur ne voulait pas qu'elle gifle une femme ou la menace, mais passons ce détail.


Aide-nous à rester éveillés afin que, lorsqu'Il viendra, le Seigneur ne nous trouve pas endormis. Amen...


Elle leva la tête et soupira.

Je sais je sais... Je dois lui pardonner pour me pardonner pour que tu me pardonne aussi... Mais elle m'horripile avec ces manières et ... Elle ne sait pas... Mon ainée est morte, sa fille me rend folle trois jours sur deux. Masse ses tempes. Nous voulons la même chose, je le sais bien... D'accord d'accord, je la comprend un petit peu, beaucoup...complètement...

Ce levant, elle sourit et quitta l'église dans un murmure :

Oui j'irais me confesser a l'évêque...pff t'es pas drôle toi.
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Emeline.
-[ Messe du Dimanche 18 Septembre]-

Dong, Ding, Ding, Dooooong

Les cloches de Limoge, elles annoncent la messe ? Ou réveillent les âmes endormi... Un peu des deux certainement. Celle au bout de corde pendue le sourire aux lèvres, c'était la Divine en tenue de cérémonie et d'humeur assez bonne pour le moment du moins.

Dong, Ding, Ding, Dooooong

Le diacre, ouvrit les portes alors que la Vipère lâcha la corde pour retomber sur ses pieds et lever le nez vers les cloches ce balançant encore.

Dong, Ding, Ding, Dooooong

Suffit d'attendre les fidèles pour commencer la messe, boire le vin ce genre de chose.
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Gaeldenouet
Ding Dong !!!!

Tiens des cloches qui sonnent, ça doit être la messe.

Gaël commençait à avoir une petite soif, et bizarrement il était l'heure de l'apéritif. Mine de rien traîner dans les rues de Limoges à la recherche d'une quelconque occupation ça creuse et ça assoiffe. Comme il cherchait un endroit pour se reposer, bien au frais et confortable, l'église semblait être un bon endroit. De plus, si on avait droit à une distribution de pinard gratuit, que demander de mieux ? Ah si, manger un morceau, mais bon, il fallait savoir ne pas être trop gourmand. C'est d'un pas léger qu'il se dirigea vers l'église. Il s'installa au centre de celle-ci, comme ça il ne faisait ni le cancre ni le lèche cul.
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