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[RP] Eglise de Saint-Michel-des-Lions

Eugenie_gounod
Eugenie avait fini par quitter l'Eglise en voyant que visiblement le curé se moquait de sa présence comme une guigne.
Bon elle reviendrait plus tard


quelques semaines plus tard

C'coup çi, fois d'Eugénie où le curé daignait lui parler ou il verrait qu'elle n'a pas un caractère commode l'eugénie.

Dédaignant l'Église, elle alla directement au presbytère du curé et frappa à la porte
Lady_antlia
Bruit métallique qui sonne à chaque pas, son de ses bottes martelant le sol du parvis.
La silhouette, entourée d'une cape azure, une boucle blond roux s'échappant de l'aumusse s'arreta devant l'impressionnante porte de bois. La femme prit une grande respiration et entra en apnée dans l'édifice. Pourquoi? La blonde se le demanda ... sans doute pour tout ce qu'elle portait en son coeur.. peut être une vie trop lourde pour ses frêles épaules.

Elle fit un pas, une main gantée poussa la lourde porte qui s'ouvrit sur un intérieur somme tout clair pour ce genre de batisse.
Un pas encore et elle fut à l'intérieur. Le vent la laissa tranquille et d'une main baissa la capuche pour laisser apparaitre une chevelure épaisse . Antlia se porta devant l'allée principale et mit genou à terre , puis se signa .
Moment où le temps se posa, où il s'arrêta jusqu'à ce qu'elle se releva.
Un instant, elle ne sut si elle devait reculer, partir ou rester . Un peu perdue la Blonde, elle serra le pommeau de son épée puis respira.
Respire lui dit sa petite voix, respire...
C'est ce qu'elle fit. Mais pourquoi paniquer dans cet endroit?
Moment d'incertitudes avant qu'un pas encore en avant se fasse , puis deux, jusqu'à faire onduler sa cape azur estampillée de licornes d'argent.
L'Etoile se faufila dans un rang, puis humblement , baissa la tête puis s'assit.
Elle ne savait par quoi commencer, mais au fond d'elle c'était la colère qui l'habitait. Une colère sourde, vile qui ronge et se développe.
Pourquoi cet endroit? Pour eux...
Alors elle se mit à murmurer le Credo, mains jointes, puis , après avoir dit "
Amen" pensa à eux, ses chers disparus.
Donnez moi la force de continuer. Donnez moi la force de marcher seule, en compagnie de mes frères et soeurs. Si vous saviez comme j'ai tant besoin de ...

Sa voix se brisa et une larme coula sur sa peau d'albâtre. Sa main vint serrer le dossier du banc de devant. Et ses pensées allèrent à celui qui l'avait abandonnée. Et la rage, celle là même qui avait failli la faire repartir de l'église prit place: une rage mélée de colère et de douleur.

Comment faire taire tout ceci, comment peut on faire taire la douleur? Dites moi ... comment?

Elle regardait devant elle le choeur et LUI. Elle savait qu'elle n'allait avoir le repos de son âme, que venir ici n'aurait point calmer son mal. Mais elle resta là, dans cette position un long moment, avant d'essuyer rageusement son visage, puis de repartir sans réponse. Prendre sa monture, galoper jusqu'à ne plus pouvoir, cheveux aux vents, le froid mordant la peau, hurlant sa douleur..... C'est ce qu'elle s'appretait à faire.

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Seraphine
Ses pas l’aimèrent devant l’église de Saint-Michel-des-lions en la ville de Limoges. Elle entra dans le saint édifice, lentement elle remonta l’allée bordée des bancs dont les fidèles venaient se recueillir pour y écouter les sermons du curé prêchant les paroles d’Aristote.
Quelques fidèles y priaient en silence. Il n’y avait que le bruit de la cire fondante des cierges allumés.
Seraphine alla s’agenouiller devant l’autel, alluma un cierge, et ensuite alla s’installer au premier rang des bancs. Dans un état de demi-prière et d’attente, elle resta longtemps. Combien de temps, elle ne saurait le dire ?
Sur son visage, on pouvait y apercevoir un léger sourire de bonheur. Elle était là et elle attendait…. Elle attendait que vienne celui qu’elle avait retrouvé après temps de temps de recherche, d’espoir,… Celui dans lequel son sang coule de sa vie.
Elle savait que c’est ici qu’elle le trouverait. Elle n’avait rien dit de sa visite.
Antemis
Antemis se faufila derrière la porte de l église.
A l'intérieur, il laissa tomber des regards lointains, sans marquer ni étonnement, ni frayeur, ni curiosité son silence ne décelait que trop sa pensée.
Apres quelques minutes figé devant le benitier, il effleura l eau avec une grimace trahissant une rancune.
Il alluma un cierge sans savoir pourquoi, il ne fréquentait plus les lieux de cultes, il s en était détourné....que faisait il ici.

il ne se doutait pas qu'il était venu allumer en cette femme des fureurs inconnues . Elle devait devenir folle dans ses bras ;il serait féroce entre les siens. Mais ni elle ni lui le le soupçonnaient encore. leur destin étaient liés depuis des millénaires.
 Il secoua sa tête comme pour chasser cette léthargie qui étouffe l’énergie de la liberté de choix!

Antemis se glissa dans le confessionnal pour se reposer à l abri des regards. Cet endroit le fit tressaillir et après vérifier que nulle personne était entrée, il s assoupit en bloquant de ses chausses l'ouverture de l endroit sombre.
Gaalia
Courir, fuir, être seule, ne plus penser, voilà ce qu’elle voulait

S’arrêtant parfois pour reprendre son souffle, elle arrive devant le parvis de la cathédrale, soulève ses jupons pour monter quatre à quatre les escaliers et se réfugie à l’intérieur de l’église. Tout est silence, elle pose sa main contre son cœur comme pour en étouffer les battements.
Elle frissonne, s’avance ver l’autel, tout lui parait irréel.
Elle regarde par-dessus son épaule bien que seule dans la cathédrale, elle sent comme un regard sur elle, frissonne de nouveau, Aristote probablement qui me juge pour toutes mes pensées impures.
S’agenouillant, elle veut prier mais ses pensées sont tout autre. Le visage de Christos disparait, elle le voit lui lui toujours lui, ses prières se terminent en sanglots.
Elle se relève, nul endroit, j’ai nul endroit où aller puis elle se souvint, oui voilà, là bas peut être. La tête basse, elle quitte précipitamment le lieu se demandant ou aller pour apaiser la douleur de son âme.
Forcehung
Forcehung arrive au parvis de l'église.
Il semble que c'est la première fois qu'il y vient.
A moins que cela remonte à tellement longtemps qu'il a dû ne plus s'en souvenir.

En parlant d'église, il repense à ses nombreuses lettres à notre évêque Childebert .... sans réponse, en vain.
Serait-il souffrant ? Trop débordé depuis 4 mois? ou les avait-il tout simplement jetées dans la cheminée pour se réchauffer cet hiver?

Force restait perplexe puis se dirigea vers l'entrée.
Il poussa la grande porte et pénétra dans le lieu sacré afin d'oublier ses soucis quotidiens et fit une prière en s'agenouillant devant un prie-dieu.




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http://img13.imageshack.us/img13/7591/seigne10.th.png
Ex de tout : 7 fois maire, 3 fois CAC, OSE, Ambassadeur, Secrétaire d'Etat à la couronne, Seigneur de Thiat du Limousin, etc, etc ... Un type à la dérive comme un navire sans port.
Prunelle
Levant les yeux sur le cloché de l'église, Prunelle soupira. Elle avait raté la messe. Même les cloches de l'église n'avaient pas réussi à la réveiller ce matin-là, cela ne lui ressemblait pas, elle qui était d'ordinaire matinale, elle ne se souvenait pas de la dernière fois où elle avait dormi aussi longtemps. Ne pas aller à la messe, son père l'aurait sûrement grondé s'il avait su, lui qui l'avait amené avec lui tous les jours de sa jeunesse alors qu'il était diacre.

La jeune fille entra donc à l'église Saint-Michel, non sans avoir jeté un coup d'oeil admiratif aux lions de pierre qui en gardaient l'entrée. Les voûtes étaient hautes, comme le clocher rejoignait le ciel, Prunelle, après s'être mouillé les doigts dans le bénitier et s'être signée, s'avança dans la nef et s'installa à genou pour prier... Saint-Michel.


Saint-Michel, archange de la Justice,
Aide-moi à rester dans le droit chemin
À ne pas dire de mensonge et tomber dans le vice
À affronter les jours et à ne pas avoir peur de demain

Saint-Michel
Donne-moi le courage de faire ce que dois
Donne-moi la
force...
Prends soin de maman là-haut avec toi.


Le front posé sur ses mains croisées, Prunelle resta là un moment, pensant à son frère, sa soeur, son cousin, sa tante, son père, tout ceux qui lui manquaient.
Genievre_derosebourg
Je me rendis à l'Église, elle était vide, mais il était tard, le soleil était déjà couché, une lanterne à la main, je poussai la lourde porte d'entrée, et la refermai de suite, une fois dans l'édifice. J'admirai un instant le plafond voûté, les dorures et sculptures puis je me dirigeai vers un banc de prières. A voix basse, je parlai.

Oh, Vous, Vous qui êtes là-haut, si vous écoutez ma prière, voici ce que je souhaites:
veillez sur mon frère, et sa famille, particulièrement sur ses enfants à naître,
veillez sur mes amis.
Je vous en prie, accueillez l'âme de mon cher et tendre père au Paradis. Merci, Amen.
Arestel
Cela faisait un long moment qu'Arestel et Jésus-2 étaient fiancés. En entrant dans l'imposante église de Limoges, elle repensa à tout leur périple, à tout ce qui leur était arrivé, de Saint Bertrand à Mayenne, puis à Limoges.
Durant de long mois il leur a fallu batailler pour se retrouver, pour être enfin réuni, et Limoges était la ville qui leur avait permis ceci. Le baptême de Jésus avait été réglé depuis un moment, il lui avait même fait sa demande par courrier, connaissant l'amour que portait Arestel à ses papiers.

Mais voilà... maintenant le tout était de se marier. Impatiente, elle demandait sans cesse à Jésus pour savoir quand! La réponse était toujours la même : Childebert ne répondait pas à ses missives.

Trop c'était trop.

Oubliant toute la retenue que le lieu demandait. Oubliant toutes ses leçons sur la patience, l'amour, et la maison de Christos. Ignorant les personnes qui se trouvaient en ces lieux saints. Arestel se planta devant l'autel et fit tonner sa voix :

Est-ce qu'il y a un curé dans ce patelin qui aurait bien l'obligeance de faire son BOULOT !!!
Emilie_rosengard
Un besoin de se recueillir pour la brune qui s'arrêta quelques instant dans l'église, pria puis reprit sa route vers ce qu'il lui semblait être le sud.

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Kartouche
Le magnifique Kartouche avait pour principe de ne jamais entrer dans une église aux mains des autorités romaines, les considérant remplies de trésors indûment accaparés et craignant de ne pouvoir supporter telle vue sans entrer en vive agitation. Or, s'il avait déjà eu l'occasion de voir une des églises de Limoges, la plus grande, près de laquelle il avait installé son bureau, il ne savait encore rien de celle de Saint-Michel-aux-Lions. Aussi, le premier soir de sa présence en la capitale limousine, il vit apparaître avec surprise au coin d'une rue ce lieu de culte gardé par deux lions. Et ces derniers ne manquèrent pas d'attirer son attention.

Tels les augures romains, le réjoui Kartouche conclut que Limoges, définitivement, était le lieu où il devait s'installer. Oh, certes, il n'y avait pas là vols de corbeaux ou foudres divines, mais ces deux lions, auxquels il ne pouvait s'empêcher d'ajouter des ailes, lui apparaissaient comme un signe venu d'en-haut. Aussi pria-t-il, agenouillé à même le sol, mais la dos tourné vers l'entrée, et non face aux lions comme l'aurait fait n'importe quel quidam équilibré. Il se releva peu de temps plus tard, et, après quelques instants d'hésitation, grimpa les marches du parvis et s'engouffra dans l'église.


«Boudiou ! C'est luxus, par ici... et fichtrement poussiéreux.»

Le désinvolte Kartouche avait dit cela fort peu doucement, sans le moindre égard pour les quelques fidèles qui auraient pu prier ou confesser à ce moment, et avec son accent caractéristique, venu des vallées germaniques. D'ailleurs, il n'avait pas même ôté son chapeau. Aussi, quand il décida de quitter les lieux, après quelques instants d'un lourd silence, n'eût-il pas besoin de remettre son immaculé couvre-chef.[/i]
Arnaut_de_malemort
Il ne faisait ni trop chaud, ni trop froid. Le temps, d'ailleurs, importait peu. C'était dans un état d'extrême rêverie qu'Arnaut évoluait dans les rues abandonnées de la capitale. Sa rapine du puit ne lui rapportait pas ; à croire que les gens de ce bourg ne sont poins trop crédule. Était-il déçu ? Que nenni ! Alors pour quel motif abscons s'était-il enfermé dans des rêveries agitées ? Une raison amorçait son périlleux voyage vers la conscience, le tout brodé par un fond de ruminations vaines. Une telle complexité d'esprit, à cet âge, relèverait presque du tragique. Mais derrière tout ce qui est exquis, on trouve du tragique.

Un lourd bourdonnement se fit entendre, révélant ainsi à Arnaut la faiblesse de sa concentration. L'insecte passa si proche de son oreille, que rapidement, la panique le pris ! Il avait une sainte horreur de ces bestioles. Si petite et si nuisible. Il frémit à l'idée de la voire entrer dans son oreille, ou pire, dans sa bouche. Quel réflexe aurait-il alors ? La mâcher ? L'espace d'un instant, il fut pris de dégoût. Cet incident décentra son esprit de ses préoccupations pour le ramener à la réalité de sa situation. Le hasard, s'il existe, avait amené Arnaut devant l'Eglise Saint Michel. Noyé dans le flou de ses pensés, ému par le signe soudain et incontestable de la présence d'une divinité l’ayant volontairement poussée en ce lieu, le garçon se laissa porter et pénétra dans la sainte maison de Dieu.

Son éducation religieuse fut plus que limitée, mais ce n’était pas par simple opposition avec sa mère qu’Arnaut avait prie goût à l’aristotélicisme. Son cheminement intérieur avait débuté par l’étonnante abnégation de son frère Barahir, dont la force n’avait d’égal que la foi. Etait-ce pour lui un simple refuge ? Ou un moyen véritable de trouver le chemin de la vertu ? Mon dieu qu’il était difficile pour le jeune Malemort de trouver ses repères, lui qui affronte bien seul les épreuves de la vie. A la mort de son frère succédait maintenant, celle de sa sœur. Il pénétra dans l’église soumise à un silence accablant. Le souffle du vent déformait capricieusement la volute des flammes. A partir des cierges par ici parsemés, s’élevaient des ombres solitaires. De chaque pas naissait une forme nouvelle. Des pas lourds du poids du chagrin. La mort s’était une fois encore abattue sur la famille Malemort. Arrivé à niveau de l’autel, il se laissa tomber, et genoux à terre, il s’abandonna aux larmes.

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Jade_craig
Jade avait decidée de poursuivre la visite de sa ville...peut etre que quelque part , elle retrouverait une partie de sa mémoire...Elle esperait et attendait ce moment avec impatience, esperant à chaque pas avoir ce flash...cette lumiere interieur qui pourrait lui faire continuer sa route comme elle aurait du....mais plus elle avançait, plus ses espoirs s'amenuisaient...ses pas se firent de plus en plus trainant...ses epaules se voutaient...

Elle passa devant l'Eglise, et là sans comprendre éprouva le besoin de rentrer dedans, de s'agenouiller, de prier, ...un besoin de se sentir reconforter, de se sentir entourée et aimer...
Elle poussa donc la lourde porte en bois et l'entendis grincer.. Elle rentra et machinalement se signa...Dans ce lieu, silencieux et sombre, elle ne distingua tout d'abord rien...ses yeux avaient besoin de s'accutumer..puis distinguant des personnes, elle prefera se faire discrete, longea en silence l'allée et se prosterna devant christos et Aristote...
ce lieu saint respirait la tranquilité, un calme se degagait et tout naturellement elle laissa parler son coeur et pleura de longues minutes, son corps etait secoué de spasme..elle pleurait son desespoir, sa solitude, son manque de repère.....

Puis enfin apaisé, s'approcha et alluma une bougie qui pour elle s'imbolisait l'espoir...l'espoir soit de se reconnaitre, soit de trouver au fond d'elle la force de vivre avec cette absence et de se reconstruire une nouvelle vie...

En pensant ne pas avoir été vue, elle partie discretement enfin apaisée...Se promis qu'au moindre doute , elle reviendrait ici, en ce lieu qui lui avait permis de l'aider à surmonter sa peine.
Mamoune
Avant de partir sur les routes Mamoune voulu aller prier à l'église.Il entra dans l'édifice et s'agenouilla devant l'autel. Il pria la prompte et forte poigne (Aristote) de le protéger de sa présence a ses cotés. Il pria ensuite pour que de l'aide soit apporter à tout ceux qui en avait besoin. Il pria aussi pour que la prompte et forte poigne (encore Aristote) l'aide a prendre de bonnes et justes décisions,en particulier sur les chemins du cœur.Le jeune homme se releva et avant de sortir alluma un cierge et déposa une rose bleu, signe de la Chevalerie.




Childebert
L'évêque de Limoges de retour de voyage pour trouver des curés avait finalement trouvé un Vicaire pas plus loin que le monastère d'Argentat.
Le Frère Mousse Père de l'Ordre Grégorien allait suppléer le vieil Evêque dans sa lourde charge. En attendant Childebert s'apprêter à dire la messe.


Les cloches se mirent à sonner lorsque quelques fidèles arrivèrent, chacun reçu une poignet de mains chaleureuse.

Bienvenu en l'Eglise de Limoges.

5 personnes étaient présente avec lui, chacune d'elle se présenta.

Benoite
Bloom
Cindy.34
Junino
Seleina

Mes frères, mes soeurs, je n'ai que deux points de confiance à vous accorder, c'est poiquoi je les distribuerai au hasard afin de vous remercier d'être entré dans la Maison du Très Haut.

Répétons le Crédo


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