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[RP] Eglise de Saint-Michel-des-Lions

Gaalia
Elle se sentait bien seule dans cette ville où son cher défunt mari lui avait demandé de partir.

Elle s’agenouilla et pria pour que l’homme qu’elle devait rencontrer croise son chemin le plus rapidement possible. Sa bourse se vidait et sa vie dépendait de lui.

Elle ferma les yeux et pria pour qu’il vienne à son secours
Dragonet


Sortant de sa priére,il se leva, pour sortir. Vieille habitude, il jeta un oeil sur une longue chevelure rousse, puis s'arreta pour la devisager.

Ce visage lui etait familier, mais pourtant si lointain. Il ne s'agissait pas d'une ancienne maitresse, il en etait certains. La quarantaine pourtant, elle aurait pu, mais ce n'etait pas cela. Cela semblait bien plus lointain encore.

Sans cesser de la dévisager, il hésita à lui demander son nom.

_________________
Gaalia
La prière avait calmé son âme. Ici, elle avait retrouvé un peu de paix, mais de quoi sera fait demain.

Se relevant, elle croisa le regard d’un homme.

Cette allure altière, la force qui se dégageait de ses yeux, cette façon particulière de la dévisager dénotant une interrogation muette.

Elle porta la main à sa gorge, le temps avait passé, de longues années, très longues années s’étaient écoulées depuis leur dernière rencontre.

Elle voulu esquisser un pas vers lui mais n’osa.

Son cœur battait la chamade et si c’était lui, si c’était l’homme que son cher mari lui avait demandé de retrouver, cet homme avec qui elle avait partagé son enfance, cet homme qu'elle considérait comme un frère.
Nayriagrimwald
Nayria appris la présence de son époux à L’Eglise, la Grimwald sait toujours bien des choses, elle décida que ce serait peut être un moment pour croiser son époux… Le parvis passé, elle entra discrètement par la petite porte et s’arrêta derrière un pilier massif, son instinct lui dicta de rester cachée.. Une Rousse et son mari se regardait. Son cœur se serra, alors quoi sa piété ne serait que paravent ?
La Grimwald sentit le volcan se réveiller mais attendit et décida de ne point émettre jugement, et de rester ainsi cachée des yeux des deux potentiels amants.
Dragonet


La rousse le fixa à son tour, ils se regardaient comme ses gens qui semblent se reconnaitre sans se situer vraiment, et en véritée, c'etait bien le cas.

Mais le fait de voir la même interogation dans le regard semblait demontrer qu'il ne s'agissait pas d'une simple impression de déja vu.

Il s'inclina..


Il serait guére courtois que vous fussiez dévisagé par un inconnu, je vais donc tacher de ne plus l'être en me présentant

Je suis le vicomte Dragonet de Castelcerf, pour vous servir..



Il s'inclina, l'observant. Elle n'etait assurement pas noble, mais il avait du mal à la situer... voleuse, guerriére, paysanne..il y avait peut être un peu de tout cela en elle, sans que aucun ne corresponde vraiment.

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Gaalia


Habituée depuis son enfance à écouter les vibrations des lieux, elle su d’instinct qu’ils n’étaient plus seule dans l’église.

Le temps semblait s’être figé, une tension était palpable.

Au même moment, l’homme qui la dévisageait, s’inclina en se présentant


Vicomte Dragonet de Casterlcerf, Dragonet de castelcerf, Dragonet, ce nom résonnait dans son esprit

Chancelante, elle prie appui contre un pilier


Vous venez de faire remonter le temps dans mon esprit.
Votre prénom, votre sourire, le pétillement dans vos yeux, tous les ingrédients pour que je me sois quelques secondes cru en présence de mon ami d'enfance, mais ce dernier avait tout du polisson la dernière fois que je l'ai vu


J'ai été troublée quelques instants vicomte et vous devez me trouver fort mal élevée, je ne me suis point encore présenté à vous.


S'inclinant à son tour


Gaalia de Méhée, arrivée depuis peu sur Limoges
Dragonet


Gaalia...cherche dans son esprit,mais le nom lui rappellait des choses..

Une petite rouquine de la ferme voisine qu'il avait vu grandir. Elle devait avoir quoi, a peine dix ans quand il s'etait enfui avec sophia, alors enceinte de sa premiére fille. Lui en avais 17 alors.

Il se rappelait de ce brin de fille, un peu reservé. Son frére qu'il avait croisé des années plus tard et qui partageait son goût pour les rousses, lui avait dis qu'il s'etais mis avec elle.

Cela ferait d'elle sa belle soeur, et puisqu'il etait le dernier survivant des frangin, la placerais sous sa responsabilitée.


Il pris la parôle..

Si vous êtes bien celle à qui je pense, et nos souvenirs semblent le suggerer, cette dame qui est devenu une suberbe rousse est de par alliance de mon lignage.

ll releva la tête et reconnus la silhouette figé dans l'ombre..

Permez moi de te presenter mon epouse, Nayria Grimwald, Vicomtesse de Saint germain et Dame de Cévillé. Elle venait me chercher je suppose, les messes ne sont pas les céremonies religieuses qu'elle affectionne le plus.

Il guida son amie d'enfance en direction de l'ombre.

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Nayriagrimwald
Nayria calme sa re’spiration été coute, ne pas s’emporter, garder l’esprit clair. Mais si c’est bien une amante, il mourra sur le coup. Les paroles semblent tout autres, le danger est écarté, elle reste adossée à son pilier lorsque

Permez moi de te presenter mon epouse, Nayria Grimwald, Vicomtesse de Saint germain et Dame de Cévillé. Elle venait me chercher je suppose, les messes ne sont pas les cérémonies religieuses qu'elle affectionne le plus.

Damn’it ! Il la tutoie en plus...


Elle regarde sa mise, inspecte sa robe couleur sang, remet un mèche de ses cheveux d’ébène en place, et se tourne sur elle-même, apparaissant de derrière le pilier avec un grand calme.

Oui parfois m’est envie de trouver mon époux, mais je n’espère jamais que cela soit en compagnie de rouquine au sein d’une Eglise. Nayria connaissait son penchant pour les rousses et préféra ainsi noter que trouver son mari la c’était… Puis se tournant sur la dite rousse, elle inclina la tête : Bonjour.
Gaalia


La source est présente, par Bél….,

bafouillant,


Par Christos, c’est bien toi Drago

Le regardant les yeux pétillants de malice


Je le savais, je savais que tu serais un jour un homme important

Te souviens tu du temps où tu me racontais Paris, le Roy, je m’endormais contre ton épaule en souriant et aussi les roustes que tu m’étais aux garnements qui venaient te taquiner, oh drago si tu savais…

Me présenter... ton épouse !

Gaalia sourit à la Dame, se trouvant bien quelconque fasse à tant de beauté et de grâce.
Sa femme était donc cette présence mystérieuse qu’elle avait devinée dans l’église. Elle ne lui semblait pas d’humeur légère, sur la réserve et son Bonjour, lui semblait forcé.


La regardant avec un franc sourire

Vicomtesse, c’est un grand honneur pour moi de faire la connaissance de l’épouse de mon ami d’enfance et beau frère.
Eugenie_gounod
une jeune et frele jeune femme entra dans l'Eglise.
Au vue de sa mine et de sa tenue c'était une servante,, elle portait donc une jupe blanche avec un tablier noir par dessus.
De son bonnet, dépassait quelques mêches blondes, avec cela un air mutin et espiegle qu'elle essayait de cacher avec un air de ferveur angelique.

en effet, elle venait dans l'Eglise demandait le baptême...et oui Eugénie qui avait bel et bien passé son catéchisme en Bourgobne n'avait pu être baptisé.
Elle espérait bien pouvoir avoir son baptême cette fois-ci et plus rapidement qu'à Sémur.

S'approchant un peu plus de l'autel, elle attendit que le curé ou diacre de Limoge la remarquasse et vienne prendre langue avec elle.
Childebert
Avant la messe l'évêque de Limoges passa dans l'église pour préparer son sermon. Il vit une jeune damoiselle qui avait l'air d'attendre

Bonjour Damoiselle, vous désirez un petit renseignement ? Une aide ?

Les cloches se mirent à sonner. Il était l'heure.

Nous parlerons après la messe. Je serais plus disponible. Excusez moi

Petit sermon du dimanche 29 novemvre 1457

Je vous invite aujourd'hui à méditer sur le sermon du bonheur que je vous ai préparé

Suite à cela, j'invite toute personne désirant entrer dans l'Eglise de se manifester, je souhaite combler le manque de curé dans chacune des paroisses du Diocèse.

Un petit dépliant vous sera remis à la sortit pour connaître un peu mieux notre religion.


Vous avez l'idée claire et distincte que le bonheur est une forme de contemplation, que le sage doit s'efforcer d'atteindre.

Mes Frères, mes Soeurs,

La beauté. Rappelez-vous la beauté... Voir quelque chose ou quelqu'un de beau, comme la femme que vous aimez par exemple, ou l'homme si vous êtes une femme évidemment ... Ca vous rend heureux !

Enfin, quand je dis ça, attention n'est il pas, faut pas regarder la femme du voisin parce que ça, lui, ça le rendra pas heureux.

Bref tout ça pour en arriver où me direz vous ?

Et bien au fait que le bonheur est une forme de contemplation que le sage doit s'efforcer d'atteindre. Notez que si j'utilise le terme s'efforcer, c'est parce que c'est pas toujours facile... Ni de rester sage et contemplatif devant la beauté... Ni même de voir la beauté chez les autres.
Alors lorsque c'est ainsi, regardez la beauté intérieure de l'autre, celle dont Dieu a mis l'étincelle en chacun de nous. Dans celle-ci, c'est le Très Haut qui se montre un peu à vous, c'est Dieu qui vous appelle frères et soeurs !

Et lorsque vous aurez le choix face aux voies que vous prendrez pour faire des études, choisissez la voie de l'Eglise afin de mieux contempler le Très Haut et de mieux partager cela avec les autres ! Grâce à ça, vous apporterez la joie, la boulasse à tous et même des idées nouvelles, comme moi en prêchant aujourd'hui ... c'est pas beau ça ? C'est que du bonheur !

Bon dimanche à vous, et n'hésitez point à ouvrir le dépliant que voici



_________________
[/quote]
Finn
Burrich avait enfin réussi à se lever tôt un dimanche sachant qu'il sautait une grasse mat' bien méritée. Arrivé à l'église, il avait patiemment attendu sa fiancée qui devait de surcroît causer au curé de leur mariage mais celle ci ne s'était pas présentée. Sûrement qu'elle roupillait encore celle là. Pourtant, il se rappelait qu'en se levant, ce matin là, il avait dû baver les griffes de sa fiancée à moitié endormi pour la réveiller et lui arracher un "oui oui j'arrive rhoo".

La cloche sonne, trop tard... Il est déjà dans l'église, plus moyen de sortir, il dérangerait tout le monde. Pas que ça le dérange d'habitude, mais sa future diaconesse de fiancée lui arracherait probablement les yeux pour un truc pareil. En même temps, l'est pas là, et les absent ont toujours tort. Le bûcheron décide finalement de prendre place, un peu de nourriture spirituelle ne devrait pas lui faire grand mal et au moins il aura la possibilité de râler contre Delhie en revenant à la tente. Pour une fois que le tort ne vient pas de lui, va pas se priver!

Ruminant et pestant tout bas contre elle, il écoute le sermon du curé. Voir la femme qu'on aime rend heureux... Ah ça pour sur qu'il serait heureux de la voir débarquer et ainsi se soulager en lui faisant une bonne vieille scène pour l'avoir planté à la messe!La messe prend fin et l'humeur du Burrich est au plus bas. Et le vin de messe alors? Voilà qui le rendrait heureux l'ivrogne! Et non, en échange il reçoit un dépliant... Burrich grommelle et quitte l'église d'un air bougon.

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Eugenie_gounod
S'installe pour la messe et entendit l'officiant demandé aux theologiciens de se faire connaitre, elle se renfrogna un peu, hors de question de refaire un autre déménagement. Elle en était à son 5eme en moins d'un an!.

Puis elle se concentra sur la messe, se signa quand il le fallait et revint près du curé pour reprendre langue avec celui-ci et parler de son baptème
Dragonet


(une semaine plus tôt, et avec des excuses pour le retard)


Citation:
Je le savais, je savais que tu serais un jour un homme important

Te souviens tu du temps où tu me racontais Paris, le Roy, je m’endormais contre ton épaule en souriant et aussi les roustes que tu m’étais aux garnements qui venaient te taquiner, oh drago si tu savais…

Me présenter... ton épouse
!

Drago se mit à sourire. Si comme tout un chacun, il avait eu un prenom, celui ci n'avait jamais employés par son pére, et seul sa mére l'avait utilisé. Dans ce village de bretagne ou il avait passé 14 ans, on l'avais surnommé le petit Dragon, du fait de son caractére et du chaos qu'il entrainais parfois. Il avait brandi ce surnom comme un etendart. Tout comme beulbeul affichait elle aussi son surnom, du nom de la belette de Riff Raff.

Ses ailes avaient grandis, mais il avait gardé l'habitude de garder sous son aile ceux qu'il aimait et garder son souffle pour ses ennemis.


Citation:
Oui parfois m’est envie de trouver mon époux, mais je n’espère jamais que cela soit en compagnie de rouquine au sein d’une Eglise.


Sa femme avait en commun le même aspect Dragon, aussi protecteur que cracheur, cela l'amusa.

Il s'adressa à son epouse:


Je te présente Gaalia de Méhée, ma chérie, si tu te souviens, mon pére à répudié ma mére, qui s'est enfuie avec ma jumelle et moi même en bretagne, où elle s'est marrié. Nous avions 3 ans alors. Mes fréres ainés ont grandi à la cour des miracles, mais ma mére à eu 2 garçons avec mon peau pére.

Le premier est mort à la seconde guerre de bretagne, c'etais un militaire. Le second, mort egalement, etait druide. Il s'etait mis en couple avec une ravissante demoisselle que j'ai connu haute comme 3 pommes quand nous etions enfants.

Cette dame à bien grandis,mais elle à gardé ses yeux pétillants de malice.

Plus le temps passera et plus les gens qui firent parti de mon passé seront plus nombreux dans le monde céleste que dans le notre. Les années passent, ma vie, mes forces s'ecoulent, et j'ai envie de réunir autour de moi ceux que j'aime ou que j'ai aimé.


Se tournant vers Gaalia...

Considére que tu es chez moi, chez toi....

Puis a nouveau vers Nayria

Je sais l'amour que tu me portes, mais tu sais que m'extraires de mes travaux reste un travail à plein temps.Plus j'aurais de gens qui m'aiment autour de moi, et plus j'arriverais à m'extraire de mes dossiers , et à leur consacrer du temps, et je suis sur que tu en benéficiera, ainsi que les enfants.

Accorde moi cela.

_________________




























Gaalia


Elle regardait les lèvres de son ami bouger, entendait ses mots mais avait l’étrange sensation de flotter, d’être spectatrice de ce qui se passait.
Elle se devait de revenir, voulu émettre un son, mais rien.
Son regard passait de Dragonet à son épouse, la puissance des regards, la tension palpable, elle n’avait pas voulu cela. Elle serra contre elle son aumônière, se devait de remettre à son beau frère le courrier d’Amaël et le Triban qui pour son époux symbolisait tant de choses.
Son corps refusait de lui obéir, elle restait muette et se dit que cela devait être un signe, qu’elle devait attendre que la vicomtesse comprenne qu’elle était là en amie.
Son tendre époux lui aurait dit,
« Ma douce
Dans l'Humanité l'Etre possède trois privilèges, le discernement du Bien et du Mal, La liberté du choix, le début du pouvoir réalisateur »

Une douce chaleur l’envahit et un sourire illumina son visage
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