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[RP] Patte blanche à travers le judas

--Lagardere
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lagardère vis arriver une femme dont la beauté l'ensorcela de suite ,il avait envie d'elle.

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bonjour belle dame je me présente sir Lagardere pour combler tous vos envies charnel et autres ,je vous trouves si belle et si féminine,demandée et je ferais ce que vous voulez.

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il déposa un lége baiser sur sa main ,il regarda les formes de la dame et ses yeux s'arréterent sur ses seins si bien fais.
--Finkbrau
Mais dites-donc, ne vous génez pas !!
.......
Veuillez donc, immédiatement , me conduire dans toutes vos chambres et me presenter vos "filles "!


Dommage, il aurait essayé, une dominatrice d'homme, certains aimaient ça. Surtout les jeunes jouvenceaux qui ne savaient rien des choses de l'amour.
-Ach, mes filles? Elles ne zont que deux, vous afez parlé afec Aspasie et la betite là-bas, c'est la betite. Che fiens chuste de les embaucher. Z'est frai que che foudrais bien safoir si elle est zont saines. Che veux une maizon recbectable.
Zinon, che donne un peu de plaisir aux dames auzzi, z'est une maizon pour tous. Fous m'examinerai blus tard. Auf wied..... à doute à l'heure.


Il se dirigea vers le premier homme aux gants en cuir, il ne l'aimait pas au premier regard, mais il se devait de paraître affable avec ses clients. Il vint à coté de lui:

-Za va? mezzire? bas de broblèmes? Un ferre? en attendant, c'est la maizon qui offre.

Finkbrau passa encore derière le comptoir pour se mettre face à lui.
Laveternate
Le regard de rapace n'échappa pas à la jeune ..enfin ..pu trop jeune ... à la vieille ..enfin pas trop vieille ..disons à la femme mûre . A peine troublée, Lave haussa les épaules et sourit au tenancier qui lui chuchotait une proposition abracadabrante ...

Donner du plaisir aux dames ..pffff ... Lave avait tout ce qu'il fallait à Fécamp , Tuck lui avait fabriqué tout un tas de jouets en bois et parfois, elle echangeait avec sa copine Matou qui , elle , en avait de son mari le forgeron ... il Fallait juste faire attention aux echardes mais la doctoresse ne craignait pas l'épine !

Jetant un oeil vers l'escalier ou la dénommée Aspasie entrainait un client qui bavait déjà ,sans doute son ami Pui Pui l'escargot , elle repéra bien le mouvement des hanches de la belle pour essayer de le reproduire à l'occasion . On ne sait jamais , si un jour, elle avait la possibilité de monter au phare avec Jobart time derrère elle ..

Puisque Fink se mettait au bar, elle décida de faire une petite pause avant de retourner à son cabinet . Elle s'installa donc sur un des tabourets et fit signe au corbeau de venir la rejoindre .


Approchez vous, messire , nous allons faire connaissance . Je m'appelle Dame Laveternate , je suis le medecin de cette ville et la discrétion est ma principale qualité, tout le monde pourra vous le dire . Je suis présente ici pour veiller sur les filles et ..... leurs clients ....

Allons, barman, servez nous donc un verre de ce Calva que vous cachez dans votre cave !!
Fécamp est une ville de plaisir et le calva en est le roi !! Bon y'a aussi Aupyl, notre maire ... mais il passe après le calva !


Les jambes croisées , le ton désinvolte , les seins glorieux , le sourire optimiste , la cambrure des reins epoustouflante, les mains caressantes sur le bord du verre de calva , les yeux petillants , la bouche gourmande ... tout cela composait un tableau assez insolite mais les deux hommes n'y étaient pas indifférents ... du moins, c'est ce qu'elle esperait...

Tout à coup , elle sauta de son tabouret .


Ciel,mon mardi, j'avais oublié, j'ai des patients à voir au cabinet !! excusez moi, je dois filer en urgence . Attrapant son verre qu'elle vida d'un trait , elle les salua de la tête et s'enfuit en courant ...
Prise dans son élan , elle se cogna à un cheval qui trainait devant la porte , vexée, elle lui donna un coup de pied .

Sale bourrique , qu'est-ce que tu fais dans mes pattes !! vais te faire du steak de cheval moi , tu vas voir !
--Aspasie
Aspasie sourit à son client qui avait l’air de vouloir oublier le coté « professionnel » de la chose , elle aimait bien ce genre de clients , des sentimentaux , sans doute le genre d’homme qui avait plus envie de parler et d’être écouté que d’autres choses plus tordues ... Ce ne serait pas très compliqué de le contenter et il était plutôt agréable à regarder , que demander de plus pour commencer la journée . Elle repensa à l’autre homme qu’elle avait aperçu par la fenêtre , celui-là promettait d’être plus retors …bah tant pis, il serait pour l’oie blanche qui était arrivée juste après elle .

Ainsi, vous vous appelez Lagardère ? Moi, Je suis Aspasie , à votre service, pour votre plaisir messire …

Elle l’entraina vers une chambre en le prenant par la main . Avant d’entrer, elle lui tendit la main et murmura :
C’est payable d’avance , 1000 écus , vous ne serez pas déçu , croyez moi noble messire !
Pour le troubler , elle se rapprocha de lui , effleurant son épaule de sa chevelure dorée et lui soufflant son haleine sucrée et voluptueuse en plein visage . Ses lèvres rouges et gonflées étaient une invitation muette à laquelle peu de porte-monnaie avaient résisté …

--Lagardere
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Lagardère était ravi ,la dame était belle,il avait vraiment envie de passer du bon temps avec elle, ses formes lui donnait envies de passer de bons moments,il lui donna son argent sans rien dire,il se permitde lui donner un baiser sur ses levres de braises.

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je vous suivrais ou vous voulez madame,je sesns que nous allons passer du bon temp set comme je ne suis pas pret de mes écus je vous en donnes 500 de plus mais je veux tout faire et discuter apres.

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il lui posa une main sur un sein.
--Aspasie
Ainsi fut dit, ainsi fut fait ... Elle lui fit tout et même plus ..

Quelques heures plus tard , Aspasie se leva enfin et passa un peignoir vaporeux sur ses épaules , elle s'assit devant sa coiffeuse et commença à peigner ses cheveux .. Ils etaient dorés et lisses ..descendant plus bas que ses fesses ...

Lagardère gisait sur le lit , totalement epuisé mais heureux vu sa mine rejouie . Elle se retourna et lui décocha un sourire bordé de lèvres encore gonflées de baisers . Elle le trouvait encore plus adorable maintenant qu'il lui avait donné tout ce qu'il pouvait avec fougue et passion , peu d'hommes avaient une telle endurance, on sentait que c'était un homme d'action...

Alors mon joli messire , raconte-moi ce qui t'a conduit à venir ici ce jour ?
--Lagardere
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lagardère était aux anges, Aspasie avait su lui donner tout ce qu'il était venu chercher, cette femme était une fée des plaisirs charnels, son corps respirait la sensualité, sa bouche savait oeuvrer pour le plaisir de l'homme.
Lagardère redonna 600 écus pour pouvoir la caresser a nouveau,il était fou de sa poitrine.


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merci pour le plaisir ma belle dame, si tu le veux je viendrais te voir chaque semaine,et tu sera en quelque sorte ma maitresse ,je ne veux que toi quand a savoir pourquoi je suis venu, je te le dirais la prochaine fois si tu le veux bien, aujourd'hui tu as dépassé mes exigeances.



il lui demanda de revenir un peu sur la couche ,il la caressa à nouveau, les seins de cette femme le rendaient fou .
Il se revetit la remercia et lui promit de revenir la semaine d'apres,il lui prit une derniere fois les levres et sorti de la chambre.
--Finkbrau


Ca commençait à prendre forme. Déjà, un client pour l'Aspasie, Finkbrau regrettait de n'avoir pas pu entendre sur quel prix, ils s'étaient mis d'accord. Bah, bas grave se dit il, je rékubérai bien abrès.
Il n'avait eu que juste le temps de tourner le sablier correspondant à la chambre occupée.
L'homme aux belles mains avait l'air de compter fleurette à la petite qui ne savait que dire.
Deux filles, deux clients. Il sourit de contentement.

Finkbrau resta derrière son comptoir. Au dessus de lui, les bruits du lit qui grince lui disaient que tout se passait bien.
Il surveillait du coup de l'oeil la chute du sable dans le sablier.
...
Le sablier était fini, et aucun des deux ne redescendait. Il n'aimait pas ça, ce n'est pas qu'il y avait foule et que le temps, c'était de l'argent, mais ça lui déplaisait. Fallait pas que ça devienne une habitude.
Il fit le tour de comptoir et monta dans l'escalier. Sur le palier, il vit l'homme qui sortait de la chambre.

-Alorrrrs? Mezzire est zatisfait? Fous refiendrez, n'est-ze bas? en lui faisant un clin d'oeil complice.
Il laissa l'homme partir. Ne pas embarasser le client en lui posant trop de questions, il l'avait appris.

Il attendit un peu et s'approcha à pas de loup, d'une teinture dans le couloir. Il la tira sur le coté et colla son oeil à un trou qui lui permettait de surveiller les activités dans les chambre. Il la voyait à demi-nue dans le lit, mais vivante.
Il se rappelait l'histoire qu'on se racontait dans ce milieu qu'un client égorgait les filles. Il ne voulait pas de ça ici.
Il rabatit la teinture, et alla toquer à la porte.

-Aspazie! Faut k'on barles. Et faut k'on mette les chozes au boint. Déchà, combien, il a bayé?
--Armand
Armand se demandait où tout le monde était passé. Il avait bien vu une femme belle malgrè ses artifices. Il décida de s'avancer et de prendre place sur un siège en attendant que le tenancier revienne. Il croisa ses jambes et il remit une mèche noire en place.

"Il me semble que je vais apprécier ce lieu de débauches."

Un sourire carnassier se dessina sur ses lèvres charnues.


--Aspasie
Aspasie retourna s'asseoir sur le bord du lit et lui offrit sa gorge encore chaude . Elle prit les billets et se mit à les compter en les melangeant aux autres tout en le laissant caresser sa poitrine voluptueuse . Il voulait qu'elle soit sa regulière , c'était interessant mais un peu dangereux , il risquait de s'attacher et ce n'etait pas bon dans ce metier , enfin, elle verrait bien plus tard, il se lasserait de lui-même sans doute, l'homme aime la chair mais elle a plus de goût lorsqu'elle est nouvelle ...

Elle le laissa partir après un dernier baiser, s'allongea sur le lit et ensuite s'etendit comme une chatte ensommeillée . C'est alors qu'elle entendit Fink derrière la porte :

Aspazie! Faut k'on barles. Et faut k'on mette les chozes au boint. Déchà, combien, il a bayé?

Décidément, même pas une seconde de repit ...

Entrez donc messire Finkbrau au lieu de hurler derrière cette porte , on ne vous a jamais appris la discrétion ?

Oui, il va y avoir des choses à mettre au point avec ce rustre ....
Aupyl


encore une... doucement...
ouais....
encore une,....
aïe


Bliing biling, bling! Patatras, la pile d'écus était tombé et en entrainait d'autres dans la chute.
C'était comme ça qu'Aupyl tuait le temps dans son bureau à la mairie en empilant les écus. Il s'enfermait et comptait et recomptait les écus.
Mais, cette histoire de maison close ne lui plaisait pas, il avait beau se remplir la tête pleine de chiffres, ça le travaillait.

Il sortit et se dirigea d'un pas décidé vers cet antre de la luxure. Il avait déjà du mal à tolérer les couples illégitimes et surtout non mariés. Il n'appréciait pas cette maison de débauche, c'était trop.
Il marchait d'un pas vif, saluant rapidement les gens qui le reconnaissaient, marmonnant un bonjour de circonstance.

Il arriva devant la porte et utilisa le heurtoir pour annoncer sa venue. L'air décidé de mettre les points sur les i, il attendit un peu, se recula de la porte, regardant aux fenêtres, puis revenant frapper à la porte.

_________________
En route vers les élevages de chèvres ou les tapisseries, si j'en trouve.
Pomme d'Argent promotion mai 1457
--Tresor
Un homme à l’allure étrange traversait le village ,il regardait droit devant lui semblant savoir où il allait , mû par on ne sait quel mécanisme . Ses longues enjambées souples et déliées le conduisaient droit vers les faubourgs détournés de Fécamp , il avait une allure féline , légère malgré sa carrure imposante . Un moine qui passait par là cru voir le diable en personne et se signa en baissant la tête , quelques enfants s’arrêtèrent un instant de jouer, surpris de voir ce qu’ils n’avaient jamais vu , des femmes qui rentraient du lavoir se poussaient du coude en riant et en le regardant avec effronterie …un chat vint se frotter à sa jambe .. Il continuait d’avancer tranquillement , une sorte de pagne multicolore enserrant sa taille et épousant ses hanches fines , son torse était nu et brillant , sa peau était aussi noire que l’ébène, ce bois si précieux qu’on importait d’Afrique .


Ses yeux noirs et vifs s’arrêtèrent sur la porte de la taverne de la Patte Blanche . Il regarda un instant un homme tambouriner à la porte et s’approcha .

Bonjou messire là dis don … vous desiwez entwer aussi ?

Montrant deux belles rangées de dents blanches parfaitement alignées , il sourit au messire et leva le poing qu’il abattit puissamment sur la porte faisant trembler toute la maison en entier ..ou presque …

Il faut appouyer plou fort pour fouapper messire ! En attendant , Permettez que je mi pwesente là pwésentement ! je souis Twésor , je viens de twés loin ..plou loin que l’océan !!! et je viens twaouailler ici …
Aupyl


Alors qu'il regardait les fenêtres, Aupyl vit un homme noir venant vers lui. Il n'en avait jamais vu, il en avait entendu parler telle une rumeur.
Mais il ne pouvait y croire. Cela depassait son imagination.

Il se demanda si la Créature Sans Nom ne lui envoyait pas une épreuve de plus avant d'affronter le temple de la luxure.
Il ne savait rien de ces hommes noirs. Ca le choquait presque en entendant les colporteurs qui en parlait. Mais là, devant lui, un de ces hommes. Il en était héberlué.
Il se trouva tout surpris de le voir toquer à la porte, puis de venir lui parler.

Aupyl était pétrifié, il avait peur pour son âme. Il vit la bouche s'ouvrir, et découvrant des dents qui contrastaient étrangement avec la peau noire de l'homme.
Puis, ce fut la voix qu'il le glaca. Il parlait comme les autres hommes, mais avec une intonation saccadée et un manque de r dans les mots. Aupyl, avait entendu des accents lors de son voyage en Languedoc, des acents chantants vers Montpellier, des intonations plus hautes dans d'autres régions. Mais, ça, il ne l'avait jamais entendu.
L'homme dit qu'il venait plus loin que l'océan, sans doute les anglois.

Aupyl se tenait les bras ballants sans réaction, suivant l'homme du regard
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En route vers les élevages de chèvres ou les tapisseries, si j'en trouve.
Pomme d'Argent promotion mai 1457
--Armand


Armand fût dérangé dans sa contemplation par des coups donnés à la porte. Ne voyant personne venir répondre, il se leva avec souplesse. Il jeta un regard vers l'escalier : Personne.

Il alla ouvrir la porte. Il découvrit derrière la porte un homme avec un léger embonpoint qui avait un air terrifié.
Et là, l'étonnement se lit la première fois sur le visage d l'aigle. Un homme à la couleur ébène...des dents d'une blancheur éclatante. Il était imposant le bougre.

"Salutation à vous, que puis-je pour vous ?"
--Tresor
Bonjou Messire ! Je m'appelle Touésow et je viens pwopwoser mes sewvices là dis don ... Dans mon village, toutes les filles se battent pour pawtager la couche de Twéso le bwave , on dit que je suis doué pouw ça alows voilà, j'ai decidé d'en faiwe mon metier .

Le géant noir rajuste son pagne et se retourne vers le petit bonhomme bedonnant qu'il designe du doigt .

Je cwois que ce monsieur aussi , il chewche du twavail ...
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