Mayu
Mayu passait mais...elle ne pouvait pas répondre à Fritroll et c'est avec regret qu'elle s'obligeait à repartir.
Hirotaka fit son entrée et parla de procès pour religion...là, la Kenji sentit son sang ne faire qu'un tours...puis un étranger avec un drôle d'accent demanda...quelque chose un peu farfelue mais demander si gentiement.
Yoshitune répondit, la kenji et Socho se permit donc d'intervenir sur les sujets auxquels elle pouvait enfin répondre, un signe de tête pour s'excuser vers fritroll:
"Konban wa mina-san.
Je suis Mayu, actuelle Kenji (procureur) et Socho (religieuse "en chef") du kuni...et IaC par intérim je vous l'accorde.
Je vous répondrais Hirotaka-san, malheureusement par une question en ce qui concerne les procès...pouvez-vous citer un seul procès en relation avec une religion? Car en Otomo comme l'a dit Yoshitune-san, les deux religions de nos terres sont représentées quasiment à part égale et travaillent ensemble.
Je vois mal le conseil du kuni s'en mêler.
Si vous parlez des "insultes", je vous ai déjà donné une explication. Nous sommes toujours en guerre, il est hors de question de lancer un procès qui nous lancerait dans une guerre intestine. Que ce soit vous, ou quelqu'un d'autre.
Ai-je été assez claire maintenant?
D'autant plus que ces "insultes" étaient des plaidoiries lors d'un procès, vous niez certes, mais ce sont vos paroles contre celle de votre adversaire, qui peut apporter autant de preuves que vous.
Si vous avez un souci tellement insupportable, je vous conseille d'en faire appel aux kami (admins) pour le régler car cela outrepasse mes prérogatives."
Inclinant la tête vers Hirotaka, elle se tourna vers le gaijin (étranger):
"Monsieur, j'avoue ne pas comprendre votre question puisqu'aux dernières nouvelles, aucuns conseillers en poste encore ne pensent aux prochaines élections du kuni.
Et je ne suis pas sûre que beaucoup reparte pour un mandat car les temps sont difficiles, autant au niveau externe qu'au niveau interne.
Il est difficile d'arrêter une guerre quand la partie adverse refuse de l'arrêter malgré les dernières volontés d'un shogun.
On consulte autant que l'on peut et quand ça a été fait, il faut le dire, personne ne s'est pressé pour répondre à part...nos ennemis, amusant ne?
Tout comme lors de l'élection personne n'est venue poser des questions sur le programme, pourtant nous étions la seule liste.
Personnellement je trouve cela assez grave, et risible que l'on vienne râler par la suite.
Ce n'est apparemment pas votre cas, vous me semblez nouveau en nos terres d'Otomo, mais voilà, je tenais à remettre les choses à leur place.
Nous essayons d'être transparent, vous voyez bien les annonces, il y a maintenant la gazette et lors des taxes, même si nous en avions parlé en amont au conseil, ça a été mis en place publique pour débattre avec les Otomo-jin.
Ceux qui sont venus peuvent se compter sur les doigts de ma main. Alors qu'on ne vienne pas nous dire que nous ne parlons pas de nos projets en place publique car nous en parlons.
C'est au peuple maintenant d'écouter mais surtout de venir y répondre de manière constructive.
J'espère que nous aurons votre avis dorénavant car vous me paraissez avoir envie de le faire...je laccueillerais avec plaisir en ce qui me concerne, l'avis des habitants compte."
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Hirotaka fit son entrée et parla de procès pour religion...là, la Kenji sentit son sang ne faire qu'un tours...puis un étranger avec un drôle d'accent demanda...quelque chose un peu farfelue mais demander si gentiement.
Yoshitune répondit, la kenji et Socho se permit donc d'intervenir sur les sujets auxquels elle pouvait enfin répondre, un signe de tête pour s'excuser vers fritroll:
"Konban wa mina-san.
Je suis Mayu, actuelle Kenji (procureur) et Socho (religieuse "en chef") du kuni...et IaC par intérim je vous l'accorde.
Je vous répondrais Hirotaka-san, malheureusement par une question en ce qui concerne les procès...pouvez-vous citer un seul procès en relation avec une religion? Car en Otomo comme l'a dit Yoshitune-san, les deux religions de nos terres sont représentées quasiment à part égale et travaillent ensemble.
Je vois mal le conseil du kuni s'en mêler.
Si vous parlez des "insultes", je vous ai déjà donné une explication. Nous sommes toujours en guerre, il est hors de question de lancer un procès qui nous lancerait dans une guerre intestine. Que ce soit vous, ou quelqu'un d'autre.
Ai-je été assez claire maintenant?
D'autant plus que ces "insultes" étaient des plaidoiries lors d'un procès, vous niez certes, mais ce sont vos paroles contre celle de votre adversaire, qui peut apporter autant de preuves que vous.
Si vous avez un souci tellement insupportable, je vous conseille d'en faire appel aux kami (admins) pour le régler car cela outrepasse mes prérogatives."
Inclinant la tête vers Hirotaka, elle se tourna vers le gaijin (étranger):
"Monsieur, j'avoue ne pas comprendre votre question puisqu'aux dernières nouvelles, aucuns conseillers en poste encore ne pensent aux prochaines élections du kuni.
Et je ne suis pas sûre que beaucoup reparte pour un mandat car les temps sont difficiles, autant au niveau externe qu'au niveau interne.
Il est difficile d'arrêter une guerre quand la partie adverse refuse de l'arrêter malgré les dernières volontés d'un shogun.
On consulte autant que l'on peut et quand ça a été fait, il faut le dire, personne ne s'est pressé pour répondre à part...nos ennemis, amusant ne?
Tout comme lors de l'élection personne n'est venue poser des questions sur le programme, pourtant nous étions la seule liste.
Personnellement je trouve cela assez grave, et risible que l'on vienne râler par la suite.
Ce n'est apparemment pas votre cas, vous me semblez nouveau en nos terres d'Otomo, mais voilà, je tenais à remettre les choses à leur place.
Nous essayons d'être transparent, vous voyez bien les annonces, il y a maintenant la gazette et lors des taxes, même si nous en avions parlé en amont au conseil, ça a été mis en place publique pour débattre avec les Otomo-jin.
Ceux qui sont venus peuvent se compter sur les doigts de ma main. Alors qu'on ne vienne pas nous dire que nous ne parlons pas de nos projets en place publique car nous en parlons.
C'est au peuple maintenant d'écouter mais surtout de venir y répondre de manière constructive.
J'espère que nous aurons votre avis dorénavant car vous me paraissez avoir envie de le faire...je laccueillerais avec plaisir en ce qui me concerne, l'avis des habitants compte."
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