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[RP] Eglise de Saint-Michel-des-Lions

pnj
Grandmercé à vous, bons amis que voici.
Hey Crillus! Vous avez apprécié la cérémonie?


Se mit à rire
Crillus
Se laisse aller et se lève de son banc en hurlant :

Et comment ma vieille !! S'esclaffe

... avant de se faire rassoir sur son banc rapidement et de façon expéditive par une lourde pression sur ses épaules.
désolé...
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Christian-Auguste Ysengrin
dict Crillus Charlerin

Seigneur d'Espagnac
pnj
La Nouvelle Diacre alla se rendre en l'Eglise afin d'officier sa première messe dominicale.
Elle vit qu'il y avait encore un peu de trucs inintéressants et sales ci et là, elle soupira et se dit qu'elle ferait bien un poil de ménage plus tard afin qu'il ne reste même plus ce même poil.

Elle ouvrit grand les portes de l'Eglise pour appeler à entrer les fidèles. Puis elle se rendit en dessous du clocher et tira la corde, difficilement d'ailleurs, elle s'envola à plusieurs reprises en hurlant. Mais la cloche sonnait et les fidèles arrivaient.
Elle attendit encore un poil... enfin un p'tit peu. Et voilà qu'elle commença à parler.


Bienvenue à tous et à toutes dans cette Eglise où j'officie à présent, moi Nyu, nouvelle Diaconesse de Limoges!
Bien, nous allons commencer avant tout par prier




Ils commencèrent tous à prier, puis à la fin Nyu se signa et signa l'assemblée.

Bien, nous sommes bien évidemment réunit dans la joie et la bonne humeur! Que les malheureux sortent d'ici sur le champs!

Et voyant qu'une dizaine de personnes s'en allaient, Nyu fit les grands yeux

Euuuh non mais je plaisantais! Nous sommes ici pour trouver le plaisir, , le sourire!

Aussitôt les hommes vinrent se rassoir

Bien, il y a de cela 2 jours, Limoges compte un nouveau Maire. Pour lui souhaiter bonne chance, et bon courage, et de la sagesse dans son travail, le sermon suivant lui est dédicacé! Mais à vous aussi bien sûr.

Citation:
Oane était un homme simple d'esprit, sans rien, un pauvre gars. Il vivait en compagnie des autres membres de son espèce, les êtres humains. Il vivait dans un monde où même les animaux parlaient et étaient mêmes supérieurs aux hommes. Etonnant non?
Mais cela s'explique par la non préférence de Dieu à une espèce. Jusqu'au jour où il vint sur Terre, s'adressant à toutes les créatures du monde pour leur poser une question. "Quel est le sens de la vie?". Personne ne répondit, ou alors pour dire de grosses bêtises.

Alors Dieu interrogea un humain, Oane. Celui répondit que la vie c'était l'amour, l'amour de tous. Alors Dieu, a qui la réponse plaisait, donna une âme aux humains. Une chance d'aller au Paradis. Les bêtes devinrent moindre face aux humains.
Et c'est là que notre vie commença comme on la connait aujourd'hui!
Oane conduisit le peuple humain comme un prophète, jusqu'à une nouvelle terre où ils pourraient s'installer.
Mais arrivés à une Terre parfaite avec une rivière, des champs, des vergers... il mourut. Dieu le reprit à ses côtés.

Les hommes construisirent une ville, Oanylone. Mais sans maître pour les diriger, ils tombèrent dans la débauche et Dieu les punit.


En fait, ce que j'essaie de dire par cela, c'est que nous avons toujours besoin d'un guide. Que ce soit l'Eglise, ou tout simplement le Maire de notre village.
Donc suivez la voix de la raison et de la sagesse, suivez le guide!
---fromFRDvark
C'était un dimanche.

Un de ces sales dimanches où il pleut et que la mouise des culs-terreux sent la mort, comme si la pluie amplifiait cette odeur.

Les ruelles sont presque vides, les paysans sont chez eux à l'heure du midi et mangent une tambouille crasseuse, celle de leur niveau de vie. Mais ils ne râlent pas les bougres, car ils se contentent de vivre, d'avoir des mitards, d'obéir au Seigneur des terres, et de crever.

Le travail dans les fosses avait redoublé ces temps-ci, beaucoup de morts en peu de temps. Les croquemorts avaient assez à manger et les creuseurs assez de terre à soulever. Soulever. il y avait une terre à soulever, c'était celle du Mal.

Temps des indulgences, on en était à un fort taux d'hérésie, mais surtout de chantage écclésiastique. Ces chiens de curés, ils avaient pas la prestance, ils ne savaient pas ce qu'était la peur, la vraie souffrance, le mal moral pendant des mois et des mois. Leurs soi-disants sermons n'étaient que des rejets culottés de la part du Très-Haut. Ouais Saint-Jésus, y avait du boulot à faire ici-bas. Surtout quand on vous brime.

Une montagne.

C'était une montagne. Un pur rocher de granit qui s'élevait sous cette pluie devant l'Eglise de Limoges. Le roc leva une tête hideuse, à faire fuir les bourreaux de potence. Un renâclement de monstre, un souffle nasal projetant une fumée moite dans l'humidité ambiante. Les cheveux ras, il avait le visage buriné grossièrement. Une machoire énorme, d'apparence aussi solide que l'acier s'entrouvra, pour y laisser tomber des gouttes de pluie. Un beau temps d'ouverture.

Deux mètres cinq de muscles, de poings de fer se raidirent alors lorsque les yeux perçants de la chose aperçurent Monseigneur Jésus sur la croix, au-dessus de la porte du sanctuaire chrétien. Cloué, lui aussi comme un chien au milieu des puissants. Dire que les même pots-pourris en profitaient maintenant pour répandre la Sainte Parole. La gueule sourit alors et les deux immenses jambes musclées s'avançèrent à la porte de bois, que le roc ouvrit de ses grosses mains solides.

Un grincement des charnières chuinta dans l'air calme de l'Eglise, tandis que le long mantel du monstre fendit le silence. Le calme avant la tempête. Ou même pire, le désastre.

Dvark, c'était son nom, car cette chose avait un nom alla s'assoir sur une chaise au premier rang, faisant trembler le sol à chaque enjambée. Il joignit alors ses deux mains et ferma ses oculaires.

L'heure de la vengeance avait sonné.

Ruines.


- Monseigneur Jésus, Fils du très-Haut...

Voix tonitruante dans le saint silence, rocailleuse parmi les anges et leurs trompettes. C'était le prémisce musical de l'apocalypse.
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pnj
Nyu fit un instant de silence suite au sermon. Elle ouvrit la bouche et vit les portes se rouvrir. Un grand monsieur tout bizarre fit son apparition, Nyu lui sourit, ne voyant pas le mal en chaque personne.
Il marchait tranquillement sur l'allée menant à l'autel et s'assit au premier rang faisait craquer le banc.
Certes, bon poursuivons... Puis Nyu eut une idée, elle se rapprocha de l'homme.


Bien le bonjour brave homme, et bienvenue en l'Eglise de Limoge. Vous pouvez vous lever juste deux secondes s'il vous plaît?

Elle le prit par la main, et le montra à tout les fidèles.

Bien, vous voyez ce charmant jeune homme qui fait trois fois ma taille peut surprendre, donner de l'angoisse.
Non c'est pas pour être méchante, hen. C'est juste un exemple. J'veux pas vous blesser


Lui sourit

Cet homme, ainsi que vous tous, serait à l'heure actuelle un animal si Oane n'avait pas répondu à la question divine. Nous le serions tous, à gambader dans les plaines et manger du foin.
Cet homme fort et vigoureux connaît l'amour, comme tout les êtres humains. Ou s'il ne le connait pas encore, je pense qu'il est en ce lieu pour en recevoir. il a déjà le mien.


Grand clin d'oeil, et lâcha la main de l'homme pour lever les bras

Vous voyez, on juge trop souvent sur les aspects, sur la couverture du livre, même si vous savez pas lire pour certains... L'habit de fait pas le moine! Bien que je pense que la robe de bure ne plaise à personne qu'aux moine... Enfin bref.
Vous n'êtes fait que d'amour! De compassion! Pourquoi rejeter son prochain car il a une silhouette étrange?
Pourquoi ne pas lui prendre la main et le guider? C'est une belle preuve d'amour n'est-ce pas?

"Aimez vous les uns les autres, que Diable!" Euh enfin... bref vous comprenez!


Un instant de silence
Mariealice
Dernier dimanche sans doute à passer à Limoges avant longtemps, nouvelle diaconesse et donc enfin une messe livrée en ces lieux.

Eglise pas remplie, sans doute dû aux longs mois à la voir ouverte qu'en des cas particuliers comme des baptêmes. Un sourire sur les lèvres. Elle avait assisté au premier entre ses hauts murs, ayant trainé Ewaële jusqu'à l'autel avec sur ses talons un Erwan abasourdi et face à eux un Jhyn peu rassuré.

Souvenirs heureux d'un temps pourtant pas si lointain, avant cette guerre longue et dévastatrice, d'un temps qui lui paraissait d'un autre âge.

Installée sur les rangs réservés à la noblesse, elle écouta le sermon avant de voir apparaitre un homme de haute taille et du genre que personne n'aurait voulu rencontrer au détour d'une ruelle sombre, ne serait-ce que pour éviter de se prendre une baffe. Quoique, au vu des bras et des mains, même une caresse risquait de se révéler douloureuse.

Sourcil haussé puis regard allant de l'homme à Nyuu. Marie n'avait pour le moment aucune raison de le craindre et puis n'étaient-ils pas dans un lieu saint, lieu d'asile, lieu où toute arme était proscrite?

Elle attendit la suite, observant l'église en silence.

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---fromFRDvark
C'était toujours le même dimanche.

Toujours dans cette Eglise de Limoges.

Il priait, enfin, faisant semblant. On pourrait même dire qu'il se foutait de la gueule du Bon Dieu et de tout le reste. C'était juste pour signaler à Jésus que de temps nouveaux s'installaient. Que malgré la révolution faite il y a plus d'un millénaire par cet homme, sa foi était exploitée, et fallait en instaurer une nouvelle. Une foi libre et explosive. Comme le coeur des hommes qui meurent sous les lames. Un coeur qui continue à propulser le sang dans les entrailles, mais qui surtout fait gicler le liquide rougeâtre partout autour, éclaboussant de vice le meurtrier, et faisant sourire la Dame.

La diaco s'approche du monstre de deux mètres et quelques, lui prend sa grosse patte velue et déballe un tas de bibleries dont Dvark en à rien à cirer. Il est venu pour le retour de la bonne époque. Celle du chacun pour soi et je tue tout ce qui me résiste. C'est là que le monstre réplique de son poitrail guerrier et de sa voix de granit noir:


- Eh, toi, la diaco... Je suis pas venu ici pour entendre des Mystères, mais pour signaler à Saint-Jésus que y a un truc qui cloche et que je m'en charge. Comprenez ? Vous faites bon acte devant les chrétiens ici, mais je vous répugne, dans le plus profond de vous-même, vous le savez... Vous êtes pas née dans les bas-fonds du Monde, savez pas ce que sont les vraies misères... Je suis pas v'nu ici pour m'étaler...

Il se dirigea alors vers l'autel, à l'entrée de la nef, et y vit la coupe de vin de messe, qui intervient lors du "manger ceci, c'est mon corps, et buvez cela, c'est mon sang" et la vida cul sec littéralement. Un rire des plus machiavéliques et douteux se répercuta alors contre tous les murs de ce gigantesque et sacro-saint auditoire qu'était l'Eglise. Un rire de païen, qui faisait "bisque bisque-rage" au Bon Dieu.

- Ma foi, si pour autant j'en ai une, c'est que le Bon Dieu a au moins deux choses, le Vin pour la Messe et la bouffe pour ces empafés de curés...

Mam'zelle, j'vous laisse, j'ai une hérésie à propager...


Il se dirigea alors vers l'arrière de la nef, ou se trouvait l'entrée du presbytère, où il s'engouffra aussitôt...

- Sont marrants, fait de compassion...

Le roc avait parlé, avait détruit, avait outré, et n'en était pas à son dernier office de sacrilège. Il y avait beaucoup de lieux saints en France...
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pnj
Nyu écouta l'homme étrange, le regarda faire son oeuvre étrange et pensa qu'il était étrange. (étrange, vous avez dit étrange?)
Elle se disait en son fort intérieur que s'il savait sa mère et son père morts devant ses yeux il y a peu de temps, qu'elle a une soeur qui est on ne sait où, qu'elle a longtemps vécu dans une vieille masure dormant soit dans le foin, soit à même le sol, ben il dirait pas qu'elle connaît rien des bas fonds.
Surtout qu'elle chassait l'rat pour l'compte du boucher d'coin d'la rue dans le cul de basse fosse...
M'enfin elle ne dit rien, y'avait rien à dire.

Elle fit prier ses fidèles pour avoir un peu de temps libre et aller voir par où qu'il était passé parce que ben... y'a pas d'issue au presbytère.
---fromFRTriana
Dimanche. Pour faire original, Triana alla à l'Église. Comme la grande majorité des personnes. De toute manière, cela ne dérangeait pas du tout Triana de faire comme tout le monde et donc de se rendre à l'Église. Elle aimait bien aller à l'Église. Par contre, si vous lui demandiez pourquoi elle aimait aller à l'Église, là elle n'aurait pas pu vous répondre le moindrement d monde. Et c'était souvent comme cela avec la jeune rousse, elle aimait la plupart des choses, mais ne savait pas pourquoi. Pour elle, elle aimait et c'était tout. Pas besoin de raison d'aucune sorte. Elle aimait et un point c'est tout. Et l'Église faisait tout simplement partie de l'une de ses choses qu'elle aimait sans savoir pourquoi. Enfin, simplement pour elle peut-être pas nécessairement pour les autres.
Arrivée devant l'Église, Tri l'observa pour la simple raison que c'était la première fois qu'elle la voyait d'aussi près et qu'elle ne la connaissait pas encore puisqu'elle était une nouvelle venue. Une simple nouvelle sans vraiment d'importance. Du moins, Triana ne voulait pas être importante puisqu'elle n'aimait pas attirée l'attention.

Bref, elle entra dans l'Église après l'avoir regardé quelque instant et s'installa sur un banc au fond où qu'il y avait des personnes plus au moins comme elle, soit des paysans. Ensuite, elle écouta le sermon qu'elle trouva très beau et puis, un homme, le même qu'elle avait montré en exemple pour indiquer qu'il ne fallait pas se fier aux apparences, avec qui elle était complètement d'accord, fit une légère esclandre. Et elle regarda la suite
Avril
Avril se promenait dans les rues de Limoges, ses pas la conduisirent en bas des marches de l'Eglise ...

Diantre ! que faisait-elle là ? allait-elle se mettre à visiter ces lieux de cultes qu'elle n'appréciait guère lorsqu'ils étaient surpeuplés ! Certes non, mais pour l'heure, il n'y avait personne ... pas un chat ... pas un bruit ... la nuit tombait doucement ... elle gravit les marches et poussa la lourde porte qui s'entrouvrit en grinçant ...

Fichtre ! pour être discrète, ben c'était un peu fichu . .. elle rit doucement ... se signa en entrant et se dirigea vers un banc caché derrière un de ses grands piliers qui tenaient la voute de l'église ... Elle s'assit là et regarda l'autel qui se trouvait à sa gauche, elle ne reconnut pas le saint qu'on était sensé prié en cet endroit ... Elle respira calmement et se plongea dans ses pensées ...

Elle repensa à Nyuu qui officiait ici, elle n'était pas encore venue lui rendre visite sur son lieu d'office ... elle savait que Nyuu ne lui en tiendrait pas rigueur ... Doucement, elle perdit le fil de ses pensées et laissa son esprit dériver ... Ces lieux étaient propices à la méditation ...
Avril
Lorqu'Avril reprit conscience du monde qui l'entourait le cierge qu'elle avait allumé était presque éteint, elle se leva et sortit en toute hâte de l'Église non sans une dernière fois, adresser une prière muette à l'hôte des lieux... Elle ouvrit la porte, descendit les escaliers en courant et s'en fut dans la nuit noire jusqu'à chez Blaise son tendre amour qui devait être fou d'inquiétude ....
pnj
Corenthine rentra dans l'église de Limoges pour chercher Nyu.
Elle poussa les lourdes portes de l'imposante bâtisse et ressentit la fraîcheur et la sérénité des lieux.

Elle trouva le bénitier et y trempa le bout de ses doigts puis se signa.

Quelques personnes étaient assises sur les bancs et se recueillaient dans un silence monastique...tout à fait normal pour une église.

La jeune femme commença à chercher la diaconèse du regard. Elle marcha le long de la travée centrale sans la voir.

Pourquoi corenthine cherchait nyu????
Elle devait s'entretenir d'un sujet important. Elle étaient dans ses petits souliers car le sujet qui devait être abordé, était légèrement en contradiction avec son ventre rebondi, fruit de ses amours avec le futur père.
pnj
Nyu était dans la pièce attenante à la nef de l'église.
Elle y faisait un peu de ménage histoire que tout soit propre pour.... euh.... pour... pour elle quoi, personne n'y venait dans cette pièce.
Bon prise de conscience, elle quitta cette pièce en râlant d'y avoir passé quelques heures.

Elle retourna dans l'allée des bancs et tomba sur Finitou, tomber au sens littéraire...
La bougre semblait tellement énervée qu'elle n'avait pas vu Finitou...
Elle se releva en tempestant, aidant la jeune femme à se relever elle aussi


Oups, désolée... Je ne t'ai pas vu, plongée dans mes pensées. Oui ça m'arrive parfois et donc voilà hum... désolée...

Lui fait un petit sourire

Bien, tu souhaite te recueillir tranquillement auprès de Dieu?
pnj
Nyu tomba dans les bras de Corenthine et elles finirent sur le sol de l'église.
Corenthine étouffa un rire pour ne pas troubler le recueillement des personnes présentes puis regarda la belle diaconèse.

Et bien, quelle entrée fracassante.
Euhh....recueillement...oui..enfin non...je voulais te parler d'un sujet qui me tiens à coeur. Voilà....


Elle se tripota les doigts nerveusement.

Euhh...comme tu peux le voir - Elle lui montra son ventre rond- Euhh...c'est un peu gênant comme situation. Surtout que je suis croyante mais donc voilà.
Et bien, avec Breccan nous voulons nous marier ici même avec Limoges sous ta bénédiction.
Je sais bien qu'en tant que fiancée, je suis pas trop crédible dans le rôle de la vierge vestale mais que veux tu, la chair est faible et puis Breccan est venu en Bretagne pour se battre quelques mois après que j'y sois déjà et donc...on n'était plutôt content de se voir
- Sourire gêné - vraiment très contente tu vois....bon je passe.
On était déjà fiancé. On n'a jamais trouvé le temps d'officialiser avec tous les problèmes qu'il y a eut.
Et du coup ben me voilà...légèrement enceinte.

Mais Breccan est le père et je n'ai consommé qu'avec lui pour ma décharge.


Corenthine était tellement embarasser qu'elle allait lui déballer sa vie.

Maintenant, il est temps de faire ça dans les règles. On voudrait que tu nous maries. Si c'est possible, on aimerait faire ça à la Cathédrale de Limoges. Non pas que nous nous prenons pour des grands du limousin et que nous ayons un égo surdimensionné mais simplement car nous attendons des amis qui viennent de loin et bon...voilà l'histoire.

Dans la mesure du possible, peux tu faire ça jeudi 28 ???? Je pense que nos amis seront presque tous là.

Elle attendait la réponse de la Diaconèse.
pnj
Nyu écoutait ce qu'avait à dire la petite "non vierge" avec un petit sourire.
Parfois elle levait les yeux aux ciels, comme pour souligner quelques mots de Finitou. Elle se retint plusieurs fois de rire, il fallait rire dans cette situation, pas blâmer.
Elle posa sa main sur le ventre de la future maman


Vous avez d'jà un nom pour le petit enfant?

Et d'une voix qu'elle veut rassurante

Ne t'inquiète pas pour cela, je pense que c'est une chose entièrement pardonnable par Dieu. Tu t'es donnée avec amour à l'homme qui partagera ta vie, et non pas simple vice de la chaire.
De plus, je dois te rassurer en te disant que beaucoup de militaires sont dans ton cas. On peut rien y faire, et c'est pas moi qui vais te jeter la première pierre!
Tu feras 10 Credo tout à l'heure pour ce pêché mais c'est tout


Elle rit, et se mit à penser que c'était peut être une grosse punition de réciter 10 fois ce genre de chose.

Hmmm non en fait tu réciteras rien du tout, t'es pardonnée.
Bon sinon pour ce mariage... hmmmm


Sort un calepin de sa besace, des feuilles volètent ci et là, le livre est gros, énorme, des tâches d'encre partout, un peu sale.
Elle cherche une date dedans et la pointe du doigt


Jeuuuuudi 28. Bien j'inscris ça, c'est enregistré! Bon par contre il va falloir que j'évite de me tromper de nom sur l'époux parce qu'il est juge donc c'est pas très bon pour moi ça, oh non...
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