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[RP] Eglise de Saint-Michel-des-Lions

Phoenyx92
Pfffff même pas la monseigneur l'a prévenu, quel manque de délicatesse évident, lui qui rentre dans la grande maison du seigneur à l'impression d'y rentrer par la salle de bain.

C'est qu'elle en a de la pogne la Titca, tout aussi surprit que perplexe, il se retrouva le bec dans l'eau bénite sans même qu'il est eu le temps de prendre le morceau de roseau coupé du matin, au cas où l'immersion aurait du être plus longue bien sur.

Se relevant avec un regard de surprise, il s'attendait à replonger aussi vite trouvant que la noyade avant été de très courte durée.
Mais au lieu de cela, c'est un parfum agréable de lavande qui lui chatouilla les narines.
Prenant le tissue avec un sourire remerciant, il s'essuya le visage et saisit tout a tour la médaille et le cierge.
La médaille irait surement avec celles gagner pour service rendu dans quelques duchés ou il avait aidé et le cierge ben il servirait surement à l'Aubépine pensa t'il.

Vla que la Monseigneur qu'il devrait appeler ma mère, le nommait mon frère, c'était donc sa sœur qui n'était plus sa mère. L'air perplexe mais amusé il lui répondit d'un large sourire :


- Ben merci, Titca, je ne sais comment vous remercier encore d'avoir eu ce geste de bonté pour le mourant que je suis, même si l'impression d'aller mieux me saisis à chaque instant passé ici, peut être la foi qui me pénètre au tréfonds de ma personne ou encore le dernier élan de vie avant de passer au trépas hein

- Quoi qu'il en soit un grand merci, car par votre dévouement, vous permettez l'union prochaine de deux personnes qui se vouent un amour profond et sincère depuis une année pleine.


Se rapprochant de la Monseigneur et prit d'un élan de joie, il lui déposa un baiser chaste et sincère sur la joue, se foutant des bonnes convenances.
Se tournant rapidement vers sa marraine, il la saisit par la taille, la souleva de terre sans soucis, petite brindille qu'elle était et après un bisou sur le front la reposa à terre.
Reprenant la parole sans savoir si c'était les us et coutumes, il s'adressa à tous avec un regard plus appuyé vers sa belle :


- Merci à vous tous d'avoir assisté à cette cérémonie, même loin de chez nous, c'est un vrai plaisir que d'avoir pu passer ce moment en votre compagnie qui m'est cher.

Ne sachant pas qu'elle allait être la suite de ce baptême, il regarda la médaille puis sa petite fleur et lui montrant fièrement il lui mima de ses lèvres un " plus rien ne nous retient" sincère et enjoué.
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Phoenyx92 dit Phoe Je reviendrai toujours
Emeline.
Et bien, si j'ai eu la chance et l'honneur de sauver un mourant. Je suis en ce jour la plus heureuse et la plus honorée des femmes de ce Royaume.

Elle posa une main sur l'épaule de son frère qui fut son fils qui un jour sera peut-être son ami et secoua la tête avec amusement. Mais ce qu'il fit, elle ne s'y attendait pas et cligna des paupières choquée et amusée avant tout. Une fois qu'elle eu reçu un superbe bisou sur la joue, la Vipère rougit légèrement et eu comme seuls réaction de taper son dos légèrement, genre '' Merci mon petit''.

Bien, bien... J'crois que nous avons tous très soif ! Allons fêter ceci en taverne... Elle attrapa sa besace et déposa sa cape sur ses épaules. Félicitations Phoe, j'espère que votre mariage n'auras aucun souci d'organisation... Sinon vous savez à qui écrire, je présume.

Et dans un clin d'oeil amusée, elle quitta l'église en direction des tavernes. Boire semblait une idée intéressantes. Après quoi elle prendra soin d'écrire le certificat de Baptême et l'envoyer à Phoe.


Citation:


    Nous Monseigneur, Typhanie Casavecchi-Nolliver, Secrétaire Générale de la Congrégation des Affaires du Siècle, Diaconesse Sacristine de Limoge, Responsable de la doctrine du Diocèse de Limoge :



    Attestons avoir baptisé, de cet enfant du Très-Haut nommé :



    Phoe dict Phoenyx92



    En l’Église de Saint-Michel-des-Lions de Limoge, le 5 Novembre 1459, en présence de sa Marraine Damoiselle Hygie. Que ce certificat lui permette de prouver en toutes occasions son appartenance à la communauté des Aristotéliciens, et que nul ne doute de la véracité dudit document.

    Vipera in perpetuum !









hrp : Envoyé également en courrier forum I

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Hygie
Vala que le matos qu’elle avait en mains disparu sans qu’elle s’en rende compte. Titca avait maintenant la bougie et la médaille. Mais avant, elle lava la trogne de Phoe dans l’eau bénite, Hygie en avait mal aux joues et au ventre de se retenir de rire à voir le grand et solide Phoe se faire manipuler de telle façon. Décidément, les femmes ne lui faisaient pas de cadeaux à son baptême, il ne bronchait pas et tout était fait dans la bonne humeur, c’était donc un plaisir.

Gigi se retrouva décollée du sol avec une grosse bise sur le front en prime. Elle sourit.


Ca y est, tu nous as rejoints dans la grande famille d’Aristote, bienvenue parmi nous. Toutes mes félicitations mon filleul… hmm ça fait étrange de dire ça, mais je m’y habituerai.

Un sourire jusqu’aux oreilles, elle aperçut Phoe faire un drôle de regard envers sa douce qui attendait patiemment la fin de la cérémonie. Hygie regarda son ami et lui murmura :
« J’espère que tu ne penses pas déjà à la bonne chair… t’as encore du boulot devant Aristote pour cela. »

Libération faite par Titca, rendez-vous pris en taverne, tout le monde fila dehors se retrouver autour d’une bonne chope pour fêter l’évènement.
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Lohengrin
Le moine entra dans l'édifice consacré, il longea les travées de bancs et s'installa proche du cœur... il leva la tête vers les derniers vitraux éclairés admirant les éclats de couleurs vives.
Son cœur était serré, les discutions sur ce qui c’était passé à Rome l’avaient ému, il était triste, abattu, il savait que cet état allé perdurer…
Lui si entouré à l’habitude était seul, et il le resterait.
Il joint les mains et s’agenouilla



Seigneur, oh grand seigneur tu as mis sur ma route cette ville charmante de Limoges, je t’en remercie, j’ai pu croiser des gens joyeux, sensibles, empathiques … Que cela rechauffe mon cœur bléssé …
Face que cette maudite guerre ne les touche pas plus, et qu’ils ne connaissent pas le désarroi ni la douleur …


Puis il récita ses quelques mots donné par un homme bon :

Plusieurs fois dans votre existence vous serez froissés, rejetés, souillés par des gens par des événements. Vous aurez l'impression que vous ne valez plus rien mais en réalité votre valeur n'aura pas changé aux yeux des gens qui vous aiment !

Il récita le credo puis se releva ….il sorti
Bisac
Du tourisme et ouais, pourquoi pas dans les églises ? ...
Arrivant de son sud ouest natal, Bisac avait déposé ses affaires dans une auberge.
Pour quelques écus seulement, il louait une chambre, un peu miteuse certes ... mais bon le prix était avantageux.
Pourtant habitué aux lits douillets et aux draps de soie de sa demeure, nostre bourgeois provincial ne fait guère importance de ces considérations vaseuses sur sa chambre à l'auberge.

L'officier Royal avait donc laissé sa monture à un page et avait jetté ses bottes sur les pavés de la cité limougeaude.

Lorsqu'il passa devant l'église, il ne put s'empêcher d'y rentrer. Non pas qu'il fut un fervent aristotelicien ... enfin comme tout le monde quoi. Son éducation bourgeoise, véritable copié-collé de celle de la noblesse (ah les fantasmes de la bourgeoisie ... ) refaisaient parfois surface.

Poussant la porte du saint batiment, il ne fut guère surpris de ne voir aucune âme ... pas même le prêtre ...

Légère génuflexion et le voila partit, déambulant tranquillement entre les piliers de l'édifice, entre les bancs. Il prenait soin d'observer hatentivement les statues de saints, les tableaux de saintes ...

Soudain, au détour d'un pilier, il fit la malheureuse connaissance d'une statue représentant saint Martial ... hélas pour la statue comme pour Aymé, le saint vint se fracasser sur les dalles de l'église.
Un bruit sourd se fit entendre dans le batiment.

Le médicastre jetta quelques coups d'oeil autours de lui ... personne ... manifestement le prêtre était absent. Ouf !
Il n'était guère prêt à une remontrance ecclésiastique, cela suffisait quand il n'était qu'un bambin.

Toujours personne ... re-ouf. Soudain un bruit ! La porte d'entrée s'ouvrait ! Bisac se plaqua contre le pilier. Petit coup d'oeil, non il n'y avait personne. C'est juste le vent qui faisait des siennes.

Il regarda à nouveau son travail. Une statue sainte en mille morceaux.
Il jura, encore et encore, à voix basse.

"Mais qui était aller me foutre une statue ici ! Sur le passage en plus " (enfin quasiment sur le passage ... c'est qu'il était maladroit le Bisac ...)

Cherchant des yeux de quoi dissimuler les gravats, il tourna le dos à la sacristie ...

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Minidou
Comme chaque jour : au cours de mon voyage pour rejoindre mon Évêché
Je m'arrête pour faire une prière à l'église

L'une des grandes porte était entrouverte et soudain un drôle de bruit qui résonne

Je me signai et entrai et la !
Sous mes sandales un drôle de bruit

Regardant mes pieds, je vis les débris d'une statue

HEUMMM......le vent ?..........un brigand......?

Je commençais a scruter les lieux

je pense que ma prière n'est pas pour tout de suite et que......OUPS

Une ombre

HEP ! C'est vous ma sœur ?
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Vice Primat
Emeline.
-[ 18 Janvier 1460, Baptêmes de Koios & Emilyrose .]-


La journée avait déjà bien débutée, comme toutes les journées le temps coulait au même rythme, dans une certaine routine plaisante ou non selon l'angle ou nous sommes. En tout cas en ce jour là de Janvier un double baptême devait avoir lieu en l'Église de la Capitale. Une petite église parfois oubliée, mais toujours debout malgré la guerre ou les années passées à l'utiliser, pour tel ou tel cérémonie.

Cela devait faire quelques mois que la Vipère n'avait pas fouler le sol d'un lieu Saint, fuyant un peu le Seigneur, cherchant un soutiens plus vivant et moins mort depuis des lustres. Mais elle devait bien se rendre à l'évidence ce lieu aussi sombre soit-il était malgré tout merveilleusement apaisant. Poussant la grande porte, elle s'approcha de l'autel et y déposa un bouquet de fleur légèrement refroidie par la neige et la température assez hivernale.


Bien, attendons les à présent.

Regard aux portes attendant que les deux âmes arrivent et que la cérémonie commence.
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Koios
Koios arrive devant l'église de Limoges, il leva la tête et vit sa grandeur. Elle était vraiment belle, le Tout Puissant devait être content d'un tel momument ! Koios poussa alors la porte d'entrée ... et entra.
L'église était bien vaste et il vennait içi pour se faire bâptiser. Il alla dans l'aile droite et attendit sagement, sans faire de bruit ...
Emilyrose
Je me dirigeai vers l'église pour ce grand jour tant attendu. Mon baptême enfin. Je montai les marches lentement, tremblante d'émoi. J'ouvris la porte et vit Koios assis un peu plus loin. Je me dirigeai vers lui et m'assis à ses coté. Je lui murmurai :

Bonjour, pas trop nerveux?
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Rosine de Vandimion dict EmilyRose
Koios
Il vit Emily s'assoir à ses cotés et lui répondit tout en regardant vers l'autel :

Bonjour Emi, ha non ça va pour l'instant. Regarde elle est la-bas, on fait quoi ? On y va ou pas ? On l'attend içi ?

Il regarda Emi alors et attendit ...
Koios
Koios réflechit et regarda partout. Il se leva alors et fit signe à Emi de le suivre. Il marchait vers l'autel. Il avait vu Titca.

Emily tu viens il faut qu'on aille voir Titca à l'autel. Suit moi.
Emeline.
Devant l'autel la Vipère attendait patiemment l'arrivé des deux âmes désirant le Baptême, elle les avait bien aperçu la bas dans le fond et pencha la tête intriguée ce demandant bien ce qu'ils fabriquaient ? Peut-être avaient-il peur de s'avancer ou désiraient être un moment au calme ? Quoi qu'il en soit, la Vipère offrit le livre des Vertus et attendit leurs arrivés en tournant les pages calmement.
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Emilyrose
Je sentis Koios me faire signe et me dire :

Citation:
Emily tu viens il faut qu'on aille voir Titca à l'autel. Suit moi.


Je lui pris la main et on s'avança vers l'autel.
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Rosine de Vandimion dict EmilyRose
Koios
Koios s'avança alors juste devant Titca, pas trop prés non plus et attendit, les mains le long du corps. Il était tranquille et pas stressé.
Koios attendit la suite des évenements ...
Emeline.
Voyant arriver le couple de futur baptisés, la Vipère leurs sourit et décida de commencer ils avaient perdu pas mal de temps et elle avait poney après le baptême, poney ou autres choses peut importait il ne fallait pas trop faire traîner le truc non plus. Alors elle les salua avec un sourire et décida de commencer, sachant que tout deux n'avaient ni parrains, ni marraines nul besoin d'attendre du monde donc. Prêt ? En avant pour le marathon du baptême étape une :

Bienvenue à vous, nous allons commence par la lecture d'un passage du livre des Vertus, écoutons :

Citation:


Puis il se tourna vers les membres de son groupe. Pour la première fois de sa vie, il put voir dans leur regard non pas du mépris mais du respect.

5 Et Dieu lui demanda: "Et toi, l’humain, n’as-tu rien à Me répondre ? J’ai ici convoqué toute Ma création pour trouver celui qui donnera la juste réponse à Ma question. Tu es venu et tu n’as pas répondu. Alors, maintenant, Je te somme de le faire !" Alors, Oane, terrifié par le ton sévère de son créateur, leva les yeux vers Lui et, d’un ton hésitant, dit: "Mais, ô Très Haut, je ne sais si ma réponse est juste..." Et Dieu lui ordonna: "Parle et je te le dirai !"

6 Alors, Oane répondit: "Tu as certes fait Tes créatures se nourrissant les unes des autres. Il leur faut chasser et tuer pour se nourrir. De même, il leur faut se battre pour défendre sa vie. Mais il n’y a pas de fort ni de faible. Personne ne rabaisse ni ne piétine les autres. Nous sommes tous unis dans la vie et nous sommes tous Tes humbles serviteurs. Car Tu es notre créateur."

7 "C’est pour cela que Tu as donné des talents plus beaux les uns que les autres à toutes Tes créatures. Chacune d’elles a sa place dans Ta création. Son talent permet à chacune d’elles de la trouver. De ce fait, il n’y a pas de créature préférée de Toi, ô Très Haut. Nous sommes toutes pareillement aimées par Toi et nous nous devons tous de t’aimer en retour. Car, sans Toi, nous n’existerions pas. Tu nous a créés alors que rien ne t’y obligeait et nous nous devons de t’aimer pour te remercier de ce geste."

8 "Nous sommes certes enchaînés à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour." Alors Dieu dit: "Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer ses semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes."



Comme vous le voyez, Oane bien que Simplet avait raison et c'est pour cela que nous sommes les enfants du Très-Haut, Tout-Puissant.

Sourire avant de les regarder tout deux.

Récitons la prière du pardon, tous ensembles.


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