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[RP] Patte blanche à travers le judas

Aupyl


Je cwois que ce monsieur aussi , il chewche du twavail ...

Aupyl fut estomaqué:

Hein?..... Quoi? Je.... Non..... Pas pour....... Nan nan nan! dit-il en niant de la tête violemment.

Il partit en courant vers la mairie, il ne voulait pas qu'on le voie devant cette maison, les rumeurs iraient trop bon train. Ce n'est pas encore maintenant qu'il arriverait à taxer ce lieu de débauche.

_________________
En route vers les élevages de chèvres ou les tapisseries, si j'en trouve.
Pomme d'Argent promotion mai 1457
--Armand


Armand invita l'homme de couleur ébène à entrer. Il se mit à rire quand il vit l'homme détaller comme un lapin.
"Je ne suis pas le tenancier du lieu. Je pense que tu auras tes chances pour te faire embaucher ici !"
--Finkbrau


Entrez donc messire Finkbrau au lieu de hurler derrière cette porte , on ne vous a jamais appris la discrétion ?

Barf! La dizcretion? Buis, d'abord, ch'ai pas hurlé, je barles fort, z'est comme za. . .Zo? Wieviel? Ach... Kombien il t'as donné?

Il s'assit sur le bord du lit à coté de sa gagneuse. Il découvrait son odeur de femme et cela lui chatouillait les narines agréablement.

-Bon, faudrait pas que tu montes tout de zuite avec le client. Il faut le faire conzommer un beu. Et un mensch, arf, un hômme qui a bu du schnaps, il aura du mal à ... avoir une...... arf, comment on dit déchà, .....une éreczion, il fous usera moins. Z'est que je vfeux brendre soin de fous. Allez, Yop là ho, y'a encore des clients en bas. Y z'attendent que toi.

Finkbrau sortit de la chambre et redescendit . Il vit son deuxième visiteur ouvrir la porte, un homme noir entra et lui parlait. Finkbrau se demanda si il avait été envoyé par un de ses collégues de Bordeaux. Si tel était le cas, de l'exotisme, voilà qui enchanterait les dames d'ici, normalement. Cela avait toujours du succès. Restait plus qu'à les attirer.
Il continua de descendre et se présenta:

Bonchour, ich, ...... che zuis Finkbrau, le patron. Komment tu t'abbelles? Tu viens de la bart de qui tu sais? Eine moment...

Il se dirigea vers l'autre homme et lui chuchota.
"Tout ze pazze bien? Dézolé de fous faire attendre komme za. Laquelle fous préférez? La betite, là? ou la grande en haut?
--Armand


Armand regarda Finkbrau quand il vint vers eux. Il arracha son regard de l'homme d'ébène et il répondit au tenancier qui lui parlait.

"Je veux la Belle du haut pour commencer ! Je paie aussi pour que tu nous fasses monter à boire !"

Armand sortit de sa poche une bourse remplie d'une centaine d'écus. Il la lança avec arrogance à Finkbrau.
--Finkbrau


Surpris par le lancer de bourse, Finkbrau la rattrapa de justesse. Au poids, il sentit que celle-ci était bien remplie. Il souria obsequieusement à l'homme et inclina la tête.

-Monzieur est trop bon. Vos dézirs sont des ordreuh... Che fous zers un betit alcool de bar chez moi. Et che ne le compte bas sur la noteuh. Elle va deszendre, elle ze fait belle rien gue bour fous.

En passant derrière le comptoir, il chuchota à la petite:
-Il a dit , bour commenzer, alors tu iras foir komment elle trafaille, che te montrerais où rekarder.
--Armand


Armand prit place sur un siège. Il éttira ses jambes comme un chat. Il commençait à s'amuser de la situation. Avec l'argent, on obtenait tout ! Il avait toujours eu ce qu'il voulait. Il remit en place sa mèche de cheveux.

"Oui, un verre je vous prie...Dîtes vous allez avoir de nouvelles Belles ?"
--Anais



Cela faisait un petit moment qu'Anais se faisait discrète de peur de déranger.
Elle entendit les discutions et Finkbrau dénia enfin lui adresser la parole :

-Il a dit , bour commenzer, alors tu iras foir komment elle trafaille, che te montrerais où rekarder.

A ces mots, elle regarda Finkbrau d'un air interrogative mais elle répondit tout de même.

Oui monsieur, maintenant ?
--Finkbrau


La petite avait l'air perdu et complétement dépassé. Finkbrau leva les yeux au ciel, en signe de dépit.

Yo, maintenant, quand elle zera deszendu.
Ach, mais dis moi? Tu as chamais konnu d'homme ou koi? Hein, dis moi?


Finkbrau avait les yeux qui brillait en la regardant avec concupiscence. Il se réserverait bien sa petite fleur d'amour rien que pour lui. Ou l'offrirait après enchères à un de ses riches clients. Ce dilemne l'agaca. Il chasse ses idées de son esprit. Il lui chuchota:

Arf. Allez, au trafail. Colle toi au mezzire, frottes-toi à lui, faut le chauvver un beu. Lui faire esbérer l'inesbérable.
--Aspasie
Après avoir écouté sagement Finkbrau, Aspasie le regarda s'en aller en souriant .

Ne t'inquiète pas , Fink, tu auras ton pourcentage , je me repoudre le nez et j'arrive , je crois qu'il y a du monde en bas !

La belle se mit devant le miroir et arrangea ses cheveux, remit en place sa poitrine voluptueuse qui avait toujours l'air de vouloir s'évader du corsage trop étroit . Elle se maquilla un peu les yeux d'un trait noir et posa une couche de rouge sur ses lèvres qu'elle pinça entre ses dents pour les gonfler un peu plus . Un dernier coup d'oeil dans le miroir qui semblait repondre à sa question muette :

mais oui tu es la plus belle des belles de tout le royaume et si je n'étais pas un miroir , je mettrais ma fortune à tes pieds ...

Aspasie s'avança lentement vers le haut des escaliers , toussota légérement ....et se mit à descendre quand les visages se tournèrent vers elle .

La salle était occupée par plusieurs personnes toutes aussi interressantes les unes que les autres , elle vit d'abord la fille qui avait l'air aux abois , le genre de sainte nitouche que certains clients aimaient .. Bien sur le géant à peau noir n'échappa pas à son regard , quel beau specimen de race humaine , elle se demandait bien où Fink avait deniché cet étalon superbe ! Ensuite, il y avait Fink , derrière son bar, affable et le regard bas devant un client qui regardait tout ce petit monde de haut , remplit de suffisance et d'arrogance ...

Pffff ... se dit la catin, en voilà un qui va me donner du fil à retordre... c'est un vicieux, ça se voit, un pervers , ça se sent .... mais en même temps, qu'est-ce qu'il est bien bâti ....

Sans demander son reste , elle s'approcha de l'homme à la face d'aigle et posa une main sur son épaule tout en le regardant et en lui offrant son corsage ouvert en pleine face .

Mmmmmm bonsoir messire , ... je m'appelle Aspasie ....

Tout en lui parlant doucement et lascivement ... elle porta la main à sa gorge qu'elle caressa voluptueusement ...

Je suis Aspasie pour vous servir ,
pour votre plaisir ,
tout ce qu'un messire ,
puisse eprouver comme désir ...
à vous de choisir ....
j'obeis sans faiblir
--Armand


Armand délaissa les autres personnes du regard et il porta celui-ci sur la belle Aspasie. Sa démarche était très calculée, il s'en amusa. Elle devait avoir de l'expérience dans le domaine de l'amour. Il Sentit sa main sur son épaule. Il se redressa de son siège avec grace. Il avait jeté un oeil sur la poitrine généreuse de la Belle. Elle le salua.
Il lui prit la main et il lui fit un baise-main.

"Je souhaiterai un endroit un peu plus intime ma Belle pour réaliser mes désirs !"

Un sourire conquérant, il lui emboita le pas.
--Aspasie
Citation:
"Je souhaiterai un endroit un peu plus intime ma Belle pour réaliser mes désirs !"


Aspasie sourit lorsqu'il se leva et lui baisa la main tout comme si elle avait été une grand dame .. .
Suivez-moi messire , je passe devant , je ne voudrais pas que vous vous perdiez .
Elle fit un signe à Finkbrau et forma le chiffre 6 avec ses doigts pour qu'il sache où elle allait avec le client . Elle savait qu'un miroir sans tain dans la chambre 6 permettrait à l'oie blanche de prendre un cours ... Exagérant son déhanchement , elle commença à monter les escaliers se retournant de temps à autre pour verifier si le messire suivait .



Lorsqu'ils furent enfin dans la chambre , elle l'arreta avant qu'il ne ferme la porte derrière eux et tendit la main .

Parlons du coté un peu rébarbatif de la chose en premier , le prix de base est 1000 ecus , chaque ..euh ...chose ..un peu speciale, c'est 500 écus en plus et les choses très speciales ..c'est 1000 ecus ... Pour les choses extrémement spéciales, nous pouvons negocier .

Elle attendit sa réponse en le regardant à travers ses cils légèrement baissés et en passant sa langue d'un air innocent sur sa lèvre inferieure ...
--Finkbrau


Ca se passait relativement bien.
La petite s'éxecutait tant bien que mal. Aspasie était chaude comme la braise. Elle devait avoir souvent monté et descendu ces escaliers qui amener au septième ciel les hommes.
Finkbrau se douta qu'elle ne faisait pas uniquement cela pour de l'argent, mais qu'elle y prenait plaisir. Quelle meilleure éducation elle pourrait donner à la petite timide.
Sous ses grands airs timides, devait se cacher une amante formidable, il ne suffisait qu'à trouver le facteur déclencheur.

Aspasie avait emballé son client, et montait langoureusement aguichant encore plus le gars.
Finkbrau attendit un peu, calculant le temps que le couple s'isole dans la chambre dont elle lui avait mimé le chiffre.
Anais restait là, baillant aux corneilles. Il passa devant le comptoir, l'attrapa par le bras vigoureusement.


-Kommt mit mier. Ach, fiens afec moi. Mais bas de bruit. Chuttt!

Il monta l'escalier, trainant la petite derrière lui, quelques marches grincèrent. A l'étage, il ouvrit la chambre 5 attenante à celle où l'on entendait les ébats amoureux. Il poussa la petite à l'intérieur. Elle gémit.
D'un doigt sur la bouche, et le regard méchant, il lui intima de se taire.
Il ouvrit une tenture le long du mur. Une vitre les séparait d'Aspasie et son client.
Finkbrau amena la petite devant lui, lui montra du menton de regarder ce que faisait sa collègue.
Il se colla derrière elle, et lui sussura:


-Tu fois, z'est pas kompliké, elle aime za, on dirait, la gourgandine.

Il voyait le couple, lui assis, elle se déshabillant doucement
Ce tableau lui donnait des idées, mais il ne voulait pas mélanger travail et plaisir.


-Allez, rekarde et apprends. Defiens auzzi vizieuse qu'elle.

Laissant seul Anais, il redescendit voir son éphèbe de couleur.


Edit pour cohérence avec le post d'en dessous
--Armand


Armand ne pouvait détacher son regard du balancement des hanches d'Aspasie en montant les escaliers. Elle devait savoir onduler celles-ci ! Quand ils arrivèrent dans la chambre, il ferma la porte.

"1000 écus...pour te voir te dénuder doucement !"

Il s'installa dans un fauteuil pour apprécier chaque détail du corps de la jeune femme. Il balança une bourse sur le lit.
Une fois la jeune femme dévêtie, il s'avança vers elle. Il huma son odeur, sa peau était douce. Sa main lui caressa une épaule.
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