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[RP] Patte blanche à travers le judas

Laveternate
Lave s’habilla de manière très professionnelle , braies moulantes , corsage serré prêt à exploser , cheveux tirés en arrière pour se donner un air sérieux et s’en alla à la nouvelle taverne . Elle n’eut pas trop de difficulté à la trouver vu que tout le monde en faisait des gorges chaudes dans Fécamp .
Arrivée devant la porte, elle prit une profonde inspiration, serra sa mallette de médecin contre elle et frappa à la porte .
Eh ? Y’a quelqu’un ?
La doctoresse qui n’était pas très patiente de nature frappa plus fort .
Oh ? OH eh ??? Y’a du monde ? Vous allez m'ouvrir ou je le fais moi-même ?Je suis le médecin de ce village, mandatée par la ...euh ..non rien .... mais je vous conseille de vous montrer et vite !

Elle attendit en tapant du pied impatiemment ....
--Anais


Anaïs arriva à Fécamp, ce petit brin de femme, était tout ce qu'il y avait de plus charmant, d'une taille normal, un corps svelte bien proportionné sans pour autant avoir des gros avantages, aux cheveux d'un noir de jais, aux yeux d'un bleu cyan si profond qu'on se penserais dans un ravin où la chute serais inévitable. Mais des ces abysses, se lisait déjà une lassitude et une certaine tristesse.

Anaïs était affamé et en haillon. Mais elle avait sa fierté, elle ne souhaitait ni voler, ni mendier.
Elle se dirigea vers la mine, où malheureusement on lui dit que toutes les places étaient prise...

Son ventre gargouilla


Elle chercha du boulot a la mairie.... cette foi c'est les qualifications pour l'emploi qui était trop haute...

Son ventre gargouilla

Elle pensa a l'église, mais le souvenir cuisant des lanières de cuir de l'orphelinat, lui exprimait un dégout profond envers ce boulot.

Son ventre gargouilla Elle avait fin et ne voyait pas comment se nourrir...
Elle déambula donc en ville regardant si elle ne voyait pas une embauche par hasard. Son regard tomba alors sur une affichette où il était question de boulot, devant un endroit disons ... louche.. c'était une petite Auberge, avec des rideau rouge tirés devant les fenêtre, par un si beau temps ... bizarre...

Elle entra quand même ce renseigner

Son ventre gargouilla



Bonjour j'ai vu votre Annonce, vous rechercher des employer ?
--Finkbrau
Il resta seul avec la jouvencelle. Elle se présenta et lui montra qu'elle voulait rester maître de ses envies.

Aspasie, choli nom. Bour la dékorationnn, faudra faire avec zelle ki est déchà en blaze. On la chanchera quand la maison fera des bénéfices. Et fous choizirez.
Ach, l'arzent. Alors, z'est moi qui enkaisse à la kaisse et les filles auront leur part. Buis, nourri et logé, z'est un avantaze intérezant.


Pendant qu'ils discutaient, elle s'asseya montrant très allégrement ses cuisses. Il essaya de paraître indifférent bien qu'il sentait le désir de l'essayer avant de l'embaucher.
Il n'eut pas le temps, on frappait à la porte. Il se dirigea vers celle-ci, ouvrit le judas et regarda. Une femme brune, d'age mure se tenait devant. Il ouvrit la porte pour la laisser entrer. Elle se présenta comme médecin.


-Enchanté, ich bin Finkbrau, le taulier, vous foulez quoi? ..... . . . Ach, attendez. Parlez donc avec Aspasie que voizi. Je chuis à fous dans eine kleine moment

Au même moment, une jeune fille toute maigre à la chevelure très sombre en profita pour entrer.
Visiblement, elle cherchait du travail. Et cela tombait fort bien.


Alors, cheune demoiselle, fous cherchez du travaille? K'est-ce ke fous savez faire. Ou envie d'apprendre comme trafail?
Laveternate
Lave entra enfin et suivit l'homme qui la conduisit vers une femme assise qu'il présenta comme se nommant Aspasie . Elle ne comprit qu'à moitié qu'il était occupé et qu'elle devait attendre avec la dame .

Euh.... bonjour madame, je me présente, Laveternate , je suis le médecin de ce village .
Alors voilà , je suis venue pour veiller au bon état de santé du personnel de cet établissement , êtes-vous une employée ? Je sais que mon rôle n'est pas très apprécié mais ce dernier me semble nécessaire et vital pour le bien de tous, notamment celui des personnes qui exercent ici vu les risques qu'elles prennent pour leur santé . J'ai l'habitude et je suis totalement discrète , les consultations se feront aux heures creuses .


Puis se penchant vers la dame qui pour Lave, représentait la séduction personnalisée , elle murmura :

D'un point de vue plus personnel , j'aimerais discuter avec vous si vous le voulez bien, j'ai un problème , je ne sais pas ....comment dire ...euh ....disons que je ne suis pas douée ....pour plaire aux hommes ....
--Anais


L'homme ouvra la porte, et lui dit d'un accent bizarre

Alors, cheune demoiselle, fous cherchez du travaille? K'est-ce ke fous savez faire. Ou envie d'apprendre comme trafail?

Anaïs mis un bon moment a comprendre ce qu'avait dit le monsieur. Après un long silence elle répondit de sa petite voix.

Oui j'ai faim, je veux bien travailler pour gagner ma pitance, je sais faire la cuisine et le ménage, mais je veut bien apprendre d'autre chose si il y a besoin.


Elle était timide, ça ne lui a jamais réussi, elle espérais être embauché, son ventre comptait sur elle.
--Armand


Le cheval s'arrêta net à la demande de son cavalier. l'animal avait du parcourir une bonne distance car ses naseaux lâchaient de la vapeur. L'homme descendit de sa monture avec une grande souplesse. Sa chevelure était noire, ses yeux noirs aussi. Il possédait un visage à la beauté du diable. Il attrappa sa canne maintenue sur la selle. Il donna un coup sur le flanc de sa monture qui détalla la rue.
Il regarda autour de lui, le lieu n'était pas très discrêt pour ouvrir une maison clause. Son coursier lui avait indiqué l'adresse, mais il préférait se rendre compte par lui-même si il pouvait enfin trouver une courtisane digne de son nom.
Il frappa la porte avec sa canne.
--Aspasie
Aspasie réflechissait aux paroles du maitre des lieux et attendait son retour pour mettre aux points certains petits details , il ne semblait pas avoir compris ce qu'elle lui proposait, il etait hors de question qu'il ait la moindre main mise sur ses activités . Souriant interieurement, elle se dit qu'elle arriverait bien à le convaincre .

Il lui amena une femme d'un certain âge au physique ingrat , c'etait un medecin . Elle avait l'air compétente mais ce qu'elle lui chuchota au bout d'un moment ne la surprit pas . Quelquefois , des femmes lui posaient ce genre de question, elle sourit et répondit :

Je vous aiderai dame mais il va y avoir du boulot , j'en ai peur ... Votre apparence ..est ..euh ..comment dire ...un peu ....abrupte .... mais vous avez des atouts ..par exemple cette poitrine ... avec ça ..croyez -moi, j'en ai mis plus d'un dans ma poche ...voir dans mon lit ... Enfin, nous en reparlerons , j'attends mon patron ....

Signifiant d'un geste que la femme pouvait partir , elle se repositionna sur sa chaise en desserrant un peu le lacet de son corsage qui ne cachait plus rien de sa poitrine aguichante . Elle prit un verre sur la comptoir et sirota le breuvage en faisant la grimace ...

Quelle drôle de boisson , qu'est-ce donc ? Il va me falloir en faire boire aux clients , faut que je m'habitue à l'odeur ...

Fink ne revenait toujours pas, elle se pencha à la fenêtre pour voir si il n'etait pas dehors et c'est là qu'elle l'aperçut ...

Un homme ... magnifique .... il sauta à bas de son cheval fougueux avec souplesse et son port de tête aussi altier que celui d'un roi ...sublime .... Ses cheveux couleur d'ébène , son profil droit .... la beauté du diable ....

Aspasie était sûre de ses charmes et aucun doute, il était venu pour elle . Sa première journée de travail se dessinait sous de belles augures . Elle monta à l'étage pour se preparer ....
--Finkbrau


Oui j'ai faim, je veux bien travailler pour gagner ma pitance, je sais faire la cuisine et le ménage, mais je veut bien apprendre d'autre chose si il y a besoin.

Il étudia la jeunette, il pourrait en faire une gagneuse, certains hommes aimaient bien les saintes-nitouches qui paraissaient timides mais entreprenantes par la suite. Il lui fallait la guider vers ce chemin. Il lui releva le menton pour la regarder, elle rougissait.

-Hop-là, faut pas être timide comme ça, che vas pas fous manger. Va bour le ménaze dans les jambres, et la kuche, euh, la kuisine, on vferra si c'est bon. Bour les zautres trafaux, tu apbrendras avec Aspasie. Elle te montrera.

Des coups toquèrent à la porte, il la mit à l'épreuve de suite.. Voir si elle pouvait vaincre son angoisse.

Allez, fa ouvrir, si c'est un homme, tu le fais pazienter dans ce coin, et tu reste près de lui, très très près même. Si c'est une femme, tu me l'amènes. Ton trafail commenze maintenant. Et souris un beu! Ai l'air heureuze!!
--Anais


La jeune fille essaya de sourire, mais elle n'obtint qu'un sourire hésitant. Elle alla ouvrir la porte, elle savait que c'était sa chance de pouvoir entrer dans la vie. Elle hésita quelques secondes , la main au dessus de la poignée, puis se décida et tourna la poignée. Qu'elle ne fut son étonnement devant un homme aussi grand et aussi ... majestueux, ces cheveux miroitait au soleil, et une confiance prétentieuse le rendait beaucoup plus grand qu'il ne le paressait. Elle se reprit et dit

Bon ... Bonjour que puis-je pour ... vous ?


Elle baissai le regard ,mai elle était fière d'elle, elle avait parler de vive voix.
--Lagardere
.

Lagardere arriva devant l'établissement qu'un homme lui avait indiqué,quand il avait demandé ou il pouvait trouvé un lieux de plaisir.
il était de taille normal, des cheveux bruns lui tombant sur les épaules,ses yeux étaient d'un bleu azur,son corp était puissant,mais sans une once de graisse.

Lagardere frappa a la porte de la demeure,il avait chevauché des jours et des jours,il avait été si seul des jours durant qu'il avait besoin de compagnie ,et meme voir de galante compagnie,il espérait en trouver ici,il aimait la compagnie des femmes qui travaillaient dans ses maisons,car en plus de donner leur corp ,elles avais un coeur elles aussi ,il aimait parler avec elles apres leur avoir fait l'amour.
--Armand


Armand commençait à s'impatienter. Il frappa de nouveau à la porte agaçé. Il n'aimait pas attendre. Une jeune femme ouvrit la porte. Il la regarda à peine. Il pénétra dans le lieu de perdition. Ses yeux de corbeau détaillèrent l'entrée. Il y avait du travail pour attirer les nobles...Enfin, bref, il croisa les yeux la jeune femme, elle le salua.

"Salutation Damoiselle, je suppose que vous n'êtes pas la propritéaire des lieux ?"

Il apprécia le regard fier qu'elle lui porta.
Armand ôta ses gants de cuir qui laisèrent paraître des mains superbes.
--Finkbrau


Aspasie avait monté quatre à quatre les escaliers, il la regarda et entrevit furtivement sous son jupon, pas de quoi fouetter un chat, mais suffisament pour l'émoustiller.

La petite était occupé avec un homme, un noble apparement qui venait s'encanailler. Il les laissa de coté, il sentait la suffisance et Finkbrau n'aimait pas ses gens là.
On toquait encore à la porte, il alla ouvrir.


-Bonchour mezire, entrez donc.

Finkbrau s'apercut qu'il n'avait plus de filles sous la main. Mais que faisait donc Aspasie?

- Godfernami!! Aspazie!! Kommt hier!! ach, Beux-tu fenir!! puis s'adressant à l'homme, entrez, brenez un ziège, azeyez vous, che vous trouve une compagnie.

Il se dit que pour une première journée, ça promettait. Il vit la femme brune seule. Il alla la rejoindre dans le boudoir. Il lui fit son sourire enjoleur.

-Ach, feuillez m'excusez, che zuis donc Finkbrau. Vous zerchez du travail auzzi? A fous voir, che benze, arf, che pense que vous avez une zertaine éxpérienze du métier.

Tout en lui parlant, il lui posa doucement une main sur le genoux et lui sourit encore.
Il y a un homme zeul là-bas, vous bouvez fous en occuper? On fera konnaizance blus tard.
--Aspasie
Aspasie entra dans une chambre au hasard et se prépara , elle commença par enfiler une tenue adéquate ..c'est à dire légère et vaporeuse ... ensuite, elle se maquilla soigneusement et généreusement , ses lèvres encore plus rouges et plus pulpeuses que d'habitude ... D'un geste lent , elle se donna 100 coups de brosse dans les cheveux pour les rendre brillants comme de l'or au soleil ... Un léger soupçon de parfum capiteux derrière les oreilles , elle se regarda dans le miroir :

Allez ma belle , au boulot !

C'est à ce moment qu'elle entendit que Fink l'appelait .

Il faudra que je voie avec lui, la façon de travailler , il ne doit pas savoir ce que c'est qu'une "fille" de luxe ... Faut dire qu'avec l'accent qu'il a et sa voix guturrale , je doute qu'il ait la moindre once d'éducation .

La belle commença a descendre l'escalier ...


Oui ??? Je suis là , C'est pourquoi ?

Souriant à l'eventuel client qui était à coté de Fink, elle se pencha sur le tenancier :

Celui là, je le prends mais dès que possible, nous mettrons au point certains petits détails . Et c'est moi qui m'occupe de l'encaissement !
Un regard plus que ferme et décidé cloua le bec à Fink qui commençait à essayer de dire quelque chose ...

Reportant son attention sur le visiteur qui attendait en la regardant déjà avec envie , elle lui fit un signe de tête pour qu'il la suive ...

Laveternate
Lave regarda avec horreur, l'affreux z'homme s'asseoir près d'elle et lui faire un sourire mielleux pire qu'Aupyl quand il réclamait ses impots.


"Ach, feuillez m'excusez, che zuis donc Finkbrau. Vous zerchez du travail auzzi? A fous voir, che benze, arf, che pense que vous avez une zertaine éxpérienze du métier."

Lorsqu'il posa sa main sur sa cuisse , elle lui enleva aussitôt .

Mais dites-donc, ne vous génez pas !!

Lave se leva prestement , si prestement que son corsage faillit eclater .

Je ne cherche pas du travail ! Je suis le docteur Laveternate et je viens m'assurer de l'état sanitaire de ce bouge ! Veuillez donc, immédiatement , me conduire dans toutes vos chambres et me presenter vos "filles "!
Je passerai reguièrement faire une inspection et j'attends de vous totale cooperation , sachez que j'ai le bras long ..


Eh oui, si le bras de Lave avait été moins long, la face du monde en aurait été changée ...

C'est alors qu'elle aperçut dans le couloir, un homme aux cheveux noirs et à l'allure altière ,beau comme un dieu ou plutot comme le diable lui-même , Lave s'arreta net de parler et resta bouche bée ... comme quand Tuck lui .... enfin bref .... comme disait Pépin !

Elle se reprit au bout de quelques minutes et regarda le tenancier d'un air roublard :


Je pense que je vais aussi examiner vos clients, il me semble que celui que j'aperçois là n'est pas sain ...
--Armand


Armand plongea son regard d'aigle dans celui de la jeune femme. Elle avait l'air moins sûre d'un coup. Il s'en amusa.

"Vous devez être tout fraîchement débarquée ici ?"

De sa main, il frôla la joue d'Anaïs. Elle avait l'air d'être ailleurs. Il entendait des voix sur le côte. Il délaissa la jeune femme. Il était venu voir le tenanciers des lieux.
Armand s'avança avec une démarche de félin vers la sortie du couloir. Il se retrouva nez à nez avec une femme qui était avait un visage avec des traits intéressants.
Il eut un sourire carnassier. Il hôcha la tête avec grâce pour la saluer.
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