Woland_von_selenios
Il eut été plus sage il est vrai de transporté la belle dans le lit du presbytère, mais le cur du vieux Megève s'étreint alors que la jeune femme passe ses bras autour de son cou. Il la soulève et la regarde dans les yeux avant qu'elle ne s'évanouisse :
"Par la Foi que j'ai en Christos, ma Dame, vous ne devez pas mourir. Il serait par trop injuste que la Mort, cette marâtre, fauche les jeunes pousses et laisse les vieilles ronces en paix. Par trop injuste, sur ma vie !"
Mais la jeune dame tombe inconsciente et Woland lève les yeux vers son ancien élève. Il lui fait un signe de tête et s'engage sur le chemin de sortie de la cathédrale.
Il lance à Gamalinas :
"Saint-Gervais, Synésios nous précède, il aura le temps de réveiller la maison Montjoie avant notre arrivée. Nous apportons un bien triste fardeau j'en ai peur... Est-ce quelque infection connue par toi ? Je la trouve par trop foudroyante pour être une maladie bénigne... Quel démon assez cruel a pu jeter tel maléfice à si jolie Dame ?"
Il presse le pas et peste :
"Diable de diable ! Eut-elle reçu quelque coup de sabre ou quelque arquebusade, que je l'aurai pu soigner en un rien de temps ! La peste soit des vermines et des infections !"
L'aube se lève à peine sur la capitale. Gamalinas et Woland apporte le corps inconscient d'Aélis, en même temps que le Soleil apporte le jour. Synésios court jusqu'à l'hostel des Montjoie. Raoul, dans son sommeil, cherche peut être le corps de son épouse, ou bien trouve-t-il celui d'une maitresse ? Peut être le Lézard réfléchit-il en fait devant une coupe de vin ou d'Armagnac, comme il le fait souvent à tout heure du jour et de la nuit ? C'est ce que nous apprendra la suite de cette histoire.
En attendant, Woland grogne tout ce qu'il sait des infections et cherche, mais en vain, quelque remède efficace pour cette tragique maladie.
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"Par la Foi que j'ai en Christos, ma Dame, vous ne devez pas mourir. Il serait par trop injuste que la Mort, cette marâtre, fauche les jeunes pousses et laisse les vieilles ronces en paix. Par trop injuste, sur ma vie !"
Mais la jeune dame tombe inconsciente et Woland lève les yeux vers son ancien élève. Il lui fait un signe de tête et s'engage sur le chemin de sortie de la cathédrale.
Il lance à Gamalinas :
"Saint-Gervais, Synésios nous précède, il aura le temps de réveiller la maison Montjoie avant notre arrivée. Nous apportons un bien triste fardeau j'en ai peur... Est-ce quelque infection connue par toi ? Je la trouve par trop foudroyante pour être une maladie bénigne... Quel démon assez cruel a pu jeter tel maléfice à si jolie Dame ?"
Il presse le pas et peste :
"Diable de diable ! Eut-elle reçu quelque coup de sabre ou quelque arquebusade, que je l'aurai pu soigner en un rien de temps ! La peste soit des vermines et des infections !"
L'aube se lève à peine sur la capitale. Gamalinas et Woland apporte le corps inconscient d'Aélis, en même temps que le Soleil apporte le jour. Synésios court jusqu'à l'hostel des Montjoie. Raoul, dans son sommeil, cherche peut être le corps de son épouse, ou bien trouve-t-il celui d'une maitresse ? Peut être le Lézard réfléchit-il en fait devant une coupe de vin ou d'Armagnac, comme il le fait souvent à tout heure du jour et de la nuit ? C'est ce que nous apprendra la suite de cette histoire.
En attendant, Woland grogne tout ce qu'il sait des infections et cherche, mais en vain, quelque remède efficace pour cette tragique maladie.
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